Texte littéraire et réflexion éthique
|
|
- Aimé Bureau
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INTRODUCTION [ T ]ous les hommes extraordinaires qui ont fait quelque chose de grand, quelque chose qui semblait impossible, ont dû de tout temps être déclarés par la foule ivres et insensés. J. W. Goethe, Les souffrances du jeune Werther Les thèmes sociaux, économiques, politiques, culturels, religieux et spirituels, ou esthétiques qui sont abordés dans les œuvres littéraires n en constituent jamais le mot final. Ceux qui les étudient sont historiquement situés et culturellement conditionnés. Je ne peux pour ma part qu observer que ce choix reflète des préoccupations et questionnements philosophiques qui sont les miens, ou qui influent sur ma vision du monde et des êtres, même s ils proviennent d un ailleurs culturel. Mais je ne peux rien analyser qui ne parte pas de moi, et donc de mon enracinement historico-culturel. La lecture objective de
2 10 Texte littéraire et réflexion éthique la culture des autres est impossible. Je ne peux être qu un lecteur subjectif de Rilke, Hesse, Mann, Musil, ou Zweig. Quels sont les principes qui ont guidé mon choix de ces écrivains? Je les ai retenus en raison de leur insertion dans le vingtième siècle, et parce qu ils représentent, dans le monde germanophone, un certain courant de littérature assez bien circonscrit. Cela dit, un roman demeure un roman, et un poème, un poème. Qu ils soient traversés, de toutes parts, par diverses réflexions philosophiques, ne fait qu ajouter un autre niveau de signification. Cela ne transforme pas le roman en traité philosophique. La littérature ne sera jamais l esclave de la philosophie. Elle a une vie qui lui est propre. Des pièces de théâtre peuvent être porteuses de notions philosophiques ( comme chez Jean-Paul Sartre ou Gabriel Marcel ), elles n en demeurent pas moins des pièces de théâtre qui ont une vie autonome, indépendante de toute école de pensée philosophique à laquelle son auteur peut adhérer. Il n en demeure pas moins que tout écrivain adopte une certaine position face à la réalité, qu il s agisse de soi-même, du monde, du bien et du mal, de l existence, de Dieu. Toute la difficulté est de cerner les tenants et aboutissants de son processus de positionnement philosophique. Toute analyse philosophique d œuvres littéraires rencontre donc des obstacles. Premièrement, la position philosophique de l écrivain n est pas transcrite dans ses œuvres littéraires. Même Sartre n a pas reproduit la complexité de ses idées philosophiques dans ses pièces de théâtre. Nous ne pouvons donc jamais prétendre connaître, à travers les œuvres d un écrivain, l ensemble de sa conception du réel. Deuxièmement, il se peut même que ce soit justement à travers ses œuvres littéraires que l écrivain construit son point de vue philosophique. N était-ce pas le cas des fameux Essais de Montaigne ou de L homme sans qualités de Musil? Dans le cas d une œuvre en cours,
3 Introduction 11 ce point de vue n est par conséquent ni final ni définitif. Troisièmement, il peut aussi arriver que l écrivain soit déchiré entre plusieurs perspectives, par exemple, sur le bien et le mal ou sur la notion d un moi permanent ou impermanent, entre lesquelles il n arrive pas à faire de choix. On aurait tort dans ce cas de réduire son discours à telle ou telle théorie. Les lecteurs n ont jamais accès à l intention originelle de l écrivain. En dépit de ces limites de l analyse philosophique des œuvres littéraires, le fait demeure que l écrivain ne peut pas ne pas être engagé philosophiquement 1. Si tel était le cas, il serait bien le seul à faire preuve d un tel détachement. Nous croyons pour notre part que tout être humain est constamment en train de chercher une position philosophique qui lui convienne face à soi-même, aux choses et aux autres, à l existence en général. L analyse philosophique d œuvres littéraires est ainsi centrée sur le processus ( sans 1. Jean-Paul Sartre parlait de la nécessité pour l écrivain de «se ranger du côté de la révolution s il est prouvé qu il n y a pas d autre moyen de faire cesser une oppression» ( Jean-Paul Sartre, Qu est-ce que la littérature?, p. 319 ). Cette position de la «littérature