CONCEPTS DE BASE DU COMPTE SATELLITE DU TOURISME (CST) Table des matières

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1 CONCEPTS DE BASE DU COMPTE SATELLITE DU TOURISME (CST) Table des matières 1. Généralités 2. Nouvelle norme internationale 3. L importance des partenariats dans l élaboration des Comptes Satellites du Tourisme 4. Mise en marcha du processus 5. Exemples de par le monde: Australie Canada Chili Nouvelle Zélande États-Unis 1. GÉNÉRALITÉS Le tourisme est la première activité à utiliser les normes mondiales du compte satellite approuvées par les Nations Unies en mars 2000 pour mesurer l incidence du tourisme sur les économies nationales. Qu est-ce qu un compte satellite du tourisme (CST)? La notion de compte satellite a été élaborée par les Nations Unies pour mesurer l envergure de secteurs économiques qui ne sont pas définis comme des branches d activité dans les comptes nationaux. Le tourisme, par exemple, est un amalgame de diverses branches d activité telles que le transport, l hébergement, la restauration, les loisirs et spectacles et les agences de voyages. Le tourisme est un phénomène exceptionnel, car il est défini par le consommateur, soit le visiteur. Les visiteurs achètent des biens et des services à la fois touristiques et non touristiques. Sur le plan de la mesure, il s agit essentiellement de lier leurs achats à l offre globale de ces biens et services à l intérieur d un pays. Le CST est un nouvel instrument statistique conçu pour mesurer ces biens et services selon des normes internationales en matière de concepts, de classifications et de définitions qui permettront d établir des comparaisons valides avec d autres branches d activité et, éventuellement, d un pays à l autre et entre groupes de pays. Ces mesures seront également comparables à d autres statistiques économiques reconnues à l échelle internationale. Le CST: offre des données crédibles concernant l incidence du tourisme et de l emploi connexe ; est un cadre conceptuel uniforme servant à organiser les données statistiques sur le tourisme ; 1

2 est une nouvelle norme internationale approuvée par la Commission de statistique des Nations Unies ; offre un puissant instrument servant à concevoir des politiques économiques axées sur le développement du tourisme ; offre des données concernant l incidence du tourisme sur la balance des paiements d un pays ; offre de l information sur les caractéristiques des ressources humaines impliquées dans le tourisme. Pourquoi a-ton besoin d un CST? Il existe une grande pénurie de renseignements sur le rôle de plus en plus important du tourisme dans les économies nationales du monde entier, d où la nécessité de données fiables concernant l importance et l envergure du tourisme et utilisant les mêmes concepts, définitions et méthodes de mesure que les autres branches d activité. Grâce au CST, les administrations publiques, les entrepreneurs et les citoyens seront mieux en mesure de concevoir des politiques publiques et des stratégies commerciales axées sur le tourisme et d en évaluer l efficacité. L élaboration d un cadre conceptuel du compte satellite du tourisme a été motivée par la certitude que sa mise en œuvre servira : à accroître et à améliorer la connaissance de l importance du tourisme par rapport à l ensemble de l activité économique d un pays donné ; à fournir un instrument permettant de concevoir des politiques plus efficaces relatives au tourisme et à l emploi connexe ; à sensibiliser les divers intervenants impliqués directement ou indirectement dans le tourisme à l importance économique de cette activité et, par extension, à son rôle dans toutes les branches d activité qui participent à la production des biens et services qu exigent les visiteurs. Le CST une question d équilibre entre l offre et la demande Pour être crédibles et comparables avec d autres branches d activité au sein de l économie d un pays, les mesures relatives au tourisme doivent se conformer à des concepts et à des définitions correspondant aux principes directeurs macroéconomiques acceptés à l échelle internationale, comme le Système de comptabilité nationale (SCN93). La structure fondamentale du CST repose donc sur l équilibre qui existe au sein d une économie entre, d une part, la demande de biens et services émanant des visiteurs et des autres consommateurs et, d autre part, l offre globale de ces biens et services. Aussi faut-il analyser en détail tous les aspects de la demande de biens et services qui sont liés au tourisme au sein de l économie, puis mesurer la relation avec l offre de ces biens et services au sein de la même économie. 2

