Revue de projet au 11 décembre Téléthrombolyse

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Revue de projet au 11 décembre 2013. Téléthrombolyse"

Transcription

1 Revue de projet au 11 décembre 2013 Téléthrombolyse

2 Rappel du mandat initial Proposer un programme de télé thrombolyse qui respecte les principes directeurs et les objectifs définis du continuum de services AVC, ainsi que l organisation des soins et services attendus dans la phase hyper aiguë du continuum AVC-AIT. Proposer des indicateurs afin d appliquer et de développer des normes de qualité au niveau des services de télé thrombolyse dispensés (évaluation de la performance du système) et l impact sur la population desservie (clinical outcomes) par le programme. Proposer un modèle de gouvernance intégré qui soutient une approche collaborative interrégionale et assure que les objectifs ciblés sont atteints. Identifier les requis pour opérationnaliser un programme télé thrombolyse, notamment les besoins technologiques (PACS et audio visioconférence) en fonction des services cliniques offerts, des ressources humaines, des besoins en formation incluant la réorganisation du travail que ce programme implique (travailler autrement), des ressources financières, des ententes et protocoles interrégionaux (inter établissement). Proposer une phase test dans un ou deux milieux avant de retenir le programme de façon définitive. Proposer un projet d implantation en identifiant les objectifs ciblés et les incontournables. Rappel de l objectif Garantir l accès à une expertise spécialisée en AVC à distance pour le soutien à l administration de la thrombolyse pour les centres primaires et secondaires désignés ne disposant pas des ressources spécialisées et ne permettant pas de transfert approprié et dans les temps requis. Rappel des trois mesures stratégiques 1. la mise en place de protocoles cliniques normalisés sur la base d une hiérarchisation de services clarifiant les responsabilités et les séquences d intervention; 2. la mise en place d un système de garde entre neurologues pratiquant la thrombolyse; 3. la mise en réseau des ressources médicales (télémédecine) permettant une collaboration à distance et une utilisation optimale des compétences de ces collaborateurs médicaux. L organisation du projet Deux manuels d organisation de projet auront été produits et approuvés par le comité de travail : Un manuel d organisation de projet pour les livrables du projet de téléthrombolyse Un manuel d organisation de projet pour les livrables associés au projet de démonstration. Le projet se déroule sur le territoire de RUIS Laval permettant d obtenir le plus rapidement possible (4 à 6 mois) les volumes attendus, soit : 200 patients victimes d un AVC ischémique 50 activités de consultation neurologique 15 sessions de téléthrombolyse. Les sept régions du RUIS Laval (incluant une partie de la région 10) contribueront au projet, de même que 19 établissements provenant de ces sept régions. Le caractère autonome de la région de Chaudière-Appalaches nous permettra de mettre en place des critères qui font qu une région peut se qualifier d autonome pour la thrombolyse. D autres régions du Québec souhaitent cette autonomie et nous croyons qu elle doit faire l objet de certains critères garantissant la qualité et la prise en compte des meilleures pratiques cliniques. Les critères seront développés avec les chargés de projet locaux des centres participants ainsi qu avec les représentants des neurologues de la région de Chaudière-Appalaches sous la co-animation du chargé de projet régional et de la chargée de projet de démonstration du RUIS Laval. 2

3 Programmation clinique Les livrables de l ensemble du volet clinique auront été amorcés par une petite équipe dédiée composée de deux personnes (Laurence Rivet et Dr Carl Taillon), puis poursuivi par une infirmière (Catherine Balg) et un neurologue (Dr Steve Verreault) de l équipe de neurologie du CHU de Québec. Le flux de travail Le flux de travail pour la prise en charge de l AVC en phase hyper aigüe en mode téléthrombolyse a été réalisé à partir d un modèle de l équipe de McGill. Il a été transmis à tous les chargés de projets locaux sous deux formats : sous la forme d un schéma de processus et sous la forme d un tableau de cheminement. Chaque centre participant doit l adapter à sa situation locale en prenant garde de respecter la séquence des différentes actions. Affichette sur le flux de travail Ce flux de travail a fait l objet d une affichette le résumant et rappelant ces principales séquences. Il a aussi servi à la base de la scénarisation de la vidéo de simulation. Vidéo de simulation Une vidéo de simulation a été tournée en soutien aux exercices de simulation. Cette vidéo est disponible sur le site WEB du Centre de services et de coordination en télésanté du CHU de Québec. Les protocoles et outils cliniques Le protocole de thrombolyse a été rédigé, à partir des protocoles provenant des quatre CHU, comme un document de référence pour toute l activité partant de l arrivée du patient à l urgence jusqu aux activités de post-thrombolyse. Il contient, à la fois, des éléments de protocoles cliniques, des aide-mémoire et des formulaires de saisie. Un document complémentaire pour le suivi infirmier a aussi été produit. Un sommaire des recommandations pour la prise en charge médicale de l AVC a été produit dans le cadre de la prévention secondaire et des complications dont L appropriation du flux de travail et son adaptation par chacun des centres est d une grande importance. L adaptation du flux de travail demande beaucoup de travaux d appropriation de la part des équipes multidisciplinaires. Cela apporte des changements dans les pratiques et les processus de travail internes. Cela entre dans la communication des éléments du protocole. L objectif de produire une telle affichette était d avoir un moyen de rappel simple des séquences et délais pouvant être disponible un peu partout. La vidéo de simulation fait partie des outils de formation continue rendus disponibles. Elle a été tournée dans un souci d être utilisée dans toutes les régions du Québec. Le CHU de Québec a assumé la totalité des coûts de production de la vidéo. L adoption des protocoles cliniques est un prérequis à l intégration d un centre au projet de démonstration. Sur la base des commentaires reçus à ce jour et de son expérimentation, ce protocole devra faire l objet d une seconde version, en cours de projet de démonstration. Il devra être revu à l intérieur des paramètres suggérés de gouvernance provinciale. Un avis complémentaire relativement aux plaquettes sanguines a dû être également produit. Ce document peut servir autant pour le suivi infirmier post thrombolyse. Ce troisième élément complète les informations cliniques auxquelles s ajouteront les éléments d information collectés lors des sessions de La normalisation de ce protocole demeure nécessaire en tant que standard de pratique. Au-delà d une adaptation de forme, il faudra prendre les moyens pour s assurer du respect de la normalisation des éléments de contenu. 3

