FOCUS PERFORMANCE IMMOBILIER TERTIAIRE CB RICHARD ELLIS I FRANCE JANVIER 2009
|
|
- Henriette Ricard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FOCUS PERFORMANCE IMMOBILIER TERTIAIRE CB RICHARD ELLIS I FRANCE JANVIER 2009
2 De la recherche d économies... Le contexte économique et la fragilisation de la situation financière des entreprises conduisent ces dernières à intensifier leurs réflexions autour de leurs dépenses. Cette publication a pour objectif d identifier les principaux composants des coûts immobiliers et de proposer des éclairages quant aux possibles ajustements permettant d optimiser la performance immobilière des entreprises. En effet, comprendre comment se positionne l entreprise en termes de coût par rapport au marché et à ses concurrents demeure un élément fondamental d une gestion saine. L erreur classique de ce type d exercice est de considérer que l optimisation de la performance financière, via l étude du ratio coût global au m² et la recherche d économies à tout prix, maximisera nécessairement l efficacité de la structure....à l atteinte de la performance Pour une approche plus pertinente, nous préconisons une démarche davantage intégrée, dans laquelle l immobilier et l aménagement des espaces de travail sont des éléments clés de la performance globale de l entreprise. Celle-ci peut-être mesurée à travers 6 axes d efficacité que nous déclinerons successivement dans ce document : performance financière ; performance de l immeuble ; performance opérationnelle ; performance virtuelle ; performance fonctionnelle ; performance environnementale. Dans cet exercice, les modes de comparaison et les unités de mesure choisis doivent être simples, incontestables, pérennes dans le temps et permettre d aboutir facilement à des actions. Il n existe pas de formule universelle en la matière, car chaque entreprise est unique. Il faut donc penser l immobilier comme un gisement de valeur et de compétitivité et savoir dissocier le domaine du stratégique (source d avantage concurrentiel) du non stratégique. Que m apporte cette dépense? Peut-elle être amoindrie sans me porter préjudice et de quelle manière? Que m apporterait cette action? «Mesurer pour agir», par Jean-Louis Guilhamat, Responsable Corporate Strategies, CBRE France Les coûts immobiliers ne sont pas une fatalité! Des études récentes ont prouvé que le poste des coûts immobiliers est souvent le 2 ème centre de coûts des entreprises, après les charges de personnel. La complexité, la pluridisciplinarité des métiers, les consolidations comptables, les décalages entre les cycles immobiliers et les besoins de flexibilité des entreprises rendent l analyse et la compréhension de ces coûts assez délicates. Dans ce contexte, il apparaît difficile d établir une stratégie court ou long terme (les enjeux financiers étant trop importants) sans une véritable approche méthodologique de l analyse des coûts telle que proposée dans ce dossier. S inspirant de la logique de la «distribution de Pareto» et se voulant avant tout pragmatiques, les 6 critères de performance composant cette analyse définissent tout d abord un socle pérenne dans le temps, une sorte de référentiel permettant d établir des comparaisons par rapport à des «benchmarks» bien ciblés. L étape suivante consiste, pour les utilisateurs, à s interroger sur les raisons qui les ont conduits à ces performances, tout autant que les résultats eux-mêmes. C est un moyen de vérifier et de valider si les prestations offertes et les niveaux de qualité proposés sont en ligne avec les souhaits et les besoins. Ainsi, il est possible de mesurer les impacts de telle ou telle décision dans le coût global et de donner un sens opérationnel aux plans de progrès ou d économies. La logique d une telle démarche est de rendre le pouvoir aux utilisateurs et de leur donner une meilleure maîtrise de leur environnement immobilier, afin d y voir plus clair et de préparer l avenir. N oublions pas cependant que l immobilier est en premier lieu un outil de travail pour les salariés avant d être un coût. L optimisation de la gestion immobilière constitue donc un des leviers de la création de valeur, dans la mesure où cela accompagne la croissance des utilisateurs et contribue à leur performance globale. 2
3 Performance financière : l optimisation du coût au m² ou par poste de travail Un poste de travail représente l ensemble des ressources matérielles qui donnent les moyens à un salarié d accomplir son travail. La recherche de la rationalisation du poste immobilier implique de raisonner parfois en termes de coût par m² mais, souvent, la définition du coût par poste de travail est plus représentative des situations de travail. Ces notions permettent d appréhender les coûts liés à l immobilier de manières globale et spécifique aux différents postes de coûts. L objectif de cette démarche est de pouvoir chiffrer les coûts directement liés à l occupation de l immeuble. Cet audit permet de confronter la performance financière de ses locaux aux prix du marché et ainsi de chiffrer des économies potentielles. Par marché, il faut entendre une notion de comparaison vis-à-vis de la concurrence. En effet, certaines activités légitiment des coûts d exploitation plus élevés que d autres. Ce simple exercice peut, dans des cas concrets, mettre en évidence des écarts de plusieurs centaines de milliers d euros. La performance financière comprend le loyer et les taxes (foncières, sur les bureaux, enlèvement des déchets), les charges au bâtiment (communes et privatives) ainsi que les postes de services à la personne facilement identifiables, mesurables et sur lesquels des actions sont possibles (courrier, reprographie, postes informatiques, etc.). Le loyer est traditionnellement le poste le plus important. Enfin, n oublions pas ici de considérer les aspects juridiques du bail, tels que les états des lieux d entrée et de sortie, l échéance des baux, les clauses relatives aux obligations de réparation (Cf. article 606) ainsi que les clauses négociables (par exemple les ravalements de façades, les travaux de mise en conformité des locaux, la prise en charge des impositions locales, la vétusté des locaux, la remise en état des locaux, etc.) qui peuvent avoir un impact significatif sur la performance financière. Article 606 du Code Civil «Les grosses réparations sont celles des gros murs et des voûtes, le rétablissement des poutres et des couvertures entières, celui des digues et des murs de soutènement et de clôture aussi en entier. Toutes les autres réparations sont d entretien». Performance de l immeuble : l efficacité du bâtiment Au cœur de la performance quantitative de l immobilier de bureaux, la performance de l