Chapitre 1. La géométrie Plane. Rappels du cours du secondaire... I.1...sur le monde affine
|
|
- Anaïs Métivier
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 1 La géométrie Plane I Rappels du cours du secondaire... I.1...sur le monde affine C est celui qui s occupe des objets et des propriétés suivantes : points, vecteurs, droites, alignements, intersection de droites, segments, colinéarité, barycentres. Nous noterons P le plan euclidien maintes fois vu en TS. Soient u un vecteur du plan et A, B P. Si AB = u, on note B = A + u. Rappelons que la colinéarité de u et v signifie l inexistence d un réel x qui vérifie soit u = x v, soit v = x u. Mais les mathématiciens n aiment pas la non existence et préfèrent la formulation suivante : Définition I.1 (Colinéarité) Soient u et v deux vecteurs du plan. Ils sont dits non colinéaires lorsque pour tous x, y réels, si x u + y v = 0, alors x et y sont nuls. Une base du plan P est un couple ( u, v) de vecteurs non colinéaires. u et v sont colinéaires lorsqu il existe deux réels x et y non tous nuls (i.e dont l un au moins est non nul) tels que x u + y v = 0. Ainsi le vecteur nul est colinéaire à tous les vecteurs du plan car 0. u = 0. D où l on déduit sans difficulté notre première proposition de l année : Proposition I.2 Soient u, v deux vecteurs non colinéaires et x, y, a, b quatre réels. Alors si a u + b v = x u + y v, nous avons a = x et b = y. Démonstration : Les propriétés élémentaires des lois sur les ensembles de vecteurs impliquent que (a x) u + (b y) y = 0, et on conclut avec la non-colinéarité des deux vecteurs. L intérêt des bases réside dans le résultat suivant : Propriétés I.3 Soient B := ( u, v) une base de P. Alors pour tout vecteur w, il existe un unique couple 1
2 de réels (x, y) tel que w = x u + y v. x sont les composantes de w dans la base B. y Un repère de P est un triplet (Ω, u, v) où Ω est un point quelconque du plan et u et v sont deux vecteurs non colinéaires. On appelle cordonnées cartésiennes du point M P dans le repére R les composantes de ΩM dans la base B. Remarque : En effet, ce procédé, qui remonte à Descartes, construit une bijection entre le plan et R 2. Il permet de transformer un problème géométrique en une question analytique, offrant ainsi un nouveau débouché à l algèbre et l analyse. I.2...sur le monde euclidien Apparait ensuite le monde euclidien, celui où il devient possible de mesurer, et dont l outil principal est la distance dite euclidienne, dont découleront les notions d angle, orthogonalité, cercle, aire. Nous suivrons pour ce cours seulement (et parce que c est l esprit de cette première partie de l année) la structure proposée dans le cursus du secondaire, à savoir que nous admettrons que nous savons mesurer les angles, et que nous disposons d une distance dite euclidienne dont l expression dans une base orthonormée découle du théorème de Pythagore. Un tel exposé présente l avantage de mettre immédiatement à disposition l outil mathématique, en particulier pour l optique géométrique, mais fait peu de cas de la cohésion interne des mathématiques qui est la base de son élégance. Les objets correspondent à l intuition géométrique que nous en avons, mais cette construction ne bénéficie pas d une assise rigoureuse et ne permet pas de savoir en particulier si l aire dépend du produit scalaire, ou si c est l inverse. Heureusement, nous verrons ultérieurement qu il suffit de définir dans une base quelconque B 0 le produit scalaire de deux vecteurs par