Traduction microscopique des lésions élémentaires primaires vues en sémiologie dermatologique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Traduction microscopique des lésions élémentaires primaires vues en sémiologie dermatologique"

Transcription

1 UE11- anatomo-pathologie (2) Date : 19 février 2019 Promo : DFGSM Heure : 8h30-10h30 Enseignant : Pelluard Ronéistes : Boyer Ophélie Jérémy Narayanin Traduction microscopique des lésions élémentaires primaires vues en sémiologie dermatologique I. Les lésions primaires modifiant le relief de la peau 1- Non palpable A. MACULE 2- Palpable A. PAPULE B. PLAQUE C. TUBERCULE D. NOUURE = nodule sous cutané E. Nodule superficiel F. VEGETATION G. VERRUCOSITES II. Lésion squameuses et kératosiques III. Tumeurs cutanées 1- Carcinome baso cellulaire (CBC) 2- Carcinome épidermoïde (CE) 3- Tumeurs annexielles 4- Tumeurs mélaniques Page 1 sur 14

2 I. Les lésions primaires modifiant le relief de la peau 1. Non palpable a. MACULE On n a pas besoin de l anapat. La plupart des macules ne sont pas biopsiées. Nous avons la un angiome donc ça change de couleur. Lorsqu on appuie ça doit être blanc car ce sont des vaisseaux qui sont dessous et qu il n y a pas d hémorragie. Lorsqu on relâche il doit redevenir rouge. Une éruption maculeuse, on essaye d abord de faire un diagnostique d une part nous même 2. Palpable Du plus superficielle au plus profond. - La plus superficielle c est la papule. - Si on additionne plusieurs papules, on obtient une plaque. - On a aussi des végétations qui sont des petites excroissances. - On va avoir des tubercules. - On a des nodules sous cutanées (= nouures). - Ainsi que des nodules superficiels - On a aussi tous ce qui dit verrucosités et Kératoses a. PAPULE On intervient plus rarement. La papule c est une élevure cutanée, palpable, résistante et solide, ne renfermant pas de liquide, <1cm. Elle peut être située un peu n importe où, on en a dans : - Dans l Epiderme, - Jonction Epiderme - Derme - Dans le Derme o Œdémateuses (pleine de liquide) o Purpuriques (pleine de sang) o Cellulaires (contiennent des cellules) o Dysmétaboliques (accumulation d un produit) - Folliculaire Page 2 sur 14

3 Il y a des papules toutes simples, par exemple après une piqure de moustique, qui ne nécessite pas de biopsie. En revanche pour les pathologies tumorales comme la Papulose lymphomatoide, on n aura pas la même clinique que la piqure de moustique. Dans ce cas là l anapat va avoir un rôle à jouer, notamment dans la caractérisation des lymphocytes, ainsi que d essayer de trouver une thérapie ciblé. QUESTION ELEVE : lorsqu on dit qu elle ne renferme pas de liquide c est au niveau épidermique? - Oui, c est œdémateux, on ne voit pas de liquide à l œil. C est lorsqu on regarde au microscope que l on voit entre les cellules du blanc mais c est vraiment à l échelon microscopique. Les petites papules fixes sur la tempe, avec une modification de l épiderme qui est un peu teinté, ça peut être de nature tumorale. Généralement lorsqu ils sont situés au niveau de la tempe, ce sont des carcinomes basocellulaires. Il y a des papules inflammatoires, on voit que l épiderme est sacrément modifié. On va retrouver des anomalies au niveau de la jonction entre le derme et l épiderme, où on retrouve des cellules inflammatoires (lichen plan). Ce n est pas tumoral, c est vraiment inflammatoire. Il existe également des papules inflammatoire et fugace qui sont des modifications essentiellement dermiques avec un œdème et infiltrat inflammatoire du derme. On évite généralement de les biopsier. L Urticaire est typique de la papule inflammatoire, il y a bien du liquide au niveau microscopique entres les cellules. On a les piqures de moustique aussi, c est le même principe. En revanche une papule cellulaire qui persiste, il faut la biopsier. Elles sont principalement dermique et du à une lymphoprolifération dermique. Tous ce qui est en violet sont des lymphocytes, il y a donc bien une pathologie de prolifération lymphoïde. L aspect crouteux de la papule est dû à une érosion de l épiderme superficielle. Page 3 sur 14