immeuble permet d apprécier l efficacité du bâtiment. Calculée à l aide du ratio Surface Utile Nette / Surface Utile Brute Locative, elle évalue le rendement utile de l immeuble, c est-à-dire la proportion de surfaces réellement exploitables pour implanter des postes de travail (ce qui donne une idée des effectifs qui pourraient être hébergés sur le site), par rapport à la surface louée (ce qui détermine le prix de la location). Ainsi, plus ce ratio est élevé, plus la surface de l immeuble peut être rentabilisée et utilisée pour loger les effectifs, et donc plus celui-ci est efficace. Nous observons alors que les coûts par poste de travail (la performance financière de l immeuble) et le coût immobilier global annuel diminuent au fur et à mesure que ce ratio augmente. Par conséquent, des actions destinées à l accroître (augmentation de la SUN par des aménagements spécifiques) peuvent entraîner des économies de coûts considérables. Certains experts parlent alors parfois de ce levier en termes de «performance surfacique». 3
4 Performance opérationnelle : utilisation de l espace L approche par la performance opérationnelle est un moyen d apprécier l utilisation réelle des espaces de travail. Elle est mesurée par le taux d occupation, c est-à-dire l effectif constaté (postes de travail occupés) par rapport au nombre de postes de travail installés. Traditionnellement, pour des raisons de congés, de déplacements professionnels, de formation ou encore d arrêts maladie, ce taux est inférieur à 100 %. Cela signifie que le nombre de postes réellement occupés est plus faible que le nombre de postes installés. Par ailleurs, il existe normalement une différence entre la planification initiale de l espace (space planning) et l organisation effective. Cela traduit donc des surfaces vacantes et, par là, un coût d occupation plus élevé que ce qu il pourrait être et des économies potentielles non réalisées. Cette démarche donne donc la possibilité à l entreprise d optimiser sa stratégie immobilière. Effectivement, ce ratio doit permettre au management de voir si un espace est occupé de façon optimale et de le réorganiser, voire même de déménager, de manière à réduire les coûts immobiliers. Cela se fera selon le secteur d activité des entreprises et le métier des salariés. En fonction de la sédentarité plus ou moins importante de ceux-ci, l optimisation du ratio de performance sera évidemment différent, certains plateaux techniques présentant des taux d occupation plus élevés que d autres. Néanmoins, il est important de noter que toute société dispose, et doit disposer, de réserves de postes non utilisés. En définitive, la démarche par l analyse de la performance opérationnelle permet donc aujourd'hui à l entreprise d aménager son espace de travail en fonction de ce dont elle a réellement besoin, de l organisation qui lui sied le mieux, et non plus seulement en fonction de ses effectifs et de leur répartition numéraire sur un site. Certaines structures ont testé la mise en place d espaces de travail partagés pour réduire les coûts. Le poste de travail n est alors plus attitré. Cette formule dite de «desk sharing» a été introduite en France dans les années 1990 par la société Andersen Consulting. Elle permet de réduire le nombre de postes de travail et peut engendrer des économies immobilières significatives. Mais, un tel choix ne peut s avérer payant sans approbation et bien être du personnel, source de bonne ambiance de travail et de productivité. Dans cette optique, pour tester de nouveaux types d organisation, des sociétés choisissent de passer par des «phases pilotes» afin d habituer les salariés et obtenir leur adhésion. Pour optimiser la performance globale de l entreprise, c est à l immobilier de s adapter à l environnement de travail et à l emploi du temps des salariés et non l inverse. L adaptation des locaux doit être considérée comme un moyen d optimiser l organisation du travail, pas seulement comme une simple finalité de réduction des coûts. Les conséquences liées au stress au travail sont en effet parfois nettement plus préjudiciables à la bonne marche de l entreprise qu un simple surcoût immobilier : absentéisme, accidents du travail, perte de motivation, démissions, etc. Certaines sociétés, après avoir envisagé le passage à cette nouvelle organisation du travail, ont ainsi choisi d abandonner le projet, préférant privilégier le cadre de travail des salariés, quitte à ne pas dégager les économies qui auraient pu l être. Le développement du télétravail semble constituer une alternative de réduction des coûts immobiliers plus plausible car mieux accueillie par les salariés. En France, 7 % des actifs travaillent à domicile, contre 15 % dans les pays d'europe du Nord. Performance virtuelle : fixer des règles d attribution de l espace Cette approche consiste à concevoir une affectation optimale de l espace de travail des employés. Si la performance opérationnelle consiste à mesurer le taux d occupation des postes de travail, il s agit ici d optimiser par convention le ratio postes installés / effectif du site. Le nombre de postes installés est ordinairement supérieur à l effectif. En effet, il y a toujours un écart entre le nombre d employés d un site et les personnes physiquement présentes à un instant donné. Renault estimait qu environ 40 % de ses postes de travail n étaient pas occupés à un «instant t» et que 15 % n étaient tout simplement pas attribués. Il ne s agit évidemment en rien de s opposer à ce que chaque salarié puisse librement accéder à son poste de travail. Si le temps de travail des salariés a diminué, les plages horaires de travail se sont, elles, étendues. Ainsi, nombreux sont les espaces consommateurs de m² (salles de réunion) qui ne sont jamais utilisés à temps plein. La mobilité des salariés a explosé ces dernières années. Les causes sont bien connues : télétravail, nouvelles technologies, voyages professionnels, formations continues, etc. En conséquence, il faut davantage prendre en considération le volume total horaire travaillé physiquement dans l établissement. 4
