Pièce G. Mémoire en réponse à l avis de l Autorité Environnementale sur l étude d impact
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1 Pièce G Mémoire en réponse à l avis de l Autorité Environnementale sur l étude d impact
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3 SOMMAIRE I. INTRODUCTION II. SYNTHESE DES REPONSES AUX REMARQUES III. REPONSES AUX OBSERVATIONS DE L AUTORITE ENVIRONNEMENTALE III.I OBSERVATIONS RELATIVES A L ETAT INITIAL III.II OBSERVATIONS RELATIVES AUX IMPACTS IV. AVIS DE L AUTORITE ENVIRONNEMENTALE Page 1595
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5 I. INTRODUCTION Page 1597
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7 L autorité environnementale, dont l avis sur le projet de création de la ligne de tramway T9 a été émis le 3 avril 2014, estime que les principaux enjeux environnementaux du projet concernent le bruit, la qualité de l air, l insertion urbaine et paysagère ainsi que la gestion des eaux pluviales. Elle apprécie un état initial de l environnement globalement de bonne qualité et relève la bonne qualité de l évaluation des impacts sur projet sur les thématiques déplacements, bruit et qualité de l air. L autorité environnementale recommande toutefois que l étude d impact soit complétée et actualisée pour ce qui a trait à la gestion de l eau en vue de la procédure au titre de la loi sur l eau. Elle note que le projet ne présente pas de variantes pour favoriser l insertion paysagère du tramway et recommande de justifier le choix du système d alimentation notamment à proximité de la station Musée d Art Contemporain du Val-de-Marne (Mac/Val). Page 1599
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9 II. SYNTHESE DES REPONSES AUX REMARQUES Page 1601
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11 Le tableau ci-après reprend les observations formulées par l autorité environnementale sur l étude d impact auxquelles le maître d ouvrage souhaite apporter des compléments. Les réponses apportées figurent dans le présent document et sont directement reportées dans l étude d impact (Pièce F). Paragraphe concerné Page Remarque formulée par l autorité environnementale Réponse du maître d ouvrage 2.1 Description de l état initial et identification des enjeux 4 «En outre, le tracé côtoie au sud de Choisy-le-Roi et à Orly la canalisation de la société TRAPIL (pipeline d hydrocarbures). Des contacts devront être pris avec cette société très Mémoire en réponse : III.I.1 Les sites et sols pollués en amont des travaux.» 2.1 Description de l état initial et identification des enjeux 4 «Il convient de mentionner également dans cette partie que les communes de Vitry-sur- Seine et d Ivry-sur-Seine sont aussi concernées par le plan de prévention des risques (PPR) Inondation et coulées de boues par ruissellement en secteur urbain, prescrit par arrêté préfectoral du 9 juillet 2001.» Elément mentionné dans l état initial de l environnement : Pièce F, IV.III.8.1.C Ajouté au Résumé Non Technique : Pièce F, II.IV.1 Les risques naturels 4 «Les cartes présentées de la page 82 à 86 manquent de lisibilité car la couleur bleu pâle est diluée avec les autres couleurs chromatiques figurant d autres enjeux. Elles ne permettent pas une délimitation claire des enjeux liés aux inondations. De plus, elle gêne la lecture de la synthèse des enjeux environnementaux qui est morcelée en plusieurs parties.» Reprise de la cartographie pour manque de lisibilité du risque Inondation : Pièce F, II.IV.2 et IV.IX Ajout de la coulée verte Bièvre-Lilas sur la carte des projets connus et 2.1 Description de l état initial et identification des enjeux Le patrimoine naturel 4-5 «Le document ne fait pas état du projet de coulée verte Bièvre Lilas (reconnue comme liaison d intérêt écologique au sein du SRCE) dans la liste des projets connus au sein du territoire (pages 89 et 572).» dans le tableau des projets pris en compte : Pièce F, II.V.1, V.I.3 et VI.II Ajout d un VI.II.5 pour décrire le projet de coulée verte «Il serait intéressant de chercher à connecter ces secteurs à travers l implantation du 5 tramway, d autant plus que la trame végétale discontinue que constitue la RD5 apparaît Mémoire en réponse : III.I.2 dans le SDRIF comme "liaison verte" à conforter.» Page 1603
