1-3 Environnement. Tableau 1-3-1
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- François-Xavier St-Gelais
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1 20 Tableau Biotope : milieu biologique offrant à une population végétale et animale bien déterminée des conditions d habitat relativement stables. parc national : territoire classé par décret en Conseil d État pour l intérêt de la conservation de son milieu naturel et pour le préserver. Il comporte généralement une zone périphérique davantage consacrée au développement culturel, social et économique du territoire. parc naturel régional : les parcs naturels régionaux concourent à la politique de protection de l environnement, d aménagement du territoire. La charte constitutive est élaborée par la région avec l accord de l ensemble des collectivités territoriales concernées. Elle est adoptée par décret portant classement en parc naturel régional pour une durée maximale de dix ans. La révision de la charte est assurée par l organisme de gestion du parc naturel régional. réserves biologiques : espaces forestiers riches protégés, rares ou fragiles, dans les forêts 1-3 Environnement POUR EN SAVOIR PLUS Tableau Les indicateurs globaux d environnement et de développement durable - Les dossiers de l Ifen N 11 - janvier 2008 Tableau Tableau production et traitement des déchets en France en Commissariat général au développement durable - Etudes et documents N 9 - juin 2009 rapport annuel 2008 de la Drire/Diren Le site de l ADEME Picardie Définitions domaniales et dans les forêts non domaniales soumises au régime forestier, par convention entre le ministère de l Environnement, le ministère de l Agriculture et l Office national des forêts (conventions du 3 février 1981 et du 14 mai 1986). Réserves naturelles : ce sont des territoires classés lorsque la conservation de la faune, de la flore, du sol, des eaux, de gisements de minéraux et de fouilles et, en général, du milieu naturel présente une importance particulière ou qu il convient de les soustraire à toute intervention artificielle susceptible de les dégrader. Le classement peut affecter le domaine public maritime et les eaux territoriales françaises. réserves naturelles régionales (rnv) : les Réserves Naturelles Volontaires (ou régionales) résultent des mêmes dispositions réglementaires que les réserves naturelles (RN). Les propriétés privées présentant un intérêt particulier sur le plan scientifique et écologique quant aux espèces de la faune et de la flore sauvages peuvent être agréées comme «réserves naturelles volontaires» par arrêté préfectoral en application de l art. L et suivants du Code rural, pour une durée de six ans renouvelable. La décision d agrément est donnée par le préfet après une démarche volontaire de propriétaires privés et pour une période de 6 ans renouvelable. Depuis 2003, et compte de tenu de la loi démocratie et proximité, la gestion des réserves naturelles volontaires a été transférée aux régions, Tableau La qualité des rivières s améliore pour plusieurs polluants, à l exception des nitrates - Commissariat général au développement durable - Le point sur N 18 - juillet 2009 Les pesticides dans les eaux données Les dossiers de l Ifen N 9 - décembre 2007 Tableau Qualité des eaux de baignade dans la somme année DDASS de la Somme Le site de la qualité des eaux de baignade Tableau L exposition aux risques environnementaux davantage ressentie dans les grandes villes - Commissariat général au développement durable - Le point sur N 11 - avril 2009 avec l accord des propriétaires : elles prennent alors le nom de réserves naturelles régionales. Dans le cas de non accord, elles reviennent à leurs propriétaires et ne font plus partie des réserves naturelles. Tableau insolation : temps pendant lequel le soleil a brillé. La durée d insolation est mesurée au moyen d un héliographe, elle est exprimée en heures. moyenne des températures : elle est égale à la somme des moyennes des températures maximales et minimales divisée par 2. précipitations : chutes d eau sous forme liquide ou solide. Les précipitations sont recueillies dans un pluviomètre et mesurées à l aide d une éprouvette graduée. Elles sont exprimées en millimètres. Une hauteur de 1mm est équivalente à 1 litre par m². Température maximale : température la plus haute observée entre 6h TU (temps universel) le jour et 6h (TU) le lendemain matin. Elle est mesurée chaque jour. La moyenne des températures maximales est la moyenne des maxima quotidiens, la température maximale absolue est le maximum de ces maxima quotidiens. Température minimale : température la plus basse observée entre 18h (TU) la veille et 18h (TU) le jour. Elle est mesurée chaque jour. La moyenne des températures minimales est la moyenne de ces minima quotidiens, la température minimale absolue est le minimum de ces minima quotidiens. Amélioration contrastée de la qualité de l air des villes entre 2000 et Le 4 pages de l Ifen N juillet-aout 2006 Le site de l association pour la surveillance de la qualité de l air en Picardie Tableau L environnement en picardie : des ressources naturelles à préserver - Bilan économique et social de la Picardie en Les prélèvements d eau en France et en europe - Le 4 pages de l Ifen N juillet 2005
