Etat de stress post traumatique à l issu d un séjour en réanimation. DESC2 Réanimation Médicale Nice, Juin 2010 Dr David MORQUIN

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Etat de stress post traumatique à l issu d un séjour en réanimation. DESC2 Réanimation Médicale Nice, Juin 2010 Dr David MORQUIN"

Transcription

1 Etat de stress post traumatique Etat de stress post traumatique à l issu d un séjour en réanimation j DESC2 Réanimation Médicale Nice, Juin 2010 Dr David MORQUIN

2 I De quoi on parle? II Quelle fréquence? III Comment l évaluer? IV Quels sont les facteurs favorisants en réanimation? V Quelles perspectives?

3 Historique d une entité nosologique : Etat de Stress Post Traumatique Névrose traumatique des accidentés des chemins de fer Névroses de guerre, des tranchées (WWI, II) Syndrome du survivant (Camps de concentration) Mouvements féministes/ études des agressions sexuelles Vétérans dela guerre duvietnam (70000cas) DSM III American Psychiatric Association : définition de l ESPT Reconnaissance des troubles psychiatriques associées à une prise en charge en réanimation Mieux vivre en réanimation : prévenir l ESPT?

4 Physiopathologie de l ESPT? 1950 être exposé à un événement 1970 «traumatogène» 1900 menace de mort ou menace grave de l intégrité physique 1994 Condition nécessaire mais non suffisante 2010 Réaction de peur intense, d impuissance i ou d horreur. Une réalité Une réponse subjective

5 Physiopathologie de l ESPT? 1900 être exposé à un événement «traumatogène» 1950? Facteurs intrinsèque/extrinsèques de vulnérabilité? Développer des troubles psychologiques > 1 mois 1994 Cauchemars, souvenirs répétitifs Symptômes d intrusions envahissants, flash back Stratégie visant à éviter situation, Symptômes d évitement, pensées ou images associés. d émoussement des affects Troubles relationnels Colère, irritabilité, hypervigilance, Symptômes neurovégétatifs 2010 réaction de sursaut, Insomnie

6 diagnostic de l ESPT? (critères DSM IV) Critère A Avoir été exposé à un 1900 événement «traumatogène» menace de mort ou menacegravede l intégrité physique Réaction de peur intense, d impuissance, d horreur. Aigu : < 3 mois Chronique : >3 mois Retardé : Début > 6 mois Critère B Critère C Critère D 1950 L évènement est constamment revécu Evitement persistant des stimuli et émoussement de la réactivité générale Symptômes persistant évocateurs d une hyperactivation neurovégétative. Symptômes d intrusions Amnésie psychogène, réduction nette de l intérêt pour les activités importantes, sentiment de détachement d autrui, incapacité à éprouver des sentiments tendres, sensation d avenir bouché. Troubles du sommeil, irritabilité, colère, troubles de la concentration, hyper vigilance, réaction de sursaut exagéré Critère E Critère F Les critères B, C et D persistent > 1 mois. La perturbation entraine une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d autres domaines importants

7 Symptômes d intrusions? (ou de répétitions) Pathognomoniques o o reviviscences quasi hallucinatoires de l événementé de souvenirs imposés impression de ruminations mentales Pendant le sommeil, survenue de rêves angoissants reproduisant de façon très réaliste l expérience lexpérience traumatique. Impressions que l événement va se reproduire, accompagnés d une détresse émotionnelle intense, survenant spontanément ou lors de la confrontation à des stimulus évoquant le psychotraumatisme py Il peut exister en même temps une amnésie éi dissociative i empêchant êh de se remémorer une partie, voire la totalité de l événement traumatogène.

8 I De quoi on parle? II Quelle fréquence? III Comment l évaluer? IV Quels sont les facteurs favorisants en réanimation? V Quelles perspectives?

9 Fréquence de l ESPT? Dans la vie en générale 12%des 1,2% Hommes 2,7% des Femmes 8% au cours de la vie Stein et al, 1997 Sadock et al, 2003 En post réanimation? 25% des survivants de réanimation ont des troubles psychiatriques à 1 an 5 à 63% des patients? Schnyder, et al Am J Respir Crit Care Med 2001 Jackson, et al. Crit Care % des proches des patients à 3 mois Azoulay, et al FAMIREA group Am J Respir Crit Care Med 2005 = Plusieurs milliers de personnes par an en France?