4 La papule dysmétabolique est une accumulation d une substance. C est une infiltration du derme par des histiocytes Xanthélasmisés (= chargé de lipide [parait blanc sur l HES]). On ne biopsie pas le patient. Il y a beaucoup de patient avec ces taches jaunes au creux des paupières (Xanthélasma). C est souvent retrouvé chez les patients ayant une hypercholestérolémie. La papule folliculaire, est assez fréquente et est centrée sur un poil. On a une espèce de petit bouton qui apparait car un poil est irrité. b. PLAQUE Lorsqu on a des plaques, on réalise généralement des biopsies. A moins que l on sait ce que c est, sinon c est très souvent de la pathologie inflammatoire pas forcément de diagnostique facile ou de la pathologie tumorale. C est une lésions palpable en relief plus étendue en surface qu en hauteur, > 1 cm, parfois = due à une confluence de papule. Inflammatoire : On a ici l exemple d une papule qui a été biopsier. C est une dermatose aigue fébrile neutrophilique parce qu on va retrouver beaucoup de polynucléaire neutrophile. Tumorale : On a aussi un fibrosarcome, il y a eu translocation au sein des cellules tumorales. Elle ne nous demande pas de retenir les noms c est vraiment pour de l illustration. Le mécanisme pour la formation de là plaque il peut être complètement varié (importance de la biopsie). Infiltrat dans le DERME, ici dû à une infiltration de polynucléaire neutrophile EPIDERME hyperplasique, avec un épiderme beaucoup trop gros avec des papilles beaucoup trop profondes avec une hyperkératose parakératosique, avec aspect squameux et des noyaux à l intérieur. Page 4 sur 14

5 PSORIASIS On a des plaques avec un aspect squameux avec un infiltrat inflammatoire qui monte dans l épiderme. Ainsi qu une hyper kératose parakératosique puisque l épiderme n arrive pas à maturer normalement. On a plein de noyau dans la couche cornée. Mécanisme histologique du psoriasis. Il y a plein de chose qu on ne connaît pas dans le psoriasis. C est complique parce que comme on ne connaît pas l origine forcément on n est pas très bon pour le traitement. - Activation des lymphocytes T par un stimulus inconnu. Il sera alors capable d aller dans le derme puis dans l épiderme. - Ils vont fabriquer des cytokines (TNFα et des interféron γ) : pro-inflammatoire - Ces molécules pro-inflammatoires, vont aller jouer sur les : - Kératinocytes : Prolifération majeur de kératinocyte, mais ils ne sont pas capables de maturer normalement. On aura donc une hyperkératose (augmentation de la couche cornée) et elle sera parakératosique (maturation anormale avec des noyaux à l intérieur) -Cellules endothéliales : vasodilatation et angiogenèse. C est ce qui va donner cet aspect rouge sous les plaques blanches. -Polynucléaires neutrophiles : diapédèse et micro-abcès à la jonction du derme et de l hypoderme. On appelle cela des pseudo-abcès puisque ce n est pas lié à un germe. Un peu comme s il y avait une bactérie qui arrive mais que en réalité il n y en a pas. On n a pas toujours une érythrodermie complexe, on peut avoir des plaques rouges. Au niveau de la biopsie on peut voir qu il y beaucoup de lymphocyte T dans le derme et surtout dans l épiderme. Page 5 sur 14

6 Le dermato-fibrome, on a une plaque avec en plus dessus un nodule qui a été biopsié. Ce sont des cellules pas très facile a distinguer, homogène, l utilisation d anticorps nous permet de poser le diagnostique de dermato-fibrosarcome. c. TUBERCULE C est une infiltration plus profonde que la papule. Puisque normalement ça atteint l épiderme et le derme, voir même l hypoderme. Tuberculose cutanée : Au niveau biopsique on aura une espèce de granulome avec des cellules géantes. Sarcoïdose : aspect de tubercule quand on touche, on sent que ce n est pas quelque chose de superficielle, c est très infiltrant. On retrouve également un granulome aux cellules géantes. d. NOUURE = nodule sous cutané Comme ils sont situés dans l hypoderme, ils ne sont pas toujours en relief. Il faut vraiment palper pour sentir quelque chose de dure en profondeur. On a une modification du revêtement de l épiderme qui est un peu plus foncé. Au niveau de la biopsie on aura un érythème noueux. e. Nodule superficiel Nodule : lésion palpable >1cm, forme arrondie, surface lisse, unique ou multiple, couleur rosée (érythème) Concernant la vésicule, elle est dure à l intérieur il n y a pas de liquide. Les 2 pathologies ci-contre se ressemblent vu de l extérieur mais n ont pas le même traitement. Pour le lymphome de Malt : si on le retire, il va falloir traiter le patient. C est un lymphome ce n est pas une maladie spécialisée à ce nodule. Pour le carcinome baso-cellulaire : si on le retire à priori, le patient est guéri. Page 6 sur 14

