Mindszenty, histoire et mémoire

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1 Nicolas Bauquet Colloque du 17 mai 2005 Mindszenty, histoire et mémoire Mémoire, histoire et politique : Après une première séance de travail sur l action menée par le Cardinal Mindszenty en tant que dignitaire de l Eglise catholique et que personnage public, nous nous occuperons cet après-midi des images et des mémoires du Cardinal Mindszenty, la manière dont elles ont été construites, la manière dont elles ont été utilisées, en Hongrie et en-dehors. Pendant sa vie, comme après sa mort, le «Cardinal de fer» a été, autant qu un acteur, un objet d admiration ou de détestation, d enthousiasme ou de critique : c est ce qui nous intéresse ici. La période de la préparation de ce colloque nous a montré à quel point cette mémoire de Mindszenty était encore vivante, par l intérêt qu a suscité notre démarche, mais aussi par les difficultés auxquelles nous nous sommes heurtés. Nous arrivions avec des questions d historiens, mais celles-ci ne pouvaient manquer de soulever des problèmes plus généraux : la mémoire est aussi un pouvoir, et comme telle, elle est directement liée à la politique. La mémoire de Mindszenty n y échappe pas, bien au contraire : elle est au cœur d une histoire dont l interprétation fait l objet de conflits fondamentaux. Mais cette difficulté fait aussi l intérêt de cette entreprise : comprendre pourquoi et comment la figure de Mindszenty a pu devenir un symbole aux significations si différentes. Je voudrais souligner la grande chance que nous avons aujourd hui de réunir, dans l assistance et parmi les intervenants, de personnes venant d horizons et d institutions si divers : l Académie hongroise des sciences et le département d histoire de l Université ELTE, qui organisent cette rencontre, les archives nationales, le Centre de documentation catholique national, les Archives historiques des services de sécurité d Etat, la Fondation Mindszenty, mais des institutions allemandes comme l Université de Bonn ou françaises comme Sciences Po ou le CNRS. C est seulement en réunissant tous ceux qui travaillent scientifiquement sur l histoire et la mémoire du Cardinal Mindszenty qu il était possible de mener une réflexion féconde. Nous aimerions que cette première rencontre se prolonge dans un travail collectif de plus long terme : nous savons encore peu de choses de la manière dont les images et les mémoires de Mindszenty se sont formées, et ont évolué en Hongrie depuis son irruption soudaine en tant que personnage public central, en octobre Il nous semble qu une étude aussi scientifique que possible de cette dimension mémorielle peut être un moyen de contourner les liaisons dangereuses de l histoire et de la politique et de construire un espace commun de discussion scientifique autour de Mindszenty, qui pourrait servir pour d autres aspects de l histoire hongroise récente. Au-delà même de ceux qui s intéressent directement à la figure de Mindszenty, ce colloque peut être un atelier méthodologique plus général.