5 Performance fonctionnelle : densification de l espace L utilisation du calcul de la performance fonctionnelle dans le cadre de la maximisation de la performance immobilière est un élément fondamental de la prise de décision en matière d implantation ou d aménagement immobilier, particulièrement dans le secteur tertiaire. Le calcul du nombre de m² de SUN rapporté au nombre de postes de travail installés met en exergue la concentration possible des espaces de bureaux. Face à une certaine capacité de densification (qui doit naturellement tenir compte des aménagements imposés par le Code du travail, notamment en matière de gestion des sinistres), l entreprise pourra choisir d aménager ses espaces de telle ou telle façon, toujours dans le but d économiser, sans faire abstraction de la productivité des salariés. Parmi les 6 types de performances, la performance fonctionnelle est un des leviers les plus importants, un de ceux qui engendrent les variations de coûts les plus fortes. En effet, puisqu il concerne la surface allouée à chaque poste de travail, il est donc Performance environnementale : faire des économies sur l énergie Cette démarche consiste à réduire la consommation énergétique par m² des locaux. Les constructions immobilières sont à l origine de 40 % de la consommation d énergie en France. Le Grenelle de l Environnement vise à favoriser l écoconstruction en imposant un plafond d émission de 50 Kwh/m²/an d'énergie primaire pour les bâtiments neufs à partir de 2010 dans le public et 2012 dans le privé. Ce seuil est toutefois modulable en cas d utilisation d énergie faiblement émettrice de gaz à effet de serre. Selon IPD, la consommation électrique moyenne des immeubles de bureaux parisiens s élève à 314 Kwh/m²/an en Le Grenelle de l Environnement a pour objectif de porter la consommation moyenne annuelle des bâtiments tertiaires à 150 Kwh/m²/an en Dans cette perspective, à terme, il est probable que le développement des certifications Démarche «HQE» provoque une décote des locaux anciens. directement lié au coût du loyer, soit à la performance financière. C est la raison pour laquelle, depuis plusieurs années, une volonté considérable de densifier les espaces de bureaux se fait sentir. L analyse de ce ratio permettant l ouverture de capacités de densification, différentes selon les bâtiments ou encore le métier de l entreprise, de nouveaux modes de travail ont vu le jour, comme les «open spaces» par exemple. Cet agencement est assurément moins consommateur de surfaces au sol, du fait de l absence de cloisons et de la mise en commun des placards et autres rangements. Il devient, en quelque sorte, une nouvelle «norme» d aménagement lors de constructions ou restructurations de bâtiments. Il existe actuellement des débats autour de ce type d aménagement. Il s agit de bien appréhender les besoins des salariés et leurs situations de travail avant de se lancer dans cet exercice de densification. Par ailleurs, le choix et l agencement du mobilier s avèrent déterminants. Le recours à la Gestion Technique des Bâtiments (GTB) permet déjà de réduire de manière significative la consommation d énergie sans investissement lourd. De nombreux utilisateurs restent encore attentistes vis-à-vis de la basse consommation énergétique et du passage à la haute qualité environnementale. Le code de l environnement développé par IPD en collaboration avec Barclays, Bureau Veritas et CB Richard Ellis vise à établir une grille d analyse permettant des comparaisons simples des immeubles en termes de performance environnementale. En tout état de cause, le surcoût lié à une mise à niveau des locaux doit être directement rapporté aux bénéfices qui en découlent : budget énergie maîtrisé, meilleure image auprès des clients, conditions de travail améliorées, etc. FACTURE ÉLECTRIQUE ANNUELLE D'UN IMMEUBLE DE M² (HYPOTHÈSE : 1 KWH = 0,07 ) FACTURE ÉLECTRIQUE ANNUELLE (K ) CONSOMMATION ÉLECTRIQUE (KWH/M 2 /AN) Type d immeuble Consommation électrique en Kwh/m 2 /an Haute Performance Énergétique < 50 Standard 261 Haute Fonctionnalité Technique 311 Haut de Gamme Prestige 346 Locaux d'activités tertiaires 367 Sources : CB Richard Ellis, IPD Source : IPD 5
6 Simulation de la performance Prenons l exemple d une entreprise «A», un siège social de 227 salariés pour m 2 et 250 postes installés qui se situe dans le Quartier Central des Affaires à Paris. Nous la comparons sur les 6 critères qui composent la performance immobilière aux valeurs de référence observées sur le marché (valeurs Benchmark). Performance Financière Immeuble Fonctionnelle Virtuelle Opérationnelle Environnementale Ratio HT/m²/an SUN/SUBL m² SUN/ poste(s) installé(s)/ nombre d'occupant(s)/ Kwh/m²/an poste de travail occupant poste de travail Situation entreprise «A» (5 730 m² personnes) % 12,6 1,07 91 % 349 Valeur Benchmark % 10,0 1,0 85 % 261 Écart + 26 % + 10 % + 26 % + 7 % - 6 % + 34 % Financière Environnementale Opérationnelle Immeuble Fonctionnelle Ce graphique permet de comparer rapidement les performances de l entreprise «A» avec celles du Benchmark. Les valeurs de ce dernier ont toutes été ramenées en base 100. Ici l entreprise «A» n est plus performante que sur le critère opérationnel. Virtuelle Valeur Benchmark Entreprise «A» (5 730 m salariés) Le simulateur développé par CB Richard Ellis permet de comparer la situation de l entreprise «A» par rapport aux valeurs du Benchmark et de modéliser des situations en intervenant sur les différentes performances. Il donne ainsi une idée des économies potentielles que peut réaliser l entreprise. En d autres termes, et par exemple, il est capable d apporter des réponses aux questions suivantes : Mes coûts d occupation sont-ils compétitifs? COÛTS GLOBAUX (EN K ) Coût Unité Situation Valeur Écart Économies actuelle Benchmark potentielles Situation actuelle Valeur Benchmark Occupation surface HT/m²/an % 750 K (loyers + taxes) Charges communes HT/m²/an Charges privatives HT/m²/an % 127 K Services à la personne HT/poste/an % 245 K Total HT/m²/an % K Source : simulateur CB Richard Ellis Occupation Services à la personne Charges communes Charges privatives La performance concernée dans cet exemple est la performance financière. La comparaison de l entreprise «A» avec le Benchmark met en évidence un potentiel d économies de 1,12 million d euros par an. 6