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3 Tableau ordures ménagères traitées dans les installations autorisées : comprennent les ordures ménagères produites par les ménages et les déchets des artisans, commerçants, administrations et divers collectés en petite quantité dans les mêmes conditions que les ordures ménagères le plus souvent en porte à porte. Taux de valorisation biologique : il s agit pour les déchets ménagers du ratio entre les quantités entrant dans les installations de compostage ou de méthanisation et les quantités produites par les ménages (quantités entrant en centres autorisés de traitement ou de stockage). Taux de valorisation thermique : il s agit pour les déchets ménagers de la part incinérée avec récupération d énergie par rapport aux quantités totales de déchets produits par les ménages (quantités entrant en centres autorisés de traitement ou de stockage). Définitions Tableau Altération des eaux : ce terme récemment introduit pour l étude de la qualité des eaux, indique le degré de dégradation d une eau vis à vis d un petit nombre de paramètres dont la manifestation, l origine ou l effet sont considérés globalement. Une altération est donc un groupe de paramètres de même nature ou de même effet qui permet de décrire un type de dégradation de l eau. Une qualité est attribuée à un point s il y a eu au moins 6 prélèvements dans l année (7 pour les nitrates). Quatre types d altération sont en général retenues : les matières organiques et oxydables, les matières azotées, le phosphore et les nitrates. méthodologie : l échantillon (panel de points de mesure) a été amélioré en 2001, les comparaisons sur longue période sont donc à prendre avec précaution. Parmi cet échantillon, certains points de mesure ne sont pas qualifiables une année donnée : pas assez de mesures, mauvaise qualité des mesures, etc.. Les pourcentages de qualité sont calculés sur les points qualifiables (nombre de points pris en compte), les points non qualifiables étant assimilés à des non réponses. La qualité physico-chimique de l eau sur un point de mesure est évaluée avec l outil national SEQ-eau. Quatre types d altération sont retenues : matières organiques et oxydables, matières phosphorées, matières azotées, nitrates. Le tableau donne la représentation par classe de qualité d un certain nombre de point jugés représentatifs de l état des eaux superficielles. Tableau Qualité des eaux de baignade : la surveillance sanitaire des eaux de baignade est réalisée par les Directions départementales des affaires sanitaires et sociales (DDASS). Toutes les eaux «pour lesquelles la baignade est habituellement pratiquée par un nombre important de baigneurs et où elle n est pas interdite pour quelque raison que ce soit» sont concernées par les analyses. Celles-ci portent principalement sur le comptage des germes test de contamination fécale. Tableau indice Atmo : indicateur compris entre 1 (très bon) et 10 (très mauvais), destiné à fournir une information synthétique sur la qualité de l air dans les agglomérations françaises de plus de habitants. Il est calculé à partit des concentrations de dioxyde de soufre, dioxyde d azote, ozone et poussières enregistrées par les associations agréées de surveillance de la qualité de l air (AASQA). Tableau Volume des prélèvements bruts : les statistiques sont établies sur la base des déclarations faites par les usagers (collectivités locales, agriculteurs, industriels) auprès des 6 Agences de l eau. Sont exclus les prélèvements d eaux saumâtres ou salées (ce qui exclut les prélèvements de certaines centrales thermiques). Tableau installations classées pour la protection de l environnement (icpe) : elles sont définies par le décret du 20 mai 1953 modifié, qui distingue trois catégories d établissements (usines, élevages intensifs, installations de traitement de déchets) en fonction de la gravité des dangers qui peuvent résulter de leur exploitation : établissements soumis à autorisation préfectorale, établissements soumis à déclaration, établissements relevant du pouvoir