Séminaire de restitution et de travail Synthèse

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1 Projet de Réseau d Information Changement Climatique Massif Central (RICCMAC) Séminaire de restitution et de travail Synthèse Hôtel de Région Auvergne Clermont-Ferrand 08 octobre 2015 Sommaire 1. Ouverture de la journée Table ronde Quel est l état des connaissances sur les impacts du changement climatique sur l agriculture, la forêt et le tourisme dans le Massif Central? Démarche pour l état des connaissances Echanges entre les intervenants et les participants Table ronde Témoignages sur des exemples de réseaux d information Atelier - «Quels services et quelle organisation attendre du réseau d information?» Contexte Proposition de modèle de réseau d information Synthèse des ateliers Clôture de la journée Annexes Les principales idées par atelier... 16

2 1. Ouverture de la journée Monsieur René SOUCHON, Président du Conseil régional d Auvergne, ouvre le séminaire du projet de «Réseau d Information Changement Climatique Massif Central» (RICCMAC) en rappelant combien les Régions du Massif sont engagées sur le thème du changement climatique, et ce bien avant cette année médiatique autour de la COP 21. Il cite notamment l axe 3 de la convention interrégional de Massif, la programmation FEDER mais également les engagements de la Région Auvergne en faveur de politiques volontaristes pour la transition énergétique. Il précise que le projet de «Réseau d Information Changement Climatique Massif Central» représente un exemple de partenariat original et spécifique dans le Massif central. Celui-ci devra constituer un outil précieux au service des actions des Régions du Massif. L état des lieux des connaissances déjà réalisé doit se poursuivre afin d améliorer les connaissances et la compréhension mais aussi faciliter les démarches d adaptation. Ce réseau devra proposer une valeur ajoutée complémentaire aux outils déjà existants ou à venir tels que Vulclim 1, l Observatoire sur les Effets du Changement climatique en Rhône-Alpes et le projet de Giec régional. RICCMAC représente un nouvel outil de mutualisation, de coordination et de sensibilisation. Il permettra d anticiper et d éclairer les décisions mais aussi d adapter les politiques aux spécificités du Massif. Monsieur Jean-Jack QUEYRANNE, Président du Conseil régional Rhône-Alpes et Président du Groupement d Intérêt Public Massif central, rappelle à son tour les engagements de la Région Rhône- Alpes autour de la problématique climatique tant sur son territoire qu au travers de rencontres comme le dernier Conseil national de la montagne ou l accueil du Sommet mondial climat et territoires le 1 er et 2 juillet Les Régions deviennent des acteurs de plus en plus importants dans la prise en compte des enjeux climatiques dans les politiques publiques. La récente adoption de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (NOTRe) confirme cette tendance en confiant de nouvelles compétences aux régions en matière de climat et d énergie, notamment à travers les schémas régionaux d aménagement durable des territoires (SRADDT). Les responsables de politiques publiques ont besoin d une expertise sur les enjeux climatiques. L objectif du projet de «Réseau d Information Changement Climatique Massif Central» s inscrit dans une démarche de facilitation de l adaptation des politiques publiques. Le travail réalisé a contribué à la dynamique de valeur ajoutée du Massif notamment à travers une forte mobilisation des acteurs, de nombreux échanges et une bonne prise en compte des actions déjà mises en œuvre sur le territoire. L ensemble de ces travaux permettra également d alimenter un travail en cours pour la préfiguration d un Groupement inter-régional d étude sur le Climat Auvergne-Rhône-Alpes, GIEC régional. L observation de l évolution du climat et de ses conséquences est le préalable de toute politique publique. Le «Réseau d Information Changement Climatique Massif Central» représente donc un outil indispensable dans le cadre d une politique de Massif pour contribuer à l observation et aux démarches d adaptation des territoires et pour renforcer l image du Massif en tant que «territoire pilote»

3 2. Table ronde Quel est l état des connaissances sur les impacts du changement climatique sur l agriculture, la forêt et le tourisme dans le Massif Central? 2.1. Démarche pour l état des connaissances L état des lieux des connaissances sur l évolution du climat et les impacts constatés dans le Massif central a consisté à réaliser une analyse de la littérature puis à organiser une réunion scientifique multidisciplinaire pour partager les connaissances actuelles et identifier les besoins pour les renforcer. Une synthèse de connaissances actuelles a été présentée au début de cette table ronde. Figure 1 : Synthèse des connaissances actuelles sur l évolution du climat et les impacts du changement climatique 2.2. Echanges entre les intervenants et les participants Quelques acteurs clés du Massif engagés à la fois dans l acquisition de connaissances et la recherche de solution ont été invités à partager leurs connaissances et leurs expériences en s appuyant sur la synthèse des connaissances, ci-dessus, avant d échanger avec les participants. En fin de table ronde, ils ont été invités à partager leurs attentes et leurs contributions pour le projet de réseau d information RICCMAC. 3