7 Mon immeuble est-il efficace? Situation Valeur Économies Écart actuelle Benchmark potentielles Surface SUBL (m 2 ) % 882 m 2 Surface SUN (m 2 ) Loyer (hors parking) (en m 2 /SUBL) Loyer annuel (hors parking) K K + 18 % 494 K Ratio SUN/SUBL 55 % 65 % + 10 % Source : simulateur CB Richard Ellis Pour répondre à cette question, nous faisons varier la performance de l immeuble. Le but ici est d augmenter le ratio SUN/SUBL afin de libérer de la surface SUBL. La situation actuelle de l entreprise «A» présente une différence de l ordre de 10 % avec les valeurs du Benchmark, les économies potentielles pourraient atteindre plus de euros par an. Mon taux d occupation correspond-il a mes besoins? Situation Valeur Économies Écart actuelle Benchmark potentielles Nombres de postes de travail installés Effectif constaté (postes de travail occupés) Loyer/poste de travail (hors parking) % 17 postes K 13 K Loyer annuel (hors parking) K K - 6 % Ratio poste de travail/effectif 91 % 85 % - 6 % Postes en réserve % Source : simulateur CB Richard Ellis Nous examinons à présent la performance opérationnelle. Le benchmark indique qu en moyenne un taux d occupation de 85 % (soit 40 postes à disposition dans notre exemple) est une base optimale. L entreprise A, qui n a que 9 % de postes en réserve (soit 23 postes), génère de ce fait 219 K d économies par an. Mais dispose-t-elle d assez de postes en réserve? Mes espaces sont-ils bien aménagés? Situation Valeur Écart Économies actuelle Benchmark potentielles Surface SUBL (m 2 ) % m² Surface SUN (m 2 ) % 651 m² Loyer (hors parking) (en m 2 /SUB) Loyer annuel (hors parking) K K + 53 % K Ratio SUN (en m 2 /poste) 12,6 10, % Ratio SUBL (en m 2 /poste) 22,9 15, % Source : simulateur CB Richard Ellis À présent nous ajustons la performance fonctionnelle. L outil de simulation révèle qu un meilleur aménagement des espaces peut faire gagner plus d 1,1 million d euro à l entreprise «A». ÉTUDES ET RECHERCHE GLOBAL CORPORATE SERVICES Aurélie Lemoine Tél aurelie.lemoine@cbre.fr Damien Delourme Tél damien.delourme@cbre.fr Edouard de Laboulaye Tél edouard.delaboulaye@cbre.fr Erika Léonard Tél erika.leonard@cbre.fr Giles Bateman Tél giles.bateman@cbre.fr Jean-Louis Guilhamat Tél jl.guilhamat@cbre.fr CB Richard Ellis, janvier 2009 Bien que puisées aux meilleures sources, les informations que nous publions ne sauraient en aucun cas engager la responsabilité de CB Richard Ellis ou du groupe CB Richard Ellis. La reproduction de tout ou partie du présent document est autorisée sous l'expresse réserve d'en mentionner la source. CB Richard Ellis Ressources - Groupement d'intérêt Economique Siège social : , rue de Courcelles PARIS Siren : RCS Paris 7
8 ÉTUDES ET RECHERCHE AMENAGEMENT D ESPACE CAPITAL MARKETS COMMERCIALISATION HOTELS MARKETING RETAIL PROPERTY MANAGEMENT VALUATION CONSEIL EN IMPLANTATION VENTE A UTILISATEURS GLOBAL CORPORATE SERVICES ASSISTANCE A MAITRISE D'OUVRAGE BUILDING CONSULTANCY RESIDENTIEL PORTFOLIO MANAGEMENT CONSULTING rue de Courcelles BP Paris Cedex17 33 (0)
FOCUS * LES SURFACES CB RICHARD ELLIS I FRANCE AOÛT 2008. * Une nouvelle publication du département Études & Recherche
FOCUS * LES SURFACES CB RICHARD ELLIS I FRANCE AOÛT 2008 * Une nouvelle publication du département Études & Recherche Qui l utilise? Aménageurs, architectes et promoteurs Les différentes surfaces* en immobilier
Plus en détailSYNTHESE AUDIT JURIDIQUE
SYNTHESE AUDIT JURIDIQUE REALISER UN PLANNING DU PROJET ( échéances juridiques, durée du projet, ) Début du Bail Immeuble A DATE de DECISION Préavis avant cette date Fin du Bail Immeuble A Début du Bail
Plus en détailFOCUS PARKINGS CB RICHARD ELLIS I FRANCE JANVIER 2010
FOCUS PARKINGS CB RICHARD ELLIS I FRANCE JANVIER 2010 La Problématique du stationnement La France est un grand pays de l automobile Si personne ne sait quelle sera la place de l automobile dans le futur
Plus en détailLe marché résidentiel Haut de Gamme à Paris David TRAN, Chargé d études
CB Richard Ellis France ViewPoint www.cbre.fr/fr_fr/etude Octobre 2011 Le marché résidentiel Haut de Gamme à Paris David TRAN, Chargé d étu RÉSUMÉ Après avoir été touché par la crise économique et financière
Plus en détailCarré Vélizy, Vélizy-Villacoublay (78)
Carré Vélizy, Vélizy-Villacoublay (78) Dossier de presse 1 er décembre 2009 Jacques BLANCHARD, MRM Président Directeur Général Olivier LEMAISTRE, CB Richard Ellis Investors Responsable du portefeuille
Plus en détailAPPLICATION DU SCHEMA PLURIANNUEL DE STRATEGIE IMMOBILIERE PENDANT LA PERIODE QUINQUENNALE COUVERTE PAR LES SPSI
APPLICATION DU SCHEMA PLURIANNUEL DE STRATEGIE IMMOBILIERE PENDANT LA PERIODE QUINQUENNALE COUVERTE PAR LES SPSI Note de présentation des résultats : ayant pour référence 2011, atteints entre 2012 et 2014
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE
La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber
Plus en détailL immobilier au service de l épargne
Corporate au service de l épargne La performance durable au service de l épargne 14 15 Dans un marché de l immobilier d entreprise particulièrement concurrentiel, la construction d un patrimoine de qualité
Plus en détailATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation
ATELIER PARISIEN D URBANISME Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation AVRIL 2015 Directrice de la publication : Dominique Alba Étude réalisée par : François Mohrt Sous la direction
Plus en détailperformance environnementale Synthèse Décembre 2013 Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france
Étude réalisée en partenariat avec Immobilier tertiaire et performance environnementale Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france Synthèse Décembre 2013 Ce document synthétise les principaux
Plus en détailC e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications
Paris, le 14 février 2014 8h Information réglementée C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications Indicateurs clés : Loyers IFRS à 43,3 M (+12,1%)
Plus en détailPerspectives Entreprises Ile-de-France 4 ème trimestre 2013
Perspectives Entreprises Ile-de-France 4 ème trimestre 2013 Les faits marquants de l année 2013 Offre de bureaux disponibles : 1. Le choix de bureaux ne cesse de s accroître L offre a augmenté de 9% en
Plus en détail10 Cycle de vie des immeubles de bureaux
10 Cycle de vie des immeubles de bureaux Surfaces de bureaux et mutations structurelles Les immeubles de bureaux sont exposés à trois cycles distincts: premièrement, au cycle de vie de tout objet immobilier,
Plus en détailMarchés immobiliers : conjoncture et perspectives
Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,
Plus en détailEffet «La Marseillaise»
DTZ Research PROPERTY TIMES Effet «La Marseillaise» Marseille Bureaux T4 214 1 Février 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Le marché marseillais
Plus en détailAVIS. Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant le décret n 2006-1267 du 16 octobre 2006 instituant un Conseil de l'immobilier de l'état ;
2015-01 Séance du 11 février 2015 AVIS sur le suivi et la mise en œuvre du schéma pluriannuel de stratégie immobilière des services administratifs et des structures relevant des services du Premier ministre
Plus en détailDurée d investissement recommandée de 8 ans. Lorsque vous investissez dans une SCPI, vous devez tenir compte des éléments et risques suivants :
SCPI Rivoli Avenir Patrimoine investir INDIRECTEMENT dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers Durée d investissement recommandée de 8 ans AVERTISSEMENT Lorsque vous
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailSur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP).
