ÉVÉNEMENT. Partout les orateurs revenaient sur les comptes pour les enfants.

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2 ÉVÉNEMENT principales raisons qui poussent la population burundaise à ne pas épargner sont liées à l éloignement des institutions financières, la méconnaissance ou l ignorance des procédures d ouverture d un compte et des avantages d en détenir, ainsi que la crainte de ne pas disposer de son argent au moment voulu. Au cours de la conférence de presse, le Secrétaire Exécutif a répondu aux interrogations des journalistes notamment sur celles en rapport avec les différents produits d épargne qui existent et leur rémunération, les taux d intérêt sur les crédits accordés etc. Les principaux résultats enregistrés par les 12 institutions de microfinance sont notamment: -Ouverture de nouveaux comptes, - Ouverture de 175 comptes des jeunes à l âge scolaire, - Un mouvement important d ouverture de nouveaux comptes observé les jours suivant le 31 octobre. été affectés pour répondre aux questions des visiteurs.ils ont montré que les produits offerts sont accessibles à la population à faible revenus (petits commerçant, agriculteurs, éleveurs, artisans, entrepreneurs regroupés en association etc.). Des discours pour sensibiliser les clients et les autres visiteurs sur l importance d épargner ont été livrés par les dirigeants des IMF. A la question en rapport avec la rémunération de l épargne, il a répondu qu elle dépend essentiellement du montant de dépôt et du type de compte ouvert.quant aux taux d intérêt sur les crédits accordés, il a indiqué que leur fixation tient compte de différents facteurs comme l origine des ressources. Le Secrétaire Exécutif a profité de cette occasion pour interpeller le Gouvernement burundais à prendre des mesures visant à impulser un changement de comportement de la population en faveur d une culture de l épargne au sein du système formel. Aux institutions de microfinance, il a recommandé l innovation et la proposition des produits adaptés aux besoins des épargnants sans oublier le renforcement de la communication sur les services rendus. Le Secrétaire Exécutif du RIM a aussi signalé que le 31 octobre 2012, la Journée Internationale de l épargne a été célébrée par 12 institutions de microfinance en collaboration avec RIM et SBFIC. Les résultats de cette journée prouvent que, la plupart des fois, la population a besoin d être éclairée sur la pratique de l épargne. Les enfants invités pour les jeux de rôles à la CECM Journée portes ouvertes 9 institutions de microfinance se trouvant aux chefs-lieux des provinces et en Mairie de Bujumbura à savoir: CECM,WISE, UCODE-Microfinance, Ishaka-Microfinance,RECECA- Inkingi, CECAD, MUTEC, Hope Fund et CCI-ODAG ont célébré la journée en organisant une journée portes ouvertes. Une tournée dans certaines de ces institutions a permis de constater que des stands avaient été érigés pour bien présenter aux visiteurs les produits qu elles offrent. Des cadres y avaient Partout les orateurs revenaient sur les comptes pour les enfants. Des jeux de rôle par de petits enfants ont été organisés sur l importance d épargner dans les institutions financières. Ils ont montré que l épargne à la maison présente des risques notamment le vol, l incendie, la détérioration physique de la monnaie etc. De plus, les jeux de rôle ont permis aux visiteurs de comprendre que l épargne en dehors d une institution financière accroît les risques de gaspillage, limite l accès au crédit etc. A la CECAD, C est le Ministre de la Défense Nationale et des Anciens Combattants, Général Major Pontien GACIYUBWENGE ( au milieu) qui a ouvert les festivités 2 ZAMUKA:VOTRE BULLETIN