4 Livrables et état d avancement Commentaires des chargés de projet du RUIS Laval Risques ou points en suspens entre autres, pour répondre aux questions relatives aux actions à entreprendre dans le cas d une personne exclue de la thrombolyse. téléformation ainsi que les grandes observations provenant des visites des centres participants. Ces documents nous ont conduit à la livraison de deux autres documents de soutien soient un dépliant permettant d informer le patient et un document de sensibilisation auprès de la population. Un standard relatif à l examen de tomodensitométrie a aussi été produit Tous ces documents ont été transmis aux chargés de projet locaux, puis déposés sur le site WEB du Centre de services et de coordination en télésanté du CHU de Québec. L offre de services des neurologues de garde L offre de services des neurologues de garde a été remise aux chargés de projet locaux dès le mois de juin dernier. Cette offre est aussi intégrée dans l entente de collaboration. Les indicateurs pour le monitorage clinique Dix indicateurs ont été identifiés pour le monitorage quantitatif. Les données seront recueillies par le chargé de projet local dès qu un patient victime d un AVC ischémique se présentera à l urgence de son centre. Une grille de collecte de données a été transmise aux chargés de projet locaux. Deux autres volets qui concernent davantage le projet de démonstration seront mis à l évaluation soit le fonctionnement d un garde suprarégionale 24/7 et le fonctionnement de la télésanté incluant le volet d accès aux PACS et la garde technologique 24/7. Ces deux derniers volets seront mis à l évaluation via des entrevues téléphoniques trimestrielles à partir de questions ciblées. Une stratégie d accompagnement et de monitorage Un document portant sur la stratégie d accompagnement et de monitorage a été diffusé aux chargés de projet locaux. Ce document présente les activités de prédéploiement (cliniques et technologiques), la visite de prédémarrage et les Ces deux documents ont été conçus pour une utilisation dans l ensemble des régions du Québec. Le document de sensibilisation auprès de la population est déjà utilisé et certains centres travaillent à un plan de communication Ce standard est important et peut remettre en question des habitudes locales. Il s agissait de constituer une bibliothèque de documents virtuellement disponible en tant que documents de référence. Au fur et à mesure du projet de démonstration, l offre de services pourrait évoluer, dépendamment, entre autres, des besoins d accompagnement pour les activités post thrombolyse. Nous avons tenu à garder un nombre restreint d indicateurs afin d assurer la continuité de la collecte de données. Alors que souvent les chercheurs apprécieraient davantage d indicateurs, le réseau peine à répondre à l ensemble des demandes d information. Un tel document est d une grande utilité pour organiser l ensemble du déploiement. Un tel document sera requis pour tout déploiement dans les autres RUIS. Il devient une police d assurance dans l accompagnement et la gestion du changement. Dans l optique où la négociation du tarif de garde ne se règlerait pas, il deviendrait difficile d amorcer le monitorage du projet. Cependant, nous pourrions nous entendre avec les centres participants afin d obtenir des informations sur les indicateurs qui n ont rien à voir avec le contexte de télésanté afin de suivre l application des bonnes pratiques relatives à l observation des délais. 4

5 contenus de l exercice de simulation, le rythme de déploiement, les activités d accompagnement des centres participants par le biais des mécanismes d accompagnement et de l exercice de rôles et de responsabilités entre les chargés de projets locaux, régionaux et du RUIS Laval, puis de la conseillère en soins spécialisés en neuroscience et du neurologue expert. Il présente les indicateurs et le processus de monitorage du projet de démonstration, incluant les spécificités pour la région de Chaudière-Appalaches, et le processus d amélioration continue La préparation clinique des centres participants La participation à la téléformation L activité de téléformation est une invitation lancée aux équipes cliniques des centres participants à se joindre à un échange cliniques avec le neurologue du centre tertiaire, responsable du programme AVC et une infirmière spécialisée dans le domaine. La visite du centre Il appartient au chargé de projet régional de planifier la visite d un centre participant. Un document présentant les objectifs et le déroulement de la visite est transmis préalablement à chacun des centres. La visite d un centre participant, d une durée d environ 3 heures, se réalise selon les étapes suivantes : présentation des objectifs de la visite, présentation de l état d avancement de la préparation du centre, visite des lieux, exercice de simulation, élaboration d un rapport préliminaire, présentation et discussions, diffusion éventuelle d un rapport final. Les visiteurs disposent d une fiche d observation. La chargée de projet régional assure le suivi de la mise en application des recommandations. La téléformation est le premier facteur déterminant pour réussir le projet. La disponibilité des experts médicaux et infirmiers rassure beaucoup sur la capacité des centres à s engager et fait baisser la tension relativement aux besoins de formation. De ces éléments, sont sorties des informations cliniques partageables entre les centres participants. D ailleurs, ces informations seront rendus disponibles dans une foire aux questions du site WEB du CSCT. La visite du centre est le second facteur déterminant dans la réussite du projet. Des visites dans une approche de partenariat et d amélioration continue plutôt qu une rencontre d expert; une occasion de bâtir le réseau de collaboration; une occasion de reconnaissance des forces et de la capacité d amélioration de chacun des centres; une véritable rencontre de soutien et d accompagnement. Chacune des visites s amorce avec un préjugé favorable dans la capacité de l équipe clinique de réussir. Déjà des recommandations qui concernent tout le monde émanent de ces visites : o Formalisation de la trajectoire interne o Formation à l ensemble du personnel de l urgence o Acquisition d une civière avec balance intégrée o La couverture 24/7 des services d imagerie et des laboratoires via un rappel au travail du technologue de garde dès la préalerte d un cas d AVC. Seuls Sept-Iles et La Malbaie n auront pas reçu de visite avant les fêtes Elles sont prévues pour février 2014 dans l optique où le projet est amorcé. 5

