Questionnaire diffusé aux adhérents Printemps Dépouillement par le Comité d Ethique Juin-Septembre 2012
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- Arsène Bastien
- il y a 8 ans
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1 Questionnaire diffusé aux adhérents Printemps 2012 Dépouillement par le Comité d Ethique Juin-Septembre / Texte intégral du dépouillement et de l analyse du questionnaire en vue d une communication aux adhérents via le site et via un envoi à chaque adhérent par mail. Introduction: 62 Réponses nous sont parvenues, ce qui au vu du nombre d adhérents à jour de leur cotisation représente entre 15 et 20%. Au vu des statistiques le taux de réponses correspond aux moyennes de réponses à des enquêtes et ainsi valide la pertinence de l analyse quantitative et qualitative suivante. Question 1 : Faites-vous référence à la charte de l ADC dans vos pratiques? Faites vous référence à la charte de l ADC dans vos pratiques? OUI 19 31% NON 26 42% PARFOIS 17 27% OUI - NON - PARFOIS Oui et parfois totalisent = 58 % des réponses. Une large majorité des adhérents fait référence à la charte de l ADC dans ses pratiques. Il faut souligner que pour les 42% ne faisant pas référence à la charte peut-on faire l hypothèse que les nouveaux adhérents depuis 2008 n ont pas voté cette charte et que dans la mesure où dans le processus d adhésion il n y a pas d échange spécifique concernant cette charte. 1
2 Question 2: Les valeurs opératoires de la charte associative sont-elles des points d appui dans votre pratique de directeur? Les valeurs opératoires de la charte associative sont-elles des points d appui dans votre pratique de directeur? OUI 31 50% NON 15 24% PARFOIS 13 21% OUI - NON - PARFOIS Oui et parfois totalisent = 71 % des réponses. Là encore les valeurs opératoires de la charte sont des points d appui pour la majorité des adhérents, ainsi les valeurs opératoires sont une référence, les membres de l ADC se reconnaissent en elles et l on peut affirmer que celles-ci ne sont pas déconnectées de la réalité de la pratique de terrain. Question 3: Appliquez vous la conception de l éthique professionnelle de la charte de l ADC? Appliquez vous la conception de l éthique professionnelle de la charte de l ADC? OUI 39 63% NON 16 26% PARFOIS 6 10% OUI - NON - PARFOIS Oui et parfois totalisent = 73 % des réponses. Plus on s approprie et on décline les questions d éthique, plus cela intéresse les adhérents ce qui est encourageant quant au travail concernant l éthique au sein de notre association. L on passe de 58 % à 71 % pour terminer sur cette question à 73 %. 2
3 Question 4: Pouvez-vous nous éclairer quant aux questions éthiques que vous vous posez par rapport à l accompagnement des personnes? Liste des questions éthiques liées à l accompagnement : Principes Bientraitance Respect du personnel Valeurs : solidarité, fraternité, égalité, liberté de conscience Exemplarité Ethique de conviction ou de responsabilité La personne, un sujet La reconnaissance de l usager comme un sujet de droit et de respect est un impératif dans nos pratiques. La personne, une place Citoyenneté Droits civiques des personnes handicapées Respect de la vie privée Confidentialité Préoccupations L usager - Consentement éclairé et /ou libre adhésion - Maltraitance passive liée au non respect des droits des usagers - Comment gérer et accompagner les situations de maltraitance? - Comment faire face à la violence institutionnelle? Jusqu où tolérer un jeune violent en établissement? - Pouvoir, emprise et abus sur la personne accompagnée - L aide jusqu où, pouvoir sur l autre aide et autonomie protection et autonomie - Equilibre aidant aidé - Reconnaitre l usager en tant que personne - Prendre en compte leur parole, leurs attentes - Respect de leur choix, en général, pour une orientation et en fin de vie - La notion d acceptation de l usager, se pose en interrogeant la place qu il se donne ou qu on lui assigne. 3