la formule bien connue pour disposer sans efforts de la notion d orthogonalité et de norme de vecteurs. On constatera que la base B 0 est orthonormée, puis quelques efforts supplémentaires permettront la définition de ce qu est un angle. Nous fixons ici les notations : Dans tout ce cours, P est le plan euclidien usuel. On CHOISIT un repère orthonormé direct (ROND) R 0 = (O, i, j), dans lequel par défaut toutes les composantes seront calculées. Ainsi, pour tous réels x et y, x i + y j 2 = x 2 + y 2 et AB = A B = (x A x B ) 2 + (y A y B ) 2, si (x A, y A ) sont les coordonnées du point A et (x A, y A ) celles de B. Intéressons-nous aux angles maintenant, qui est la notion la plus délicate et pour laquelle nous nous appuierons le plus sur votre intuition. Ne pouvant dire que 0 est égal à 2π sans risque que tout l édifice mathématique ne s écroule, nous dirons de deux nombres qu ils sont congrus l un à l autre modulo 2π : Définition I.4 Soient x, y deux réels. Nous noterons x y mod 2π lorsqu il existe un entier relatif k tel que x y = k 2π. Voici les propriétés que vérifie cette relation : 2
3 Propriétés I.5 Soient x, y, z trois nombres réels. x x mod 2π. Si x y mod 2π, alors y x mod 2π. Si x y mod 2π et y z mod 2π, alors x z mod 2π. Si x y mod 2π, alors ax ay mod a 2π, pour tout réel a non nul. Les angles possèdent plusieurs mesures, que nous noterons en radians. Par exemple, si π/2 est une mesure de notre angle, il en est de même de π/2 + 2π, ainsi que π/2 8π. Nous en distinguerons une, la mesure principale : c est l unique mesure comprise dans l intervalle [0, 2π[. Nous noterons donc, si α est une mesure de l angle orienté entre les deux vecteurs u et v, θ or ( u, v) α mod 2π. On traduit facilement en particulier la coliéarité et l orhtogonalité sur les angles orientés : Définition I.6 Soient u, v deux vecteurs non nuls. Alors ils sont colinéaires ssi θ or ( u, v ) 0 mod π. ils sont orthogonaux ssi θ or ( u, v ) π/2 mod π. Les propriétés des angles orientés sont les suivantes : Propriétés I.7 Pour tous vecteurs u, v, w non nuls, θ or ( u, v) θ or ( v, u) mod 2π, θ or ( u, v) π + θ or ( u, v) mod 2π, θ or ( u, v) + θ or ( v, w) θ or ( u, w) mod 2π. Une base ( u, v) sera dite directe lorsque θ or ( u, v) sera congru à un angle compris dans l intervalle ]0, π[. Nous utiliserons presque exclusivement les bases orthonormées directes (BOND) : Définition I.8 Soient u et v deux vecteurs du plan. ( u, v ) est une BOND lorsque u = v = 1 et que θ or ( u, v ) π/2 mod 2π. Une BOND est évidemment une base au sens où nous l avons définie dans le chapitre précédent. Remarque : Attention aux angles non-orientés ( u, v) [0, π]. ( u, v) = ( v, u), donc cette notion d angles ne vérifie pas la relation de Chasles. Ce sont les angles dont il s agit dans le théorème sur la somme des angles d un triangle. A la demande de Mme Ponsolle, je vous rappelle ce que sont les fonctions cos, sin, tan sur le cercle trignonométrique ainsi que dans un triangle rectangle. 3
