Météo, Pollution de l Air l SMF 30 Mars Philippe LAMELOISE AIRPARIF. Enjeux locaux
|
|
- Pascale Petit
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Météo, Pollution de l Air l et Climat SMF 30 Mars 2009 Philippe LAMELOISE AIRPARIF Qualité de l air l et Climat; Enjeux locaux
2 Changement climatique : Un enjeu planétaire et une mobilisation politique à tous les niveaux. - Au niveau local :Forte mobilisation des acteurs locaux Foisonnement des Plans-Climat Territoriaux et des indicateurs CO2 ou Energie : Région, Département, Communauté de commune, Commune en terme d évaluation et de planification d actions. -Il existe des interactions locales entre changement climatique et qualité de l air.peu connues des acteurs -Il existe aussi des convergences entre certaines actions de lutte contre le changement climatique et l amélioration de la qualité de l air, mais aussi des antagonismes. -Le cloisonnement des sujets et des traitements a conduit à négliger ces antagonismes.
3 Les problèmes locaux de qualité de l air sont ils derrière nous? -Les vieilles questions d impact de la qualité de l air sur la santé et l environnement demeurent et la sensibilité du public urbain reste forte là ou le problème est fortement ressenti. -Des progrès de qualité de l air sont constatés pour certains polluants classiques, mais des parts importantes de population restent soumises à un air qui n est pas de qualité conforme aux critères de l UE, particulièrement à proximité des sources ou dans les zones denses. -De nouvelles questions de qualité de l air émergent: COP- Pesticides, nano particules,. -Des difficultés des projections à moyen terme pour la qualité de l air sont constatées: -Les prévisions 2002 pour 2010 étaient trop optimistes : Performance des modèles? Optimisme des hypothèses? Modifications du climat?
4 Respect des critères de l Union Européenne : l enjeu important de gestion de la qualité de l air! -Permet de juger des progrès réellement accomplis; en lien avec l impact chronique sur la santé. -Engagement national et obligation d actions pour les atteindre. Mise en œuvre de Plans Locaux pour les atteindre (PRQA, PPA), risque de contentieux pour la France en cas de retard. En Ile-de-France, non respect de la réglementation ou des objectifs de qualité : «Dioxyde d azote, Particules PM10, Ozone, Benzène»
5 Dioxyde d azote :le quart de la population francilienne respire un air qui excède les normes UE. Objectif de qualité annuel largement dépassé: Dans l air ambiant comme à proximité du trafic (258 km2 de superficie de dépassement) proximité du trafic: des niveaux stables et deux fois supérieurs aux normes 3,2 millions de Franciliens concernés µg/m 3 Valeur limite 2008 Objectif de qualité (valeur limite 2010) 2008 Zones de dépassement de l objectif de qualité de 40 µg/m 3 (zones oranges et rouges) pour le dioxyde d azote, aussi bien loin du trafic que le long des axes routiers Valeur limite annuelle dépassée sur une part importante du réseau routier régional (1900 km; 20%)
6 Les sites fixes sous estiment certaines expositions. Les automobilistes plus pollués que les piétons
7 Le Plan de Protection de l Air Ile-de-France : Respecter les objectifs de qualité en 2010? Le cas des «NOx» Transports routiers 230 t/j - 50 % -32 % prévu -50 % localement nécessaire! 115 t/j Autres sources 220 t/j - 15 % Réglementations «engagées» 187 t/j Plan de Protection de l Atmosphère : Incineration : - 3 % Chauffage : -3 % Aéroports Trafic
8 Les particules (PM10 et PM2.5) 4 sources d importance très variable : - émissions directes dont 1/3 provenant du trafic diesel mais pas seulement (1/3 de l industrie) - remise en suspension par le vent et le trafic - transformation chimique des polluants gazeux - transports longues distances Effet santé = tabagisme passif, 9 mois de perte d espérance de vie, décès prématurés (UE)
9 Particules en suspension PM10 Tendances Une baisse générale (fond et proximité) depuis 1997 mais stable depuis 2000 et remontée en 2007 : + 6 à 8% (météo + changement méthode de mesure)