2014-25 Séance du 17 septembre 2014 AVIS Sur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP). Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant le décret
Plus en détailLILLE MÉTROPOLE BUREAUX
CONSEIL MÉTROPOLE CHIFFRES CLÉS BUREAUX ème TRIMESTRE 015 ARTEPARC - Lesquin - 1 er bâtiment inauguré en juillet Parc tertiaire 3 ème génération qui proposera à termes bâtiments et 44 000 m de bureaux
Plus en détailAnalyse de la Valeur Verte dans l immobilier de bureaux
DIRECTION ECONOMIE ET SCIENCES HUMAINES Analyse de la Valeur Verte dans l immobilier de bureaux Sylvain LAURENCEAU Sur la base d une comparaison des performances environnementales et financières de deux
Plus en détailETUDE COMPARATIVE INVESTISSEMENT IMMOBILIER LOGEMENTS / COMMERCES / BUREAUX
Page 1 ETUDE COMPARATIVE INVESTISSEMENT IMMOBILIER LOGEMENTS / COMMERCES / BUREAUX 1 Introduction La présente étude a pour objet de mettre en concurrence lʼinvestissement dans un ou plusieurs appartements,
Plus en détailPropriétaires, Locataires, Administrateurs de Biens et Assurance en Copropriété
Propriétaires, Locataires, Administrateurs de Biens et Assurance en Copropriété 1. Caractéristiques et champ d application d une Assurance Immeuble : Existe -t-il une obligation d assurance? Aucun texte
Plus en détailDES BUREAUX D EXCEPTION AU CŒUR DE LA CAPITALE
DES BUREAUX D EXCEPTION AU CŒUR DE LA CAPITALE WWW.STEEL-PARIS.FR Des bureaux d exception, au cœur de la Capitale. TOUT STEEL EN UN CLIC. Plans téléchargeables, données techniques, galerie d images...
Plus en détailSCPI GEMMEO COMMERCE. L immobilier de commerce français en portefeuille
SCPI GEMMEO COMMERCE L immobilier de commerce français en portefeuille AVERTISSEMENT Facteurs de risques Avant d investir dans une société civile de placement immobilier (ci-après «SCPI»), vous devez tenir
Plus en détailDossiers méthodologiques DURANTON Consultants. Maîtriser la gestion du parc automobile
Dossiers méthodologiques DURANTON Consultants Maîtriser la gestion du parc automobile Version actualisée le 17 octobre 2013 Adresse du siège social : 190 rue Lecourbe 75015 Paris Adresse de correspondance
Plus en détailSéminaire Bâtiment Durable :
1 Séminaire Bâtiment Durable : Reconversion durable d immeubles de bureaux Bruxelles Environnement Focus 2 : Aspects techniques et architecturaux Anders BÖHLKE Program Manager de l Executive Master Immobilier
Plus en détailNewsletter n 10 Mars 2012
Newsletter n 10 Mars 2012 La SHOB et la SHON sont remplacées par la surface plancher depuis le 1er Mars 2012. À l occasion de l adoption de la loi Grenelle 2 en juillet 2010, le Parlement a autorisé le
Plus en détailEdissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE
Edissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE Valorisez votre patrimoine avec de l immobilier d entreprise de qualité en investissant dans la SCPI Edissimmo - Durée recommandée : 8 ans Augmentation de capital ouverte
Plus en détailEdissimmo. Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo
Edissimmo SCPI Immobilier d Entreprise classique diversifiée à capital variable Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo Comporte
Plus en détailcommerciaux : comment s y
J o u r n é e d e s b a u x c o m m e r c i a u x 1 4 n o v e m b r e 2012 o r g a n i s é e p a r l e b u r e a u d e s d i p l ô m é s d u M a s t e r d e M a n a g e m e n t I m m o b i l i e r d e
Plus en détailPour une gestion active du patrimoine
Pour une gestion active du patrimoine Présentation CETE du 07-06-2012 1 sommaire 1. Introduction 2. La gestion active du patrimoine : qu est-ce que c est? 3. Une nouvelle organisation 4. Le Plan Stratégique
Plus en détailLe Hive L amélioration énergétique d un bâtiment neuf
Le Hive L amélioration énergétique d un bâtiment neuf Présentation de Thierry DJAHEL, Schneider Electric Dans le cadre de la matinée technique IFPEB CSTB du 28 novembre 2012. 28/11/2012 1 En chiffres 35
Plus en détail> Groupama Gan Pierre 1 Une opportunité d investir indirectement dans l immobilier d entreprise
Immobilier d'investissement > Groupama Gan Pierre 1 Une opportunité d investir indirectement dans l immobilier d entreprise Éligible comme support en unités de compte proposé dans le cadre d un contrat
Plus en détailLes clés du marché Ile-de-France Bureaux T2 2012 Fort recul des grandes transactions
Fort recul des grandes transactions 5 juillet 2012 Contents Executive summary 1 Carte de synthèse 2 Demande placée et taux de rotation 3 Offre immédiate et taux de vacance 4 Loyers moyens 5 Définitions
Plus en détailL AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES. TRANSVERS CONSULTING L'audit des compagnies d'assurances 2005 1
L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES 2005 1 Séminaire - Atelier L audit interne dans l assurance 1 ère communication : Généralités sur l audit interne 2 ème communication : L audit interne des compagnies
Plus en détailL ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN
Plus en détailLes enjeux du projet Cœur de Quartier sont :
Communiqué de presse 23 avril 2014 Établissement public d aménagement de La Défense Seine Arche 55 Place Nelson Mandela 92024 Nanterre Cedex L Etablissement Public d Aménagement de La Défense Seine Arche
Plus en détailL immobilier est il encore un placement intéressant? Wavre, le jeudi 03 avril 2014
L immobilier est il encore un placement intéressant? Wavre, le jeudi 03 avril 2014 SOMMAIRE Comportement de l immobilier belge Qui sommes-nous? Structure et méthodologie L investissement immobilier en
Plus en détailInvestir indirectement dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers
SCPI Rivoli Avenir Patrimoine Particuliers Investir indirectement dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers Durée d investissement recommandée de 8 ans AVERTISSEMENT
Plus en détailACQSION 2% d honoraires 10, rue de SUEZ 13007 Marseille 04 86 12 51 12 RCS Marseille 503903270