12 Paragraphe concerné Page Remarque formulée par l autorité environnementale Réponse du maître d ouvrage 5 «Ce chapitre aurait toutefois mérité davantage de photos de l état existant des secteurs destinés à être notablement modifiés pendant la durée des travaux et en période d exploitation (exemple : trémies, tranchées couvertes).» Ajout d un IV.V.2.3 (Etat initial de l environnement) Ajout d illustrations dans le Résumé Non Technique : Pièce F, II.IV.1 «Le tracé du tramway intercepte le site inscrit de l Avenue de Versailles et de la 2.1 Description de l état initial et identification des enjeux 5 République à Thiais et à Choisy le Roi (arrêté du 26 novembre 1942), ainsi que le site classé (et non monument historique classé comme l indique l étude d impact en p. 200) du parc municipal de Choisy-le-Roi.» Repris dans la présentation générale du projet : Pièce F, III.III.2.7 Le patrimoine archéologique, bâti et paysager «Toutefois, d autres sites inscrits ou classés, que l étude d impact ne recense pas, sont situés à proximité de ce tracé : le parc d Avaucourt sur la commune d Athis-Mons (site classé par arrêté du 11 décembre 1942), les rives de la Seine sur la commune d Athis- 5 Mons (site inscrit par arrêté du 19 août 1976 et modifié par arrêté du 26 juin 1985), le Château et parc d Athis-Mons (site inscrit par arrêté du 12 décembre 1942) ainsi que les Sites ajoutés dans l état initial de l environnement : Pièce F, IV.V.3.2 parcs et jardins communaux de Villeneuve-le-Roi (site inscrit par arrêté du 9 octobre 1942). Ils sont susceptibles de constituer autant de lieux de respiration pour la population que le tramway pourra desservir au travers de stations intermodales.» 2.1 Description de l état initial et identification des enjeux Le bruit 5 «Une campagne de mesures acoustiques a été réalisée du 11 au 22 février Les résultats ont révélé des zones dans lesquelles il existe des dépassements des valeurs réglementaires et des points noirs de bruit (définis par la circulaire du 25 mai 2004 relative au bruit des infrastructures de transports terrestres) ont été mis en évidence.» Précisions concernant les PNB apportée à l état initial de l environnement : Pièce F, IV.VIII.1.3.B «L aménagement du secteur ne prévoit pas de remanier le sol en place au point d en 3. Les impacts environnementaux et les mesures proposées par le pétitionnaire 6 modifier l actuelle topographie. Toutefois, l analyse de l état initial a montré que les enjeux de stabilité et de pollution des sols devaient être pris en compte. Des études géotechniques et des sondages spécifiques sont prévus et, le cas échéant, des mesures seront prises. L étude d impact indique notamment que pour chaque site pollué, un suivi sera mis en Mémoire en réponse : III.II.1 La topographie, stabilité et qualité des sols place dans le cadre d un plan de gestion. Elle précise également que la réutilisation des terres excavées est prévue sur les sites voisins (Tzen 5 ou M15). L autorité environnementale rappelle que, dans le cas de réutilisation des terres, des tests devront être effectués afin d écarter tout risque de pollution des milieux récepteurs.» 3. Les impacts environnementaux et les mesures proposées par le pétitionnaire 7 «L autorité environnementale note que ces analyses, de même que les modalités de gestion des eaux pluviales (dimensionnement, pluie de référence, etc.) seront précisées dans le cadre de la demande au titre de la loi sur l eau et que l étude d impact fera alors Mémoire en réponse : III.II.2 L eau l objet d une actualisation.» Page 1604
13 Paragraphe concerné Page Remarque formulée par l autorité environnementale Réponse du maître d ouvrage 7 «L autorité environnementale constate que le projet comportera moins d arbres que l état existant.» Mémoire en réponse : III.II.3.1 «L étude d impact mentionne des projets complémentaires liant le tracé de la ligne de 3. Les impacts environnementaux et les mesures proposées par le pétitionnaire 7 tramway aux sites "verts" existants, comme le parc de Choisy, mais cela reste au stade d intentions dans l étude. Les grandes lignes auraient pu être esquissées, dans le cadre des mesures visant à permettre une meilleure intégration du projet dans son environnement.» Mémoire en réponse : III.II.3.2 Milieux naturels «D autre part, il pourrait être intéressant que l emprise puisse accueillir un minimum