2 De la mémoire au «lieu de mémoire» Nous chercherons donc à étudier Mindszenty comme un «lieu de mémoire». L expression française «lieu de mémoire», passée aujourd hui dans le langage presque courant, n a pas encore d équivalent hongrois courant, et semble encore impropre à désigner non un lieu physique, mais une personne. Mais ce concept nous paraît fécond et utile pour étudier les différentes dimensions de la mémoire de Mindszenty, trente ans après sa mort, et près de quinze ans après son ré-enterrement en terre hongroise, et pour explorer, bien au-delà de la personne même du cardinal Mindszenty, des pans entiers de l histoire religieuse, intellectuelle, culturelle et politique hongroise. Ce concept de «lieu de mémoire» a été introduit à la fin des années 1980 par Pierre Nora. L historien français part du constat de l évolution rapide du rapport au temps des sociétés contemporaines, et de l impossibilité de réécrire aujourd hui les différents «romans nationaux» élaborés depuis le XIXe siècle : on ne peut plus écrire l histoire de France en prenant la nation comme une entité donnée d avance, dont il faudrait retracer les aventures en partant d une origine jusqu à une fin. Devant cette impossibilité intellectuelle, Pierre Nora en vient à une histoire au second degré : l histoire de cette représentation qu est la France. Pour cela, il convient de repérer des «lieux de mémoire», qui peuvent être des lieux physiques, mais aussi des œuvres, des personnages, des institutions, qui cristallisent des représentations collectives et forment l héritage symbolique de la nation : les cathédrales, l avènement d Huges Capet, la descente des Champs-Elysées par le Général de Gaulle en 1944, le tour de France, etc. En tout, trois gros volumes intitulés La République, La Nation, et Les France sont devenus un monument de l historiographie française, et l expression «lieu de mémoire» est ainsi entrée dans le langage courant. Comme la France a ses lieux de mémoire, ou l Allemagne ses Erinnerungsorte, la Hongrie a ses «emlékezeti helyek» : le champ de bataille de Mohács, le couple Szechenyi / Kossuth, la parcelle 301 et le réenterrement d Imre Nagy, la place des héros, etc. Certains d entre eux ont d ailleurs fait l objet d études très originales, comme la puszta, dont Réka Albert a analysé la transformation en paysage national, du XVIIIe au XXe siècle. L intérêt particulier de l étude de Mindszenty comme «lieu de mémoire» hongrois vient de son statut très paradoxal dans la mémoire nationale : héros incontestable, puisque seule grande figure à s être opposée directement à l instauration de la dictature stalinienne, après avoir s être opposé au pouvoir fasciste hongrois, le Cardinal Mindszenty ne s est pas pour autant inscrit dans la lignée des pères de la nation, de Kossuth à Imre Nagy. Au sein même de l Eglise, sa mémoire, après avoir été longtemps occultée, puis brusquement mise en avant, reste largement ambiguë. Après avoir été tout au long de sa vie un «signe de contradiction», pour reprendre l expression de Paul VI, qui en savait quelque chose, la mémoire de Mindszenty est restée aussi encombrante que l était l homme lui-même. Si nous allons nous pencher en priorité sur la mémoire de Mindszenty en Hongrie, il faut également penser à la mémoire de Mindszenty à l étranger, et en particulier en Occident. De l autre côté du rideau de fer, Mindszenty est devenue dès la fin des années 1940 une icône de l anticommunisme, un symbole de la résistance et de l oppression de l Europe soviétisée. Certes, le temps a fait son œuvre, et les générations de moins de cinquante ans ne savent souvent plus qui est Mindszenty, même dans les milieux intellectuels. En revanche, l évocation du Cardinal de fer évoque invariablement pour les autres générations des épisodes restés gravés dans les mémoires : l arrestation et le procès du Cardinal Mindszenty, qui furent ressentis comme des chocs en France et aux Etats-Unis ; l épisode de 1956, où le rôle de

3 Mindszenty fut souvent majoré dans l analyse des observateurs étrangers par rapport à la réalité historique, au point que certains ont eu l impression que Budapest s était soulevée pour le libérer ; les quinze années de réclusion au sein de l ambassade des Etats-Unis ; enfin, l obéissance à Paul VI, l exil et finalement le dépouillement de sa fonction d archevêque, vécue comme l ultime station de son chemin de croix. Ses Mémoires, publiés en 1974 en français, en anglais et en allemand, sont aujourd hui encore présents dans nombre de bibliothèques familiales, pas seulement chez les catholiques. J ai eu l occasion, en préparant ce colloque, d évoquer la figure de Mindszenty auprès de professeurs français ou américains, pour qui Mindszenty reste une figure familière, même s il renvoie bien sûr à un temps qui paraît aujourd hui très lointain, celui de la guerre froide. Il est parfois difficile de faire comprendre à ces professeurs que cette mémoire héroïque n est pas forcément la première qui vient à l esprit en Hongrie même. Ici, l image et la mémoire de Mindszenty n ont cessé de prendre des formes très opposées, et d évoluer de manière souvent paradoxale. C est sur cet itinéraire que je voudrais brièvement revenir, pour poser un certain nombre de questions qui pourront être abordées dans les interventions, dans le débat ou dans des travaux ultérieurs. Six étapes peuvent être distinguées : l émergence de Mindszenty comme personnage public, de 1945 à 1948 ; l arrestation, le procès et l emprisonnement ; l intervention de Mindszenty au cours de la révolution de 1956 ; les années de réclusion à l ambassade et d exil ; la mémoire de Mindszenty avant le changement de régime ; enfin, la mémoire de Mindszenty depuis le changement de régime et son réenterrement en terre hongroise. De l image à la mémoire : Mindszenty : l invention d un personnage public Il convient d abord d analyser le moment où Mindszenty commence à prendre une place centrale dans la vie publique hongroise, et cristallise brusquement des sentiments forts, positifs ou négatifs. Il y a là une réelle nouveauté : dans les immenses rassemblements organisés par l Eglise catholique en 1930, pour le 9 e centenaire de Szent Imre, et en 1938, pour le Congrès eucharistique, le Cardinal Serédi n avait pas été au centre de l attention des foules. Au contraire, à partir de 1945, Mindszenty devient très vite un point de repère particulièrement visible. Eva Tulipán montrera comment, très rapidement, Mindszenty devient une cible privilégiée de la caricature, et une cible des milieux anticléricaux. Inversement, il faut s interroger sur le processus de personnalisation du pouvoir au sein de l Eglise catholique, dans un contexte d affrontement avec le mouvement communiste et de mobilisation concurrente des masses, notamment au cours de l année mariale Dans quelle mesure cette personnalisation a-t-elle été une force dans le bras de fer de l Eglise avec les communistes ou au contraire une faiblesse? Il serait ici particulièrement intéressant de comparer la place tenue par le Cardinal Mindszenty et celle du Cardinal Hlond, puis du Cardinal Wyszinski en Pologne. Le procès, onction ou déchéance? Le deuxième moment capital est celui de l arrestation et du procès. En Occident, c est le point de départ de la légende de Mindszenty, devenu un des grands martyrs du communisme. Mais quel fut l impact en Hongrie? Les nombreux rapports de police qu on retrouve dans les archives du Parti ne fournissent que des réponses très partielles. Les grands