engagée» est bien connue et a fait couler beaucoup d encre. Mais ce n est pas la prise de position politique qu il importe de retenir. Avant tout, Sartre croit que la littérature engagée est d abord engagée philosophiquement avant de l être sur le plan politique. «[ L ]a littérature manifeste à sa manière, comme libre produit d une activité créatrice, la totalité de la condition humaine [ elle ] est par essence prise de position» ( p. 334 ) ; «La fonction d un écrivain est d appeler un chat un chat. Si les mots sont malades, c est à nous de les guérir [ ] notre premier devoir d écrivain est donc de rétablir le langage dans sa dignité» ( p. 341 ) ; «C est notre tâche d écrivain que de représenter le monde et d en témoigner» ( p. 345 ) ; «Par la littérature, la collectivité passe à la réflexion et à la médiation, elle acquiert une conscience malheureuse, une image sans équilibre d elle-même qu elle cherche sans cesse à modifier et à améliorer. Mais, après tout, l art d écrire n est pas protégé par les décrets immuables de la Providence ; il est ce que les hommes le font, ils le choisissent en se choisissant» ( p. 356 ). [ Les références complètes des textes cités apparaissent en bibliographie. nde ]
4 12 Texte littéraire et réflexion éthique fin ) de définition d un positionnement philosophique face à la réalité. La littérature est-elle nécessairement porteuse d intuitions philosophiques? Ce n est évidemment pas toujours le cas, du moins si nous nous en tenons à la surface des réalités reflétées dans l œuvre littéraire. Mais si nous approfondissons, nous faisons face assez rapidement à une vision de l être humain et de sa condition existentielle, et, dans le cadre de cette approche voisine de l anthropologie philosophique, la question du bien et du mal surgit inévitablement. L éthique n est pourtant pas son propre fondement, qui est ailleurs, dans une vision métaphysique de la réalité. Aussi le mouvement va de la littérature à la philosophie, de celle-ci à l éthique puis à la métaphysique. La littérature pousse ainsi à circonscrire les frontières du bien et du mal, si tant est qu elles existent ou qu elles résistent au temps et à l espace. Elle impose par là une redéfinition du réel et un rapport constamment renouvelé avec lui, une relation toujours insatisfaite de ce qu elle y trouve. Elle est une réflexion de philosophie concrète qui, par son orientation à la fois métaphysique et éthique, parvient à amener les lecteurs à redéfinir leur vision du monde et de la réalité tout autant que leur comportement le plus banal. Les différentes formes littéraires ( poésie, théâtre, roman, nouvelle, récit ) révèlent un condensé du réel qui est plus réel que celui que pourrait atteindre un seul individu. Je regarde le réel avec ce que je suis et ne peux donc en percevoir qu une bien mince partie sauf à en adopter, à l aide d une observation scrupuleuse des êtres qui m entourent, une vision plus large. Plusieurs romanciers, Marcel Proust par exemple, ont justement soutenu que le roman est plus réel que le réel. Le romancier a la capacité de condenser, dans une œuvre, désirs, complexes, fantasmes, besoins, sentiments et émotions rencontrés chez un grand nombre d êtres humains. Même si le roman ne peut prétendre à
5 Introduction 13 l universalité de son interprétation, il ne peut pas non plus ne pas la viser. L œuvre littéraire tend à définir les grands traits de l humanité, même quand elle se cantonne dans un univers culturel bien précis. La transculturalité n est possible que parce que l humanité est une. Si tout n était que culturel, il n y aurait rien d universel. Le relativisme moral absolu le croit. On se rabat dès lors sur la pluralité culturelle. Admettre que quelque chose traverse les cultures de toutes parts et demeure inchangé, c est admettre qu un universel existe et qu il imprègne l être humain lui-même. C est admettre, à l encontre de Nietzsche et de Sartre, que, au-delà de toutes les différences culturelles, il existe une certaine nature humaine. La littérature prend-elle position à l égard de l existence ou de l inexistence de la nature humaine? Certains écrivains, oui. Mais, à travers l histoire, le mouvement d ensemble de la littérature en est un qui cherche