3 ÉVÉNEMENT PREMIÈRE FOIRE FINANCIÈRE AGRICOLE AU BURUNDI Sous le haut patronage de Son Excellence le Deuxième Vice-Président de la République du Burundi, le Ministère de l Agriculture et de l Elevage en collaboration avec Agri-Profocus Burundi, le Réseau des Institutions de Microfinance, RIM, et le Programme d Appui Institutionnel et Opérationnel au Secteur Agricole du Burundi ( PAIOSA) organisent la première foire financière agricole au Burundi pour la promotion de l entreprenariat agricole, du 25 au 27 novembre 2013 à la Détente, à Bujumbura. Objectifs spécifiques de la foire Mettre en contact les entrepreneurs agricoles avec les institutions financières et les compagnies d assurance, Mettre en contact les acteurs tra- vaillant aux différents niveaux de la même chaîne de valeur agricole, au secteur agricole etc. Diffuser l information sur les techniques de production, de conservation, de transformation et de commercialisation et ainsi promouvoir les meilleurs pratiques dans le secteur agricole. Une meilleure connaissance des services financiers offerts et les conditions d accès ainsi qu un débat ouvert sur les blocages du financement agricole au Burundi; Promouvoir les activités innovatrices dans le domaine agricole encore méconnues. Une large diffusion des informations sur les techniques de production, de consérvation, de transformation et de commercialisation; Participants à la foire Sont invités à la foire, les entrepreneurs agricoles ( producteurs, transformateurs et commerçants) provenant de la zone d action de PAIOSA (Moso, Bugesera, et Imbo) et ceux des régions naturelles de Imbo et Mirwa de façon générale, les institutions financières, les intervenants Résultats attendus La foire, un cadre d échange ouvrant de nouvelles opportunités d investissements; Le cadre d inspiration pour le dévelop-pement de nouveaux produits et services. Dieudonné MUREKAMBANZE Suite de la page 2 La seule solution pour prévenir ces risques étant de placer son argent dans des institutions f i n a n c i è re s q u i g a r a n t i s s e n t s a sécurité, accordent des intérêts sur la somme placée ainsi que des crédits pour la réalisation des activités génératrices de revenus. A travers ces jeux de rôles, des messages ont été donnés aux parents pour qu ils soient sensibilisés sur l importance d ouvrir des comptes à leurs enfants. Il importe de noter en plus que dans certaines institutions de microfinance, les clients ont témoigné l importance de l épargne faisant étant de l amélioration de leur niveau de vie. Des facilités ont été accordées aux nouveaux clients. En effet, certains IMF ont ouverts des comptes pour les enfants qui ont participé aux jeux de rôles gratuitement. D autres ont laissé les clients ouvrir des comptes gratuitement toute la semaine suivant le 31 octobre Il est à souligner que la célébration de cette journée a atteint des résultats importants. Les actions médias organisées Le DG de Hope Fund Burundi s.a, dernier à droite, en train de présenter aux visiteurs les produits offerts par son institution. avant et pendant la journée du 31 octobre 2013 ont permis à une grande partie de la population d être sensibilisée sur l importance d épargner. Elle a égale- ment permis l ouverture de nouveaux comptes d épargne dans les livres des institutions de microfinance dont ceux pour les enfants. A l agence de MUTEC de Kamenge, les curieux évéillés par des messages de sensibilisation à travers des lances-voix montées sur un véhicule étaient aussi nombreux que les clients. Des potentiels clients en train de se renseigner sur le fonctionnement de WISE et les conditions d y ouvrir un compte. ZAMUKA:VOTRE BULLETIN 3

4 ACTIVITES ATELIER DE REFLEXION SUR LES RESULTATS D ENQUÊTE NATIONALE SUR L INCLUSION FINANCIÈRE Du 19 au 20 Novembre 2013, la Banque de la République du Burundi (BRB) a organisé un atelier de réflexion sur les résultats de l enquête nationale sur l inclusion financière qu elle a réalisée en Globalement, l enquête avait pour objectif d établir une situation de référence pour permettre aux décideurs politiques et aux praticiens du secteur financier de prendre des mesures adéquates permettant d élargir l accès aux services financiers formels, d augmenter leur utilisation par la population et d en améliorer la qualité de son offre. Cette enquête a permis de mesurer les indicateurs de l inclusion financière. Le tableau ci-après en reprend quelques principaux: Indicateur Valeur Nombre de points de service 492 % de points de service dans les milieux urbains 34,6 Nombre de points de service par 1000 km 2 17,7 Nombre de points de service par adultes 12,9 Nombre de Guichets Automatiques de Banque (GAB) 27 % de GAB dans les milieux urbains 96,3 Nombre