Plan canicule Organisation de la surveillance. Provence-Alpes-Côte-d Azur et Corse. Version du 02/05/2013
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- Sophie Plamondon
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1 Cellule de l InVS en régions Paca et Corse Suivi du dossier : Florian Franke Tél. : / Fax : florian.franke@ars.sante.fr Plan canicule 2013 Organisation de la surveillance Provence-Alpes-Côte-d Azur et Corse Version du 02/05/2013 Ce document présente les modalités d organisation de la surveillance des indicateurs de mortalité et de morbidité mise en place par la Cire Sud dans le cadre du plan canicule 2013 sur les régions Provence-Alpes-Côte-d Azur et Corse. Sommaire 1 INTRODUCTION INDICATEURS SURVEILLES TEMPERATURES INDICATEURS SANITAIRES EXTRACTION, ENVOI DES DONNEES DES PARTENAIRES SOURCE DE DONNEES RECUEIL ET CHARGEMENT DES DONNEES REÇUES SUIVI D INDICATEURS OU DE GROUPES D INDICATEURS ANALYSE ET INTERPRETATION STATISTIQUES DESCRIPTIVES, GRAPHIQUE METHODE BATIE SUR DES HISTORIQUES METHODE DES MOYENNES MOBILES METHODE DES CARTES DE CONTROLE POUR DONNEES INDIVIDUELLES CONFRONTATION DES RESULTATS DES 3 METHODES D INTERPRETATION COMPARAISON GRAPHIQUE DES DONNEES DE L ANNEE EN COURS AVEC L ANNEE PRECEDENTE RESTITUTION D INFORMATIONS SIGNALEMENTS OUTILS
2 1 Introduction Les périodes de fortes chaleurs sont propices aux pathologies liées à la chaleur, à l aggravation de pathologies préexistantes ou à l hyperthermie. Suite à l épisode caniculaire exceptionnel de l été 2003, un plan national de prévention et de gestion de crise afin de réduire les effets sanitaires d une vague de chaleur est mis en place chaque année. Le Plan national canicule (PNC) est activé du 1 er juin au 31 août Le plan repose sur cinq piliers : les mesures de protection des personnes âgées à risques hébergées en institutions, le repérage des personnes isolées, l alerte, la solidarité, l information. Le dispositif d alerte comprend 4 niveaux progressifs coordonnés avec les niveaux de vigilance météorologique (verte, jaune, orange et rouge) : niveau «veille saisonnière», déclenché automatiquement du 1 er juin au 31 août ; niveau «avertissement chaleur», répond au passage en jaune de la carte de vigilance météorologique. Si la situation le justifie, il permet la mise en œuvre de mesures graduées et la préparation à une montée en charge des mesures de gestion par les ARS ; niveau «alerte canicule», répond au passage en orange de la carte de vigilance météorologique. Il est déclenché par les préfets de département, sur la base de l évolution des risques météorologique et sanitaire réalisée par l Institut de veille sanitaire (InVS) et Météo France ; niveau «mobilisation maximale», répond au passage en rouge de la carte de vigilance météorologique. Il est déclenché au niveau du 1 er ministre sur avis du ministre chargé de la santé et du ministre de l intérieur, en cas de canicule intense et étendue sur une large partie du territoire associée à des phénomènes dépassant le champ sanitaire (sécheresse ) Le Système d'alerte canicule et santé (Sacs), élaboré par l InVS, en partenariat avec Météo- France, est fondé sur des prévisions et des observations de données météorologiques. L alerte est donnée lorsque, dans un département, les indices biométéorologiques (moyenne glissante sur trois jours des températures) minimum et maximum dépassent les seuils établis de températures. Cette analyse prend en compte d autres facteurs : la qualité des prévisions météorologiques, les facteurs météorologiques aggravant (la durée et l intensité de la vague de chaleur, l humidité) et la situation sanitaire. Dans le cadre du plan canicule, la Cire Sud a pour mission de centraliser, d interpréter et de transmettre à l Institut de veille sanitaire (InVS) et aux partenaires de la veille sanitaire des indicateurs de mortalité et de morbidité selon la périodicité définie au niveau national. Elle fournit, si nécessaire, une évaluation qualitative quotidienne de la situation sanitaire auprès des partenaires. La surveillance mise en place durant le plan canicule sera, comme pour les années précédentes, structurée autour du dispositif de surveillance non spécifique mis en place par la Cire Sud. 2
3 2 Indicateurs surveillés 2.1 Températures Les températures proviennent d une seule station Météo-France par département. La localisation des stations et les seuils biométéorologiques 1 minimums et maximums (IBMn et IBMx) retenus par le Sacs sont inchangés par rapport à l année 2012 (tableau 1). Tableau 1 Stations Météo-France et seuils IBM, Sacs 2012, Paca et Corse département station seuil IBMn seuil IBMx Alpes-de-Haute-Provence Saint-Auban-sur-Durance Hautes-Alpes Gap Alpes-Maritimes Nice Bouches-du-Rhône Marignane Var Toulon Vaucluse Avignon Corse-du-Sud Ajaccio Haute-Corse Lucciana Les températures minimales et maximales (Tn et Tx), ainsi que les IBMn et IBMx sont fournis quotidiennement par Météo-France (messagerie, site Internet dédié), sous forme de cartes de vigilance et de tableaux. Ces données comprennent des observations et des prévisions, jusqu à 7 jours pour les températures. 2.2 Indicateurs sanitaires La description quotidienne de la situation sanitaire est fondée sur l analyse et le suivi d un certain nombre d indicateurs de mortalité et de morbidité (IMM). Les données sanitaires sont collectées auprès de sources diversifiées. De plus, ces dernières sont sensibilisées à déclarer aux Agences régionales de santé (ARS) Paca et Corse et à la Cire tout événement jugé anormal. Au total, le système regroupe les données de plus de 177 partenaires sources de données, impliquant la gestion quotidienne de plus de 1500 indicateurs Mortalité La mortalité enregistrée par les états-civils est surveillée quotidiennement dans 30 villes (tableau 2). Ces 30 villes sentinelles enregistrent environ 70% du total des décès de l interrégion. 1 Moyenne glissante sur trois jours des températures. 2 InVS. Système d alerte canicule et santé consulté le 30/04/
4 Tableau 2 Etats-civils surveillés, Sacs 2013, Paca et Corse Département Etats-civils 04 Digne-les-Bains 04 Manosque 05 Briançon 05 Gap 06 Antibes 06 Cagnes-sur-Mer 06 Cannes 06 Grasse 06 Nice 13 Aix-en-Provence 13 Arles 13 Aubagne 13 la Ciotat 13 Marseille 13 Martigues 13 Salon-de-Provence 13 Vitrolles 83 Brignoles 83 Draguignan 83 Fréjus 83 Hyères 83 la Seyne-sur-Mer 83 Toulon 84 Avignon 84 Carpentras 84 Cavaillon 84 Orange 2A Ajaccio 2A Porto-Vecchio 2B Bastia Les décès transmis pour chaque état-civil incluent les résidents et non résidents décédés dans la ville surveillée, sans les transcriptions 3 et les mort-nés. La mortalité hospitalière est surveillée quotidiennement dans 38 hôpitaux (tableau 3) par l intermédiaire des Serveurs régionaux de veille et d alerte (SRVA) des ARS Paca et Corse. 3 toute personne décédée hors de sa ville de résidence 4
5 Tableau 3 Etablissements dans lesquels est surveillée la mortalité hospitalière, Sacs 2013, Paca et Corse Département Etablissements 04 CH de Digne 04 CH de Manosque 04 CHICAS de Sisteron 05 CH de Briançon 05 CH d'embrun 05 CHICAS de Gap 06 CH d'antibes Juan les Pins 06 CH Pierre nouveau (Cannes) 06 CH de Grasse 06 CH La Palmosa (Menton) 06 CHU de Nice 06 Hôpital Lenval (Nice) 13 CH d'aix en Provence 13 CH Imbert Joseph (Arles) 13 CH d'aubagne 13 AP-HM Hôpital de la Conception 13 AP-HM Hôpital Nord 13 AP-HM Hôpitaux Sud 13 AP-HM Hôpital la Timone adultes 13 AP-HM Hôpital la Timone enfants 13 Association Hôpital St Joseph (Marseille) 13 CH de Martigues 13 CH de Salon de Provence 83 CH Jean Marcel (Brignoles) 83 CH de Draguignan 83 CHI de Fréjus St Raphaël 83 CH Marie-José Treffot (Hyères) 83 CHITS Hôpital Georges Sand (La Seyne) 83 CH de Saint-Tropez 83 CHITS Hôpital Font Pré (Toulon) 84 CH d'apt 84 CH Henri Duffaut 84 CH de Carpentras 84 CHI de Cavaillon Lauris 84 CH Louis Giorgi (Orange) 2A 2A 2B CH d'ajaccio Polyclinique du Sud de la Corse CH de Bastia Pour la ville de Marseille, la Cire dispose également des données fournies par la Régie municipale des pompes funèbres (RMPF). Sur l inter région, seule la ville de Marseille dispose d une structure municipale de ce type, sa caractéristique étant de délivrer toutes les autorisations relatives à la gestion des décès et de pouvoir fournir le nombre total de personnes décédées dans la ville. La liste des indicateurs de mortalité suivis quotidiennement est fournie dans le tableau 4. 5
6 Tableau 4 liste des indicateurs de mortalité recueillis quotidiennement, Sacs 2013, Paca et Corse source de données Etats civils Régie municipale des pompes funèbres de Marseille Services hospitaliers indicateurs nombre de décès (indicateur SACS) nombre de décès de personnes de 75 ans et plus nombre de dossiers ouverts nombre total de décès nombre de décès de personnes de 75 ans et plus Morbidité Pour l ensemble des départements, la surveillance de la morbidité repose sur des données provenant des Services d'aide médicale d'urgence (Samu) et des services des urgences. Les données des Samu sont récupérées par l intermédiaire du SRVA. Pour la plupart des services des urgences, la Cire est destinataire de résumés de passages aux urgences avec des diagnostics codés (RPU). Ces données sont récupérées par l intermédiaire du réseau national «Organisation de la surveillance coordonnée des urgences» (Oscour), mis en place par l InVS. Ce système, visant à suivre les motifs de recours des services d urgences en France, est axé sur une surveillance syndromique. Il permet de connaître pour chaque patient des urgences son âge, son sexe, son lieu de résidence, le motif de recours aux urgences, la classification de gravité, le diagnostic, les actes médicaux et son orientation. La liste des 45 services d urgences produisant des RPU codés est donnée dans le tableau 5. Tableau 5 Services des urgences surveillés, Sacs 2013, Paca et Corse Département Etablissements 04 CH de Digne 04 CH de Manosque 04 CHICAS de Sisteron 05 CH de Briançon 05 CH d'embrun 05 CHICAS de Gap 06 CH d'antibes Juan les Pins 06 Polyclinique Saint Jean (Cagnes sur Mer) 06 CH Pierre Nouveau (Cannes) 06 CH de Grasse 06 CHU de Nice Hôpital St Roch 06 Hôpital Lenval (Nice) 06 Clinique Saint-George (Nice) 06 Institut Arnault Tzanck 13 Polyclinique du Parc Rambot (Aix-en-Provence) 13 CH Imbert Joseph (Arles) 13 Clinique de la Casamance (Aubagne) 13 CH de La Ciotat 13 AP-HM Hôpital de la Conception 13 AP-HM Hôpital Nord urgences adultes 13 AP-HM Hôpital Nord urgences enfants 6
7 Département Etablissements 13 AP-HM Hôpital la Timone adultes 13 AP-HM Hôpital la Timone enfants 13 Hôpital privé Beauregard (Marseille) 13 CH de Martigues 13 CH de Salon de Provence 83 CH Jean Marcel (Brignoles) 83 CH de Draguignan 83 CHI de Fréjus St Raphaël 83 CH Marie-José Treffot (Hyères) 83 CHITS Hôpital Georges Sand (La Seyne) 83 CH de Saint-Tropez 83 CHITS Hôpital Sainte Musse (Toulon) 83 HIA Sainte-Anne (Toulon) 84 CH d'apt 84 CH Henri Duffaut urgences adultes (Avignon) 84 CH Henri Duffaut urgences enfants (Avignon) 84 CH de Carpentras 84 CH Louis Giorgi (Orange) 84 CH de Pertuis 84 CH Vaison la Romaine 84 CH Valréas 2A CH d'ajaccio 2A Polyclinique du Sud de la Corse (Porto-Vecchio) 2B CH de Bastia Pour les Bouches-du-Rhône, la Cire collecte les données des pompiers (détail par sortie), fournies pour la ville de Marseille par le Bataillon des marins pompiers (BMP) et pour le reste du département par le Service départemental d incendie et de secours (Sdis). Pour l ensemble des départements, sont suivies les sorties Sdis recensées par les centres 15, données disponibles par l intermédiaire des SRVA des ARS Paca et Corse. La Cire dispose des données de la plupart des SOS Médecins de l interrégion (tableau 6). Tableau 6 Associations SOS Médecins, Sacs 2013, Paca et Corse Département Associations 06 SOS Médecins Cannes 06 SOS Médecins Nice 13 SOS Médecins Aix-en-Provence, Gardanne, Trets 13 SOS Médecins Marseille 83 SOS Médecins Toulon 83 SOS Fréjus 84 SOS Médecins Avignon 2A SOS Médecins Ajaccio 7
8 La liste des indicateurs de morbidité suivis quotidiennement est fournie dans le tableau 3. Tableau 3 Principaux indicateurs de morbidité analysés en routine quotidiennement, Sacs 2013, Paca et Corse source de données Samu Services des urgences BMP Sdis 13 SOS médecins (quel que soit l association) SOS médecins (codant les diagnostics) indicateurs - nombre d affaires - nombre d affaires de type recours à la médecine générale - nombre de transports médicalisés - nombre de transports non médicalisés - nombre total de passages (indicateur SACS) - nombre de passages d enfants de moins de 1 an - nombre de passages de personnes de 75 ans et plus (indicateur SACS) - nombre de patients hospitalisés après passage aux urgences - nombre de passages pour des pathologies pouvant être rattachées aux fortes chaleurs : effets de la chaleur, exposition à une chaleur naturelle excessive, déshydratation - nombre de passages pour malaises - nombre total de sorties pour secours à personnes - nombre de sorties pour affections médicales quel que soit le lieu - nombre de sorties pour affections médicales à domicile - nombre de sorties pour affections médicales sur le lieu du travail - nombre total de sorties pour secours à personnes - nombre de sorties pour affections médicales à domicile - nombre total de consultations (indicateur SACS) - nombre de consultations pour des enfants de moins de 2 ans - nombre de consultations pour des personnes de 75 ans et plus - nombre de consultations pour des motifs d appels pouvant être rattachées aux fortes chaleurs : déshydratation, coup de chaleur, insolation, coup de soleil - nombre de consultations pour malaise - nombre de consultations pour des diagnostics pouvant être rattachées aux fortes chaleurs : déshydratation, coup de chaleur - nombre de consultations pour malaise 3 Extraction, envoi des données des partenaires source de données L ensemble des extractions et des transferts de données des partenaires vers la Cire est automatisé à l exception de la RMPF et du BMP. Pour les données de mortalité, l état-civil de Marseille utilise un automate d extraction et d envoi des données. Pour les autres états civils, les données mises à disposition par l Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) sont téléchargeables via le site Internet de l InVS (Cire Sud / 654sds74gg). Les données d activités des services d urgences, des Samu et des décès enregistrés dans les services hospitaliers sont transmises pour chaque région sous la forme de 3 fichiers générés (urgences, Samu et décès hospitaliers) et envoyées chaque jour par l automate d extraction et d envoi du service informatique de l Observatoire des urgences (ORU) Paca. Par ailleurs, le Samu 13 fournit des données par victime à l aide d un automate d extraction et d envoi des données développé par l AP-HM. Les données Oscour de chaque région sont envoyées par messagerie électronique par l ORU Paca (lien vers fichier à télécharger). Les données du Sdis 13 sont aussi envoyées par messagerie. Les données des SOS Médecins sont téléchargeables via le site Internet Sursaud (sécurisé par mot de passe). 8
9 Tous ces envois se font quotidiennement à heure fixe par messagerie électronique. Les fichiers de données reçus sont exploitables automatiquement par la Cire. 4 Recueil et chargement des données reçues L ensemble des informations du jour J doit être connu de la Cire au plus tard à 11 heures à J+1, en dehors des week-ends pour lesquels certains partenaires n assurent pas de permanence. Les données transmises par mail sont réceptionnées dans la boîte aux lettres électronique ars-paca-cire-veille@ars.sante.fr. Comme pour les procédures d extraction et d envoi, le traitement de la quasi-totalité des données est automatisé. Seules les données de la RMPF de Marseille sont saisies. Le fonctionnement type du chargement est schématisé dans la figure 1. Figure 1 Principe du chargement des données reçues, Sacs 2013, Paca et Corse Réception de données par origine ARH Paca Samu SOS Méd. état-civil Nice pompes funèbres Importation dans des tables temporaires Chargement dans des tables spécifiques Vérification des données Saisie dans des tables spécifiques Création des indicateurs table contenant l ensemble des indicateurs Même si l origine des données est diverse, l ensemble des indicateurs construits à partir de ces données est stocké dans une même table de données (figure 1). Ce mode d organisation permet de faciliter l analyse des indicateurs et la restitution de résultats (figure 2). 9
10 Figure 2 Principe de l exploitation des données reçues, Sacs 2012, Paca et Corse table contenant l ensemble des indicateurs Analyse et interprétation Préparation des annexes pour les rétroinformations, bilans et signalements 5 Suivi d indicateurs ou de groupes d indicateurs L organisation de la base de données contenant l ensemble des indicateurs permet de suivre aussi bien un indicateur qu un groupe d indicateurs. Pour cela, il suffit de définir pour chaque groupe d indicateurs la liste des indicateurs le composant. Un groupe peut être défini pour une institution (ensemble des services d urgences de l AP- HM), une ville (ensemble des hôpitaux de Marseille), un département (ensemble des hôpitaux des Bouches-du-Rhône) ou une région (ensemble des hôpitaux Paca). Un groupe peut aussi rassembler des indicateurs selon d autres caractéristiques spécifiques telles que par exemple les urgences pédiatriques de la région Paca. L approche par groupe d indicateurs est complémentaire de celle par indicateur. 6 Analyse et interprétation La Cire possède un ensemble d outils complémentaires permettant d aider à l interprétation des indictateurs. 6.1 Statistiques descriptives, graphique Un graphique et un ensemble de statistiques descriptives sont disponibles pour chaque indicateur ou groupe d indicateurs (figure 3). 10
11 Figure 3 Exemple de tableau de bord indicateur, Sacs 2013, Paca et Corse nombre de dossiers ouverts : RMPF de Marseille (1 er juin août 2012) Ces statistiques sont calculées sur une période au choix (par défaut les 12 dernières semaines) : - globalement - par mois - par semaine - pour chaque jour de la semaine (lundi, mardi, ) - en séparant les week-ends et les jours fériés des autres jours. Elles comprennent : - le nombre de valeurs (N) - la moyenne - le minimum - le maximum - la somme 4. Tout cela est aussi proposé pour l ensemble des données historiques disponibles. 6.2 Méthode bâtie sur des historiques Lorsqu un indicateur dispose d historiques, une première méthode permet de comparer les valeurs de cet indicateur à un seuil construit à partir des historiques. L analyse des données des années passées doit conclure à une stabilité d une année à l autre (repérage des changements d organisation). Cette méthode est disponible pour le tiers des indicateurs. Pour tenir compte des effets «mois» ainsi que des effets «jours» essentiellement liés aux week-ends et aux jours fériés, ces indicateurs disposent de deux seuils par mois : un pour la semaine et un pour le week-end et les jours fériés. 4 En dehors des indicateurs de type proportion et des indicateurs météorologiques. 11
12 Pour chaque indicateur et pour chaque sous échantillon (mois / semaine ou week-end et jours fériés), la valeur du seuil correspond à la borne supérieure de l intervalle de confiance à 99 % de la moyenne, borne supérieure égale à : m + 2,576 s m avec m la moyenne de l échantillon et s m l écart type de la moyenne m. (loi normale centrée réduite Z,α = 0,01) Lorsqu il y a un dépassement du seuil, le pourcentage d augmentation de la valeur du jour par rapport au seuil est calculé. Le risque de première espèce est paramétrable. 6.3 Méthode des moyennes mobiles Cette méthode ne nécessite pas de données historiques pour sa mise en place, le but étant de comparer une valeur observée à un seuil calculé sur les jours précédents. Le seuil est calculé à partir d un échantillon composé des 14 jours précédents. Pour tenir compte des effets «jours» liés essentiellement aux week-ends et aux jours fériés, les samedis, les dimanches et les jours fériés sont pondérés. Pour cela, on calcule le facteur qui permet de passer de la moyenne «week-end et jours fériés» à la moyenne «semaine» (facteur f). Les valeurs des indicateurs pour les samedis, les dimanches et les jours fériés sont multipliées par le facteur f. La valeur du seuil correspond à la borne supérieure de l intervalle de confiance à 99 % de la moyenne calculée sur les 14 jours, borne supérieure égale à : m + 3, 012 s m avec m la moyenne de l échantillon et s m l écart type de la moyenne m. (loi de T de Student,α = 0,01, ddl=13) La valeur observée le jour J est ensuite comparée directement au seuil précédemment décrit ou après avoir été pondérée par f s il s agit du week-end ou d un jour férié. Lorsque la valeur observée est supérieure au seuil, le pourcentage de dépassement est calculé. Le risque de première espèce et la période de 14 jours sont paramétrables. 6.4 Méthode des cartes de contrôle pour données individuelles Cette méthode 5 ne nécessite pas de données d historique pour sa mise en place. Le principe est de comparer une valeur observée aux valeurs précédentes des jours équivalents (même jour de la semaine). Cette méthode permet de tenir compte des variabilités quelques fois observées entre les différents jours de la semaine (du lundi au dimanche). La valeur du jour est comparée à des valeurs limites plus ou moins hautes. On parlera de limite à 2 ou 3 écart-types. Pour chaque indicateur, le calcul de ces limites pour un jour de la semaine donné fait intervenir : 5 NIST/SEMATECH e-handbook of Statistical Methods, consulté le 17/05/
13 - la moyenne des étendues mobiles ( MR ), une étendue mobile étant définie par la différence entre la valeur d un jour et la valeur précédente équivalente (un lundi avec le lundi précédent par exemple), - la moyenne ( X ) de l ensemble des valeurs équivalentes (ensemble des lundis par exemple). 1 1 n n 1 MR = x i + 1 x i X = x i n 1 i= 1 n i= 1 MR La limite supérieure à 3 écart-types est donnée par X + 3 1,128 Lorsque la valeur du jour dépasse une des limites supérieures (2 ou 3 écart-types), le rang de cette limite est indiqué. Les limites sont calculées sur une période glissante de 12 semaines. La période de 12 semaines est paramétrable. 6.5 Confrontation des résultats des 3 méthodes d interprétation Afin de faciliter l interprétation des données au quotidien, les résultats des trois méthodes sont confrontés dans un listing (exemple dans la figure 4). 13
14 Figure 4 Exemple de résultats des méthodes d interprétation*, Sacs 2013, Paca et Corse *Avec ICBS méthode bâtie sur des données d historique, MOYMOB méthode des moyennes mobiles et DIFF méthode des cartes de contrôle pour données individuelles. 6.6 Comparaison graphique des données de l année en cours avec l année précédente La Cire a mis en place un outil graphique permettant de comparer les données d une année sur l autre. Pour une période de temps donnée, l application superpose sur une même courbe les séries de données de l année N et de l année N-1 (recalage d un jour nécessaire) (figure 5). Figure 5 Comparaison sur la période du 1 er juillet au 31 décembre des données 2011 et 2012, exemple du nombre total de sorties pour secours à personnes du BMP, Sacs 2013, Paca et Corse dim 1 juil dim 8 juil dim 15 juil dim 22 juil dim 29 juil dim 5 août dim 12 août dim 19 août dim 26 août dim 2 sept dim 9 sept dim 16 sept dim 23 sept dim 30 sept dim 7 oct dim 14 oct dim 21 oct dim 28 oct dim 4 nov dim 11 nov dim 18 nov dim 25 nov dim 2 déc dim 9 déc dim 16 déc dim 23 déc dim 30 déc Valeur(N) Valeur(N-1) Moy. mob. sur 7 jours (N) Moy. mob. sur 7 jours (N-1) 7 Restitution d informations En période d alerte canicule (niveau «alerte canicule» ou «mobilisation maximale») la Cire envoie quotidiennement avant 14 heures à l InVS une synthèse des observations faites sur les indicateurs retenus dans le Sacs. En parallèle, et pour chaque département concerné par 14
15 l alerte, la Cire rédige un bilan de la situation sanitaire avec les éléments en sa possession. Une procédure spécifique a été écrite sur les rétro-informations à produire en cas d alerte canicule. Quel que soit le niveau d alerte, la Cire fournit chaque semaine (le vendredi) une synthèse des observations de la semaine écoulée (vendredi au jeudi). Cette rétro-information se présente sous forme de synthèse régionale accompagnée pour chaque département d une annexe de même type que celle fournie lors des bilans quotidiens. Les différents partenaires impliqués dans la veille sanitaire sont prévenus par messagerie électronique de la mise en ligne de la rétro-information hebdomadaire sur le site Internet de l ARS Paca. 8 Signalements Les partenaires source de données peuvent contacter l ARS, ou à défaut la Cire, pour signaler un événement de santé particulier. Si le signal arrive à la Cire, l ARS concernée en est immédiatement informée. La Cire peut aussi émettre un signalement suite à l analyse des données sanitaires recueillies. Cela fait l objet d un appel téléphonique à l ARS concernée accompagné d un message électronique précisant la nature du signal. Chaque signalement doit être suivi d une investigation menée par l ARS avec l appui ou non de la Cire. 9 Outils L outil de gestion des données analysées dans le cadre de la surveillance non spécifique a été réalisé sous Microsoft Access. Pour chaque département et afin de faciliter la rédaction des bilans départementaux, un document «type» Microsoft Publisher a été mis en place. Des messages «type» pré-adressés ont été créés pour les rétro-informations quotidiennes et les signalements. 15
Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
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