RAPPORT DE CONSULTATION COMMUNAUTAIRE MULTISECTORIELLE. Sommaire : - Contexte - Méthodologie - Résultats - Annexes DANS LA SOUS-PREFECTURE DE DAMARA

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1 Sommaire : - Contexte - Méthodologie - Résultats - Annexes RAPPORT DE CONSULTATION COMMUNAUTAIRE MULTISECTORIELLE DANS LA SOUS-PREFECTURE DE DAMARA Juillet 2013

2 I - CONTEXTE Depuis décembre 2012 jusqu aujourd hui, la RCA est frappée de plein fouet par une crise militaro politique sans précédente, mettant ainsi toutes les localités dans une situation de vulnérabilité très avancée avec tout son cortège d insécurité multisectorielle. Les données disponibles du Mécanisme de Réponses Rapides (RRM) demeurent l émanation d une évaluation concertée de tous les acteurs humanitaires (ONGs internationales et nationales) intervenant en République centrafricaine. La communauté philanthropique demeure à ce jour sans savoir des données précises de la situation sur le terrain. Bref, la nécessité des interventions concertées avec la communauté de Damara, s impose aux acteurs multisectoriels si l on veut agir pour apporter l'aide humanitaire sans seulement se borner à traiter les signaux de la crise mais surtout en cernant les causes profondes afin de fournir une réponse plus durable et globale à la crise. Une réponse qui intègre l urgence, le relèvement précoce et le développement local permettrait d affermir les aptitudes du pouvoir et prévenir la fatigue des sponsors. 2 IDEALE, s est déployée dans les quartiers et villages de la Sous-préfecture de Damara où se trouve son antenne locale pour bien investir la situation multisectorielle, en prélude tout ciblage d action à mener. L objectif général, de notre enquête, d identifier, avec et pour la communauté, les réponses multisectorielles, qui intègrent l urgence, le relèvement précoce et le développement local de Damara. De ce qui est des objectifs spécifiques il convient de: Identifier avec et pour la communauté, les réponses du secteur de Wash, qui intègrent l urgence, le relèvement précoce et le développement local de Damara; Identifier avec et pour la communauté, les réponses du secteur de Education, qui intègrent l urgence, le relèvement précoce et le développement local de Damara; Identifier avec et pour la communauté, les réponses du secteur de Protection, qui intègrent l urgence, le relèvement précoce et le développement local de Damara; Identifier avec et pour la communauté, les réponses du secteur de C4D/Télécommunication, qui intègrent l urgence, le relèvement précoce et le développement local de Damara. II - METHODOLOGIQUE ADOPTEE Cette partie est consacrée aux aspects méthodologiques de notre évaluation. Il renferme la délimitation du terrain de l étude, la présentation de la méthode d analyse et des techniques de collecte des données. Deux documents consultés sont les suivants : - Résultats évaluation de l évaluation RRM UNICEF, Bangui, avril Plan local de développement de Damara ( ), Damara, juillet Délimitation sociologique du champ d évaluation avec cibles, les personnes victimes et affectées, les associations (CVD, APE, Comités d eau), les responsables techniques d acteurs publics et privés et enfin les autorités administratives locales. Utilisation de la méthode des sondages ou échantillonnage qui conduit à n examiner qu une fraction de la population (150 personnes). C est ainsi que pour assurer l indépendance des erreurs, c est-à-dire l absence d auto corrélations parmi les données relatives à un même caractère, nous avons choisi l échantillonnage aléatoire simple. Il nous a permis de prélever au hasard et de façon indépendante, 300 individus ou unités d échantillonnage des 100 villages de la sous-préfecture de Damara. Outils de collecte de l information : Pour recueillir des informations précises des enquêtés, nous avons respectivement fait recours à un certain nombre d outils à savoir : - Guide d évaluation RRM UNICEF - Fiche résumé RRM Wash UNICEF - Fiche résumé RRM Education UNICEF - Questionnaire du cluster de protection mis à jour le 23 janvier Question de savoir : «à combien chiffrez-vous les risques et quelles réponses recommandez-vous d urgence?».