ACQSION 2% d honoraires 10, rue de SUEZ 13007 Marseille 04 86 12 51 12 RCS Marseille 503903270 Etude du bien appartenant à Sis à Aix en Provence Estimation par comparaison 2 Estimation par rentabilité
Plus en détailLes SCPI. François Longin 1 www.longin.fr
Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire i «L investissement t immobilier» Les SCPI François Longin 1 www.longin.fr Généralités sur les SCPI SCPI Borloo Plan Processus d investissement (sélection
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailHORAIRES D OUVERTURE :
Tel : 04 90 82 82 81 Fax : 04 90 82 82 83 E-Mail : location@sudimmo-avignon.fr LE GUIDE DU LOCATAIRE HORAIRES D OUVERTURE : Du lundi au vendredi de 9h00 à 12h30 et de 14h00 à 18h30 Le samedi de 9h30 à
Plus en détailAssemblée Générale Mixte 7 juin 2012. Immeuble NOVA La Garenne-Colombes (92)
Assemblée Générale Mixte 7 juin 2012 Immeuble NOVA La Garenne-Colombes (92) LIMITATION DE RESPONSABILITE Déclaration prospective (Safe Harbour) Cette présentation comprend des considérations prospectives
Plus en détailFICHE PRATIQUE SCPI QU EST-CE QU UNE SCPI? AVANTAGES DE L INVESTISSEMENT IMMOBILIER CONTRAINTES DE LA GESTION «EN DIRECT» LES ATOUTS DES SCPI
FICHE PRATIQUE SCPI QU EST-CE QU UNE SCPI? La Société Civile de Placement Immobilier est un organisme de placement collectif qui a pour objet l acquisition et la gestion d un patrimoine immobilier locatif
Plus en détailLES CARTES VISA AFFAIRES ET VISA GOLD AFFAIRES
GESTION DES FLUx Cartes Affaires Mission Plus ENTREPRISES ENTRÉE EN RELATION GESTION DES FLUX CRÉDIT BAIL AFFACTURAGE PRODUITS DE MARCHÉ CORPORATE FINANCE ASSURANCE INTERNATIONAL ADMINISTRATEUR DE BIENS
Plus en détailCommuniqué de presse. Paris, le 7 mars 2011. La première étude sur le Buzz en ligne dans l immobilier d entreprise français : Un regard nouveau
Paris, le 7 mars 2011 Communiqué de presse La première étude sur le Buzz en ligne dans l immobilier d entreprise français : Un regard nouveau Un pessimisme persistant Des utilisateurs absents A l occasion
Plus en détailREGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière
REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière Ce document a pour objet de décrire l ensemble des règles d imputation des dépenses et de préciser les biens pouvant être considérés comme des
Plus en détailComment réussir le déménagement de vos locaux professionnels. Les 15 étapes d un déménagement en toute sérénité
Comment réussir le déménagement de vos locaux professionnels Les 15 étapes d un déménagement en toute sérénité Introduction Déménager des locaux professionnels n est pas une mince affaire. En la matière,
Plus en détailLE MARCHÉ DE L INVESTISSEMENT EN FRANCE
CB RICHARD ELLIS Market View Conjoncture immobilière ILE-DE-FRANCE / FRANCE 3 ème trimestre 2010 TENDANCES Investissements France entière Engagements Taux «prime» bureaux Bureaux Ile-de-France Demande
Plus en détailGarantie des Propriétaires non Occupants
[ Habitation ] Particulier 2007 Votre demande d adhésion Propriétaires non Occupants Pour assurer [ la pérennité ] de votre investissement Des garanties très complètes à un prix attractif pour assurer
Plus en détail(Bâtiment Basse Consommation)
PREMELY Habitat 3 BBC (Bâtiment Basse Consommation) SCPI DE TYPE «SCELLIER BBC» Prorogation de la commercialisation jusqu au 20 décembre 2012. La période de souscription de PREMELY Habitat 3 BBC, prévue
Plus en détailLe bâtiment, nouvel outil de performance pour l entreprise. Solutions STIBIL et GILIF
Le bâtiment, nouvel outil de performance pour l entreprise Solutions STIBIL et GILIF Un immeuble tertiaire à réinventer Les entreprises sont régulièrement confrontées à de profonds changements de leur
Plus en détailDISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES
CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement
Plus en détailÉcouter et accompagner
Gérer durablement Écouter et accompagner > Prestataire de services Le Groupe Dauchez s adresse aux propriétaires immobiliers souhaitant confier la gestion de leur investissement à des professionnels indépendants
Plus en détailOPCIMMO-P. L épargne immobilière indirecte réinventée. Diversification compte-titres et assurance vie
Diversification compte-titres et assurance vie OPCIMMO-P Munich - Atelier an der Medienbrüke Paris - Cap 14 (VEFA) L épargne immobilière indirecte réinventée Document dédié à la présentation de l action
Plus en détailDépasser. Avancer. HSBC Horizon 360. Atteindre
HSBC Horizon 360 Avancer Atteindre Dépasser Francfort est un carrefour majeur européen. La ville qui 50ºN abrite un nombre important de gratte-ciels, est parfois Francfort Allemagne surnommée Mainhattan
Plus en détailFrench Lease Events Etude sur le comportement des locataires de bureaux en France
French Lease Events Etude sur le comportement des locataires de bureaux en France Immobilier Janvier 2011 Préambule Les échéances triennales et l expiration du bail commercial constituent des fenêtres
Plus en détailLe marché des bureaux 3ème trimestre 2008 Octobre 2008. Nanterre
Le marché des bureaux 3ème trimestre 28 Octobre 28 1 Nanterre Chiffres clés Le marché de Péri-Défense au 3ème trimestre 28 : Nanterre - Un niveau de demande placée boosté par une transaction clé en main
Plus en détailEXPERTISES POUR L IMMOBILIER COMMERCIAL
EXPERTISES POUR L IMMOBILIER COMMERCIAL Riche de notre expérience de plus de 17 ans dans l implantation commerciale et l expertise auprès des commerçants, nous avons développé notre savoir-faire en matière
Plus en détailCONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION
CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION «Multiplier les points de vue pour voir la situation sous le meilleur angle». Au contact de ses clients Crédit Foncier Immobilier s est forgé la conviction que ses
Plus en détailQu est-ce que la Bourse?