de biodiversité en testant d autres plantations et d autres modes de gestion que des arbres 7 d alignement et de la pelouse rase. La zone d entretien pourrait également accueillir une Mémoire en réponse : III.II.3.3 "masse végétale" suffisante et en relation avec les espaces voisins pour ajouter un intérêt écologique en complément de son aspect paysager.» «Une attention particulière devra être portée à l intégration paysagère de cette nouvelle infrastructure de transport en site propre dans un espace déjà très marqué par les réseaux viaires. Le projet prévoit donc des mesures spécifiques d intégration paysagère, à la fois 7 pour la ligne de tramway, majoritairement végétalisée et pour les stations, qui tiendront Mémoire en réponse : III.II.4.1 compte de l architecture de l environnement et auront des plantations. L étude d impact ne traduit pas toutefois ces séquences paysagères et l autorité environnementale recommande que ces séquences soient affinées et détaillées.» «Une alternative au tramway classique alimenté en électricité par des lignes aériennes de contact (LAC) aurait pu être présentée et aurait permis de choisir pour certaines sections 3. Les impacts environnementaux un système d alimentation par le sol (APS), notamment à proximité de la station Musée et les mesures proposées par le pétitionnaire 8 d art contemporain du Val-de-Marne. En effet, l alimentation des caténaires par des lignes aériennes de contact nécessite des Mémoire en réponse : III.II.4.2 Le patrimoine paysager et bâti mâts ou des poteaux, parfois même des ancrages en façade, nécessitant un travail d intégration particulier. Le choix du type d alimentation mériterait donc d être justifié.» «Le choix des essences d arbres à replanter (cf. p. 616) parait contestable pour certains, dont il est dit qu ils sont "adaptés au milieu urbain", ce qui n est pas exact pour tous. Le hêtre, déjà en limite de son aire de répartition géographique ici, n est pas adapté à ce 8 milieu urbain, sec et plus chaud (réverbération des surfaces minérales tout autour). De même, l aulne glutineux préfère les sols humides. Quant aux marronniers, on n en replante Mémoire en réponse : III.II.4.3 plus à Paris (et ailleurs) en raison des attaques de la Mineuse, à moins de planter Aesculus carnea (le rose, plus résistant que le Aesculus hyppocastaneum) et qui a pour avantage de ne pas porter de bogues dangereuses pour les piétons.» Page 1605
14 Paragraphe concerné Page Remarque formulée par l autorité environnementale Réponse du maître d ouvrage «Il est indiqué que des mesures de l exposition des riverains seront réalisées pendant la phase d exploitation. Si nécessaire, les postes pourront être équipés de panneaux de 3. Les impacts environnementaux et les mesures proposées par le pétitionnaire Champs électromagnétiques 8-9 blindage. L arrêté de 17 mai 2001 fixant les conditions techniques auxquelles doivent satisfaire les distributions d énergie électrique précise que le champ magnétique auquel peuvent être exposés les tiers ne doit pas excéder 100µT (tesla). De plus l instruction du 15 avril 2013 relative à l urbanisme à proximité des lignes de transport d électricité recommande de ne Précisions concernant les normes à respecter et les objectifs apportées aux impacts du projet : Pièce F, II.V.3.6 et V.XIII.8.4 pas implanter à proximité immédiate des établissements sensibles, des installations susceptibles d exposer les occupants à des niveaux supérieurs à 1 µt.» Page 1606
15 III. REPONSES AUX OBSERVATIONS DE L AUTORITE ENVIRONNEMENTALE Page 1607
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17 III.I OBSERVATIONS RELATIVES A L ETAT INITIAL III.I.1 Sites et sols pollués Le projet de Tramway T9 Paris Orly ville se situe, dans sa partie sud (communes de Choisy-le-Roi et Orly) dans le même secteur que des canalisations de transport d hydrocarbures exploitées par la société TRAPIL. En particulier, le site des Vœux, qui doit accueillir le Site de Maintenance et de Remisage de la ligne T9, est situé à proximité immédiate de ces réseaux. Au cours des études préalables à l élaboration du Schéma de Principe du T9 et du présent Dossier d Enquête d Utilité Publique, la société SOGEFRA, en charge du récolement des réseaux pour le compte du STIF, a contacté la société TRAPIL le 10 juillet La société TRAPIL a