4 procès truqués restent encore à étudier du point de vue de leur «réception» : un tel procès, qui témoigne des tortures subies par l accusé, visiblement brisé, signifie-t-il une nouvelle aura ou au contraire une désacralisation? La question de l impact du procès rejoint celle de la longue détention subie par Mindszenty et de son statut dans la Hongrie de Rákosi : Mindszenty reste-t-il un fantôme toujours présent, où devient-il rapidement une question secondaire? La remarque faite par Márgit Bálogh à propos de sa libération en 1956 est en effet troublante : à partir du 23 octobre 1956, il faudra cinq jours pour que la question de Mindszenty soit mise à l ordre du jour. Le discours du 3 novembre 1956 : Ces quelques jours de liberté et d action constituent le troisième moment décisif dans la formation de l image de Mindszenty, en particulier son discours, prononcé à la radio le 3 novembre On a souvent souligné l importance de la manipulation de ce discours par la propagande du régime de Kádár dans un but de démonisation d un primat censé mettre en cause la réforme agraire et appeler de ses vœux un retour à l ancien régime. On n a peut-être pas remarqué un fait étonnant, et qui montre la polarisation des regards portés sur Mindszenty à l époque : c est dès le soir du 3 novembre que les jugements les plus opposés ont été émis sur le contenu et l opportunité du discours en question, avant même les manipulations communistes. Ainsi, Gyula Benda, ayant écouté le discours avec son père, Kalman Benda, se souvient de l avoir entendu dire : «c est une catastrophe». Viktor Karady, issu d une famille éloignée de l Eglise catholique, se souvient d avoir été agréablement surpris par un discours si modéré, à l inverse de certains de ses camarades, qui le jugeaient provocateur. Pour beaucoup, les symboles représentés par Mindszenty sont donc plus forts que les mots qu il prononce effectivement. L ambassade américaine : oubli ou obsession? La même incertitude règne sur l impact de la présence de Mindszenty à l ambassade américaine : a-t-il été un réel «signe de contradiction» dans la Hongrie de Kádár, un symbole actif, ou au contraire a-t-il été rapidement oublié et marginalisé? Cette présence n a-t-elle pas représenté un atout pour un pouvoir cherchant à accréditer l hypothèse d une connexion entre le Vatican, Washington et la «réaction intérieure»? Comment la société hongroise a-t-elle accueilli la nouvelle du départ de Mindszenty, puis celle de la nomination d un nouveau primat de Hongrie? Quelles furent les réactions au sein du monde catholique? Fut-ce le soulagement, la révolte ou l indifférence? Au-delà du cas Mindszenty, c est toute la question de l évolution du monde catholique hongrois au temps de l Ostpolitik qui est posée, et du décalage éventuel entre la hiérarchie et les fidèles. Les paradoxes de la mémoire, des années 1970 aux années 1980 La mort de Mindszenty crée la possibilité de faire silence sur lui. András Fejérdy montrera tout à l heure que dans la presse du parti, entre 1976 et la fin des années 1980, on ne trouve pratiquement pas trace du Cardinal. De son côté, la hiérarchie catholique organise elle aussi l oubli de Mindszenty, dans le cadre de sa «politique des petits pas. Ainsi, un ancien élève des bénédictins de Pannonhalma dans les années 1980 se souvient n avoir entendu