de police du maire pour les questions de protection de l environnement et de la santé publique. installations classées seveso : l accident de Seveso en Italie le 10 juillet 1976 a entraîné une prise de conscience des autorités des pays industrialisés sur le risque technologique majeur. Une directive européenne relative aux risques d accidents industriels majeurs a été adoptée le 24 juin Plus connue sous le nom de directive Seveso, elle a conduit à une prise en compte plus attentive et méthodique des accidents potentiels tant par les exploitants que par les pouvoirs publics et à la mise en place d un dispositif global de prévention des risques. Cette directive 82/501/CEE a été modifiée à diverses reprises et son champ a été progressivement étendu, notamment à la suite de l accident de Bâle en Depuis le 3 février 1999, elle est remplacée par la directive 96/82/CE du 9 décembre 1996, appelée Seveso II. La nouvelle directive, avec un champ d application simplifié et étendu, reprend les exigences de sécurité de la directive de 1982 et renforce les dispositions relatives à la prévention des accidents majeurs. Tableau emplois salariés privés de certaines activités environnementales : les entreprises (et leurs emplois) sont classées suivant le code de l activité principale exercée (APE). Le codage de l activité de l entreprise est effectué avec la nomenclature d activités française (NAF), au moment de l inscription dans le répertoire national SIRENE (ce codage peut ensuite être révisé). Ainsi, il existe des «emplois environnementaux» dans des entreprises dont l activité principale n est pas l environnement et, à l inverse des emplois non strictement «environnementaux» (secrétaire, cuisinier ) qui sont comptés comme tels parce qu ils sont exercés dans des entreprises dont l activité principale est qualifiée d environnementale. 22 POUR EN SAVOIR PLUS Tableau Bilan de l environnement édition DREAL de Picardie Le site de la DREAL de Picardie - rubrique prévention des risques industriels gouv.fr Tableau insertion des jeunes issus des formations environnementales : parcours professionnel de 2004 à Commissariat général au développement durable - Chiffres et statistiques N 37 - Mai 2009 Le dynamisme des formations environnementales à l épreuve du marché du travail - Le 4 pages de l Ifen N septembre 2008 Les métiers de l environnement victimes de leur succès - Le 4 pages de l Ifen n Octobre 2005 Le site de l Insee thème territoire
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5 1-3-6 Qualité de l air indice multipolluant De LA QUALiTé De L Air en milieu UrBAin (ATMO) Amiens Nombre de jours pendant lesquels l'indice a été calculé et pendant lesquels la qualité était : Très bonne ou bonne (indice 1 à 4) Moyenne (indice 5) Mauvaise (indice 6 ou plus) Sources : Ademe, Ifen. DépAssemenT Des seuils De pollution picardie France métropolitaine Nombre de capteurs analysant - l'ozone le dioxyde de soufre nd nd Nombre de jours pendant lesquels il y a eu au moins un dépassement - sur 1 h du seuil de 180 μg/m3 d'ozone sur 1 h du seuil de 300 μg /m3 de dioxyde de soufre nd nd Sources : Ademe, Ifen, Eider Volume des prélèvements d eau superficielle et souterraine - année 2006 en millier de m 3 Prélèvements en eau de surface par secteur Énergie (non compris les eaux de turbinages hydro-électrique) Prélèvements en eau souterraine par secteur Sources : agences de l eau, Ifen, Eider. Aisne oise somme picardie France métropolitaine Agriculture Industrie Usage domestique Énergie (non compris les eaux de turbinages hydro-électrique) Part des prélèvements d'origine souterraine pour la consommation domestique (en %) Total Agriculture Industrie Usage domestique Total ,1 74,0 53,2 64,5 58,8 24
6 1-3-8 Installations classées pour la protection de l environnement concernant un risque industriel et technologique - année 2007 nombre d'installations classées Aisne oise somme picardie France métropolitaine Installations classées SEVESO 2 à hauts risques Installations classées SEVESO 2 à risques moindres Source : Ifen, Eider. Installations classées soumises à autorisation (ICPE) Emplois salariés environnementaux - année dont carrières dont élevages secteur d activité Aisne oise somme picardie France métropolitaine Récupération de matières métalliques Récupération de matières non métalliques Captage, traitement et distribution d'eau Assainissement Enlèvement et traitement des ordures ménagères Élimination et traitement des autres déchets Total Champ : emplois salariés des établissements du secteur privé non agricole employant au moins un salarié. Source : Ifen, Eider. 25
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