4 II Repérage du point d un plan II.1 Les coordonnées polaires O est appelé pôle et (O, i) axe polaire. Définition II.1 Soit M P. Un système de coordonnées polaires de M (SCP) est un couple (r, θ) de réels qui vérifie OM = r(cos θ i + sin θ j) Remarque : Un SCP n est pas unique. On parle du couple de coordonnées cartésiennes, mais des couples de coordonnées polaires. Les SCP de l origine O sont tous les couples (0, θ), où θ est un réel quelconque. Si (r, θ) est un SCP, alors ( r, θ + π) aussi. r 1 = r 2 et θ 1 θ 2 mod [2π], ou Pour résumer, (r 1, θ 1 ) et (r 2, θ 2 ) sont deux SCP de M ssi r 1 = r 2 et θ 1 θ 2 + π mod [2π]. Pour passer des coordonnées polaires aux coordonnées cartésiennes, pour tout r 0, x = r cos θ y = r sin θ r = x 2 + y 2 cos θ = x/r sin θ = y/r. II.2 Changement de repère orthonormé Proposition II.2 Si ( u, v) est une BOND du plan, alors où θ est une mesure de θ or ( i, u). u = cos θ i + sin θ j, v = sin θ i + cos θ j Démonstration : Que u soit égal à cos θ i + sin θ j vient des définitions même de cos et sin. De même, puisque v est directement orthogonal à u, v est le vecteur cos(θ+π/2) i+sin(θ+ π/2) j = sin θ i + cos θ j (se conférer aux relations de trigonométrie). Le vecteur cos θ i + sin θ j sera noté u θ et le vecteur sin θ i + cos θ j sera noté v θ (notation qui deviendront u r et u θ en physique). Proposition II.3 Fixons deux repères orthonormés directs (ROND) R = (O, i, j) et R = (Ω, u, v). Notons (a, b) les coordonnées de Ω dans le repère R. Soit M un point du plan de coordonnées (x, y) dans R et de coordonnées (x, y ) dans 4
5 R. Alors, en notant θ une mesure de θ or ( i, u), nous avons la relation : x = a + x cos θ y sin θ, y = b + x sin θ + y cos θ Démonstration : Rappelons pour commencer que la phrase M un point du plan de coordonnées (x, y) dans R et de coordonnées (x, y ) dans R signifie précisément OM = x i + y j et ΩM = x u + y v. x i + y j = OM = OΩ + ΩM = ( a i + b j ) + ( x u + y v ) = ( a i + b j ) ( + x ( cos θ i + sin θ j ) + y ( sin θ i + cos θ j ) ) v = ( a + x cos θ y sin θ ) i + ( b + x sin θ + y cos θ ) j. On conclut grâce à la première proposition de l année. III Produit scalaire et Déterminant Ce sont deux outils pratiques qui traduisent l orthogonalité ou la colinéarité de deux vecteurs à l aide d une équation intrinsèque, i.e qui ne nécessite pas l introduction d une variable auxiliaire. III.1 Le déterminant Soient u et v deux vecteurs du plan et A, B, C, D quatre points tels que u = AB, v = AC et AD = AB + AC. Notons det( u, v) l aire algébrique du parallélogramme ABCD. Par algébrique, nous signifions 0 si les deux vecteurs sont colinéaires, det( u, v) = +A(ABCD) si ( u, v ) est une base directe A(ABCD) si ( u, v ) est une base indirecte. L avantage de cette définition, outre qu elle est purement géométrique, est qu elle permet d établir sans difficulté les propriétés essentielles. Pour commencer : Propriétés III.1 Le réel det( u, v) est nul si et seulement si u est colinéaire à v. On peut la reformuler ainsi : ( u, v) est une base ssi son déterminant est non nul, et elle est alors directe ssi il est strictement positif. L aire d un triangle s exprime depuis le collège à l aide de la fonction sinus, ce qui nous permet d écrire (remarquer que les signes coïncident) : det( u 1, u 2 ) = u 1 u 2 sin θ or ( u 1, u 2 ). (1.1) 5
6 On en déduit l inégalité d Hadamard det( u 1, u 2 ) u1 u 2, l égalité étant vérifiée ssi les deux vecteurs sont orthogonaux. Etablissons maintenant une expression simple de cette aire en fonction des composantes des deux vecteurs dans une BOND : Propriétés III.2 Soient deux vecteurs u x y et v x BOND, alors det( u, v ) = xy x y y dont les coordonnées sont exprimées dans une Démonstration : Passons en coordonnées polaires en posant x = r cos α y = r sin α et x = r cos β y = r sin β, où r, r 0. Alors, l angle orienté entre u et v vaut β α. On peut donc commencer le calcul : det( u, v ) = u v sin θ or ( u, v ) = rr sin(β α) = rr (sin β cos α sin α cos β) = xy x y. Le point clé