4 - Respect de la personne ses droits et ses devoirs; réaffirmer la place d acteur de l usager dans son accompagnement; respect de son environnement familial; respect et effectivité des droits civiques et de la citoyenneté des majeurs handicapés mentaux; désir d enfants pour les handicapés mentaux jusqu où? ; bientraitance et handicap mental ; vieillissement de personnes handicapées ; place du travailleur handicapé en ESAT - Place des parents droits et devoirs lors du placement de leurs enfants mineurs - Articulation autonomie et vulnérabilité - Communication compréhensive pour tous - Place du curatif et du palliatif - Comment développer les compétences des usagers? - Personnes fragilisées et marchandisation du secteur ; secteur enfance danger réseaux sociaux internet - Personne accompagnée : objet de soin - Accès au dossier médical pour le résident ou sa famille - Participation financière des personnes handicapées SAVS dans certains départements - Adhésion de l usager au projet en Assistance Educative - Quelle place à la clinique par rapport au contrat? - Liberté individuelle et accès aux NTIC - Alimentation forcée et douloureuse contre l avis de l usager ou contre l avis familial - Dans nos structures, les droits citoyens des usagers sont-ils limités par la pathologie, les problématiques plurielles? - Notre travail auprès des familles peut-il être intrusif? - Les droits et les devoirs des jeunes sont-ils symétriques? - Handicap mental et désir d enfant - Inclusion scolaire et souffrance générée - Communication avec les étrangers (traduction?) - Dignité et respect - Respect du choix de l usager dans un projet de réorientation subie - «Sélection» des usagers liée aux coûts de prise en charge L organisation - Concilier sécurité et liberté - Normalisation des pratiques et singularisation - L usager au centre et les professionnels au milieu - Comment concilier rythme de vie des usagers et des professionnels - Inclusion scolaire est elle pertinent au regard de la souffrance qu elle génère - Restriction budgétaire et qualité de l accompagnement - Articulation accueil collectif et accompagnement individuel 4
5 - Vigilance par rapport à la confidentialité respect de la vie privée et partage du secret - Gérer un établissement pour une action optimale en permanence - Comment accompagner une équipe à s adapter aux besoins des usagers (vieillissement du public) - Comment développer un partenariat de qualité? - Evaluation interne et amélioration continue de la qualité interroge les personnels sur la bientraitance et les bonnes pratiques - Place de la clinique avec l émergence du contrat - Critères d admission en EHPAD - Qualité d accompagnement et éclatement géographique - Limites de l intervention à domicile - Dissolution des repères et des responsabilités - Le contrat avec les usagers - Liberté individuelle et accès aux NTIC - Injonctions paradoxales des financeurs dans un budget contraint pour concilier les besoins des usagers et le rythme de travail des professionnels - Quelle articulation entre les dimensions individuelles et collectives de travail d accompagnement éducatif? - Autonomie et hétéronomie, sécurité et liberté, quelle est notre responsabilité dans cet accompagnement d aide et de protection? - Quelle stratégie et quel positionnement psycho-socio-éducatif pour prévenir et traiter la violence? - Dans un travail de réseau, notre position est-elle marchande pour capter un prix de journée, ou collaboratrice d une prestation? Sommes-nous des partenaires ou des concurrents? - Comment comprendre la notion de performance dans notre mission d aide et de protection? - Enquête interne après dénonciation des usagers - Traitement JUSTE (entendre les usagers et/protéger les équipes) - Partage de secret/des infos (visée coercitive ou protection) - Avec les moyens alloués être au plus et au mieux au service des personnes accompagnées - Permanence de l optimisation des moyens alloués 5
6 Question 5 : Pouvez-vous nous éclairer quant aux questions éthiques que vous vous posez par rapport au management des équipes et des personnes les constituant? Référence à des valeurs : La capacité des professionnels à adhérer aux valeurs défendues par l'association gestionnaire Le respect du droit. La posture éthique personnelle peut-elle être en opposition à un engagement institutionnel? Confidentialité et secret professionnel. Délégation et formalisation entre droit et contrainte organisationnelle: Le respect de la place des différents acteurs : la personne, l'usager - le professionnel - l'élu associatif. Le respect du cadre et de la mission. La question de la confusion des places et du travail demandé à des personnes ayant des diplômes différents (ME-ES). Les temps partiels subis. La clarification des missions confiées et des attentes. L exigence croissante de l efficience et de la performance limite-t-elle la place de l éthique dans les relations managériales? Quelle organisation mettre en place face aux personnes salariées en situation précaire? 6