3 Nous avons opté pour l administration directe en petits groupes afin de pallier certains problèmes d incompréhension ou de d interprétation liés à la variation du niveau d instruction de certains enquêtés. Entretiens semi directifs de groupe : Nous avons adressé un guide d entretien semi directif de groupe aux autorités locales composé de 4 individus. Il s agit du Maire et deux Conseillers municipaux. L objectif est de recueillir sur un état des lieux des liens sociaux avant les attaques, les opinions du groupe hétérogène sur les réponses humanitaires attendues d urgence à Damara, car c est eux qui gèrent et assurent la gouvernance e locale. Donc, ils sont au courant des conflits, de la cohabitation et des différences nées des combats militaires Dépouillement du questionnaire : A la fin de notre enquête, nous avons fait recours à l outil informatique Excel pour procéder au dépouillement des questionnaires. Ce dépouillement nous a permis d élaborer différents tableaux à partir des données collectées conformément aux objectifs fixés. Ensuite, nous avons croisé les variables contenues dans les questionnaires administrés. III - RESULTATS DE L EVALUATION PROFILAGE DES ENQUETES Ce chapitre est consacré à la présentation des résultats de notre enquête sur le terrain en procédant par une présentation des caractéristiques sociologique de notre population cible Caractéristiques sociologiques des enquêtés. La présentation porte sur l âge et le sexe des enquêtés Age des enquêtés. Repartition des enquêtés par tranches d'âge De 18 à 27 ans De 28 à 37 ans De 38 à 47 ans L âge des individus qui ont fait l objet de notre enquête par rapport aux risques multisectoriels de vulnérabilité à Damara, varie entre 18 à 58 ans. La tranche d âge de 18 à 27 ans, représente 51%. Sur cette base, statistique, nous pouvons dire que la crise a touché en majorité une population jeune Sexe des enquêtés Nous avons constaté une forte représentativité des femmes parmi les enquêtés avec 60% sur 40% d hommes. Avec ce chiffre, nous comprenons très clairement que les femmes représentent la catégorie la plus vulnérable, ont activement participé à l évaluation. Le tableau suivant, présente la répartition des enquêtés par sexe. Repartition des enquêtés par sexe Femmes Hommes Services, purification d eau WASH Sources Puits Forages Nombre des points d'eau Total Nombre des points d'eau A réhabiliter Nombre des points d'eau Fonctionnel Chaque village dispose au moins d une source d approvisionnement en eau. Cependant la question de la potabilité de l eau consommée reste posée parce que : les tuyaux d écoulement d eau des forages ne sont pas protégés ; le manque de clôture laisse les chiens, caprins, ovins lécher les tuyaux et déposer des excréments sur les dalles. les puits et sources ne sont pas purifiés.

4 Stockage d'eau, l'accès aux latrines, le lavage des mains, aux niveaux des ménages A Damara on note sur un total de 7000 ménages, 1703 ont accès aux latrines, 1785 ont des dispositifs lave-mains/savon au moment opportun et 3020 ont un récipient adapté au stockage d'eau. Stockage d'eau, accès aux latrines, lavage des mains, aux niveaux des ménages Récipient à couvercle Accès à des latrines Lave-mains au savon Accès aux latrines, le lavage des mains, aux niveaux des Ecoles et les FOSA. L accès aux latrines, lave-mains, fait partie des Lave-main dans grandes préoccupations aux niveaux des écoles et FOSA à Damara et réclame une attention particulière Lave-main dans Total des acteurs du secteur : Latrines dans FOSA A réhabiliter Dans les écoles, 15/34 latrines et 4/34 dispositifs de lave-mains, sont opérationnels. Latrine dans Ecole Fonctionnel Dans les FOSA, 7/15 latrines et 6/15 dispositifs de lave-mains, sont opérationnels EDUCATION Etats bâtiments scolaires Globalement, 0 bâtiment détruit, 5 pillés inutilisables, 5 autres endommagés réparables et enfin 12 sans dommage.. Etats des bâtiments scolaires Bâtiments sans dommages Bâtiments endommagés Bâtiments pillés et inutilisable Ouverture des écoles avant et après la crise. Ouverture des écoles avant et après la crise 0 Avant la crise 22 Aaprès la crise L arrêt des cours dans les écoles par rapport à la période antérieure à la crise. Les enfants ne vont plus à l'école depuis le mois de décembre 2012, en raison, entre autres, facteurs, perçus d insécurité et de manque d enseignants. Besoin des informations supplémentaires sur la nécessité de la reprise des cours