10 Because the magnitude of the problem posed by PTSD in survivors of critical illness is unknown, there remains a pressing need for larger and more methodologically rigorous investigations of PTSD in ICU survivors. Jackson et al, 2006

11 ESPT post réanimation : quelles données? Schelling et al 1998 Allemagne rétrospectif ARDS, n=80 27,5%? Schnyder et al 2001 Suisse prospectif Accident, n= % Avant sortie Nelson et al 2000 USA rétrospectif ALI, n=24?? Scragg et al 2001 UK rétrospectif n=77 16%? Shaw et al 2001 USA prospectif ARDS, n=20 35%? Jones et al 2001 UK prospectif VM, n=20? 2 mois Kress et al 2003 USA prospectif DIS, n=13? > 6 mois Cuthbertson et al 2004 UK prospectif n=78 14%? Capuzzo et al 2005 Italie prospectif n=84 5% 3 mois Rattray et al 2005 UK rétrospectif n=87 54% 1 an Deja et al 2006 Allemagne rétrospectif n=65? 32 mois Richter et al 2006 Allemagne prospectif n=37 19% 35 mois Jones et al 2007 UK prospectif n=238 (?) 14,8% J15 Sukantarat et al 2007 UK prospectif n=51 24% 9 mois Girard et al 2007 USA prospectif n=43 14% 6mois Wallen et al 2008 Australie prospectif n=100 13% 1 mois

12 22%

13 I De quoi on parle? II Quelle fréquence? III Comment l évaluer? IV Quels sont les facteurs favorisants en réanimation? V Quelles perspectives?

14 ESPT post réanimation : comment l évaluer? DTS IES HAD 14 PTSS 10 IES R SF 36 PTSS 14

15

16 échelle d évitement

17 échelle d intrusion

18 échelle d hypervigilance

19 PTSD Scale (DSM IV) Critère A Avoir été exposé à un 1900 événement «traumatogène» Au moins 1/5 Citè Critère B L évènement Lévènement est Critère C Critère D 1950 constamment revécu Evitement persistant des stimuli et émoussement de la réactivité générale Symptômes persistant évocateurs d une hyperactivation neurovégétative. Au moins 3/7 Au moins 2/5 1 fois par semaine = 1 point 2 à 4 fois par semaine = 2 points 5 fois ou plus par semaine = 3 points Nombre d items X fréquence PTSD présents/domaine = gravity score

20 I De quoi on parle? II Quelle fréquence? III Comment l évaluer? IV Quels sont les facteurs favorisants en réanimation? V Quelles perspectives?

21 n= 45 (UK) ICU Memory tool (J15) IES 15 (S8)

22 Impact of Event Scale n=9 n=25 n=11 Pas de faux souvenirs Pas de souvenirs factuels + Faux souvenirs Souvenirs factuels + Faux souvenirs

23 57% 9,2% UK, prospectif, multicentrique observationnelle n = 238 répondeurs à 6 mois ICU memory tool (J15) MAAS, CAM ICU, PTS (entretien) M3

24 ? n =255 répondeurs à 6 mois (61% des survivants) Oslo, Norvège

25 Faible niveaux de souvenir réels du séjour Faux souvenirs* Schelling G et al, Crit Care Med 1998 Jones C et al, Crit Care Med 2001 Kapfhammer HP et al, Am J Psychiatry 2004 Bouzana et al, (Unpublished Data) 2005 * Abandon de soins, Menace Samuelson K, Intensive Care Med 2006 d un soignant

26 Douleurs, détresse respiratoire, anxiété, cauchemars Schelling G et al, Crit CareMed 2003 Agitation Samuelson KAM, Acta Anesthesiol Scand 2007 Profondeur de la sédation Durée de Ventilation Samuelson K, Intensive Care Med 2006 Age jeune Cuthberson BH, Intensive Care Med 2004 Sexe? Apache II? Durée de séjour? Antécédents psychosociaux? Contention?

27 Sédation et ESPT étude monocentrique, contrôlée, randomisée. n =128 patients de Réa Md Med pas davantage d auto extubations effets rebonds sur l inconfort et la douleurs?

28 n = % de perdu de vu Biais du groupe contrôle! (Cf Girard et al, Lancet 2009 ) AJRCCM, 2003

29 Minneapolis, USA n =90 (57% des survivants à 6 mois) SIS : Sedation Intensity Score ICU Amnesia Score PTSD gravity score «It is difficult to predict the future psychological consequences of an individual patient s critical illness».

30 Objectifs : Ramsay 1 2 Ramsay 3 4 Prospectif, randomisé, contrôlé, ouvert. Monocentrique (Genève) Consentement : 137

31

32 Nuisances intrinsèques (maladie/patient) Soif Faim Froid Inconforts/douleurs liés aux soins : VNI, IOT, SNG, aspirations, sonde Urinaire, drainage thoracique, cathéters etc Nursing, literie etc Nuisances liées à l environnement Bruit Lumières (artificiels, intensité) Agression réelle Nuisances liées à l organisation de soins Accès des proches Isolement, contention Rythme nuit/jour Nuisances psychiques Communication Consentement Intimité Autonomie Diagnostic Information Sédation + autres causes de délirium Synthèse Processus de mémorisation ESPT Dissociation péritraumatique? Vécu du patient d après P.Kalfon Réanimation, 2010

33 I De quoi on parle? II Quelle e fréquence? III Comment l évaluer? IV Quels sont les facteurs favorisants en réanimation? V Quelles perspectives?

34 Nuisances intrinsèques (maladie/patient) Soif Faim Froid Inconforts/douleurs liés aux soins : VNI, IOT, SNG, aspirations, sonde Urinaire, drainage thoracique, cathéters etc Nursing, literie etc Nuisances liées à l environnement Bruit Lumières (artificiels, intensité) i Agression réelle Nuisances liées à l organisation de soins Accès des proches Isolement, contention Rythme nuit/jour Nuisances psychiques Communication Consentement Intimité Autonomie Information diagnostic Sédation + autres causes de délirium Processus de mémorisation ESPT Vécu du patient être un bon soignant...former son personnel maitriser l analgésie

35 Nuisances intrinsèques (maladie/patient) Soif Faim Froid Inconforts/douleurs liés aux soins : VNI, IOT, SNG, aspirations, sonde Urinaire, drainage thoracique, cathéters etc Nursing, literie etc Nuisances liées à l environnement Bruit Lumières (artificiels, intensité) i Agression réelle Nuisances liées à l organisation de soins Accès des proches Isolement, contention Rythme nuit/jour Nuisances psychiques Communication Consentement Intimité Autonomie Information diagnostic Sédation + autres causes de délirium Processus de mémorisation ESPT Vécu du patient Niveaux de sédation? choix des produits? Protocole de sevrage?

36 Nuisances intrinsèques (maladie/patient) Soif Faim Froid Inconforts/douleurs liés aux soins : VNI, IOT, SNG, aspirations, sonde Urinaire, drainage thoracique, cathéters etc Nursing, literie etc Nuisances liées à l environnement Bruit Lumières (artificiels, intensité) i Agression réelle Nuisances liées à l organisation de soins Accès des proches Isolement, contention Rythme nuit/jour Nuisances psychiques Communication Consentement Intimité Autonomie Information diagnostic Sédation + autres causes de délirium Processus de mémorisation Vécu du patient ESPT Concevoir l architecture du service penser un monitorage non nuisible. élargir l accès des familles.créer des repères

37 Nuisances intrinsèques (maladie/patient) Soif Faim Froid Inconforts/douleurs liés aux soins : VNI, IOT, SNG, aspirations, sonde Urinaire, drainage thoracique, cathéters etc Nursing, literie etc Nuisances liées à l environnement Bruit Lumières (artificiels, intensité) i Agression réelle Nuisances liées à l organisation de soins Accès des proches Isolement, contention Rythme nuit/jour Nuisances psychiques Communication Consentement Intimité Autonomie Information diagnostic Sédation + autres causes de délirium Processus de mémorisation Vécu du patient ESPT Temps humain répéter sécuriser... faire participer le patient. psychologue dès les premiers temps d éveil

38 Nuisances intrinsèques (maladie/patient) Soif Faim Froid Inconforts/douleurs liés aux soins : VNI, IOT, SNG, aspirations, sonde Urinaire, drainage thoracique, cathéters etc Nursing, literie etc Nuisances liées à l environnement Bruit Lumières (artificiels, intensité) i Agression réelle Nuisances liées à l organisation de soins Accès des proches Isolement, contention Rythme nuit/jour Nuisances psychiques Communication Consentement Intimité Autonomie Information diagnostic Sédation + autres causes de délirium Processus de mémorisation Vécu du patient ESPT Temps humain répéter sécuriser... faire participer le patient. Ratio IDE/patient psychologue dès les premiers temps d éveil

39 Nuisances intrinsèques (maladie/patient) Soif Faim Froid Inconforts/douleurs liés aux soins : VNI, IOT, SNG, aspirations, sonde Urinaire, drainage thoracique, cathéters etc Nursing, literie etc Nuisances liées à l environnement Bruit Lumières (artificiels, intensité) i Agression réelle Nuisances liées à l organisation de soins Accès des proches Isolement, contention Rythme nuit/jour Nuisances psychiques Communication Consentement Intimité Autonomie Information diagnostic Sédation + autres causes de délirium Processus de mémorisation Vécu du patient ESPT Debriefing (répété) psychothérapie consultation de postréanimation

40 Conclusion Des milliers de patients par an en France? Des nouveaux locaux? Plus de personnel! Des nouveaux scopes non nuisibles? Plein de bonne volonté Pas de sous? Un psychologue par unité!

41 Merci de votre attention.

42 BONUS

43 Groupe interventionnel ti Groupe contrôle tôl n=167 J0 n= échecs (18%) dont agitation = échecs (7%) dont agitation, douleur = échecs (28%) n= Évaluation des critères de réveillabilité Test de réveil spontané Évaluation des critères de sevrabilité 3,8j 3,9j 1590 Évaluation des critères de sevrabilité 52 patients hors sédation Absence de prérequis de l arrêt de la sédation avant mise en ventilation spontanée dans le groupe contrôle. 554 échecs (34%) 284 échecs (47%) Test de ventilation spontané 1 er TVS Test de ventilation spontané 456 échecs (48%)

44 Absence ou minimisation de la sédation Sp02 > 88% + FIO2 50% PEEP 8 cmh20 Présence d un effort inspiratoire spontané (/5min) Absence d agitation Absence d ischémie myocardique de <24h Dopamine/dobutamine 5µg/kg/min Noradrénaline 2µ/kg/min Pas de vasopressine ou milrinone Absence d HTIC Test de Critères de Groupe contrôle Oui ventilation sevrabilité Succès spontané 120 min Proposition d extubation Non Réévaluation toute les 24h échec ventilation spontané sur Tube en T CPAP 5 cm H20 VS AI + 7cmH20 BIAIS DU GROUPE CONTRÔLE? Vol 371; 12 Janvier 2008 FR > 35 ou <8 pendant > 5min Sp02 < 88% pendant > 5 min Agitation Troubles du rythme Présence de 2 signes parmi les suivants : FC >130/min; Fc <60/min; utilisation des muscles respiratoires accessoires, respiration paradoxale, hypersudation

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement

Plus en détail

Le Stress Post - Traumatique

Le Stress Post - Traumatique Le Stress Post - Traumatique Synonyme(s) : état de stress post-traumatique. Synonyme(s) : ESPT ; ESPT aigu ; ESPT chronique ; Névroses post-traumatiques ; Syndrome de stress posttraumatique ; Syndrome

Plus en détail

La ventilation non invasive aux soins intensifs

La ventilation non invasive aux soins intensifs La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)

Plus en détail

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Groupe 1 somnovni 12/12/14

Groupe 1 somnovni 12/12/14 Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas

Plus en détail

LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI

LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,

Plus en détail

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS)

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU

Plus en détail

Expertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat.

Expertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat. Expertis Étude Stress Stress sur le Éléments statistiques Dr Brigitte Lanusse-Cazalé Production : Le Laussat. Les réactions au stress Les phases de stress + le stress dure, + le capital d adaptation s

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD

Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Emergency and Pre-Hospital divisions SAMU 74 INSERM UMR 955 Eq13 REVA: European Network on Mechanical Ventilation CONFLICTS OF

Plus en détail

Sommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7

Sommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

Fiche résumée : AIDE À DOMICILE

Fiche résumée : AIDE À DOMICILE Fiche résumée : AIDE À DOMICILE Aide ménagère Auxiliaire de vie Auxiliaire de vie sociale Auxiliaire familiale Employé familial Assistant de vie aux familles Assistant de vie dépendance Aide aux personnes

Plus en détail

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

La fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter

La fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter La fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter Dr Patrick GINIES, Anesthésiste, Centre d'évaluation et de traitement de la douleur CHU MONTPELLIER Patient partenaire et soignant partenaire Le rôle

Plus en détail

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» «Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture

Plus en détail

Le sevrage de la trachéotomie

Le sevrage de la trachéotomie Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr

Plus en détail

Trouble d anxiété généralisée

Trouble d anxiété généralisée Les troubles anxieux Le choix d une thérapie simple ou combinée est un choix personnel. Pour faire un choix éclairé, adapté à votre condition actuelle et répondant à vos besoins, oser poser toutes vos

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail. Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail

Plus en détail

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008 Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie

Plus en détail

Bienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels

Bienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels Bienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels Conférencier : Richard Boyer, Ph. D., chercheur au Centre de

Plus en détail

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions

Plus en détail

Selon le modèle biomédical. Dépression, anxiété et souffrance existentielle en fin de vie Des réalités oubliées

Selon le modèle biomédical. Dépression, anxiété et souffrance existentielle en fin de vie Des réalités oubliées Soins palliatifs Dépression, anxiété et souffrance existentielle en fin de vie Des réalités oubliées S il est vrai que certains troubles psychologiques ont une prévalence plus élevée chez les individus

Plus en détail

Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?

Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de

Plus en détail

Définition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress

Définition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones

Plus en détail

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique. Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un

Plus en détail

Quand le stress nous rend malade

Quand le stress nous rend malade Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors

Plus en détail

Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant

Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant MYLÈNE GINCHEREAU M.SC. PSYCHOÉDUCATION

Plus en détail

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice

Plus en détail

quelques points essentiels

quelques points essentiels actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs?

Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs? Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs? Dr Christophe TRIVALLE Service de Gérontologie et Soins Palliatifs Hôpital Paul Brousse «Nombre de débats actuels initiés par

Plus en détail

Une échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier

Une échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens

Plus en détail

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement

Plus en détail

DESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI

DESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI DESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI Céline Gélinas, inf., Ph.D., Marie-Anik Robitaille, M.A., Lise Fillion, inf., Ph.D. & Manon Truchon, Ph.D. Dans

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Stress et santé mentale chez les expatriés

Stress et santé mentale chez les expatriés le point sur Stress et santé mentale chez les expatriés Rev Med Suisse 2008 ; 4 : 1206-11 S.Aebischer Perone H. van Beerendonk J. Avril G. Bise L. Loutan Mental health in expatriates To be an expatriate

Plus en détail

Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA?

Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? (césarienne élective = césarienne pratiquée "à froid", en dehors du travail) C Dageville réanimation néonatale,

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER

Plus en détail

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009 L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial

Plus en détail

Risques psychosociaux et petites entreprises Outil "Faire le point"

Risques psychosociaux et petites entreprises Outil Faire le point Risques psychosociaux et petites entreprises Outil "Faire le point" 1 L entreprise est-elle confrontée à un problème récurent d absentéisme? tout à fait Plutôt oui Plutôt non pas du tout 2 L entreprise

Plus en détail

Constat de la situation existante. Facteurs favorisant les TCPO

Constat de la situation existante. Facteurs favorisant les TCPO Enquête Sparadrap : Anesthésie et pédiatrie Constat de la situation existante Un projet qui nous tient à cœur Dédramatiser l anesthésie Observation de troubles comportementaux liés à une anesthésie Anxiété

Plus en détail

droits des malades et fin de vie

droits des malades et fin de vie DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture

Plus en détail

Stress des soignants et Douleur de l'enfant

Stress des soignants et Douleur de l'enfant 5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d

Plus en détail

Manque de reconnaissance. Manque de contrôle

Manque de reconnaissance. Manque de contrôle CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Autisme Questions/Réponses

Autisme Questions/Réponses Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la

Plus en détail

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?» Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent

Plus en détail

Aide psychologique d urgence Que faire après un grave accident du travail?

Aide psychologique d urgence Que faire après un grave accident du travail? Aide psychologique d urgence Que faire après un grave accident du travail? Etes-vous chef d entreprise ou responsable de la sécurité et vous êtes-vous déjà demandé quelles pourraient être les conséquences

Plus en détail

Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?

Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Ensemble de symptômes et d atteintes qui touchent principalement : nerfs ligaments tendons vaisseaux sanguins articulations disques intervertébraux muscles

Plus en détail

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement

Plus en détail

Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer

Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer Josée Savard, Ph.D. Professeure titulaire École de psychologie, Université Laval Centre de recherche du CHU de Québec et Centre de recherche sur

Plus en détail

Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation

Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:

Plus en détail

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les

Plus en détail

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un

Plus en détail

Description des résidants dans les IHP et les MSP

Description des résidants dans les IHP et les MSP I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants

Plus en détail

Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble

Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Troubles de la vigilance au travail Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Sandrine Launois-Rollinat Patrick Lévy, Jean-Louis Pépin,

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Note de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013

Note de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013 Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,

Plus en détail

Journal de la migraine

Journal de la migraine Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur

Plus en détail

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! : t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43

Plus en détail

Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?

Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Symptômes et atteintes qui touchent principalement ces structures : nerfs muscles tendons ligaments articulations vaisseaux sanguins Cela peut se produire

Plus en détail

Carlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu

Carlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Se libérer de la drogue

Se libérer de la drogue Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir

Plus en détail

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction

Plus en détail

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale

Plus en détail

Madame, Monsieur, André GILLES, Député permanent chargé de l Enseignement et de la Formation.

Madame, Monsieur, André GILLES, Député permanent chargé de l Enseignement et de la Formation. Madame, Monsieur, La santé est un bien précieux que chacun doit absolument apprendre à gérer au mieux de ses intérêts. Elle doit être prise sous tous ses aspects, c est-à-dire, non seulement comme l absence

Plus en détail

La prise en charge d un trouble bipolaire

La prise en charge d un trouble bipolaire GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

d évaluation de la toux chez l enfant

d évaluation de la toux chez l enfant Validation d un questionnaire d évaluation de la toux chez l enfant Mémoire présenté par Caroline TROCCY Pour l obtention du diplôme de master(e) en kinésithérapie Promoteur: Monsieur G. Reychler Année

Plus en détail

Démarche d évaluation médicale et histoire professionnelle

Démarche d évaluation médicale et histoire professionnelle révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage

Plus en détail

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014 Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA

Plus en détail

o Non o Non o Oui o Non

o Non o Non o Oui o Non Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence

Plus en détail

L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois

L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,

Plus en détail

Plan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand

Plan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand Faculté de droit Prof. Jean-Philippe Dunand Prof. Pascal Mahon Avenue du 1 er -Mars 26 CH-2000 Neuchâtel Tél. ++41 32 718.12.00 Fax ++41 32 718.12.01 Centre d étude des relations de travail (CERT) Neuchâtel,

Plus en détail

ATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres?

ATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres? 12èmes Journées Régionales d échanges en Education du Patient EDUCATION DU PATIENT : «Entre bénéfices possibles et attendus.vers de nouveaux équilibres» jeudi 29 et vendredi 30 novembre 2012 ATELIER 2:

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide?

Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Soutien après le suicide d un jeune À la mémoire de Adam Cashen Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Si une personne de votre entourage

Plus en détail

SNAP-IV Instructions pour la cotation

SNAP-IV Instructions pour la cotation SNAP-IV Instructions pour la cotation La SNAP-IV est une version modifiée du questionnaire de Swanson, Nolan & Pelham (SNAP ; Swanson et al., 1983). Les items du DSM-IV (1994) du Trouble Déficitaire de

Plus en détail

Table des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE...

Table des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... Table des matières su REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... 15 À QUI S ADRESSE CE LIVRE... 17 INTRODUCTION... 19 Première partie : Énergie et Polarité... 23 CHAPITRE

Plus en détail

Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte

Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Réanimation DOI 10.1007/s13546-011-0243-1 RÉFÉRENTIEL / GUIDELINES Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Guide to skills and abilities

Plus en détail

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation

Plus en détail

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,

Plus en détail

COMMENT AIDER LES ENFANTS EN BAS ÂGE A SURMONTER UN TRAUMATISME

COMMENT AIDER LES ENFANTS EN BAS ÂGE A SURMONTER UN TRAUMATISME COMMENT AIDER LES ENFANTS EN BAS ÂGE A SURMONTER UN TRAUMATISME Toute personne ayant survécu à une catastrophe en ressort forcément profondément bouleversée ; en particulier les enfants, les personnes

Plus en détail

Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012

Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation

Plus en détail