6 L exercice de simulation L exercice de simulation devient déterminant pour L exercice de simulation fait partie intégrante de la visite d un centre. Cela permet au personnel clinique du centre d effectuer l exercice en présence de l infirmière spécialisée du centre tertiaire et de mettre à l essai les outils technologiques. L exercice profite aussi au neurologue qui teste de son côté ses outils et son environnement technologique, de même que ses habiletés à agir dans un contexte de télésanté. Chaque centre dispose d un scénario rendre compte de certains détails qui peuvent devenir important dans l organisation des lieux et du travail. Il est essentiel pour déterminer l état de préparation des équipes cliniques. Les centres doivent, dès lors, prévoir la répétition de ces exercices de simulation dans un contexte où d une part, l ensemble du personnel doit y participer et d autre part, la thrombolyse demeure un acte médical qui ne se pratique pas quotidiennement. de simulation qui est sensiblement le même que celui utilisé pour la réalisation de la vidéo de simulation. Volet technologique Les travaux du volet technologique auront été soutenus, au départ, par les représentants en télésanté des quatre RUIS, puis, pour la suite des livraisons dans le cadre du projet de démonstration, par la direction des technologies de l information du CHU de Québec. Les choix technologiques ont fait l objet de travaux de la part des équipes télésanté des quatre RUIS, permettant, par la suite au CHU de Québec de faire les choix appropriés pour le projet de démonstration sur le territoire du RUIS Laval. L équipe de télésanté du CHU McGill a mené des travaux sur la solution mobile de télésanté avec la collaboration de l équipe de télésanté du CHU de Sherbrooke. Tout le volet de la garde technologique 24/7 a, aussi, fait l objet de discussions entre les équipes de télésanté des quatre RUIS. L accès aux images de tomodensitométrie Parmi cinq scénarios, l équipe de télésanté du CHU de Québec a retenu le mode de décloisonnement des PACS locaux étant donné qu il est, pour le moment, le seul répondant aux exigences de chronodépendance. Le décloisonnement des PACS, leur paramétrisation Les décloisonnements demandent une excellente collaboration des administrateurs locaux. Dans tout le travail, celui de la paramétrisation permettant de normaliser l environnement est essentiel. Un médecin spécialiste intéressé par les nouvelles technologies a produit une documentation de normalisation. L octroi des mots de passe Un processus simple de gestion des mots de passe (SSO) a été mis en place pour simplifier la tâche des neurologues Tout le volet de PACS rencontre toujours un enjeu de coordination surtout en l absence complète de gouvernance pour la dynamique PACS. Il aurait été préférable de mettre les administrateurs PACS locaux dans le coup bien avant afin qu ils comprennent bien le but du projet. Il faut reconnaitre qu à ce jour peu de projets exigeaient un accès externe immédiat aux images PACS. Dans un contexte d urgence, on ne peut se satisfaire d une solution qui exige plusieurs mots de passe qui les uns après les autres doivent en plus se renouveler au trois mois. De plus, dans un contexte de décloisonnement de plusieurs PACS, il faut trouver un moyen simple d identification des mots de passe. Le repérage rapide de la bonne icône pour avoir accès Il est certain que la solution de décloisonnement ne pourrait être utilisée à grande échelle dans le cadre d un déploiement provincial. 6

7 au bon PACS (bureau de travail virtuel du neurologue) nécessite une identification simple du centre primaire ou secondaire. La télésanté Une décision était à prendre relativement à l acquisition des équipements, pour les équipements mobiles à déployer dans les salles d urgence et les ordinateurs portable qui se retrouveraient dans les valises de garde. L équipement mobile retenu est le «Cisco Telepresence VX Clinical (SX20). Un ordinateur fixe a été acquis pour le centre tertiaire de même que deux portables et leurs valises pour les neurologues de garde. Une discussion a eu lieu avec les neurologues concernant l option d intégrer la lecture des PACS à la télésanté. Elle a été rejetée, les neurologues souhaitant garder le plein contrôle de la lecture des images. Les neurologues ont souhaité aussi garder le contrôle des caméras des équipements mobiles. L ensemble des équipements sont réunis virtuellement sur une plateforme JABBER. La gestion des accès est assumée par un environnement CITRIX. Les travaux d immobilisation préalables L équipe de télésanté du RUIS Laval a fourni aux centres participants une documentation leur permettant de réaliser les travaux d immobilisation nécessaires à l installation des équipements de télésanté dans leur salle d urgence. Une gouvernance PACS sera nécessaire pour assurer le bon fonctionnement des accès en continu. La réflexion doit se poursuivre sur l environnement des PACS afin d en améliorer l architecture puis l accès. La solution télésanté a été choisie en tenant compte de l absence d une solution provinciale. Les neurologues ayant participé aux exercices de simulation sont très satisfait des livraisons technologiques dans le dossier de la télésanté. Étant donné qu il n est pas naturel de travailler en mode télésanté, nous produirons quelques conseils aux neurologues pour améliorer leur performance et tirer profit au maximum de cette technologie. Les établissements ont pris au sérieux ces travaux, rendant plus facile le travail d installation par la suite. Il faut toutefois reconnaître que le lieu exigu de certaines L absence d une gouvernance PACS ne facilite pas le travail. Il n y a alors rien d acquis dans l accès continu aux images du PACS, surtout lors de changements de version ou d interventions de la part du fournisseur PACS. La surveillance du fonctionnement des PACS requiert une vigilance de tous les instants. Il existe toujours un risque que le MSSS impose une solution qui ne répondra pas aux exigences d une activité d urgence non planifiée et chronodépendante. 7