l universel et ne se satisfait pas du particulier. La littérature a, en elle-même, une visée de cette nature. Elle part du particulier, certes, le point de vue de l écrivain et le monde dans lequel il baigne ; mais elle tend à l universel, qui est sa visée anthropo-philosophique. La lecture d œuvres littéraires est donc à la fois un questionnement philosophique, la confrontation avec des dilemmes éthiques et la nécessité de redéfinir le bien et le mal, tout autant qu un appel à approfondir une vision métaphysique de la réalité. En cela, l œuvre littéraire dépasse de loin les particularismes culturels et les visions atomistes du réel. Dans cet ouvrage, nous nous proposons de décrire la convergence de la philosophie et de la littérature dans la progression et l enchaînement des questionnements philosophiques. L horizon de ces questionnements est
Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs?
Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Problématique : La difficulté lorsque vous vous trouvez face à un tel sujet est de confondre le thème avec le problème du sujet. Ici le thème était
Plus en détailDans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)
1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins
Plus en détailFrance métropolitaine, juin 2008 SUJET 7. Série ES, France métropolitaine, juin 2008
France métropolitaine, juin 2008 SUJET 7 7 SUJET Dissertation Série ES, France métropolitaine, juin 2008 Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même? LE SUJET COUP de POUCE ANALYSE
Plus en détailGuide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé
Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation
Plus en détailCamus l a joliment formulé : le seul. introduction
introduction Camus l a joliment formulé : le seul choix qui s offre à nous, aujourd hui, est d être soit un pessimiste qui rit, soit un optimiste qui pleure. L optimiste croit que tout va bien. Dans La
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailQuand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est
Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est une émotion à la fois si commune et si unique que la langue française
Plus en détailL ASSURANCE EN LIGNE. Etat des lieux et prospective
L ASSURANCE EN LIGNE Etat des lieux et prospective www.audirep.fr Restitution des résultats d une étude menée par Internet sur un échantillon de 908 ménages représentatifs de la population française AUDIREP
Plus en détailFAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)
FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST
Plus en détailÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE
ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent
Plus en détail2010/2011 MASTER 2 SPECIALITE 8 MEF (IUFM/UPV/INSHEA)
2010/2011 MASTER 2 SPECIALITE 8 MEF (IUFM/UPV/INSHEA) ACCOMPAGNEMENT DE PUBLICS A BESOINS EDUCATIFS PARTICULIERS PAR UNE PEDAGOGIE INSTITUTIONNELLE ADAPTEE Responsable : CANAT Sylvie MASTER 2 SPECIALITE
Plus en détailSuis-je toujours le même?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Suis-je toujours le même? Introduction Avant de répondre à la question, il faut comme toujours en philosophie bien en comprendre le problème. Le " je suis " fait
Plus en détailCANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM
CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM 1 ère partie Déclaration d intention JEAN-PAUL HAUTIER ADMINISTRATEUR PROVISOIRE ET DIRECTEUR DE LA RECHERCHE DE L ENSAM DIRECTEUR ES QUALITE DE
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Point de vue communicationnel sur le réel Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Question 31 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»?
Plus en détailHISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR
HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate
Plus en détailUNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE
UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE ÉCOLE DOCTORALE 2 HISTOIRE MODERNE ET CONTEMPORAINE UMR 8138 Identités, Relations internationales et civilisation de l Europe T H È S E pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ
Plus en détailRecommandez Sunrise. Un partenaire de confiance.