répondu : > par courrier en date du 18 juillet 2012, qu elle n était pas concernée par le projet de ligne de tramway ; > par récépissé du 28 septembre 2012, qu elle était concernée par le site des Vœux et la voie du Bouvray à Orly, sans toutefois transmettre de plan de ses canalisations. III.I.2 Patrimoine naturel Le corridor du T9 présente un excellent potentiel pour former la colonne vertébrale d une trame verte à l échelle territoriale : > inscrit au milieu d entités paysagères remarquables et singulières, le tracé du tramway T9 s insère dans l axe historique nord sud la route royale venant révéler la topographie de la Vallée de la Seine, bordée par le coteau du plateau de Longboyau à l ouest et par la plaine alluvionnaire de la Seine à l est ; > sa largeur et le tissu urbain lâche qui le borde sont par ailleurs favorables à la confortation de la trame verte ; > si l insertion des routes et des voies de transports exprime l axe historique radial, symbole d un échange de flux et d une dynamique économique convergeant vers Paris, force est de constater combien la trame verte présente sur le territoire met en lumière un tissu végétal formant un réseau à l échelle métropolitaine. En s appuyant sur des équipements structurants du périmètre d étude, tel le Parc des Lilas, les forts ou encore les cimetières, c est un véritable ensemble végétal qui maille le territoire (signe d une activité agricole florissante) et qui lie la vallée au plateau. Les espaces verts du plateau descendent le long du coteau, dispersés dans l ancien parcellaire agricole et plongeant vers la vallée de la Seine en un continuum végétal lisible d est en ouest, une multiplicité d ambiance et un maillage transversal naturel du territoire. Les concessionnaires de réseaux seront de nouveau contactés au cours des études ultérieures du projet, afin d établir un plan précis des réseaux en présence et d optimiser le phasage des travaux du projet du point de vue des contraintes d exploitation pendant les travaux. Le projet T9 n est pas concerné directement par la présence des canalisations de la société TRAPIL. Néanmoins, leur proximité immédiate au droit du Site de Maintenance et de Remisage nécessite des échanges afin d assurer la sécurité de leurs canalisations. La requalification de l axe de la RD5 par l arrivée du tramway permettra de renforcer la trame verte, de mettre en cohérence les discontinuités paysagères et ainsi de révéler, à l image d un chapelet, l ensemble des tissus vernaculaires qui traversent l axe de la RD5. Les travaux du T9 se feront dans le respect de la règlementation R554-1 du code de l environnement relative aux travaux à proximité des réseaux, de la norme NFS en vigueur depuis le 1er juillet 2012, et de la procédure TRAPIL pour les réseaux LHP (Le Havre Paris). Page 1609
18 III.II OBSERVATIONS RELATIVES AUX IMPACTS III.II.1 Topographie, stabilité et qualité des sols III.II.2 Eau La topographie des territoires traversés ne sera pas modifiée par le projet T9, excepté sur le site des Vœux avec l implantation du Site de Maintenance et de Remisage de la ligne. Pour répondre aux enjeux de pollution des sols, un diagnostic du secteur des Vœux situé sur la commune d Orly est programmé les 12 et 13 mai Il permettra de statuer sur les conditions de traitement des déblais et leur réutilisation éventuelle. Concernant la stabilité des sols, des sondages géotechniques sont programmés en mai et juin 2014 sur l ensemble du tracé de la future ligne T9 et sur le site des Vœux. Suite à la réalisation des études préalables au Schéma de Principe, les premiers principes hydrauliques ont pu être définis en vue de préciser les impacts sur les thématiques «Eau et Assainissement» du projet T9. En particulier, le projet T9 poursuit un objectif d optimisation des surfaces perméables (plateforme végétalisée, noues, bassin de rétention) pouvant permettre la rétention et/ou l infiltration des eaux de ruissellement. Une rencontre a par ailleurs été réalisée avec les services de la Police de l Eau en Juillet 2013 pour poursuivre la réflexion sur cette thématique. Ainsi, l analyse complémentaire des impacts et les principes de mesures seront précisés au cours d une enquête publique au titre des articles L et suivants du code de l environnement (anciennement «loi sur l eau»), sur la base des éléments issus de l avant-projet et notamment d études géotechniques. Page 1610