et la beauté de cette quantité est qu elle est linéaire par rapport à u et à v : Propriétés III.3 Le déterminant est une application antisymétrique, et bilinéaire, ce qui signifie : Pour tous vecteurs u, v, w et x, y réels, Pour tous vecteurs u, v, det(x u + y v, w ) = x det( u, w ) + y det( v, w ). det( u, v ) = det( v, u ). Remarque : Montrer que l ensemble d équation cartésienne det( AM, u) = α, où α R, est une droite. Le déterminant permet dans la pratique de vérifier l alignement, ou de trouver des expressions cartésiennes de droites : M(x, y) appartient à la droite passant par A et parallèle à (BC) ssi det( AM, BC) = 0. Dans une base quelconque, l expression xy x y ne représente plus l aire euclidienne, mais garde la caractérisation de la colinéarité. III.2 Le produit scalaire Pythagore (-580) nous incite à poser : et à en déduire : u. v = u + v 2 u 2 v 2, 2 6
7 Propriétés III.4 u. v = 0 ssi u est orthogonal à v. Formule d Al-Kashi (1380, Perse) : u 1 + u 2 2 = u u u 1. u 2. Calculons tout de suite son expression dans une bon : Propriétés III.5 Dans toute BON, u. v = xx + yy. Démonstration : Il suffit d utiliser la définition de la norme euclidienne dans toute BON. De là on déduit l essentiel : Propriétés III.6 Le produit scalaire est bilinéaire et symétrique. Démonstration : C est la même que pour le déterminant. Lemme 1 Soit u un vecteur dont les composantes sont (a, b) dans une BOND. Alors le vecteur v de composantes ( b, a) est l image de u par la rotation d angle π/2, i.e : v = u, θ or ( u, v ) π/2 mod 2π. Démonstration : Le premier point est immédiat. Quand au deuxième, le produit scalaire u. v = a ( b)+b a = 0, donc θ or ( u, v ) ±π/2 mod 2π. De plsu, det( u, v ) = a 2 +b 2 > 0, donc sin θ or ( u, v ) > 0 et la base ( u, v ) est par conséquent directe. La seule solution possible est : θ or ( u, v ) π/2 mod 2π. Propriétés III.7 Soient u 1, u 2 deux vecteurs non nuls. u 1. u 2 = u 1 u 2 cos θ or ( u 1, u 2 ). Inégalité de Cauchy-Schwarz : u 1. u 2 u 1 u 2 avec égalité ssi les deux vecteurs sont colinéaires. Démonstration : Notons α une mesure de l angle entre ces deux vecteurs, et posons v le vecteur de composantes ( b, a) si (a, b) sont celles de u 1, et (a, b ) celles de u 2. Alors u 1. u 2 = aa + bb = a b b a = det( u 2, v ) = u 2 v sin θ or ( u 2, v ) = u 2 v sin = u 2 u 1 sin ( α + π/2) = u 1 u 2 cos α. ( θ or ( u 2, u 1 + θ or ( u 1, ) v L inégalité de Cauchy-Schwarz se déduit de cos α 1, et le cas d égalité de cos α = ±1 ssi α est congru à π/2 modulo π. 7
8 Remarque : Le produit scalaire permet dans la pratique de trouver des expressions cartésiennes de perpendiculaires : M(x, y) appartient à la droite passant par A et perpendiculaire à (BC) ssi AM. BC = 0. Ainsi si A(1, 1), B(2, 3) et C( 1, 3), cette droite admet pour équation cartésienne x 1 y 1. 3 = 0. 0 Résoudre AM. u = α. On prouvera que l ensemble de solutions est une droite de vecteur normal u. Résoudre AM. BM = 0 en introduisant le milieu I de [AB]. On prouvera que l ensemble de solutions est le cercle de diamètre [AB]. IV Droites et Cercles IV.1 droites Equations Cartésiennes Soit ( ) une droite. Elle possède une équation cartésienne du type ax + by = c, où (a, b) (0, 0). Le vecteur de composantes (a, b) est alors un vecteur normal de ( ). Réciproquement, si (a, b) (0, 0), l ensemble d équation cartésienne ax + by = c est une droite de vecteur normal u (a, b). Deux droites d équations cartésiennes respectives ( ) : ax + by = c et ( ) : a x + b y = c sont a b