8 L installation des appareils mobiles de télésanté et la formation aux utilisateurs salles d urgence oblige le remisage des équipements mobiles après chacune des séances. Pour faciliter le travail, l équipe du CHU de Québec a diffusé une procédure simple pour l installation et l utilisation du chariot. Cette procédure est d ailleurs attachée à l appareil. La normalisation des chariots est importante pour faciliter la mise en place du soutien technologique de façon centralisée. La préparation de la valise de garde Dans la préparation de la valise de garde, des consignes de gestion de l internet à la maison ont été données aux neurologues pour s assurer de libérer la bande passante. Malgré les avertissements, il y a toujours un risque qu un neurologue de garde tente d utiliser son ordinateur personnel. Organisation du projet de démonstration La stratégie d accompagnement et de monitorage donne beaucoup d indications relativement à l organisation du projet de démonstration dont la désignation de chargés de projet régionaux et locaux ainsi que l identification d un médecin champion. Des moyens de communication tels l organisation de conférences téléphoniques mensuelles suivies de la diffusion de bulletins d information à tous les chargés de projets ont été mis en place. Mais cela ne remplace pas la qualité des rapports entre le chargé de projet RUIS et les chargés de projets régionaux, puis entre ces derniers et les chargés de projet locaux. Organisation de la garde suprarégionale Un modèle d organisation de la garde suprarégionale a été proposé dans le cadre d une proposition d entente sur la garde. Ce modèle aura été discuté entre des neurologues représentant la presque totalité des régions, sans toutefois déboucher sur une conclusion. Le projet de démonstration devenait alors l occasion de mettre à l essai un modèle d organisation de la garde, malgré que dans le cadre du projet de démonstration, cette garde soit assumée par une équipe de neurologue provenant du centre tertiaire. La formation des neurologues Des neurologues ont demandé d utiliser leur ordinateur personnel. Nous avons refusé pour des raisons de sécurité et de soutien. Volet organisationnel La réussite du projet tient en bonne partie à l organisation de sa gouvernance. Le respect de la responsabilité des agences dans l organisation des services médicaux et les relations établis avec le Centre de services et de coordination en télésanté dans le respect de cette responsabilité sont des éléments contributifs à la réalisation du projet. Il s agit avant tout de projets régionaux constitués de projets locaux. Le RUIS exerce alors sa fonction de coordination. Toutes les communications du projet doivent respecter cette gouvernance. Beaucoup de discussions seront nécessaires entre les neurologues de la province pour organiser et systématiser une garde suprarégional dans un contexte multi RUIS. 8

9 Dès que les négociations du tarif de garde seront conclues, la formation des neurologues sera organisée tant sur les volets clinique que technologique. Les exercices de simulation ont confirmé l importance de la formation des neurologues alors que le contexte de négo aura eu pour effet de mettre de côté cette activité essentielle en appui aux exercices de simulation. Octroi des privilèges de pratique Bien que le projet dans sa forme ne l exige pas, l objectif d accorder des privilèges de pratique est pour assurer au neurologue un accès sans reproche aux données cliniques du patient. Un processus d octroi de privilèges temporaires précèdera l octroi de privilèges permanent qui requiert plus d informations préalables. Ententes de collaboration Un projet d entente de collaboration intégrant les aspects des activités de télésanté a été rédigé et a fait l objet de vérifications juridiques. Un projet d entente de collaboration a, aussi, été présenté aux neurologues de garde. Le tarif de garde suprarégional Un tarif de garde suprarégional est actuellement en négociation avec la FMSQ. Cette négociation créée des enjeux importants entre la FMSQ et l Association des neurologues, entre autres, sur la comparaison du tarif de garde suprarégional avec d autres tarifs et ses impacts sur la tarification de la thrombolyse dans un contexte où plus d un professionnel médical participent à l acte de thrombolyse. Modèle de gouvernance Un modèle de gouvernance a été rédigé permettant d établir les rôles et responsabilités du MSSS, des agences et des établissements participants. Ce modèle présente aussi les ententes requises ainsi que les processus de mise à jour, de vigie et de formation continue tant pour le volet clinique que technologique. Il présente, enfin, les indicateurs, le processus de reddition de compte et les processus de gestion courante. L autorisation de démarrage et le suivi du projet de démonstration La signature du protocole de collaboration Il faut le rappeler, la signature du protocole de collaboration A ce jour, l entente a été signée par 17 des 19 établissements. Il aurait été préférable que la négociation du tarif de garde s amorce plus tôt étant donné qu elle ouvrait la porte à de nouveaux paradigmes. Aussi, il aurait probablement été préférable que le MSSS (clinique) présente, dès le départ, le projet à la FMSQ et l ANQ. Prochaine rencontre MSSS-FMSQ : 19 décembre 2013 Il y aurait peut-être lieu d améliorer le modèle de gouvernance en insistant davantage sur les aspects de la gouvernance opérationnelle entre les porteurs AVC des centres tertiaires, secondaires et primaires. Nous apporterons un changement au processus de démarrage. C est la chargée du projet de démonstration L absence d un tarif de garde négocié remet en question : Le principe de garde La téléthrombolyse La gouvernance de l ensemble du projet Son monitorage Le modèle de gouvernance a été élaboré pour un contexte régulier de téléthrombolyse. Sans la collaboration des neurologues de garde, ce modèle de gouvernance ne peut être mis en application. 9

10 est un prérequis à l autorisation de démarrage. Ce protocole présente, à l article 14, le processus d autorisation de démarrage. qui donnera les autorisations finales. La réponse aux recommandations contenues dans les rapports de visite Chacun des rapports de visite comporte des recommandations d amélioration. Le chargé de projet régional doit assurer un suivi d application des recommandations contenues au rapport qui deviennent une condition d autorisation de démarrage. Le suivi du projet Le monitorage des indicateurs Mis à jour par Annick Bouchard et Robert Garon, Les recommandations contenues dans l annexe 1 du rapport de visite ne constituent pas des exigences à l autorisation de démarrage. 10

Catalogue d offre de services de télésanté

Catalogue d offre de services de télésanté Catalogue d offre de services de télésanté Document révisé 2014 12 08 Ce document est basé sur le gabarit ITIL utilisé dans la région 05 - Estrie. Table des matières DEFINITIONS... III GLOSSAIRE ET ACRONYMES...