Recommandez Sunrise Un partenaire de confiance. Soins de longue durée et soins pour personnes semi-autonomes Soins pour personnes souffrant de l Alzheimer ou éprouvant des troubles de la mémoire Soins
Plus en détailLes enjeux existentiels du dirigeant
La complexité, tout simplement Les rencontres Trajectives Les enjeux existentiels du dirigeant S accomplir pour mieux diriger la transformation Qui sommes-nous? Un cabinet avec 10 années d expérience et
Plus en détailRessources pour le lycée général et technologique
éduscol Ressources pour le lycée général et technologique Ressources pour la classe de première générale Série littéraire (L) Travaux Personnels Encadrés Thème spécifique Représentations et réalités Ces
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailBABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS
Quatrième colloque hypermédias et apprentissages 275 BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Anne-Olivia LE CORNEC, Jean-Marc FARINONE,
Plus en détaildes valeurs 2006 PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS
L arbre des valeurs 2006 le fondement philosophique de l éthique /// les valeurs clés de notre éthique /// les principes issus des valeurs clés PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS L ARBRE des valeurs Au cœur
Plus en détailNotre approche de développement local
Notre approche de développement local Renforcer le pouvoir d agir des personnes et des collectivités La grande marche de la démocratie La Déclaration universelle des droits de l homme adoptée en 1948 affirme
Plus en détailLa fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris
La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La volonté affichée au printemps 2013 par le Président de la République d intensifier la
Plus en détailRÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE
, chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy
Plus en détailUn écrivain dans la classe : pour quoi faire?
Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas
Plus en détailCréation d un groupe de réflexion, de formation, de prière et de service missionnaire pour les jeunes professionnels
Création d un groupe de réflexion, de formation, de prière et de service missionnaire pour les jeunes professionnels Paroisse Saint-François-Xavier des missions étrangères Ce dossier présente les motivations
Plus en détailC S. Institut Commercial Jean-Baptiste Say
I Institut ommercial Jean-Baptiste ay Autrement Voir ses études autrement I Institut ommercial Jean-Baptiste ay atherine harbau Directrice Que faire après le Bac? Nombreux sont les élèves qui s interrogent
Plus en détailUn Cabinet de Référence en Droit des Affaires. Le développement international. Une structure souple et toujours à l écoute
Un Cabinet de Référence en Droit des Affaires Créé en 1957 par le Bâtonnier Bernard du Granrut, le cabinet est aujourd hui l un des plus importants cabinets d avocats d affaires indépendants. Nos avocats
Plus en détailLes valeurs qui nous guident...
Les valeurs qui nous guident... La manière Kinross La société Kinross est une entreprise internationale d exploitation de gisements aurifères basée au Canada. Elle a des sites d exploitation et de mise
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailA Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement
A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement (Extraits) Sur le licenciement : Attendu que la lettre de licenciement, qui fixe les limites du litige, doit être suffisamment
Plus en détailUne philosophie du numérique
Revue internationale International Web Journal www.sens-public.org Une philosophie du numérique Lecture de Pour un humanisme numérique de Milad Doueihi (Seuil, Paris 2011) MARCELLO VITALI ROSATI Résumé:
Plus en détailGRANDE LOGE FÉMININE DE FRANCE
GRANDE LOGE FÉMININE DE FRANCE D O S S I E R D E P R E S S E Présentation Une histoire inscrite dans la tradition maçonnique La promotion de valeurs de progrès L expression de la parole des femmes Une
Plus en détaild utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel
www.doctrinesocialeeglise.org 1 Voir - Juger - Agir Méthode de réflexion r et d utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel Pour aller plus loin dans le détaild merci de se reporter au livre : «Construire
Plus en détailTravailleur social : acteur de changement ou panseur de plaies?