parallèles si et seulement si a b = 0, confondues si et seulement s il existe un réel t tel que a = ta, b = tb, c = tc, a b sécantes si et seulement si a b 0. Lorsque ces deux droites sont sécantes, le point d intersection de ces deux droites est ax + by = c celui dont les coordonnées (x, y) vérifient le système (Σ) a x + b y = c a b Le réel d = a b est appelé déterminant de (Σ). Ces coordonnées sont données par les formules de Cramer : c b a c c b a c x = et y =. d d Ajoutons que, le triplet (a, b, c) qui défini une droite n étant pas unique, la plupart d entre elles possède une équation dite réduite : toute droite non verticale possède une équation du type y = px + m, où p, m sont des réels. p est alors appelé pente de cette droite, et d (1, p) en est un vecteur directeur. Deux droites de pentes respectives p et p sont parallèles ssi elles ont même pente et orthogonales ssi leurs pentes vérifient pp = 1. 8
9 Distance à une droite Soit ( ) une droite et M un point du plan. On note d (M) le réel MH, où H et le projeté orthogonal de M sur la droite ( ). Notons que H est le point de ( ) le plus proche de M, i.e Pour tout point N sur ( ), NM > HM si N H. Démonstration : Il suffit d utiliser Pythagore : NM 2 = NH 2 + HM 2, et d utiliser la stricte positivité de NH 2 pour obtenir NM 2 > HM 2. on conclut alors avec la stricte croissance de la fonction racine carré. Proposition IV.1 Soit ( ) d équation cartésienne ax+by +c = 0, et Ω(x 0, y 0 ) un point du plan. La distance de Ω à la droite nous est donnée par d (Ω) = ax 0 + by 0 + c a2 + b 2. Démonstration : Equations polaires Propriétés IV.2 Toute droite du plan ne passant pas par l origine du repère possède une équation polaire p du type r =. Les réels p et θ peuvent être choisis de la manière suivante : cos(θ θ 0 ) p = d (O) et u θ0 est normal à ( ). Démonstration : Soit u θ0 un vecteur normal à ( ). Alors elle possède une équation cartésienne du type cos θ 0 x + sin θ 0 y = c, où c est un réel. Posons x = r cos θ et y = r sin θ. On obtient r cos(θ θ 0 ) = c. On conclut en remarquant que le point de ( ) d argument θ 0 est le projeté de O, donc que c = p. Equations paramétriques Je vous renvoie au cours de Terminale. V Cercles Pythagore, encore lui, nous affirme que le cercle de centre Ω(a, b) et de rayon R possède pour équation cartésienne : (x a) 2 + (y b) 2 = R 2. Il possède aussi pour équation paramétrique x = a + R cos θ où θ parcourt [0, 2π]. y = R sin θ 9
10 Une droite (D) est dite tangente eu cercle de centre Ω et de rayon R lorsque d (Ω) = R. L intersection entre cette droite et ce cercle est alors un singleton. 10
Représentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailAngles orientés et trigonométrie
Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.
Plus en détailLE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )
LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 4 Janvier 007 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble ( Année 006-007 ) 1 Table des matières 1 Grille d autoévaluation
Plus en détail1S Modèles de rédaction Enoncés
Par l équipe des professeurs de 1S du lycée Parc de Vilgénis 1S Modèles de rédaction Enoncés Produit scalaire & Corrigés Exercice 1 : définition du produit scalaire Soit ABC un triangle tel que AB, AC
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailAngles orientés et fonctions circulaires ( En première S )
Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détail1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.