19 III.II.3 Milieux naturels III.II.3.1 ALIGNEMENTS D ARBRES III.II.3.2 PROJETS COMPLEMENTAIRES Sur la plus grande partie de son tracé, le projet s insère sur la RD5 dans un schéma de partage de voirie globalement équivalent à celui existant. Actuellement, sur le tracé de la ligne de bus 183, les deux voies dédiées au transport en commun positionnées à l axe de la voie sont jouxtées en rive de deux voies de circulation automobile par sens et de circulations douces. Le projet remet ponctuellement en question les quadruples alignements systématiques et la taille en rideau, à la faveur d ensembles arborés implantés en cohérence avec l environnement urbain et évitant les effets de masque ou de masse trop imposante. Par ailleurs, l impact sur le patrimoine arboré imputé au projet doit être tempéré par la prise en compte du temps dans la notion de patrimoine. Sur le projet de tramway T9, les alignements de marronniers taillés en rideau n ont pas une durée de vie qui justifie la conservation des sujets. Le patrimoine végétal est vivant et son renouvellement est indispensable à son maintien. Contrairement à la sauvegarde du patrimoine immobilier ou mobilier, qui consiste en la protection contre les effets du temps et les causes de destruction, la sauvegarde du patrimoine vivant passe par l utilisation du temps pour le maintien des qualités patrimoniales : > conservation de l aspect : échelonnage des implantations nouvelles dans une proportion qui ne modifie pas l aspect ; Les études préliminaires fonctionnelles qui nourrissent le Schéma de Principe ont vocation à identifier les périmètres pertinents de projets connexes garantissant la réussite du projet de transport et de réaménagement. C est dans ce cadre qu ont été identifiés les nombreux potentiels d aménagements d espaces verts qui sont en lien avec l aménagement principal et qui pourraient, dans le cadre d une gestion concertée, constituer avec lui un ensemble végétal de grande ampleur, favorisant la biodiversité : > prolongement de l arboretum le long du mur du cimetière parisien d Ivry-sur- Seine ; > insertion dans la trame végétale «transversale» revendiquée par la ville de Vitry-sur-Seine, notamment au droit du parc du Coteau, avec recours à des essences coordonnées avec les milieux rencontrés dans le parc ; > confortement des éco-connecteurs dans la ZAC Rouget de Lisle à Vitry-sur- Seine, avec coordination des choix d essences ; > conception et choix d essences coordonnés avec les actions prévues sur le parc de la Mairie de Choisy-le-Roi et travail en lien avec les instances de sauvegarde du patrimoine ; > conception convergente avec les ambitions de la «coulée verte» d Orly et choix d essences coordonnés avec le dessin et les milieux rencontrés dans le parc Jean Mermoz. > conservation d un biotope : réflexion par strates et par saison pour conserver un volume critique de maintien du biotope, autorisant les renouvellements de sujets à des temps précis ; > conservation de sujets remarquables ou symboliques : mise en œuvre des moyens de croissance durable des sujets, et prévision du renouvellement dans des conditions équivalentes ou de la naturalisation du sujet. Page 1611
20 III.II.3.3 BIODIVERSITE Si les études fonctionnelles n ont pas vocation à définir précisément le projet, elles orientent notablement la conception vers une plus grande variété d espaces verts, au moyen d une réflexion par séquence avec des réponses variées en fonction des enjeux (fonctionnels et sensibles) : > végétalisation de la plateforme variable et orientation vers des mélanges vertueux en termes de développement durable et de biodiversité (mélange légumineuses / graminées qui permet de réduire les apports en eau et en azote) ; > orientation vers des solutions de plateformes perméables, qui autorisent les échanges substrat / air sur une partie de la surface occupée par la plateforme et constituent donc une amélioration de l existant ; > travail sur les pieds d arbres, dans une inspiration de massif ornemental fleuri naturel (associations de vivaces et de graminées ; > orientation vers des solutions d aménagement d espaces publics permettant de réduire le ruissellement et d offrir une palette végétale élargie (noues, ) ; > aménagement d une large poche à la jonction avec la voie d accès vers le Site de Maintenance et de Remisage, ce qui présente un bon potentiel de relais de biodiversité entre le parc Jean Mermoz et le secteur des Grands Vœux. Page 1612
