Bulletin d information semestriel du service départemental d incendie et de secours de la Haute-Saône - 1 er semestre 2012 n 40

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1 Bulletin d information semestriel du service départemental d incendie et de secours de la Haute-Saône - 1 er semestre 2012 n 40

2 Editorial SDIS 70 4 rue Lucie et Raymond Aubrac BP VESOUL CEDEX Téléphone : Télécopie : Courriel : sdis70@sdis70.fr Site internet : Rédaction Directeur de la publication : Lieutenant-colonel Fabrice Tailhardat Responsable de la rédaction : Sylvie Ghettini Conception - mise en page Stéphanie Boisson Cécile Pleignet Photographies Marc Loukachine Sylvie Ghettini Maxime Ghettini Eric Morel Impression Conseil général de la Haute-Saône en exemplaires Sommaire Le budget 2012 caractérisé par une diminution des dépenses de fonctionnement... p 3 Dossier spécial : Les services techniques... p 4 Les dernières acquisitions du SDIS... p 12 Vente aux enchères en ligne des biens réformés : ça marche... p 13 Le nouveau préfet en visite au SDIS... p 14 Le préfet délégué pour la sécurité et la défense en visite en Haute-Saône... Une convention d équipements de moyens de secours ferroviaire signée avec RFF... Une nouvelle organisation administrative pour le SDIS... Mise en oeuvre de la filière SPP : le service RH n a pas chômé... Agression sur pompiers : quand une action pénale s impose... Mouvements de personnel et avancements de grade... Première FMA des cadres à la Planche des Belles Filles... Réunion des chefs de centre du corps départemental avant l été... Les centres du corps départemental tous dotés d un règlement intérieur avant l automne... p 14 p 15 p 15 p 16 p 16 p 17 p 18 p 18 p 19 Lifting programmé pour le site internet... p 19 Les statistiques opérationnelles du 1 er semestre... p 19 Panneaux solaires : un réel péril pour les pompiers! p 20 Intervention des secours héliportés, ce qu il faut savoir... La 7 e étape du tour de France sécurisée par les sapeurs-pompiers haut-saônois... Une nouvelle session de formation au BNSSA débutera à la rentrée... p 21 p 23 p 24 Quand les JSP se mettent au vert... p 25 Un tour des centres à vélo organisé dans le cadre du téléthon La Diagonale 18 : une manifestation sportive sapeur-pompier de nuit voit le jour!... Une nouvelle course d orientation organisée en septembre à Frétigney... p 25 p 26 p 26 A vos starting-block... p 26 En ce début de vacances d été, je tiens d abord à remercier l ensemble des sapeurs-pompiers mobilisés pour la 7 e étape du Tour de France. Pour l occasion, le SDIS 70 avait déployé un dispositif conséquent pour assurer la sécurité des coureurs et de la foule venue nombreuse pour assister à cet évènement exceptionnel. Une fois encore, les pompiers sur place ont fait preuve d un grand professionnalisme pour traiter les 32 interventions engendrées par cette manifestation. Je me veux aussi être le relais de Monsieur COCHET, notre préfet, qui a adressé un courrier de remerciement aux sapeurs-pompiers pour le travail accompli et leur mobilisation dans la préparation et le bon déroulement de cette étape du Tour. Ce semestre, je me réjouis de voir mis en lumière, dans le dossier spécial de notre bulletin d information, le travail des personnels des services techniques. On oublie parfois l importance de leurs missions. Pourtant, chaque jour, ces agents réactifs mettent tout en œuvre pour que les sapeurs-pompiers disposent, sur le terrain, de véhicules et de matériels en parfait état de fonctionnement afin de garantir la sécurité des intervenants et la réussite des interventions. Chaque jour, ils démontrent leur professionnalisme en assurant la maintenance d un parc de 290 engins, sans parler du petit équipement et de l ensemble des moyens informatiques et de transmission. Pour la seule année 2012, une somme de euros en investissement a été allouée au groupement technique pour acheter des véhicules, du matériel et des effets d habillement. En matière de fonctionnement, ce sont euros qui ont été octroyés au service pour couvrir les dépenses de maintenance, d achat de pièces détachées nécessaires aux réparations ou encore de carburant. Je sais aussi pouvoir compter sur les responsables des services techniques pour veiller à l application du plan d équipement voté, par l assemblée délibérante, le 22 février dernier. Ce dernier planifie les investissements à court et moyen termes qui s élèveront pour les 6 années à euros, soit une moyenne de euros par an. Il me reste à vous souhaiter à toutes et à tous de très bonnes vacances et une bonne reprise à ceux qui les conjuguent déjà au passé. Robert MORLOT, président du SDIS 2 Pleins Feux - 1 er semestre 2012

3 Le budget 2012 caractérisé par une diminution des dépenses de fonctionnement Le budget 2012 enregistre une diminution des dépenses réelles de fonctionnement de 4,67 % et une progression de l autofinancement de 49 %. La baisse significative du fonds de roulement va permettre de financer le nouveau plan de construction de casernes et notamment de lancer les travaux à Marnay et à Gy. Le budget, qui s élève à , est en hausse globale de 7,65 % Dépenses globales Recettes globales 49 % Dépenses de personnel 8 % Autres dépenses 20 % Mouvements financiers 9 % Bâtiments 14 % Equipement opérationnel 23 % Mouvements financiers 15 % Excédent 17 % Communes, E.P.C.I. 38 % Département 3 % Etat (F.C.T.V.A. + F.A.I.) 4 % Conventions et divers consacrés aux dépenses de fonctionnement consacrés aux dépenses d investissement 11 % Dépenses courantes 65 % Dépenses de personnel 24 % Mouvements financiers 6 % Divers 57 % Equipements opérationnels 37 % Bâtiments Les charges de personnel représentent le principal poste budgétaire. Les crédits qui y sont affectés sont en baisse de 4,26 %. Il s agit d une mesure qui n a pas d incidence sur la gestion des effectifs. Les centres de Lure et Luxeuil vont bénéficier chacun d un poste supplémentaire de sapeur-pompier professionnel afin de faire face aux besoins opérationnels. Il s agit de 2 postes vacants non pourvus dans les services de l état-major. Les crédits nécessaires à la mise en œuvre de la réforme de la filière des sapeurs-pompiers professionnels sont également prévus. Concernant l indemnisation des sapeurs-pompiers volontaires, après une progression de plus de 8% en 2 ans liée à l application du décret du 13 octobre 2009, l évolution pour 2012 dépendra essentiellement de l activité opérationnelle. Le budget prend également en compte la mise en place d un dispositif d envergure à l occasion de l arrivée d une étape du tour de France à la Planche des Belles Filles. Les dépenses courantes sont, elles, en baisse de 5,83 %. En investissement, l effort portera principalement sur l acquisition de 8 ambulances afin de répondre à la progression des interventions, d un engin porte-cellule destiné notamment à déplacer la berce de désincarcération attribuée par RFF, de trois fourgons incendie, d un véhicule de transport de personnel, de deux cellules dévidoirs et d une unité légère de sauvetage. En matière d immobilier, la construction des casernes de Marnay et Gy est lancée. Les terrains ont été trouvés. Ils seront cédés par les communes, pour l euro symbolique, par le biais d un acte administratif. Le cabinet «Bergeret et associés» a, par ailleurs, été désigné, dans le cadre d une procédure de marché public, pour réaliser ces deux casernes. La phase «étude» est donc lancée. Les travaux ne devraient cependant pas débuter avant le début de l année prochaine. Concernant le centre de Vesoul, une étude sur les perspectives de restructuration du site sera réalisée par un cabinet d étude spécialisé. Pour ce qui concerne Jussey et Saint Loup, des discussions sont en cours pour définir l emplacement le plus approprié pour accueillir les futures casernes. Pleins Feux - 1 er semestre