Qu est-ce que la Bourse? Une bourse est un marché sur lequel se négocient des valeurs mobilières. Les émetteurs y offrent des titres que les investisseurs achètent ; ces derniers financent alors les agents
Plus en détailRUE DU PRÉ DE LA BICHETTE, 1 1202 GENÈVE
RUE DU PRÉ DE LA BICHETTE, 1 1202 GENÈVE À LOUER au NATIONS BUSINESS CENTRE IMMEUBLE ENTIÈREMENT RESTRUCTURÉ ET RÉNOVÉ 11 280 m2 divisibles par plateaux de 860 m2 Situation Excellente situation Bénéficiant
Plus en détailPRIVATE EQUITY. La solidité et la prospérité du marché suisse. Un rendement stable et durable dans l immobilier locatif et hôtelier
VIRGIN REAL ESTATE INVEST PRIVATE EQUITY La solidité et la prospérité du marché suisse Un rendement stable et durable dans l immobilier locatif et hôtelier L excellence de la place luxembourgeoise. ADEJE
Plus en détailFAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008
SOMMAIRE Faits marquants du 1 er trimestre 2008 2 Analyse de la production Locindus au 31 mars 2008 3 Analyse des activités 4 Analyse des comptes de résultats 5 Finance et trésorerie 7 Comptes consolidés
Plus en détailAMÉNAGEMENT DE BUREAUXCLÉ EN MAIN Une nouvelle implantation: Instrument de management Accélérateur de changement
AMÉNAGEMENT DE BUREAUXCLÉ EN MAIN Une nouvelle implantation: Instrument de management Accélérateur de changement UNE RÉPONSE GLOBALE AUX PRO BLÉMATIQ UES D IMPLAN TATIO N TERTIAIRE. MÉTHODE : Conception
Plus en détailLE SIGNAC. 1 AVENUE DU GENERAL DE GAULLE 92230 GENNEVILLIERS 6 584 m² de bureaux divisibles à partir de 290 m². Contact :
LE SIGNAC 1 AVENUE DU GENERAL DE GAULLE 92230 GENNEVILLIERS 6 584 m² de bureaux divisibles à partir de 290 m² Contact : Christophe Dejeune E: cdejeune@savills.fr DL: +33 (0) 1 44 51 17 57 M : +33 (0) 6
Plus en détailImmobilier de bureaux
Immobilier de bureaux Observatoire Nantais de l Immobilier Tertiaire L année en chiffres Nantes Métropole AURAN Édito 5 ans déjà! En 2009, le CINA décidait d organiser la collecte des transactions du marché
Plus en détailSWISS limite les pertes à 200 millions de CHF au premier trimestre
Communiqué de presse 27 mai 2003 SWISS limite les pertes à 200 millions de CHF au premier trimestre La compagnie aérienne SWISS a réalisé un chiffre d affaires de 1 044 milliards de francs suisses au cours
Plus en détailImmobilier public. L immobilier au service du secteur public Valorisez votre patrimoine
Immobilier public L immobilier au service du secteur public Valorisez votre patrimoine Transformation et optimisation de l immobilier public Un poste à gérer comme une opportunité et une ressource Un
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013
IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 68 avenue des Guilleraies 92000 NANTERRE Téléphone : 01 55 17 00 00 Fax : 09 81 70 68 48 Mail : contact@street-office.fr DECEMBRE 2013
Plus en détailIL A ÉTÉ CONVENU ET ARRÊTÉ CE QUI SUIT :
CONTRAT DE SYNDIC Mandat n.. ENTRE LES SOUSSIGNÉS : «Le syndicat des copropriétaires» du... Représenté par le Président de Séance... Agissant en exécution de la décision de l assemblée générale du... Ci-après
Plus en détailFOCUS TAUX CB RICHARD ELLIS I FRANCE NOVEMBRE 2009
FOCUS TAUX CB RICHARD ELLIS I FRANCE NOVEMBRE 2009 Pourquoi un focus sur les taux? Comment la banque fixe-t-elle le coût de mon crédit? Pourquoi un placement boursier doit-il être plus rémunérateur que
Plus en détailCLIENT INVESTISSEUR SCPI. Achète des parts de SCPI. Les locataires payent des LOYERS à la SCPI. Distribution de revenus, valorisation du patrimoine
Investir en SCPI Une SCPI ou Société Civile de Placement Immobilier est un produit d investissement collectif non coté investi en immobilier. L acquisition de parts de SCPI permet à l investisseur d effectuer
Plus en détailImpôts 2015. TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans. particuliers. professionnels du bâtiment
Impôts 2015 TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans particuliers professionnels du bâtiment travaux relevant des taux réduits attestation Les principaux taux de TVA depuis le 1er
Plus en détailTechnopole de Bourges : Construction d un Centre d Affaires Vendredi 4 février 2011 15H00
Dossier de presse Technopole de Bourges : Construction d un Centre d Affaires Vendredi 4 février 2011 15H00 Contacts presse : Laurent DEULIN : 02 48 48 58 10 06 63 95 00 23 l.deulin@agglo-bourgesplus.fr
Plus en détail648 m² Disponibilité : Immédiate
Un lieu unique en Europe, où les métiers du cinéma, de l'audiovisuel et du numérique jouent les synergies. CONDITIONS FINANCIERES Loyer annuel Charges annuelles Honoraires SURFACES PROPOSEES Détail surfaces
Plus en détailQUESTIONNAIRE D ASSURANCE MULTIRISQUE IMMEUBLE
Serviced Assurance de l industrie hôtelière 26 rue Fortuny 75017 PARIS Tél : 01 55 65 05 10 Fax : 1 55 65 05 20 e-mail : era@erassur.com www.assurance-hoteliere.fr ERA est coverholder LLOYD S Etude et
Plus en détail- le cas échéant, représenté par le mandataire [nom ou raison sociale et adresse du mandataire ainsi que l activité exercée] :
CONTRAT DE LOCATION (Soumis au titre Ier bis de la loi du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n 86-1290 du 23 décembre 1986) LOCAUX MEUBLES A USAGE
Plus en détail8 Certifications Minergie
8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,
Plus en détailGestion des actifs et du patrimoine immobilier
06 Gestion Cette famille rassemble des métiers dont la finalité est de gérer mobiliers et s en vue d optimiser leur rentabilité et leur contribution à la performance économique globale de l entreprise.
Plus en détailLe scandale de l immobilier d entreprise dans un contexte de crise du logement
Le scandale de l immobilier d entreprise dans un contexte de crise du logement Décembre 2012 Introduction Alors que, consciente des problèmes graves de logement et d hébergement auquel est confronté notre
Plus en détailConjuguez immobilier d entreprise et démarche environnementale
L anticipation des nouvelles normes environnementales Lors de la constitution d un patrimoine immobilier à travers la création d une nouvelle SCPI, PERIAL Asset Management s efforcera de prendre en compte
Plus en détailL Immobilier d Entreprise en Seine et Marne
L Immobilier d Entreprise en Seine et Marne 77 Ce magazine vous est offert par : CENTURY 21 Egérie 01 60 60 21 21 www.century21egerie.com C notre sélection BRIE COMTE ROBERT Dans un centre commercial de
Plus en détailCUSTOM SOLUTIONS SA RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LA GESTION DU GROUPE. Sociétés Forme Pays d immatriculation
CUSTOM SOLUTIONS SA Société anonyme au capital de 4.863.050 Siège Social : 135, avenue Victoire Z.I. de Rousset-Peynier 13790 ROUSSET RCS AIX EN PROVENCE B 500 517 776 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION
Plus en détailJones Lang LaSalle Supply Chain & Logistics Solutions
Jones Lang LaSalle Supply Chain & Logistics Solutions Mathieu de Saint Albin I Bruno Montigny I Jean Marie Guillet I Alexis Trochu Paris, mars 2012 Vos questions? Problématiques associées à la chaîne de
Plus en détailUn bon début d année. 6 mai 2014. Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité. Solides performances opérationnelles
Chiffre d affaires 3M 2014 Le Patio, Le Patio, Lyon Lyon - - Villeurbanne CB 21, La Défense Un bon début d année 6 mai 2014 Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité 7 000 m² loués à La Défense
Plus en détailDéfinitions. Définitions sur le logement
Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons
Plus en détailDévelopper la valeur d une entreprise : l impact du levier immobilier
Développer la valeur d une entreprise : l impact du levier immobilier Janvier 2012 Jones Lang LaSalle Private Equity Desk CONSTATS L immobilier d exploitation : un levier à actionner L entrée d un fonds
Plus en détailLa fonction achats fonction achats internes extérieur
L objectif de la fonction achats est de mettre à la disposition des utilisateurs internes de l entreprise des biens et/ou des services acquis à l extérieur dans les meilleures conditions de prix, de délais,
Plus en détailTaux global d actualisation - Comment analyser une transaction immobilière?
Taux global d actualisation - Comment analyser une transaction immobilière? Par Andréanne Lavallée Directrice principale Avril 2013 Résumé L auteure se penche sur la notion des rendements immobiliers recherchés
Plus en détailConception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière
Conception et construction des ouvrages gaz Club de la Performance Immobilière Novembre 2014 RT2012 et arrêté 2 Aout 77 Arrêté du 26 octobre 2010 relatif aux caractéristiques thermiques et aux exigences
Plus en détailPLUS DE DROITS ET PLUS DE CHOIX POUR LE CONSOMMATEUR. Plus d informations sur la loi Consommation : mars 2015
Plus d informations sur la loi Consommation : www.loiconso.gouv.fr #LoiConso VOITURE CONSOMMATION RESPONSABLE QUALITÉ & TRAÇABILITÉ CARTE DE FIDÉLITÉ ON LITIGES OFF LUTTE CONTRE LE SURENDETTEMENT SANTÉ
Plus en détailFiche conseil LE BAIL COMMERCIAL. Explications et conseils. Nos fiches conseils ont pour objectif de vous aider à mieux appréhender les notions :
LE BAIL COMMERCIAL Explications et conseils Fiche conseil Nos fiches conseils ont pour objectif de vous aider à mieux appréhender les notions : Certifié ISO 9001 Comptables Fiscales Juridiques, Sociales,
Plus en détailSelon la charte de l expertise en évaluation immobilière, 3 ème édition Juin 2006, la valeur vénale est :
COMPAGNIE NATIONALE DES EXPERTS IMMOBILIERS * 1 Alain MANZON Expert Immobilier-Consultant JANVIER 2013 N d agrément - 1004 - Diplômé de l Enseignement Supérieur RD559 Beauvallon Guerre vieille 83310 GRIMAUD
Plus en détailGestion active des bâtiments. Classification des niveaux d intégration de la sécurité
Gestion active des bâtiments Classification des niveaux d intégration de la sécurité L évaluation de la performance d un bâtiment tient compte de sa consommation énergétique et de son empreinte environnementale
Plus en détailFISCALITÉ ET BUSINESS PLAN : DE LA DÉDUCTIBILITÉ DES CHARGES FINANCIÈRES
FISCALITÉ ET BUSINESS PLAN : DE LA DÉDUCTIBILITÉ DES CHARGES FINANCIÈRES Pierre Astolfi et Olivier Ramond SFEV Matinale du 17 avril 2013 INTRODUCTION (1/2) Depuis 2006, 4 enjeux en matière de construction
Plus en détail