Cas cliniques en hématologie pédiatrique
|
|
- Marie-Paule Bergeron
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cas cliniques en hématologie pédiatrique Mohamed BEJAOUI Service de pédiatrie, immuno-hématologie et greffe de cellules souches Centre national de greffe de moelle osseuse, Tunis
2 Observation 1 Ahmed, garçon de 4 ans Consanguinité parentale de 2 ème degré Parents originaires de Béja Consulte aux urgences pour: Hémiplégie droite Convulsions généralisées répondant bien au traitement symptomatique
3 Observation 1 A l examen: Apyrétique Pâleur cutanéo muqueuse Hémiparésie droite Diminution de la force musculaire droite Paralysie faciale droite Des ROT vifs à droite Un RCP en extension à droite Malade parfaitement conscient
4 Observation 1 Votre orientation diagnostique?
5 Observation 1 Devant toute pâleur, chercher les signes d hémolyse+++
6 Observation 1 Ahmed présente effectivement la notion d un subictère récidivant associé à des urines foncées (couleur d El Henna) Quelle est votre orientation diagnostique?
7 Observation 1 Principaux mots clés : Consanguinité Origine géographique Pâleur + ictère + SMG Hémiparesie = Drépanocytose
8 Observation 1 Hémogramme Hb: 7 gr/dl; VGM: 85 fl; TCMH: 29 pg GB(PNN): /mm 3 (9500/mm 3 ) Plaq: /mm 3 Rétic: /mm 3
9 Observation 1 Etude de l Hb de l enfant : HbA = Absente HbA2 = 1% HbF = 15% HbS = 84% Votre interprétation?
10 Observation 1 EPHb malade père mère HbA 0% 55% 56% HbA2 1% 1% 2% HbS 84% 44% 42% HbF 15% 0 0
11 Observation 1 IRM cérébrale : AVC ischémique au territoire de la sylvienne gauche Angiographie MR: sténose serrée dans le territoire de la sylvienne gauche Conclusions: AVC ischémique
12 AVC et drépanocytose
13 Observation 1 Prise en charge : plusieurs insuffisances La reprise de l interrogatoire de la mère: Dactylite à 18 mois Crises douleureuses osseuses récidivantes depuis l âge de 3ans Priapisme à 3 ½ ans orientation vers un Syndrome Drépanocytaire Grave
14 Facteurs de risque prédictifs d un AVC chez le drépanocytaire Facteurs cliniques Age < 2 8 ans AVC dans la fratrie drépanocytaire Méningite bactérienne STA sévère:pao2 < 60 mmhg Episodes d anémie aigue Convulsions à répétitions Dysfonctionnement splénique ou infarctus à l age de 1 an Priapisme du rendement scolaire des performances motrices fines Test d attention anormal
15 Facteurs de risque prédictifs d un AVC chez le drépanocytaire Facteurs biologiques : Hb de base < 7,5 g/dl avec un taux de réticulocytes élevé GB > /mm 3 et granocytes > 8000/mm 3 Plaquettes > /mm 3 HbF < 13 % à l âge de 24 mois Absence de délétion du gène 3 facteurs de risque AVC : 40 % Intérêt de L EDTC
16 Drépanocytose : intérêt du doppler transcranien A faire dès l âge de 2 3 ans En cas d accélération du flux: thérapie transfusionnelle; greffe de CSH
17 Percentage without CVA SDM et accidents vasculaires cérébraux Age at first CVA and cumulative incidence of CVA in 2,436 patients with sickle cell anaemia (Hb SS), 839 with HbSC disease, 188 with HbSβ0 thalassaemia, and 184 with HbSβ+ thalassaemia. CVAs occurred earlier and more frequently with age in patients with HbSS 100 Hb Sβ0 90 Hb Sβ Hb SC 60 Hb SS Age (years) Ohene-Frempong K, et al. Blood. 1998;91:
18 Hazard function Type d AVC selon l âge AVC hémorragique Age (ans) AVC ischémique AVC ischémique 54% des AVC Plus fréquent : 1ère décade et après 30 ans Pick entre 2 5 ans AVC hémorragique Durant la 2è décade Facteurs de risque: Hb basse, GB, HTA et corticothérapie Infarctus silencieux Découverte radio fortuite 10 30% (N est pas age-dependent) Associé à un déficit cognitif et un risque élevé d AVC AVC : accident vasculaire cérébral. Verduzco LA, Nathan DG. Blood. 2009;114:
19 Prise en charge des SDM : des progrès importants depuis 3 décennies Greffe CSH Transfusion Pré-opératoire STOP HTAP SITT TWiTCH Dc Néonatal Prophylaxie à la Penicilline Esai HU chez l adulte (phase III) (MSH) HU chez l enfant SWiTCH Walk PHaSST Thérapie génique Approbation FDA HU = hydroxyurée; STOP = stroke prevention trial in sickle cell anemia; SWiTCH = stroke with transfusions changing to hydroxyurea; MHS = multicenter study of hydroxiurea; SITT = silent infarct transfusion trial; TWiTCH = transcranial Doppler with transfusions changing to hydroxyurea; Walk-PHaSST = treatment of pulmonary hypertension and sickle cell disease with sildenafil therapy.