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES RELATIVES AUX ACTIVITÉS DE TÉLÉSANTÉ RUIS UL

LIGNES DIRECTRICES RELATIVES AUX ACTIVITÉS DE TÉLÉSANTÉ RUIS UL LIGNES DIRECTRICES RELATIVES AUX ACTIVITÉS DE TÉLÉSANTÉ RUIS UL Août 2013 VERSION - 3.1 Ce document a été révisé par les coordonnateurs cliniques en télésanté des centres références du RUIS UL suivant

Plus en détail

Ministère de la Santé et des Services sociaux

Ministère de la Santé et des Services sociaux Ministère de la Santé et des Services sociaux Projet de loi modifiant l organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l abolition des agences régionales Contexte

Plus en détail

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...

Plus en détail

Politique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants :

Politique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants : POLITIQUE TITRE : NUMÉRO : AD 001-001 REMPLACE DOCUMENT(S) SUIVANT(S), S IL Y A LIEU : Politique de déplacement des bénéficiaires PERSONNEL VISÉ : gestionnaires personnel de soutien soins aux patients

Plus en détail

Comparaison des différentes versions des cadres du PAAS ACTION

Comparaison des différentes versions des cadres du PAAS ACTION Comparaison des différentes versions des cadres du PAAS ACTION Au cours de l année 2014-2015, Emploi Québec a modifié deux fois le chapitre du Programme d aide et d accompagnement social (PAAS) ACTION

Plus en détail

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non

Plus en détail

PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation

PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation

Plus en détail

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes. Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services

Plus en détail

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique + La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #

Plus en détail

PROJET DE LOI 10 : LES IMPACTS POSSIBLES SUR VOTRE SITUATION PROFESSIONNELLE

PROJET DE LOI 10 : LES IMPACTS POSSIBLES SUR VOTRE SITUATION PROFESSIONNELLE PROJET DE LOI 10 : LES IMPACTS POSSIBLES SUR VOTRE SITUATION PROFESSIONNELLE Service des ressources humaines et affaires juridiques 20 octobre 2014 TABLE DES MATIÈRES Contenu Introduction 1 Les dispositions

Plus en détail

DEC-BAC Dossier sur les nouveaux modèles de formation développés au Collège Édouard-Montpetit en collaboration avec ses partenaires universitaires

DEC-BAC Dossier sur les nouveaux modèles de formation développés au Collège Édouard-Montpetit en collaboration avec ses partenaires universitaires DEC-BAC Dossier sur les nouveaux modèles de formation développés au Collège Édouard-Montpetit en collaboration avec ses partenaires universitaires Tél : (450) 679-2631, poste 2415 1 Mise à jour : 2 septembre

Plus en détail

PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Mai 2015

PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Mai 2015 PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Mai 2015 Le présent document a été produit par le ministère de l Économie, de l Innovation et des Exportations Coordination et rédaction Direction

Plus en détail

Politique des stages. Direction des études

Politique des stages. Direction des études Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai

Plus en détail

RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION - AGENCE DU REVENU

RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION - AGENCE DU REVENU RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION - AGENCE DU REVENU Adoptées par le Forum Revenu du 13 juin 2013 25-FARQ-01 Amendées par le Forum Revenu du 16 avril 2014 25-FARQ-03 Amendées par le Forum

Plus en détail

Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25)

Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25) PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25) Loi concernant les unités de négociation dans le secteur des affaires sociales et modifiant la Loi sur le régime de

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE # 64 INTÉGRATION COMPÉTENTE ET SÉCURITAIRE DES NOUVEAUX EMPLOYÉS

FICHE TECHNIQUE # 64 INTÉGRATION COMPÉTENTE ET SÉCURITAIRE DES NOUVEAUX EMPLOYÉS FICHE TECHNIQUE # 64 INTÉGRATION COMPÉTENTE ET SÉCURITAIRE DES NOUVEAUX EMPLOYÉS Chez les jeunes de 15 à 24 ans, 54 % des accidents du travail surviennent dans les six premiers mois de l emploi. Pour tous

Plus en détail

Non-Operational Reporting and Analytics (NORA) Mettre à profit l information potentielle aux centres de santé communautaire

Non-Operational Reporting and Analytics (NORA) Mettre à profit l information potentielle aux centres de santé communautaire Non-Operational Reporting and Analytics (NORA) Mettre à profit l information potentielle aux centres de santé communautaire Association des centres de santé de l Ontario Bureau de la direction des projets

Plus en détail

PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Janvier 2015

PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Janvier 2015 PASSEPORT Guide de présentation des demandes Janvier 2015 Le présent document a été produit par le ministère de l Économie, de l Innovation et des Exportations Coordination et rédaction Direction du soutien

Plus en détail

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3

Plus en détail

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur

Plus en détail

Vérification des procédures en fin d exercice

Vérification des procédures en fin d exercice Vérification des procédures en fin d exercice DIVERSIFICATION DE L ÉCONOMIE DE L OUEST CANADA Direction générale de la vérification et de l évaluation Décembre 2011 Table des matières 1.0 Résumé 1 2.0

Plus en détail

Plan de la présentation

Plan de la présentation Évaluation de la Grille d identification des risques psychosociaux en entreprise : l importance des déterminants individuels et organisationnelles. Michel Vézina Carole Chénard JASP 27 novembre 2013 Plan

Plus en détail

RÈGLEMENT NUMÉRO 10 SUR LES CONDITIONS D ADMISSION AUX PROGRAMMES ET D INSCRIPTION AUX COURS

RÈGLEMENT NUMÉRO 10 SUR LES CONDITIONS D ADMISSION AUX PROGRAMMES ET D INSCRIPTION AUX COURS RÈGLEMENT NUMÉRO 10 SUR LES CONDITIONS D ADMISSION AUX PROGRAMMES ET D INSCRIPTION AUX COURS Adopté par le conseil d'administration lors de sa 224 e assemblée, le 11 décembre 2001 (résolution n o 1857)

Plus en détail

POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES

POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES Groupe Affaires corporatives et secrétariat général 19 avril 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. CADRE GÉNÉRAL...3 1.1 Politique NOTRE RÔLE SOCIAL...3 1.2 Imputabilité...3

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

GUIDE POUR UNE DEMANDE D OCTROIS PAR UN ORGANISME, UNE ÉCOLE, UN SERVICE DE GARDE 2015-2016. 1 er SEPTEMBRE AU 15 OCTOBRE 2015. Fonds en santé sociale

GUIDE POUR UNE DEMANDE D OCTROIS PAR UN ORGANISME, UNE ÉCOLE, UN SERVICE DE GARDE 2015-2016. 1 er SEPTEMBRE AU 15 OCTOBRE 2015. Fonds en santé sociale GUIDE POUR UNE DEMANDE D OCTROIS PAR UN ORGANISME, UNE ÉCOLE, UN SERVICE DE GARDE 2015-2016 Fonds en santé sociale Fonds Marie-Soleil Tougas Fonds Josée Lavigueur 1 er SEPTEMBRE AU 15 OCTOBRE 2015 https://octrois.operationenfantsoleil.ca

Plus en détail

Chapitre 7 Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting

Chapitre 7 Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting Contenu Contexte................................................................ 101 Examen du contrat........................................................

Plus en détail

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services

Plus en détail

Notre priorité, votre sécurité!

Notre priorité, votre sécurité! Le règlement sur les alarmes-incendies non fondées : un pas de plus vers la sécurité! Présentation de la nouvelle réglementation aux représentants de l Association des propriétaires et administrateurs

Plus en détail

RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS. Faculté des lettres et sciences humaines

RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS. Faculté des lettres et sciences humaines RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS Faculté des lettres et sciences humaines PRÉAMBULE Ce règlement facultaire sur la reconnaissance des acquis s inscrit dans le cadre de la Politique

Plus en détail

Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES

Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES JUIN 2007 Nous tenons à remercier Madame Suzanne Nicolas, consultante en santé primaire et gestion, pour la consultation qu elle a effectué et le rapport

Plus en détail

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 PROJET Encadrement du système de caméras de sécurité et Foire aux questions Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 2 3 Table des matières 1. CADRE JURIDIQUE...4

Plus en détail

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques Plan de cours Techniques de l informatique 420.AC DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques 420-691-MA Stage en entreprise Site du stage en entreprise : http://stages.cmaisonneuve.qc.ca/evaluation/1748/

Plus en détail

Guide du requérant et du mandataire

Guide du requérant et du mandataire Guide du requérant et du mandataire Service en ligne du programme de la taxe sur l essence et de la contribution du Québec volet Reddition de comptes 00- Novembre 0 Direction générale des infrastructures

Plus en détail

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres

Plus en détail

LES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS

LES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS LES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS I - PREAMBULE Jusqu à présent, la majorité des achats d équipements effectués par les services échappaient à la réglementation relative aux marchés

Plus en détail

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

On a souvent entendu que l information c est le pouvoir. En fait, c est le pouvoir d agir.

On a souvent entendu que l information c est le pouvoir. En fait, c est le pouvoir d agir. Le droit d être informé prend sa source dans les droits fondamentaux de la Charte des droits et libertés québécoise. L article 44 confirme que tout Québécois a droit à l information, sous réserve de la

Plus en détail

PROGRAMME DE MENTORAT

PROGRAMME DE MENTORAT CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des

Plus en détail

Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux

Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de et de services sociaux Présenté le 11 novembre 2003 Principe adopté le 10 décembre

Plus en détail

COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines

COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA Vérification de la gestion des ressources humaines 13 mai 2010 Préparée par le Centre de gestion publique Inc. TABLE DES MATIÈRES 1.0 Sommaire...

Plus en détail

GUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE

GUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE GUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE FRVI Mars 2009 Guide sur les indicateurs de performance dans les unités de vérification interne 2 Table des matières Introduction..04

Plus en détail

3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212)

3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212) 3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212) Le Ministère apporte un soutien financier aux commissions scolaires pour favoriser le développement de l éducation interculturelle.

Plus en détail

I. Les points essentiels abordés en introduction par P. VINARD (IGEN)

I. Les points essentiels abordés en introduction par P. VINARD (IGEN) Compte-rendu du Séminaire sur la mise en oeuvre du BTS Technico-commercial - le 14 mars 2012 à Paris - Programme : 9 heures : accueil 9 h 30 : présentation de la journée par Pierre VINARD, IGEN Economie

Plus en détail

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un

Plus en détail

Présentation à l Autorité des marchés financiers. Offre d assurance par Internet au Québec

Présentation à l Autorité des marchés financiers. Offre d assurance par Internet au Québec Présentation à l Autorité des marchés financiers Offre d assurance par Internet au Québec Par l Association canadienne des institutions financières en assurance Mai 2012 Au sujet de l ACIFA L ACIFA a été

Plus en détail

DES ACQUIS ET DES COMPÉTENCES

DES ACQUIS ET DES COMPÉTENCES (PROGRAMME EN ATTENTE) AEC en ASSURANCE DE DOMMAGES DÉMARCHE DE RECONNAISSANCE DES ACQUIS ET DES COMPÉTENCES Service de la reconnaissance des acquis et des compétences de Lanaudière T 1 888 758-3654 -

Plus en détail

Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus

Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus Mise à jour : avril, 2015 Version 1.0 HISTORIQUE DES RÉVISIONS Le présent document sera régulièrement révisé dans le cadre des activités d amélioration

Plus en détail

Technologie 9 e année (ébauche)