Travailleur social : acteur de changement ou panseur de plaies? Au CPAS, à la Mutuelle, dans les associations, dans les écoles, dans la rue ou derrière un guichet ou encore à domicile, les assistants sociaux
Plus en détailCOMPRENDRE. Le métier de courtier en travaux
COMPRENDRE Le métier de courtier en travaux À PROPOS DE L AUTEUR Clico Travaux Clico Travaux est une enseigne de courtage en travaux basée à Achèresdans les Yvelines. Il n est pas simple de trouver des
Plus en détailMais revenons à ces deux textes du sermon sur la montagne dans l évangile de Matthieu.
«AIMER SES ENNEMIS» «Qui veut prendre ta tunique, laisse lui aussi ton manteau». Si quelqu un te force à faire mille pas, fais-en deux mille avec lui». «Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent»
Plus en détaille «Yoga psychologique», créé par Nicolas Bornemisza.
MÉTHODE IT Libérations des Images intérieures - Images de Transformation Présentation de la méthode de Nicolas Bornemisza La méthode IT a été co- créée par Marie Lise Labonté et Nicolas Bornemisza. Elle
Plus en détailCoaching et Team Building
recherché par les entreprises Ils représentent deux leviers ENTREPRISE Coaching et Team Building des outils de management au service de la personne, des entreprises et des organisations Serge LANTEAUME
Plus en détailPrésentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques
Présentation du programme Éthique et culture religieuse Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Repères historiques 1964 1995 1996 1998 1999 1999 2000 2005 Création du ministère
Plus en détail«Les essentiels du coaching» «Le Coaching existentiel»
SARL METASOPHIA Organisme de formation professionnelle, 20 rue Théodore de Banville 06100 NICE Immatriculé au registre de commerce de Nice : N 450 630 363 00023 N de formateur : 93060567606 R.C.S. NICE
Plus en détailSéquence inaugurale qui conduira les étudiants à soulever les problématiques essentielles.
1 Thèmes, problématiques Objectifs méthodologiques Activités Supports Compléments, soutien, Séquence inaugurale qui conduira les étudiants à soulever les problématiques essentielles. S 1 Le livre, un objet
Plus en détailReconnaissance et pacification
E-Séminaire de Philosophie www.domuni.eu 12 octobre 7 décembre 2015 Reconnaissance et pacification de Axel HONNETH à P. RICOEUR Présentation La théorie de la reconnaissance mutuelle, exposée par Axel Honneth,
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailFiche de préparation. Intitulé de séquence : le portrait
Fiche de préparation Cycle III Niveau de classe : CM Intitulé de séquence : le portrait Domaines étudiés : arts du langage, arts visuels Champs disciplinaires : français/ langage oral, lecture, écriture
Plus en détailUN REVENU QUOI QU IL ARRIVE
UN REVENU QUOI QU IL ARRIVE Bienvenue chez P&V En vous confiant à P&V, vous choisissez un assureur qui recherche avant tout l intérêt de ses assurés. Depuis son origine, en 1907, P&V s appuie sur des valeurs
Plus en détailAvant-propos Le problème de la spécificité du texte dramatique... 7 Genres du dramatique et descriptions linguistiques... 12 Conclusion...
Table des matières Avant-propos Le problème de la spécificité du texte dramatique... 7 Genres du dramatique et descriptions linguistiques... 12 Conclusion... 41 PREMIÈRE PARTIE Aspects sémio-linguistiques
Plus en détailRÉPONDRE DE QUELQUE CHOSE C EST RÉPONDRE À QUELQU UN : UN DIALOGUE IMAGINAIRE ENTRE BAKHTINE ET LÉVINAS
RÉPONDRE DE QUELQUE CHOSE C EST RÉPONDRE À QUELQU UN : UN DIALOGUE IMAGINAIRE ENTRE BAKHTINE ET LÉVINAS Un des mots clés de Pour une Philosophie de l acte 1, l une des premières œuvres de Bakhtine conservée
Plus en détailComment un. accident. peut-il engager la. responsabilité pénale. des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux?