3 Le CST permettra désormais de mesurer: l apport du tourisme au produit intérieur brut (PIB) ; l importance du tourisme par rapport à d autres secteurs économiques ; le nombre d emplois créés par le tourisme au sein d une économie ; l importance de l investissement dans le tourisme ; les recettes fiscales générées par l industrie touristique ; l incidence du tourisme sur la balance des paiements d un pays ; les caractéristiques des ressources humaines impliquées dans le tourisme. Historique 1983 Présentation d un document de l OMT sur la détermination de l importance du tourisme comme activité économique dans le cadre du Système de comptabilité nationale Conférence internationale de l OMT sur les statistiques des voyages et du tourisme, à Ottawa Création des comptes économiques du tourisme de l OCDE Adoption du Système de comptabilité nationale (SCN) Adoption des recommandations de l OMT et de l ONU sur les statistiques du tourisme - Annonce du premier compte satellite national du tourisme du Canada Énoncé des premiers principes directeurs de l OCDE en matière de CST - Adoption d un cadre juridique pour un système intégré de données statistiques de base sur l offre et la demande touristiques, mais au point par Eurostat Conférence mondiale Enzo Paci sur la mesure de l impact économique du tourisme, à Nice Création du Groupe de travail intersecrétariat formé par l OMT, l OCDE et Eurostat Adoption de la méthodologie relative au CST par l ONU 2001 Conférence de la CCT sur les comptes satellites du tourisme, à Vancouver. Avantages Le CST offre aux décideurs un outil permettant : d élaborer des politiques ; de produire des données fiables concernant l incidence du tourisme sur l économie et sur l emploi ; de mesurer le tourisme intérieur et récepteur et l emploi connexe ; d établir des comparaisons avec d autres secteurs économiques ; d établir à l avenir, des comparaisons internationales. 3

4 Un partenariat qui regroupe : l Organisation mondiale du tourisme (OMT) ; l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ; les Nations Unies (ONU) ; Eurostat ; des organismes statistiques publics ; des administrations nationales du tourisme ; des banques centrales. 2. NOUVELLE NORME INTERNATIONALE L Organisation mondiale du tourisme (OMT) joue un rôle central dans la comparabilité internationale des données reliées à l activité touristique. Plus concrètement, l OMT articule ses travaux statistiques essentiellement sur ce qui suit : promotion de la coopération inter-institutionnelle (nationale et internationale) entre les agents qui, du fait de leurs compétences administratives ou pour d autres raisons, manifestent un intérêt particulier pour l information statistique touristique comme élément essentiel et prioritaire de l élaboration du système national de statistiques du tourisme (SST) et, plus tard, du Compte satellite du tourisme (CST) ; collecte de statistiques communiquées officiellement, à la demande des administrations nationales du tourisme ou des bureaux de statistique nationaux des divers pays et/ou d organismes internationaux. L OMT utilise ces données dans ses travaux visant à assurer la comparabilité internationale essentielle à l évaluation de l impact économique du tourisme ; tenue de séminaires, publication de documents techniques et organisation de programmes d aide pour aider les pays à appliquer les normes approuvées par la Commission de statistique des Nations Unies (CSNU); proposition de normes à utiliser par la collectivité internationale pour la conception des SST nationaux et du CST. Sur les deux ensembles de recommandations internationales dans le domaine des statistiques du tourisme qui ont reçu l approbation de la CSNU : le premier (1993) concerne l élaboration de SST nationaux (c.-à-d. les concepts, les définitions et les classifications à appliquer à cette fin) ; le deuxième (2000) concerne l élaboration du CST, un outil statistique qui est l élément unificateur de la plupart des composantes du SST. Ces composantes sont considérées comme étant à la fois des opérations statistiques elles-mêmes (c.-à-d. statistiques tirées d enquêtes et de registres administratifs, opérations de synthèse statistique, comme dans le cas du CST, 4

5 etc.) ainsi que les outils et les supports particuliers utilisés à certains stades des travaux qu entraînent ces opérations (comme dans le cas des classifications). Pour l OMT, ce deuxième ensemble de recommandations est le fruit des travaux qu elle a menées depuis 1982 pour l expansion du cadre conceptuel requis pour la détermination de l importance du tourisme comme activité économique dans le système de comptabilité nationale. L OMT croit que le SST ne pourra pas être, en soi, un sous-système du système national correspondant de statistiques à moins qu il n y ait une balance touristique des paiements en plus d un CST. Comme on peut le lire dans le projet préparé par l OMT, cela serait un autre instrument d unification du sous-système mentionné, soit une fonction qu accomplit la balance des paiements pour le système national de statistiques de chaque pays. 3. L IMPORTANCE DES PARTENARIATS DANS L ÉLABORATION DES COMPTES SATELLITES DU TOURISME Contexte L élaboration d un Compte satellite du tourisme (CST) suppose une base de connaissances diversifiées formée de personnes qui comprennent la nature statistique de l information et d autres qui connaissent les besoins des entreprises et des organismes de tourisme qui l utiliseront. Par conséquent, il faut une équipe multidisciplinaire travaillant en partenariat et capable de partager les ressources et les compétences requises pour élaborer le CST d un pays. Les principaux acteurs au niveau national sont très diversifiés puisqu ils obéissent à des aspirations et des besoins distincts en matière de CST. Au sens large, les principaux acteurs requis pour l élaboration d un CST comprennent : Les organismes producteurs de statistiques et fournissant des informations touristiques de base comme : les bureaux de statistique nationaux les administrations nationales du tourisme les banques centrales les associations des entreprises touristiques nationales. Les services qui produisent des informations, comme les entreprises et établissements touristiques, ainsi que d autres organismes des administrations publiques, dont : les ministères des Transports les Douanes l Immigration. 5

6 Les utilisateurs potentiels des informations touristiques produites comprennent : les branches touristiques les Administrations nationales du tourisme les bureaux de statistique nationaux les banques centrales les associations de l industrie touristique les universitaires. L élaboration du CST exige la création d un comité ou d une commission appropriée (instance inter-institutionnelle), dans laquelle les principaux organismes institutionnels soient représentés, et qui soit aidée d une équipe de soutien composée d experts désignés par chacun des organismes participants. L administration nationale du tourisme En règle générale, les administrations nationales du tourisme (ANT) n effectuent, de façon ponctuelle ou sporadique, que des travaux statistiques sur quelques aspects du tourisme. Elles ne possèdent habituellement pas une connaissance globale et détaillée de l information disponible sur le tourisme dans leur pays, essentiellement à cause d un manque de communication avec les institutions productrices d informations touristiques, ou du fait qu elles ne possèdent pas d infrastructure statistique (par exemple, de statisticiens qualifiés, de moyens suffisants, etc.). Le bureau de statistique national Le bureau de statistique national (BSN) joue un rôle indispensable dans l élaboration du CST, non seulement parce qu il lui incombe de produire des statistiques de base mais aussi parce que, généralement, il est chargé d établir les comptes nationaux du pays, y compris, parfois, la balance des paiements (BOP). La banque centrale Dans certains pays, la banque centrale est l organisme chargé d établir la balance des paiements (BDP). Les catégories «voyages» et «transport de passagers» comprises dans la BDP concordent, dans une grande mesure, avec celles produites dans les tableaux du CST. Dans les pays qui créent un CST, l analyse de chacune de ces estimations jetterait de la lumière sur les améliorations susceptibles d être apportées à l un ou l autre instrument statistique. Par ailleurs, la banque centrale pourrait profiter, au moment d établir la BDP, des nouvelles opérations statistiques qui entreront en vigueur et qui se rapporteront, par exemple, à la dépense touristique. Les entreprises touristiques La participation et la collaboration des entreprises touristiques et, plus particulièrement, de leurs associations nationales, sont fortement recommandées, en partie parce qu elles sont les fournisseurs d une bonne part des informations de base. Leur participation, dès le début du processus, à l instance institutionnelle et à 6

7 l équipe de soutien aidera à préciser et à régler les difficultés provenant des informations statistiques qui sont utilisées par le public. Leur participation donnera par ailleurs plus de crédibilité aux résultats finals. 4. MISE EN MARCHE DU PROCESSUS Depuis 1995, l Organisation mondiale du tourisme (OMT) préconise l élaboration du projet de Compte satellite du tourisme (CST) pour promouvoir l harmonisation et la comparabilité des statistiques du tourisme que nécessitent la mesure et l analyse de l impact du tourisme. En plus de ces travaux, l OMT a rédigé les orientations et les documents nécessaires pour faciliter l élaboration des CST dans les pays ayant des niveaux différents de compétences techniques, de ressources, de besoins et d expérience. Au départ, la responsabilité de la mise en œuvre d un CST dans un pays dépendra de l organisation institutionnelle et administrative de chaque pays. Ainsi, certains pays peuvent avoir un bureau de statistique national (BSN) solide et une administration nationale du tourisme (ANT), qui sont représentés à la fois par le secteur public et le secteur privé. Dans ces cas-là, il suffirait d un accord entre les deux institutions, de telle sorte que le BSN se charge de la mise en œuvre du CST. Une autre situation pourrait être celle des pays où l infrastructure statistique générale n est pas suffisamment développée et/ou les représentants du secteur touristique n ont pas suffisamment d influence dans leur gouvernement national. Quelle que soit la situation dans divers pays, l OMT propose, à titre de recommandation générale, la création d une instance inter-institutionnelle (par exemple, un comité ou une commission), sous l égide de l administration nationale du tourisme (ANT) et idéalement représentée par l autorité administrative supérieure en matière de tourisme. Les membres devraient comprendre au moins le bureau de statistique national (BSN), la banque centrale (BC), les autres organismes publics qui représentent d importante sources administratives pour le projet du CST, et un représentant du secteur privé. Dans tous les cas, quel que soit le niveau de développement au chapitre socio-économique et statistique, chaque pays devra disposer des instruments suivants pour décider de l élaboration et de la mise en œuvre d un CST : une description du système de statistiques touristiques (SST) du pays une revue du SST du pays une étude de faisabilité d un CST pour le pays un projet pilote de CST pour le pays. 7

8 Structure du SST 1. STATISTIQUES DE BASE 1.1. CONSOMMATION TOURISTIQUE Concepts Unités touristiques 1.2. OFFRE TOURISTIQUE Concepts et unités 1.3. FACTEURS DE PRODUCTION Force de travail Capital Innovations technologiques 2. CLASSIFICATIONS RELATIVES AUX STATISTIQUES DU TOURISME 2.1. PRODUITS SPÉCIFIQUES DU TOURISME (Liste de) (PST) 2.2. CLASSIFICATION INTERNATIONALE TYPE DES ACTIVITÉS TOURISTIQUES (CITAT) 3. COMPTE SATELLITE DU TOURISME (CST) 3.1. CONCEPTS DU CST 3.2. AGRÉGATS DU CST 3.3. CLASSIFICATIONS POUR LE CST - Produits caractéristiques du tourisme (Liste de) - Activités caractéristiques du tourisme (Liste de) 3.4. TABLEAUX DE RÉSULTATS DU CST 3.5. EXTENSIONS DU CST - CST - Régional - CST Indicateurs - CST Optique supranationale - CST Optique fonctionnelle - CST Optique institutionnelle - Système de comptabilité du travail dans le tourisme 4. BALANCE DES PAIEMENTS DU TORUISME La description du SST du pays peut prendre la forme: d un rapport à remplir pour les opérations statistiques sur lesquelles on dispose d une documentation complète. L OMT a conçu différents modèles de rapports pour chacune des six catégories d opérations statistiques possibles : - statistiques dérivées d enquêtes - recensements/répertoires - statistiques dérivées de procédures administratives - publications statistiques - synthèses statistiques - bases de données une note à remplir dans le cas où la documentation disponible n est que partielle. 8

9 La revue du SST du pays pourrait être structurée de la façon suivante : A. Évaluation générale B. Principaux indicateurs disponibles C. Identification des améliorations apportées aux opérations existantes D. Identification des nouvelles opérations touristiques : D.1. en rapport avec l information statistique (définitions, classifications et répertoires, principalement) D.2. du côté de la demande D.3. du côté de l offre. L étude de faisabilité d un CST dans un pays donné a pour objet d évaluer les différentes approches possibles quant à la couverture des données, à la désagrégation des produits et branches d activité recensés et au nombre possible de tableaux, etc. L approche retenue dépendra des priorités établies et des moyens disponibles (en personnel technique et financier). Une fois l étude de faisabilité réalisée, l institution ou la commission nationale chargée du tourisme devra décider du scénario à privilégier, avec ses éventuelles modifications, pour élaborer le premier CST pilote du pays. Le projet pilote a principalement pour objet de définir la structure du CST qu il est actuellement possible d élaborer dans un pays, conformément aux priorités établies et aux moyens alloués. Une fois l élaboration du premier CST du pays terminée, il conviendra de ne voir dans les résultats que des données «provisoires» tant que l on n aura pas procédé à une deuxième étape avec des informations de meilleure qualité et plus complètes. La deuxième étape de l exécution du projet pilote consiste à effectuer une analyse des résultats, qui permettra de formuler quelques recommandations pour l utilisation de ces résultats, ainsi que d autres observations dont il faudra tenir compte dans l élaboration des versions suivantes du CST. 5. EXEMPLES DE PAR LE MONDE La structure du Compte satellite du tourisme, fondée sur un ensemble de concepts, définitions, classifications et tableaux, permet de guider les pays dans la mise au point de leur propre système de statistiques touristiques (SST). Un des grands avantages du Compte satellite du tourisme (CST) est qu il donne aux pays un cadre leur permettant de mener eux-mêmes les travaux, à l aide des données de leurs propres institutions statistiques. Ces informations économiques aideront les décideurs politiques et les personnes appelées à prendre des décisions dans leur entreprise. 9

10 AUSTRALIE En mars 1995, le Comité permanent des banques, des finances et de l administration publique, à la Chambre des représentants, a mené une «enquête sur les incidences du régime fiscal de l Australie sur l industrie du tourisme» et recommandé dans son rapport que : Le Bureau de la statistique d Australie (BSA) se voie confier les ressources nécessaires à la création d un système statistique capable de quantifier l importance du tourisme en Australie, en consultation avec le Bureau de la recherche sur le tourisme (BRT) et d autres organismes intéressés, et ce en toute priorité». La base de la recommandation était que les informations économiques sur le tourisme sont limitées, malgré les observations suggérant que l incidence économique des visiteurs est importante dans de nombreuses régions. Le dernier CST publié de l Australie, pour l exercice , a été diffusé en 2000, l année des Olympiques de Sydney. Exercice Consommation touristique totale Milliards de $AU 58,2 Consommation touristique interne Milliards de $AU 45,4 Consommation du tourisme récepteur Milliards de $AU 12,8 Part interne de la consommation touristique % 78,0 Contribution du tourisme au PIB (1) % 4,5 Emploi dans les branches touristiques (2) Milliers 388,5 Ratio de l emploi touristique au total % 5,4 (1) PIB signifie produit intérieur brut. (2) En équivalent plein temps de personnes employées. CANADA En tant que pays d accueil de la Conférence internationale sur les statistiques des voyages et du tourisme qui a eu lieu à Ottawa en 1991, le Canada na pas tardé à réagir, et a publié les premiers résultats de son propre Compte satellite du tourisme en (1) Consommation touristique totale Milliards de $CAN 54,1 Consommation touristique interne Milliards de $CAN 37,9 Consommation du tourisme récepteur Milliards de $CAN 16,2 Part interne de la consommation totale % 70,0 Contribution du tourisme au PIB (1) % 2,4 Emploi généré par le tourisme (2) Milliers 546,4 Ratio de l emploi touristique au total % 3,5 (1) Ces estimations sont fondées sur les indicateurs nationaux du tourisme et le modèle d impact économique du tourisme, qui sont tous deux des prolongements du Compte satellite du tourisme du Canada. (2) Emploi à plein temps et à temps partiel. 10

11 CHILI Le Servicio Nacional de Turismo (SERNATUR) a présenté en 1999 les premiers résultats de son CST. Après le travail de pionnier effectué par la République Dominicaine, le Chili est le troisième pays d Amérique latine (après le Mexique) à se donner un CST Consommation touristique totale Milliards de Pesos 1.356,8 Consommation touristique interne Milliards de Pesos 519,3 Consommation du tourisme récepteur Milliards de Pesos 837,3 Part interne de la consommation totale % 38,3 Contribution du tourisme au PIB (1) % 3,8 Emploi dans les branches touristiques Milliers 166,1 Ratio de l emploi touristique au total % 3,2 (1) Valeur ajoutée des branches touristiques. FRANCE La Direction française du tourisme a créé ses premiers Comptes du tourisme au milieu des années 70, en mettant l accent sur la demande. Les premiers résultats ont été produits en L approche française mesure la consommation par les touristes internes et étrangers selon quatre agrégats différents (T0, T1, T2, T3) allant d une définition étroite du tourisme à une définition plus large Consommation touristique totale Milliards de FF 605,3 Consommation touristique interne Milliards de FF 389,7 Consommation du tourisme récepteur Milliards de FF 215,6 Part interne de la consommation totale % 64,4 Emploi dans les industries touristiques (1) Milliers 624,4 Ratio de l emploi touristique au total % 2,7 (1) Chiffres de NOUVELLE ZÉLANDE Le tourisme joue un rôle important et de plus en plus grand dans l économie de la Nouvelle-Zélande. L objet premier du CST95 était d élaborer un cadre et une méthodologie pouvant servir à produire des CST complets à l avenir et à faire ressortir les secteurs où une amélioration des données s impose Consommation touristique totale Milliards de $ NZ 9,1 Consommation touristique interne Milliards de $ NZ 4,8 Consommation du tourisme récepteur Milliards de $ NZ 4,3 Part interne de la consommation totale % 52,7 Contribution du tourisme au PIB % 3,4 EmploI dans les industries touristiques (1) Milliers 58,0 Ratio de l emploi touristique au total % 4,1 (1) En équivalent plein temps de personnes employées. 11

12 ÉTATS-UNIS Après les recommandations de la Conférence 1995 de la Maison Blanche sur les voyages et le tourisme, le Département du Commerce des État-Unis a publié trois jeux de Comptes satellites des voyages et du tourisme (CSVT) pour 1992, 1996 et Les CSVT de 1997 sont le fruit d une extrapolation des estimations de 1996 pour produire les estimations les plus récentes. Les CSVT de 1996 sont fondés sur les CSVT de 1992 et les comptes annuels d entrées-sorties de 1996, la dernière année dont les chiffres sont disponibles. Comme en 1992, on utilise trois méthodologies différentes dans le CSVT de 1997 pour établir les estimations des parts de biens et services achetées par les visiteurs et les non-visiteurs. Les résultats sont présentés sous forme de fourchette, plutôt que d estimation unique (1) Consommation touristique totale Milliards $ EU 461,2 Consommation touristique interne Milliards $ EU 365,0 Consommation du tourisme récepteur Milliards $ EU 96,2 Part interne de la consommation touristique % 79,1 Contribution du tourisme au PIB % 2,2 Emploi dans les industries touristiques (2) Milliers 4.491,0 Ratio de l emploi touristique au total % 3,5 (1) Les chiffres compris dans ce tableau sont ceux dérivés selon la méthode 2. (2) En équivalent plein temps de personnes employées. 12

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