Angles orientés Trigonométrie I. Préliminaires. Le radian Définition B R AB =R C O radian R A Soit C un cercle de centre O. Dire que l angle géométrique AOB a pour mesure radian signifie que la longueur
Plus en détailMesure d angles et trigonométrie
Thierry Ciblac Mesure d angles et trigonométrie Mesure de l angle de deux axes (ou de deux demi-droites) de même origine. - Mesures en degrés : Divisons un cercle en 360 parties égales définissant ainsi
Plus en détailRappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie
Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)
Plus en détailQuelques contrôle de Première S
Quelques contrôle de Première S Gilles Auriol auriolg@free.fr http ://auriolg.free.fr Voici l énoncé de 7 devoirs de Première S, intégralement corrigés. Malgré tout les devoirs et 5 nécessitent l usage
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détailEnoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.
Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailGéométrie dans l espace Produit scalaire et équations
Chapitre 11. 2ème partie Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES 2ème partie Produit scalaire Produit scalaire
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailDOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.
A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailSi deux droites sont parallèles à une même troisième. alors les deux droites sont parallèles entre elles. alors
N I) Pour démontrer que deux droites (ou segments) sont parallèles (d) // (d ) (d) // (d ) deux droites sont parallèles à une même troisième les deux droites sont parallèles entre elles (d) // (d) deux
Plus en détailBaccalauréat S Nombres complexes Index des exercices sur les complexes de septembre 1999 à juin 2012 Tapuscrit : DENIS VERGÈS
Baccalauréat S Nombres complexes Index des exercices sur les complexes de septembre 1999 à juin 2012 Tapuscrit : DENIS VERGÈS N o Lieu et date Q.C.M. Algébrique Géométrie 1 Asie juin 2012 2 Métropole juin
Plus en détailActivités numériques [13 Points]
N du candidat L emploi de la calculatrice est autorisé. Le soin, la qualité de la présentation entrent pour 2 points dans l appréciation des copies. Les résultats seront soulignés. La correction est disponible
Plus en détailConstruction d un cercle tangent à deux cercles donnés.
Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailTOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET
TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par
Plus en détailExo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailSéquence 10. Géométrie dans l espace. Sommaire
Séquence 10 Géométrie dans l espace Sommaire 1. Prérequis 2. Calculs vectoriels dans l espace 3. Orthogonalité 4. Produit scalaire dans l espace 5. Droites et plans de l espace 6. Synthèse Dans cette séquence,
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailSéquence 2. Repérage dans le plan Équations de droites. Sommaire
Séquence Repérage dans le plan Équations de droites Sommaire 1 Prérequis Repérage dans le plan 3 Équations de droites 4 Synthèse de la séquence 5 Exercices d approfondissement Séquence MA0 1 1 Prérequis
Plus en détailFormes quadratiques. 1 Formes quadratiques et formes polaires associées. Imen BHOURI. 1.1 Définitions
Formes quadratiques Imen BHOURI 1 Ce cours s adresse aux étudiants de niveau deuxième année de Licence et à ceux qui préparent le capes. Il combine d une façon indissociable l étude des concepts bilinéaires
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Pondichéry 12 avril 2007
Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 1 avril 7 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 4 points 1 a Les vecteurs AB et AC ont pour coordonnées AB ; ; ) et AC 1 ; 4 ; 1) Ils ne sont manifestement pas colinéaires
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours.