Les cahiers de l Observatoire Comment un accident peut-il engager la responsabilité pénale des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux? table des matières Avant-propos de Bernard Bellec... P. 5
Plus en détailSTATUTS DE l ASSOCIATION SPORTIVE ANTONY VOLLEY
STATUTS DE l ASSOCIATION SPORTIVE ANTONY VOLLEY Article 1 : Constitution et siège social Il est fondé, le 12 mai 1998, entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet
Plus en détailDe quoi l assistance est-elle le minimum?
De quoi l assistance est-elle le minimum? Soin, politique et relations sociales Frédéric WORMS Pour Frédéric Worms, l assistance ne doit pas s approcher seulement en termes quantitatifs, comme une prestation
Plus en détail10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris)
Samedi : 10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris) La séance a commencé par un tour de table afin de présenter chaque association
Plus en détailRÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle
RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le
Plus en détailTechnologies de l information
7a Technologies de l information Nouvelles technologies de l information : une clé pour apprendre à l âge adulte? 321 Thème 7 Education des adultes, culture, médias et nouvelles technologies Fascicules
Plus en détailQu est-ce qu une œuvre d art?
Qu est-ce qu une œuvre d art? Par Simone MANON Professeur de philosophie A) L être œuvre de l œuvre d art. Elle se distingue du simple effet naturel en ce qu elle est le produit d une activité humaine.
Plus en détailChapitre 2. Eléments pour comprendre un énoncé
Chapitre 2 Eléments pour comprendre un énoncé Ce chapitre est consacré à la compréhension d un énoncé. Pour démontrer un énoncé donné, il faut se reporter au chapitre suivant. Les tables de vérité données
Plus en détailRéaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!
Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!) 1. Réaliser la note sur l auteur (bien lire le document, utiliser Internet)
Plus en détailFONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE
FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE 1999 La Fondation nationale de gérontologie et le ministère des affaires
Plus en détail«Je pense, donc je suis» est une grande découverte
6 «Je pense, donc je suis» est une grande découverte Cette affaire-là est assez claire. On lit dans le Discours de la méthode, Quatrième Partie : «[ ] Je me résolus de feindre que toutes les choses qui
Plus en détailL AUDIT DE L ETHIQUE DES AFFAIRES,
L AUDIT DE L ETHIQUE DES AFFAIRES, CROISEMENT DE L AUDIT SOCIAL ET DU CONTROLE INTERNE Michel JORAS CIRCEE Centre de recherche de l esce Enseignant chercheur à l Ecole Supérieure du Commerce Extérieur
Plus en détail«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.»
Métonymie : image désuète de l instrument servant à écrire. Représentation traditionnelle et glorieuse du travail de l écrivain. Allusion à une époque révolue. Idée de durée, de permanence. edoublée dans
Plus en détailStages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France
Stages de recherche dans les formations d'ingénieur Víctor Gómez Frías École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France victor.gomez-frias@enpc.fr Résumé Les méthodes de l ingénierie ont été généralement
Plus en détailPrésentation de la session 2015 du Master de deuxième niveau
Présentation de la session 2015 du Master de deuxième niveau MEDIATIONS INTERCULTURELLES LES SIGNES, LES MOTS, LES IMAGES POUR LA MISE EN ŒUVRE DE PROJETS PERSONNELS D UTILITE PUBLIQUE Directeur : prof.