20 SDM sévères : 3 options thérapeutiques Hydroxyurée Greffe de CSH Thérapie transfusionnelle
21 Transfusion au long cours : modalités Transfusion simple Facile à réaliser ; un accès veineux Echange transfusionnel manuel Durée de réalisation; manual Erythrocytaphérèse Couteux; nécessite 2 bonnes voies veineuses Surcharge en fer+++ Surcharge en fer+ Pa de surcharge en fer; bonne tolérance clinique Allo-immunization +++ infections Standards for the clinical care of adults with sickle cell disease in the UK. Sickle Cell Society; Available from: Accessed March 2009.
22 Indications du traitement transfusionnel dans les SDM Tranf occasionnelle Aggravation d anémie AVC Syndrome thoracique aigue Les défaillances organiques En pré-opératoire Priapisme Paludisme Transf au long cours Prophylaxie II AVC Prophylaxie I (Accélération des vitesses à l EDTC) Insuffisance cardiaque HTAP chronique Douleur chronique résistant à l HU Séquestration splénique chez l enfant 2 3 ans Grossesse Inati A, et al. Pediatr Blood Cancer. 2011;56: Nagel RL, Stuart MJ. Lancet. 2004;364: Ohene-Frempong K. Semin Hematol. 2001;38:5-13. Vichinsky E. Semin Hematol. 2001;38(1 Suppl 1):2-4.
23 Probability of remaining stroke-free Probability of remaining event-free Apport de la transfusion au long cours dans les SDM : Les essais STOP STOP I Transfusion Standard care Time (months) p = STOP II Continued transfusion No continued transfusion p = Time from randomization (months) STOP:strocke Prevention Trial in sickle cell anemia Adams RJ, et al. N Engl J Med. 1998;339:5-11. Adams RJ, et al. N Engl J Med. 2005;353:
24 Prévention des AVC par transfusion sanguine Prévention primaire (premier AVC) DTC /an de 2 à 16 ans 1,2 transfusion mensuelle :Vitesse > 2 m/s à 2 occasions 1 Le risque de premier AVC, dans les 3 ans, diminue de 40% à 2% Prévention secondaire (récidive d AVC) - transfusions mensuelles maintenant le taux d HbS < 30% 1 Le risque de récidive diminue de 70% à 13% - Facteurs de risque de récidive d AVC : taux d HbS; sévérité de la vasculopathie cérébrale; évenements intercurrets 1. National Institutes of Health. The management of sickle cell disease. 4th ed (NIH publication No ) 2. Roberts L, et al. Ann Hematol. [Epub ahead of print 2009 May 20].