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailChafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1
Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailItems étudiés dans le CHAPITRE N5. 7 et 9 p 129 D14 Déterminer par le calcul l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire
CHAPITRE N5 FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION Code item D0 D2 N30[S] Items étudiés dans le CHAPITRE N5 Déterminer l'image
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détailChapitre 2. Matrices
Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailNOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :
Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010
Corrigé du baccalauréat S Asie juin 00 EXERCICE Commun à tous les candidats 4 points. Question : Le triangle GBI est : Réponse a : isocèle. Réponse b : équilatéral. Réponse c : rectangle. On a GB = + =
Plus en détailIntroduction à l étude des Corps Finis
Introduction à l étude des Corps Finis Robert Rolland (Résumé) 1 Introduction La structure de corps fini intervient dans divers domaines des mathématiques, en particulier dans la théorie de Galois sur
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détailExprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %
23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une
Plus en détailEquations cartésiennes d une droite
Equations cartésiennes d une droite I) Vecteur directeur d une droite : 1) Définition Soit (d) une droite du plan. Un vecteur directeur d une droite (d) est un vecteur non nul la même direction que la
Plus en détailCorrection : E = Soit E = -1,6. F = 12 Soit F = -6 3 + 45. y = 11. et G = -2z + 4y G = 2 6 = 3 G = G = -2 5 + 4 11
Correction : EXERCICE : Calculer en indiquant les étapes: (-6 +9) ( ) ( ) B = -4 (-) (-8) B = - 8 (+ 6) B = - 8 6 B = - 44 EXERCICE : La visite médicale Calcul de la part des élèves rencontrés lundi et
Plus en détailChapitre 2 : Vecteurs
1 Chapitre 2 : Vecteurs Nous allons définir ce qu'est un vecteur grâce à une figure (le parallélogramme), mais au préalable nous allons aussi définir une nouvelle transformation (la translation). Nous
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailPROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond.
PROBLEME(12) Une entreprise doit rénover un local. Ce local a la forme d'un parallélépipède rectangle. La longueur est 6,40m, la largeur est 5,20m et la hauteur est 2,80m. Il comporte une porte de 2m de
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailIntroduction. Mathématiques Quantiques Discrètes
Mathématiques Quantiques Discrètes Didier Robert Facultés des Sciences et Techniques Laboratoire de Mathématiques Jean Leray, Université de Nantes email: v-nantes.fr Commençons par expliquer le titre.
Plus en détailSTATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE
ÉCOLE D'INGÉNIEURS DE FRIBOURG (E.I.F.) SECTION DE MÉCANIQUE G.R. Nicolet, revu en 2006 STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE Eléments de calcul vectoriel Opérations avec les forces Equilibre du point
Plus en détailchapitre 4 Nombres de Catalan
chapitre 4 Nombres de Catalan I Dénitions Dénition 1 La suite de Catalan (C n ) n est la suite dénie par C 0 = 1 et, pour tout n N, C n+1 = C k C n k. Exemple 2 On trouve rapidement C 0 = 1, C 1 = 1, C
Plus en détailPolynômes à plusieurs variables. Résultant
Polynômes à plusieurs variables. Résultant Christophe Ritzenthaler 1 Relations coefficients-racines. Polynômes symétriques Issu de [MS] et de [Goz]. Soit A un anneau intègre. Définition 1.1. Soit a A \
Plus en détailDeux disques dans un carré
Deux disques dans un carré Table des matières 1 Fiche résumé 2 2 Fiche élève Seconde - version 1 3 2.1 Le problème............................................... 3 2.2 Construction de la figure avec geogebra...............................
Plus en détailNombres complexes. cours, exercices corrigés, programmation
1 Nombres complexes cours, exercices corrigés, programmation Nous allons partir des nombres réels pour définir les nombres complexes. Au cours de cette construction, les nombres complexes vont être munis
Plus en détailOM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables
Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.
Plus en détailCHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées.
CHAPITRE 10 Jacobien, changement de coordonnées ans ce chapitre, nous allons premièrement rappeler la définition du déterminant d une matrice Nous nous limiterons au cas des matrices d ordre 2 2et3 3,
Plus en détailFonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur
Service Commun de Formation Continue Année Universitaire 2006-2007 Fonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur Polycopié de cours Rédigé par Yannick Privat Bureau 321 - Institut Élie
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les
Plus en détailChapitre 1 Cinématique du point matériel
Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la
Plus en détailLa géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques
La géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques III. Cercles 1. Cercle d'euler 2. Droite d'euler 3. Théorème de Feuerbach 4. Milieux des segments joignant
Plus en détaila et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe le nombre ax + b
I Définition d une fonction affine Faire l activité 1 «une nouvelle fonction» 1. définition générale a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe
Plus en détailSeconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction.