Plus en détailGrande Loge Féminine de France
... La transformation du monde commence par la construction de soi... Grande Loge Féminine de France DOSSIER DE PRESSE Contact presse : 33(0)1 71 04 58 14 courriel : communication@glff.org Site : www.glff.org
Plus en détailCharte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale
Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale 2 Définitions Définitions Banque Bureau de l ombudsman Ombudsman Client Client commercial Client particulier Décision d affaires Décision
Plus en détailNous sommes tous coupables
Nous sommes tous coupables Jean-Marie Muller* «Chacun de nous est coupable devant tous pour tous et pour tout.» Dostoïevski Les Frères Karamazov Je termine mon texte sur les crimes perpétrés par Mohamed
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailAIDE À LA RÉUSSITE SE RÉALISER PLEINEMENT
AIDE À LA RÉUSSITE SE RÉALISER PLEINEMENT «Un enseignant ou une culture ne créent pas un être humain. On n implante pas en lui la capacité d aimer, d être curieux, de philosopher, de symboliser ou d être
Plus en détailEducation, visions d'un monde
Education, visions d'un monde 29th August 2012 La Fondation s inte_resse de pre_s a_ l e_conomie et a_ son fonctionnement sur le long terme. Nous nous attachons a_ analyser et comprendre la transition
Plus en détail3 thèses : Problématique :
LA CONSCIENCE Problématique : 3 thèses : Thèse 1 : L âme est une substance. A. L âme est une substance individuelle. B. La conscience comme substance pensante une et indivisible. Thèse 2 : La conscience
Plus en détailGuide sur les VALEURS. Angélike et Delphine
Guide sur les VALEURS Angélike et Delphine Ce guide sur les valeurs s adresse autant à notre clientèle qu au personnel du Centre de réadaptation en déficience physique (CRDP) et constitue le code d éthique
Plus en détailPRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS
PROFESSEUR DES ÉCOLES PRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS Éric SEGOUIN Denis BASCANS Une méthode et un outil d aide à la conception et à la programmation de séquences d enseignement pour l école primaire
Plus en détailLa lutte contre la manipulation des dispositifs de protection commence dès l'achat d'une machine.
La lutte contre la manipulation des dispositifs de protection commence dès l'achat d'une machine. La maison Planzer: la culture de la sécurité au quotidien La manipulation des dispositifs de protection
Plus en détailCentrale de Fukushima, bactérie E.Coli, crise des
GR 2P6R ON 2ME AM Centrale de Fukushima, bactérie E.Coli, crise des dettes souveraines... Que ce soit en physique, en biologie ou en sciences économiques, l actualité de ces derniers mois témoigne du besoin
Plus en détailDepuis dans leurs. La BCU. publics. les ouvrages nécessaires à. l'étude. non de. et assurerr. 1 art. 15 446.11)
Lausanne, le 14..11.013 Politique de formation pour le public universitaire 1. Préambule Depuis plus d une dizaine d années,, la BCUL a développé des formations principalement destinées aux étudiants afin
Plus en détailJ ai droit, tu as droit, il/elle a droit
J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.
Plus en détailNous avons besoin de passeurs
1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire
Plus en détailMAISON NATALE DE VICTOR HUGO
LA MAISON NATALE DE VICTOR HUGO LE PARCOURS GAVROCHE PRÉSENTE 1 LE SAVAIS-TU? Victor Hugo est né au premier étage de cette maison le 26 février 1802. Tu connais peut-être ce grand écrivain par ses romans
Plus en détailEdouard Glissant, professeur aux États-Unis
3.03.Waldinger*10 28/06/05 11:26 Page 255 Edouard Glissant, professeur aux États-Unis..............................................................................................................................................................
Plus en détailProcessus d Informatisation
Processus d Informatisation Cheminement de la naissance d un projet jusqu à son terme, deux grandes étapes : Recherche ou étude de faisabilité (en amont) L utilisateur a une idée (plus ou moins) floue
Plus en détailL optimisation des ressources : risques et possibilités pour la recherche au service du développement
Pratiques en matière de partenariat n o 3b L optimisation des ressources : risques et possibilités pour la recherche au service du développement La Division des partenariats avec les bailleurs de fonds
Plus en détailLES SEMINAIRES DOCTORAUX PAR DISCIPLINE
LES SEMINAIRES DOCTORAUX PAR DISCIPLINE DROIT CANONIQUE La Faculté de Droit canonique propose désormais deux modalités pour préparer un doctorat : - 1 ère modalité : programme canonique facultaire D1 :
Plus en détailAncienne gare de déportation de Bobigny. Rencontre avec les enseignants de Bobigny Connaître les ressources locales 05.12.2012
Ancienne gare de déportation de Bobigny Rencontre avec les enseignants de Bobigny Connaître les ressources locales 05.12.2012 Sommaire : 1. Bobigny, une gare entre Drancy et Auschwitz 2. Après la guerre,
Plus en détailEtude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011
Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description
Plus en détailPOURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? Masson Alexis - www.epistheo.com
POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? 1 Pourquoi Dieu permet-il le mal? Brève initiation au problème du mal MASSON Alexis Philosophie de la Religion www.epistheo.com 2 Première Partie UN SERIEUX PROBLEME 3 1
Plus en détailInstitut Français de Shiatsu
I F S Institut Français de Shiatsu et de Psychologie Corporelle Appliquée Créé et dirigé par Michel ODOUL CHARTE DU PRATICIEN RÉFERENCÉ. mise à jour 02/2014 NOM : Prénom : Institut Français de Shiatsu,
Plus en détailIntroduction 1. Bibliographie 317 Remerciements 323 Index 325. 2011 Pearson Education France Investisseurs de légende Glen Arnold
S o m m a i r e Introduction 1 1. Benjamin Graham 7 2. Philip Fisher 53 3. Warren Buffett et Charles Munger 81 4. John Templeton 133 5. George Soros 169 6. Peter Lynch 221 7. John Neff 255 8. Anthony Bolton
Plus en détailStatuts de l'association «CAP ou pas cap?»
Statuts de l'association «CAP ou pas cap?» Préambule L'éclosion et la multiplication des actions citoyennes participatives et décentralisées constituent un formidable terreau démocratique. Une nouvelle
Plus en détailELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications
Plus en détailLes Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24
Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Commentaire de la décision n 2007-557 DC du 15 novembre 2007 Loi relative à la maîtrise de l immigration, à l intégration et à l asile Déposé sur le bureau
Plus en détailAssises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007
Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Quand je pense à ces nouveaux Chefs d établissement qui me disaient récemment avoir
Plus en détailThéâtre - Production théâtrale Description de cours
Théâtre - Production théâtrale Description de cours SESSION 1 (TRONC COMMUN) Histoire de l'architecture L objectif du cours est de cerner les principaux styles de l histoire de l architecture. Le contenu
Plus en détailHistorique du coaching en entreprise
Historique du coaching en entreprise Aux Etats-Unis dans les années 80, le coaching des sportifs a beaucoup de succès. L entreprise, soucieuse d une plus grande performance va adapter le coaching afin
Plus en détailLe leadership du dirigeant et la réussite de l entreprise
Introduction «Qu est-ce donc qui constitue mon être? C est de la chair, un souffle et le pouvoir hégémonique.» (Marc-Aurèle, Pensées pour moi-même.) Apple survivra-t-elle à la mort de Steve Jobs, son fondateur
Plus en détailMais, avant de nous lancer dans cette entreprise, clarifions les termes et le cadre.
Le topos : un hypertexte, un système de gestion de bases de données relationnel ou un objet singulier? Extrait du mémoire de master Heuristique du Récit Variable et du Topos Université Paris 8 2006 Carole
Plus en détailMieux connaître les publics en situation de handicap
Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent
Plus en détailRESPONS. Info Mail 3 Janvier 2015 RESPONS SHURP ENSEMBLE. Lettre d information de l étude RESPONS
RESPONS RESPONS RESidents Perspectives Of Living in Nursing Homes in Switzerland est un projet du Domaine santé de la Haute école spécialisée bernoise. RESPONS étudie la qualité des soins du point de vue
Plus en détailPeut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr
Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?
Plus en détailBROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES
BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION
Plus en détail