de GAB par adultes 0,7 % de communes ayant au moins un point de service 95,4 % de la population adulte vivant dans des communes ayant au moins un point de service 97,0 % de la population adulte domiciliée à moins de 8 km d un point de services financiers formel 49,4 % de la population adulte ayant au moins un compte de dépôt dans une institution financière agréée 12,5 Au cours de cet atelier qui visait à jeter les bases pour lever les défis qui se posent à l accroissement du degré d inclusion financière au Burundi, des présentations couvrant plusieurs thématiques ont été faites par des experts. Des témoignages par des personnalités du ressort des pays où l inclusion financière est avancée ont été également livrés. Les thématiques qui ont fait objet de présentation sont notamment: les éléments d une stratégie nationale d inclusion financière, la finance rurale, les stratégies de financement des activités agricoles, les stratégies de mobilisation de l épargne, le financement des petites et moyennes entreprises, le rôle des banques commerciales dans l,inclusion financière, le rôle des institutions de microfinance dans la promotion de l inclusion financière, le rôle du Gouvernement dans la promotion de l inclusion financière, le rôle de la Banque Centrale dans la promotion de l inclusion financière, la transparence dans l offre des services financiers, les correspondants bancaires, les services financiers par téléphone mobile, le développement de nouveaux produits adaptés aux besoins de la population, l éducation financière et protection des consommateurs et la collecte de données et formulation de politiques stratégiques. A l issu de cet atelier, des actions concrètes sur les thèmes présentés ont été proposées par les participants. Ces propositions concernent notamment: - développement d une stratégie d inclusion financière adaptée aux besoins de la population; - développement d un programme d éducation financière en faveur de la population rurale; - mise en place d une stratégie de mobilisation de l épargne (stabilisation de l environnement politique et économique, rapprochement des services financiers en zones rurales, assouplissement des conditions d accès aux services financiers, organisation des campagnes d information et de marketing plus agressif etc); - financement des petites et moyennes entreprises (sécurisation de la réalisation des garanties au moyen d une législation adaptée, la facilitation de l accès au crédit pour les jeunes et les femmes, le développement de nouveaux moyens de paiement, etc.); - renforcement de la transparence dans l offre des services financiers formels (fourniture aux clients des informations suffisantes sur les conditions d octroie du crédit, accorder suffisamment de temps aux clients pour leur permettre de bien lire et comprendre les conditions d octroie du crédit, de poser des questions et de recevoir des réponses claires avant de signer un contrat, etc); - insertion des technologies de l information et de la communication dans le développement des services financiers; - collecte des données pour bien mesurer l inclusion financière et permettre aux décideurs de prendre des décisions politiques et bien fixer les objectifs nationaux, etc. Recueillis par Dieudonné MUREKAMBANZE 4 ZAMUKA:VOTRE BULLETIN

5 ACTIVITES L ASSURANCE AGRICOLE POURRAIT CONTRIBUER DANS LE PASSAGE DE L AGRICUL- TURE DE SUBSISTANCE A UNE AGRICULTURE TOURNEE VERS LE MARCHE. L agriculture burundaise contribue à plus de 46 % et les salariés urbains. Elles ne ils n ont pas l information fiable dans le PIB, emploie plus de 90 % de la population active, fournit plus 95 % de l offre alimentaire et s impliquent dans le financement de l agriculture qu à travers des et en temps réel sur le climat qui permettrait de mettre en place un plus de 80% des recettes d exportation, selon le financements structurés pour les système d alerte précoce. Ministère burundais en charge de l agriculture. - Aux épidémies et aux ravageurs Nonobstant cette contribution à l économie du des cultures et du cheptel. pays, l agriculture burundaise est peu orientée vers le marché. Cette question préoccupe les - Aux problèmes liés à l évaluacas tion objective