7 f. VEGETATION Excroissance mollasses mamelonnées en chou fleur. Avec une prolifération épidermique et/ou dermique. Les neurofibromes, il existe plusieurs stades. Il y en a moins envahissant. g. VERRUCOSITES Verrucosité : excroissance mamelonnées recouverte d hyperkératose. De principe, c est une infection virale. Verrue : Tous ce qui est violet foncé c est de la kératose. Ici nous avons une infection virale à HPV. IV. Lésion squameuses et kératosiques Lésion squameuse et kératosique : épaississement de la couche cornée Squameuse : on peut décrocher la couche cornée Kératosique : on ne peut pas décrocher la couche cornée, elle adhère à l épiderme. Psoriasis ; c est para-kératosique (anomalie de maturation avec des noyaux dans la couche cornée). Ichtyoses : bébé à la naissance avec une peau à l aspect cartonné. Il a une hyperkératose. Ce sont des maladies héréditaires liées à des anomalies de kératinisation. Ce n est pas un très bon pronostique d avoir ça à la naissance. Page 7 sur 14

8 V. Tumeurs cutanées Nous avons 2 types de tumeurs : les tumeurs bénignes et les tumeurs malignes. C est une prolifération du tissu et une prolifération cellulaire anormale. Il y a des tumeurs un peu de partout. Il ne faut pas oublier qu on peut avoir aussi des métastases de tumeur d un autre organe. Carcinome basocellulaires : donne un aspect en palissade facile à reconnaitre. Ils sont souvent sur des zones exposés au soleil (visage). Carcinome épidermoïde (spinocellulaire) : impression d avoir de l épiderme en plein milieu du derme, avec même de la kératine. On a une espèce de végétation qui infiltre le derme en profondeur. 1- Carcinome baso cellulaire (CBC) Superficiel : Si on se met au niveau de la lame basale, c est les cellules basales qui se mettent à se multiplier. On a cet aspect palissadique coincé dans l épiderme Très bon pronostique ça a juste toucher l épiderme. Infiltrant : peut former des nodules, si on va sur les bords on a toujours cet aspect de palissade. Juste à la jonction, la prolifération ne touche même pas le derme sous jacent. Le risque de récidive locale : En générale, elle ne donne pas de métastase, n entraine pas de décès. On peut avoir des complications fonctionnelles liées aux récidives locales mais n entraine pas de métastase à distance. 2- Carcinome épidermoïde (CE) Il peut être pareil in situ (localisé dans l épiderme) ou infiltrant, comme on peut le voir ici. On se retrouve avec une prolifération qui ressemble à l épiderme (d où le nom épidermoïde) avec une désorganisation. En plus du risque de récidive locale, s il n est pas in situ, on a un risque de métastase et potentiellement un risque de décès. Page 8 sur 14

9 3- Tumeurs annexielles On a des tumeurs bénignes qui sont les plus fréquentes, ainsi que des tumeurs malignes qui sont rares. - Si la tumeur est trop grosse ou aspect clinique douteux biopsie - Ou si vous savez ce que c est biopsie exérèse En résumé 4- Tumeurs mélaniques Le mélanocyte peut s occuper de 36 kératinocytes. Le Naevus : donne un aspect avec des mélanocytes un peut partout comme nous pouvons le voir au niveau de la basale. Le Mélanome : il est irrégulier, de couleur différente. On a une prolifération qui forme de grosses boules de mélanocyte dans l épiderme Naevus : Bénin o Il y en a de différentes formes o On a une prolifération de mélanocytes normaux o Dans l absolu, on est née sans naevus Page 9 sur 14