5 Etat des ressources au Fondamental 1 Lors de notre passage, avec 50/61 enseignants confondus, la ration élèves/maitre est théoriquement de 140 (7000/50), ce qui explique un réel besoin d enseignants à la reprise de cours. Avec ce chiffre il suffit de stimuler les élèves et parents partant des activités de sensibilisation de relance de la cantine scolaire. Etat des ressources au Fondamental 1 Nom bre Nom bre Maitr e Cycle Cycle Ensei gnan t Bancs salles incomplet complet parent qualifié Après la crise Avant la crise Protection générale PROTECTION Risques de protection générale Environ 75% de la population de Damara, se sont déplacés pendant les évènements. Alcool, drogues, etc. Violences femmes/filles Disparitions Arrestations/détentions 0% 10% 20% 30% 40% 50% L actualité des risques de protection générale à Damara, est dominée par les arrestations arbitraires et les disparitions, respectivement selon 45% et 40% de nos enquêtés Protection des enfants De janvier à juin 2013, on compte environ 7000 enfants qui n ont pas fréquenté les cours, 25 cas de viol et autres violences sexuelles et 15 enfants enrôlés Repartition des principales violations de droit de l'enfant de janvier à juin 2013 Non accès aux services éducatifs Viol et/ou autres violences Recrutement par les sexuelles groupes armés Protection des femmes Repartition des besoins de protection Accès aux Accouchements consultations assistés pré/post natales Les besoins spécifiques de protection des femmes à Damara, sont l accès aux consultations pré/postnatales 52%, les accouchements assistés 48%.

6 Violences basées sur le genre (VBG) Les principales violences basées sur le genre (VBG), les plus fréquentes dans les quartiers et villages de Damara, sont les suivantes : agressions physiques, maltraitances psychologiques ou émotionnelles, agressions sexuelles, déni de ressources, d opportunités ou de services 20% et viols. Les principaux auteurs des VBG sont les seleka, membres de la famille ou de l entourage. Les histogrammes suivants montrent une baisse des VBG de janvier à mars. Par contre elles ont augmenté de mars à juin Ceci s explique par la rentrée massive des seleka après la prise de pouvoir du 24 mars Janvier Février Mars Avril Mai Juin Repartition des VBG, de janvier à juin 2013 Agressions physiques Maltraitances Agressions sexuelles Déni Viols Sécurité physique Janvier Février Mars Avril Mai Juin Evolution des risques de sécurité de janvier à juin 2013 Vol à main armée Pillage Occupation arbitraire des maisons Total A Damara, les gens ne se sentent pas assez en sécurité à cause de la circulation des seleka avec les armes parmi les civils. Les principaux problèmes de sécurité auxquels sont confrontés les membres de la communauté sont les vols à main armée, suivis des pillages, qui ont beaucoup augmenté après la prise de pouvoir du 24 mars On compte à ce jour 51 maisons incendiées dans les villages situés sur l axe Damara-Bogangolo (Binima PK 10 : 07 maisons, Mbourouba PK 25 : 15 maisons et Bozo PK 110 : 29). Les catégories de personnes les plus exposées à l insécurité physique sont les femmes 37%, les jeunes filles 30%, les enfants / mineurs, en particulier les enfants non accompagnés 20% et les pauvres 13%. Pauvres Personnes plus exposées à l'insécurité physique Femmes Jeunes filles Personnes plus exposées à l'insécurité physique Enfants / mineurs Services sociaux de base Les populations de Damara ont accès aux services minimum de santé.