4 Dossier : Les services techniques Ils sont sapeurs-pompiers professionnels, personnels administratifs et techniques, apprentis. Certains sont mécaniciens, techniciens, d autres sont informaticiens ou secrétaires. Mais tous forment un ensemble de rouages homogènes et bien huilés sans lesquels le SDIS ne pourrait pas fonctionner : les services techniques. Rencontre avec ces 16 agents qui occupent une place indispensable dans le fonctionnement du SDIS... Il ne faut pas l oublier, derrière le travail opérationnel de nos valeureux pompiers, il existe toute une logistique pour s occuper du parc matériel indispensable pour assurer les missions de secours. Chaque jour, ces hommes et ces femmes sont au service des camions citernes, grandes échelles, véhicules de secours et d assistance aux victimes, qui au quotidien, sont au service des hauts-saônois. D autres encore achètent, gèrent les stocks de petit matériel, de l habillement ou contrôlent les équipements de protection individuelle utilisés par les sapeurs-pompiers. Pour les rencontrer, il faut se rendre 1 rue du Petit Chanois à Vesoul. Les locaux sont discrets, les personnels qui y travaillent tout autant. Bref regard vers le garage : deux hommes en cote bleue travaillent sur un quad, un troisième change la roue d un VSAV, un quatrième sort d un local avec une bouteille ARI sur l épaule, tandis qu un pompier en tenue actionne le mécanisme d une grande échelle. Dans les locaux administratifs, chacun s affaire à ses tâches : tandis qu une secrétaire saisit des données, les yeux rivés sur son écran d ordinateur, une autre est en train de programmer un BIP. Plus loin, un sous-officier est en communication téléphonique avec un fournisseur d habillement. Le commandant Gaëtan Vion, qui gère le groupement technique, précise sa principale mission : «Le groupement est formé de plusieurs services qui réalisent des tâches très différentes mais complémentaires. Mon rôle est de mettre du lien dans tout cela car, ici, on travaille vraiment en transversalité.» Il prend alors l exemple de l achat d un fourgon pompetonne. Cette acquisition demande d abord qu un cahier des clauses techniques particulières (CCTP) soit rédigé dans le respect du code des marchés publics en concertation avec le service «marché». Cette tâche, comme l analyse des offres et la réception du véhicule, incombe au commandant Vion. Ensuite le chef du service «Equipements et véhicules» assure la livraison, la formation des agents et le suivi de la garantie. Le lieutenant Casanova s occupe lui de l équipement en tuyaux et lances alors que le lieutenant Lambolez se charge du lot d oxygénothérapie. Le service «transmission» installe quant à lui les radios dans le fourgon, tandis que Régis Vauge le dote d appareils respiratoires neufs. Il s agit d un véritable travail d équipe. Chaque jour, le commandant veille aussi à la bonne gestion des crédits alloués à son groupement dans le respect du plan d équipement. Que ce soit lorsqu il élabore les cascades de véhicules, lorsqu il procède aux choix d acquisition de tel ou tel matériel, lorsqu il décide (en concertation avec la direction) de la remise en valeur ou de la réforme de tel autre, ou encore lorsqu il signe un bon de commande, c est toujours dans un souci d économie et d efficience opérationnelle. Il n oublie pas également de rester en contact permanent avec les fournisseurs afin d être au courant des dernières innovations et de prendre en compte les contraintes opérationnelles, réglementaires et les attentes des pompiers. Ainsi, par exemple, les 3 FPT prévus au budget 2012 intégreront les équipements pour anticiper la mise en œuvre de la nouvelle technique de pliage des tuyaux en écheveaux. Il conclut : «C est un poste pluridisciplinaire qui demande de s intéresser à tout même si, pour autant, je ne peux pas être spécialiste en tout. Mais là, je fais confiance à mes collaborateurs qui, eux, sont des spécialistes dans leur domaine. Ici, nous sommes tous des passionnés et réalisons nos missions du mieux que nous pouvons en nous heurtant de plus en plus à des difficultés liées à la crise économique. Ainsi, des problèmes d approvisionnement en pièces détachées - les fournisseurs travaillant de plus en plus en flux tendus - allongent les délais de réparation. Il est également fort probable, à l avenir, que l on voie disparaître de nombreux fournisseurs dans la difficulté financière. Demain, il faudra sans doute faire avec des choix de matériels plus restreints. Commandant Gaëtan Vion, chef du groupement technique «Ici, on travaille vraiment en transversalité.» 4 Pleins Feux - 1 er semestre 2012

5 Les services techniques, c est... 4 sapeurs-pompiers professionnels (SPP), dont 3 officiers et 1 sous-officier. 10 personnels administratif et technique (PATS), dont 1 ingénieur, 1 technicien principal, 3 agents de maîtrise, 2 adjoints techniques, 3 adjoints administratifs. 2 apprentis. La nouvelle organisation des services techniques à compter du 1 er octobre 2012 Robert Morlot Président LCL Tailhardat Directeur LCL Bel Directeur adjoint Arnaud Cochet Préfet LCL Bel Sous-directeur opérationnel CDT Vion Chef du groupement technique Jérôme Beurthey Adjoint au chef du groupement et transmission Le groupement technique, garant du bon fonctionnement des transmissions Les transmissions, dans les services d incendie et de secours, comme dans beaucoup d autres activités, représentent un moyen fondamental de commandement et de circulation des informations opérationnelles. C est aux services techniques que revient la lourde tâche de garantir le fonctionnement de ces moyens indispensables pour assurer les liaisons entre les usagers, le CODIS / CTA et les moyens engagés sur les théâtres opérationnels. Jérôme Beurthey, adjoint au chef du groupement technique et responsable des transmissions, plante immédiatement le décor. Les transmissions, c est le départ des secours. Sans les transmissions, on ne peut rien faire. Il précise Dès qu un usager compose le 18 ou le 112, les transmissions entrent en jeu. Un problème de téléphonie, une panne dans l autocom et l appel ne peut pas aboutir. S ils ne sont pas avertis, les opérateurs CODIS ne peuvent engager les moyens nécessaires à l intervention. Pour pallier aux pannes éventuelles, des procédures de fonctionnement en mode secours ont été mises en place. Elles sont appliquées, si nécessaire, par les sapeurs-pompiers. Les transmissions servent aussi de vecteur au logiciel d aide à la décision qui permet au CODIS de définir, pour chaque intervention, les secours appropriés. Ce logiciel a été élaboré par le commandant Jean-Yves Voilhes. En son absence, les responsables des transmissions en assurent la maintenance. Jérôme Beurthey et son équipe sont ensuite chargés de toute la partie radio via ARTEMIS ou RMS et des boîtiers radio qui déclenchent les bips. Là encore, les techniques n ont pas le droit à l erreur : si les bips ne sonnent pas, les secours ne partent pas. L adjoint au chef de groupement ajoute : Quand le bip a sonné, pour nous, le plus gros est fait, car on sait que les victimes seront prises en charge! Pour autant, l intervention n est pas terminée et les échanges se poursuivent jusqu à leur retour au centre. Ces conversations cheminent via le réseau ANTARES, couplé, pour les parties non couvertes du département, au réseau analogique 80 Mhz. La mise en oeuvre du réseau ANTARES a, depuis l initialisation du projet en 2010, représenté une charge de travail énorme pour les services techniques. A titre d exemple, l installation des postes ANTARES dans les véhicules du SDIS a occupé une personne à temps complet pendant 1 an. C est Guillaume Jacques, sapeur-pompier volontaire à Vesoul, recruté sous contrat du 1 er avril 2011 au 31 mars 2012, qui a réalisé ce travail conséquent. Il a fallu également plusieurs semaines pour programmer les quelques 340 postes mobiles et 55 portatifs, à raison de 20 minutes par poste. A l investissement temps important s ajoute le coût des matériels qui s élève à euros T.T.C. I. Rognon Informatique LTN Tailhardat Logistique -Habillement et Contrôles LTN Lambolez Logistique sanitaire ADC Laval Equipement des véhicules G. Ponçot Entretien du parc Jérôme Beurthey, adjoint au chef du groupement technique et responsable des transmissions. Les transmissions, c est le départ des secours. Sans les transmissions, on ne peut rien faire. Pleins Feux - 1 er semestre

6 Les services techniques à travers les missions des Au SDIS, vous assurez à la fois les missions d administrateur du réseau et développeur informatique. C est assez rare non? «Effectivement, dans l informatique, il y a beaucoup de métiers différents : on fait du réseau, du développement, de la création de sites, du graphisme, mais on se spécialise rarement dans plusieurs domaines. Moi ma spécialisation, c était l administration de réseau et, à ce titre, je m occupe, au SDIS, de l installation, de la configuration et de la maintenance des 10 serveurs, des 150 postes de travail, des imprimantes, des 5 switch et autres périphériques de l état-major et des centres. Si beaucoup de choses peuvent se faire à distance, via le réseau, je suis amenée également à beaucoup me déplacer pour dépanner le matériel dans les centres. Isabelle Rognon, panne informatique pas de panique! Titulaire d un DEUG «Mathématique et Informatique appliqués aux sciences», d un BTS «Informatique et gestion» et bénéficiant d une expérience professionnelle de cinq ans d administratrice réseaux, Isabelle a été recrutée en mars 2009 pour renforcer le service informatique en raison de l absence prolongée d un agent. Elle a pris la tête du service en 2011 à la suite de sa réussite au concours de technicien principal. Et en matière de développement? Les besoins du SDIS en matière de développement sont importants. Pour y répondre, j ai dû me former par moi-même. J ai ainsi apporté des améliorations à la base de données médicale, créé un logiciel d exploitation des données RH et un logiciel de suivi des véhicules qui est opérationnel depuis presque 6 mois. Je travaille actuellement à la création d un logiciel de suivi de l habillement (suivi des commandes, gestion des tailles de chaque agent, des points d habillement, des lavages.». Il serait inexact de dire que vous êtes secrétaire aux services techniques? «Disons que le secrétariat constitue l une de mes missions, mais ce n est pas l unique. Je m occupe également de la gestion des stationsservice et d une partie des transmissions. En matière de secrétariat, je prête main forte à Viviane. Outre le courrier classique et la prise du standard, il s agit de saisir les consommations d eau, d électricité et de carburant des centres, ainsi que les réparations des véhicules. Nous nous occupons également des convocations des véhicules au contrôle technique et aux Mines, sous le contrôle de Serge. Nous aidons aussi Jean-Marie à saisir les données de l habillement. En matière de transmissions, j assure la programmation des BIP et des postes ANTARES. Lorsqu on décèle un problème de déclenchement sur ARTEMIS, j en recherche les causes, j effectue des vérifications. En cas de panne d un émetteur, j en programme un nouveau. De plus, je récupère les données des stations-service des CIP et du CODIS, assure les dépannages de premier niveau (lorsqu une carte électrique ou électronique est, par exemple, défectueuse) et vérifie le niveau des cuves régulièrement pour anticiper les livraisons de carburants. Enfin, à chaque cascade de véhicules, je reprogramme le badge carburant et je vérifie le poste ANTARES. Bref, j ai vraiment un travail très varié.» Corinne Fidon, secrétaire mais pas seulement! Corinne Fidon était employée aux établissements Haussetete, concepteur du système d alerte, avant d intégrer les services techniques en février Pourquoi avez-vous 4 PC sur votre bureau? «Ah oui, ça peut paraître surprenant mais j ai besoin d un ordinateur pour la bureautique, d un PC pour la programmation, d un PC pour visualiser ARTEMIS et ANTARES et d un ordinateur pour la programmation des récepteurs.» Qu est-ce qui vous prend le plus de temps? «C est assurément le suivi des carburants qui est le plus chronophage. Cela occupe, en effet, plus de la moitié de notre temps de travail à Viviane et à moi. A titre indicatif, c est entre 80 et 100 transactions par semaine qui sont effectuées sur le département : à chaque fois, il faut vérifier les kilomètres parcourus, les factures de carburant, les tickets de transactions que les centres tardent souvent à nous retourner. Il faut également saisir manuellement, dans un logiciel, les pleins en carburant des petits centres qui se servent dans les stations-service.» 6 Pleins Feux - 1 er semestre 2012

7 hommes et des femmes qui le composent... Lieutenant Christophe Casanova, l expérience au service de la logistique Après de nombreuses années passées au CIP Vesoul, l année 94 occupée à la gestion des sapeurs-pompiers auxiliaires puis un passage par les ressources humaines, Christophe a rejoint les services techniques il y a 14 ans. Il y occupe le poste de chef du service logistique - habillement et contrôles, secondé dans ses missions par Jean-Marie LOPES. En quoi consistent vos missions? «Pour être simple, il y a 2 pôles : la logistique et l habillement. En matière de logistique, je m occupe de la gestion, de l acquisition et de l entretien du petit matériel et des consommables opérationnels, c'est-à-dire de tout ce qu il y a dans les véhicules (cela va du masque à oxygène aux produits émulseurs, aux insecticides en passant par les aspirateurs à eau, les pelles, les pioches, les lances, les tuyaux, les aspirateurs à mucosités J assure aussi, en collaboration avec nos deux secrétaires, la gestion et le suivi des consommations de carburants. En 2011, cela a représenté litres. Je gère également, ponctuellement, la logistique des différentes manifestations du service. En matière d habillement, je m occupe de toute la partie administrative. Pour les achats, on quantifie les besoins en janvier, à partir des états transmis par les centres. La masse d habillement de ces derniers est calculée en points en fonction de l effectif du centre et du nombre d interventions.» Qu est-ce qui a changé en 14 ans aux services techniques? «Des tas de choses ont changé. Les matériels ont beaucoup évolué et se sont diversifiés. Mais, ce qui a provoqué pas mal de changements, c est l évolution des normes tant en matière d habillement que de petit matériel. Dans l habillement, les notes d information techniques (NIT) ont disparu. Ces normes françaises, plus exigeantes que les normes européennes en vigueur, aggravaient ses dernières. Conséquences : aujourd hui, on trouve tout et n importe quoi sur le marché. Il faut donc être beaucoup plus vigilant, détailler davantage les cahiers des charges lorsque l on passe des marchés, alors qu avant il suffisait d indiquer qu un produit devait être conforme à la NIT. Bref, cela a compliqué les achats. Nous nous appuyons dorénavant sur des référentiels techniques fournis par la DGSCGC. Mais, nous avons finalement davantage de latitude pour les achats. Cependant, l absence de stock chez les fournisseurs engendre des délais de livraison importants. Sans parler du fait que l on passe beaucoup plus de temps à l élaboration des documents de consultation. Autre changement : on passe maintenant des marchés sur 3 ans. Par contre, cela a un avantage : dans la mesure où on garde un même fournisseur plus longtemps, on rencontre des problèmes d écarts de tailles entre les fournisseurs moins souvent!!» Pouvez-vous nous présenter votre travail? «Je suis, en fait, responsable de la distribution et de la réintégration de l habillement (du polo en passant par le pantalon, les chaussures et bien entendu tous les équipements de protection individuelle (EPI)). Il s agit de distribuer les masses d habillement des centres, mais aussi de doter les nouvelles recrues d effets personnels au moment de leur incorporation. Autrefois, le SDIS procédait à 2 vagues de recrutement par an. Il y avait donc familièrement parlant «2 coups de bourre». Aujourd hui, les recrutements sont permanents. Je vois donc défiler des pompiers du corps départemental tous les jours. De la même façon, en cas de mise en disponibilité d un sapeur-pompier (ce qui est de plus en plus courant) ou de cessation d activité, les personnes doivent restituer leurs effets afin qu ils soient reconditionnés et réaffectés à un autre pompier. Je suis donc chargé de démonter et vérifier les casques, les ceinturons, mais aussi de laver voire d expédier les vestes de feu chez les fournisseurs pour réparation. Ainsi, en 2011, par exemple, 927 vestes sont passées par la laverie du SDIS. Il faut savoir qu une veste est prévue pour résister à 20 lavages qui ne peuvent être réalisés qu ici. La fréquence des lavages demeure très aléatoire : cela dépend du centre, de l utilisateur, du nombre et de la nature des interventions. Quant aux casques, ceux-ci sont quasiment «éternels». Lorsque l on m en retourne, je les démonte, procède éventuellement aux changements de pièces nécessaires. Si l un deux a pris un «gros coup», je perce un trou sur le côté du casque et l isole pour qu il soit réformé. Parallèlement, j assure également le suivi des travaux de cordonnerie (ressemelage des bottes, réparation des tenues nids d insectes )». Jean-Marie Lopes, l habillement sur mesure Après plusieurs années passées dans les travaux publics, Jean-Marie Lopes a intégré le SDIS 70 en 1999 et gère depuis lors «l habillement». Dans la mesure où les effets sont souvent réaffectés, comment gérezvous tout cela? «La gestion des EPI n est actuellement que partiellement informatisée : en effet, la gestion des stocks des vestes textile, des casques F1 et des ceinturons est informatisée, mais ce n est pas encore le cas des parkas et des surpantalons. De plus, le lavage des vestes m oblige à effectuer également un suivi sur support papier : je rédige ainsi une fiche par veste. Celle-ci répertorie chaque date de contrôle, de lavage, le matricule de la personne à qui la veste a été confiée. Ces fiches font ensuite l objet d un classement par centre. Cette gestion est assez fastidieuse, mais elle est nécessaire pour permettre une traçabilité rigoureuse des EPI.» Pleins Feux - 1 er semestre

8 Pouvez-vous nous parler de votre travail? «Avec les mécaniciens et nos deux apprentis qui travaillent sous mes ordres, nous nous occupons d abord de l entretien et de la réparation des 320 véhicules du SDIS : cela va du quad au CCR en passant par les véhicules légers, les VSAV, les utilitaires, les poids lourds, les échelles. A cela, il faut ajouter les motopompes, les tronçonneuses, les groupes électrogènes Il faut donc être très polyvalent pour être capable de gérer les problèmes qui peuvent être mécaniques, hydrauliques ou électriques. Ici, il n y a que de la carrosserie dont on ne s occupe pas, d une part parce que personne n est carrossier et d autre part, parce que nous ne sommes pas équipés. Ces travaux sont donc réalisés dans des garages locaux. Ensuite, on s occupe de l équipement des véhicules. Cette activité, plus ponctuelle, occupe environ 40% de notre temps de travail. Dernièrement, on a, par exemple, été amené à procéder à l installation de tous les postes de radio ANTARES dans les véhicules ou encore à équiper une remorque afin qu elle puisse accueillir 6 groupes électrogènes. Il y a quelques temps, on a créé une remorque de contrôle des poteaux incendie à partir d une remorque porte-moto. Actuellement, on procède à l équipement des quads (barquettes, protections tubulaires ). Conception électrique, mécanique à chaque fois on sort un peu du métier et c est tout l intérêt! Ces travaux demandent beaucoup de réflexion et d ingéniosité pour tout à la fois prendre en compte les désidératas des pompiers, les impératifs d usage et les contraintes financières et techniques. Enfin, toute la gestion administrative et financière du service m incombe (consultation des fournisseurs, suivi des marchés, saisie comptable ), mais ce n est pas le plus gros du travail ni le plus passionnant!» Quels sont les problèmes rencontrés au quotidien? «Tout d abord, l arrivée de l électronique dans les véhicules nécessite de s équiper en matériel spécifique (banc de contrôle, logiciel pour interroger l électronique ). Hélas, on n a pas toujours le matériel ou on est en retard sur la technologie qui progresse trop vite. De plus, les équipementiers ne fournissent pas toujours les notices techniques, ce qui complique les réparations. On peine aussi à trouver des pièces détachées, car les fournisseurs stockent de moins en moins. Tout cela génère des pertes de temps alors qu ici il est important de ne pas en perdre, car les véhicules et les matériels défectueux doivent être opérationnels et vite! Si nécessaire, on met des véhicules de réserve dans les centres. Cela nous prend également beaucoup de temps en transport.» Gilles Ponçot, la mécanique n a pas de secret pour lui! Après une formation mécanique et 2 ans passés dans le privé, Gilles intègre en 1987 les services techniques, qui dépendent alors du Conseil général. Didier Malgarini, les mains dans le cambouis il aime! mais l électronique, il adore! Après quelques mois passés dans les garages Renault de Champlitte puis de Gray et un an de service militaire, Didier a intégré le Conseil général. Depuis 1996, il travaille au SDIS. Que pouvez-vous nous dire de votre travail? «Je travaille, en fait, sous l autorité de Gilles Ponçot. Réparation, entretien des véhicules, pose d équipements, j ai vraiment un travail très intéressant et diversifié. Je ne fais jamais la même chose : le matin je travaille sur un poids lourd, l après-midi sur une tondeuse! Mécanique, soudure, il faut être polyvalent! Mais ce que je préfère, c est la partie électrique de mon travail, même si parfois c est un peu la «prise de tête» car les fournisseurs sont souvent avares en notices explicatives et le parc automobile est aujourd hui bourré d électronique. La partie équipement de mon travail est également intéressante, car elle requiert beaucoup d imagination et de réflexion, mais elle ne constitue qu une partie minime de mon activité par rapport au nombre de réparations et d entretiens que je suis amené à réaliser dans une année. Ainsi, entre les vidanges et les réparations, on voit en moyenne un véhicule 5 fois par an.» 8 Pleins Feux - 1 er semestre 2012 Seriez-vous prêt à changer de travail? «Jamais de la vie. J adore ce travail. Jamais je ne trouverais un poste avec des tâches aussi diversifiées et intéressantes ailleurs.»

9 Adjudant-chef Serge Laval, «équipement, vous avez dit équipement!» De formation «mécanique», Serge qui, par le passé, occupait un poste opérationnel au CIP Vesoul, travaille depuis janvier 2008 au groupement technique en qualité de chef du service «Véhicules - Equipements». En quoi consiste votre travail? «Mon travail est très varié. Je dirais que, comme beaucoup ici, je suis multitâches! Tout d abord, je m occupe de réceptionner les véhicules chez les équipementiers. Ceci m amène à effectuer beaucoup de déplacements en France (Tours, Lyon ), mais aussi en Espagne. Lorsqu on rencontre un problème avec un équipement alors qu il est encore couvert par la garantie, j en informe le fournisseur et contrôle la réalisation des travaux de réparation. Je suis également chargé, dans le cadre de la «cascade de véhicules», de livrer les véhicules dans tous les centres du département et d assurer la formation des sapeurs-pompiers sur les nouveaux matériels qu ils viennent de recevoir en dotation. Ces formations ont souvent lieu en dehors des heures de travail (en soirée ou le week-end) car dans la semaine, les pompiers volontaires peuvent difficilement se libérer. Ensuite, j ai des tâches plus «administratives». Je participe, par exemple, à l élaboration des documents de consultation dans le cadre des marchés publics. J assure également la gestion informatique de tous les contrôles techniques des véhicules du département. Ceux-ci sont réalisés par un prestataire extérieur dans le cadre d un marché. Je m occupe également de la gestion des accidents matériels des véhicules. Pour cela, je travaille en liaison avec AXA, notre compagnie d assurance. En fonction du montant de la réparation et à celui de la franchise, nous déterminons s il est plus «intéressant» de réaliser la réparation en interne ou de faire intervenir l assurance. Enfin, mon travail inclut également une mission de contrôle des systèmes de relevage des 30 dévidoirs du département. Pour cela, je réalise une tournée annuelle des centres. Si je détecte une anomalie, j en informe Gilles qui effectue les réparations nécessaires. En matière de contrôle, je joue également le rôle d intermédiaire avec la société QUALICONSULT qui assure le contrôle des échelles, des ponts roulants, des ponts élévateurs, des treuils, des bras des porte-berces (tous les ans), des plateformes et des nacelles (tous les 6 mois). Le contrôle et l entretien des échelles sont eux réalisés par le fabricant ou une entreprise assimilée 1 fois par an.» Qu est-ce que vous aimez le plus dans votre travail? «C est, sans hésitation, la formation. Je suis effectivement formateur référent pour tout ce qui est «engin hors chemin». Faire passer mes connaissances, mon savoir-faire, être en contact avec les pompiers de tout le département, échanger, c est vraiment mon truc. D autant que j encadre également les formations COD 1, COD 2 et formateur «échellier». C est vraiment un travail valorisant, enrichissant. Même après 4 ans passés à ce poste, j ai encore le sentiment de m enrichir chaque jour.» Benjamin Fleytoux, au SDIS, l apprentissage n est pas une voie de garage! Apprenti depuis septembre 2011 aux services techniques, en bac pro «maintenance véhicules automobiles» au CFA Etienne Munier à Vesoul. Pouvez-vous nous parler un peu de votre cursus scolaire? «Je partage, en fait, mon temps entre l école et les services techniques. L avantage de l apprentissage, c est de pouvoir mettre en pratique en entreprise les savoirs théoriques que l on reçoit au CFA. J ai même le sentiment d apprendre plus aux services techniques qu avec les profs. Gilles, qui est aussi mon maître d apprentissage, et Didier prennent le temps de m expliquer les choses. J ai aussi la chance qu ils me confient des travaux intéressants et variés à faire. J ai cet avantage sur les autres élèves du CFA (qui pour la plupart travaillent dans des concessions) de toucher à des domaines qui n entrent pas dans mon cursus scolaire. Je fais par exemple de la soudure, je travaille sur des poids lourds En ce moment, je participe à l équipement du quad. C est le genre de travail qui demande de la réflexion, de l imagination. C est vraiment super intéressant! Si dans un peu plus de deux ans, à l issue de ma formation, on m offrait l opportunité de rester aux techniques, j accepterais sans hésitation. L ambiance de travail est excellente, le travail vraiment varié. En plus, j adore côtoyer le monde pompier!» Pleins Feux - 1 er semestre

10 On pourrait vous appeler Monsieur «contrôle» aux techniques, non? «Ah, ce serait un peu restrictif!! Il faudrait plutôt m appeler Monsieur Entretien, réparation, maintenance! Cette mission concerne d abord les quelques 300 appareils respiratoires isolants que compte le département (corps départemental et corps communaux confondus). Les ARI doivent, en effet, être contrôlés tous les ans qu ils aient servis ou non. Les contrôles peuvent être plus rapprochés en fonction du nombre d interventions, de leurs conditions et de leur durée. Le contrôle me prend entre ¼ d heure si tout va bien et 1 heure ½ si le banc de contrôle détecte une anomalie. Dans ce cas, je procède aux réglages et aux changements de pièces nécessaires. Je suis, pour cela, habilité par le constructeur et doit effectuer un stage de remise à niveau tous les 2 ans. Le banc de contrôle est une espèce de juge de paix. Il fait travailler l appareil, effectue les contrôles et indique si l ARI est aux normes ou pas. Il est installé dans un véhicule avec lequel je me déplace dans les centres pour effectuer une tournée annuelle. Ce travail occupe environ 1/3 de mon temps. J ai également reçu des homologations à vie pour entretenir et réparer le parc des 350 extincteurs environ du SDIS, ainsi que les lots de sauvetage contre les chutes. Il s agit, pour les lots, uniquement d un contrôle visuel doublé d une mise sous tension des mousquetons. Chaque contrôle nécessite au moins 1 heure de travail, car il faut scruter attentivement les cordes de 30 mètres, voire de 60 mètres dans les échelles. Si une pièce est défectueuse, elle est réformée et remplacée. Depuis cette année, je suis également chargé du contrôle des détecteurs de gaz (CO et multigaz) tous les 6 mois.» Régis VAUGE, le pro du contrôle Embauché comme TUC en 1986 après une formation de mécanicien auto, Régis a été chargé, dès février 87, du contrôle des ARI et de l oxygène. Vous vous occupez également des bouteilles ARI? «En effet, j assure la gestion des bouteilles ARI. Les bouteilles font l objet d une inspection périodique (IP) au bout de 40 mois, puis d une nouvelle 40 mois plus tard. Je réalise ces inspections ici, car les bouteilles doivent être démontées puis regonflées à l aide d un compresseur. 40 mois plus tard, la bouteille fait l objet d une nouvelle inspection suivie d une requalification, toutes deux réalisées par une société extérieure agréée par le service des Mines. Elle est, en fait, mise à l épreuve pour vérifier qu elle tient bien la pression de 1,5 fois la pression de service. En même temps, les bouteilles sont repeintes.» 10 Pleins Feux - 1 er semestre 2012

11 Lieutenant Pascal LAMBOLEZ, la logistique sanitaire : c est son affaire! Après avoir travaillé de 1981 à 2002 au CIP Vesoul, Pascal a gagné l état-major où il s est tour à tour chargé du développement du volontariat, de la réalisation de plans ETARE et de l hygiène et la sécurité, avant d être affecté au SSSM. Depuis avril 2011, il s occupe de la logistique sanitaire. Bien que situé au CTA/CODIS, ce service est rattaché au groupement technique. Qu entend-on par logistique sanitaire? «Eh bien, je m occupe tout d abord de l achat et de la distribution des matériels de secours à personne mis à la disposition des pompiers dans les VSAV. Cela va de la pastille DEA en passant par les solutés, seringues et les médicaments qui ne sont délivrés que sur ordonnance médicale. A ce titre, je travaille sous l autorité du médecin-chef. Je reconditionne également les 55 sacs ISPV à chaque fois qu ils sont utilisés dans le cadre des protocoles médicaux. Ils sont alors plombés et remis à disposition des centres. Dès qu un sac est déplombé, il m est retourné, accompagné de la fiche dûment remplie par l ISPV, du protocole pour lequel il a été utilisé. Je complète le sac en fonction des produits utilisés et en profite pour vérifier les dates de péremption des autres produits. Un logiciel me permet de gérer les stocks, les dates de péremption des produits et d assurer une parfaite traçabilité des produits. Ainsi, si l AFSA nous informe d un problème sur un lot, nous sommes en mesure de le localiser et de le rapatrier. Les sacs sont rappelés tous les 3 mois environ, pour remplacer les produits périmés par des produits neufs. Les produits périmés sont traités comme les DASRI. En moyenne, 8 sacs sont déplombés chaque semaine pour l utilisation des protocoles. Je m occupe également de la gestion des stocks des cabinets médicaux et des commandes (effectuées, essentiellement, au CHI et à l UGAP) des produits de parapharmacie qui sont distribués aux centres pour l année. Leurs besoins sont déterminés en appliquant des ratios prenant en compte le nombre d interventions réalisées. Je dispose cependant d une réserve tampon pour pallier des besoins exceptionnels. Pour vous donner un ordre d idée, j ai commandé cette année paires de gants, compresses, masques à oxygène 1/3 de ces produits est utilisé par le centre de Vesoul. Enfin, je m occupe de la gestion du stock d oxygène, du stock départemental (lits picot, couvertures, sacs de transport ) et de la réserve du centre opérationnel (coquilles, colliers )». Quels problèmes particuliers rencontrez-vous? «Outre le problème des produits périmés que je viens d évoquer tout à l heure et de la nécessaire traçabilité des médicaments et des bouteilles d oxygène qui exige beaucoup de rigueur dans la gestion des stocks, la principale difficulté que je rencontre au quotidien est de récupérer les matériels (coquilles, colliers) que les VSAV sont contraints de laisser au CHI et à l hôpital de Besançon. Lorsqu ils viennent réarmer leurs véhicules au CODIS, les sapeurs-pompiers m indiquent sur un cahier les matériels laissés. Charge à moi d aller les récupérer rapidement. Il est courant que notre matériel se retrouve dans les VSAV d un SDIS limitrophe ou que l on récupère des coquilles du SDIS 25. Bref, déplacement à Besançon une fois par semaine, visites régulières au CHI, je me débrouille pour que chacun retrouve ses petits!». Pleins Feux - 1 er semestre

12 Les nouvelles acquisitions du SDIS Le VSU en quelques mots et chiffres Le porteur Châssis : FIAT DUCATO Moteur : 160 CV Transmission : 4x2 L'équipement Carrossier : PICOT à TOURS Le Véhicule de Soins d Urgence (VSU) Prix (châssis - équipement et matériel médical) : TTC Affecté au CIP VESOUL, le Véhicule de Soins d Urgence a été aménagé sur un châssis poids lourd. Il constitue, de ce fait, le premier véhicule de ce type en France, totalement conforme à la norme VSAV «EN 1789». Hormis l équipement classique d un VSAV, le VSU dispose des équipements médicaux suivants : 1 brancard spécifique pouvant accueillir des victimes obèses (jusqu à 300 kg), 1 pré-équipement pour intégrer une couveuse, 1 moniteur défibrillateur permettant la transmission en temps réel aux différents centres hospitaliers des constantes de la victime durant le transport, 1 respirateur, 2 pousses seringues, 1 hémocue pour détecter les hémorragies. Ce véhicule est principalement engagé pour : les missions de secours à personnes médicalisées pour des victimes ayant des pathologies lourdes, le transport d une personne obèse, la prise en charge d un nourrisson en couveuse (fournie par le centre hospitalier). La Moto Pompe Remorquable Grande Puissance (MPRGP) Affectée au CIP VESOUL, cette Motopompe Remorquable Grande Puissance peut être engagée sur des feux importants de structure (bâtiments industriels ou de stockage). Cette pompe dispose de 3 orifices d alimentation et de 4 orifices de refoulement lui permettant de délivrer un débit de litres par minute sous une pression de 13 bars. La MPRGP en quelques mots et chiffres Son autonomie en carburant est de 4 heures. 12 Pleins Feux - 1 er semestre 2012 Moteur : Pompe : IVECO de 295 CV SIDES avec corps en bronze Prix : TTC

13 Vente aux enchères en ligne des biens réformés : ça marche! Le SDIS 70 expérimente, depuis le début d année, la vente aux enchères en ligne des matériels et véhicules réformés : les premiers résultats sont très encourageants. Depuis 2006, le SDIS vendait une partie des véhicules et matériels réformés par le biais d une vente aux enchères organisée par un officiel ministériel conjointement avec les services du Conseil général. Le Fourgon Pompe Tonne (FPT) Un FPT d une nouvelle génération a été acquis par le SDIS en 2011, mais réceptionné en En effet, la carrosserie de ce FPT est conçue dans un matériau novateur, à savoir de l «ECOPOLYFIRE». Cette matière plastique, 100 % recyclable, légère, solide et garantie 25 ans, permet une plus grande capacité en eau. Affecté au CIP LUXEUIL, ce véhicule peut être armé par 6 à 8 sapeurs-pompiers et dispose donc d une citerne d une capacité de litres (contre litres sur les anciens FPT), ainsi que d un réservoir de 200 litres d'émulseur incorporé à la tonne. Comme son prédécesseur, ce véhicule est toujours le généraliste de l'intervention pour incendie. Il permet de répondre aux différents sinistres comme : les feux urbains, les feux de fermes, les feux de véhicules, les feux de chaumes, ceux-ci étant généralement accessibles depuis des chemins. Le FPT en quelques mots et chiffres Le porteur Châssis : RENAULT MIDLUM - BOURLIER SA à PUSEY Empattement : 3 m 80 Poids : 14 tonnes Moteur : 300 CV DCI Transmission : 4x2 L'équipement Carrossier : Prix Châssis : Equipement : PROTEC FIRE à Madrid TTC TTC Total : TTC Cette année, l établissement a décidé de s orienter vers une solution d enchères électroniques réalisées par un prestataire extérieur via son site internet. Ainsi, dorénavant, les particuliers, les professionnels et même les administrations peuvent parfaitement acquérir ces matériels et véhicules, en fonction de la mise à prix indiquée, via le site AGORASTORE. Camion citerne, fourgon pompe tonne, véhicule léger, embarcation nautique, porte-voix, brancards, sacs de couchage, matériel informatique sont régulièrement proposés à la vente. La première vente, réalisée courant mars, a permis au SDIS de vendre 7 véhicules et 8 matériels en tout genre pour un montant total de , un résultat bien supérieur à ceux obtenus par le passé dans le cadre des ventes aux enchères classiques. Il s agit là d une nouvelle façon pour le SDIS de vivre avec son temps et de s engager dans une nouvelle forme de développement durable : plutôt que de finir à la déchetterie ou au fond d une casse, voilà les biens réformés repartis pour une «seconde vie». Ce service gagnant-gagnant a déjà fait de nombreux adeptes. Le Conseil général a lui-même récemment opté pour cette solution. Si l acquisition de biens réformés vous intéresse, vous pourrez vous rendre sur le site du SDIS Dans la rubrique «Actualités», un lien créé dans la page «Vente aux enchères» vous permettra d accéder au site d enchères en ligne AGORASTORE où des biens seront ponctuellement proposés à la vente. Pleins Feux - 1 er semestre

14 Le nouveau préfet en visite au SDIS Le préfet Arnaud Cochet, qui a succédé à Eric Freysselinard en mars dernier, a rencontré, le 3 avril, le président et le directeur du SDIS avant de visiter le CODIS. L occasion pour cet ancien enarque de 52 ans qui, avant sa nomination à la préfecture de Vesoul, était directeur adjoint du cabinet de la présidence de la République, de découvrir les services de secours haut-saônois et leur organisation opérationnelle. Rappelons que la mise en œuvre opérationnelle des moyens de secours et de lutte contre l incendie s effectue sous l autorité du préfet (ou du maire sur le territoire de sa commune) et que c est sous cette même autorité que le directeur du SDIS assure la direction opérationnelle du corps départemental, la direction des actions de prévention relevant du SDIS, la coopération et le contrôle des corps communaux et intercommunaux. Précisons aussi que le préfet assiste de plein droit aux séances du conseil d administration du SDIS et qu il peut demander une nouvelle délibération s il lui apparaît que cette dernière est de nature à affecter la capacité opérationnelle du SDIS ou la bonne distribution des moyens de secours dans le département. Le préfet délégué pour la sécurité et la défense en visite en Haute-Saône Photo : Sylvie Ghettini Quelques 10 mois après sa nomination au poste de préfet délégué à la sécurité en Moselle, Richard Vignon, dans le cadre d un tour des départements, a tenu à rencontrer le président et le directeur du SDIS. Richard Vignon qui, jusqu au 14 septembre 2011, dirigeait le SDIS de Seine et Marne et tenait, parallèlement, les rênes de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France est le premier et unique sapeur-pompier, à ce jour, à avoir intégré le corps des préfets. Il assiste, aujourd hui, le préfet de la zone Est dans ses missions concourant à la sécurité nationale. Il dirige, plus particulièrement, l état-major de zone et le secrétariat général pour l administration de la police (SGAP) et est chargé de la coordination opérationnelle de l ensemble des forces participant à la sécurité : services de police et de la gendarmerie nationale. Même si ses compétences dépassent aujourd hui très largement le cadre sapeur-pompier, ce personnage charismatique - qui, le jour de la nomination de son successeur à la tête de la FNSPF, avait déclaré «Même si je troque le képi de sapeur-pompier pour une casquette de préfet, mon cœur battra toujours pompier» - dispose d une parfaite connaissance des problématiques et des préoccupations des sapeurs-pompiers. Aussi a-t-il été très attentif aux problèmes liés, par exemple, à la couverture ANTARES ou encore à l augmentation exponentielle du secours à personne évoqués par le directeur. Après que le lieutenant-colonel Fabrice Tailhardat ait présenté l organisation du SDIS, il a tenu à saluer la remarquable implication des CPI qui complètent efficacement les moyens du corps départemental. Il a également souligné, lors de la visite du CODIS, que le SDIS «disposait d un bel outil opérationnel, parfaitement dimensionné». Enfin, il a rappelé que le SDIS pouvait compter sur le soutien de l état-major de zone en cas d opération de grande envergure nécessitant l engagement de renforts extra départementaux. 14 Pleins Feux - 1 er semestre 2012 De gauche à droite : le lieutenant-colonel Fabrice Tailhardat, Richard Vignon et Robert Morlot

15 DDSIS DDSIS ADJOINT Une convention d équipement de moyens de secours ferroviaire signée avec RFF Photo : Sylvie Ghettini Le 10 février 2012, Yves Krattinger, président du Conseil général de la Haute-Saône, accueillait dans ses locaux Xavier Gruz, directeur du projet LGV Rhin-Rhône de RFF, Eric Freysselinard, préfet de la Haute-Saône, Robert Morlot, président du SDIS et le lieutenant-colonel Fabrice Tailhardat, en présence de la presse, des personnels RFF en charge du projet et des cadres du SDIS, pour signer une convention définissant les moyens et équipements de secours ferroviaires fournis par RFF et leurs conditions de mise en œuvre. En effet, conformément aux dispositions de l IMEC du 18 juillet 2011, RFF se devait de mettre à disposition des services d incendie et de secours de la région Franche- Comté des moyens de secours destinés à défendre le tronçon Franche-Comté de la LGV Rhin-Rhône, branche Est. C est chose faite grâce à cette convention qui prévoit la fourniture par RFF de deux lots ferroviaires de proximité (constitués chacun d un ensemble de lorrie, d un lot éclairage et d une plateforme de travail) et d une berce lourde de secours ferroviaire équipée de matériel de désincarcération et de divers équipements de secours adaptés aux risques ferroviaires pour un coût total de euros TTC. Ces moyens seront positionnés dans les centres de secours de manière à couvrir le tracé dans des délais en cohérence avec ceux arrêtés par le SDACR. Ainsi, la berce et 1 lorrie seront positionnés à Vesoul, tandis que l autre ensemble lorrie sera remisé au CIP Lure. La convention prévoit qu ils soient mis en œuvre dans le respect d une procédure opérationnelle harmonisée entre les quatre SDIS de Franche-Comté dans le cadre d une doctrine opérationnelle conjointe et mutualisée et qu ils soient, en cas de nécessité, dépêchés sur l intégralité du tronçon grande vitesse franc-comtois, ainsi que sur le réseau ferroviaire classique dans le cadre d un déploiement de moyens de secours interdépartemental. Ils pourront également être envoyés à l extérieur de la région, sur ordre de l état-major de zone, dans le cadre des colonnes mobiles de secours. Ces matériels devraient être livrés au SDIS en fin d année. Une nouvelle organisation administrative pour le SDIS Le SDIS mettra en place, dès le 1er octobre prochain, une nouvelle organisation administrative dont le fonctionnement devrait être stabilisé à partir du 1er janvier L organisation n avait pas connu de modification depuis Cependant, pour répondre aux nouveaux objectifs de modernisation de l établissement et respecter les échéances fixées dans le plan d équipement et le plan de construction des casernes qui s étendent de 2012 à 2017 et le prochain plan annuel de formation qui devrait prendre effet en 2014, une nouvelle modification de l organisation s imposait. Le nouvel organigramme prend en compte les évolutions de fonctionnement des services et les nécessités de renforcement de certains groupements pour mener à terme les nouveaux projets. Il se traduit par la création d une mission «prospective et développement du volontariat», l instauration d un «groupement des unités territoriales», la constitution d un «groupement des infrastructures et systèmes d alerte», un rapprochement de la «formation» et de l «opération», mais aussi des «finances» et des «ressources humaines», un élargissement des compétences du «secrétariat de direction» et une redéfinition des missions du service de santé et de secours médical. Cette nouvelle organisation a été présentée aux membres du CTP le 11 juin et du conseil d administration du SDIS le 13 juin dernier. Ces derniers ont approuvé le nouvel organigramme qui a fait ensuite l objet d un arrêté conjoint du préfet et du président du conseil d administration. Une plaquette présentant cette nouvelle organisation sera éditée en septembre pour permettre à chacun de mieux appréhender les missions et fonctions des nouveaux groupements et services et d identifier ses nouveaux interlocuteurs. Pleins Feux - 1 er semestre

16 Mise en oeuvre de la filière SPP : le service RH n a pas chômé! Catherine Lopes-Paquet, responsable des ressources humaines, n a pas attendu l entrée en vigueur de la réforme de la filière sapeur-pompier professionnel pour passer en revue et mettre à jour les carrières des 100 sapeurs-pompiers professionnels que compte le département. Courant juin, la responsable des ressources humaines s est rendue au CODIS et dans les 5 CIP, accompagnée du chef de groupement territorial concerné, pour rencontrer individuellement tous les agents touchés par la réforme et s entretenir avec eux de son incidence sur leur carrière. Il est fort probable que, dans les mois à venir, une refonte des grades des sapeurs-pompiers volontaires s engage afin que le parallélisme avec la filière professionnelle soit respecté. Ce que change la réforme : Suppression du cadre d emplois des SPP non officiers et création d un cadre d emplois des sapeurs et caporaux de SPP comprenant les grades de : Sapeur de 2ème classe, Sapeur de 1ère classe, Caporal, Caporal-chef. Création d un cadre d emplois des sous-officiers de SPP comprenant les grades de : Sergent, Adjudant. Remplacement du cadre d emplois des majors et lieutenants de SPP par la création d un cadre d emplois des lieutenants de SPP comprenant les grades de : Lieutenant 2ème classe, Lieutenant 1ère classe, Lieutenant hors classe. Mise en place de dispositions transitoires pendant une durée de 7 ans relatives aux avancements de grades et à la promotion interne (conditions d avancement provisoires, quotas d avancement et de recrutement). Instauration de nouveaux concours et examens professionnels qui, pour certains, seront de la compétence des SDIS quant à leur organisation. Agression sur pompiers : quand une action pénale s impose Pour l année 2011, six plaintes ont été déposées au nom du SDIS de Haute-Saône. Elles résultent d actes d agressions physiques et / ou verbales envers des sapeurs-pompiers dans l exercice de leurs missions. On assiste depuis quelques temps à une recrudescence des agressions contre les pompiers. Même si, en Haute- Saône, ces agressions sont relativement rares, il n en demeure pas moins qu elles sont inadmissibles et d autant plus intolérables qu elles touchent ceux qui sacrifient une partie de leur vie professionnelle et personnelle, dans des conditions souvent difficiles, pour porter secours à leurs concitoyens. Elles révèlent la dangerosité croissante du métier et des missions des sapeurs-pompiers et la justice y est très sensible. En 2011, trois des six plaintes déposées au nom du SDIS ont abouti. Le juge du Tribunal correctionnel de Vesoul a, en effet, condamné les auteurs d agressions à six mois d emprisonnement ferme pour deux plaintes résultant d agressions verbales et physiques, mais aussi un mois d emprisonnement ferme et cinq mois avec sursis pour une personne ayant proféré des insultes par téléphone. Dans le cadre d une affaire d agression, quatre sapeurspompiers ont déposé plainte à titre personnel et se sont constitués parties civiles. Les intéressés ont bénéficié d un jugement favorable accédant à leur demande indemnitaire en réparation du préjudice subi. Toutefois, le prévenu a interjeté appel du jugement. A ce jour, l affaire suit son cours auprès de la Cour d appel de Besançon. Pour l année 2012, deux plaintes ont été, à ce jour, déposées au nom du SDIS. Aucune ne résulte d agression d agents de l établissement. Une plainte, suivie d effet et d une condamnation à 3 mois d emprisonnement avec sursis, a été déposée du fait de la production de faux documents à la signature de diverses autorités du SDIS de Haute-Saône en vue de postuler à un emploi de saisonnier dans un autre SDIS. Enfin, une plainte, non suivie d effet à ce jour, a été déposée pour usurpation de plaques d immatriculation d un véhicule de l établissement. 16 Pleins Feux - 1 er semestre 2012

17 Mouvements de personnel et avancements de grade Le grade de major ayant été supprimé, les SPP détenant ce grade ont ainsi été intégrés au grade de lieutenant de 2 e classe. Onze agents sont concernés : Brice Patrice Etat-major, Casanova Christophe Etat-major, Guignard Jacques Etat-major, Lambolez Pascal Etat-major, Lecomte Hervé CIP Lure, Maldonado Vincent CIP Gray, Marchal Philippe CIP Vesoul, Marmet Daniel CODIS / CTA, Mascaro Pascal CIP Luxeuil, Merme Vincent CIP Vesoul, Villedieu Yannick CIP Luxeuil. De même, les sapeurs-pompiers détenant le grade de lieutenant ont été intégrés lieutenants de 1ère classe. Il s agit de : Druet Michel Etat-major Tailhardat Gérald CIP Vesoul Mouvements de personnel sapeurs-pompiers professionnels et personnels administratif et technique Titularisation : Gaylor Pereira, Sapeur (1 er avril 2012) Isabelle Rognon, Technicien principal de 2 e classe (1 er mai 2012) Fin de contrat : Guillaume Jacques (31 mars 2012) Retraite : Joëlle Couturier (15 avril 2012) Christian Zurcher (1 er juillet 2012) Nomination sapeur stagiaire : Tiphanie Girard (1 er février 2012) Recrutement par voie de mutation : Caporal Stéphane Gillet (1 er mars 2012) Avancements de grade sapeurs-pompiers professionnels Date Sapeur-pompier Grade Centre 01/01/2012 Christophe Druet CODIS Julien Lambolez CCH CODIS Fabien Patton SGT Vesoul Joël Bernet SCH Vesoul Frédéric Odin SCH Lure Patrick Lemeu ADJ Vesoul Jean-François Corberand ADJ Luxeuil Dominique Colombel ADJ Lure Philippe Michel ADC Lure Philippe Despaquis ADC Héricourt Mouvements de personnel sapeurs-pompiers volontaires Mobilités internes : Marc Barrey (1 er avril 2012), CI Faucogney CIP Luxeuil SAP Nicolas Bortot (3 mai 2012), CI Faucogney CIP Luxeuil SAP Elodie Buzer-Merey (1 er février 2012), CI Dampierre sur Salon CIP Gray SAP Gwladys Cambray (19 janvier 2012), CI Montbozon CI Villersexel MJR Gilbert Cochu (1 er avril 2012), CIP Gray CI Valay Mutations extérieures : SAP Christelle Bauguin (1 er juillet 2011), CI Marnay SDIS 59 Guillaume Marguet (1 er septembre 2011), CIP Héricourt SDIS 05 SAP Rodolphe Fabert (7 novembre 2011), CIP Luxeuil SDIS 33 SGT Michel Caravelli (1 er janvier 2012), CI Rioz SDIS 25 SAP Stéphane Caravelli (1 er janvier 2012), CI Rioz SDIS 25 SAP Quentin Laurent (1 er mars 2012), CI Frétigney SDIS 39 Mutation de CPI au corps départemental CCH Laurent Bernard (7 novembre 2011), CPI Rives de l Ognon CI Montbozon SAP Damien Ringenbach (1 er janvier 2012), CPI Plancher Bas CIP Vesoul Eric Beaumont (13 février 2012), CPI Pin CI Marnay Retraite : ADC Jean-Marcel Lemire (1 er janvier 2012), CI Valay SCH Mohammed Kessab (1 er mars 2012), CIP Gray CCH Jean-Georges Gousset (22 mai 2012), CI Champlitte CCH Bernard Naudenot (8 mai 2012), CI Saint-Rémy Avancements de grade sapeurs-pompiers volontaires au 1 er février 2012 Sapeur-pompier Grade Centre SCH Jérôme Py ADJ Champagney Jessica Petitjean CCH Héricourt François Morello SGT Gy SAP Vincent Gille Dorian Boisson SGT Avancements de grade sapeurs-pompiers volontaires au 1 er avril 2012 Vesoul Sapeur-pompier Grade Centre SAP Véronique Lepaul Fougerolles Alexis Beugnot CCH Luxeuil Avancements de grade sapeurs-pompiers volontaires au 1 er juin 2012 Sapeur-pompier Grade Centre SAP Jean-François Ergotte SAP Jérémy Magny SAP Pierre-Etienne Magny Autrey lès Gray Sylvain Prevot CCH Champagney SAP Xavier Bresson Fougerolles SAP Charly Carrez Gray SGT Alexandre Lorioz Romain Millot SCH Romuald Frezard Nicolas Monnin SAP Loïc Roy Cédric Poissenot SAP Pascal Viellet SCH CCH ADJ CCH CCH Gy Héricourt Lavoncourt SAP Jody Parisot Lure SAP Jérémy Dupart Ludovic Guyonnet SAP Julien Redoutey SAP Xavier Tranchero SAP Dimitri Guri SAP Bastien Vincent CCH Luxeuil Montbozon SCH Aurélien Waechter ADJ Passavant Nicolas Ambiehl SCH Yvon Benincasa SAP Mathieu Chevalier SAP Quentin Lemeu SAP Edouard Rouhier Fabien Ribeaucourt SGT Michaël Odin CCH ADJ CCH SCH Port sur Saône St-Loup/Semouse SAP Mylène Guyot Saint-Rémy SAP Maxime Pereira Yan Valot CCH Vesoul Pleins Feux - 1 er semestre

18 Première FMA des cadres à la Planche des Belles Filles Photo : Eric Morel La première session de la formation de maintien des acquis des chefs de site, chefs de colonne et chefs de groupe, initiée par le directeur départemental et pilotée par le commandant Matthieu Faure, a eu lieu le 31 janvier dernier. En ce début d hiver, avec la mise à jour du dispositif ORSEC «secours en montagne», la récente mise en service de l ULS de Lure et du quad chenillé de Vesoul, l arrivée annoncée d une étape du tour de France dans les montagnes saônoises et le début de la saison de ski, c est naturellement le site de la Planche des Belles Filles qui s est imposé. Accueillis par Monsieur Galmiche, le maire de la commune de Plancher les Mines, les 12 participants ont ensuite gagné la station où son directeur, Monsieur Jean-Rolland Claude, leur a présenté le domaine skiable. Après s être «familiarisés» avec le quad et l ULS du SDIS ainsi que la motoneige et la dameuse de la station, les cadres ont effectué une reconnaissance et des essais sur les pistes de ski alpin jusqu'au sommet, puis sur les pistes de ski nordique jusqu au refuge de la Grande Goutte. Après un repas pris en commun au chalet de la Planche, les participants ont regagné Vesoul en début d après midi. Réunion des chefs de centre du corps départemental avant l été Photos : Sylvie Ghettini Les chefs de CIP et CI et leurs adjoints étaient réunis le 13 juin dernier autour du directeur, des cadres du SDIS et de son président Robert Morlot. Avant d aborder les dossiers «théoriques», les chefs de centre, divisés pour l occasion en deux groupes, ont pu découvrir le nouveau BEA, le FPTSR et le VSU du CIP Vesoul. Ils ont également assisté à une démonstration d établissement de lance utilisant une technique de pliage des tuyaux en écheveaux réalisée par le CIP de Vesoul qui expérimente cette méthode depuis quelques mois. C est semble-t il convaincus des avantages de cette technique que les chefs de centre ont ensuite regagné la salle de réunion où le directeur et les cadres de l établissement ont tour à tour abordé des sujets tels que : la nouvelle organisation du SDIS et du SSSM, l organisation du tour de France, le nouveau système d alerte, les règlements intérieurs des centres, la mise en œuvre de l ambulance de réanimation, la promotion du volontariat, le recrutement d agents en service civique, les visites médicales, la cartographie, les dangers de capteurs photovoltaïques. Le président de l UDSP a ensuite abordé l actualité de l UDSP comme le congrès départemental de Combeaufontaine, la Diagonale 18, le Téléthon 2012 La soirée s est terminée autour d un pot de l amitié offert par l union. Le 24 mai, c est une réunion des membres du SSSM qui s était tenue dans les locaux du CIP Vesoul. 18 Pleins Feux - 1 er semestre 2012

19 Les centres du corps départemental tous dotés d un règlement intérieur avant l automne Photo : Sylvie Ghettini Pour répondre aux exigences imposées par l article du règlement intérieur du SDIS 70, les 5 CIP et les 21 CI du corps départemental disposeront tous, en septembre, de leur propre règlement intérieur qui complète les dispositions du règlement du SDIS sans jamais comporter de mesures qui lui soient contraires. Ce document traite tant de l organisation du centre, de son fonctionnement (astreintes, devoir d implication, manœuvres, activités physiques et manifestations sportives ) que des règles de vie au sein du centre (utilisation des véhicules et matériels, attitude et comportement, port des tenues ). Le règlement intérieur type des centres d intervention principaux, confié aux chefs de centre concernés, avait été rédigé sur la base du règlement, élaboré pour son propre centre, par le capitaine Stéphane Denizot, chef du CIP Vesoul. Un groupe de travail, piloté par le directeur départemental adjoint et composé par les deux chefs de groupement territoriaux et le lieutenant Hervé Lecomte, était en charge du projet. Pour la rédaction du règlement type des centres d intervention, le capitaine Neurdin et l adjudant Guillaume Mossard ont, à leur tour, été associés au groupe de travail. Après 6 ans d existence, le site internet du SDIS a besoin d un sérieux coup de jeune. Le service «com» réfléchit actuellement aux changements et améliorations à apporter. La refonte du site passera nécessairement par la création d une nouvelle charte graphique originale, remise aux goûts du jour, pour augmenter l attractivité du site ou plus exactement des sites. En effet, à l avenir, des sites «conexes» - dédiés à l UDSP, aux activités physiques et sportives des sapeurs-pompiers, à l «opération», au service nautique - créés avec la Lifting programmé du site internet même charte graphique mais déclinés avec des «ambiances» différentes - permettront aux internautes d accéder à de nouveaux contenus et services. Mise en ligne de vidéos, utilisation des QRcodes et développement de l utilisation des formulaires figurent parmi les nouvelles fonctionnalités souhaitées. Chaque CI a ensuite affiné l organisation de son centre et, pour cela, personnalisé le document. Entre les phases de consultation, de rédaction, de propositions et de relecture, l élaboration de ces différents règlements a constitué un long mais nécessaire travail. Les centres du corps départemental sont dorénavant dotés de règlements prenant en compte les spécificités de leur fonctionnement et présentant un organigramme fonctionnel nominatif. Les statistiques opérationnelles du 1 er semestre Opérations diverses Incendies Secours à personne Nombre d'inter Nombre d'inter Feu de remorque - Vaivre et Montoille - 13 janvier 2012 Pleins Feux - 1 er semestre

20 Panneaux solaires : un réel péril pour les pompiers! En cas de sinistre provoqué par un incendie, les pompiers doivent de plus en plus se méfier d un nouveau type de risque lié directement aux panneaux solaires. Lorsqu ils sont endommagés, les panneaux solaires photovoltaïques représentent un véritable danger pour les pompiers. En effet, en présence de lumière, la production d électricité est permanente. Il n est pas possible de stopper de manière instantanée la production d électricité. Les panneaux produisent une tension résiduelle de 100 volts en courant continu. Les risques d électrisation sont donc très importants. Le phénomène d électrolyse particulier au courant continu peut ainsi entraîner la formation de caillots sanguins. Mais ce n est pas tout. La fragilisation, voire la destruction, de la charpente occasionnée par un feu de sous-toiture provoque des risques d effondrement des panneaux. Enfin, concernant les installations solaires thermiques, ces dernières risquent de déverser de l eau pouvant atteindre une température de 200 C sur les pompiers en cours d intervention, d où des risques majeurs de brûlures. La fiche n 005 du guide des procédures opérationnelles du 12 juin 2012 répertorie les procédures à appliquer en présence de panneaux solaires sur intervention. Ce qu il faut faire Ce qu il ne faut pas faire En cas d incendie impliquant une installation de panneaux photovoltaïques Rechercher systématiquement la présence de PPV, Informer l ensemble du personnel, Procéder à la coupure des énergies, Réaliser un périmètre de sécurité, Procéder à l extinction en respectant les distances d attaque et en utilisant un minimum d eau (distance de sécurité de 3 mètres en jet diffusé) Si des opérations sont nécessaires sur l installation, les réaliser la nuit, Pour les déblais, recourir à un agent ErDF ou l installateur. Proscrire tous contacts injustifiés avec les PPV Lorsque l incendie ou l opération ne touche pas l installation de panneaux photovoltaïques Procéder à la coupure des énergies, Informer le personnel, Favoriser les reconnaissances au moyen d échelles aériennes ou d un BEA. Ne pas détériorer l installation (panneaux, câbles), Ne pas dégrader ou détruire les PPV avec des outils de force, Ne pas progresser sur les PPV. Lorsque les éléments (panneaux, boîtier disjonction, onduleur) font l objet d un incendie Demander l intervention technique de l exploitant, Procéder aux coupures des disjoncteurs, S assurer que les eaux d extinction ne risquent pas de rentrer en contact avec l installation ou former des arcs par phénomènes d amorçage. Ne pas entreprendre d extinction avant la mise hors tension par le personnel qualifié de l exploitant. La couverture de neige ou de mousse sur les panneaux n altère pas leur faculté à produire une tension, L efficacité du bâchage reste à démontrer, La luminosité, induite par le rayonnement de la lune, l éclairage public ou les projecteurs des services de secours, n est pas assez forte pour que les panneaux photovoltaïques produisent un courant suffisament élevé pour provoquer l électrisation d un sapeur-pompier. 20 Pleins Feux - 1 er semestre 2012

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