21 III.II.4 Patrimoine paysager et bâti des quartiers. Végétalisation de plateforme à définir, par exemple similaire aux plateformes plantées du tramway parisien ; III.II.4.1 INTEGRATION PAYSAGERE D une manière générale, les lignes directrices du projet visent à répondre aux enjeux urbains (fonctionnels et sensibles) observés séquence par séquence. Cette réponse paysagère est globale : > les choix de partage de voirie et la conception de détails (vues, prédominance d un cheminement sur un autre ) répondent aux enjeux fonctionnels en hiérarchisant la place accordée à chaque usager ; > les choix d aménagements répondent aux enjeux d identité des lieux, et aident à rendre les différents espaces lisibles et confortables ; > les choix sur le végétal structurent l espace public (arbres d alignement), le hiérarchisent et cadrent la perception du grand paysage. Le végétal est également une composante qui permet d inscrire l aménagement neuf dans un contexte écologique à grande échelle, ce qui enrichit la démarche d un sens plus profond ; > notamment, la stratégie végétale vise à constituer des ensembles paysagers cohérents entre les différentes strates et avec leur environnement, en biotopes durables ; > des plantations adaptées pourront être mises en place sur les stations. On peut imaginer une essence unique ou des essences variées en fonction du contexte ; par exemple des fruitiers d ornement en écho à la tradition maraîchère des lieux. Séquence par séquence, les éléments principaux sont les suivants : > inscription de la séquence Paris - Ivry - Vitry nord dans le prolongement du paysage urbain parisien, avec le recours à un partage de voirie, un pas et une essence d alignement en port libre rappelant le paysage de rue parisien avec les pistes cyclables sur les trottoirs et l association de matériaux dans la continuité de l existant. Concernant la stratégie végétale, utilisation d une essence de seconde grandeur en complément de l alignement pour constituer, entre la voirie et les façades, un couvert végétal à l échelle du piéton et limitant l ombre portée sur les façades. Cette essence secondaire peut varier au long de la séquence pour nuancer l identité de l aménagement en fonction Le long du mur du cimetière parisien d Ivry, qui constitue une sous-séquence incluse dans la première, prolongement de l arboretum sur le terre-plein et la rive est de la RD5, dans un esprit de collection botanique et avec mise en œuvre des supports de pédagogie sur les arbres à proximité des circulations piétonnes ; Dans le sud d Ivry-sur-Seine et le nord de Vitry-sur-Seine, inscription dans un tissu en mutation et un paysage de plateau. Introduction d un rythme pour faire évoluer l axe vers une avenue de ville plus paisible. > dans Vitry-sur-Seine, l aménagement a vocation à révéler les qualités de perméabilité piétonnes transversales et la possibilité d appréhender le grand paysage par des vues ouvertes vers le coteau et la vallée de la Seine. Notamment, l aménagement pourra prolonger les actions mettant en valeur les éco-connecteurs et la trame verte «transversale» à la RD5. Les revêtements et l identité de l aménagement pourront s inscrire en continuité des actions menées sur les espaces publics de la ZAC Rouget de Lisle : aménagement de surlargeurs plantées à la plateforme, en continuité avec celle-ci ; plantations d arbres d alignement sur ces espaces, avec une essence de première grandeur signifiant l alignement ; recours à une strate basse d inspiration plus naturelle et plus variée que dans la première séquence, avec aménagement de noues dans les surlargeurs si possible techniquement ; plantations d arbres en rive dans le prolongement des existants et des trames transversales, avec des essences variées selon le contexte ; > dans Choisy-le-Roi et Thiais, mise en œuvre d un aménagement paysager d inspiration plus jardiné et un aménagement régulier et tramé, en écho à l environnement urbain plus ancien et dont les jardins d avant constituent une qualité visible, avec des alignements d arbres denses au port compact recréant les qualités des tailles en rideau sans pénaliser la santé des arbres. Utilisation de la plateforme pour ordonnancer l espace, dans un langage de parc classique avec des gazons traditionnels et des revêtements type stabilisé ou gravillons d allée pour les surlargeurs. C est une séquence sur laquelle un travail fin de détail d aménagement prend tout son sens, notamment pour mettre en valeur un dessin des espaces verts qui souligne son inspiration du parc de la Mairie. En ce sens, les actions entreprises sur le parc de la Mairie et ses abords seront prises en considération dans les choix d aménagement ; Page 1613
22 > au sud de Choisy-le-Roi et dans Orly, utilisation d un langage paysager commun pour lier les deux entités administratives en un tout urbain. Notamment, renforcement de l unité paysagère sur la rue Christophe Colomb, à voir en fonction des évolutions du tissu à venir, par l imposition d un alignement bâti commun, des revêtements et un partage de voirie unique. Installation d une plateforme végétalisée, si possible perméable, bordée de noues. Plantations d alignements alternant avec les stationnements, conçus en bosquets avec arbre de haute taille, petits sujets et pieds d arbres en taillis relayant les milieux observés en bords de Seine ; De plus, une attention particulière sera apportée au traitement des mâts LAC. Ils sont intégrés dans une réflexion de design et d identité de ligne au même titre que le mobilier urbain. Au titre du programme, il est prévu que les poteaux de la ligne aérienne fassent l objet d un design spécifique en dialogue avec les lieux traversés. Par ailleurs, leur positionnement sera travaillé en fonction du lieu traversé. > dans Orly, aménagement de centre-ville avec un maximum d arbres d alignement, proposé en deux types distincts pour souligner l asymétrie du partage de voirie et apporter de la variété végétale : alignement d arbre de première grandeur le long de la voirie et aménagement d ensembles paysagers avec petits arbres, pied d arbres plantés et mobilier de confort le long de la plateforme. Page 1614
23 III.II.4.2 MODE D ALIMENTATION Sur le projet T9, le STIF a retenu un mode d alimentation par ligne aérienne de contact (LAC). A ce jour, trois systèmes d effacement de ligne aérienne de contact sont en service commercial sur l ensemble d une ligne ou d un réseau : > l alimentation par le sol (constructeur Alstom, exemple à Tours notamment) ; > les super-capacités embarquées et rechargeables en station (constructeur CAF, exemple à Saragosse en Espagne notamment mais pas d exemples en France) ; > les batteries (Constructeur Alstom, exemple à Nice notamment). Ces technologies plus ou moins matures sont déjà en service et d autres sont encore en test induisant ainsi une visibilité réduite sur la robustesse d exploitation offerte par ce type d innovation. En Ile de France, les transports en commun présentent un enjeu particulier en matière de robustesse d exploitation du fait du nombre élevé de voyageurs transportés. En particulier le projet de création d une nouvelle ligne de tramway T9 vient remplacer la ligne de bus 183, une des lignes les plus chargées d Ile France. Sur cet itinéraire, les voyageurs transportés n ont pas d alternatives aisées vers un autre mode de transport structurant en cas de défaillance du tramway. Aussi, le STIF privilégie le recours à une alimentation classique par ligne aérienne de contact garantissant une robustesse plus forte grâce à une technologie éprouvée depuis des décennies. De plus, un système d effacement de ligne aérienne de contact (LAC) influe directement sur le coût d investissement et de maintenance du projet. En fonction de la technologie retenue et de la longueur mise en œuvre, le surcoût lié à l infrastructure peut représenter jusqu à 2,5 M /km. Par ailleurs, le surcoût lié au matériel roulant peut représenter jusqu à 0,3 M /rame. Enfin le surcoût en exploitation (à la fois sur la ligne et sur le matériel roulant) est encore très mal maîtrisé. En effet, alors qu une ligne aérienne de contact est composée uniquement d éléments mécaniques passifs pour lesquels une inspection régulière permet de préparer les opérations d entretien nécessaires ne requérant pas de compétences fines, les systèmes d effacement de la LAC sont tous très complexes. Ils impliquent des composants électriques de puissance, de l électronique et de l informatique de sécurité, des transmissions radio, de nombreux câbles et connecteurs, le tout inclus dans la chaussée publique ou des locaux techniques à créer. Le profil des agents chargés de l entretien de ces systèmes impose une qualification plus complète et plus vaste incluant ces spécificités. Pour assurer la sécurité des personnes, ces systèmes bloquent certains composants dans des états «sans danger» irréversibles. Il faut alors intervenir manuellement pour remettre en service ces composants. Par ailleurs, l entretien des rames de tramway s en trouve alourdi. Les systèmes sont, à ce jour, des technologies propriétaires qui rendent délicates les extensions de ligne, l augmentation du parc de véhicules et l interopérabilité éventuelle avec d autres lignes de tramway type T3. De plus, les nombreux composants (électroniques, électrochimiques) utilisés ont des durées de vie de l ordre de 10 ans, contre le double pour la technologie de la LAC. Aussi, le choix de la mise en œuvre de l effacement de la LAC représente un surcoût important tant en investissement qu en exploitation. Le choix de recourir à un système d effacement de la ligne aérienne a été fait par d autres maîtres d ouvrage dans des secteurs à très forts enjeux patrimoniaux et principalement dans des secteurs sauvegardés (Tours, Orléans Ligne 2, Reims). La décision de mettre en œuvre un effacement de la LAC doit être retenue au cours des premières études du projet, en partenariat entre le maître d ouvrage et les financeurs, car elle dimensionne le coût du projet. De tels enjeux patrimoniaux n ont pas été identifiés sur le tracé du T9 et l opportunité de la mise en œuvre d un effacement de la LAC n a pas été retenue dans le cadre du projet, comme c est le cas sur l ensemble des projets franciliens jusqu ici. Par ailleurs, le STIF souhaite parvenir à une insertion urbaine de grande qualité du projet, sur l ensemble du tracé. Page 1615
24 Ainsi, le dispositif de ligne aérienne de contact est composé de poteaux disposés à environ tous les 50 m en alignement droit (la majorité du tracé de la ligne T9). A ces poteaux sont accrochées des potences sur lesquelles un fil de contact est suspendu. Ce fil de contact fait 150 mm² soit les proportions d un annulaire ce qui, en alignement droit et vu du sol est à peine perceptible. Elle correspond à l insertion retenue pour le prolongement du T3 de la Porte d Ivry à la Porte de la Chapelle. De plus, les poteaux sont intégrés dans une réflexion de design et d identité de ligne au même titre que le mobilier urbain. Au titre du programme, il est prévu que les poteaux de ligne aérienne fassent l objet d un design spécifique en dialogue avec les lieux traversés. Par ailleurs, leur positionnement sera travaillé en fonction du lieu traversé. III.II.4.3 CHOIX DES ESSENCES D ARBRES La sélection des essences à replanter sera concertée avec les gestionnaires des aménagements et après recollection des dernières avancées de la connaissance sur le sujet : allergies, ambitions en termes de développement durable, disponibilité de certaines essences auprès des entreprises La liste présentée n est pas exhaustive et les essences devront être choisies en fonction du milieu d implantation : alignements sur trottoir, alignements dans terrepleins bordant le tramway, quais des stations, site de maintenance et de remisage Cette liste pourra être complétée en fonction des ambitions du projet dans les phases ultérieures d étude : > Tilleuls En conclusion, le STIF estime répondre favorablement aux enjeux de développement durable à l égard de l aspect insertion urbaine. > Erables > Chênes > Frênes > Ormes > Sophoras > Prunus On pourra, de plus, exclure au moment des études opérationnelles les espèces ou les emplacements pour lesquels le retour d expérience est négatif : > Cultivars de Marronniers (Aesculus hyppocastaneum), sensibles aux attaques de parasites ; > Hêtre, à réserver à des plantations en groupes sur des surfaces végétalisées comme l aménagement entourant la voie d accès au SMR ; > Gleditisia triacanthos le long de la voie, dont le port pourrait être incompatible à maturité avec la proximité de la LAC et donc avec une implantation dans les terre-pleins bordant le tramway. Page 1616
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