10 Risque de dépassement en Ile-de-France de la Valeur Limite journalière PM10 (50 µg/m3, 35 jours/an) 3,9 millions (448 km2)de franciliens concernés Risque de dépassement des 35 jours supérieurs ou égaux à 50 µg/m 3 en PM10 Dépassement certain 1,3 million de Franciliens concernés Dépassement vraisemblable Dépassement peu probable PM PM Aucun risque En 2008, dép. 50 µgm3 : -Trafic : 66 à173 jours -Fond : 7 j à14 jours
11 Valeurs de références ; Particules PM 2.5 Année 2008 station trafic stations urbaines Recommandation OMS : 10 µg/m3 Vitry-sur-Seine 14 Norme américaine EPA : 15 µg/m3 Gennevilliers 14 Valeur limite européenne 2020 : 20 µg/m3 Paris 1er les Halles 16 Valeur limite européenne 2015 : 25 µg/m3 Valeur cible européenne 2010 : 25 µg/m3 Bobigny 18 Valeur limite européenne µg/m3 Boulevard périphérique Auteuil µg/m3
12 Les poussières en Rhône-Alpes Un nombre trop important de journées polluées en hiver Nb jours Particules PM10 en 2007: 45% des sites permanents de surveillance dépassent la valeur limite relative au nombre de jours pollués (hiver) 16% de la population au delà de la Valeur limite journalière.
13 Qualité de l air et changement climatique Le changement climatique a des impacts sur la qualité de l air et réciproquement : -Effets directs sur les polluants secondaires Ozone, Particules,.? -Niveaux moyens? Fréquence et intensité des épisodes? -Glissement temporel du climat par rapport aux pratiques, modification des émissions. -Des conséquences indirectes sur le respect des Valeurs Réglementaires (NO2) -L ozone et les particules ont des effets sur le changement climatique
14 Le climat agit sur les niveaux d ozone Valeur cible ozone en Ile-de-France Nombre de jours Nombre de jours de dépassement du seuil de la valeur cible européenne en ozone (O 3 ) (seuil de 120 µg/m 3 sur 8 heures) en Ile-de-France de 2000 à 2007
15 Évolution Chronologique de l ozone Une augmentation constante des niveaux de fond les épisodes semblent diminuer d intensité Evolution des niveaux moyens annuels d'ozone (O 3 ) dans l'agglomération parisienne et en zone rurale régionale de 1992 à 2005 stations rurales stations de l'agglomération µg/m Stations urbaines: doublement des niveaux en 15 ans
16 NO2 : niveaux de fond et niveaux àproximitédu trafic, deux tendances distinctes MAXIMUMS DES MOYENNES ANNUELLES DE DIOXYDE D'AZOTE (NO2) µg/m Stations trafic Stations de fond Valeur limite 2010 : 40 µg/m3 Valeur limite 2007 : 46 µg/m Loin de la circulation: une tendance à l amélioration A proximité du trafic: des niveaux stables et 2x supérieurs à la réglementation
17 Stabilité du Dioxyde d azote près du trafic Des causes multiples. Augmentation de l impact direct NO2: -L effet de l accroissement des niveaux moyens d ozone dans l agglomération? -Une modification du trafic journalier? -Une modification de la spéciation(no/no2) moyenne des émissions des véhicules? (Dieselisation?,Effet des catalyseurs d oxydation?, Effet des FAP?)
18 TEOM Particules volatiles 50 µg/m3 = seuil de la valeur limite journalière : 35 dépassements maximum par an 0 31/03/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /04/ /05/ /05/ /05/ /05/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /12/ /03/ /03/ /12/ /12/2007 Avril Episodes intenses de pollution par les particules PM TEOM Particules volatiles 50 µg/m3 = seuil de la valeur limite journalière : 35 dépassements maximum par an µg/m3 µg/m3 Décembre 2007
19 Deux épisodes de PM10 «historiques», de nature très différentes: Décembre 2007: faible part volatile,stabilité atmosphérique et combustion (secteur tertiaire dans et hors IDF ) Bois = 90 % des particules émises du sect résidentiel (24% des émissions totales)(inventaire IDF 2005) Combustion cellulose = 25% des particules dans Paris ( INERIS) Avril 2007: Forte part volatile, Nitrate d Ammonium (Responsabilité du secteur agricole à la dimension du continent?) (étude INERIS) Rôle du décalage climat et pratiques agricoles? Températures estivales inusitées au cours de la période d épandage des engrais?
20 Traceurs de combustion de biomasse, comparaison entre villes Concentration (ng/m3) Grenoble Strasbourg Lille Paris Levoglucosan Mannosan Galactosan ASCOPARG Diapositive n 20 Institut National de l Environnement l Industriel et des risques
21 Qualité de l air et changement climatique Des actions correctives «Climat»modifient potentiellement les émissions de certains polluants et la qualité de l air : Synergie et antagonisme des différents problèmes (Climat QA) -Economies d énergie toujours positives. - Bois énergie? - -Agrocarburants?
22 Contribution du chauffage au bois dans les émissions en PM2.5 et PM10 En Ile-de-France
23 Bois-énergie et qualité de l air, l Emissions primaires de PM10 (chaufferie urbaine au bois inclus dans Energie) CITEPA PPA Grenoble Rhône-Alpes National PM 10 12% 2% 29% 28% 29% PM 10 15% 2% 16% 44% 20% 3% PM 10 26% 3% 4% 10% 53% 4% Usage total du bois = 27 % des émissions totales ASCOPARG Chauffage domestique au bois = 20% des émissions totales ASCOPARG Chauffage domestique au bois = 10% des émissions totales ASCOPARG Diapositive n 23
24 Bois-énergie et qualité de l air, l Emissions de 4 HAP (chaufferie urbaine au bois inclus dans chauffage au bois) CITEPA 4 HAP PPA Grenoble Rhône-Alpes National 2% 64% 15% 2% 81% 4 HAP 4% 29% 3% 4 HAP 16% 1% 11% Usage total du bois = 80% des émissions totales ASCOPARG Chauffage au bois = 64 % des émissions totales 4 industries émettent la quasi-totalité de la part industrielle ASCOPARG Chauffage au bois = 72 % des émissions totales 72% ASCOPARG Diapositive n 24
25 Bois et HAP; En montagne aussi HAP totaux HAP T C Vercors Benzo[a]pyrène 3 Benzo[a]pyrène à Grenoble BaP en ng.m /01/07 05/02/07 05/03/07 05/04/07 05/05/07 05/06/07 05/07/07 05/08/07 05/09/07 05/10/07 05/11/07 05/12/07 ASCOPARG Diapositive n 25
26 Qualité de l air et changement climatique Mise en œuvre future et suivi des futurs Schémas Régionaux Air Climat Energie Rôle des structures de surveillance de la qualité de l air: De par leur implication locale, leur structure fédérative, leur savoir, leur objet, et les outils dont elles disposent, les structures locales de surveillance sont naturellement un acteur d information et d évaluation en matière de GES..
27 Les AASQA, à l interface des demandes et utilisations PR(C)QA PPA PDU BDD émissions BDD énergies PCT PCET SRACE
28 Organisation en Alsace Conférence Régionale de l Energie en Alsace Présidée par la Région et la DRIRE Coordination : ADEME Alsace PCT / Pays ASPA Programme ENERGIVIE Piloté par la Région et l ADEME Alsace GT Etudes énergétiques Données émissions Données énergies Accompagnement Conseil Promotion des économies d énergie et des EnR Aides financières
29
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN
ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailLIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détailBILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011
18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailDOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES
DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions
Plus en détailCARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012
CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux
Plus en détailAppuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports
Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports Jérôme CICILE Transports, Mobilité, Qualité de l Air ADEME Direction Régionale PACA ORT- Avril 2015 De l évaluation des filières énergétique
Plus en détail] sommaire. > N Spécial > Juin 2009 > EDITO P. 2 P. 3 P. 4-6 P. 7-8 P. 9 P. 10-11. P. 12 L union fait la force Les laboratoires spécialisés
> N Spécial > Juin 2009 > EDITO L ASPA dans l air du temps Il est des intuitions qui portent en elles le germe d une œuvre remarquable. «L alliance locale pour surveiller la qualité de l air», telle était
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailTechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr
Réf. : 090 510 082A V1 Valbonne Sophia Antipolis TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Zone d Aménagement Concertée (ZAC) des Clausonnes
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailPrise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air.
Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Bilan des études d impact sanitaires de la pollution atmosphérique urbaine réalisées Ce document a été réalisé
Plus en détailQualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE
Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE DERBEZ Mickaël Chef de projet CSTB/OQAI Objectifs
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailMÉMOIRE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION SUR L EAU, L ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LES GRANDS PARCS
MÉMOIRE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION SUR L EAU, L ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LES GRANDS PARCS Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique 484, route 277, Saint-Léon-de-Standon,
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailSurveiller la qualité de l air avec les élèves
Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,
Plus en détailZoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation
Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détailIntroduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5
EVALUATION DE LA QUALITE DE L AIR SUR LA ZONE DU PORT DE NICE Janvier - Mars / Août - Septembre 25 SOMMAIRE Introduction 1 1/ Présentation de l étude 2 1.1/ Contexte environnemental du port 2 1.2/ Mode
Plus en détailExposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles
Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé
Plus en détailConcerne : Avis relatif à la problématique de l ozone Note de cabinet CAB/RD/RW/JPD/DD/2003 du 27.08.2003 N CSH : 7915
SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement Bruxelles, le 29.09.2003 Monsieur le Ministre Demotte CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE Concerne : Avis relatif à la problématique de l
Plus en détailRencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?
Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Rencontre des savoirs Bron 14 mai 2013 L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?
Plus en détailDÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS
DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailPROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES
PROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES 1 LE BUS DU FUTUR EST SUISSE Grande première suisse et même mondiale, TOSA est un bus articulé à batterie rechargeable pour la desserte des villes. L'énergie de propulsion
Plus en détailPrésentation du Fonds d investissement pour les énergies renouvelables Journées PCET 15 Avril 2014
Présentation du Fonds d investissement pour les énergies renouvelables Journées PCET 15 Avril 2014 Présentation du fonds OSER est un fonds de nouvelle génération réunissant des capitaux publics et privés:
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailGrenoble ZAC de Bonne
Grenoble Evaluation énergétique 2010/2011/2012 Séminaire, directeurs de coopératives d HLM janvier 2014 4 rue Voltaire, 38000 Grenoble 04 76 00 19 09 www.alec-grenoble.org Association créée en 1998 En
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailSurveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité
Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité NOVEMBRE 2010 Tatiana Macé (LNE) François Mathé (EMD) Eva Léoz-Garziandia (INERIS) PREAMBULE Le Laboratoire Central
Plus en détailChauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve
Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailL évolution des parts modales des déplacements domicile-travail
Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailBilan de la qualité de l air en Franche-Comté www.atmo-franche-comte.org
Bilan de la qualité de l air en Franche-Comté www.atmo-franche-comte.org Sommaire I. Bilan social d ATMO Franche-Comté 4 I.1. Point sur les mouvements de personnel 4 I.2. Accueil de stagiaires 4 3 I.3.
Plus en détailPAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?
PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g
Plus en détailIncitations financières véhicules 2014
Marque : Consommation de carburant C02 inférieures ou égales à 100 g/km de 101 à 120 g/km VOITURE Énergie : Essence Les déplacements Comprendre Incitations financières véhicules 2014 Pour des véhicules
Plus en détailBILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP
BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP Sommaire 1/ DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE CONCERNÉE 2 2/ ANNÉE DE REPORTING DE L EXERCICE ET L ANNÉE DE RÉFÉRENCE 3 Utilisation d énergie sur
Plus en détailFAVORISER LES DEPLACEMENTS ET LES TRANSPORTS LES MOINS POLLUANTS EXEMPLES, PROJETS, PROSPECTIVES
L EXEMPLE DE LA VILLE DE FRIBOURG ET DU QUARTIER VAUBAN EN ALLEMAGNE Responsables de 40 % des émissions de CO 2,, les transports routiers ont un impact non négligeable sur le réchauffement planétaire,
Plus en détailL exercice de prospective de l ADEME «Vision 2030-2050» Document technique 1 / 297
L exercice de prospective de l ADEME «Vision 2030-2050» Document technique 1 / 297 INTRODUCTION 10 SYNTHESE 12 PARTIE A LES ENJEUX D AUJOURD HUI ET DE DEMAIN 13 1. Les enjeux énergétiques et environnementaux
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailSmartgrid: comment passer du démonstrateur au projet opérationnel?
Smartgrid: comment passer du démonstrateur au projet opérationnel? - Qu entendre par «Smart grids»? - Des exemples concrets de démonstrateurs - Des solutions variées pour des enjeux différents - Comment
Plus en détailL Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode
L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels Note de méthode La place qu occupe Crédit Logement dans le marché des crédits immobiliers (hors les rachats de
Plus en détail1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km
CONSOMMATIONS DE CARBURANTS DES VOITURES PARTICULIERES EN FRANCE 1988-2005 Direction Générale de l'énergie et des Matières Premières Observatoire de l économie de l énergie et des matières premières Observatoire
Plus en détailQuelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports?
Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports? Le regard de Gazprom Marketing and Trading France 29 octobre 2014 Sommaire 1. Les atouts du GNV pour les transitions énergétiques
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailmise à jour: septembre 2015 COMMENTAIRES
mise à jour: septembre 215 rrouvez le dail de toutes ces annonces sur notre prix/ GRENAY ZI GRENAY TERRAIN INDUSTRIEL ancienne gare d'heyrieux A3848 5 ST PIERRE DE CHANDIEU TERRAIN INDUSTRIEL A BATIR ENTREE
Plus en détailPlan Climat énergie Territorial. notre défi pour l avenir du territoire!
Plan Climat énergie Territorial notre défi pour l avenir du territoire! La Communauté Urbaine en 2050... Celle de nos enfants, petits-enfants,... Quels objectifs pour ce Plan Climat? Vous rêvez pour eux
Plus en détailResponsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON
Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...
Plus en détailEvaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur
Air intérieur Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Décembre 2008 Programme 2008 C. MARCHAND PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailRépondre aux nouveaux enjeux de la filière automobile française. Dossier de presse
Répondre aux nouveaux enjeux de la filière automobile française Dossier de presse Octobre 2014 Après de trop longues années de crise, un léger vent d optimisme souffle enfin sur notre industrie automobile.
Plus en détailECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en
ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,
Plus en détailCommuniqué de presse. Le moteur à explosion traditionnel continue à récolter tous les suffrages
Communiqué de presse Le moteur à explosion traditionnel continue à récolter tous les suffrages La voiture électrique demande une stratégie à long terme et le soutien des pouvoirs publics Les fausses idées
Plus en détailSmart grids for a smart living Claude Chaudet
Smart grids for a smart living Claude Chaudet 1 Institut Mines-Télécom Les smart grids en quelques mots Modernisation des réseaux électriques Utilisation des technologies de l information et de la communication
Plus en détail1. Utilisation conforme à l usage prévu. 2. Propriétés. 3. Montage. Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101
310 164 01 Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101 1. Utilisation conforme à l usage prévu Le capteur sert à la détection de dioxyde de carbone (CO 2 ) et de la température dans l espace d habitation. La teneur
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour
Plus en détailLa gamme SAM ARGOPOL
La gamme SAM ARGOPOL La gamme : SAM ARGOPOL 2 Les systèmes d acquisition SAM ARGOPOL La gamme SAM ARGOPOL se compose d un ensemble de stations d acquisition de données. Robustes, fiables, modulaires, elles
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailEDF FAIT AVANCER LA MOBILITÉ ÉLECTRIQUE. Contact presse marie.allibert@edf.fr Tél. : 01.40.42.51.40
DOSSIER DE presse 1 er octobre 2014 EDF FAIT AVANCER LA MOBILITÉ ÉLECTRIQUE Contact presse marie.allibert@edf.fr Tél. : 01.40.42.51.40 en bref En quelques décennies, les transports ont évolué pour desservir
Plus en détailTOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée
TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée COnCEnTRÉ DE TECHnOLOGiE Maîtrisez vos consommations grâce au concentré de technologie TOTAL EXCELLIUM DIESEL ) ) Une meilleure protection
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailMétrologie des particules PM 10 et PM 2.5. Caractérisation Chimique des Particules. Veille sur les études de sources.
Métrologie des particules PM 10 et PM 2.5 Caractérisation Chimique des Particules Veille sur les études de sources Décembre 2009 Programme 2009 L. CHIAPPINI PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance
Plus en détailBILAN ROUTIER UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! 7 principales causes de collisions à Montréal. Portrait de la sécurité routière et de la circulation
BILAN ROUTIER Portrait de la sécurité routière et de la circulation 2010 UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! Le partage de la route en milieu urbain est l enjeu qui pose le plus grand défi autant aux usagers
Plus en détailStratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne
Stratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Logistique urbaine : Sogaris imagine des solutions adaptées à la ville de demain Le 16 avril 2014 Contacts
Plus en détailASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson. 16 mars 2015
ASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson 16 mars 2015 Plan de présentation Présentation générale du projet Par M. Jocelyn Leblanc, directeur de projets STM Lignes directrices conception
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailChaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial
Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris
Plus en détailDIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES
DIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES Sommaire INTRODUCTION...5 I. CONSOMMATIONS ENERGETIQUES...6 Industrie...6 Agricole...7 Transports...7 Résidentiel
Plus en détailLe banquier idéal des Français et des Américains
pour Le banquier idéal des Français et des Américains Février 2011 1 La méthodologie 2 2 Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Banque Echantillons : France : Echantillon de 1000 personnes,
Plus en détailVersion définitive approuvée après enquête publique
Secteurs 3 et 4 de Marne-la-Vallée et communes environnantes Phase 3 Version définitive approuvée après enquête publique ROLAND RIBI & ASSOCIES Ingénieurs-conseils et urbanistes s.à.r.l. 15, avenue de
Plus en détailRésumé de l étude réalisée par CO 2 logic pour le compte de la STIB
Comparaison des émissions de CO 2 par mode de transport en Région de Bruxelles-Capitale Résumé de l étude réalisée par CO 2 logic pour le compte de la STIB 100% Papier recyclé Janvier 2008 Résumé Déplacer
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailLE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE
LE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE MARDI 15 OCTOBRE 2013 DOSSIER DE PRESSE CONTACTS PRESSE POUR EN SAVOIR PLUS Jeanne DEPERROIS 03 83 92 89 71 06 28 92 26 20 jeanne.deperrois@rte-france.com
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailUn Schéma pour engager la région dans la transition énergétique
2020 2030 2050 Un Schéma pour engager la région dans la transition énergétique Schéma Régional Climat Air Énergie Introduction Introduction La raréfaction programmée des énergies fossiles, le coût de l'énergie,
Plus en détailInstallations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)
Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie
Plus en détailMESURES DE BRUIT A l ÉTAT INITIAL
DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER UNE UNITE DE METHANISATION DE MATIERES ORGANIQUES Siège social : FRANCE BIOGAZ VALORISATION 12 rue Finkmatt 67000 STRASBOURG Tél. : 03 88 23 47 72 Fax : 03
Plus en détailLA nouvelle station service. économies. Green up prises et bornes de recharge. (durables) rechargeable
1 LA nouvelle station service économies (durables) Green up prises et bornes de recharge pour VÉHICULE ÉLECTRIQUE OU HYBRIDE rechargeable 2 VÉHICULES ÉLECTRIQUES / HYBRIDES RECHARGEABLES Un marché qui
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailAPRÈS LONDRES, GRENOBLE EXPÉRIMENTE LE PAIEMENT PAR CARTE BANCAIRE SANS CONTACT SUR UNE LIGNE DE BUS
APRÈS LONDRES, GRENOBLE EXPÉRIMENTE LE PAIEMENT PAR CARTE BANCAIRE SANS CONTACT SUR UNE LIGNE DE BUS Le paiement sans contact dans la Métropole grenobloise est lancé lundi 21 septembre sur la ligne Chrono
Plus en détailpar Maxime Lalonde-Filion
ANALYSE DES IMPACTS ÉNERGÉTIQUES ET ENVIRONNEMENTAUX ASSOCIÉS À L'IMPLANTATION MASSIVE DES VÉHICULES HYBRIDES ÉLECTRIQUES RECHARGÉS PAR LE RÉSEAU (PLUG-IN HYBRID ELECTRIC VEHICLE : PHEV) AUX ÉTATS-UNIS
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détail