10 Mélanome : Malin o Généralement lié au soleil o Ils sont ABCD(E) A : Asymétrique B : Bordure irrégulière C : différentes couleurs D : Souvent supérieurs à 6 mm de diamètre E : Epaisseur / Elargissement Il y a des mutations génétiques pour les mélanomes. Certains patients porteurs de la mutation : au moindre naevus qui aurait tendance à changer, on le retire systématiquement. Ici, on a un épiderme qu on ne voit plus. En violet, on aura la couche granuleuse avec les grains. La couche épineuse est envahie par des mélanocytes tumoraux. Dans la papille dermique on a une réaction inflammatoire. En générale lorsqu il y a un mélanome en dessous il y a une réaction inflammatoire. On a deux mélanome différents, on regarde si les berges sont saines, on regarde l épaisseur, on regarde ce qu il a envahie. Quand on dit exérèse : jamais de biopsie, c'est-à-dire qu on fait un prélèvement suffisamment grand pour retirer tout le naevus. Si vous pensez que votre naevus est un mélanome, il ne faut jamais en laisser une partie car il y a un risque de dissémination. On fait systématique une exérèse complète de la tumeur. On va nous donner le facteur histo-pronostique c'est-à-dire la mesure en mm de Breslow, on va vous dire s il y a des ulcérations, si on voit des mitoses, et on va nous donner le stade ptnm. Page 10 sur 14

11 On doit savoir la marge qu on a laissée. Potentiellement on peut être amené à refaire une reprise si jamais on n est pas suffisamment large. Ex : pour une tumeur de plus de 4 mm, il faut 3 cm de marge de reprise d exérèse. En règle générale, lorsqu on suspecte un mélanome. La marge peut aussi dépendre de la localisation (évite de prendre des grandes marges sur le visage) Une fois les facteurs histo-pronostiques déterminés et si on a validé que les marges étaient saines, on va faire de la biologie moléculaire. Maintenant on utilise Braf pour tous les mélanomes on utilise aussi parfois le c-kit ça va permettre d avoir une thérapeutique ciblée pour le patient. Pour les lymphoproliférations, c est différent, on fait souvent des biopsies multiples parce qu on a souvent plusieurs plaques. Ça peut être soit : Une hyperplasie lymphoïde bénigne et il se passe rien Soit ça peut être un lymphome malin. Page 11 sur 14

12 Très souvent dans les lymphomes malins B ou T, on a plus qu un nodule donc souvent on se retrouve plus avec une pièce chirurgicale mais ce n est pas obligatoire. Lymphome B : CD20 Lymphome T : CD3 Le type de lymphome conditionne le traitement ROLE DU PATHOLOGISTE Rôle diagnostique : bénin, malin et quel type Rôle pronostique : TNM Rôle prise en charge thérapeutique : o Ex : épaisseur du mélanome (Breslow) o Ex : marge exérèse complète? Rôle théranostique : en fonction des mutations, on va proposer des thérapies ciblées. A partir de là ce n est plus le cours c est juste pour REPONSES AUX QUESTIONS COULEUR DE PEAU : QUALITE / QUANTITE PIGMENTS On a un panel complet de différentes couleurs, or à priori on a tous le même nombre de mélanocyte. Donc ça ne vient pas des mélanocytes. En revanche, la densité de nos mélanocytes sur notre corps, n est pas la même sur tous le corps, c'est-à-dire qu on en a beaucoup au niveau de la face et moins au niveau du corps. Le mélanocyte va fabriquer 2 types de pigments, qu il va mettre dans les mélanosomes, et ces mélanosomes, il va les distribuer aux kératinocytes qu il prend en charge. Mais le mélanosome est une structure qui évolue dans le temps, qui mature. Il y a 6 stades de maturation du mélanosome. BLANC : o Mélanocyte (que dans la couche basale) o Mélanosome : ils n arrivent pas à maturation complète, donc ils restent un peu immatures. Et en plus, ils se font détruire facilement. Ils ont tendances à s autodétruire de façon assez efficace. Une personne blanche, à moins de mélanosome dans un mélanocyte que les personnes de couleurs noires. La différence de couleur résulte alors non pas de la quantité de mélanocyte mais de la quantité de mélanosome dans les mélanocytes. NOIR : o Mélanocyte (monte jusque dans la granuleuse) o Mélanosome : beaucoup plus volumineux, contiennent plus de pigment. Arrive à maturation complète jusqu au stade numéro 6. Ils ont 10 X plus de mélanosome qu une personne blanche. Asiatique : intermédiaire, entre les 2 types de peau Page 12 sur 14