7 Responsabilité et engagement institutionnel: La prise en compte de l'apprentissage de la prise de risque pour des populations vulnérables contre la logique du parapluie. Différencier la faute et l'erreur. Comment s approprier la dignité, la bientraitance, la citoyenneté? Le niveau de rémunération relatif à la qualification. Trouver le juste milieu entre "garantir un même cadre pour tous" et permettre l exception. La question aussi de souhaiter faire évoluer les équipes (en lien avec l'évolution des usagers) tandis qu'ils ne le souhaitent pas. L'individualisation des comportements professionnels dont le métier est fondé sur l'apprendre aux autres à vivre ensemble. Les équipes sont-elles assez soutenues dans le cadre de situations ou de décisions problématiques en lien aux usagers? Question de l éthique mise en relation avec les problèmes d intégrité physique ou psychique des salariés, lorsque ceux-ci se posent. Gestion humaine des ressources ou gestion des ressources humaines? Quelle place de l éthique dans la compréhension par les collaborateurs des enjeux de l intervention sociale? Question de l éthique du management des équipes dans l exercice d une responsabilité de cadre hiérarchique. L excès de procédures laisse-t-il suffisamment de place à l expression de la liberté individuelle du salarié dans son exercice professionnel? Différence entre une conception égalitaire et une posture d équité dans les relations managériales. La gestion informatique et immédiate des professionnels salariés laisse-t-elle encore de la place à la relation humaine qui nécessite du temps, de l écoute, de l adaptation? 7
8 Question 6 : Une démarche éthique est-elle intégrée dans la culture institutionnelle où vous exercez? Une démarche éthique est-elle intégrée dans la culture institutionnelle où vous exercez? OUI 45 73% NON 17 27% OUI - NON Oui totalise = 73 % de réponses Ce résultat est conforme aux précédentes. Si OUI, sous quelle forme? Les différents items émergeant des réponses des adhérents peuvent être classés dans différentes catégories : Qualité des relations humaines (avec le public, les professionnels et l association) Procédures Démarche projet Groupe de Parole Transversalité (à travers divers espaces, divers lieux, diverses instances) Pratiques managériales Utilisation stratégique (enjeux de négociation, de positionnement, ) Partenariat avec des Comités d Ethique existant Si NON, pensez-vous qu elle serait utile? La majorité des réponses font état de formes opérationnelles : Groupe de réflexion (avec en majorité des apports externes) Procédures Qualité des relations humaines (par exemple un café éthique) Démarche projet Groupe de Parole Transversalité (à travers divers espaces, divers lieux, diverses instances) Pratiques managériales Utilisation stratégique (enjeux de négociation, de positionnement, ) 8
9 Question 7: Y a-t-il, là où vous exercez un temps dédié à la question de l éthique? Y a-t-il, là où vous exercez un temps dédié à la question de l éthique? OUI 27 44% NON 35 56% OUI - NON Non totalise 56 % et Oui totalise 44 %. Cela apparaît contradictoire avec les résultats aux questions 6 et précédentes. L on peut aisément se poser les questions suivantes : Tous les endroits sont-ils imprégnés d éthique? Ou alors est-ce porté par une seule personne? Si OUI, quel temps? Si l on rentre dans le contenu des réponses, ce temps est surtout un temps de réunion à l exception d une réponse qui fait référence à un séminaire de 3 jours dédié à la question de l éthique. Réunions d Analyse des Pratiques Professionnelles Rencontres Thématiques Intervenants extérieurs Réunion de direction (entre cadres) Séminaire Cadre (3 jours) Réunion Intra Réunion Extra (GCSMS, ) Rapport d activité Instances Associatives 9