7 3.5 - C4D ET TELECOMMUNICATION Structures fonctionnelles La Commune dispose de (3) réseaux de téléphone mobile GSM (TELECEL, MOOV, ORANGE) au centre ; ces réseaux couvrent un rayon de 20 Km environs. Toutefois, certains villages arrivent à capte le signal par endroit. Ce qui permet un désenclavement numérique et faciliter le rapprochement des hommes tant à l intérieur qu à l extérieur. Les réseaux téléphoniques mobiles ont changé certains paramètres dans la vie des villageois. C est ainsi que, même certains villages où il n y a pas de réseaux, certaines personnes disposent d un téléphone. Les responsables de services et les opérateurs économiques utilisent abondamment le téléphone dans le cadre de leurs activités Organisations communautaires Les associations locales telles que : AJDLS, ACDLS, Antenne RECAPEV mènent les activités de sensibilisation au dépistage volontaire et la prise en charge des personnes vivant avec les VIH/SIDA. La CARITAS paroissiale reçoit des multiples petits dons pour les indigents et appui la production agricole, pour ainsi contribuer à la lutte contre la pauvreté. L UPDEA (Union Pour le Développement Agro-pastotal) : Appuie les groupements féminins. Au niveau des secteurs Sociaux, on trouve des comités de gestion (COGES), des Formations Sanitaires(FOSA). Le Comité communal, et 10 comités villageois de développement (CVD), qui appuient le processus de développement communautaire et d aide aux groupes vulnérables, les groupements villageois de la commune. Des comités villageois d eau, assainissement et Hygiène (CVEAH), mènent la sensibilisation dans les 85 villages et quartiers à Damara. Associations des Parents d Elèves (APE) actives dans les 22 écoles primaires de la Sous-préfecture de Damara Voies routières La population est répartie dans 85 quartiers/ villages dont 15 quartiers. Ces quartiers et villages se répartissent à leur tour en 14 groupement et aires de découpage ci-dessous : - Axe Damara-Bangui 35 Km compte 22 villages, - Axe Damara-Sibut 58 Km avec 20 villages, - Axe Damara-Bogangolo 60 Km totalise 15 villages, - Axe Damara-Secteur Oumba 120 Km en amont et 150 Km en aval, avec 28 villages. Deux routes nationales se rejoignent à Damara : - La Route Nationale N 2 qui part du village Nguerengou au village Malengapo, soit une distance de 97 Mm, elle est praticable parce que bitumée ; - la Route Nationale N 4 qui part de Damara centre à Botili, axe Bogangolo ; soit une distance de 47 Km d une praticabilité moyenne, car en latérite dégradée par endroits. La piste rurale qui va du village Kpabara au secteur Oumba-bord sur une distance de 50 Km est très dégradée. On retrouve le même état de dégradation avancée le long du fleuve Oubangui allant d Oumba amont (Macédoine) à Oumba aval (Gbakolongo) sur distance de 150 Km si bien que le déplacement se fait en pirogue ou grâce aux rares hors-bords qui dessinent le secteur. Cette situation ralentit fortement la circulation des biens et de personnes du fait de coût très élevé de rares occasions. C est aussi une situation inquiétante pour la santé de la population (8 500 habitants) ne disposant d aucun centre de santé fonctionnel RECOMMANDATION Pour garder le caractère objectif des besoins à la base, nous vous présentons les recommandations de la communauté de Damara par secteur d activité, qui a répondu à la question de savoir : «quelles sont vos recommandations d actions sectorielles d urgence?»

8 3.6.1 Wash. 60% 40% 20% 0% Projets du secteur wash attendus à Damara Réhabilitation/construction sensibilisation kits NFI Ces histogrammes présentent à 50% et 35%, la sensibilisation et la réhabilitation/construction des infrastructures d EAH, projets d urgence attendus à Damara. Intérêts intersectoriels des projets : Contribue au bon déroulement des activités des secteurs de l Education, la Santé, la Sécurité alimentaire, la Nutrition Education 30% 20% 10% 0% Projets d'urgence du secteur de l'éducation attendus à Damara Sensibilisation Psychosocial Enseignants kits scolaires Réhabilitation Damara demande respectivement les projets de la sensibilisation de tous à la reprise des cours, suivie de l appui psychosocial des enseignants et des élèves, les enseignants. Enfin les kits et la réhabilitation des bâtiments. Intérêts intersectoriels des projets : Développement du capital humain à la réduction des risques de la Santé, la Sécurité alimentaire, la Nutrition, l Eau-Hygiène-Assainissement, de la protection civile, Protection Projets du secteur de protection attendus à Damara 40% 35% 30% 25% Prise en charge Sensibilisation Monitoring La prise en charge et la sensibilisation des victimes, sont les projets attendues d urgence pour réduire les risques de protection de la population civile à Damara. Intérêts intersectoriels des projets : Défense des droits de l Homme à l Eau-Hygiène-Assainissement de base, aux soins de Santé appropriés, à la sécurité Alimentaire, à une alimentation équilibrée, à un logement décent, à la libre circulation des personnes et des biens C4D et Télécommunication 100% 50% 0% Projets du secteur C4D et télecommunication, attendus à Damara Formation OCB Pistes rurales Pour ce secteur la population réclame un renforcement de capacités techniques des OCB en techniques de communication d abord et ensuite la réhabilitation des pistes rurales dégradées. Intérêts intersectoriels des projets : Eveil des consciences sur les questions multisectorielles de Santé, l Education, Eau- Hygiène-Assainissement, Abri, Sécurité Alimentaire, Nutrition, Protection civile Personnes de contact à Damara : Mr Alfred ZOUMANDE, Conseiller municipal, tél :

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