25 Proportion of patients Rôle de la greffe de CSH dans la prévention des AVC Cerebral vasculopathy was the principal indication for transplantation (N = 55) OS EFS Rejection Time (years) OS: 93.1% EFS: 86.1% Cumulative incidence of rejection: 70% at 5 years The estimated 5-year TRM was 6.9%; GVHD was the major cause of TRM HSCT is a plausible option for SCD children who are at high risk of stroke EFS = event-free survival; GVHD = graft-versus-host disease; OS = overall survival; TRM = transplantation-related mortality. Bernaudin F, et al. Blood. 2007;110:
26 Probability of stroke recurrence Evolution à long terme de 36 patients avec AVC 2 AVC aux J10 et J32 Pas de récidive d AVC après J40 Risque de récurrence: 5.6% Aggravation de l atrophie corticale dans 2 cas Pas de nouvelles lésions ischémiques chez les patients avec prise de greffe Risk of stroke recurrence: 5.6% Years post-transplant Bernaudin F, et al. Blood. 2007;110:
27 Evolution de la macrovasculopathie Les occlusions vasculaires persistent après greffe de CSH L évolution des stenoses est variable: 5 résolutions 16 restent inchangées 2 ont progressé SCH = cellules souches hématopoiétiques Bernaudin F, et al. Blood. 2007;110:
28 Observation 1 Que faire après un premier AVC chez un drépanocytaire? Abstention thérapeutique: 67% de rechutes dans l année Hydréa: 20% de rechutes ETP : moins de 10% de rechutes Greffe de CSH: moins de 5 % de rechutes
29 Observation 1: Conclusions Diagnostic fait à l occasion d une complication grave, le médecin aurait du être orienté par les signes suivants: Pâleur + Sub ictère Douleurs osseuses Anémie régénérative Cet enfant aurait du bénéficier en prévention primaire de l AVC d une EDTC/an depuis l âge de 3 ans En cas d accélération du flux: thérapie transfusionnelle; greffe de CSH
30 Observation 2 Karim est un garçon de 8 ans, suivi pour un syndrome drépanocytaire majeur. ATCD personnels: Un épisode de pneumopathie hypoxémiante avec des images alvéolaires à la radiographie pulmonaire 3 CVO dont 2 ayant nécessité une hospitalisation de 5 et 7 jours Un épisode de priapisme Habituellement Hb = 8 gr/ dl Pas de splénomégalie
31 Observation 2 Karim consulte pour une toux sèche évoluant depuis 3 jours, accompagnée de douleurs sternales et une fièvre Examen: Température: 38,4 Paleur, sub ictère, sans splénomégalie Respiration pénible Battements des ailes du nez Foyer de râles crépitants de la base droite Tachycardie à 150/ mn TA : 11/6 Désature à l air ambiant à 85%
32 Observation 2 Quelle est votre hypothèse diagnostique? Quels examens complémentaires demander?
33 Observation 2
34 Observation 2 NFS: Hb 6 gr/dl GB: 17800/mm3 PNN: 9500/mm3 Rétics: /mm3 CRP: 125mg/ml HC: négative
35 Observation 2 Pneumopathie hypoxémiante, rapidement évolutive + Syndrome thoracique aigu nouvelle image radiologique
36 STA : Signes cliniques Fièvre 80% Toux 62% Tachypnée 45% Douleurs thoraciques 44% Essouflement 41% Douleurs osseuse 37% Douleurs abdominales 35% Douleurs sternales 21% Wheezing 13%
37 Causes du STA Une cause définie est retrouvée dans 38% des cas: Infection : 29% Infarctus pulmonaire : 16% Embolie pulmonaire graisseuse : 9% Souvent complication post opératoire Survient chez 30% des patients hospitalisés pour douleur Intérêt de la spirométrie préventive
38 Physiopathologie du STA chez les patients drépanocytaires Cause Infection* Embolie graisseuse Vaso-occlusion *Infection Chlamydia 29% Mycoplasma 20% Staph. aureus 5% Strept. pneum. 4% Legionella 2% RSV 10% Staph. = Staphylococcus; Strept. pneum. = Streptococcus pneumoniae. Rees DC, et al. Lancet. 2010;376:
39 Survival probability Le STA est associé à une importante mortalité chez les drépanocytaires Survival of patients with SCD-SS by occurrence of ACS events within first 2 years of follow-up STA(-) (n = 1764) STA(+) (n = 419) Age (years) Castro O, et al. Blood. 1994;84:643-9.
40 Le STA est la cause la plus fréquente de décès des drépanocytaires Cause la plus fréquente de mortalité ches l adulte drépanocytaire! 15% nécessitent une ventilation artificielle 3% de mortalité (19% dans les USI) ± 50% des drépanocytaires présenteront un STA ICU = intensive care unit. Steinberg MH, Barton F. J Am Med Assoc. 2003;289:
41 Observation 2 : CAT immédiate Hyper hydratation prudente: 2l/m2/j Oxygénothérapie pour une saturation > 95% ATB Céfotaxime (Claforan) Vancomycine ( pneumocoque résistant) Amikacine Macrolide (atypiques) Thérapie transfusionnelle: ETP: pour HbS < 30% Transfusion simple si diagnostic précoce