Technologie 9 e année (ébauche) Conseil scolaire acadien provincial École secondaire du Sommet Élaboré par M. J. Saldaña T., BPhB, BEd, MSc Année scolaire 2014 2015 Technologie 9 e année (ébauche) DESCRIPTION DU COURS Pour réussir dans

Plus en détail

PLAN D INTÉGRATION COLLABORATIF DU RÔLE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS PRATICIENS AU CANADA 2011-2015

PLAN D INTÉGRATION COLLABORATIF DU RÔLE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS PRATICIENS AU CANADA 2011-2015 PLAN D INTÉGRATION COLLABORATIF DU RÔLE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS PRATICIENS AU CANADA 2011-2015 Novembre 2011 . Pour faciliter la lecture, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent

Plus en détail

PRÉSENCES : Marcellin Hudon, Jocelyne Rouleau et François Vermette,

PRÉSENCES : Marcellin Hudon, Jocelyne Rouleau et François Vermette, RÉUNION DU COMITÉ EXÉCUTIF JEUDI LE 29 JANVIER 2009 TENUE DANS LES LOCAUX DU RQOH (533, RUE ONTARIO EST, BUREAU 202 À MONTRÉAL)) PROCÈS-VERBAL PRÉSENCES : Marcellin Hudon, Jocelyne Rouleau et François

Plus en détail

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration

Plus en détail

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

Guide pour le traitement des affaires nouvelles d assurance individuelle

Guide pour le traitement des affaires nouvelles d assurance individuelle Guide du processus Guide pour le traitement des affaires nouvelles d assurance individuelle Assurance-vie Assurance contre le risque de maladie grave Assurance invalidité De la soumission de la proposition

Plus en détail

INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC

INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES INFIRMIÈRES DE L UQAC LE 6 MAI 2015 PLAN DE LA PRÉSENTATION Quel type de formation une IPSPL doit-elle suivre?

Plus en détail

Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale

Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale Plan de la présentation Le secteur Recherche, innovation et science citoyenne

Plus en détail

Le M.B.A. professionnel

Le M.B.A. professionnel Le M.B.A. professionnel Un M.B.A. à temps partiel pour les professionnels qui travaillent un programme unique Le nouveau M.B.A. professionnel de la Faculté de gestion Desautels de l Université McGill est

Plus en détail

La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale

La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale Programme de soutien aux organismes communautaires SERVICES SOCIAUX Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Ligne directrice. Demande de soutien financier - Projet. Demande de bourse d excellence. Juin 2014

Ligne directrice. Demande de soutien financier - Projet. Demande de bourse d excellence. Juin 2014 Ligne directrice Demande de soutien financier - Projet Demande de bourse d excellence Juin 2014 Table des matières 1) Le Fonds pour l éducation et la saine gouvernance... 3 2) La demande de soutien financier

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,

Plus en détail

Faire simplement mieux

Faire simplement mieux Faire simplement mieux Roch Beauchemin Colloque SOQUIBS et AQIISTI 2010 BEAUCHEMIN BOUCHARD ASSOCIÉS INC 1 Faire simplement mieux Dans le contexte actuel de l informatisation, du degré d avancement de

Plus en détail

GUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE

GUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE Direction générale adjointe Planification, qualité et mission universitaire Coordination de l enseignement et de la recherche 1250, rue Sanguinet, Montréal, QC H2X 3E7 Tél. : (514) 527-9565 / Téléc. :

Plus en détail

Saguenay - Lac-Saint-Jean ANNÉE SCOLAIRE 2011-2012

Saguenay - Lac-Saint-Jean ANNÉE SCOLAIRE 2011-2012 Saguenay - Lac-Saint-Jean ANNÉE SCOLAIRE 2011-2012 Préparé par le comité régional du développement de Jeunes Entreprises - Jean-Michel Gobeil, agent de sensibilisation à l entrepreneuriat jeunesse - Chrystelle

Plus en détail

PROCÈS-VERBAL DE LA RÉUNION DU CONSEIL D ADMINISTRATION STADE OLYMPIQUE - SALLE HOCHELAGA MERCREDI 14 MAI 2014 À 15 HEURES

PROCÈS-VERBAL DE LA RÉUNION DU CONSEIL D ADMINISTRATION STADE OLYMPIQUE - SALLE HOCHELAGA MERCREDI 14 MAI 2014 À 15 HEURES PROCÈS-VERBAL DE LA RÉUNION DU CONSEIL D ADMINISTRATION STADE OLYMPIQUE - SALLE HOCHELAGA MERCREDI 14 MAI 2014 À 15 HEURES Présences Absences Employés Marcel Paul Raymond (président), Robert Bissonnette

Plus en détail

Préparation d un Plan de mesures d urgence

Préparation d un Plan de mesures d urgence Préparation d un Plan de mesures d urgence Guide Pour les organismes humanitaires et communautaires Élaboré par: Regroupement des organismes humanitaires et communautaires pour les mesures d urgence à

Plus en détail

PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015

PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 1. Contexte PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 Dans le passé, on recherchait des superviseurs compétents au plan technique. Ce genre d expertise demeurera toujours

Plus en détail

3.1 Politique de gestion et de conservation des documents (Résolution : C.C. 1985-032)

3.1 Politique de gestion et de conservation des documents (Résolution : C.C. 1985-032) 3.1 Politique de gestion et de conservation des documents (Résolution : C.C. 1985-032) Page 1 sur 8 1.0 OBJECTIF GÉNÉRAL Constituer la banque ou «mémoire» des données importantes nécessaires à la Commission

Plus en détail

CRÉDIT D IMPÔT POUR LA PRODUCTION DE TITRES MULTIMÉDIAS VOLET GÉNÉRAL INVESTISSEMENT QUÉBEC

CRÉDIT D IMPÔT POUR LA PRODUCTION DE TITRES MULTIMÉDIAS VOLET GÉNÉRAL INVESTISSEMENT QUÉBEC CRÉDIT D IMPÔT POUR LA PRODUCTION DE TITRES MULTIMÉDIAS VOLET GÉNÉRAL INVESTISSEMENT QUÉBEC Direction des mesures fiscales TABLE DES MATIÈRES Nature de l aide fiscale... 3 Société admissible... 3 Titre

Plus en détail

les télésoins à domicile

les télésoins à domicile Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans

Plus en détail

Canada. Bulletin d information. Réfugiés pris en charge par le gouvernement. Réinstallation des réfugiés au

Canada. Bulletin d information. Réfugiés pris en charge par le gouvernement. Réinstallation des réfugiés au Réfugiés pris en charge par le gouvernement Canada Réinstallation des réfugiés au Bulletin d information Vous souhaitez vous réinstaller au Canada et votre demande a fait l objet d un examen initial par

Plus en détail

Sondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Foire aux questions

Sondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Foire aux questions Janiver 2014 Sondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Foire aux questions Sondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Questions sur le projet 1. En

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

MICROSTAGE COM602 Département des lettres et communications. Automne 2015 (10 juin 2015)

MICROSTAGE COM602 Département des lettres et communications. Automne 2015 (10 juin 2015) MICROSTAGE COM602 Département des lettres et communications Automne 2015 (10 juin 2015) Table des matières Centre culturel de l Ude S / Série Arrière cours Publicité et promotion... 3 Centre culturel de

Plus en détail

DÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR SUPERVISER LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE. Présentation du programme de formation RCPI, 2012 1

DÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR SUPERVISER LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE. Présentation du programme de formation RCPI, 2012 1 DÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR SUPERVISER LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE Présentation du programme de formation RCPI, 2012 1 Propriété intellectuelle : Le matériel original développé dans le cadre

Plus en détail

Quand arrive la retraite

Quand arrive la retraite Quand arrive la retraite Régime de rentes du Québec La rente de retraite du Régime de rentes du Québec et les autres sources de revenu à la retraite Ce document n a pas force de loi. En cas de conflit

Plus en détail

RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION DANS LA FONCTION PUBLIQUE UNITÉ «FONCTIONNAIRES»

RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION DANS LA FONCTION PUBLIQUE UNITÉ «FONCTIONNAIRES» RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION DANS LA FONCTION PUBLIQUE UNITÉ «FONCTIONNAIRES» Adoptées par le Conseil syndical du 14 juin 2013 25-CS-02 Amendées par le Conseil syndical des 15 et

Plus en détail

document révisé le 2008-03-05

document révisé le 2008-03-05 document révisé le 2008-03-05 Table des matières Présentation... 3 1.0 Objectifs... 4 2.0 Organisation... 5 3.0 Personnel d encadrement... 7 4.0 Modalités d accès au CRM... 8 5.0 Processus de réintégration

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises

Plus en détail

Les bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire

Les bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire Réunion d'experts sur Les bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire organisée par le Programme pour la construction et l'équipement de l'éducation et le Programme pour la

Plus en détail

On a changé de. de l Association des MBA du Québec RÈGLEMENTS DE SÉLECTION DES LAURÉATS ET D OCTROI DU PRIX. Édition 2015

On a changé de. de l Association des MBA du Québec RÈGLEMENTS DE SÉLECTION DES LAURÉATS ET D OCTROI DU PRIX. Édition 2015 On a changé de Programme de Bourse Émérite de l Association des MBA du Québec RÈGLEMENTS DE SÉLECTION DES LAURÉATS ET D OCTROI DU PRIX Édition 2015 Ces informations sont également disponibles sur le site

Plus en détail

N o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible

N o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population

Plus en détail

Le développement des compétences

Le développement des compétences Le développement des compétences Comment, qui Pas LE modèle mais UN modèle Je vous propose * Portrait de la région * D où je viens la performance * Pourquoi ce choix et les thèmes abordés * Arrivé du nouveau

Plus en détail

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens

Plus en détail

Acheter des actions de formation

Acheter des actions de formation L achat, quel enjeu? Acheter une action, c est acheter une prestation de services intellectuels qui nécessite un certain formalisme pour optimiser l achat au regard des enjeux. C est pourquoi, en complément

Plus en détail

POLITIQUE DE COMMUNICATION CDC MRC DE L ASSOMPTION

POLITIQUE DE COMMUNICATION CDC MRC DE L ASSOMPTION 1 Politique de communication Corporation de développement communautaire MRC de L Assomption Introduction Mise en contexte Issue de la Table de concertation des organismes communautaires MRC de L Assomption,

Plus en détail

PROCÉDURE D'APPEL D'OFFRES ET D'OCTROI POUR LES ACHATS D'ÉLECTRICITÉ

PROCÉDURE D'APPEL D'OFFRES ET D'OCTROI POUR LES ACHATS D'ÉLECTRICITÉ PROCÉDURE D'APPEL D'OFFRES ET D'OCTROI POUR LES ACHATS D'ÉLECTRICITÉ INTRODUCTION Hydro-Québec, dans ses activités de distribution d'électricité («Distributeur»), doit conclure des contrats d'approvisionnement

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI NOTE : Le texte que vous consultez est une codification administrative des Règlements de l'uqar. La version officielle est contenue dans les résolutions adoptées par le Conseil d'administration. RÈGLEMENT

Plus en détail

LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :

LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine

Plus en détail

CRM pour le Service clients et l Assistance technique

CRM pour le Service clients et l Assistance technique CRM pour le Service clients et l Assistance technique La satisfaction Maximizer. Inciter la fidélisation de la clientèle. Servir la clientèle efficacement est l élément clé d une croissance d affaires

Plus en détail

Scénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina

Scénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Scénarios des activités pédagogiques en ligne Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Intervenants Équipe e-learning Christiane Mathy, collaboratrice mais aussi: Enseignante en informatique de gestion Maître

Plus en détail

Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?

Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute

Plus en détail

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail