Ensembles quantiles et fonction quantile en statistique et probabilités
|
|
- Angélique Germain
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ensembles quantles et foncton quantle en statstque et probabltés On rencontre auss le mot "fractle" au leu de "quantle" ; l s'agt du même concept, les quantles d'ordre α (α réel de ], [) étant ben souvent défns pour des ordres fractonnares, les plus courants étant : les médanes pour α = /2, les quartles pour α = k/4, k=,2,3, les quntles pour α = k/5, k=,, 4, les décles pour α = k/, k=,,9, les vngtles pour α = k/2, k=,,9, et les centles pour α = k/, k=,,99 Ensembles quantles et foncton quantle en statstque Sot X un caractère quanttatf (ou varable réelle), c'est-à-dre, une applcaton défne sur une populaton (ou un échantllon) de talle n notée E = {,, n} et à valeurs dans R ; ( X (),, X ( n )) est le n-uplet des mages des n éléments de E par X (appelé dans le secondare "sére statstque à une varable de talle n") Dstrbuton d'effectfs et dstrbuton de fréquences de X On note X ( E) = { x ; =,, r} avec x < < x r l'ensemble des mages de E par X, A A avec A = X { x}, la partton engendrée par X, et n = Card( ), effectf de { },, r A On a ( ) ; alors la dstrbuton d'effectfs de X peut-être dentfée à l'ensemble r = A {( x, n) ;,, r} = n = n et s on pose f = n / n, fréquence de, alors la dstrbuton de fréquences de X peut être dentfée à l'ensemble {( x, f ) ; =,, r } A 2 Foncton de répartton de X La foncton de répartton de X est l applcaton F défne, pour tout réel x par : F ( x ) = Card ({ k E; X( k) x }) n Notaton : Pour toute parte A de, on note X A l ensemble des éléments de E dont R [ ] l mage par X appartent à A, c est-à-dre, l ensemble X ( A), mage récproque par X de A On a alors, en notant Freq la proporton ou fréquence du sous-ensemble de E consdéré : x R, F( x) = Card( [ X x] ) = Freq( [ X x] ) n L applcaton F est en escaler, crossante, à valeurs dans [, ], contnue sauf pour les éléments de X(E) où elle est seulement contnue à drote j S on pose, pour j =,, r, N = n j j = (effectfs cumulés) et F = f (fréquences j = cumulées), alors, en posant =+ r x r+ : x R, F( x) = F ( x ) j= j xj, xj+ Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p/4
2 3 Représentatons graphques Supposons que l on at 2 observatons, qu, rangées dans l ordre crossant, sont : 8, 8, 9, 4, 4, 5, 6, 6, 7, 7, 8, 9 x n f N F 8 2 2/2 2 2/2 9 /2 3 3/ /2 5 5/2 5 /2 6 6/ /2 8 8/ /2 /2 8 /2 /2 9 /2 2 Total 2 2 2/2 / Eff Fréq Dagramme en bâtons des dstrbutons d'effectfs et de fréquences Eff cum Fréq cum Graphe de la foncton de répartton (fréquences cumulées) et des effectfs cumulés Remarque, cas des valeurs regroupées en classes Lorsque les observatons sont nombreuses et peuvent prendre n'mporte quelle valeur d'un ntervalle de R, l est d'usage de regrouper les valeurs en classes (ntervalles deux à deux dsjonts dont la réunon est un ntervalle contenant l'ensemble des observatons) et de fare l'hypothèse que toutes les observatons d'une même classe sont unformément répartes dans la classe La représentaton graphque de la dstrbuton des effectfs (ou des fréquences) des données groupées est alors appelée hstogramme : des rectangles, dont les ares sont proportonnelles aux effectfs (et/ou aux fréquences), sont élevés au dessus des classes La foncton de répartton est alors crossante, contnue, affne par morceaux, d'mage [, ] Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p2/4
3 Exemple Dans une entreprse, la répartton des salares mensuels (en mllers d euros, KE) est donnée dans le tableau suvant : salare en mllers d euros [ ;2[ [2;4[ [4; 2[ [2;3[ [3;4[ répartton (en %) Hstogramme des fréquences de la varable "salare mensuel" 4 Freq pour 2KE 36% 3 =% 2 98% 2 249% 27% 65% Salare en KE Représentaton graphque de la foncton de répartton (fréquences cumulées) de la varable "salare mensuel" Salare en KE Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p3/4
4 4 Introducton aux ensembles quantles Reprenons l'exemple précédent : 8, 8, 9, 4, 4, 5, 6, 6, 7, 7, 8, 9 La médane partage les observatons en deux groupes d'effectfs égaux ; les quartles partagent les observatons en quatre groupes d'effectfs égaux (la médane est donc auss deuxème quartle) 8, 8, 9, 4, 4, 5, 6, 6, 7, 7, 8, 9 plus précsément : Défntons un réel q est premer quartle s au mons 25% des observatons sont nféreures ou égales à q et au mons 75% supéreures ou égales à q, un réel q 2 est deuxème quartle (appelé auss médane) s au mons 5% des observatons sont nféreures ou égales à q2 et au mons 5% supéreures ou égales à q2 un réel q 3 est trosème quartle s au mons 75% des observatons sont nféreures ou égales à et au mons 25% supéreures ou égales à q q3 3 Tout réel de l ntervalle [9, 4] est alors premer quartle Tout réel de l ntervalle [5, 6] est deuxème quartle (ou médane) L unque trosème quartle est 7 Proprété : s l on applque une transformaton strctement monotone sur ces données y = f( x), alors, pour k =, 2, 3, les ensembles quartles (ntervalles fermés) vérfent : Qy, k= f ( Q x, k) s f est crossante, Qy, k= f ( Qx, 4 k) s f est décrossante Conventon pour l uncté : on chost pour unque quartle le centre de l ntervalle Avec cette conventon, s l on applque une transformaton affne sur les données y = ax+ b, (a réel non nul) alors, pour k =, 2, 3, les quartles vérfent : qy, k= aqx, k+ b s a> et qy, k= a qx,4 k + b s a< La conventon adoptée au lycée est de prendre le mleu de l ntervalle pour la médane, la borne nféreure de l ntervalle pour le premer et pour le trosème quartle (cf programme en annexe et, c-après, la défnton des quantles à partr de la foncton quantle) On conserve alors la premère proprété (transformaton affne strctement crossante) mas pas la seconde Dans le cas où le nombre d observatons n est pas un multple de 4 (e n= 4q+ r, avec r =, 2, 3 ) l exste un unque premer quartle et un unque trosème quartle qu correspondent ben aux défntons données dans les programmes Il s'agt respectvement de la (q + ) ème valeur en partant du début et en partant de la fn de la sére des n valeurs rangées dans l'ordre crossant Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p4/4
5 5 Ensemble des quantles d ordre α ( α ],[ ) et foncton quantle Défnton : q est quantle d'ordre α ( α ],[ ) s Fr ( X q) α et Fr ( X q) c'est-à-dre, s lm F ( x ) α F ( q ) ; l ensemble des quantles d ordre ( ],[ ) x q Qα = { q R ;lm F( x) α F( q) x q } α, α α est donc Les premers, deuxèmes et trosèmes ensembles quartles sont les ensembles quantles d ordre 25, 5 et 75, respectvement Les premers, deuxèmes,, neuvèmes ensembles décles sont les ensembles quantles d ordre, 2,, 9 respectvement Les médanes sont les quantles d ordre 5 donc auss les deuxèmes quartles et les cnquèmes décles L ensemble Q α est un ntervalle fermé non vde de R ; lorsqu'l n'est pas rédut à un sngleton, pour avor uncté, on chost par conventon pour quantle d ordre α le centre de l'ntervalle ; c'est ce qu est proposé au collège pour la médane L mage récproque par F du sngleton { α } est : - sot un ntervalle [a, b[ fermé à gauche, ouvert à drote, auquel cas l ensemble des quantles d ordre α est l ntervalle fermé [a, b] (en effet, on vérfe que b est auss quantle d ordre α ) ; ce cas n'est possble que s nα est un enter - sot l ensemble vde, on a alors un unque quantle d ordre α égal à nf { x R ; F( x) α} ; c'est le cas, en partculer, lorsque nα n'est pas un enter Défnton : la foncton quantle est défne par : α,, q α = nf x R ; F x α { } ] [ ( ) ( ) On a : α ], [, q( α) = nf ( ) Q α Le premer quartle et trosème quartle ntroduts au lycée sont q(25) et q(75) Commentares ) Les conventons pour avor uncté sont très nombreuses, auss, les calculatrces et tableurs ne donnent pas toutes les mêmes valeurs pour les quartles Dans la pratque, pour des échantllons de talle mportante, les quantles fourns à partr de la foncton quantle donnent une nformaton suffsante 2) Le dagramme en boîte (ou "boîte et pattes", ou "boîtes et moustaches", "box plot" ou "box and whskers plot" en anglas) est un résumé graphque de la dstrbuton de fréquences construt à partr des valeurs mnmale et maxmale de la sére et des tros quartles Cette présentaton permet de comparer vsuellement pluseurs dstrbutons de fréquences Reprenons l'exemple avec, pour conventon d'uncté, le centre des ntervalles quartles On a : mn = 8, q = 5, m= 55, q = 7, max = 9 d'où le dagramme en boîte : 3 Dagramme en boîte de la dstrbuton de fréquences Mn= 8 q =5 m=55 q 3 =7 Max=9 Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p5/4
6 Des varantes de ce dagramme sont proposées ; on peut par exemple arrêter les "moustaches" au nveau de d et d 9 plutôt que mn et max et ndquer par des étoles les observatons extéreures à l'ntervalle [ d d ], 9 4) La médane m et l'écart nter-quartle q 3 q sont, respectvement, des ndces de poston et de dsperson de la dstrbuton de fréquence de la varable consdérée En fat, la donnée dans l'ordre des cnq ndces " mn, q, m, q, max " donne davantage d'nformatons et permet 3 de construre le dagramme en boîte Il est ben commode de noter " q, q, q2, q3, q4" ces cnq ndces mas seuls q, q2, q3 sont des quartles (contrarement aux "défntons" données par certans logcels) 5) L'ndce de pauvreté des personnes (ou des ménages) adopté par la Communauté Européenne est 6% du revenu médan : une personne (ou un ménage) dont le revenu est nféreur à 6% du revenu médan de l'ensemble des personnes (ou des ménages) est consdérée pauvre Il s'agt donc d'un ndce de pauvreté relatf au mode de ve de l'ensemble de la populaton ; l ne donne aucune nformaton sur les hauts revenus et sur les négaltés de revenus Pour mesurer les négaltés de revenus, on construt des ndces à partr des décles : les neuf décles d,, d 9 partagent la populaton de ménages en dx sous-ensembles de fréquences égales %,, % des revenus les plus bas aux revenus les plus hauts Le rapport d9/ d, appelé rapport nter-décle, ou le rapport du revenu moyen des % les meux rémunérés sur le revenu moyen des % les mons ben rémunérés sont des ndces d'négaltés de revenus Cf en annexe un graphque, construt à partr de quantles, présentant l'évoluton de 998 à 26 des revenus des ménages les plus rches en France 6) Les quartles partagent la populaton en quatre sous-populatons d'effectfs égaux Ces sous-populatons sont appelée par abus de langage, er quartle, 2 ème quartle, 3 ème quartle et 4 ème quartle De même pour les autres quantles usuellement utlsés 2 Ensembles quantles et foncton quantle en probabltés 2 Dstrbuton de probablté Sot X une varable aléatore réelle qu peut être : { x, p ; I} - sot dscrète, de dstrbuton de probablté ( ), I fn ou dénombrable, on * * suppose (pour smplfer) que I est une secton commençante de N ou N tout enter et que les réels x sont rangés dans l'ordre strctement crossant (ce qu élmne entre autres les dstrbutons de probablté sur Z ) ; on suppose de plus que le support de la dstrbuton est { x ; I }, c'est-à-dre que l'on a I, p > ; on pourra reprendre les défntons dans le cas où la dstrbuton est défne sur {, }, {,, n}, N ou même Z - sot contnue, admettant une densté de probablté f supposée (pour smplfer) strctement postve sur un ntervalle ouvert A de R (support de la dstrbuton), contnue sauf, éventuellement, aux bornes de A ; on pourra reprendre les défntons dans le cas où le support A de R est réunon d'ntervalles dsjonts Pour tout ntervalle J de R, la probablté de J est : - P ( J) = p dans le cas dscret, { ; } X I x J ( ) ( ) ( ) + - P J = f x x dx dans le cas contnu X J Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p6/4
7 Dans les deux cas, s X est une varable aléatore réelle défne sur un espace probablsé ( Ω, A, P, la dstrbuton de probablté P de X est défne pour tout ntervalle J de R par ) X ( ) P ( J ) = P [ X J] où [ X J ] X récproque de J par X est le sous-ensemble de Ω, élément de A, mage 22 Foncton de répartton Défnton : la foncton de répartton de X est l applcaton F défne par : x R, F x = P X x ( ) ([ ]) La foncton de répartton de X caractérse la lo de probablté de X x R, F x P X x p ; l applcaton F est Dans le cas où X est dscrète, ( ) = ([ ]) = { I; x x} en escaler, crossante, à valeurs dans [, ], contnue sauf pour les éléments du support x ; I lm F x =, lm F x = { } de X où elle est seulement contnue à drote ; ( ) ( x x Dans le cas où X est contnue, R, ( ) = ([ ]) = ( ) ) x + x F x P X x f x dx; l'applcaton F est contnue, dérvable et de dérvée égale à f (sauf éventuellement aux bornes de A), strctement lm F x =, lm F x = Elle défnt une bjecton de A crossante à valeurs dans [, ], ( ) ( ) x dans ], [ dont on note abusvement F x + la bjecton récproque 23 Représentaton graphque Exemples : () Comme varable aléatore réelle dscrète, on peut reprendre l'exemple ntroductf et consdérer que la dstrbuton de fréquences est une dstrbuton de probablté B 3;/2 () On peut auss consdérer une lo dscrète usuelle, par exemple la lo bnomale ( ) Dstrbuton de probablté B (3;/2) Foncton de répartton de la lo B (3;/2) 3/8 7/8 /8 /2 2 3 () Comme varable aléatore réelle contnue, prenons l'exemple de la lo exponentelle E ( 2) /8 2 3 Densté de probablté E (2) Foncton de répartton de la lo E (2) 2 24 Ensemble des quantles d ordre ( ],[ ) Introducton par la médane Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées α α et foncton quantle p7/4
8 Par défnton, le réel m est médane de la var X (ou de sa lo de probablté) s P X m 5 et P X m 5 P X < m 5 P X m lm F x 5 F m ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) x m L'ensemble des médanes de X est donc : M = { m R ;lmf( x) 5 F( m) x m } Généralsaton Par défnton, l'ensemble des quantles d ordre ( ],[ ) Qα = { q ;lm F( x) α F( q) x q } α α est : R Les premers, deuxèmes et trosèmes ensembles quartles sont les ensembles quantles d ordre 25, 5 et 75, respectvement Les premers, deuxèmes,, neuvèmes ensembles décles sont les ensembles quantles d ordre, 2,, 9 respectvement Les médanes sont les quantles d ordre 5 donc auss les deuxèmes quartles et les cnquèmes décles L ensemble Q α est un ntervalle fermé non vde de R Dans le cas où X est dscrète, l'mage récproque par F de { α } est : - sot un ntervalle [a, b[ fermé à gauche, ouvert à drote, auquel cas l ensemble des quantles d ordre α est l ntervalle fermé [a, b] (en effet, on vérfe que b est auss quantle d ordre α ) - sot l ensemble vde, on a alors un unque quantle d ordre α égal à nf { x R ; F( x) α} Dans le cas où X est contnue et admet une densté de probablté f contnue et strctement postve sur un ntervalle ouvert A de R, alors l'mage récproque par F de { α } est le { } sngleton F ( α ) Défnton : La foncton quantle est défne par : α,, q α = nf x R ; F x α { } ] [ ( ) ( ) On a : α ], [, q( α) = nf ( Q α ) Dans le cas où X est dscrète de dstrbuton de probablté ( ) { x, p ; I}, I secton * * commençante de N ou N tout enter et les réels x rangés dans l'ordre strctement crossant, alors, en posant P = et I, P = p j= j (probabltés cumulées), on a : α,, q α x α ] [ ( ) [ [( ) = I P, P Dans le cas où X est contnue et admet une densté de probablté f contnue et strctement postve sur un ntervalle ouvert A de R, alors α ], [, q( α) = F ( α) C'est la rason pour laquelle la foncton quantle peut être consdérée comme une applcaton nverse généralsée de F Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p8/4
9 25 Utlsaton de la foncton quantle pour la smulaton de la lo de probablté de X Proposton Sot U une varable aléatore réelle de lo unforme contnue sur ] [ pour densté de probablté l'ndcatrce de ], [ q Y = q ( U),, c'est-à-dre, admettant Sot X une varable aléatore réelle dont on note X la foncton quantle et X, alors Y et X ont même dstrbuton de probablté Preuve Cas où X est dscrète L'ensemble des valeurs de Y est { x ; I} PY ({ x} ) = P( U ], p ]) = p et on a : et, pour j >, { } j j ( ) (, = = ) j P x Y j = P U p p p = Cas où X est contnue On désgne par FX et F Y les fonctons de répartton de X et de Y Sot y R, FY ( y) = P( Y y) = P( FX ( U) y) = P( U FX ( y) ) = FX ( y) X et Y ont même foncton de répartton donc même dstrbuton de probablté A partr d'un générateur de nombres pseudo-aléatores (calculatrce ou tableur) on peut u u de la lo unforme contnue générer un échantllon de n observatons ndépendantes { },, n U sur ], [ et en dédure un échantllon de n observatons ndépendantes { qx ( u ),, qx ( un) } de la lo de probablté de X, cec dès qu'l est possble d'écrre explctement la foncton quantle de X Applcatons ) Sot P = {(,/2,,/4,2,/4 ) ( ) ( )} la lo de probablté à générer Sot u une observaton de la lo unforme contnue sur ], [ obtenue avec un générateur de nombres pseudo-aléatores On pose x= su ],5 [, x= s u [ 5, 75 [, x= 2su [ 75,[ Alors x est une observaton de la lo de probablté P 2) Lo bnomale B ( 3;25) On remarquera que s U sut une lo unforme contnue sur ] [ ( ),, alors X = E U + 25, parte entère de U + 25, sut une lo de Bernoull de paramètre 25 et la somme de 3 var ndépendantes de même lo de Bernoull de paramètre 25 sut une lo bnomale B ( 3; 25) Auss, à partr de observatons "ndépendantes" de la lo unforme contnue sur ( u, u 2, u 3 ) ], [, x= E ( u+ 25) E ( u2 + 25) + E( u3+ 25) B ( 3; 25) + est une observaton de la lo bnomale Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p9/4
10 3) Lo exponentelle de paramètre 2 La foncton de répartton défnt une bjecton de * R + sur ], [ : u 2x e quantle n'est autre que la bjecton récproque : x= ln ( u) / 2 A toute observaton u d'une lo unforme contnue sur ], [, x ( u) =, la foncton = ln / 2 est une observaton de la lo de probablté exponentelle de paramètre 2 On remarquera que x = ln u / 2 fat auss ben l'affare car s U sut une lo unforme sur ], [, l en est de même de U récproquement 3) Lo normale N(, ) Nous n'avons pas d'écrture explcte de la foncton de répartton (et donc de la foncton quantle) de la lo normale N(, ) ; c'est la rason pour laquelle ses valeurs sont tabulées ou données par la calculatrce ou l'ordnateur à partr de calculs approchés On montre cependant que s U et V sont des var ndépendantes en probablté chacune de lo X = 2ln U cos 2πV sut une lo normale centrée unforme contnue sur ], [, alors ( ) ( ) rédute (l en est de même de Y 2ln( U) sn( 2πV) = et les var X et Y sont ndépendantes en probablté) On peut auss smuler une lo de probablté approchée de la lo N(, ) : par exemple, s sont des var ndépendantes en probablté, de même lo unforme contnue sur ( U ) =,,2 ] [ = 2 =,, alors X U 6 sut approxmatvement une lo N(, ) Les quantles, programme et document d accompagnement Programme de ère S Contenu ANNEXE Dagramme en boîte ; ntervalle nterquartle Influence sur l ntervalle nterquartle d une transformaton affne des données Document d accompagnement au programme de ère S (29/2/) Annexes Médane (emprque) : on ordonne la sére des observatons par ordre crossant ; s la sére est de talle 2n+, la médane est la valeur du terme de rang n+ dans cette sére ordonnée ; s la sére est de talle 2n, la médane est la dem-somme des valeurs des termes de rang n et n+ dans cette sére ordonnée La défnton de la médane n est pas fgée : certans logcels et certans ouvrages défnssent la médane comme étant le second quartle ou le cnquème décle : dans la pratque de la statstque, les dfférences entre ces défntons sont sans mportance, on évtera tout développement la dessus qu ne serat pas une réponse ndvduelle à une queston d un élève Premer quartle (emprque) : c est le plus pett élément q des valeurs des termes de la sére, ordonnées par ordre crossant, tel qu au mons 25% des données soent nféreures ou égales à q Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p/4
11 Trosème quartle (emprque) : c est le plus pett élément q des valeurs des termes de la sére, ordonnées par ordre crossant, tel qu au mons 75% des données soent nféreures ou égales à q Intervalle nterquartle : ntervalle dont les extrémtés sont le premer et le trosème quartle Écart nterquartle : dfférence entre le trosème et le premer quartle Premer décle (emprque) : c est le plus pett élément d des valeurs des termes de la sére, ordonnées par ordre crossant, tel qu au mons % des données soent nféreures ou égales à d Neuvème décle (emprque) : c est le plus pett élément d des valeurs des termes de la sére, ordonnées par ordre crossant, tel qu au mons 9% des données soent nféreures ou égales à d Intervalle nterdécle : ntervalle dont les extrémtés sont le premer et le neuvème décle Pyramde des âges, pyramde des salares ANNEXE 2 Pyramde des âges La pyramde des âges d'une populaton donnée est un graphque très utlsé par les démographes présentant en face à face deux hstogrammes, celu des hommes et celu des femmes On rappelle qu'un hstogramme est une représentaton de la dstrbuton des effectfs d'une varable réelle (c l'âge) dont les valeurs sont regroupées en classes (classes d'âge d'ampltude an, 5 ans ou ans) Il faut convenr de regrouper dans une dernère classe toutes les personnes ayant dépassé un certan âge que l'on se fxe comme lmte nféreure de la dernère classe La pyramde des âges de la populaton françase en 28 n'a plus la forme d'une pyramde Cf une anmaton nttulée "de la pyramde à la toupe" sur le ste de l'ined (Insttut Natonal d'etudes Démographques) Pyramde des salares On peut de la même manère construre une pyramde des salares, par exemple, la pyramde des salares des salarés franças à temps complet en 998 (hommes/femmes) dont on nous donne les nformatons suvantes Le salare moyen est de 933 F pour les femmes et de 72 F pour les hommes Les décles du salare mensuel en francs des femmes et des hommes sont donnés dans le tableau suvant Hommes Femmes d d d d d d d d d Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p/4
12 On se propose de construre une pyramde consttuée, pour chaque hstogramme (les hommes à gauche, les femmes à drote), de dx classes, les décles formant les lmtes des classes Il reste à convenr de la borne nféreure de la premère classe et de la borne supéreure de la dernère classe que l'on note respectvement d et d Pour la borne nféreure, on convendra que les rectangles représentant les deux premères classes ont même longueur (pour ne pas dre hauteur pusque, pour une pyramde, l'axe des salares est vertcal) On trouvera 53 pour les hommes et 486 pour les femmes Pour la borne supéreure, on utlsera l'nformaton concernant la moyenne ; en effet, en notant c le centre de la ème classe et f la fréquence (égale à % pour chaque classe) la moyenne vérfe : x = f c = c avec c ( ) = 2 d d + On en dédut d On trouvera = = 425 pour les hommes et 2426 pour les femmes Enfn, s on note a l'ampltude de la ème classe ( a = d d ), comme la surface hachurée du rectangle correspondant à cette classe dot représenter % de la populaton, on en dédut que la longueur l du rectangle correspondant à la ème classe est proportonnelle à / a La pyramde est donnée page suvante (on n'a pas d'nformaton sur la proporton des hommes et des femmes dans l'ensemble des salarés, la pyramde représente les réparttons dtes condtonnelles des salarés hommes et des salarées femmes) Voc une pyramde, construte avec les mêmes données, rencontrée dans pluseurs manuels du secondare Qu'en pensez-vous? décle 2 décle 3 décle 4 décle 5 décle 6 décle 7 décle 8 décle 9 décle 922 Hommes 429 Salare moyen Salare moyen 5 58 Femmes Jeanne Fne, IUFM Md-Pyrénées p2/4
13 Dstrbuton des salarés à temps complet en998 (salare mensuel en F) HOMMES 4 FEMMES Chaque rectangle correspond à % des salarés hommes (resp femmes) Jeanne Fne, p 3/4
14 Jeanne Fne, p 4/4
TD 1. Statistiques à une variable.
Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane
Plus en détailMesure avec une règle
Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système
Plus en détailSTATISTIQUE AVEC EXCEL
STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments
Plus en détailQ x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2
Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes
Plus en détailÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.
ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque
Plus en détailLes jeunes économistes
Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque
Plus en détailGENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)
GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble
Plus en détailAssurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire
Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats
Plus en détailMÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES
MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de
Plus en détailChapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique
Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan
Plus en détailRemboursement d un emprunt par annuités constantes
Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)
Plus en détailGénéralités sur les fonctions 1ES
Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :
Plus en détailContrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations
Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus
Plus en détailExercices d Électrocinétique
ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton
Plus en détailGEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau
GEA I Mathématques nancères Poly de révson Lonel Darondeau Intérêts smples et composés Voc la lste des exercces à révser, corrgés en cours : Exercce 2 Exercce 3 Exercce 5 Exercce 6 Exercce 7 Exercce 8
Plus en détailÉconométrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University
Économétre 5 e édton Annexes : exercces et corrgés Wllam Greene New York Unversty Édton françase drgée par Dder Schlacther, IEP Pars, unversté Pars II Traducton : Stéphane Monjon, unversté Pars I Panthéon-Sorbonne
Plus en détailPlan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks
Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare
Plus en détailChapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.
Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs
Plus en détailDirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social
Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme
Plus en détailCalcul de tableaux d amortissement
Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,
Plus en détailBTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES
MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec
Plus en détailGrandeur physique, chiffres significatifs
Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère
Plus en détailCOMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION
COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce
Plus en détailEditions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait
Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf
Plus en détailCHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE
CHPITRE DEUX FORMLISME GEOMETRIQUE. CHPITRE DEUX : FORMLISME GEOMETRIQUE verson.3, -8 I. GEOMETRIE DNS L ESPCE-TEMPS ) Prncpe de relatvté Le prncpe de relatvté peut s exprmer ans : toutes les los physques
Plus en détailLa Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires
HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton
Plus en détailsanté Les arrêts de travail des séniors en emploi
soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d
Plus en détail1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.
A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par
Plus en détailMontage émetteur commun
tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.
Plus en détailImpôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD
Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du
Plus en détail1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2
- robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes
Plus en détailDES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS
DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent
Plus en détailCalculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.
1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle
Plus en détailLes déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises
Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et
Plus en détailI. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»
Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton
Plus en détailCorrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0.
Corrgé du problème de Mathématques générales 2010 - Parte I - 1(a. Sot X S A. La matrce A est un polynôme en X donc commute avec X. 1(b. On a : 0 = m A (A = m A (X n ; le polynôme m A (x n est annulateur
Plus en détailLes déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises
Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département
Plus en détailLE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF
1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs
Plus en détailUNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS
BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**
Plus en détailLA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION?
LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? Anne PERRAUD (CRÉDOC) Phlppe MOATI (CRÉDOC Unversté Pars) Nadège COUVERT (ENSAE) INTRODUCTION Au cours des dernères années, de nombreux
Plus en détailhal-00409942, version 1-14 Aug 2009
Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des
Plus en détailBUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES
BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton
Plus en détailStéganographie Adaptative par Oracle (ASO)
Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson
Plus en détailEH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes
EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare
Plus en détailMEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences
REPUBLIQUE LERIEN DEMOCRTIQUE ET POPULIRE Mnstère de l ensegnement supéreur et de la recherche scentfque Unversté El-Hadj Lakhdar-BTN- MEMOIRE Présenté au département des scences de la matère Faculté des
Plus en détailLE PRINCIPE DU RAISONNEMENT PAR RÉCURRENCE
LE PRINCIPE DU RAISONNEMENT PAR RÉCURRENCE. Exemple troductf (Les élèves qu coasset déà be le prcpe peuvet sauter ce paragraphe) Cosdéros la sute (u ), défe pour tout, par : u u u 0 0 Cette sute est défe
Plus en détailPratique de la statistique avec SPSS
Pratque de la statstque avec SPSS SUPPORT Transparents ultéreurement amélorés et ms à jour sur le ste du SMCS LIENS UTILES Ste du SMCS (Support en Méthodologe et Calcul Statstque) : http://www.stat.ucl.ac.be/smcs/
Plus en détail1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement
Scorng sur données d entreprses : nstrument de dagnostc ndvduel et outl d analyse de portefeulle d une clentèle Mrelle Bardos Ancen chef de servce de l Observatore des entreprses de la Banque de France
Plus en détailSystème solaire combiné Estimation des besoins énergétiques
Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables
Plus en détailCREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?
CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43
Plus en détailEvaluation de performances d'ethernet commuté pour des applications temps réel
Evaluaton de performances d'ethernet commuté pour des applcatons temps réel Ans Koubâa, Ye-Qong Song LORIA-INRIA-INPL, Avenue de la Forêt de Haye - 5456 Vandoeuvre - France Emal : akoubaa@lorafr, song@lorafr
Plus en détailIDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures
IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School
Plus en détailPage 5 TABLE DES MATIÈRES
Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent
Plus en détailCHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE
HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22
Plus en détailPrêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine
Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de
Plus en détailPREMIERS PAS en REGRESSION LINEAIRE avec SAS. Josiane Confais (UPMC-ISUP) - Monique Le Guen (CNRS-CES-MATISSE- UMR8174)
PREMIERS PAS en REGRESSION LINEAIRE avec SAS Josane Confas (UPMC-ISUP) - Monque Le Guen (CNRS-CES-MATISSE- UMR874) e-mal : confas@ccr.jusseu.fr e-mal : monque.leguen@unv-pars.fr Résumé Ce tutorel accessble
Plus en détailUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER
Plus en détailÉtranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes
Étranglement du crédt, prêts bancares et poltque monétare : un modèle d ntermédaton fnancère à projets hétérogènes Mngwe Yuan et Chrstan Zmmermann Introducton et objet de l étude Par étranglement du crédt
Plus en détailII - Notions de probabilité. 19/10/2007 PHYS-F-301 G. Wilquet 1
II - Notos de probablté 9/0/007 PHYS-F-30 G. Wlquet Ue varable aléatore est ue varable dot la valeur e peut être prédte avec certtude mas dot la probablté d occurrece d ue valeur (varable dscrète) ou d
Plus en détailINTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central
Etude numérque de la consoldaton undmensonnelle en tenant compte des varatons de la perméablté et de la compressblté du sol, du fluage et de la non-saturaton Jean-Perre MAGNAN Chef de la secton des ouvrages
Plus en détailAvez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau
Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et hstore autour de Mondoubleau Thème de la cache : NATURE ET CULTURE Départ : Parkng Campng des Prés Barrés à Mondoubleau Dffculté : MOYENNE Dstance
Plus en détailLes prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe
Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton
Plus en détailCHAPITRE 1 : Distribution statistique à une dimension
Chatre1 : Dstrbuton Statstque à une dmenson I.H.E.T de Sd Dhr CHAPITRE 1 : Dstrbuton statstque à une dmenson Secton 1 : Vocabulare élémentare de la statstque descrtve 1. Poulaton et ndvdu Dénton On aelle
Plus en détailLa théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov.
La théore classque de l nformaton. ère parte : le pont de vue de Kolmogorov. La sute de caractères comme outl de descrpton des systèmes. La scence peut être vue comme l art de compresser les données quelles
Plus en détailEn vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009
THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par Insttut Natonal Polytechnque de Toulouse (INPT) Dscplne ou spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Elayeb Blel Le
Plus en détailDynamique du point matériel
Chaptre III Dynaqe d pont atérel I Généraltés La cnéatqe a por objet l étde des oveents des corps en foncton d teps, sans tenr copte des cases q les provoqent La dynaqe est la scence q étde (o déterne)
Plus en détailGATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi
GATE Groupe d Analyse et de Théore Économque UMR 5824 du CNRS DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24 Préférences temporelles et recherche d emplo «Applcatons économétrques sur le panel Européen
Plus en détailBe inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991
Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990
Plus en détailFiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage
Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.
Plus en détailAnalyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web
SETIT 2009 5 th Internatonal Conference: Scences of Electronc, Technologes of Informaton and Telecommuncatons March 22-26, 2009 TUNISIA Analyse des Performances et Modélsaton d un Serveur Web Fontane RAFAMANTANANTSOA*,
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailMETHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES
METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES Ourda Boudghaghen(*),Mohand Boughanem(**) yugo_doudou@yahoo.fr, bougha@rt.fr
Plus en détailEURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique.
Cahers de recherche EURIsCO Caher n 2008-05 L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomque et mcroéconomque Rapport d étude Najat El Mekkaou de Fretas (coordnateur) Eursco Unversté Pars Dauphne
Plus en détailL enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir
L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de
Plus en détailThermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta
hermodynamque statstque Master Chme Unversté d Ax-Marselle Bogdan Kuchta Plan: Rappel: thermodynamque phénoménologque (dscuter l entrope, l évoluton de gaz parfat,) Premer prncpe Deuxème prncpe (transformaton
Plus en détailTerminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33
Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue
Plus en détailLe Prêt Efficience Fioul
Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton
Plus en détailINTERNET. Initiation à
Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton
Plus en détailEn vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008
THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre
Plus en détailVIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4
GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature
Plus en détail22 environnement technico-professionnel
22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314
Plus en détailEcole Polytechnique de Montréal C.P. 6079, succ. Centre-ville Montréal (QC), Canada H3C3A7 lucas.greze@polymtl.ca robert.pellerin@polymtl.
CIGI 2011 Processus d accélératon de proets sous contrantes de ressources avec odes de chevaucheent LUCAS GREZE 1, ROBERT PELLERIN 1, PATRICE LECLAIRE 2 1 CHAIRE DE RECHERCHE JARISLOWSKY/SNC-LAVALIN EN
Plus en détailOPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT
Etudes en Econoe Islaque, Vol. 6, Nos. & (-7) Mouharra, Raab 434H (Novebre 0, Ma 03) OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT ALIM BELEK Résué Le ratonneent
Plus en détailPauvreté et fécondité au Congo
BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES DT 14/2007 Pauvreté et fécondté au Congo Samuel AMBAPOUR Armel MOUSSANA HYLOD BAMSSII BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle DT 14/2007 Pauvreté et
Plus en détailMODÈLE D ISING À UNE ET DEUX DIMENSIONS.
Chapter MODÈLE DISIG À UE ET DEUX DIMESIOS.. ITRODUCTIO. ous commençons, dans ce chaptre, létude dun problème de mécanque statstque de la matère condensée où leffet des nteractons est mportant. Le modèle
Plus en détailRAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD
UFR SCIENCES ET TECHNOLOGIES DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE 63 177 AUBIERE CEDEX Année 2008-2009 Master II : SIAD RAPPORT DE STAGE Sujet : Approcher la frontère d'une sous-parte de l'espace
Plus en détailIntegral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation
Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement
Plus en détailCorrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio
Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et
Plus en détailUne analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit
Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt Sameh Borg To cte ths verson: Sameh Borg. Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt. Economes
Plus en détailCONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS
ONSEVAOIE NAIONAL DES AS E MEIES ELEONIQUE ANALOGIQUE PH / ELE 4 / DU GEII ere année ------------------------- ------------------------- Dder LE UYE / Perre POVEN Janer ABLE DES MAIEES APPELS D ELEOINEIQUE...5.
Plus en détailPaquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11
Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailAfflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb
Global Journal of Management and Busness Research Volume Issue Verson.0 November 20 Type: Double Blnd Peer Revewed Internatonal Research Journal Publsher: Global Journals Inc. (USA) Onlne ISSN: 2249-4588
Plus en détailPour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.
Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu
Plus en détailRéseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.
Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du
Plus en détailStatistiques Descriptives à une dimension
I. Introduction et Définitions 1. Introduction La statistique est une science qui a pour objectif de recueillir et de traiter les informations, souvent en très grand nombre. Elle regroupe l ensemble des
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de
Plus en détailAnnexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles
Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles Quantiles En statistique, pour toute série numérique de données à valeurs dans un intervalle I, on définit la fonction quantile Q, de [,1] dans
Plus en détailTHESE. Khalid LEKOUCH
N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET
Plus en détailEXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE
EXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE OLIVIER COLLIER Exercice 1 (2012) Une entreprise veut faire un prêt de S euros auprès d une banque au taux annuel composé r. Le remboursement sera effectué en n années par
Plus en détail