42 Observation 2 2 STA: quelle attitude préventive après?
43 Observation 2 2 STA = maladie suffisamment grave pour justifier la greffe de CSH En l absence de donneur intrafamilial Hydroxyurée
44 Indications de l Hydroxyurée Complications vaso-occlusives aigues Crises douloureuses répétées STA Hospitalisations fréquentes Marqueurs biologiques de sévérité Hémoglobine basse Taux bas d HbF Hyperleucocytose Hyper LDH
45 Observation 3 Hakima est une fille de 5 ans, suivie pour une S/βthalassémie ATCD Une séquestration splénique Erythroblastopénie à PVB19 3 CVO du dos Consulte pour Fatigabilité Asthénie Anorexie
46 Observation 3 Examen physique : Température: 37,2 Pâleur sans aggravation de l ictère Rate = 8 cm du RCG ( habituellement 3 cm) Tachycardie à 160/ mn Battement des ailes du nez Auscultation pulmonaire normale
47 Observation 3 Diagnostic le plus probable? Examens complémentaires?
48 Observation 3 NFS: Hb 4 gr/ dl ( habituellement Hb= 8gr/dl); VGM: 85 fl; TCMH: 29 pg GB: /mm 3 ; PNN: 6500/mm 3 Plaquettes: /mm 3 Réticulocytes: /mm 3 Conclusions: anémie normochrome normocytaire régénérative. déglobulisation de plus de 2 gr, augmentation du volume de la rate Séquestration splénique
49 SDM: Les aggravations de l anémie 1. La Séquestration splénique aigue 2. La séquestration hépatique aigue 3. L érythroblastopénie aigue 4. Les aggravations d hémolyse
50 SDM: Les aggravations de l anémie La Séquestration Splénique Aigue: augmentation aigue du volume de la rate associée à une baisse du taux d Hb de plus de 2 g/dl Urgence +++ Fréquence : % Age : 6-18 mois : drépanocytose S/S; Tout âge :S/βthal Récidive fréquente, absence de facteurs prédictifs connus Mortalité élevée dans les pays en développement
51 Observation 3 Conduite à tenir immédiate?
52 Observation 3 Oxygénothérapie: 3l/mn Hyperhydratation: 3l/m2/j Transfusion pour la ramener à son taux de base (déséquéstration)
53 Observation 3 Attitude préventive pour la suite?
54 Observation 3 2 séquestrations mineures ou une séquestration majeure = Splénectomie après vérification de la vaccination si âge > 5 ans Si âge < 5 ans : thérapie transfusionnelle pour HbS < 30% L hydroxyurée ne protège pas des séquestrations spléniques
55 Sévérité des Syndromes Drépanocytaires majeurs Formes Intermédiaires AVC, STA CVO. Formes asymptomatiques Formes sévères Hydrataion, pénicillinothérapie, Accide Folique
56 Complications des SDM AVC Rétinopathie Infarctus silencieux HTAP Cardiaomyopathie Lithiase Insuff rénale Microalbuminurie Aggravations D anémie Infections Infection Priapisme Surcharge en fer Ulcère Ostéonecrose
57 Merci pour votre attention
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailLa drépanocytose Anémie falciforme Anémie à hématies falciformes
La drépanocytose Anémie falciforme Anémie à hématies falciformes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur,
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLa bêta-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que la bêta-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la bêtathalassémie.
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailÉducation thérapeutique pour les enfants drépanocytaires : justifications à la mise en place et initiation de ce projet au CHU de Grenoble
Éducation thérapeutique pour les enfants drépanocytaires : justifications à la mise en place et initiation de ce projet au CHU de Grenoble Olivier Dreux To cite this version: Olivier Dreux. Éducation thérapeutique
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailPOLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné
POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné Congrès SFSP, Jeudi 3 novembre 2011 Contexte et objectifs Sécurité transfusionnelle = Préoccupation
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailCe manuel a comme objectif de fournir des informations aux patients et ses familiers à respect du Trait Drepanocytaire.
Ce manuel a comme objectif de fournir des informations aux patients et ses familiers à respect du Trait Drepanocytaire. Nous savons que les informations médicales sont entourés, dans la plupart des cas,
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailPrise en charge des effets secondaires des traitements de l hépatite C. Jean Delwaide CHU Sart Tilman Liège
Prise en charge des effets secondaires des traitements de l hépatite C Jean Delwaide CHU Sart Tilman Liège Efficacité de PegInterféron et Ribavirine Génotype 1 Génotype 2 Génotype 3 Génotype 4 50% 90%
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailL alpha-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que l alpha-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur l alphathalassémie.
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, RUE BONAPARTE 75272 PARIS CEDEX 06 TÉL : 01 42 34 57 70 FAX : 01 40 46 87 55
ACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, RUE BONAPARTE 75272 PARIS CEDEX 06 TÉL : 01 42 34 57 70 FAX : 01 40 46 87 55 RAPPORT au nom de la Commission I (Biologie Immunologie Génétique) Les banques de sang de
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailPLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération
Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détail