des dégâts en intervenants dans le secteur agricole qui tentent d organiser des échanges sur des solutions à y apporter. La communauté d innovation «service financier» de l Agri-ProFocus Burundi, un réseau regroupant une soixantaine d organisations, entreprises et services qui interviennent dans le développement des chaines de valeur agricoles a organisé un débat sur la problématique de l assurance agricole, le 13 septembre Ce débat avait pour objectif de dissiper la peur des assureurs et partant, des investisseurs privés qui considèrent l agriculture burundaise comme un secteur qui présentent beaucoup de risques, en proposant des orientations qui les ameneraient à s y intéresser davantage. Par ailleurs, cet objectif rejoint la Stratégie Nationale Agricole (SNA) et le Plan National d Investissement Agricole (PNIA) du Burundi qui dispose que les services livrés au secteur agricole ne doivent plus être le monopole de l Etat. Pour un tel débat,il est important de faire le tour d horizon de la situation du financement de l agriculture au Burundi, des défis qui limitent son orientation vers le marché, d identifier les opportunités et la place d un régime d assurance agricole dans cette mutation. Situation du financement agricole La stratégie de développement du secteur financier élaborés en 2010 par le Ministère burundais des Finances et de la Planification du Développement Economique précise que l accès aux services financiers par le secteur rural est très limité au Burundi. Malgré la croissance des agences et guichets des institutions financières en milieu rural, l accès aux financements reste problématique. Selon le même document, les banques commerciales se focalisent sur les entreprises filières café et thé, dans une moindre mesure, la filière riz. En 2010, elles ont accordées 3,6 milliards de Fbu en crédit à l agriculture en dehors du café, selon la même stratégie. Il est aussi précisé dans la stratégie de développement du secteur financier que la majorité des membres/clients des institutions de microfinance sont des salariés. Par conséquent, une grande partie de la population (les non salariés) n est pas servie par cette industrie. Le financement de l agriculture reste marginal pour la plupart des IMF, à l exception de quelques institutions qui se partagent un encours à l agriculture de 2,2 milliards de FBu ( en 2010). Situation de l assurance agricole En géneral, le marché burundais des assurances n a pas encore connu le produit «assurance agricole», selon Monsieur Athanase NDIKUBWAYO, courtier en assurance. Pourtant ailleurs, même dans certains pays africains, ce produit est développé, répondant ainsi au souci majeur de soutenir l agriculture et l élevage, dans l intérêt des investisseurs de différentes tailles et partant des Etats. Quelques facteurs qui entravent l orientation de l agriculture burundaise vers le marché. Le secteur agricole burundais dépend fortement du climat. Cette situation n incite pas les entrepreneurs à investir dans ce secteur: ils ont peur des risques liés: - Aux changements climatiques et aux intempéries car, souvent, d intempéries et des épidémies. En effet, il n est pas facile d effectuer une bonne et objective évaluation monétaire du sinistre en cas d intempéries et d épidémies. - A l absence d une législation et d une règlementation concernant la déclaration de sinistres dans le secteur. - A la population qui n est pas informée sur les bienfaits de l assurance en général et de l assurance agricole en particulier. Quelques opportunités proposées Selon le Ministère ayant en charge l agriculture dans ses attributions, les facteurs en faveur du passage de l agriculture de subsistence à l agriculture de marché sont notamment: - Un potentiel important de terres irrigables aussi bien au niveau des marais, des plaines, des collines, - Un recours à l irrigation qui pourrait intensifier les cultures, augmenter les rendements et réduire les pertes causées par les irrégularités pluviométriques. Des actions à mener pour que l assurance agricole contribue au passage de l agriculture de subsistance vers l agriculture de marché. L assurance agricole peut contribuer à la sécurisation des investissements et des crédits agricoles. Selon Monsieur Athanase NDIKUBWAYO, des actions spécifiques sont à mener pour Suite en page 6 ZAMUKA:VOTRE BULLETIN 5