13 POUR LES QCM : Les mélanocytes sont dans la basale! Dans la vrai vie plus vous avez la peau foncée, plus les mélanocytes sont capables de monter dans l épiderme. BRONZAGE : IMMEDIAT / RETARDE Bronzage immédiat Bronzage retardé Lié UVA UVB Apparition Immédiate / devient rouge (érythème solaire = dilatation artériole, capillaire et 48H ou 72H après veinule) Disparition Immédiate Plusieurs semaines (dépend du renouvellement de l épiderme) Mélanine Va se Photo-oxyder Fabrication de nouvelle mélanine Tyrosinase (enzyme qui permet d aboutir au pigment mélanique) Mélanosomes Elle n a pas le temps de synthétiser de nouveaux pigments Pas de changement elle à eu le temps de synthétiser des nouveaux pigments. Ils vont augmenter leur nombre et leur transfert aux kératinocytes. Mélanocytes Pas le temps de se multiplier Ils vont se multiplier AU SOLEIL : On augment le nombre de mélanocyte de façon retardé. On va différentier les mélanoblastes qui étés quiescent ainsi que faire diviser des cellules qui étaient déjà mature. Normalement la mélanine protège nos cellules basales, vu que les cellules basales elles sont en mitose et si elles perçoivent une stimulation UV, à ce moment là on peut avoir des mutations et c est dangereux pour notre génome. Stimulation de la mélanine physiologiquement par les cytokines et par l ACTH. Hypersécrétion d ACTH stimulation mélanocyte = maladie Addison avec un bronzage sans exposition Le soleil : A une action calorique, il nous réchauffe. Attention aux coups de chaleur pour les âges extrêmes, même pour les jeunes, car il entraine des mots de têtes, des vomissements etc Permet synthèse de vitamine D. pigmentation immédiate grâce aux UVA. C est antidépresseur, mais pas par action cutanée Effet retardé : coupe de soleil, bronzage, Effet sur le système immunitaire (action immuno-supressive), vieillissement cutané photo-induit très important (c est je site «vraiment pas super le soleil à long terme») Coup de soleil est assimilé à une brulure. On va avoir les UV qui vont détruire les micro-arm cellulaire et les cellules autour vont libérer des molécules pro-inflammatoires pour faire un appel à l aide. On aura donc un : - Relargage de molécule pro-inflammatoire - Dilatation des vaisseaux - Œdème - Venue de cellule inflammatoire Page 13 sur 14

14 On va se retrouver avec des plaques rouges qui peuvent gratter au début. C est une atteinte des filets nerveux, donc ça peut nous démanger. Après le stade de plaque rouge, on va avoir des cloques. Puis au final on va peller par déshydratation. BRULURES : 1 er degrés : couche superficielle de l épiderme, Erythème / sensibilité accrue - 2 e degrés superficiel : épiderme / partiel derme superficiel : phlyctènes (cloques). Phlyctène avec rougeur périphérique, douleur, cicatrisation généralement sans séquelles. - 2 e degrés profond : cloque sur fond blanc / douleur légère (atteinte des filets nerveux), cicatrisation à partir de ce qu il va rester comme épiderme o 3 e degrés : épiderme / derme / coagulation du réseau vasculaire. peau cartonnée, blanche, brunâtre, insensible, pas possibilité de cicatrisation. LES CHEVEUX : CHEVEUX ASIATIQUE : Cheveux les plus raides, épais, implantation profonde (derme) du follicule pileux à la verticale, diamètre important, vitesse de pousse la plus importante, les plus solides, densité importante CHEVEUX CAUCASIEN / EUROPEEN (Raide / Ondulé / Frisés) : Cheveux très dense, implantation de biais moyenne (plus on est de biais, plus on frise), diamètre plus fin CHEVEUX AFRICAIN (Spiralée à Crépu) : le plus fin, le plus fragile, le plus petit diamètre, implantation haute et couchée (horizontale), une vitesse de pousse lente, densité moyenne. Nouveau cours donc pas d annale Page 14 sur 14

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies

Plus en détail

Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques

Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

CANCERS DE LA PEAU. Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes.

CANCERS DE LA PEAU. Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes. CANCERS DE LA PEAU Définition Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes. Les mélanomes Ces tumeurs se développent dans les mélanocytes,

Plus en détail

DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! INSTITUT FRANÇAIS SOLEIL & SANTÉ. www.ifss.fr

DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! INSTITUT FRANÇAIS SOLEIL & SANTÉ. www.ifss.fr DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! Association de médecins, de scientifiques et de spécialistes des UV, l Institut Français Soleil & Santé (IFSS) a pour vocation de

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Les cancers de la peau non-mélanome

Les cancers de la peau non-mélanome Les cancers de la peau non-mélanome Carcinome basocellulaire Carcinome spinocellulaire Lésions précancéreuses Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

DÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :

DÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique

Plus en détail

Moyens d étude de la peau

Moyens d étude de la peau Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de

Plus en détail

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification

Plus en détail

PROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ. Les bons réflexes de prévention solaire

PROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ. Les bons réflexes de prévention solaire PROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ Les bons réflexes de prévention solaire LE SOLEIL et notre vitalité Rien ne vaut un rayon de soleil pour retrouver le sourire. C est un fait établi, le soleil joue

Plus en détail

Mécanisme des réactions inflammatoires

Mécanisme des réactions inflammatoires 01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan

Plus en détail

Epaisseur cutanée. Et selon le sexe : femme < homme

Epaisseur cutanée. Et selon le sexe : femme < homme Plan Épaisseur cutanée Absorption transcutanée Protection contre la pénétration d allergènes Protection contre la pénétration d agents infectieux JPSA Thermorégulation Nettoyage de la peau Hydratation

Plus en détail

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire Pour un bronzage sage Guide pour un utilisateur averti de banc solaire -18 C est surtout durant les longs mois d hiver que le manque de soleil incite les amateurs de soleil à aller le chercher ailleurs

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Le psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003

Le psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003 Le psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003 Pré-requis : QCM (bonne réponse) Le psoriasis est : A - une dermatose érythémato-squameuse B - Fréquente C - Pouvant être traité par les bêta-bloquants

Plus en détail

RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR

RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR PROFITEZ DU SOLEIL EN TOUTE SÉCURITÉ Nous profitons tous du soleil et en connaissons ses bienfaits : il dope le moral et favorise

Plus en détail

*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie.

*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie. WHITE RESOLUTION SOIN ÉCLAIRCISSANT ANTI-TÂCHES, ANTI-ÂGE AU WHITESPHERE TM PREMIUM ET IPARZINE -4A PERFORMANCE PRODUIT Ce soin est une formule ultra-active qui permet de lutter efficacement contre les

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

L été est arrivé et les vacances aussi.

L été est arrivé et les vacances aussi. L été est arrivé et les vacances aussi. Toute la famille se prépare pour aller à la plage, es-tu prêt à en profiter avec eux? Hélios et Hélia ont hâte de retrouver leurs amis et surtout de profiter de

Plus en détail

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris

Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Dermatologie buccale

Dermatologie buccale Dermatologie buccale Sophie-Myriam DRIDI - Anne-Laure EJEIL Sophie KOSINSKI, Attachée, hôpital Albert Chenevier/Créteil, Paris. Anne-Laure EJEIL, MCU/PH, hôpital Bretonneau, Paris. François LEPELLETIER,

Plus en détail

Le mélanome. Ce que vous devez savoir

Le mélanome. Ce que vous devez savoir Le mélanome Ce que vous devez savoir Table des matières À propos de ce livret... 2 La peau... 3 Importance de la peau...3 Couches de la peau...3 La croissance des cellules : les cellules normales et les

Plus en détail

Dermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard

Dermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Dermatologie courante du sujet âgé Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Mécanismes du vieillissement cutané En vieillissant, la peau se ride, s

Plus en détail

Apprivoisons le soleil!

Apprivoisons le soleil! Apprivoisons le soleil! une initiative de la Communauté française 1. Sommaire soleil et plaisir, bien-être soleil et risques pour la santé soleil et prévention baignades et bains de soleil activités sportives

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Le vitiligo touche 1 personne sur 50 à 100 de la population mondiale avec 10 à 30 % de formes familiales. Ce n est donc pas une maladie rare.

Le vitiligo touche 1 personne sur 50 à 100 de la population mondiale avec 10 à 30 % de formes familiales. Ce n est donc pas une maladie rare. La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le vitiligo. Elle

Plus en détail

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,

Plus en détail

Mutuelle et Santé HORS SÉRIE. Ensemble contre le mélanome LA REVUE DE LA MTRL. Le mélanome en question

Mutuelle et Santé HORS SÉRIE. Ensemble contre le mélanome LA REVUE DE LA MTRL. Le mélanome en question Mutuelle et Santé HORS SÉRIE Ensemble contre le mélanome LA REVUE DE LA MTRL Le mélanome en question Epidémiologie et facteurs de risques du mélanome Mélanome : prévention et dépistage Lésions mélanocytaires

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail

IPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente

IPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente IPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente M o d e d ' e m p l o i La dernière version de cette brochure est disponible sur notre site www.ophethom.com dans l espace professionnel Traduction

Plus en détail

F.Benabadji Alger 22.11.13

F.Benabadji Alger 22.11.13 F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes

Plus en détail

Les carcinomes cutanés, basocellulaires et épidermoïdes,

Les carcinomes cutanés, basocellulaires et épidermoïdes, Mesure 17 DÉPISTAGE Détection précoce des cancers de la peau C O L L E C T I O N Fiches repère ÉTAT DES CONNAISSANCES EN DATE DU 07 NOVEMBRE 2011 Les carcinomes cutanés, basocellulaires et épidermoïdes,

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Tumeurs cutanées bénignes

Tumeurs cutanées bénignes Chapitre 13: Tumeurs cutanées bénignes page: 368 Tumeurs cutanées bénignes Tumeurs épidermiques page: 369 13.1 Tumeurs épidermiques Verrucosités; Kératoses Verrues séborrhéiques (kératoses séborrhéiques)

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux.

Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux. 01/ 2014 Sandoz Pharmaceuticals SA Suurstoffi 14 Case postale 6343 Rotkreuz Tél. 0800 858 885 Fax 0800 858 888 www.generiques.ch Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux. Architecture du cheveu 4

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

Laser CO2 fractionné. Dr Jean De Wan - Chirurgie et médecine esthétique. www.drjeandewan.be 1

Laser CO2 fractionné. Dr Jean De Wan - Chirurgie et médecine esthétique. www.drjeandewan.be 1 Laser CO2 fractionné Les lasers à dioxyde de carbone (CO2) sont des appareils à gaz, émis en infrarouge, ayant pour principe de détruire les lésions dermatologiques. Les lasers CO2 sont ulisés depuis plus

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

la peau et la dermatologie

la peau et la dermatologie Pour tout savoir sur la peau et la dermatologie Guy Leriche, Président Christian Germain, Directeur général édito BIEN PROTÉGER SA PEAU! Directement touchée par toutes les agressions extérieures, la peau

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome

Plus en détail

La plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation

La plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation La plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation Découvrez la plate-forme Xlase Plus La technologie laser est aujourd hui de plus en plus utilisée dans les traitements

Plus en détail

LES POILS ET LES CHEVEUX SONT-ILS PAREILS?

LES POILS ET LES CHEVEUX SONT-ILS PAREILS? ACTIVITÉ 3 LES POILS ET LES CHEVEUX SONT-ILS PAREILS? OBJECTIFS DE CONTENU ET D EXPÉRIMENTATION Cette activité permet aux élèves d explorer les différents aspects des poils et des cheveux. ASSUREZ-VOUS

Plus en détail

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large

Plus en détail

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un

Plus en détail

Dégénérescence maculaire liée à l âge

Dégénérescence maculaire liée à l âge Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et

Plus en détail

Module transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires

Module transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires Enseignement National Classant Module transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires Psoriasis J.-J. GUILHOU (Montpellier), L. DUBERTRET (Paris, St Louis), B. CRICKX (Paris, Bichat),

Plus en détail

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent

Plus en détail

Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis

Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis! " Ce produit pédagogique numérisé est la propriété exclusive de l'uvt. Il est strictement

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

Qu est-ce que le mélanome?

Qu est-ce que le mélanome? Cancer de la peau - mélanome Qu est-ce que le mélanome? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique

Plus en détail

LES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE

LES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE LES ONYCHOPATHIES Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE Ä Examen clinique des ongles : DIAGNOSTIC POSITIF Ä analyse par le dermatologue des lésions élémentaires unguéales ; Ä iconographie

Plus en détail

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein? Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.

