cadastre Revue spécialisée consacrée au cadastre suisse Décembre 2012 Direction fédérale des mensurations cadastrales
|
|
- Théodore Corriveau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Décembre 2012 Direction fédérale des mensurations cadastrales 10 cadastre Revue spécialisée consacrée au cadastre suisse Schweizerische Eidgenossenschaft Confédération suisse Confederazione Svizzera Confederaziun svizra Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports DDPS armasuisse Office fédéral de topographie swisstopo
2 Contenu Editorial 3 Articles techniques Dimension cadastre Vision de la mensuration officielle 4 5 Géoservices d ampleur nationale des cantons et des communes 6 9 Action régalienne dans la mensuration officielle Plan du registre foncier et bonne foi ouvrir l oeil, et le bon! Légende Mensuration officielle Cadastre RDPPF Article général adastre Communications Retour sur les festivités entourant le centenaire de la Mensuration Officielle Suisse Quelle suite donner à l année du centenaire? 16 Suivi (monitoring) du bénéfice que l économie nationale a retiré des données de la mensuration officielle en GeoMeta sur geo.admin.ch 18 Cadastre des restrictions de droit public à la propriété foncière les dernières nouvelles 19 Nouveaux ingénieurs brevetés en Archivage de géodonnées de base de la mensuration officielle 20 Du changement parmi les responsables des services cantonaux du cadastre 21 Circulaires et Express: dernières publications 21 Manifestations et formation continue Examen d Etat 2013 pour l obtention du brevet d ingénieur géomètre 22 Spirgartentreffen 22 Colloques de l Office fédéral de topographie swisstopo Programme du semestre d hiver 2012 / Divers Un entretien avec Beatrice Winter, restauratrice chez swisstopo swisstopo fêtera ses 175 ans en 2013! 25 Repères de mensuration à travers le monde 26 Impressum Rédaction: Karin Markwalder, Elisabeth Bürki Gyger et Marc Nicodet Tirage: 600 français / 1300 allemand Parution: 3 fois par an Adresse de la rédaction: Office fédéral de topographie swisstopo Direction fédérale des mensurations cadastrales Seftigenstrasse 264, 3084 Wabern Téléphone Fax infovd@swisstopo.ch / Couverture reproduite avec l autorisation de l Office de l information géographique du canton de Berne du 20 mai cadastre 10 Décembre 2012
3 Editorial Chère lectrice, cher lecteur, Christian Dettwiler Président de la Conférence des services cantonaux du cadastre La conférence annuelle ordinaire de la CSCC (Conférence des services cantonaux du cadastre) s est tenue le 30 août dernier. Il n y a là rien d extraordinaire en soi, mais les services responsables du cadastre RDPPF au sein des cantons y ont été invités pour la toute première fois et l intégralité des cantons pilotes a été représentée, cette année, la conférence n a pas été organisée par un canton, c est la Direction fédérale des mensurations cadastrales qui s en est chargée pour célébrer dignement les «100 ans de la Mensuration Officielle Suisse». De très nombreux invités issus des Hautes écoles et des associations ont par ailleurs pris part à cette manifestation. Ces spécificités ainsi que la forte participation m ont profondément réjoui parce qu elles traduisent l existence d une vraie collaboration, empreinte de collégialité. Et cette collaboration me tient à coeur depuis des années. Il ne suffit pas que la mensuration officielle constitue dorénavant un jeu de données de référence. Les données de référence revêtent par définition un «caractère de prestation de service». Elles servent d arrière-plan mais servent-elles vraiment? Chaque prestataire de service doit sans cesse se demander si la prestation qu il propose répond toujours aux besoins en perpétuelle évolution de ses clients ou si elle doit être adaptée. C est la raison pour laquelle les contacts entretenus avec les différents milieux concernés sont plus importants que jamais pour notre profession. Pour être utilisable au titre de référence, la mensuration officielle doit tout d abord être disponible sur l ensemble du territoire national. Toute lacune réduit considérablement la valeur attachée à un jeu de données de référence. Nous nous devons, en notre qualité de représentants des cantons, d ouvrir de nouvelles entreprises, d adjuger des travaux et de clore rapidement les entreprises en cours afin de combler au plus vite les lacunes qui subsistent. La Confédération dispose des moyens financiers requis pour mener cette tâche à bien utilisons-les. La «Stratégie de la mensuration officielle pour les années 2012 à 2015» prévoit entre autres choses un ré- examen du modèle de données. Il s agit d une belle occasion pour nos utilisateurs de voir leurs voeux en matière de mensuration officielle se réaliser. Une boîte à lettres /mail a été mise en place. Vous pouvez y déposer vos propositions, vos suggestions et vos souhaits. Vos clients le peuvent aussi. La mensuration officielle est plus qu un simple jeu de données. Elle englobe aussi l intégralité de l organisation nécessaire à sa tenue à jour. C est une structure bien rôdée. Bien rares sont les autres jeux de données à être mis à jour en permanence comme c est le cas de la mensuration officielle et à être soumis, là où aucun système d annonces ne peut être mis en place, à un contrôle et à une mise à jour périodiques supplémentaires. De nouvelles réponses s esquissent également pour ces questions d ordre organisationnel, recelant un énorme potentiel. La technique continue elle aussi à aller inlassablement de l avant. Il convient assurément d évaluer les possibilités qu elle offre et de les exploiter le cas échéant. Si la mensuration officielle qu il s agisse des données, de l organisation, de la technique, de l administration, de la formation initiale et continue fonctionne bien, c est parce que derrière chacune de ces différentes notions, on retrouve des hommes et des femmes engagés, qui consacrent l essentiel de leur énergie à l un des aspects évoqués, si ce n est à plusieurs. C est aussi pour cela que je me réjouis de pouvoir contribuer, grâce à notre conférence, à la collaboration entre toutes ces personnes, à l échange de points de vue entre elles et à la communauté qu elles forment. Le service fédéral auquel nous sommes subordonnés, la Direction fédérale des mensurations cadastrales, s est par ailleurs chargé de donner un cadre optimal à notre conférence annuelle à Berne. Je voudrais l en remercier chaleureusement une nouvelle fois ici. Christian Dettwiler cadastre 10 Décembre
4 Articles techniques Dimension cadastre Vision de la mensuration officielle La mensuration officielle suisse (MO) a déjà vécu avec succès une réforme d envergure dans les années , la REMO. On constate que les décideurs de l époque avaient vu juste puisque les concepts visionnaires d alors sont aujourd hui parfaitement d actualité. Bien que certains éléments n aient toujours pas été mis en œuvre partout, cette réforme a été salutaire pour notre domaine d activité. Si on devait toutefois émettre une critique, elle serait que certains cantons aient tardés à démarrer la mise en œuvre de ces concepts. On ne dispose actuellement que d une œuvre cadastrale pas encore achevée partout, ce qui porte finalement préjudice à l entier de la MO suisse. Depuis quelques années, le comité de la Conférence des services cantonaux du cadastre (CSCC) et la Direction fédérale des mensurations cadastrales (D+M) ont émis le souhait de définir une vision stratégique sur le devenir de la mensuration officielle et le rôle futur des services cantonaux: Quels sont les impacts du développement fulgurant des nouvelles technologies, de l essor d internet, de la démocratisation de la donnée géographique, des réseaux sociaux sur le métier du cadastre? Quelles directions, tendances faudra-t-il intégrer dans nos métiers et patrimoines informationnels? Pour ce faire, ils ont mandaté Avenir Suisse pour une étude permettant de répondre à ces interrogations. Celle-ci a été menée sur la base de six thèses de travail et des interviews de responsables issus de l administration fédérale et de services cantonaux. Les six thèses étaient: 1. Le territoire considéré dans ses 3 dimensions. 2. Le territoire dans son évolution temporelle et historique. 3. Le territoire enchevêtré avec les territoires voisins dans une approche fonctionnelle. 4. L usage participatif et sociétal de la propriété. 5. La réalité augmentée, à savoir les «ajouts», les services nouveaux proposés par la société civile ellemême. 6. La dimension connaissance («knowledge society»). Les échéances prévisibles pour la mise en application de ces six thèses vont de quelques années à quelques décennies. Il semblerait donc urgent d établir par canton, mais aussi au niveau de la Confédération, une sorte de «road map» évolutive des systèmes d information du territoire (SIT). Le manque de visibilité face aux nombreux changements, notamment technologiques, pose actuellement problème à de nombreux cantons. Enfin, l offre de formation actuelle va poser problème, notamment en ce qui concerne les besoins en personnel très hautement qualifié. L étude se conclut finalement par quatre propositions: Proposition 1: Des systèmes d information du territoire vers des systèmes de connaissance des territoires Cette étude est arrivée à la conclusion que les SIT devraient, pour répondre aux besoins nouveaux du politique et de la population, évoluer vers un système plus complexe incluant des dimensions nouvelles (spatial / temporel et sociétal) afin de pouvoir offrir une modélisation effective pour ces nouveaux enjeux. En proposant un schéma global appelé «système de connaissance des territoires» (SCT), cette étude offre des perspectives structurantes aux demandes actuelles des services cantonaux et fédéraux du cadastre. En effet, ce SCT est à la fois une extension des SIT vers l intégration des modèles de connaissance et exprime cette transition significative à travers les observations en cours. En un mot, il prolonge le modèle existant. Proposition 2: Création d un Think Tank Prospective, Promotion et Persuasion sont les trois axes fondamentaux à mettre en place quoi qu il arrive. La création d un «Think Tank» (ou laboratoire d idées) national peut résoudre simplement cette nécessité. Il existe évidemment d autres formes plus souples comme les réseaux, les associations ou les conférences. En privilégiant une approche institutionnelle de type «Think Tank», les responsables cantonaux et fédéraux créeraient d emblée une action forte qui établirait dans le paysage politique et administratif une réalité nouvelle favorisant par là même la promotion du domaine. Les modalités de mise en place d une telle institution peuvent évidemment être largement discutées, mais sa force de persuasion est difficile à remettre en cause. Proposition 3: Une adresse IP par parcelle Avec la nouvelle version des adresses Internet (IPv6), on dispose d environ 3,4 x adresses, soit plus de 667 millions de milliards d adresses par millimètre carré de surface terrestre. Cela devrait largement suffire pour que chaque parcelle du territoire suisse dispose d une adresse unique. Cette proposition ne va pas à l encontre des approches de géoréférence ou de géoloca lisation des territoires; bien au contraire, elle les complète. En effet, à terme, on pourrait avoir un système permettant d installer de l intelligence (instruments mobiles ou non avec adresse IP sur les parcelles) et des systèmes globaux de références et de géoloca lisation. Ces deux approches s additionnent, puisque l une offrirait de la 2D / 3D et l autre toutes les autres dimensions à venir, comme par exemple celles historiques, mesure en temps 4 cadastre 10 Décembre 2012
5 réel, interaction sociale «augmentée», etc. Imaginer un avenir lié à la connaissance des territoires, c est aussi envisager la construction du futur sous un autre angle. C est un pas en direction de l internet sémantique ou le web 3.0. Proposition 4: Vers l acquisition de nouvelles connaissances: un leadership en risque La formation des ingénieurs dans les Ecoles polytechniques fédérales de Zürich et de Lausanne a perdu en importance ces dernières années. La relève dans le domaine géométrie et géomatique est de plus en plus assurée par les deux HES d Yverdon et de Muttenz. Cependant, avec l évolution prévisible vers des systèmes de connaissances des territoires, il apparaît clairement qu autour de la profession historique de géomètre doivent se former des équipes pluridisciplinaires. Tout l enjeu est là: «Est-ce que les services du cadastre seront à l avenir toujours dirigés par des géomètres?» Il est à parier que non! Le rapport final complet intitulé «Dimension Cadastre» est disponible et peut être consulté sur le site du cadastre ( a MO a Thèmes a Projets a Vision de la mensuration officielle). Sur la base de ce rapport et des propositions formulées, la CSCC et la D+M ont décidé, comme première mesure, de mettre sur pied la proposition 2, le «Think Tank Dimension Cadastre» dès Ce groupe aura pour tâches de réfléchir au développement de la MO à court, moyen et long terme. Il décidera des études et recherches à mener pour trouver les solutions pour franchir les obstacles existants, rédigera des rapports ponctuels spécifiques accompagnés de propositions concrètes, informera et formera au travers d ateliers ou de présentations particulières. Les réflexions et propositions du Think Tank seront rapportées périodiquement dans un «Livre blanc de la MO», qui esquissera les probables développements technologiques, sociétales et professionnels. Ce document servira notamment de base pour la rédaction de la stratégie quadriennale de la MO. Martin Raubal (haute école, SIG/SIT) Stephan Röthlisberger (administration fédérale, stratégie IT) Pierre-Alain Trachsel (administration cantonale, MO) Daniel Steudler (administration fédérale, MO) Fridolin Wicki (administration fédérale, MO) En conclusion, nous sommes à la veille d un changement radical d objectifs dans notre domaine d activité. Cela nécessitera une approche différente des systèmes théoriques, des instruments pratiques, des technologies nouvelles, mais surtout une compréhension profonde de la nature du changement qui introduit des dimensions jusqu alors absentes du cadastre. Le Think Tank «Dimension Cadastre» aura la tâche d en esquisser les contours, de les communiquer et de les traduire en mesures et propositions concrètes. Nous ne manquerons de vous tenir informer dans cette revue spécialisée et sur Robert Balanche Direction fédérale des mensuration cadastrales swisstopo, Wabern robert.balanche@swisstopo.ch A ce jour, les personnes pressenties pour faire partie de ce groupe sont: Robert Balanche (administration fédérale, MO) Cristiano Bernasconi (industrie privée, MO) Xavier Comtesse (industrie privée, consultant) Peter Dütschler (industrie privée, MO) François Golay (haute école, SIG/SIT) Stefan Nebiker (haute école, photogrammétrie) Laurent Niggeler (administration cantonale, MO) Roland Pfäffli (administration cantonale, registre foncier) cadastre 10 Décembre
6 Géoservices d ampleur nationale des cantons et des communes Pour la Suisse, la géoinformation constitue un élément d infrastructure essentiel dont l importance sera bientôt comparable à celle des réseaux de transport, de communication ou encore d approvisionnement en énergie et en eau. Il s agit d un rouage primordial de l économie et d un bien de premier ordre du point de vue politique et socioéconomique. Et pour qu un accès aisé et financièrement avantageux à une offre optimale en géoinformations puisse être garanti, une infrastructure nationale de données géographiques (INDG) est actuellement mise en place en tenant compte des principes politiques qui régissent notre pays (fédéralisme, principe de légalité, subsidiarité). La géoinformation, un bien de premier ordre Aujourd hui, de nombreuses décisions de nature politique, économique et sociale seraient bien plus difficiles à prendre en l absence de géoinformations. Ces dernières sont devenues indispensables pour la modélisation et l analyse des interdépendances dans le temps et dans l espace de processus naturels qui sont par ailleurs marqués par l action de l homme sur les terres qu il occupe. Ainsi, la stratégie fédérale pour l information géographique a été approuvée par le Conseil fédéral en 2001, dans le but de garantir, à terme, un accès simplifié et à prix modique à l information géographique pour toute personne intéressée. Il s agissait alors d accroître la disponibilité de géoinformations de qualité élevée et de contribuer ce faisant à la croissance économique, à l amélioration de l environnement, au développement durable et au progrès social. Cette stratégie a été concrétisée par l élaboration de bases légales qui s en est suivie. 1 Bases légales de la géoinformation Les lois sur la géoinformation édictées par la Confédération, les cantons et les communes exigent actuellement que des informations spatiales parfaitement à jour concernant leurs territoires respectifs soient disponibles rapidement, durablement et au niveau de qualité adéquat. Les informations spatiales doivent par ailleurs être harmonisées et utilisables simplement. Des exigences en découlent pour les infrastructures de géoinformation d ampleur nationale, cantonale et communale. Les géoservices jouent un rôle essentiel dans ce cadre et leur interconnexion permet de proposer des géoservices thématiques sur l intégralité du territoire suisse. C est dans cette optique que des géoservices unifiés et harmonisés doivent être proposés pour les géodonnées de base relevant du droit fédéral, de niveaux d autorisation d accès A (accès public) et B (accès partiellement public), pour lesquelles les cantons et les communes sont compétents. Les géodonnées de base englobent l intégralité des géoinformations répertoriées dans le catalogue figurant en annexe de l ordonnance sur la géoinformation 2. A titre d exemple, les cantons et les communes assument la responsabilité des géodonnées de base de la mensuration officielle, du cadastre des sites pollués, des surfaces agricoles cultivées ou des données de protection des eaux. Qu appelle-t-on géoservices et pourquoi les utilise-t-on? Un géoservice permet l utilisation interactive, à base Internet, de données géoréférencées. Un géoportail ou SIG client constitue l interface entre l utilisateur et le géoservice et permet donc une obtention ciblée d informations à partir de tels services. Selon la loi fédérale sur la géoinformation 3, les géoservices sont des applications aptes à être mises en réseau et simplifiant l utilisation des géodonnées par des prestations de service informatisées y donnant accès sous une forme structurée. Pourquoi utilise-t-on des géoservices? Les maîtres des données obtiennent ou conservent le contrôle de l utilisation et de la mise à jour des données et des services Les redondances dans la conservation des données peuvent être réduites Les géoservices peuvent être interconnectés et combinés entre eux L actualité des données peut être garantie L utilisation des géoservices est indépendante de toute localisation, si bien qu elle est également possible sur des équipements mobiles Les géoservices encouragent l interopérabilité Les géoservices peuvent être mis à la disposition d un large public Les géoservices permettent le crowdsourcing (externalisation ouverte) Les géoservices ouvrent de nouvelles possibilités pour l optimisation de processus Les géoservices encouragent l innovation et créent une valeur ajoutée... 1 Moreni, C.; cf. aussi Riedo, M.; Golay, F.; Najar, C.; Giger C. (2003): Etude préliminaire au projet e-geo.ch Aspects organisationnels et techniques. Editeurs: COSIG, Laboratoire de systèmes d information géographique (EPFL) et GeoInformation Technologies Group ETHZ, Suisse. 2 OGéo, ordonnance sur la géoinformation, RS Loi fédérale sur la géoinformation (loi sur la géoinformation, LGéo), RS cadastre 10 Décembre 2012
7 Géoportail national Schweizerische Eidgenossenschaft Schweizerische Confédération suisse Eidgenossenschaft Confederazione Svizzera Confédération suisse Confederaziun svizra Confederazione Svizzera Confederaziun svizra Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports DDPS Département armasuisse fédéral de la défense, de Office la protection fédéral de de topographie la population swisstopo et des sports DDPS armasuisse Office fédéral de topographie swisstopo Géoservices Protection de l accès Agrégation de géoservices Utilisateurs locaux Unification des géoservices harmonisés: L agrégation de géoservices est le nouveau moyen, financièrement optimal, choisi par les cantons et les communes pour réunir à l échelle suisse des géodonnées relevant de leur compétence. Avec la mise en oeuvre d une infrastructure nationale de données géographiques (INDG), ces services peuvent être utilisés directement, sur un poste de travail, ou via un géoportail. Avec ces géoservices, une offre optimale est proposée aux clients issus de l administration et du secteur privé. Les géoservices agrégés génèrent un bénéfice pour l économie nationale et peuvent contribuer à la croissance économique. AG AI ZG ZH que leurs propriétés sont consultables à l adresse sur le «portail suisse des géoservices harmonisés des cantons». Figure 1: INDG un géoservice unifié et harmonisé fournit des informations spatiales issues de tous les cantons ou de toutes les communes de Suisse et portant sur un thème donné. 4 Cf. aussi: Baumann, R.; Kalberer, P.; Rischatsch, D.; Spälti, K. (2011): Vereinen harmonisierter Geodienste Ein Beitrag der Kantone und Gemeinden für den Aufbau der nationalen Geodateninfrastruktur und für das nationale Geoportal. Version 1.1. Suisse. 5 CIGEO: Coordination intercantonale des géoinformations 6 Cf. aussi: Giger, Ch.; Loidold, M. (2009): Konzept Nationales Geoportal der Schweiz. Editeur: e-geo.ch. Selon l OGéo, les géoservices peuvent prendre les formes suivantes: services de consultation services de téléchargement services de recherche services de transformation Mise en place de l INDG 4 Des activités visant à la mise en place d une INDG ont été lancées dans le cadre d e-geo.ch. La CIGEO 5 coordonne la mise en place de l INDG au niveau des cantons et des communes dans le cadre du projet d unification des géoservices harmonisés. Cette unification constitue une condition importante dans l optique de la mise en place et de l exploitation du géoportail national et exerce une influence décisive sur la mise en oeuvre de l INDG. Tant dans sa conception qu au niveau de ses méthodes, l unification des géoservices harmonisés tient compte des principes politiques régissant la Suisse (fédéralisme, principe de légalité, subsidiarité) et permettra d étendre le géoportail national de manière ciblée et financièrement avantageuse dans le futur. 6 Le géoportail national est en cours de constitution. A terme, il sera en mesure d intégrer un géoservice unifié et harmonisé par thème. En règle générale, ce géoservice thématique fournira des géoinformations issues de tous les cantons ou de toutes les communes de façon à couvrir l intégralité du territoire suisse. Les premiers géoservices d ampleur nationale des cantons ainsi Agrégation des géoservices Dans le cadre du projet d unification des géoservices harmonisés, la CIGEO exploite une infrastructure d agrégation centralisée, proposant des services de consultation sous la forme aussi bien de services cartographiques web (WMS, Web Map Services) que de services cartographiques mosaïqués (WMTS, Web Map Tile Services). Ces derniers garantissent des temps de réponse courts et accroissent ainsi la disponibilité. Actuellement, l agrégation de services d entités géographiques (WFS, Web Feature Services) est en cours de développement. Elle permettra de proposer une offre de services de recherche et de téléchargement d ampleur nationale. Il s agit, pour tous les géoservices mentionnés, de normes ouvertes de l OGC (Open Geospatial Consortium), établies dans une optique d interopérabilité. La mise en place d une telle solution pour l unification des géoservices harmonisés doit apporter un soutien optimal à notre système fédéraliste et décentralisé, grâce à une gestion répartie des données. Elle constitue également une contribution importante des cantons et des communes à l infrastructure nationale de données géographiques (INDG) et donc au géoportail national. Le système de l unification des géoservices harmonisés via une infrastructure d agrégation est source d avantages essentiels pour les fournisseurs mais aussi pour les destinataires des informations. L harmonisation des données lors de leur présentation est automatisée, si bien que les actualisations effectuées par les maîtres des données sont directement visibles dans le WMS pour l utilisateur final. Le «Tile-Cache» pour la généra- cadastre 10 Décembre
8 tion du WMTS est reproduit dans l infrastructure d agrégation au moyen d un processus d actualisation efficace. Cela permet aux utilisateurs finaux d obtenir des WMTS quasiment actuels pour tous les cantons et les infrastructures des fournisseurs d informations ne sont sollicitées, de manière intelligente et efficace, que durant la procédure d actualisation. L agrégation de géoservices est donc le nouveau moyen, financièrement optimal, permettant aux cantons et aux communes de réunir les géodonnées de base relevant de leur responsabilité. Ce faisant, une offre optimale peut être proposée aux clients issus de l administration et du secteur privé. Agrégation: les composants du système Un agrégateur réunit les géoservices des maîtres des données sur la base d un masque spatial et d une configuration. Des paramètres peuvent être définis dans la configuration de l agrégateur, relatifs à la réunion des WMS des différents maîtres de données. En cas de besoin, cela permet aussi l agrégation de géoservices n ayant pas (encore) été générés sur la base d un modèle de géodonnées harmonisé. La définition de la sortie dans le fichier de configuration permet ainsi de produire des géoservices harmonisés et unifiés, pouvant être directement intégrés par des SIG clients locaux. «MapCache» est une interface de serveur permettant la création d un «Tile-Cache» pour l ensemble des couches définies dans l agrégateur pour la sortie. L interface génère ainsi un WMTS performant qui sera présenté à l avenir sur le portail suisse des géoservices harmonisés des cantons et sur le géoportail national. Administration et utilisation des géoservices Un outil d administration profilé, convivial, multilingue et à base Internet doit permettre aux maîtres des données de garder le contrôle des géoservices et de leur utilisation. Chaque maître de données peut gérer ses géoservices thématiques via une application à base Internet et donner son feu vert à la consultation en fonction du demandeur considéré. Les maîtres des données ont un droit de regard sur l utilisation de leurs géoservices et peuvent la contrôler. Via cette plateforme, l utilisation peut être restreinte dans l espace (en l interdisant par exemple pour certains cantons), dans le temps (par le biais de la durée de commande minimale fixée par les cantons), par thèmes et par types (par exemple WMS ou WMTS). L utilisateur final se voit attribuer un URL par thème, qu il peut alors intégrer dans un SIG pour y agréger le géoservice. Les maîtres des données peuvent et doivent veiller eux-mêmes à la parfaite actualité des «Tile Caches» de leurs géoservices ou d éventuelles géodonnées dans l infrastructure d agrégation. En cas de dysfonctionnements de leurs géoservices, Web Clients Géoportail national Infrastructure d agrégation WMTS tiles.geodienste.ch MapCache WMS / WFS Desktop Clients SIG Client Tile Cache Figure 2: les composants du système: le système d unification des géoservices harmonisés comprend trois composants principaux - les clients, l infrastructure d agrégation et les géoservices des maîtres des données (cantons, communes et Principauté du Liechtenstein) WMS Configuration (yaml) wms.geodienste.ch MapCache Masks WMS / WFS WMS / WFS WMS / WFS WMS / WFS WMS / WFS AG AI... ZG ZH WMS des maîtres des données 8 cadastre 10 Décembre 2012
9 les maîtres des données sont informés des messages d erreur délivrés par une procédure d avertissement automatique. Ils sont alors tenus de remédier sans délai aux problèmes survenus. Publication sur le géoportail national A l avenir, les géoservices des cantons harmonisés à l échelle du pays seront consultables sous forme de WMTS sur le géoportail national. Ce dernier remplira les fonctions modernes assurées par les visualiseurs de cartes actuels. Les géoservices doivent ainsi pouvoir être visualisés et combinés. En outre, les fonctions usuelles de recherche et de localisation doivent être proposées conjointement à la possibilité d une impression. WFS Des services de recherche et de téléchargement d ampleur nationale devront être proposés à l avenir sur la base d une agrégation de WFS. Cette agrégation s accompagnera par ailleurs d un grand nombre d avantages et de possibilités techniques, parmi lesquels: Délestage des infrastructures cantonales: une agrégation de WFS permet de réduire considérablement les quantités de données à transférer des infrastructures cantonales à l infrastructure d agrégation, pour autant qu il ne s agisse plus de données d images et que les données puissent en outre être transférées sous une forme compressée. Performance: les géoservices harmonisés unifiés (WMS et WMTS) peuvent être générés directement dans l infrastructure d agrégation à partir des WFS agrégés. Ainsi, les WMS pourraient aussi être proposés en cas de défaillance d infrastructures de maîtres de données, comme c est le cas pour les WMTS. Agrégation & actualité automatisées: il sera possible pour les WFS, sur le modèle de ce qui l est pour les WMS et les WMTS, de configurer et d automatiser l agrégation et de l associer à une interface d actualisation. Les maîtres des données pourront ainsi planifier et lancer simplement des actualisations, comme ils le peuvent déjà pour les WMTS. Autrement dit, des géoservices parfaitement actuels pourront aussi être proposés dans le cas d une agrégation de WFS. Représentation unifiée et unique: la représentation des données peut être directement élaborée et définie dans l infrastructure d agrégation. Les cantons et la Principauté du Liechtenstein n auraient donc pas à mettre en oeuvre les modèles de représentation pour chaque thème. La définition unique de la représentation dans l infrastructure d agrégation permettra en outre de garantir des géoservices harmonisés à 100 % du point de vue optique, pour autant que les données soient correctement et intégralement modélisées. Intégration des géoservices dans des projets nationaux et intercantonaux: l agrégation de WFS est la condition sine qua non pour pouvoir satisfaire aux exigences de projets d ampleur nationale tels qu egris ou GADES. Les cantons se verront donc offrir la possibilité de participer à ces projets via l infrastructure d agrégation et seront en mesure de superviser l utilisation et la gestion de leurs géoservices en toute indépendance. Perspectives Si l infrastructure d agrégation continue à se développer sur le plan technique, les travaux liés à l harmonisation des géodonnées de base (ainsi qu à celle des modèles de données et de représentation associés) progressent eux aussi. Ainsi, d autres géoservices pour des géodonnées de base de niveaux d autorisation d accès A et B de la responsabilité des cantons et des communes vont être élaborés au cours des prochaines années, seront intégrés dans l infrastructure d agrégation puis finalement publiés sur le géoportail national. Une publication de géoservices est en préparation actuellement. La date de cette publication dépend de différents critères. Il appartient en principe aux maîtres des données de décider à partir de quand leurs géoservices doivent être mis à la disposition du public, à titre gracieux ou onéreux. La publication suppose toutefois que des géoservices techniquement mûrs et performants puissent être proposés avec une bonne disponibilité. Les premiers géoservices harmonisés unifiés des cantons et des communes (uniquement des WMS dans un premier temps) devraient vraisemblablement être proposés au public à compter de l été Dominic Kottmann CIGEO, Lucerne dominic.kottmann@ikgeo.ch cadastre 10 Décembre
10 Action régalienne dans la mensuration officielle Le fait qu une action revête ou non un caractère régalien joue un rôle important dans le droit régissant le marché intérieur suisse et influe également sur l activité que des ressortissants étrangers peuvent exercer en Suisse. Le présent article vise à montrer, en se fondant sur une récente expertise juridique 1, que les activités à caractère régalien sont très peu nombreuses en mensuration officielle contrairement à une idée largement répandue. Il constitue par ailleurs le premier volet d une série de contributions abordant diverses questions de droit international 2 en rapport avec la mensuration officielle. Fondements de l activité régalienne Une question de fond se pose dans l optique de la libre circulation des personnes et de la libre prestation de services conclue avec l Union européenne (UE), celle de savoir si les règles de libre circulation peuvent être restreintes dès lors que des ressortissants étrangers peuvent être amenés à exercer la puissance publique 3 dans le cadre de leur travail. Au niveau suisse, la distinction entre activités régaliennes et non régaliennes revêt également de l importance, puisque c est l applicabilité de la loi sur le marché intérieur (LMI) 4 qui en dépend. L accomplissement de tâches publiques ne se confond pas avec l exercice de la puissance publique, même si c est l administration publique comprise au sens strict (les organes et le personnel de l Etat) qui se charge d assurer ces tâches. La jurisprudence suisse ne contient aucune définition claire et consolidée de l action régalienne. Pour distinguer alors l activité administrative présentant un caractère régalien de celle qui en est dénuée, la doctrine et la jurisprudence font appel aux deux critères suivants: l action de l Etat est généralement régalienne lorsque des règles de droit public trouvent à s appliquer, le droit privé étant marqué par le principe de l autonomie privée. Une action régalienne se caractérise ensuite par la présence d un rapport de subordination entre l Etat et les destinataires de l action menée. Ces deux critères sont notamment remplis lorsque l Etat agit par voie de décision, donc par une disposition unilatérale, juridiquement contraignante et fondée sur le droit public. Et comme le rapport du Conseil fédéral sur le gouvernement d entreprise le précise, la préparation politique (par exemple celle des lois) et la politique étrangère sont généralement considérées comme des tâches régaliennes par essence. 5 Considérée sous un angle différent, à savoir celui des justiciables concernés, la distinction s effectue entre administration restrictive et administration de service public: on parle d administration restrictive en cas d ingérence de l activité administrative dans les droits et les libertés des destinataires de l action de l Etat et de restriction de ces derniers; on parle d administration de service public si l administration accorde des avantages aux destinataires de l action de l Etat, notamment au travers de prestations en nature, financières ou de services. La notion d action régalienne peut aussi être envisagée sous un angle encore différent, plus pragmatique, en lien avec la LMI. Seules les activités régaliennes «classiques» doivent encore être exclues du champ d application de la loi. En font notamment partie les tâches de contrôle, de surveillance et d intervention qui résultent du droit administratif public. Parmi les exemples les plus représentatifs de telles activités régaliennes «classiques», on peut citer la police (forces de sécurité, police criminelle et certains domaines de la police de la route), la police des constructions, celle de la santé publique et la police alimentaire, le droit de l environnement, l intégralité du droit fiscal ainsi que la répression pénale et l exécution des peines. Du point de vue de la LMI, l unique critère d appréciation du caractère régalien d une activité est donc l existence d un rapport de subordination entre l Etat et les destinataires de son action. Ce critère est notamment satisfait lorsque l Etat agit par voie de décision ou par une contrainte directe (force policière). Les activités pouvant également être proposées librement sur le marché n entrent pas dans la catégorie de l action régalienne au sens de la LMI. Le caractère régalien est interprété d une manière similaire, tout aussi restrictive, dans le cadre de la libre circulation des personnes et de la libre prestation de services. 6 La Cour de justice des Communautés européennes (CJCE), dont la jurisprudence est appliquée par analogie ici, a par ailleurs estimé que seules peuvent être réservées aux ressortissants du pays les activités propres à une profession qui intègrent une participation directe et spécifique à l exercice de l autorité ou de la puissance publique. Ainsi, l exclusion ne concerne pas l exercice de la profession dans son ensemble. Il ne s agit donc pas d évaluer une profession en tant que telle, mais certaines des activités qui résultent de son exercice. A titre d exemple, l activité notariale, c.-à-d. l authentification d actes, ne présente pas de caractère régalien, de l avis de la CJCE. 1 Daniel Kettiger / Matthias Oesch: Les conséquences du droit international sur la mensuration officielle en Suisse, expertise juridique du 31 août 2012 (version 4.0) pour le compte de l Office fédéral de topographie 2 Des contributions supplémentaires suivront dans «cadastre» n 11 et 12 3 Accord du 21 juin 1999 entre la Confédération suisse d une part, et la Communauté européenne et ses Etats membres, d autre part, sur la libre circulation des personnes (ALCP), RS Loi fédérale du 6 octobre 1995 sur le marché intérieur (LMI), RS Cf. Rapport sur le gouvernement d entreprise, FF , p Cf. Kettiger / Oesch (note 1), p. 27 ss. 10 cadastre 10 Décembre 2012
11 Foto: KEYSTONE 7 Ordonnance du 18 novembre 1992 sur la mensuration officielle (OMO), RS Premier relevé, renouvellement, numérisation préalable et mise à jour périodique En matière de premier relevé, de renouvellement, de numérisation préalable et de mise à jour périodique, seules les activités suivantes présentent un caractère régalien: examen préalable, enquête publique et approbation de l oeuvre cadastrale. Ces tâches sont exclusivement réservées aux autorités. L examen préalable relève de la compétence de la Direction fédérale des mensurations cadastrales (art. 27 al. 1 OMO 7 ). L enquête publique portant sur l oeuvre cadastrale, procédure d opposition comprise (procédure administrative formelle incluant les décisions relatives aux oppositions formées) est réservée à une autorité administrative. Il en va de même pour l approbation (art. 29 al. 1 OMO). Les autres travaux relevant du premier relevé, du renouvellement, de la numérisation préalable et de la mise à jour périodique, pouvant être exécutés par des acteurs du secteur privé dans le cadre d un mandat (entreprise), sont dénués de tout caractère régalien. Il n est donc pas possible de restreindre le droit à la libre circulation des travailleurs étrangers pour ces diverses activités en se fondant sur l exercice de la puissance publique. Mise à jour permanente La répartition des tâches entre le secteur privé et l administration publique en matière de mise à jour et de gestion de la mensuration officielle est très largement définie par le droit cantonal. Il en résulte que la Suisse compte un grand nombre de modèles différents. Deux modèles de base peuvent toutefois être distingués, chacun d entre eux comportant une sous-variante principale: a. Mise à jour permanente et gestion des données aux mains d un seul intervenant: Un service unique se charge de la mise à jour permanente et de la gestion de la mensuration officielle. Il peut s agir soit d une unité organisationnelle de l administration publique, soit d une entreprise privée mandatée à cette fin. b. Séparation de la mise à jour permanente au sens strict et de la gestion des données: Les travaux de la mise à jour permanente peuvent être exécutés par toute personne inscrite au registre Pourquoi une expertise juridique? L Office fédéral de topographie a commandé une expertise juridique dont l objectif a été de procéder à une analyse détaillée des conséquences du droit international sur la mensuration officielle. Cette expertise constitue une excellente base pour les professionnels de la MO, puisqu elle leur permet d étudier les différentes questions en lien avec le droit international et de prendre les mesures appropriées lorsqu elles s avèrent nécessaires. Nous souhaitons profiter de l expertise juridique pour ouvrir un large débat. Pour y participer, utilisez la «boîte aux lettres» sur / mail. Direction fédérale des mensurations cadastrales des géomètres. La gestion des données est en revanche confiée soit à une unité organisationnelle de l administration publique, soit à une entreprise privée mandatée à cette fin. Dans le cas de la mise à jour permanente, seules les deux activités suivantes peuvent être qualifiées de régaliennes: lorsqu un géomètre conservateur est en droit de prendre lui-même une décision portant sur un accès contesté aux données de la mensuration officielle, il dispose d un pouvoir de disposition, car dans la plupart des cantons où la gestion des données n est pas assurée par l administration elle-même, le rapport entre les géomètres conservateurs et les acquéreurs de données du secteur privé est un rapport de droit public et de subordination et non un rapport contractuel. Il en va de même lorsque le géomètre conservateur n établit pas seulement des factures mais peut aussi fixer des émoluments (de droit public) par voie de décision contraignante. En présence de l une ou l autre de ces activités régaliennes, on peut considérer que la fonction de géomètre conservateur présente un caractère régalien dans le canton considéré, en raison de l impossibilité à séparer, tant dans les faits que sur le plan juridique, les activités régaliennes des autres travaux de mise à jour. Daniel Kettiger Avocat, Mag. rer. publ., Berne info@kettiger.ch Matthias Oesch PD Dr. iur., LL. M., professeur assistant, avocat Institut de droit économique européen et international, université de Berne, Berne matthias.oesch@iew.unibe.ch cadastre 10 Décembre
12 Plan du registre foncier et bonne foi ouvrir l oeil, et le bon! Même si le plan du registre foncier représente un mur comme mitoyen, l acquéreur qui, en observant les deux maisons depuis la rue, aurait pu constater que ce mur n est pas contigu sur l avant ne peut pas invoquer sa bonne foi dans le registre foncier. Arrêt du Tribunal fédéral (IIe Cour de droit civil) du 2 novembre 2011 (5A_431/ 2011) Les faits En 1998, lors de la numérisation du plan du registre foncier, une erreur s est produite dans la représentation du mur séparant deux parcelles: un mur a été représenté comme mitoyen sur toute sa longueur, alors que, sur le plan initial, il n était représenté comme mitoyen que sur une partie seulement de sa longueur. En 2001, l immeuble profitant de la mitoyenneté totale du mur a été acquis par A. En 2002, les organes de la mensuration ont constaté la divergence entre les deux plans et l office du registre foncier a, sans en informer les parties, corrigé le plan numérisé du registre foncier pour le rendre conforme à l ancien plan. En 2009, A a ouvert une action en rectification du registre foncier tendant à ce que le mur litigieux soit, sur le plan numérisé, à nouveau représenté comme mitoyen sur toute sa longueur. L arrêt Le Tribunal fédéral rappelle d abord que celui qui acquiert la propriété ou d autres droits réels en se fondant de bonne foi sur une inscription (erronée) du registre foncier est maintenu dans son acquisition. L exactitude du plan du registre foncier, qui est partie constitutive de ce registre, est également élevée au rang de fiction à l égard de l acquéreur de bonne foi de l immeuble. L arrêt rappelle ensuite que la bonne foi de l acquéreur est présumée, mais qu elle ne peut pas être invoquée par celui qui n a pas fait preuve de l attention que les circonstances permettaient d exiger de lui. Ainsi, l acquéreur d un immeuble qui a connaissance de faits propres à faire douter de l exactitude du registre foncier doit s enquérir plus avant. Plus précisément, il n est pas nécessaire que l acquéreur ait effectivement pris conscience de ces faits; il suffit qu il eût pu et dû réaliser la situation en faisant preuve de l attention nécessaire. La mesure de cette attention est une question de droit, soumise au pouvoir d appréciation du tribunal. L état physique réel et extérieurement visible d un bienfonds peut donc faire échec à la bonne foi de l acquéreur lorsque ce dernier, en observant les lieux, aurait pu et dû avoir des doutes sur l exactitude du registre foncier. C est effectivement, conclut l arrêt, ce qu aurait dû faire A en l espèce en observant les deux maisons depuis la rue située à l ouest des bâtiments. Il aurait alors remarqué que, «si leurs murs sont reliés à un seul endroit précis par une petite arche, ils ne sont en revanche nullement contigus sur l avant: au contraire, ils sont nettement séparés l un de l autre par une série d escaliers. Ils deviennent ensuite mitoyens au-delà des escaliers qui les séparent.» A aurait ainsi dû se rendre compte que le plan du registre foncier était erroné et procéder à des investigations complémentaires, notamment en consultant le plan initial. L action en rectification a donc été rejetée. Le commentaire 1. Le plan est un élément constitutif du registre foncier (art. 942 al. 2 CC 1 ), mais il ne fait pas foi au sens de l article 973 CC pour tout ce qui y figure. Sauf dans le cas de l article 973 alinéa 2, le plan fait foi quant aux limites du bien-fonds, parce que ces limites ne peuvent être modifiées que par une modification du plan et une modification correspondante du feuillet du bien-fonds au grand-livre du registre foncier (voir notamment TF 2, 5A_365 / 2008, cons ). En revanche, le plan ne fait pas foi quant à l état descriptif du fonds (présence d un bâtiment, d une forêt, d une place, etc.), car ces éléments peuvent être modifiés sans que cela passe par une modification correspondante du plan (et de l état descriptif de l immeuble au feuillet du registre foncier). Le registre foncier ne fait d ailleurs pas non plus foi de la surface du fonds (voir l art. 219 al. 2 CO 3 et ATF 119 II 341 = JdT 1994 I 291). L acquéreur d un fonds peut donc se fier au plan du registre foncier quant à l emplacement de la limite du fonds, mais non quant aux autres éléments de l état descriptif de l immeuble qui y figurent. La portée de l indication donnée par le plan au sujet de la nature d un mur, en relation avec l article 670 CC, l article 686 CC et le droit cantonal relatif aux murs en limite, mériterait donc une étude plus approfondie, qui dépasse le cadre de ce commentaire (sur le mur mitoyen en général, voir la thèse de J. Droux, Le mur mitoyen à l exemple du droit fribourgeois, Fribourg 1984). 2. Indépendamment de cette question, et plus fondamentalement, cet arrêt met à nouveau en évidence que la protection de la bonne foi en matière de registre foncier n est pas inconditionnelle. Il s inscrit dans la ligne de plusieurs autres décisions du Tribunal fédéral (voir 1 Code Civil (CC), RS Tribunal fédéral 3 Code des obligations (CO), SR Arrêt du Tribunal fédéral 5 Journal des Tribunaux 12 cadastre 10 Décembre 2012
13 notamment ATF III 153 = JdT II 423, cons , 137 III 145 = JdT 2011 II 415, cons , 127 III 440 = JdT 2002 I 542, cons. 2c), qui insistent sur l attention dont doit faire preuve celui qui s intéresse à l acquisition d un immeuble pour ne pas perdre le droit d invoquer la fiction d exactitude du registre foncier. Effectivement, l article 3 alinéa 2 CC prévoit que nul «ne peut invoquer sa bonne foi, si elle est incompatible avec l attention que les circonstances permettaient d exiger de lui». Dans l appréciation qu il fait de l attention requise, le Tribunal fédéral se montre exigeant envers la personne intéressée par l acquisition d un immeuble. L arrêt résumé ci-dessus en est un nouvel exemple. Il donne l occasion de rappeler, une fois de plus, les conséquences de cette jurisprudence pour les personnes intéressées par l acquisition d un immeuble (et pour leurs conseillers). L intéressé doit examiner l immeuble avec attention et comparer ce qu il peut observer avec le feuillet du registre foncier (et si nécessaire, en matière de servitudes notamment, avec les pièces justificatives qui précisent le contenu de l inscription) ainsi qu avec le plan du registre foncier. A l évidence, un examen rapide ne suffit pas. En matière de servitudes en particulier, il faut vraiment comparer les éléments visibles sur le terrain (par exemple, l emplacement et la largeur d un chemin) avec ce qui ressort du registre foncier. Si cet examen fait naître des doutes sur l exactitude du registre foncier, l acquéreur ou la personne qui le conseille doit tirer les choses au clair, au besoin avec l aide de l office du registre foncier. On ne saurait pourtant aller trop loin sur cette voie: par exemple, même si les bornes ne sont pas (ou plus) implantées conformément au plan, on ne peut normalement pas exiger de l acquéreur qu il en fasse l observation et l empêcher ensuite de faire rétablir le bornage selon le plan du registre foncier. Sinon, chaque personne intéressée par l acquisition d un fonds devrait mandater un géomètre pour vérifier que, selon la formule du Tribunal fédéral, l «état physique réel et extérieurement visible [du] bien-fonds ( natürliche Publizität )» correspond au (plan du) registre foncier. Mais que faire si, dans les domaines où la foi publique du registre foncier s applique, une divergence apparaît? La personne intéressée par l immeuble a le choix entre deux attitudes: Elle peut d abord s accommoder de la situation telle qu elle peut l observer, mais elle doit être consciente que ni elle, ni ses successeurs ne pourront plus, par la suite, exiger le rétablissement de ce qui ressort du registre foncier; l acquisition devient une cause de modification, voire d extinction des droits qui ne correspondent pas à l état physique réel et extérieurement visible de l immeuble. Ensuite, l intéressé peut vouloir acquérir l immeuble avec les droits tels qu ils ressortent du Béatrice Devènes registre foncier; il doit alors différer l acquisition et exiger de l aliénateur que celui-ci fasse le nécessaire pour que ces droits soient respectés; encore faut-il que cet aliénateur le veuille et qu il soit lui-même en mesure de faire respecter lesdits droits, c est-à-dire qu il ne soit pas lui aussi déchu du droit d exiger le respect des droits inscrits parce qu il n a pas fait preuve de l attention nécessaire lorsqu il a acquis l immeuble. En somme, dans un tel cas, faute de l attention suffisante de la part de la personne qui veut acquérir l immeuble et d une attitude adéquate de sa part, l acquisition (à titre particulier) consolide juridiquement la situation visible sur le terrain et rend obsolètes les inscriptions contraires figurant au registre foncier. Paul-Henri Steinauer Professeur à l Université de Fribourg paul-henri.steinauer@unifr.ch Extraits de la Revue «Droit de la construction» (BR / DC) 2 / 12, p. 70s., de l institut pour le droit suisse et international de la construction Rédaction: Prof. Dr. Jean-Baptiste Zufferey, Dr. iur. Hedwig Dubler cadastre 10 Décembre
Projet: Stratégie de la mensuration officielle
Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports DDPS Projet: Stratégie de la mensuration officielle pour les années 2016 à 2019 Projet de texte du 27.02.2015 Editeur
Plus en détailMensuration officielle Plan de conservation et d archivage de données et de documents (PCA)
Directive du 23 juin 2014 (état au 29 janvier 2015) Mensuration officielle Plan de conservation et d archivage de données et de documents (PCA) Editeur Groupe de travail «Archivage de données de la MO»
Plus en détail2.2 Objet du contrôle Il y a lieu de vérifier les points suivants de manière individuelle ou combinée.
Protection des données; examen périodique des applications informatiques; CONDITIONS GÉNÉRALES (également valables lors de recours à des sociétés d audit) 1 Quiconque souhaite charger une société d audit
Plus en détailANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES
PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures
Plus en détailAVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * *
CONSEIL D ETAT Château cantonal 1014 Lausanne Commission thématique de la modernisation du parlement Secrétariat général du Grand Conseil Place du Château 6 1014 Lausanne Réf. : PM/15007041 Lausanne, le
Plus en détailOrdonnance sur les ressources d adressage dans le domaine des télécommunications
Ordonnance sur les ressources d adressage dans le domaine des télécommunications (ORAT) Modification du 19 décembre 2001 Le Conseil fédéral suisse arrête: I L ordonnance du 6 octobre 1997 sur les ressources
Plus en détail152.1. Loi fédérale sur l archivage. (LAr) Dispositions générales. du 26 juin 1998 (Etat le 1 er août 2008)
Loi fédérale sur l archivage (LAr) 152.1 du 26 juin 1998 (Etat le 1 er août 2008) L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu l art. 85, ch. 1, de la constitution 1, vu le message du Conseil fédéral
Plus en détailGuide de la pratique sur les réserves aux traités 2011
Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Texte adopté par la Commission du droit international à sa soixante-troisième session, en 2011, et soumis à l Assemblée générale dans le cadre de
Plus en détailswisstlm 3D Version 1.3 Publication 2015 Généralités sur swisstlm 3D
Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports DDPS Office fédéral de topographie swisstopo swisstlm 3D Version 1.3 Publication 2015 Généralités sur swisstlm 3D Le modèle
Plus en détailEVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE
OFFICE FEDERAL DES MIGRATIONS (ODM) MESURES D ENCOURAGEMENT DE L INTEGRATION PRISES PAR LA CONFEDERATION : PROGRAMME DES POINTS FORTS 2008-2011 EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT
Plus en détailRapport annuel 2013 des Commissions de gestion et de la Délégation des Commissions de gestion des Chambres fédérales
14.004 Rapport annuel 2013 des Commissions de gestion et de la Délégation des Commissions de gestion des Chambres fédérales du 31 janvier 2014 Messieurs les Présidents, Mesdames et Messieurs, Conformément
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détailLivre blanc ESRI Octobre 2009 Technologie ESRI et INSPIRE
Livre blanc ESRI Octobre 2009 Technologie ESRI et INSPIRE ESRI 380 New York St., Redlands, CA 92373-8100, Etats-Unis Tél. : 909-793-2853 Fax : 909-793-5953 E-mail : info@esri.com Web : www.esri.com Copyright
Plus en détailINSTRUMENTS DE PAIEMENT ET DE CRÉDIT
INSTRUMENTS DE PAIEMENT ET DE CRÉDIT MISE À JOUR OCTOBRE 2009 Christian Gavalda Jean Stoufflet Agrégé des facultés de droit Professeur émérite de l Université de Clermont-Ferrand I Doyen honoraire de
Plus en détailLa directive INSPIRE en Wallonie: le géoportail et l infrastructure de diffusion des géodonnées en Région wallonne (InfraSIG(
La directive INSPIRE en Wallonie: le géoportail et l infrastructure de diffusion des géodonnées en Région wallonne (InfraSIG( InfraSIG) Jean-Pierre KINNAERT Directeur Département de la géomatique Service
Plus en détailConcept d assurance de la qualité pour la formation à la pratique professionnelle au sein des écoles de commerce
Concept d assurance de la qualité pour la formation à la pratique professionnelle au sein des écoles de commerce La partie informative du présent concept comprend une vue d ensemble des exigences de qualité
Plus en détailOrdonnance sur le Registre fédéral des bâtiments et des logements
Ordonnance sur le Registre fédéral des bâtiments et des logements du 31 mai 2000 Le Conseil fédéral suisse, vu l art. 10, al. 3 bis, de la loi du 9 octobre 1992 sur la statistique fédérale 1, arrête: Section
Plus en détail3 Services de métadonnées avec geocat.ch. André Schneider, collaborateur COSIG; Coauteur Dominik Angst, ITV
6 Sommaire Juin 2004 Géoservices de base: Le Geocat est toujours à votre disposition. 2 Editorial Alain Buogo, responsable du centre de coordination de l information géographique COSIG 3 Services de avec
Plus en détailL Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu le message du Conseil fédéral du 15 avril 2015 1 arrête:
(Droit du registre du commerce) Projet Modification du L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu le message du Conseil fédéral du 15 avril 2015 1 arrête: I 1. Le titre trentième du code des obligations
Plus en détailECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ
ECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ 2 GUIDE POUR LA MOBILITÉ ECVET «Le système européen de crédits d apprentissage pour l enseignement et la formation professionnels (ECVET) est un cadre technique pour le transfert,
Plus en détailLoi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs
Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs (Loi sur la surveillance de la révision, LSR) 221.302 du 16 décembre 2005 (Etat le 1 er janvier 2013) L Assemblée fédérale de la Confédération
Plus en détailStatuts de «pr suisse»
Statuts de «pr suisse» Art. 1 L'Association Sous le nom «Association Suisse de Relations Publiques», «Schweizerischer Public Relations Verband», «Associazione Svizzera di Relazioni Pubbliche», «Swiss Public
Plus en détail> REnDRE LE BRuIt visible
> REnDRE LE BRuIt visible > sonbase La Base de données SIG pour la Suisse Déterminer et analyser la pollution sonore pour l ensemble de la Suisse 02 > sonbase La base de données SIG pour la Suisse La base
Plus en détailLoi fédérale sur le transfert international des biens culturels
Loi fédérale sur le transfert international des biens culturels (Loi sur le transfert des biens culturels, LTBC) 444.1 du 20 juin 2003 (Etat le 1 er janvier 2012) L Assemblée fédérale de la Confédération
Plus en détailNotes explicatives Règles de facturation en matière de TVA
Notes explicatives Règles de facturation en matière de TVA (directive 2010/45/UE du Conseil) Pourquoi des notes explicatives? Les notes explicatives visent à mieux faire comprendre la législation adoptée
Plus en détail1. Plan général d alimentation en eau (PGA) 2. Eau d extinction 3. RESEAU
OED 1. Plan général d alimentation en eau (PGA) 2. Eau d extinction 3. RESEAU 02 septembre 2011, journée d information OED Tramelan 1 1. Plan général d alimentation en eau PGA Thèmes Buts du PGA Révision
Plus en détailQuel cadre juridique pour les mesures d investigation informatique?
Quel cadre juridique pour les mesures d investigation informatique? Les Matinales IP&T Fabienne Panneau Avocat Counsel 12 mai 2011 Introduction Constat : la recherche d informations sur un serveur informatique
Plus en détailCahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes)
1 Commune municipale Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes) I. GENERALITES 1. Bases légales, prescriptions
Plus en détailNorme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière
IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers
Plus en détailpour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire
GUIDE PRATIQUE pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire Edition du 18 juin 2015 But Le présent guide pratique est un simple instrument de
Plus en détailLoi sur le Tribunal fédéral des brevets
Loi sur le Tribunal fédéral des brevets (LTFB) 173.41 du 20 mars 2009 (Etat le 1 er mars 2010) L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu l art.191a, al. 3, de la Constitution 1, vu le message
Plus en détailModèle de données pour la planification des réseaux de cheminements piétons
Office fédéral des routes OFROU GeoplanTeam SA dipl. Ing. ETH/SIA Hutzli+Kluser Mensurations Géoinformatique Technique environnementale Modèle de données pour la planification des réseaux de cheminements
Plus en détailPROPRIÉTÉ FONCIÈRE ET DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL DURABLE
PROPRIÉTÉ FONCIÈRE ET DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL DURABLE Responsables: S. Nahrath, professeur à l IUKB P. Knoepfel, professeur à l IDHEAP THÉMATIQUE ET OBJECTIFS Depuis la mise en place de la politique
Plus en détailRentaSafe La rente garantie à vie
RentaSafe La rente garantie à vie Information des consommateurs et conditions contractuelles générales Edition 2011 Votre sécurité nous tient à cœur. 2 Information des consommateurs Information des consommateurs
Plus en détailCertif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration
Certif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration Formation destinée aux cadres des secteurs public et parapublic - L ESSENTIEL EN BREF
Plus en détailLoi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs
Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs (Loi sur la surveillance de la révision, LSR) 221.302 du 16 décembre 2005 (Etat le 1 er septembre 2007) L Assemblée fédérale de la Confédération
Plus en détailCaisse de pension et propriété du logement/
Encouragement à la propriété du logement (EPL) Caisse de pension et propriété du logement/ Versement anticipé et mise en gage des avoirs issus du 2 e pilier Table des matières Mobilisation des capitaux
Plus en détailCodes des banques 9 septembre 2009
Codes des banques 9 septembre 2009 1/16 PREAMBULE Le Code des banques a été établi par l Association des banques néerlandaises (NVB) en réponse au rapport intitulé Naar herstel van vertrouwen (vers le
Plus en détailLa résolution des conflits entre Etat central et entités dotées du pouvoir législatif par la Cour constitutionnelle
La résolution des conflits entre Etat central et entités dotées du pouvoir législatif par la Cour constitutionnelle Rapport du Tribunal fédéral suisse présenté par M. le Juge fédéral Heinz Aemisegger,
Plus en détailSans cet agrément, il est interdit de pratiquer l assurance, en Suisse ou à partir de la Suisse (art. 87 LSA).
Département fédéral des finances DFF Office fédéral des assurances privées OFAP Conditions d octroi de l agrément pour l exercice de l activité d assurance Institution d assurance sur la vie avec siège
Plus en détailExposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012
Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Introduction Le Groupe Co-operators limitée est détenu et dirigé par 45 membres-propriétaires de tout le Canada, issus
Plus en détailResponsabilité civile des administrateurs et des réviseurs d une société anonyme : questions choisies
Responsabilité civile des administrateurs et des réviseurs d une société anonyme : questions choisies A. Introduction Les organes d une société anonyme de droit suisse sont le plus souvent recherchés en
Plus en détailOrdonnance sur les services de certification électronique
Ordonnance sur les services de certification électronique (OSCert) 784.103 du 12 avril 2000 (Etat le 23 mai 2000) Le Conseil fédéral suisse, vu les art. 28, 62 et 64 de la loi du 30 avril 1997 sur les
Plus en détailInitiative parlementaire Suppression des signes distinctifs pour cycles
08.520 Initiative parlementaire Suppression des signes distinctifs pour cycles Rapport de la Commission des transports et des télécommunications du Conseil des Etats du 4 mai 2010 Madame la Présidente,
Plus en détailwww.bd.com/fr IMPORTANT Bienvenue
www.bd.com/fr IMPORTANT Bienvenue Bienvenue sur www.bd.com/fr (ci-après «le Site»). Ce Site est administré par Becton Dickinson France, une filiale à 100 % de Becton Dickinson and Company (ci-après collectivement
Plus en détailRèglement relatif aux sanctions et à la procédure de sanction
Règlement relatif aux sanctions et à la procédure de sanction (dans la version du 24 décembre 2012) La commission de l'organisme d'autorégulation de l'association Suisse des Sociétés de Leasing (OAR /
Plus en détailCODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE
CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS ET CHARTE DE DÉONTOLOGIE 26 AVENUE VICTOR HUGO 75116 PARIS Tél.: 01-53-64-91-91 Fax.: 01-53-64-91-92 www.snpi.com PRÉAMBULE Le SNPI, organisme professionnel national
Plus en détailITIL V3. Transition des services : Principes et politiques
ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé
Plus en détail25 000 $ de rénos pour une maison intelligente! LE PRÉSENT CONCOURS S ADRESSE UNIQUEMENT AUX RÉSIDENTS DU CANADA ET IL EST RÉGI PAR LA LOI CANADIENNE
25 000 $ de rénos pour une maison intelligente! LE PRÉSENT CONCOURS S ADRESSE UNIQUEMENT AUX RÉSIDENTS DU CANADA ET IL EST RÉGI PAR LA LOI CANADIENNE 1. PÉRIODE DU CONCOURS : Le concours 25 000 $ de rénos
Plus en détailConcentration des forces dans l information scientifique
Programme CUS 2013-2016 P-2 "Information scientifique: accès, traitement et sauvegarde" Concentration des forces dans l information scientifique Approuvée par la CUS le 3 avril 2014 Direction du programme:
Plus en détailR È G L E M E N T I. Agence
R È G L E M E N T I Agence IKO Centre de renseignements sur le crédit à la consommation Badenerstrasse 701 Case postale 1108 8048 Zurich Tél. 043 311 77 31 Fax 043 311 77 33 E-mail: info@iko.ch www.iko-info.ch
Plus en détailNouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés)
Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) INTRODUCTION Historique 1. Le 6 octobre 1989, le Conseil de l IRE a approuvé une recommandation de révision
Plus en détailToutes les désignations de personnes utilisées dans ces statuts sont applicables par analogie aussi bien aux personnes de sexe masculin que féminin.