6 ACTIVITES BANQUE DE LA REPUBLIQUE DU BURUNDI: UN COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE POUR INFORMER LA POPULATION SUR LA SITUATION FINANCIERE DU PAYS. CIZA Jean, Gouverneur de la BRB Un Comité de politique Monétaire composé de 10 membres a été mis en place à la Banque Centrale pour informer la population sur la situation financière du Burundi. Au cours du lancement officiel des activités de ce Comité, le 18 octobre 2013, le Gouverneur de la Banque Centrale, Monsieur Jean CIZA a indiqué que, sur base d analyses économiques, monétaires et financières, ce Comité donnera périodiquement une information monétaire afin que toute personne la désirant soit au courant de la situation financière du Burundi. Il a également fait savoir que jusqu à ce jour, il y a des gens qui ne trouvent pas certaines informations à cause de l inexistence de ce Comité. A ce jour même, ce comité a sorti sa première déclaration qui montre la situation financière du Burundi. Cette déclaration note que «la politique monétaire du Burundi subit des interactions avec l environnement écono mique et financier régional et international». Le Comité précise qu au cours du premier semestre 2013, on assiste à une reprise de l activité économique dans la plupart des économies développées. Les perspectives pour le reste de l année 2013 montrent une relance de l activité dans l ensemble des pays développés. Dans ces pays il est attendu, en 2013,un taux de croissance de 3,1 % identique à celui de Dans la plupart des pays de l EAC, les perspectives pour l année 2013 annoncent une expansion de l activité économique. Malgré leur décélération par rapport à l année 2012, le Rwanda et la Tanzanie enregistreront respectivement les taux de croissance les plus élevés de 7,5 et de 6,8 % en Pour le Burundi et le Kenya, il est respectivement attendu des taux de croissance de 4,5 et 4,9 %. S agissant de la conjoncture économique et financière au Burundi, le Comité de politique monétaire précise qu en 2012, le taux de croissance du PIB a été de 4,2%. La tendance baissière qui s est observée depuis mai 2012 s est ensuite renversée à partir de mai De manière générale, le taux d inflation moyen a sensiblement baissé au cours de la première moitié de l année Il s est établi à 7, 6% contre 22,2 % au même semestre de l année Cette baisse a été en grande partie consecutive au maintien de la mesure d exonération des taxes sur certains produits alimentaires. Concernant les perspectives pour l année 2013, il est prévu une croissance du PIB réel de 4,5 % s inscrivant légèrement en hausse par rapport à 4,2 % de l année L inflation pourrait augmenter au 4ème trimestre de l année 2013 suite à l augmentation des prix des produits pétroliers sur le marché international. Cependant, les prévisions pour l année 2013 montrent que le taux d inflation se situerait autour de 10%. Dieudonné MUREKAMBANZE Suite de la page 5 développer l assurance Il s agirait notamment de: agricole. - Susciter une demande de la part des investisseurs: la plus grande partie du risque étant le faible rendement des récoltes suite aux changement climatiques et aux intempéries, la mort et l abattage des animaux assurés, l assurance agricole sécurise davantage les investisseurs et les financiers. - Promouvoir l assurance agricole pour atteindre un certain volume d affaires: en principe, pour la bonne gestion, chaque branche d assurance doit pouvoir s équilibrer au niveau du résultat comptable. En d autres termes, la branche agricole ne pourrait affecter le résultat des autres branches. Pour ce faire, il importe d avoir une grande population de souscripteurs, avec une masse de primes susceptibles de faire face aux indemnisations en cas de sinistres couverts. Les réassureurs potentiels s intéresseront davantage aux portefeuilles des compagnies d assurances au vu de la hauteur des encaissements des primes. - Sensibiliser les intervenants dans le secteur. Les pouvoirs publics, particulièrement le Gouvernement, les institutions financières, les investisseurs privés et les assureurs doivent agir en synérgie dans la mobilisation des ressources tant humaines que financières, pour arriver à des résultats palpables. Dieudonné MUREKAMBANZE 6 ZAMUKA:VOTRE BULLETIN

7 DOSSIER ZOOM SUR LA 12ÈME CONFÉRENCE ANNUELLE ET ASSEMBLÉE GÉNÉRALE D AFMIN. Une partie de la délégation du RIM (de gauche à droite 4 ème, 5 ème, 6 ème ) à la 12 ème Conférence Annuelle et Assemblée Générale d AFMIN Le Réseau Africain de microfinance, une institution représentant les réseaux d institutions de microfinance de 25 pays africains, a organisé sa 12ème Conférence Annuelle et Assemblée Générale à Addis-Ababa en Ethiopie, du 16 au 19 Octobre Le thème principal de cette Conférence Annuelle était: «Finance Inclusive pour une Croissance Inclusive et la Transformation en Afrique». L objectif global de la Conférence était de réunir les différentes parties prenantes, notamment les praticiens de la microfinance, les investisseurs sociaux, les décideurs, les partenaires au développement et les prestataires de services techniques pour discuter de l expansion future de la finance inclusive en Afrique. La Conférence Annuelle a réuni plus de 250 participants venant de 35 pays, des représentants des ministères en charge de la microfinance et de la promotion des micro et petites entreprises, des banques centrales, des administrateurs des réseaux et les institutions et organisations internationales microfinance etc. Cette Conférence a permis aux participants d approfondir leurs connaissances à travers les expériences partagées par des organisations telles que l Union Africaine, le Fonds International de Développement Agricole (FIDA), l Organisation Internationale du Travail ( OIT) etc. S appuyant sur les nouvelles connaissances acquises, les participants ont formulé des stratégies et ont fait des propositions concrètes pour une croissance inclusive et la transformation en Afrique. Ils ont recommandé le financement de l agriculture à travers les chaînes de valeur et plus de réglementation du cadre de gestion des terres et du partenariat public-privé pour le financement de l agriculture et les petites et moyennes entreprises. Ils ont également recommandé l utilisation de technologies et autres innovations (par exemple, les normes universelles pour la gestion de la performance sociale, les principes de protection des clients, les services financiers et non financiers adéquats pour les femmes et d autres groupes défavorisés et la finance islamique) pour un secteur financier plus inclusif et responsable en Afrique. Ils ont également recommandé que les nouvelles technologies soient utilisées pour la finance inclusive et que l accès des jeunes et des enfants aux services financiers soient facilités par les régulateurs. Ils ont également encouragé les gouvernements à continuer d investir dans les infrastructures socio -économiques de leur pays. Le Réseau des Institutions de Microfinance au Burundi, RIM était représenté à cette conférence par 5 délégués dont son Représentant Légal, Mme Marie Louise NSABIYUMVA, qui a été réélue membre du Conseil d Administration. Source: N O S V A L E U R S PROFESSIONNALISME TRANSPARENCE UNITE DES MEMBRES EQUITE ZAMUKA:VOTRE BULLETIN 7

8 RESEAU DES INSTITUTIONS DE MICROFINANCE AU BURUNDI 10, Av des Manguiers Tél : (257) Fax: (257) rimburundi@gmail.com Site Web: 19 institutions avec un objectif commun de lutte contre la pauvreté BNDE CECM UCODE-MF COSPEC FSTE Twitezimbere-MF FENACOBU FSCJ MUTEC Ishaka-MF Turame C.F Dukuze-MF Hope Fund Bdi SOLECS COOPERS CCI-ODAG RECECA-Inkingi CECAD WISE FSTS Twitezimbere-MF BNDE CECM UCODE-MF COSPEC FSTE FENACOBU MUTEC Turame C.F Hope Fund Bdi FSTS WISE CECAD RECECA-Inkingi CCI-ODAG SOLECS COOPERS Dukuze-MF Ishaka-MF FSCJ Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: Tél: mtwitezimbere@ymail.com bnde@cbinf.com cecm@cbinf.com ucodemf@yahoo.fr cospec2020@yahoo.fr fstefonds@yahoo.fr bccoopec@cbinf.com mutec.s.a@gmail.com hopefundbi@yahoo.fr fsts83@yahoo.fr imf.wise@yahoo.fr cecadagencesiege@yahoo.fr receca.inkingi@yahoo.fr cci_odag@yahoo.fr solecs-coopers@spidernet-bi-com dukuzemicrofinance@yahoo.fr copisham@yahoo.fr fscjmicrofinance@yahoo.fr

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