Seconde Généralités sur les fonctions Exercices Notion de fonction. Exercice. Une fonction définie par une formule. On considère la fonction f définie sur R par = x + x. a) Calculer les images de, 0 et
Plus en détailL ALGORITHMIQUE. Algorithme
L ALGORITHMIQUE Inspirée par l informatique, cette démarche permet de résoudre beaucoup de problèmes. Quelques algorithmes ont été vus en 3 ième et cette année, au cours de leçons, nous verrons quelques
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailNotion de fonction. Résolution graphique. Fonction affine.
TABLE DES MATIÈRES 1 Notion de fonction. Résolution graphique. Fonction affine. Paul Milan LMA Seconde le 12 décembre 2011 Table des matières 1 Fonction numérique 2 1.1 Introduction.................................
Plus en détail4. NOMBRES COMPLEXES ET TRIGONOMÉTRIE
4. NOMBRES COMPLEXES ET TRIGONOMÉTRIE 1 Introduction. 1. 1 Justication historique. La résolution de l'équation du degré (par la méthode de Cardan) amena les mathématiciens italiens du seizième 3ème siècle
Plus en détailUn K-espace vectoriel est un ensemble non vide E muni : d une loi de composition interne, c est-à-dire d une application de E E dans E : E E E
Exo7 Espaces vectoriels Vidéo partie 1. Espace vectoriel (début Vidéo partie 2. Espace vectoriel (fin Vidéo partie 3. Sous-espace vectoriel (début Vidéo partie 4. Sous-espace vectoriel (milieu Vidéo partie
Plus en détailPlan du cours : électricité 1
Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)
Plus en détailCours de Mécanique du point matériel
Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailChapitre 1 : Évolution COURS
Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir
Plus en détailLe produit semi-direct
Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailEXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2
EXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2 NOMBRES ET CALCUL Exercices FRACTIONS Nommer les fractions simples et décimales en utilisant le vocabulaire : 3 R1 demi, tiers, quart, dixième, centième. Utiliser
Plus en détailDérivation : cours. Dérivation dans R
TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition
Plus en détailRepérage d un point - Vitesse et
PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailComplément d information concernant la fiche de concordance
Sommaire SAMEDI 0 DÉCEMBRE 20 Vous trouverez dans ce dossier les documents correspondants à ce que nous allons travailler aujourd hui : La fiche de concordance pour le DAEU ; Page 2 Un rappel de cours
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailLe théorème de Thalès et sa réciproque
Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre
Plus en détailt 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :
Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant
Plus en détailMichel Henry Nicolas Delorme
Michel Henry Nicolas Delorme Mécanique du point Cours + Exos Michel Henry Maître de conférences à l IUFM des Pays de Loire (Le Mans) Agrégé de physique Nicolas Delorme Maître de conférences à l université
Plus en détailMathématiques I Section Architecture, EPFL
Examen, semestre d hiver 2011 2012 Mathématiques I Section Architecture, EPFL Chargé de cours: Gavin Seal Instructions: Mettez votre nom et votre numéro Sciper sur chaque page de l examen. Faites de même
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détail1 Définition et premières propriétés des congruences
Université Paris 13, Institut Galilée Département de Mathématiques Licence 2ème année Informatique 2013-2014 Cours de Mathématiques pour l Informatique Des nombres aux structures Sylviane R. Schwer Leçon
Plus en détailSoit la fonction affine qui, pour représentant le nombre de mois écoulés, renvoie la somme économisée.
ANALYSE 5 points Exercice 1 : Léonie souhaite acheter un lecteur MP3. Le prix affiché (49 ) dépasse largement la somme dont elle dispose. Elle décide donc d économiser régulièrement. Elle a relevé qu elle
Plus en détail