Schweizer Berufsverband der Pflegefachfrauen und Pflegefachmänner Association suisse des infirmières et infirmiers Associazione svizzera infermiere e infermieri Associaziun svizra da las tgirunzas e dals
Plus en détailkibesuisse Fédération suisse pour l accueil de jour de l enfant Statuts du 05/09/2013
kibesuisse Fédération suisse pour l accueil de jour de l enfant Statuts du 0/09/0 Fondements Nom et forme juridique Principe But Tâches Art. Sous le nom de kibesuisse Fédération suisse pour l accueil de
Plus en détailCahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS
Département fédéral de l intérieur (DFI) Office Fédéral de la Statistique OFS Etat-major Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Table des matières 1 Généralités
Plus en détailChapeau 131 III 652. Regeste
Chapeau 131 III 652 85. Extrait de l'arrêt de la Chambre des poursuites et des faillites dans la cause Confédération Suisse contre X. (recours LP) 7B.20/2005 du 14 septembre 2005 Regeste Blocage d'avoirs
Plus en détailProposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture
Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture juillet 2012 SOMMAIRE 3 I. CONTEXTE ET PRÉSENTATION 6
Plus en détailITIL V3. Objectifs et principes-clés de la conception des services
ITIL V3 Objectifs et principes-clés de la conception des services Création : janvier 2008 Mise à jour : juillet 2011 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 11533 Projet présenté par les députés : M mes et MM. Ronald Zacharias, Pascal Spuhler, André Python, Jean-Marie Voumard, Jean-François Girardet, Thierry Cerutti, Henry Rappaz,
Plus en détailCommentaire. Décision n 2011-171/178 QPC du 29 septembre 2011 M. Michael C. et autre
Commentaire Décision n 2011-171/178 QPC du 29 septembre 2011 M. Michael C. et autre (Renvoi au décret pour fixer certaines dispositions relatives à l exercice de la profession d avocat) Le Conseil constitutionnel
Plus en détailP RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance
P RO - enfance Plateforme Romande pour l accueil de l enfance Rapport de la phase d analyse 1. Résumé Le présent document contient la description du déroulement et des résultats de la phase d analyse des
Plus en détail3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES
3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques
Plus en détailManuel pour la participation au réseau e-lp
Département fédéral de justice et police DFJP Office fédéral de la justice OFJ Domaine de direction Services centraux Unité Informatique juridique Orange Book Echange électronique de données dans le domaine
Plus en détail1. Créer une société en Suisse occidentale
Nestle, (canton of Vaud) 1. Créer une société en Suisse occidentale Sommaire 1.1 Éligibilité 1.2 Différentes étapes de la création d une société généralités 1.3 Choix de la forme juridique de la société
Plus en détailPrésenté par l Organisme d autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ)
Mémoire présenté au ministère des Finances et de l Économie dans le cadre de la consultation faisant suite au dépôt du Rapport sur l application de la Loi sur les assurances et de la Loi sur les sociétés
Plus en détailDROIT ET RÉGLEMENTATIONS DE LA PLACE FINANCIÈRE
DROIT ET RÉGLEMENTATIONS DE LA PLACE FINANCIÈRE Révision des Directives de l ASB concernant le mandat de gestion de fortune La nouvelle version des Directives de l ASB concernant le mandat de gestion de
Plus en détailRÈGLEMENT. sur la collaboration avec les intermédiaires
RÈGLEMENT sur la collaboration avec les intermédiaires Fédération Internationale de Football Association Président : Joseph S. Blatter Secrétaire Général : Jérôme Valcke Adresse : FIFA FIFA-Strasse 20
Plus en détailStatuts et Usages de l'association des Commerçants d'art de Suisse
Statuts et Usages de l'association des Commerçants d'art de Suisse Statuts de l'association des Commerçants d'art de Suisse Association selon l article 60 et suivants du Code des obligations 1. L Association
Plus en détailNon-Operational Reporting and Analytics (NORA) Mettre à profit l information potentielle aux centres de santé communautaire
Non-Operational Reporting and Analytics (NORA) Mettre à profit l information potentielle aux centres de santé communautaire Association des centres de santé de l Ontario Bureau de la direction des projets
Plus en détailS T A T U T S (Version française) Association pour la gestion d un centre de renseignements sur le crédit à la consommation (IKO)
S T A T U T S (Version française) Association pour la gestion d un centre de renseignements sur le crédit à la consommation (IKO) V2.2014-04-04 1 Nom, siège et but Art. 1 Sous le nom de Verein zur Führung
Plus en détailAutorité cantonale de la transparence et de la protection des données ATPrD Kantonale Behörde für Öffentlichkeit und Datenschutz ÖDSB
Autorité cantonale de la transparence et de la protection des données ATPrD Kantonale Behörde für Öffentlichkeit und Datenschutz ÖDSB Rue des Chanoines 2, 1700 Fribourg Autorité cantonale de la transparence
Plus en détailREPUBLIQUE FRANCAISE. Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007
REPUBLIQUE FRANCAISE 1 COUR NATIONALE DE LA TARIFICATION SANITAIRE ET SOCIALE Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007 Président : M. DURAND-VIEL Rapporteur : Mme WOLF Commissaire du gouvernement : Mme PICARD
Plus en détailPréparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais
Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Dans les écoles de maturité des gymnases du canton de Vaud Edition 2014 Département de la formation, de la jeunesse
Plus en détailInitiative sur les bourses d études : le mauvais chemin vers l égalité des chances dossierpolitique
Initiative sur les bourses d études : le mauvais chemin vers l égalité des chances dossierpolitique 30 mars 2015 Numéro 3 Initiative sur les bourses d études L «Initiative sur les bourses d études», déposée
Plus en détailCommentaire. Décision n 2011-216 QPC du 3 février 2012. M. Franck S. (Désignation du représentant syndical au comité d entreprise)
Commentaire Décision n 2011-216 QPC du 3 février 2012 M. Franck S. (Désignation du représentant syndical au comité d entreprise) La Cour de cassation a renvoyé au Conseil constitutionnel le 18 novembre
Plus en détailStatuts FSEA. FSEA Fédération suisse pour la formation continue Version du 28 avril 2009
Statuts FSEA FSEA Fédération suisse pour la formation continue Version du 28 avril 2009 La FSEA en bref La FSEA est l organisation faîtière de la formation continue en Suisse. Ses membres sont des organisations
Plus en détailOpérations entre apparentés
exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Opérations entre apparentés Septembre 2012 DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES COMMENTAIRES : LE 21 NOVEMBRE 2012
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailEdition 2015 des conditions modèles non contraignantes de l ASA. Les compagnies sont libres de convenir de conditions divergentes.
Assurance de la responsabilité civile pour les architectes ainsi que pour les ingénieurs civils et en technique du bâtiment Conditions générales complémentaires (CGC) Edition 2015 des conditions modèles
Plus en détailAppendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs
Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme
Plus en détailConditions Générales de Vente d applications pour le Système de Commande en Ligne via la Boutique d Applications Mercedes-Benz.
Conditions générales Mercedes-Benz Accessories GmbH Une société du groupe Daimler Conditions Générales de Vente d applications pour le Système de Commande en Ligne via la Boutique d Applications Mercedes-Benz.
Plus en détailLE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand
LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détail01_15. Directive sur la poursuite contre un mineur
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département des finances Office des poursuites Direction générale 01_15. Directive sur la poursuite contre un mineur Modifications, contrôles, approbation Version Date Description,
Plus en détail3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires
FICHE-MESURE Plan pandémie grippale 3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires Validation : 13/10/2011 Ministère-pilote et rédacteur : Ministère chargé de l intérieur Ministères
Plus en détailRèglement d INTERPOL sur le traitement des données
BUREAU DES AFFAIRES JURIDIQUES Règlement d INTERPOL sur le traitement des données [III/IRPD/GA/2011(2014)] REFERENCES 51 ème session de l Assemblée générale, résolution AGN/51/RES/1, portant adoption du
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Rapport au Président de la République relatif à l ordonnance n o 2015-378 du 2 avril 2015 transposant la directive
Plus en détailPolitique des stages. Direction des études
Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Circulaire du 11 mars 2015 relative à la communication aux administrations publiques et aux organismes exerçant une prérogative de puissance publique d informations ou copies de pièces issues des procédures
Plus en détailLes applications webmapping en opensource. 1 Christophe Adriaensen
Les applications webmapping en opensource 1 Christophe Adriaensen Sommaire Présentation de GIM Architecture Webmapping opensource: schéma général Architecture Webmapping opensource: description des composants
Plus en détailAvant-projet de loi sur l information et l accès aux documents pour le canton de Fribourg
Avant-projet de loi sur l information et l accès aux documents pour le canton de Fribourg Adaptation de la législation spéciale Tableau des modifications Annexe de l AP LInf du 0 octobre 007 Le présent
Plus en détailNORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES
NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe
Plus en détailL Ag ence esanté en route...
L Ag ence esanté en route... Le Luxembourg souhaite se doter d un dossier électronique national d échange et de partage de données de santé, entre et pour les professionnels de santé intervenant auprès
Plus en détailSII / SIG. Chronique d un succès majeur pour SIG. Le Partenaire Technologique
Le Partenaire Technologique SII / SIG Chronique d un succès majeur pour SIG Comment la mise en place d un outil novateur de gestion des infrastructures et des services a permis à SIG d améliorer la gestion
Plus en détailUniversité de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015
Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou
Plus en détailCHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC.
CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC. Adoptée le 28 septembre 2009 (Modification la plus récente : novembre 2013) La présente charte
Plus en détailResponsabilité pénale de l association
Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et
Plus en détailCode civil local art. 21 à 79
Code civil local art. 21 à 79 Toute association qui fixe son siège, ou qui transfère son siège en Alsace-Moselle doit rédiger des statuts conformes aux présents articles du Code civil local. 1. Dispositions
Plus en détailOrganisation de l administration des biens dans le cadre d une curatelle
Organisation de l administration des biens dans le cadre d une curatelle I. Situation de départ L APEA X. est en train d affiner la procédure relative aux placements financiers en collaboration avec le
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détail