10 Question 8 : Si une démarche éthique existe, ou si vous envisagez d en mettre une en place, acceptez-vous d être contacté par le Comité d Ethique de l ADC afin de recueillir la richesse des différentes pratiques pour les faire partager aux membres de notre association. Si une démarche éthique existe, ou si vous envisagez d en mettre une en place, acceptez-vous d être contacté par le Comité d Ethique de l ADC afin de recueillir la richesse des différentes pratiques pour les faire partager aux membres de notre association. OUI 38 61% NON 17 27% Oui totalise 85 % OUI - NON 61 % veulent transmettre mais lorsqu on analyse les résultats ceux qui mettent en œuvre certaines pratiques veulent transmette et échanger sur ce qu ils font à hauteur de plus de 85%. Une majorité des répondants souhaitent être contacté afin de recueillir la richesse des différentes pratiques dans un objectif de partage au sein de l ADC. Ce qui laisse une marge d initiatives au C.E. afin de créer cet échange de pratiques et faire vivre l ADC par ce biais quant au questionnement central de l éthique dans nos pratiques de direction. Une/des journées nationales ou régionales pourraient-être dédiées à cette question. Il y a un souci majeur (ou désir important) de partager et d échanger sur ces questions fondamentales. Ethique et transmission pourrait être un axe de travail? 10
11 2/ Synthèse du dépouillement et de l analyse du questionnaire Assemblée Générale du COMMUNICATION AU 40ème ANNIVERSAIRE DE L ADC Outre les données quantitatives relatives à certaines questions et qui sont communiquées, nous avons tenté de résumer certaines lectures et analyses des réponses. Parmi les questions ouvertes : Question 4 : Pouvez-vous nous éclairer quant aux questions éthiques, que vous vous posez, par rapport à l accompagnement des personnes? Dans les réponses, Ethique et bientraitance sont liées. Il y a une déclinaison de la posture professionnelle pour le soin, l attention, l aide, l accompagnement pour un sujet de droit, de respect, de dignité. Des préoccupations apparaissent, sur la place de la personne, qu elle se donne ou qu on lui assigne. La prise en compte de leurs attentes, de leur parole, sur les passages à l acte. Sur la maltraitance passive Comment les organisations sont-elles justes? Comment doivent-elles s organiser, être pensées et actées, pour articuler l accueil collectif et l accompagnement individuel? La normalisation des pratiques et leur singularisation. Entre autonomie et hétéronomie, sécurité et liberté. La question devient d importance quand elle appelle la responsabilité du professionnel.. Question 5 : Pouvez-vous nous éclairer quant aux questions éthiques que vous vous posez par rapport au management des équipes et des personnes les constituant? Des réponses sont à chercher dans l équilibre entre l intérêt personnel des salariés, leur épanouissement, le développement de leurs compétences et l intérêt général des structures, la relation d aliénation envers celles-ci, le tout dans un contexte de gestion de plus en plus rigoureuse. Comment faire vivre une interrogation constante face à l éthique, avec les différences culturelles de tout type, la précarité de certains salariés de plus en plus importante? Une des réponses consiste à se référer régulièrement aux valeurs et projets associatifs. Question 6: Une démarche éthique est-elle intégrée dans la culture institutionnelle où vous exercez? 11
12 Si OUI : La réponse est positive à 73 %. Elle se retrouve dans l exercice surtout à travers des procédures, de chartes, de démarches qualité, mais de manière transversale, dans une démarche collective. Elle repose sur la qualité des relations humaines aussi bien par rapport au public, au personnel que par rapport aux administrateurs. Elle s inscrit dans des démarches de projets associatifs, de management, de réseaux ou partenariat voire de l utilisation (traduction) de l éthique dans les négociations budgétaires sous forme de vision stratégique. Si NON : En cas de réponse négative, la projection dans l opérationnalité rejoint ce qui existe ailleurs, avec l idée supplémentaire d une ouverture sur d autres partenaires, voire institutions et d un désir de faire. Question 7 : Si oui quel temps? La réponse positive s élève à 44 %. Elle se traduit par du temps dédié : lors de réunions concernant la question éthique, en intra comme avec des intervenants extérieurs, mais peut se repérer dans l exercice du quotidien. Les réunions concernent les cadres, souvent cités, mais aussi à travers des groupes d expression, séminaires sous forme pluridisciplinaire ou d analyse des pratiques ou autres lieux de paroles. Elle se repère aussi dans des bilans lors d Assemblées Générales. 12
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