Plus en détail

MIEUX PRÉVENIR ET DÉTECTER TÔT LES CANCERS DE LA PEAU

MIEUX PRÉVENIR ET DÉTECTER TÔT LES CANCERS DE LA PEAU Mercredi 23 mai 2012 Sommaire FICHE 1 - CANCERS DE LA PEAU : UNE INCIDENCE EN FORTE AUGMENTATION... 2 LES DIFFÉRENTS TYPES DE CANCERS DE LA PEAU... 2 DONNÉES ÉPIDÉMIOLOGIQUES... 3 FICHE 2 - LES FACTEURS

Plus en détail

Mon RECHERCHE EN DERMATOLOGIE

Mon RECHERCHE EN DERMATOLOGIE s i s a i r o s P Mon t e n r a c ivi de su RECHERCHE EN DERMATOLOGIE "Le psoriasis est une maladie chronique de la peau. Pour une prise en charge optimale, cette pathologie nécessite des consultations

Plus en détail

Les eczémas: l approche au cabinet

Les eczémas: l approche au cabinet Les eczémas: l approche au cabinet Dr H. Brandstätter Dr J. Sommer-Bülher Prof. V. Piguet Plan Comment analyser une lésion? Différentes formes d eczémas Traitement Quand référer chez le dermatologue? 1

Plus en détail

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant

Plus en détail

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : DERMATOLOGIE ET VENEROLOGIE ADC - Acte de chirurgie BAFA005 1 (I, O) BAFA006 1 0 Exérèse non transfixiante de lésions multiples

Plus en détail

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL

Plus en détail

Épilation LASER en Médecine et Chirurgie

Épilation LASER en Médecine et Chirurgie Épilation LASER en Médecine et Chirurgie INTRODUCTION Les poils non désirés représentent un problème esthétique qui incommode et libère une certaine gêne pour qui en est pourvu. Une forme d'élimination

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

La maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée

La maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

Comprendre. son Psoriasis du Cuir Chevelu

Comprendre. son Psoriasis du Cuir Chevelu Comprendre son Psoriasis du Cuir Chevelu Vous avez un psoriasis du cuir chevelu ou une personne de votre entourage en est atteinte. Cette brochure vous est destinée. Grâce aux informations transmises,

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

des banques pour la recherche

des banques pour la recherche ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Possible contrôle de la pigmentation cutanée chez l Homme par des loci non homologues des loci de coloration classiques des Mammifères

Possible contrôle de la pigmentation cutanée chez l Homme par des loci non homologues des loci de coloration classiques des Mammifères Possible contrôle de la pigmentation cutanée chez l Homme par des loci non homologues des loci de coloration classiques des Mammifères J.P. CÉSARINI, Isabelle GUÉDON To cite this version: J.P. CÉSARINI,

Plus en détail

ALOPÉCIE ET MÉSOTHÉRAPIE EN 2012. Dr Bernadette Pasquini

ALOPÉCIE ET MÉSOTHÉRAPIE EN 2012. Dr Bernadette Pasquini ALOPÉCIE ET MÉSOTHÉRAPIE EN 2012 Dr Bernadette Pasquini ALOPÉCIE Alopécie - diminution de la densité des cheveux ou des poils, - diffuse ou localisée, - aiguë ou chronique. Effluvium (anagène, télogène,

Plus en détail

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

Épilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire. Nom du client : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail :

Épilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire. Nom du client : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail : Épilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire Nom du client : Date : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail : Femme Homme Référé par : Date de naissance : Régions

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

«Lumière sur les pigments»

«Lumière sur les pigments» «Lumière sur les pigments» Pourquoi les feuilles des plantes sont-elles vertes en été et rouges en automne? Comment un caméléon fait-il pour changer de couleur? Que voit un daltonien? Pourquoi les cheveux

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Nos mondes imaginaires. mes caractéristiques physiques

Nos mondes imaginaires. mes caractéristiques physiques Nos mondes imaginaires Mon personnage : mes caractéristiques physiques Objectifs : Tu vas apprendre à parler des caractéristiques physiques pour décrire le physique de ton personnage du monde imaginaire

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail