Texte littéraire et réflexion éthique

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1 INTRODUCTION [ T ]ous les hommes extraordinaires qui ont fait quelque chose de grand, quelque chose qui semblait impossible, ont dû de tout temps être déclarés par la foule ivres et insensés. J. W. Goethe, Les souffrances du jeune Werther Les thèmes sociaux, économiques, politiques, culturels, religieux et spirituels, ou esthétiques qui sont abordés dans les œuvres littéraires n en constituent jamais le mot final. Ceux qui les étudient sont historiquement situés et culturellement conditionnés. Je ne peux pour ma part qu observer que ce choix reflète des préoccupations et questionnements philosophiques qui sont les miens, ou qui influent sur ma vision du monde et des êtres, même s ils proviennent d un ailleurs culturel. Mais je ne peux rien analyser qui ne parte pas de moi, et donc de mon enracinement historico-culturel. La lecture objective de

2 10 Texte littéraire et réflexion éthique la culture des autres est impossible. Je ne peux être qu un lecteur subjectif de Rilke, Hesse, Mann, Musil, ou Zweig. Quels sont les principes qui ont guidé mon choix de ces écrivains? Je les ai retenus en raison de leur insertion dans le vingtième siècle, et parce qu ils représentent, dans le monde germanophone, un certain courant de littérature assez bien circonscrit. Cela dit, un roman demeure un roman, et un poème, un poème. Qu ils soient traversés, de toutes parts, par diverses réflexions philosophiques, ne fait qu ajouter un autre niveau de signification. Cela ne transforme pas le roman en traité philosophique. La littérature ne sera jamais l esclave de la philosophie. Elle a une vie qui lui est propre. Des pièces de théâtre peuvent être porteuses de notions philosophiques ( comme chez Jean-Paul Sartre ou Gabriel Marcel ), elles n en demeurent pas moins des pièces de théâtre qui ont une vie autonome, indépendante de toute école de pensée philosophique à laquelle son auteur peut adhérer. Il n en demeure pas moins que tout écrivain adopte une certaine position face à la réalité, qu il s agisse de soi-même, du monde, du bien et du mal, de l existence, de Dieu. Toute la difficulté est de cerner les tenants et aboutissants de son processus de positionnement philosophique. Toute analyse philosophique d œuvres littéraires rencontre donc des obstacles. Premièrement, la position philosophique de l écrivain n est pas transcrite dans ses œuvres littéraires. Même Sartre n a pas reproduit la complexité de ses idées philosophiques dans ses pièces de théâtre. Nous ne pouvons donc jamais prétendre connaître, à travers les œuvres d un écrivain, l ensemble de sa conception du réel. Deuxièmement, il se peut même que ce soit justement à travers ses œuvres littéraires que l écrivain construit son point de vue philosophique. N était-ce pas le cas des fameux Essais de Montaigne ou de L homme sans qualités de Musil? Dans le cas d une œuvre en cours,

3 Introduction 11 ce point de vue n est par conséquent ni final ni définitif. Troisièmement, il peut aussi arriver que l écrivain soit déchiré entre plusieurs perspectives, par exemple, sur le bien et le mal ou sur la notion d un moi permanent ou impermanent, entre lesquelles il n arrive pas à faire de choix. On aurait tort dans ce cas de réduire son discours à telle ou telle théorie. Les lecteurs n ont jamais accès à l intention originelle de l écrivain. En dépit de ces limites de l analyse philosophique des œuvres littéraires, le fait demeure que l écrivain ne peut pas ne pas être engagé philosophiquement 1. Si tel était le cas, il serait bien le seul à faire preuve d un tel détachement. Nous croyons pour notre part que tout être humain est constamment en train de chercher une position philosophique qui lui convienne face à soi-même, aux choses et aux autres, à l existence en général. L analyse philosophique d œuvres littéraires est ainsi centrée sur le processus ( sans 1. Jean-Paul Sartre parlait de la nécessité pour l écrivain de «se ranger du côté de la révolution s il est prouvé qu il n y a pas d autre moyen de faire cesser une oppression» ( Jean-Paul Sartre, Qu est-ce que la littérature?, p. 319 ). Cette position de la «littérature engagée» est bien connue et a fait couler beaucoup d encre. Mais ce n est pas la prise de position politique qu il importe de retenir. Avant tout, Sartre croit que la littérature engagée est d abord engagée philosophiquement avant de l être sur le plan politique. «[ L ]a littérature manifeste à sa manière, comme libre produit d une activité créatrice, la totalité de la condition humaine [ elle ] est par essence prise de position» ( p. 334 ) ; «La fonction d un écrivain est d appeler un chat un chat. Si les mots sont malades, c est à nous de les guérir [ ] notre premier devoir d écrivain est donc de rétablir le langage dans sa dignité» ( p. 341 ) ; «C est notre tâche d écrivain que de représenter le monde et d en témoigner» ( p. 345 ) ; «Par la littérature, la collectivité passe à la réflexion et à la médiation, elle acquiert une conscience malheureuse, une image sans équilibre d elle-même qu elle cherche sans cesse à modifier et à améliorer. Mais, après tout, l art d écrire n est pas protégé par les décrets immuables de la Providence ; il est ce que les hommes le font, ils le choisissent en se choisissant» ( p. 356 ). [ Les références complètes des textes cités apparaissent en bibliographie. nde ]

4 12 Texte littéraire et réflexion éthique fin ) de définition d un positionnement philosophique face à la réalité. La littérature est-elle nécessairement porteuse d intuitions philosophiques? Ce n est évidemment pas toujours le cas, du moins si nous nous en tenons à la surface des réalités reflétées dans l œuvre littéraire. Mais si nous approfondissons, nous faisons face assez rapidement à une vision de l être humain et de sa condition existentielle, et, dans le cadre de cette approche voisine de l anthropologie philosophique, la question du bien et du mal surgit inévitablement. L éthique n est pourtant pas son propre fondement, qui est ailleurs, dans une vision métaphysique de la réalité. Aussi le mouvement va de la littérature à la philosophie, de celle-ci à l éthique puis à la métaphysique. La littérature pousse ainsi à circonscrire les frontières du bien et du mal, si tant est qu elles existent ou qu elles résistent au temps et à l espace. Elle impose par là une redéfinition du réel et un rapport constamment renouvelé avec lui, une relation toujours insatisfaite de ce qu elle y trouve. Elle est une réflexion de philosophie concrète qui, par son orientation à la fois métaphysique et éthique, parvient à amener les lecteurs à redéfinir leur vision du monde et de la réalité tout autant que leur comportement le plus banal. Les différentes formes littéraires ( poésie, théâtre, roman, nouvelle, récit ) révèlent un condensé du réel qui est plus réel que celui que pourrait atteindre un seul individu. Je regarde le réel avec ce que je suis et ne peux donc en percevoir qu une bien mince partie sauf à en adopter, à l aide d une observation scrupuleuse des êtres qui m entourent, une vision plus large. Plusieurs romanciers, Marcel Proust par exemple, ont justement soutenu que le roman est plus réel que le réel. Le romancier a la capacité de condenser, dans une œuvre, désirs, complexes, fantasmes, besoins, sentiments et émotions rencontrés chez un grand nombre d êtres humains. Même si le roman ne peut prétendre à

5 Introduction 13 l universalité de son interprétation, il ne peut pas non plus ne pas la viser. L œuvre littéraire tend à définir les grands traits de l humanité, même quand elle se cantonne dans un univers culturel bien précis. La transculturalité n est possible que parce que l humanité est une. Si tout n était que culturel, il n y aurait rien d universel. Le relativisme moral absolu le croit. On se rabat dès lors sur la pluralité culturelle. Admettre que quelque chose traverse les cultures de toutes parts et demeure inchangé, c est admettre qu un universel existe et qu il imprègne l être humain lui-même. C est admettre, à l encontre de Nietzsche et de Sartre, que, au-delà de toutes les différences culturelles, il existe une certaine nature humaine. La littérature prend-elle position à l égard de l existence ou de l inexistence de la nature humaine? Certains écrivains, oui. Mais, à travers l histoire, le mouvement d ensemble de la littérature en est un qui cherche l universel et ne se satisfait pas du particulier. La littérature a, en elle-même, une visée de cette nature. Elle part du particulier, certes, le point de vue de l écrivain et le monde dans lequel il baigne ; mais elle tend à l universel, qui est sa visée anthropo-philosophique. La lecture d œuvres littéraires est donc à la fois un questionnement philosophique, la confrontation avec des dilemmes éthiques et la nécessité de redéfinir le bien et le mal, tout autant qu un appel à approfondir une vision métaphysique de la réalité. En cela, l œuvre littéraire dépasse de loin les particularismes culturels et les visions atomistes du réel. Dans cet ouvrage, nous nous proposons de décrire la convergence de la philosophie et de la littérature dans la progression et l enchaînement des questionnements philosophiques. L horizon de ces questionnements est

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