5 parler du Cardinal Mindszenty pendant sa scolarité, et d avoir découvert son rôle lors de son premier séjour à Vienne, en Cet exemple, s il était confirmé par d autres, montrerait la profondeur de la rupture dans la transmission de la mémoire catholique qui s opère durant ces années. On peut se demander dans quelle mesure cet oubli systématique a dépassé les cadres de l Eglise officielle. Au sein des «petites communautés» qui se forment à la fin des années 1970 et au début des années 1980, Mindszenty est-il vu comme un exemple, un inspirateur, ou comme le représentant d un passé révolu? Il conviendrait également de s interroger sur l existence ou non d une mémoire populaire de Mindszenty, notamment par comparaison avec Márton Áron : dans le cas de l évêque transylvain, il existe bel et bien un culte populaire, l immense attachement porté à l homme de son vivant se poursuivant, après sa mort, par un culte populaire, chaque élément matériel lié à l'évêque étant conservé comme une relique. Y eut-il un culte populaire porté à Mindszenty après sa mort dans certains milieux ou dans certaines régions? Qu en est-il notamment à Zalaegerszeg, où Mindszenty est resté plus de vingt ans, et a réalisé une œuvre prodigieuse? Mais c est bien sûr d abord dans l émigration que la mémoire du Cardinal a été transmise, comme en témoigne le buste qui figure sur l affiche du colloque, offert par la communauté hongroise d une petite ville des Etats-Unis pour être érigée sur la «place du Cardinal Mindszenty», dès Quelles furent les formes que prit ce culte de la mémoire de Mindszenty? Cette mémoire externe a-t-elle pu nourrir une mémoire en Hongrie même, où s est-elle développée de manière purement autonome? Depuis les années 1990 : retour en grâce ou quarantaine? Avec le changement de régime, c est donc un profond bouleversement qui touche la mémoire de Mindszenty en Hongrie, aussi bien au sein de l Eglise que de la part des institutions publiques. András Zempléni analysera tout à l heure l épisode majeur de cette réhabilitation symbolique, le ré-enterrement du Cardinal Mindszenty à Esztergom en 1991, événement préparé par le Père Szöke, qui apportera son témoignage à ce propos. Ainsi, le corps de Mindszenty a désormais trouvé sa place dans la crypte de la basilique d Esztergom, visitée par Jean-Paul II en août Mais la mémoire de Mindszenty, elle, n a pas trouvé de place déterminée dans la mémoire nationale hongroise. Il ne fait partie ni des personnages consensuels dont tous peuvent se réclamer, ni des personnages conflictuels, provoquant des polémiques, comme celle qui a eu lieu récemment autour de Pál Teleki. Cette incertitude sur la place à accorder à la mémoire du Cardinal Mindszenty contraste fortement avec la centralité des grandes figures de l Eglise polonaise de l après- Seconde Guerre mondiale dans le panthéon national : le Cardinal Hlond, le Cardinal Wyszinski et Jean-Paul II sont des figures de référence, et non des signes de contradiction. Il n y a sans doute pas d explication unique à cette différence de traitement de la mémoire, mais plusieurs facteurs. Le premier facteur est lié à la personne même du Cardinal Mindszenty : l image d un homme respectable et courageux, mais dur et distant, n a cessé de l accompagner, y compris dans les milieux catholiques, et n a pas contribué à l essor d un culte populaire comme celui de Márton Áron.

6 Le deuxième facteur est lié à la situation particulière de l Eglise hongroise après la Deuxième Guerre mondiale : à l inverse d une Eglise polonaise dépositaire d une tradition nationale unique, symbolisée par la Vierge de Jasna Gora, l Eglise catholique hongroise n était dépositaire que d une tradition parmi d autres : parlant au nom de la seule Hongrie catholique, Mindszenty pouvait-il devenir un «père de la nation»? Le troisième facteur est lié à la défaite subie par l Eglise hongroise dans son bras de fer avec le pouvoir communiste : à l inverse de l Eglise polonaise, une rupture réelle s est produite entre l Eglise de Mindszenty et celle de Paskai et de Lékai. Sans parler du cas polonais, l Eglise tchécoslovaque présente peut-être une continuité plus grande, dans la mesure où le rôle du Cardinal Tomašek dans le changement de régime a recréé un lien ave l Eglise résistante des années 1950 et la figure du Cardinal Beran. Le quatrième facteur vient de la sécularisation accélérée qui s est opérée en Hongrie à partir des années 1960 : Mindszenty apparaît désormais aux yeux de beaucoup comme un homme d un passé révolu. En fin de compte, le problème fondamental pour la place de Mindszenty dans la mémoire nationale hongroise vient sans doute de ce que le Cardinal est d abord vu, encore aujourd hui, sous l angle politique, et non comme une autorité morale ou un pasteur. Dans quelle mesure cela est-il la conséquence de la propagande communiste, ou bien du fait que Mindszenty lui-même se soit laissé enfermer dans ce rôle, cela reste une question ouverte.

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