Surveillance des métaux dans l air autour de la raffinerie située à Grandpuits Airparif Décembre 2009 Page 1 sur 26
|
|
- Brigitte Lemieux
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Page 1 sur 26
2 Surveillance de la Qualité de l Air en Île-de-France Surveillance des métaux dans l air autour de la raffinerie de Grandpuits Décembre 2009 Etude réalisée par : Airparif, association de surveillance de la qualité de l air en Ile-de-France 7, rue Crillon PARIS Tél. : Fax : «Le bon geste environnemental : N'imprimez ce document que si nécessaire et pensez au recto-verso!» Page 2 sur 26
3 Sommaire Introduction...5 I. Contexte de l étude...6 I.1. Description du secteur d étude...6 I.2. Normes de la qualité de l air...6 I.3. Métaux mesurés...8 II. Mise en œuvre de l étude...9 III. II.1. Moyen de mesure...9 II.2. Plan d échantillonnage...9 II.3. Période de mesure...11 Commentaires météorologiques...12 IV. Résultats de mesure...13 IV.1. IV.2. Qualification des niveaux moyens observés...13 Impact selon le secteur de vent...16 Conclusion...20 ANNEXE 1 : Roses de vent durant chaque série de mesure relevées à Melun...22 ANNEXE 2 : Résultats des mesures par site lors des neuf semaines de la campagne...24 Page 3 sur 26
4 Glossaire Généralités Emissions : rejets de polluants dans l atmosphère (exprimées en unité de masse). GPL : gaz de pétrole liquéfié. Station de fond : station de mesure située suffisamment loin des sources locales identifiées, comme les axes routiers ou les grandes sources industrielles, pour ne pas être directement influencés par ces dernières. Les stations de fond caractérisent l ambiance générale de la pollution urbaine d un secteur et représentent une référence basse des niveaux de pollution rencontrés, pour un secteur donné. Normes O.M.S. : Organisation Mondiale de la Santé. Seuil d évaluation minimal (SEMI) : correspond au niveau en dessous duquel il est possible de se borner à l emploi de techniques de modélisation ou d estimation objective pour évaluer la qualité de l air ambiant. Seuil d évaluation maximal (SEMA) : correspond au niveau en dessous duquel une combinaison de mesures et de techniques de modélisation peut être employée pour évaluer la qualité de l air ambiant. Valeur cible : niveau fixé dans le but d éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine et/ou l environnement dans son ensemble, à atteindre dans la mesure du possible sur une période donnée. Valeur guide : niveau fixé dans le but d'éviter davantage à long terme des effets nocifs sur la santé humaine et/ou l'environnement dans son ensemble, à atteindre dans la mesure du possible sur une période donnée. Valeur limite : niveau fixé sur la base des connaissances scientifiques, dans le but d éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine et/ou l environnement dans son ensemble, à atteindre dans un délai donné et à ne pas dépasser une fois atteint. Polluants AS : arsenic Cd : cadmium Cr : chrome Cu : cuivre HAP : hydrocarbures aromatiques polycycliques Ni : nickel Mn : manganèse Pb : plomb Zn : zinc PM10 : particules inférieures à 10 µm Page 4 sur 26
5 Introduction Pour les métaux, comme pour tous les polluants réglementés au niveau européen (hormis l ozone), le choix des méthodes de surveillance minimales à mettre en œuvre (mesure seule, couplage mesure et modélisation, modélisation seule, mesures indicatives) repose sur une évaluation préliminaire qui permet de positionner les niveaux de polluants dans chaque zone de surveillance définie au niveau européen par rapport à des seuils d évaluation. En Île-de-France, des mesures de métaux ont été initiées en 1998, bien avant la parution de la directive, afin d établir une première évaluation des niveaux couramment rencontrés. Ces mesures ont été centrées sur l agglomération parisienne en situation de fond et en proximité au trafic routier. L historique de données disponible montre que les teneurs relevées sont inférieures au seuil d évaluation minimum, ce qui conduit à l absence d obligation de mesure en station fixe dans l agglomération. Cette évaluation ne concerne toutefois que les situations générales (ambiance de fond) et de proximité au trafic automobile. AIRPARIF a jugé, par estimation objective reposant sur les niveaux de fond mesurés dans l agglomération, que la zone non agglomérée ne présentait pas de risque de fortes valeurs dans son ensemble (fond). Il est cependant nécessaire de vérifier les teneurs de métaux au voisinage de zones industrielles. Afin de fournir une évaluation préliminaire des niveaux atmosphériques des métaux autour des principaux émetteurs franciliens, un travail de recherche 1 des sources émettrices des quatre métaux visés par les directives a été engagé par AIRPARIF et une liste des sites industriels d intérêt a été établie. Les émetteurs ont été retenus selon la quantité annuelle des rejets estimés (informations DRIRE), tant pour l Île-de-France que pour la France dans son ensemble lorsque les informations étaient disponibles. Suite à l identification des principales sources de métaux en Île-de-France, un plan de surveillance pluriannuel dans des zones potentiellement plus chargées autour d émetteurs spécifiques a été défini pour cibler les mesures de métaux autour des zones industrielles les plus pertinentes. La campagne de mesure autour de la raffinerie Total de Grandpuits (77) est la deuxième campagne de mesure, après celle réalisée en 2008 à proximité de la zone industrielle de Montereau-Fault-Yonne (77), où se trouve notamment une aciérie électrique. 1 «Surveillance des métaux dans l air ambiant» - juin Page 5 sur 26
6 I. Contexte de l étude I.1. Description du secteur d étude La raffinerie est implantée sur la commune de Grandpuits-Bailly-Carrois (Seine-et-Marne), dans le canton de Mormant et occupe plus de 200 hectares sur le territoire communal peuplé de 979 habitants 2. Chaque année, la raffinerie transforme environ 4,8 millions de tonnes de pétrole en produits finis : GPL, carburants (essence, gazole, fioul domestique, kérosène pour l aviation, combustibles lourds pour l industrie), bitumes pour l industrie routière et bases (naphta, propène, soufre) pour la pétrochimie. La Figure 1 illustre le plan de situation et la localisation de la raffinerie de Grandpuits. raffinerie Figure 1 : Plan de situation autour de la raffinerie de Grandpuits. Carte IGN 1/ ème I.2. Normes de la qualité de l air La directive européenne /107/CE du 15 décembre 2004, publiée conformément à la directive cadre de 1996, s intéresse spécifiquement aux HAP et aux métaux. Trois métaux (en plus du plomb déjà réglementé) sont concernés : l'arsenic, le cadmium et le nickel. Des valeurs cibles pour chacun des composés sont définies et doivent être respectées à partir du 1 er janvier La moyenne est calculée sur l'année civile du contenu total de la fraction des particules PM10. 2 Source : recensement INSEE de Page 6 sur 26
7 Le Tableau 1 présente les valeurs cibles établies à l échelle annuelle pour l arsenic, le cadmium et le nickel, d après la directive européenne n 2004/107/CE et le décret français n du 7 novembre 2008 relatif à la qualité de l air. Polluant Valeur cible 4 à atteindre, si possible, au 31 décembre 2012 Arsenic 6 ng/m 3 Cadmium 5 ng/m 3 Nickel 20 ng/m 3 Tableau 1 : valeurs réglementaires définies dans l'air ambiant. Le plomb (Pb) est réglementé de longue date. La valeur réglementaire (valeur limite 5 ) pour le plomb dans l'air ambiant, définie par la directive européenne n 1999/30/CE du 22 avril 1999, est fixée à 0.5 µg/m 3 (soit 500 ng/m 3 ) en concentration moyenne annuelle. Cette valeur réglementaire doit être respectée depuis le 1 er janvier Il est à noter que la directive européenne a été transposée en droit français en 2002 (décret n du 15 février 2002). La directive européenne n 2004/107/CE transposée en droit français par le décret n , outre le fait d établir pour l arsenic, le cadmium et le nickel des valeurs cibles, fixe le nombre de points de prélèvement pour les mesures fixes des concentrations de ces métaux. Le nombre de points de mesure, afin d évaluer le respect des valeurs cibles, est ainsi déterminé en fonction : - des niveaux annuels relevés pour les trois métaux ; - des seuils d évaluation minimal 6 et maximal 7 (cf. Tableau 2) ; - de la population de l agglomération ou de la zone. Arsenic Cadmium Nickel Plomb Seuil d'évaluation maximal en % de la valeur cible 60 % 3.6 ng/m 3 60 % 3 ng/m 3 70 % 14 ng/m 3 70 % 0,35 µg/m 3 Seuil d'évaluation minimal en % de la valeur cible 40 % 2.4 ng/m 3 40 % 2 ng/m 3 50 % 10 ng/m 3 50 % 0,25 µg/m 3 Tableau 2 : Seuils d évaluation minimaux et maximaux pour l arsenic, le cadmium, le nickel et le plomb. 4 Valeur cible : niveau fixé dans le but d éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine et/ou l environnement dans son ensemble, à atteindre dans la mesure du possible sur une période donnée. 5 Valeur limite : niveau fixé sur la base des connaissances scientifiques, dans le but d éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine et/ou l environnement dans son ensemble, à atteindre dans un délai donné et à ne pas dépasser une fois atteint. 6 Seuil d évaluation minimal (SEMI) : correspond au niveau en-dessous duquel il est possible de se borner à l emploi de techniques de modélisation ou d estimation objective pour évaluer la qualité de l air ambiant. 7 Seuil d évaluation maximal (SEMA) : correspond au niveau en-dessous duquel une combinaison de mesures et de techniques de modélisation peut être employée pour évaluer la qualité de l air ambiant. Page 7 sur 26
8 Outre les valeurs réglementées fixées à l échelle européenne, l OMS définit des valeurs guides pour certains métaux. Ainsi, pour le manganèse, polluant mesuré lors de trois séries, l OMS recommande une valeur guide pour l'exposition de la population de 0.15 µg/m 3 (soit 150 ng/m 3 ) en moyenne annuelle. I.3. Métaux mesurés Lors de la campagne de surveillance des métaux dans l air, au voisinage de la raffinerie implantée sur la commune de Grandpuits-Bailly-Carrois, ont été mesurés les quatre métaux normés, à savoir l arsenic, le cadmium, le nickel et le plomb. Les mesures permettent d une part l étude de l impact de la raffinerie sur la qualité de l air des communes environnantes et d autre part la comparaison des niveaux mesurés aux normes établies et aux seuils d évaluations définis (cf. chapitre I.3). Le Tableau 3 présente les émissions de métaux dans l air de la raffinerie de Grandpuits pour l année 2005 d après les dernières données complètes disponibles du registre français des émissions polluantes 8 et les données d émissions DRIRE/GEREP. L importance des émissions de métaux est également illustrée avec le classement de la raffinerie à l échelle francilienne. Émissions (kg/an) Rang Polluants en 2005 Île-de-France Arsenic * (As) 64 2 Cadmium * (Cd) Chrome (Cr) Cuivre (Cu) Manganèse (Mn) Nickel * (Ni) Plomb * (Pb) Zinc (Zn) * Polluant s règlement és. Il est à noter que les émissions de nickel (déclaration jusqu en 2007) ont fortement diminué passant de 3410 kg/an en 2005 à 160 kg/an en Tableau 3 : Émissions de métaux dans l air (en kg/an) de la raffinerie en 2005 et rang de l installation par rapport aux autres installations franciliennes. (source IREP). Ce site industriel présente, pour les quatre métaux normés, les émissions atmosphériques les plus importantes d Île-de-France pour le plomb et le nickel. Il se trouve être également le 2 ème plus gros émetteur francilien pour l arsenic et le cadmium. Outre les émissions issues de la raffinerie de Grandpuits, d autres sources potentielles de métaux font parti du domaine d étude avec notamment le trafic routier local (RN19), mais dans des quantités nettement moindres. D autres métaux traceurs des activités de l installation ont fait l objet d analyses lors de trois séries de mesure. Ces séries ont été choisies notamment en fonction des conditions météorologiques observées (condition de dispersion, direction de vent ). En effet, la raffinerie étant par exemple le plus gros émetteur de chrome, cuivre et manganèse en 2005, l analyse des concentrations de ces métaux donne des éléments d informations utiles afin d identifier l impact sur la qualité de l air des émissions de l installation. Au même titre que ces métaux, l analyse du zinc a également été réalisée (3 ème plus gros émetteur d Îlede-France). 8 Adresse Internet du registre français des émissions polluantes (IREP) : Page 8 sur 26
9 Afin de comparer les niveaux des métaux observés à proximité de la raffinerie de Grandpuits, les données recueillies à Paris les Halles, située dans le 1 er arrondissement, représentent les concentrations de référence du niveau de fond de l agglomération parisienne. II. Mise en œuvre de l étude II.1. Moyen de mesure Les mesures de métaux sont réalisées à l aide d un «Partisol Plus» (cf. Figure 2). Ce moyen de mesure est un préleveur automatique de particules en suspension avec un débit d aspiration 9 de 1 m 3 /h en continu. Le débit est constant tout au long du prélèvement grâce à un régulateur de débit. Le «Partisol Plus» est conditionné dans une armoire de protection contrôlée en température. Intérieur d un «Partisol Plus» Figure 2 : Moyen de mesure «Partisol Plus» implanté sur le domaine d étude. Les particules en suspension mesurées sont des particules dont le diamètre est inférieur à dix micromètres 10 (PM10). Celles-ci sont déposées sur un filtre en téflon d un diamètre de 47 mm. Le filtre est ensuite analysé en laboratoire selon la méthode normalisée de mesure du plomb, du cadmium, de l arsenic et du nickel dans la fraction PM10 de la matière particulaire en suspension 11. II.2. Plan d échantillonnage Les sites de mesure implantés pour la surveillance des métaux dans l air ambiant autour de la raffinerie de Grandpuits ont été déterminés en fonction des régimes de vent dominants, de la localisation des espaces urbains (mesures de métaux là où réside la population) et de l étude des retombés de panache industriel réalisée à partir d informations obtenues auprès de la DRIRE, le registre français des émissions (IREP) et l arrêté préfectoral 12 régissant les activités de la raffinerie. 9 Débit équivalent à la norme NF EN «Méthode normalisée de mesure du plomb, du cadmium, de l arsenic et du nickel dans la fraction PM10 de matière particulaire en suspension» - NF EN Minéralisation et dosage par ICP/MS : NF EN Arrêté préfectoral n 06 DAIDD 1IC 025 du 7 février Page 9 sur 26
10 La rose de vents (cf. Figure 3) à Melun, où une station Météo France est implantée, permet d identifier les vents dominants dans ce secteur de l Île-de-France. Les régimes de vent majoritaires sont de secteurs sudouest (plus d un quart du temps) et de nord (environ un cinquième du temps). Ce motif de vents dominants est caractéristique de ce que l on retrouve généralement en Île-de-France. Il est à noter que les mesures effectuées sur la station météorologique de Melun sont représentatives des observations du secteur de la raffinerie de Grandpuits. D après ces différents renseignements les moyens de mesure doivent être implantés dans la mesure du possible selon un axe sud-ouest à nord-est de la raffinerie. >3 m/s ]0-3] m/s Ouest Nord 8% 6% 4% 2% 0% Est Sud Figure 3 : Fréquence (en %) des vents observés à Melun en fonction de leur secteur et leur vitesse de 2003 à 2007 (source Météo France). Afin d assurer la surveillance des métaux dans l air autour de la raffinerie, quatre sites de mesure ont été mis en œuvre durant les neuf semaines de la campagne selon le plan d échantillonnage illustré à la Figure 4. Ce plan d échantillonnage prend en compte les contraintes techniques nécessaires à la mise en œuvre des moyens de mesure (électricité, site sécurisé, accessibilité ) mais aussi les paramètres précédemment définis (météorologie, étude des retombées des métaux, zone urbaine ). Le plan d échantillonnage établi permet le suivi des métaux dans l air en fonction de la direction du vent et de l éloignement par rapport à la source d émissions. Les quatre sites de mesure sont plus ou moins éloignés de la raffinerie et répartis de la façon suivante sur les communes environnantes, à savoir un site à Quiers à 2800 mètres au nord-est des émissions canalisées des cheminées, un site à Bagneaux (hameau de Aubepierre-Ozouer-le-Repos) à 1600 mètres au nord-ouest, un site à Grandpuits-Bailly-Carrois à 1600 mètres à l est et un site à Saint-Ouen en Brie à 3900 mètres au sudouest. Page 10 sur 26
11 QUIERS ECOLE BAGNEAUX COURS DES TILLEULS - GRANDPUITS MAIRIE - ST-OUEN EN BRIE ECOLE Figure 4 : Localisation et illustration des emplacements de mesure lors de la campagne de surveillance des métaux dans l air ambiant autour de la raffinerie Total de Grandpuits. II.3. Période de mesure Les mesures de métaux dans l air se sont déroulées durant neuf semaines entre le 15 septembre et le 17 novembre Au cours de la campagne de mesure, l utilisation de la raffinerie a été régulière avec un taux de fonctionnement de six jours sur sept en moyenne. L activité des différentes unités de production a été globalement constante, peu de fluctuations ont été observées. Après analyse en laboratoire des filtres, une concentration moyenne pour chaque métal est obtenue sur la période d exposition d une semaine. Concernant les métaux non réglementés (chrome, cuivre, manganèse, mercure et zinc), les 3 séries les plus intéressantes de la campagne de mesure, ont été analysées : - 2ème série de mesure du 22 au 29 septembre : vent de secteur nord-est ; - 3ème série de mesure du 29 septembre au 6 octobre : vent de secteur sud-ouest ; - 7ème série de mesure du 27 octobre au 3 novembre : vent variable. Ces séries de mesure, différentes par leur régime de vent, permettent d étudier les niveaux de ces métaux non réglementés et l étendue spatiale de l impact des émissions de la raffinerie. Page 11 sur 26
12 III. Commentaires météorologiques Les commentaires météorologiques s appuient sur les observations (vitesse et direction de vent) de la station Météo France opérationnelle la plus proche du domaine d étude, à savoir la station de Melun située à environ 20 kilomètres à l ouest de la raffinerie Total de Grandpuits. La Figure 5 illustre pour l ensemble de la campagne de mesure la fréquence des régimes et les vitesses de vent. Les secteurs en rouge indiquent les vents les plus faibles (vitesses de vent comprises entre 0.1 m/s et 3 m/s) et en jaune les régimes de vent les plus dispersifs (vitesses supérieures à 3 m/s). >3 m/s ]0-3] m/s Ouest Nord 8% 6% 4% 2% 0% Est Sud Figure 5 : Fréquence (en %) des vents observés à Melun en fonction de leur secteur et leur vitesse lors de la campagne de mesure (source Météo France). Deux régimes de vent ont prévalu lors des neuf semaines de mesure, avec un vent dominant de sud à sudouest représentant près de 25 % du temps et secondairement de nord à nord-est durant 20 % de la campagne. Ceci reflète assez bien ce que l on observe en moyenne sur l ensemble d une année. Les vitesses de vent ont été plutôt faibles (inférieures à 3 m/s) par secteur nord à nord-est et à l inverse plutôt élevées par régimes de sud à sud-ouest. Au cours des différentes séries hebdomadaires de mesure, les conditions de vent ont été contrastées, principalement pour les directions de vent, avec des semaines où les régimes de vent observés étaient établis soit au nord-est (cf. Figure 6-a) ou au contraire au sud-ouest (cf. Figure 6-b), plaçant ainsi les sites de mesure implantés dans le domaine d étude sous l influence de la raffinerie ou au contraire hors influence (au vent de celle-ci). >3 m/s ]0-3] m/s >3 m/s ]0-3] m/s Nord 20% Nord 20% 15% 15% 10% 10% 5% 5% Ouest 0% Est Ouest 0% Est Sud Sud (a) Série 2 : du 22 au 29 septembre 2008 (b) Série 3 : du 29 septembre au 6 octobre 2008 Figure 6 : Fréquence (en %) des vents observés à Melun en fonction de leur secteur et leur vitesse lors de deux séries de mesure (source Météo France). Page 12 sur 26
13 IV. Résultats de mesure IV.1. Qualification des niveaux moyens observés Les niveaux moyens enregistrés durant les neuf semaines de mesure permettent d une part de hiérarchiser les concentrations de métaux relevées sur les quatre sites et d autre part de comparer ces teneurs par rapport aux différentes normes de qualité de l air existantes. Concernant ce deuxième objectif, la moyenne annuelle peut être considérée à partir des neuf semaines de mesure puisque cette campagne représente une période de mesure supérieure à la durée minimale permettant de garantir la qualité des données 13. On estime également, à partir des mesures réalisées, l incertitude étendue à 95 % pour la moyenne annuelle 14. Autrement dit, il y a 95 % de chance que la moyenne annuelle estimée soit dans cet intervalle. Les graphiques de la Figure 7 à la Figure 10 illustrent les concentrations moyennes relevées pour chaque métal aux points de mesure implantés autour de la raffinerie et à la station permanente située à Paris les Halles (1 er arrondissement). Cette dernière est la station du réseau fixe d AIRPARIF mesurant les métaux, représentative de la qualité de l air de fond du cœur dense de l agglomération parisienne. Outre la moyenne de la campagne, les différentes normes de la qualité de l air sont présentées. Les valeurs cibles sont indiquées par un trait rouge pour l arsenic, le cadmium, le nickel et le plomb sur les graphiques ci-dessous. Les seuils d évaluation qui déterminent les moyens utilisés pour évaluer la qualité de l air ambiant sont également présentés en orange pour le seuil d évaluation maximal et en vert pour le seuil d évaluation minimal. Enfin, l incertitude étendue à 95 % pour la moyenne annuelle estimée est illustrée pour l ensemble des sites de mesure et pour chaque polluant avec la concentration annuelle estimée minimale et maximale. Arsenic (As) Moy campagne Moy annuelle estimée Min Moy annuelle estimée Max 6.0 Valeur cible Concentration en ng/m Seuil d'év aluation maximal Seuil d'év aluation minimal 0.0 BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS St-Ouen en Brie PARIS 1er les halles Figure 7 : Teneurs d arsenic relevées lors de la campagne de mesure sur les sites temporaires autour de la raffinerie et à la station du réseau AIRPARIF, et moyennes annuelles estimées. 13 L objectif de qualité des données fourni à titre d orientation pour garantir la qualité est de 14 % pour les mesures indicatives Annexe IV I de la Directive 2004/107/CE du 15 décembre Conformément à la norme : 2002 «Détermination de l incertitude de la moyenne de temps des mesures de la qualité de l air». Page 13 sur 26
14 Les concentrations moyennes d arsenic (cf. Figure 7) enregistrées sur les neuf semaines de mesure sont homogènes d un site à l autre avec un niveau moyen de 0.5 ng/m 3. Au centre de Paris, la teneur moyenne durant la campagne est également de 0.5 ng/m 3. Ces teneurs moyennes obtenues autour de la raffinerie restent largement inférieures à la valeur cible fixée à 6 ng/m 3 et aux seuils d évaluation correspondant à 60 % et 40 % de la valeur cible. Il en va de même pour les moyennes annuelles estimées minimales et maximales. L ensemble des sites de mesure respecte donc largement la valeur cible et les seuils d évaluation. Cadmium (Cd) Moy campagne Moy annuelle estimée Min Moy annuelle estimée Max 5 Valeur cible Concentration en ng/m Seuil d'év aluation maximal Seuil d'év aluation minimal 0 BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS St-Ouen en Brie PARIS 1er les halles Figure 8 : Teneurs de cadmium relevées lors de la campagne de mesure sur les sites temporaires autour de la raffinerie et à la station du réseau AIRPARIF, et moyennes annuelles estimées. Les niveaux moyens de cadmium (cf. Figure 8) sont plutôt homogènes autour de la raffinerie entre 0.2 ng/m 3 (sites de Bagneaux et de Quiers) et 0.3 ng/m 3 (sites de Grandpuits et de St-Ouen en brie) ce qui est également comparable au niveau moyen de Paris les Halles (0.2 ng/m 3 ). Ces teneurs moyennes obtenues autour de la raffinerie restent largement inférieures à la valeur cible fixée à 5 ng/m 3 et aux seuils d évaluation correspondant à 60 % et 40 % de la valeur cible. Il en va de même pour les moyennes annuelles estimées minimales et maximales. L ensemble des sites de mesure respecte donc largement la valeur cible et les seuils d évaluation. Concernant le nickel (cf. Figure 9, page suivante), les niveaux moyens sont compris entre 1.2 ng/m 3 et 1.8 ng/m 3 ce qui se traduit par des teneurs inférieures à celles relevées au cœur de la capitale, à Paris 1 er les Halles (2.3 ng/m 3 ). Comme pour les métaux précédemment étudiés, la valeur cible fixée à 20 ng/m 3 pour le nickel est largement respectée et l estimation maximale des moyennes annuelles pour les sites de l étude est plus de 5 fois inférieure au seuil d évaluation minimal établi à 10 ng/m 3 pour ce polluant. Concernant le plomb, il existe une valeur limite, indiquée par un trait rouge sur la Figure 10, page suivante, qui est fixée par la directive européenne à 0.5 µg/m 3. Des seuils d évaluation qui déterminent les moyens nécessaires pour évaluer la qualité de l air ambiant sont également présentés en orange pour le seuil d évaluation maximal, fixé à 0,35 µg/m 3 (soit 70 % de la valeur limite) et en vert pour le seuil d évaluation minimal, fixé à 0,25 µg/m 3 (soit 50 % de la valeur limite). Page 14 sur 26
15 Nickel (Ni) Moy campagne Moy annuelle estimée Min Moy annuelle estimée Max Concentration en ng/m Valeur cible Seuil d'év aluation maximal Seuil d'év aluation minimal 0 BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS St-Ouen en Brie PARIS 1er les halles Figure 9 : Teneurs de nickel relevées lors de la campagne de mesure sur les sites temporaires autour de la raffinerie et à la station du réseau AIRPARIF, et moyennes annuelles estimées. Les concentrations moyennes de plomb (cf. Figure 10) enregistrées au cours de la période de mesure sont homogènes d un site à l autre avec un niveau moyen de 0.01 µg/m 3. Au centre de Paris, la teneur moyenne est également de 0.01 µg/m 3. La valeur limite fixée à 0,5 µg/m 3 pour le plomb est très largement respectée et l estimation maximale des moyennes annuelles pour les sites de l étude est plus de 25 fois inférieure au seuil d évaluation minimal établi à 0,25 µg/m 3 pour ce polluant. Plomb (Pb) Moy campagne Moy annuelle estimée Min Moy annuelle estimée Max Concentration en µg/m Valeur limite Seuil d'évaluation maximal Seuil d'évaluation minimal 0.00 BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS St-Ouen en Brie PARIS 1er les halles Figure 10 : Teneurs de plomb relevées lors de la campagne de mesure sur les sites temporaires autour de la raffinerie et la station du réseau AIRPARIF, moyennes annuelles estimées. Page 15 sur 26
16 Comparaison moyenne annuelle estimée et moyenne annuelle mesurée : L incertitude étendue pour la moyenne annuelle calculée est faible compte-tenu des teneurs mesurées. Cette incertitude étendue a également été calculée sur la station permanente implantée à Paris 1 er les Halles, ce qui permet une comparaison entre cette estimation et la moyenne annuelle 2008 réellement mesurée sur ce même site. Pour la station de fond de Paris les Halles, les concentrations relevées durant les neuf semaines de surveillance reflètent bien ce qui est mesuré en moyenne sur une année dans le cœur dense de l agglomération parisienne. On peut en déduire qu il en va de même pour les niveaux moyens relevés au cours de la campagne de mesure sur les sites de l étude, avec les mêmes conditions météorologiques et d émissions. IV.2. Impact selon le secteur de vent Si les niveaux moyens enregistrés durant la campagne de mesure ont montré une homogénéité des teneurs d un site à l autre, l étude plus fine à l échelle hebdomadaire des niveaux de métaux dans l air permet de mettre en relief des fluctuations en fonction des régimes de vent plaçant ou non les points de mesure sous l influence des émissions de la raffinerie. Ainsi, on retrouve une hiérarchie des teneurs de métaux sur les points de mesure différentes suivant les régimes de vent. La Figure 11 présente pour les quatre métaux normés, les résultats de mesure au pas de temps hebdomadaire lors des neuf séries réalisées entre le 15 septembre et le 17 novembre Les fréquences (en %) des vents observés à Melun (source Météo France) en fonction de leur secteur et de leur vitesse sont présentées pour les neuf séries hebdomadaires de la campagne de mesure en annexe 1. Arsenic (As) 2.0 BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS ST-OUEN EN BRIE Concentrations en ng/m /09 au 22/09 22/09 au 29/09 29/09 au 06/10 06/10 au 13/10 13/10 au 20/10 20/10 au 27/10 27/10 au 03/11 03/11 au 10/11 10/11 au 17/11 Cadmium (Cd) BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS ST-OUEN EN BRIE 2.0 Concentration en ng/m /09 au 22/09 22/09 au 29/09 29/09 au 06/10 06/10 au 13/10 13/10 au 20/10 20/10 au 27/10 27/10 au 03/11 03/11 au 10/11 10/11 au 17/11 Page 16 sur 26
17 Nickel (Ni) BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS ST-OUEN EN BRIE Concentration en ng/m /09 au 22/09 22/09 au 29/09 29/09 au 06/10 06/10 au 13/10 13/10 au 20/10 20/10 au 27/10 27/10 au 03/11 03/11 au 10/11 10/11 au 17/11 Plomb (Pb) BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS ST-OUEN EN BRIE 0.05 Concentration en µg/m /09 au 22/09 22/09 au 29/09 29/09 au 06/10 06/10 au 13/10 13/10 au 20/10 20/10 au 27/10 27/10 au 03/11 03/11 au 10/11 10/11 au 17/11 Figure 11 : Résultats des teneurs hebdomadaires de métaux sur chaque site de mesure. Au cours de la campagne de mesure, les teneurs moyennes observées pour les quatre métaux réglementés sont faibles pour l ensemble des sites de l étude. Les variations entre sites de mesure et d une semaine à l autre sont peu significatives dans l ensemble, compte-tenu des incertitudes de mesure (teneurs proches des limites de détection). Seules les conditions météorologiques défavorables à la dispersion de la pollution, au cours de certaines semaines, mettent en évidence des niveaux un peu plus soutenus sur des sites de la campagne de mesure. Les niveaux moyens de cadmium les plus forts sont observés au cours de la semaine du 13 au 20 octobre 2008, lors de conditions météorologiques défavorables à la dispersion de la pollution autour de la raffinerie (vent faible en moyenne de 1,5 m/s). Les teneurs hebdomadaires sont comprises entre 0,4 ng/m 3 (site de Bagneaux) et 0,7 ng/m 3 (sites de Grandpuits, de Quiers et de Saint-Ouen en Brie). Pour la semaine du 22 au 29 septembre 2008, par régime de vent dominant de secteur nord à nord-est, le site de mesure de Saint-Ouen en Brie implanté au sud-ouest de la raffinerie est potentiellement sous l influence des rejets atmosphériques. Ce site relève effectivement lors de cette semaine, la teneur de cadmium la plus forte au cours de la campagne de mesure (0,7 ng/m 3 ). Par vent dominant de secteur sud à sud-ouest, le site de Bagneaux est placé sous le vent des émissions de l installation. Ces conditions, rencontrées les semaines du 29 septembre au 6 octobre et du 6 au 13 octobre 2008, montrent un impact avec la concentration maximale de plomb observée au cours de l étude, soit 0,02 µg/m 3 (semaine du 29/09 au 6/10) et la teneur de nickel la plus élevée du domaine d étude (3,3 ng/m 3 ) pour la semaine du 6 au 13 octobre Page 17 sur 26
18 L analyse de plusieurs métaux non réglementés a été effectuée sur les trois séries de mesure hebdomadaires les plus pertinentes de la campagne pour ces métaux (cf. Figure 12, page suivante). Ceux-ci peuvent être considérés comme des traceurs de la raffinerie sachant qu ils sont émis en grande quantité par l installation notamment au 1 er rang des émetteurs francilien en 2005 pour le cuivre, le chrome et le manganèse, et au troisième rang pour le zinc. Cuivre (Cu) BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS ST-OUEN EN BRIE PARIS 1er Halles Concentration en ng/m /09 au 29/09 29/09 au 06/10 27/10 au 03/11 Chrome (Cr) BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS ST-OUEN EN BRIE PARIS 1er Halles 12 Concentration en ng/m /09 au 29/09 29/09 au 06/10 27/10 au 03/11 Manganèse (Mn) BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS ST-OUEN EN BRIE PARIS 1er Halles 40 Concentration en ng/m Valeur guide OMS = 0,15 µg/m 3 soit 150 ng/m /09 au 29/09 29/09 au 06/10 27/10 au 03/11 Page 18 sur 26
19 Zinc (Zn) BAGNEAUX GRANDPUITS mairie QUIERS ST-OUEN EN BRIE PARIS 1er Halles Concentration en ng/m /09 au 29/09 29/09 au 06/10 27/10 au 03/11 Figure 12 : Teneurs des métaux spécifiques mesurées lors de trois séries de mesure. Les teneurs observées pour les différents métaux non réglementés présentent, durant la semaine du 22 au 29 septembre 2008, un impact sur le site de Saint-Ouen en Brie implanté dans l communale. Ce point de mesure, au sud-ouest de l installation, est durant cette semaine sous l influence des émissions de la raffinerie compte tenu du régime de vent de nord à nord-est relevé sur la période. Sur ce site, les concentrations hebdomadaires atteignent près de 80 ng/m 3 pour le zinc, 30 ng/m 3 pour le cuivre et 20 ng/m 3 pour le manganèse, soit une teneur 2 à 3 fois plus élevée suivant les polluants que les niveaux moyens observés sur les autres sites de l étude. Ces concentrations sont les plus fortes observées au cours de la campagne de mesure. Elles sont également deux fois plus élevées pour le zinc, 30 % plus importantes pour le manganèse et équivalentes pour le cuivre à celles observées sur le site de référence de Paris 1 er les Halles. Pour le manganèse, le niveau relevé sur une semaine n est pas directement comparable à la valeur guide recommandée par l OMS (150 ng/m 3 ) établie en moyenne annuelle pour l'exposition de la population. Il n est pas possible d estimer une valeur annuelle de manganèse et d en estimer ainsi le respect ou non de cette valeur guide en raison d un nombre faible de mesure disponible (trois semaines). Néanmoins, il est à noter que la valeur de 20 ng/m 3 (près de 8 fois inférieure à la valeur guide) observée sur le site de Saint- Ouen en Brie a été mesurée durant la série où les teneurs moyennes de plusieurs métaux ont été les plus élevées. Il est probable qu un tel niveau n aurait pu être observé lors des autres séries de mesure compte tenu des concentrations plus faibles mesurées pour les autres métaux. Pour le chrome, les niveaux observés sur les sites de l étude sont similaires entre eux et inférieurs à ceux relevés sur le site de référence de Paris 1 er les Halles situé au cœur de l agglomération parisienne. L ensemble des données est également disponible à l annexe 2. Page 19 sur 26
20 Conclusion Au cours des neuf semaines de mesure, les fluctuations observées sur l ensemble des sites de l étude ont été dues aux régimes de vent qui plaçaient les sites sous l influence ou non des émissions de l installation. D une manière générale, les niveaux moyens de métaux relevés sont relativement faibles avec néanmoins quelques fluctuations de concentrations plus importantes sur certains sites de l étude lorsque ceux-ci étaient sous le vent des rejets canalisés de la raffinerie, lors de conditions météorologiques peu favorables à la dispersion de la pollution. Les teneurs de métaux les plus importantes ont été observés sur le site de Saint-Ouen en brie situé au sudouest de la raffinerie et, dans une moindre mesure sur le site de Bagneaux situé au nord-ouest de l installation où les teneurs de plomb et de nickel les plus fortes ont été mesurées lors d une série de mesure. En comparant les niveaux observés de métaux du site de référence de Paris 1 er les Halles à ceux des sites de l étude, seul le site de Saint-Ouen en brie relève également des teneurs plus élevés en zinc et manganèse sur une série de mesure. Néanmoins, au même titre que ce qui est mesuré dans le cœur dense de Paris, les valeurs cibles (arsenic, cadmium et nickel) et limite (Plomb) sont largement respectées dans le domaine d étude. Les teneurs moyennes sont également largement en dessous des seuils d évaluation, ce qui permet de «se borner à l emploi de techniques de modélisation ou d estimation objective pour évaluer la qualité de l air ambiant» dans ce secteur de l Île-de-France. Page 20 sur 26
21 ANNEXES ANNEXE 1 : Roses de vent durant chaque série de mesure relevées à Melun...22 ANNEXE 2 : Résultats des mesures par site lors des neuf semaines de la campagne...24 Page 21 sur 26
22 ANNEXE 1 : Roses de vent durant chaque série de mesure relevées à Melun (d après Météo France). >3 m/s ]0-3] m/s >3 m/s ]0-3] m/s Nord 20% Nord 20% 15% 15% 10% 10% 5% 5% Ouest 0% Est Ouest 0% Est Sud Sud (a) Semaine 1 : 15 au 22/09 (b) Semaine 2 : 22 au 29/09 >3 m/s ]0-3] m/s >3 m/s ]0-3] m/s Nord 20% 15% 10% Nord 20% 15% 10% 5% 5% Ouest 0% Est Ouest 0% Est Sud Sud (c) Semaine 3 : 29/09 au 06/10 (d) Semaine 4 : 06/10 au 13/10 >3 m/s ]0-3] m/s >3 m/s ]0-3] m/s Nord 20% Nord 20% 15% 15% 10% 10% 5% 5% Ouest 0% Est Ouest 0% Est Sud Sud (e) Semaine 5 : 13 au 20/10 (f) Semaine 6 : 20 au 27/10 Page 22 sur 26
23 ANNEXE 1 (suite) : Roses de vent durant chaque série de mesure relevées à Melun (d après Météo France). >3 m/s ]0-3] m/s >3 m/s ]0-3] m/s No rd 20% Nord 20% 15% 15% 10% 10% 5% 5% Ouest 0% Est Ouest 0% Est Sud Sud (g) Semaine 7 : 27/10 au 03/11 (h) Semaine 8 : 03 au 10/11 >3 m/s ]0-3] m/s Nord 20% 15% 10% 5% Ouest 0% Est (i) Semaine 9 Sud : 10 au 17/11 (i) Semaine 9 : 10 au 17/11 Page 23 sur 26
24 ANNEXE 2 : Résultats des mesures par site lors des neuf semaines de la campagne. Arsenic Cadmium Nickel Plomb Cuivre Chrome Manganèse Zinc date date Sites (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) (µg/m3) (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) 15/09/ /09/2008 BAGNEAUX /09/ /09/2008 BAGNEAUX /09/ /10/2008 BAGNEAUX /10/ /10/2008 BAGNEAUX /10/ /10/2008 BAGNEAUX /10/ /10/2008 BAGNEAUX /10/ /11/2008 BAGNEAUX /11/ /11/2008 BAGNEAUX /11/ /11/2008 BAGNEAUX Moyenne Arsenic Cadmium Nickel Plomb Cuivre Chrome Manganèse Zinc date date Sites (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) (µg/m3) (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) 15/09/ /09/2008 GRANDPUITS mairie /09/ /09/2008 GRANDPUITS mairie /09/ /10/2008 GRANDPUITS mairie /10/ /10/2008 GRANDPUITS mairie /10/ /10/2008 GRANDPUITS mairie /10/ /10/2008 GRANDPUITS mairie /10/ /11/2008 GRANDPUITS mairie /11/ /11/2008 GRANDPUITS mairie /11/ /11/2008 GRANDPUITS mairie Moyenne Page 24 sur 26
25 ANNEXE 2 (suite) : Résultats des mesures par site lors des neuf semaines de la campagne. Arsenic Cadmium Nickel Plomb Cuivre Chrome Manganèse Zinc date date Sites (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) (µg/m3) (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) 15/09/ /09/2008 QUIERS /09/ /09/2008 QUIERS /09/ /10/2008 QUIERS nr /10/ /10/2008 QUIERS /10/ /10/2008 QUIERS /10/ /10/2008 QUIERS /10/ /11/2008 QUIERS /11/ /11/2008 QUIERS /11/ /11/2008 QUIERS Moyenne Arsenic Cadmium Nickel Plomb Cuivre Chrome Manganèse Zinc date date Sites (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) (µg/m3) (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) 15/09/ /09/ /09/ /09/ /09/ /10/ /10/ /10/ /10/ /10/ /10/ /10/ /10/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/2008 ST-OUEN EN BRIE ST-OUEN EN BRIE ST-OUEN EN BRIE ST-OUEN EN BRIE ST-OUEN EN BRIE ST-OUEN EN BRIE ST-OUEN EN BRIE ST-OUEN EN BRIE ST-OUEN EN BRIE nr nr Moyenne Page 25 sur 26
26 ANNEXE 2 (suite) : Résultats des mesures par site lors des neuf semaines de la campagne. Arsenic Cadmium Nickel Plomb Cuivre Chrome Manganèse Zinc date date Sites (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) (µg/m3) (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) (ng/m3) 15/09/ /09/2008 PARIS 1er les Halles nd /09/ /09/2008 PARIS 1er les Halles nd /09/ /10/2008 PARIS 1er les Halles nd /10/ /10/2008 PARIS 1er les Halles nd /10/ /10/2008 PARIS 1er les Halles /10/ /10/2008 PARIS 1er les Halles /10/ /11/2008 PARIS 1er les Halles /11/ /11/2008 PARIS 1er les Halles /11/ /11/2008 PARIS 1er les Halles Moyenne Page 26 sur 26
Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailCARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012
CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux
Plus en détailEtude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN
ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailExposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles
Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailBILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011
18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2
Plus en détailTechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr
Réf. : 090 510 082A V1 Valbonne Sophia Antipolis TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Zone d Aménagement Concertée (ZAC) des Clausonnes
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailDOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES
DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions
Plus en détailLIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailPremière partie. Modélisation des problèmes en programmes linéaires notés PL
Première partie Modélisation des problèmes en programmes linéaires notés PL ième année Licence LMD de mathématiques, USDBlida 0. Un grossiste doit livrer unités d un produit déterminé P à trois détaillants
Plus en détailChauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve
Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailDosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS
Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Analysis of heavy metals (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) in soils by ICP-MS Nicolas ALSAC Eurofins Environnement
Plus en détailLe Conseil Municipal,
MF/EG SEANCE DU 13 FÉVRIER 2006 2006/6197 - INSTALLATION CLASSÉE POUR L'ENVIRONNEMENT SOUMISE À AUTORISATION - DEMANDE D'AUTORISATION PRÉSENTÉE PAR LA SOCIÉTÉ OMNITHERM EN VUE DE MODIFIER LES INSTALLATIONS
Plus en détailZoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation
Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,
Plus en détailCPCU Chaufferie de Vaugirard 25 rue Georges Pitard 75015 PARIS. À l attention de Madame JOYCE-ERMOLLI RAPPORT DE VÉRIFICATION
CPCU Chaufferie de Vaugirard 25 rue Georges Pitard 75015 PARIS À l attention de Madame JOYCE-ERMOLLI RAPPORT DE VÉRIFICATION NIVEAUX SONORES ÉMIS DANS L ENVIRONNEMENT EN RÉFÉRENCE À L ARRÊTÉ DU 23 JANVIER
Plus en détailCofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014
Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement
Plus en détailDescriptif du dispositif - décembre 2003 -
www.respiralyon.org Descriptif du dispositif - décembre 2003 - Communiqué de presse du 24 novembre 2003 Lancement du dispositif RESPIRALYON La qualité de l air dans l agglomération lyonnaise est l une
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailFor the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention
Ancien site des Ferronneries du Midi Future ZAC Ponts Jumeaux Projet de dépollution 15 décembre 2004 For the benefit of business and people 1 - Présentation du projet de la ZAC 2 - Rappel de l historique
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailSurveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité
Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité NOVEMBRE 2010 Tatiana Macé (LNE) François Mathé (EMD) Eva Léoz-Garziandia (INERIS) PREAMBULE Le Laboratoire Central
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailCartes stratégiques de bruit Résumé non technique
Cartes stratégiques de bruit Résumé non technique CA. Les Lacs de l'essonne - CSB - Résumé non technique 03 11 2014-1/19 Sommaire I. Contexte réglementaire autour de l élaboration des cartes de bruit stratégiques...3
Plus en détailTableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées
Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans
Plus en détailSolutions de mesure pour le raffinage
Solutions de mesure pour le raffinage Débitmétrie et densimétrie de précision Les meilleures des mesures en ligne «Il est difficile de répondre à la demande de façon efficace, économique et responsable.»
Plus en détailNe brûlons plus nos déchets verts à l air libre!
En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets
Plus en détailDeltaCal BGI. Débitmètre étalon
Débitmètre étalon DeltaCal BGI Mesure simultanée du débit volumique, débit normalisé, température et pression Fonctionnement manuel ou automatique, optimisé pour une utilisation sur le terrain Large gamme
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailCerea. Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique
Cerea Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique Laboratoire commun École des Ponts ParisTech / EDF R&D Université Paris-Est Le Cerea : une cinquantaine de chercheurs sur trois
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
RAPPORTS CETE Normandie Centre LRB Laboratoire Régional de Blois Affaire 131550 Cartes de bruit stratégiques Réseau routier national de l'eure Résumé non technique Article 3 du décret du 24 mars 2006 Novembre
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailConsultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19
Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Eco-quartier des Bergères - Cahier des Charges de la consultation d acquéreurs ILOT
Plus en détailPrésentation du 09 Octobre 2013
Présentation du 09 Octobre 2013 1 / 35 Sommaire 10h-11h15 : présentation du groupe TOTAL /Raffinerie de Grandpuits et les différents métiers 11h15-11h30 : parcours individuel 11h30-12h30 : présentation
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailpour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 -
Arrêté multifluide du 4 août t 2006 pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 - Une volonté de l administration L ancien arrêté portant règlement de sécurité des ouvrages de transport de gaz
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. - Autorisation délivrée par le Wali ou le président de l APC pour l implantation des capacités de stockage GPL/C de la station.
FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Station de Service Codification NAA : GG 52 49 Codification ONS : 52 48 Codification CNRC : 604 611 Inscription de l activité : CNRC Type d autorisation
Plus en détailDépartement de l ARIEGE
LES RAPPORTS BUREAU VERITAS Bureau Veritas 12 rue Michel Labrousse Bât 15 BP 64797 31047 TOULOUSE CEDEX 1 Dardilly, le 12 juillet 2012 Département de l ARIEGE Elaboration des cartes de bruit stratégiques
Plus en détailRencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?
Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Rencontre des savoirs Bron 14 mai 2013 L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
Département de la Sarthe Cartes de bruit stratégiques Grandes infrastructures de transports Réseau autoroutier COFIROUTE Résumé non technique Article R 572-5 du code de l environnement Vu pour être annexé
Plus en détailL évolution des parts modales des déplacements domicile-travail
Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailAnalyse de la position allemande
Note du Réseau Action Climat - Mars 2013 Analyse de la position allemande Super crédits : le diable se cache dans les détails Contexte En juillet 2012, la Commission publie sa proposition de révision du
Plus en détailCampagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META)
Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Synthèse des résultats et recommandations F. CLERC 1, C. EYPERT- BLAISON 1, M. GUIMON
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailComment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS
Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? Découvrez la gamme Aquarea de Panasonic Pompe à chaleur Source Air CONÇUE POUR LES MAISONS Une pompe à chaleur Aquarea avec Source
Plus en détailCHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX
FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailPROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM
PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM Informations pour la population de Rhénanie-Palatinat Editeur: Aufsichts- und Dienstleistungsdirektion Willy- Brandt-
Plus en détailL IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives
L IRSN et la surveillance de l environnement Etat des lieux et perspectives Didier CHAMPION et Jean-Marc PERES Journées SFRP Paris 23-24 septembre 2009 Objectifs de la surveillance de l environnement 2
Plus en détailPage 2 Routes départementales - département de LA CREUSE - Elaboration des cartes de bruit stratégiques
Rapport Sommaire 1. TEXTES DE REFERENCES... 3 2. OBJET DE L ETUDE... 3 3. CONTENU DES CARTES DE BRUIT STRATEGIQUES... 4 1.1. Documents graphiques... 4 4. METHODE DE CALCUL ET PARAMETRES RETENUS... 4 1.2.
Plus en détailACOUPHEN ENVIRONNEMENT GROUPEMENT COORDONNE PAR LA COMMUNE DE MONTESSON ETUDE REALISEE POUR LE COMPTE DU : RAPPORT D ETUDE RA-080001-07-A
MANAGEMENT DE L SONORE WWW.ACOUPHEN-.COM CONTACT@ACOUPHEN-.COM SIEGE SOCIAL LYON CAMPUS DE LA DOUA 66, BD NIELS BOHR B.P. 52132 69603 VILLEURBANNE CEDEX TEL / 33 (0)4 72 69 01 22 FAX / 33 (0)4 72 44 04
Plus en détailStockage et distribution de Liquides inflammables
Contrôles périodiques des installations soumises à DC Stockage et distribution de Liquides inflammables 2009 SOURCE D INFORMATION Cette note de veille réglementaire a été établie à partir des textes réglementaires
Plus en détailSurveiller la qualité de l air avec les élèves
Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,
Plus en détailMESURES DE BRUIT A l ÉTAT INITIAL
DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER UNE UNITE DE METHANISATION DE MATIERES ORGANIQUES Siège social : FRANCE BIOGAZ VALORISATION 12 rue Finkmatt 67000 STRASBOURG Tél. : 03 88 23 47 72 Fax : 03
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailV112-3,0 MW. Un monde, une éolienne. vestas.com
V112-3,0 MW Un monde, une éolienne vestas.com NOUS TENONS LES PROMESSES DE L ÉNERGIE ÉOLIENNE UNE ÉOLIENNE FIABLE ET PERFORMANTE POUR LE MONDE ENTIER Fiabilité et performances La V112-3,0 MW est une
Plus en détailLa réglementation et les obligations qui en découlent
Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles
Plus en détailLoi concernant l inspection environnementale des véhicules automobiles
DEUXIÈME SESSION TRENTE-NEUVIÈME LéGISLATURE Projet de loi n o 48 Loi concernant l inspection environnementale des véhicules automobiles Présentation Présenté par M. Pierre Arcand Ministre du Développement
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailLA DISPERSION ATMOSPHERIQUE
Compréhension des phénomènes et modélisation : LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Version du 28 décembre 2006 Cette fiche a été établie avec le concours de l INERIS La présente fiche a été rédigée sur la base
Plus en détailDétermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon
Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec MA. 200 Mét. 1.2 Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon 2014-05-09 (révision 5) Comment
Plus en détailTravailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale
ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailCONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs,
Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 8 décembre 2000 ----------------- Rapporteur : M. MANGOLD ----------------- N 10 CONVENTION POUR
Plus en détail3.11 Instauration d un crédit d impôt remboursable pour l acquisition ou la location d un véhicule neuf écoénergétique
3.11 Instauration d un crédit d impôt remboursable pour l acquisition ou la location d un véhicule neuf écoénergétique Ce crédit vise tous les particuliers (personnes physiques) et non pas seulement ceux
Plus en détailAUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?
Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailDÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS
DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans
Plus en détailLigue contre la Violence Routière
Ligue contre la Violence Routière La Ligue contre la violence routière, notre confrère français, vient de lancer la voiture citoyenne. Elle tient compte aussi bien de la protection de l environnement que
Plus en détailBILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX
BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX 1 - Des communes inégalement desservies en terme d équipements 2 - Des pôles majeurs d attraction en terme d équipements 3 -
Plus en détailETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE
ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines
Plus en détailDYNACOR: LES NOUVEAUX FORAGES AU DIAMANT PROLONGENT LE MANTO DORADO VERS LE SUD-OUEST ET DÉCOUVRENT LE NOUVEAU MANTO RAQUEL MINÉRALISÉ EN OR
2015 Mines d or Dynacor inc. (Dynacor) Symbole : DNG Bourse de Toronto (TSX) OTC : DNGDF Actions en circulation : 36 484 167 DYNACOR: LES NOUVEAUX FORAGES AU DIAMANT PROLONGENT LE MANTO DORADO VERS LE
Plus en détailRépondre aux nouveaux enjeux de la filière automobile française. Dossier de presse
Répondre aux nouveaux enjeux de la filière automobile française Dossier de presse Octobre 2014 Après de trop longues années de crise, un léger vent d optimisme souffle enfin sur notre industrie automobile.
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailREGLEMENT D'UTILISATION DU PARC MINUTE DE L HOTEL D AGGLOMERATION
REGLEMENT D'UTILISATION DU PARC MINUTE DE L HOTEL D AGGLOMERATION Chapitre 1 : les droits des utilisateurs Chapitre 2 : les obligations des utilisateurs Chapitre 3 : l'utilisation du véhicule Chapitre
Plus en détailIncitations financières véhicules 2014
Marque : Consommation de carburant C02 inférieures ou égales à 100 g/km de 101 à 120 g/km VOITURE Énergie : Essence Les déplacements Comprendre Incitations financières véhicules 2014 Pour des véhicules
Plus en détail1. GES 5 : Production de céramiques pour l'électronique et de céramiques à fonctionnement thermique contenant du Ni
1. GES 5 : Production de céramiques pour l'électronique et de céramiques à fonctionnement thermique contenant du Ni Cycle de vie Utilisation finale DU de NiO Titre libre et court Production de céramiques
Plus en détail