4 Au-delà des activités de prévisions météorologiques, Alain BRISSON, Responsable Etudes & Climatologie de la Direction interrégionale Centre Est au sein de Météo France, précise que son établissement travaille dans le diagnostic et la prévision du climat. Météo France travaille avec de nombreux acteurs locaux et propose également plusieurs services comme le portail DRIAS et la dernière application grand public en libre accès, climat HD. Météo France dispose d un grand historique de données non exploitées et travaille à sa numérisation. Pour en savoir plus : DRIAS, climat HD Météo France met déjà à disposition des informations auprès de certains observatoires (ORECC, ORACLE) et pourra faire de même au sein du projet RICCMAC. Salle Les échanges avec les participants invitent à être vigilant sur la qualité et la longueur des séries de données notamment au niveau de l enneigement. Pascal CARRERE, Directeur de l Unité de Recherche sur l Ecosystème prairial de l INRA Auvergne- Rhône-Alpes, insiste sur l importance de la variabilité interannuelle et saisonnière du phénomène. Les évènements extrêmes apparaissent au-delà de cette variabilité. Concernant les impacts sur l agriculture, il précise que la modification des rendements pour les prairies de moyenne montagne se traduit par un effet favorable de croissance, dans la limite de la disponibilité en eau et d un effet seuil lié à la température. L apparition d opportunité d extension des aires nécessite une vigilance et des arbitrages politique tant dans l affectation des terres que dans le maintien de bonnes pratiques culturales pour éviter de produire l effet inverse escomptés par les politiques publiques comme l émission de gaz à effets de serre liée au retournement des terres. Il est également constaté dans le massif central une montée de la forêt méditerranéenne vers le nord. L état sanitaire d un écosystème est très important pour assurer sa capacité d adaptation face aux ravageurs, c est une question de vulnérabilité. La modification de la production fourragère est principalement constatée dans le Sud- Ouest du massif avec une augmentation du niveau énergétique mais une baisse de la teneur en protéine. L Unité de de Recherche sur l Ecosystème Prairial travaille notamment sur les capacités d évolution des prairies en partenariat avec différents acteurs au niveau national et local comme Météo France, AgroClim, la Chambre d Agriculture d Auvergne. Plusieurs travaux sont en cours sur l évolution des prairies pour le maintien des Appellations d Origine Contrôlée (AOC), les problématiques écosystémiques et la production d information à destination de la filière comme les bulletins «info prairie» par les Chambres d Agriculture. Des risques et des opportunités sont donc constatés. Des arbitrages sont à réaliser à l échelle des territoires, et en fonction des spécificités locales, pour trouver les meilleures adaptations possibles. Au-delà des capacités d adaptation de chaque filière, la cohérence des réponses qui doivent être apportées à l effet global est particulièrement soulignée, notamment au niveau des politiques publiques. Cet enjeu n est pas pris en compte pour l instant. La démarche du projet RICCMAC a permis aux acteurs de différentes filières d échanger ensemble. Si le projet était prolongé, il serait utile d associer d autres thèmes (transport, logement ) mais aussi les thématiques de science humaines et sociales. Le projet RICCMAC pourrait ainsi être une plateforme permettant aux décideurs d échanger et d agir en bonne cohérence entre les solutions individuelles dans chaque secteur et les solutions collectives. 4

5 L INRA pourrait contribuer au projet RICCMAC au niveau de l acquisition de données et de références à partir notamment de ses travaux au niveau des prairies, des vergers, des nouvelles plateformes et l Herbipôle. Salle Un représentant agriculteur du Service Interdépartemental pour l'animation du Massif central (SIDAM) informe d un projet en cours visant proposer des prévisions sur l évolution climatique le plus localement possible pour sensibiliser les agriculteurs et faciliter leurs démarches d adaptation tant la gestion sanitaire, la sélection des variétés que la gestion des bâtiments. Les labels de qualité sont effectivement concernés par l évolution du climat et les impacts sur les prairies. Des travaux sont menés par l INRA depuis 2000 pour identifier les facteurs d évolution et mieux valoriser les produits. Cependant, les besoins restent encore importants pour définir les indicateurs, l évaluation des pratiques et surtout s entendre sur les consentements à réaliser par les acteurs Olivier PICARD, Chef de service Recherche et Développement au sein du CNPF/IDF, est également Coordinateur Réseau Mixte Technologique de l Adaptation des Forêts au changement climatique. Il s agit d un exemple de réseau réunissant un grand nombre d acteurs du secteur de la forêt, des chercheurs aux gestionnaires. Il permet de faciliter les échanges entre ces acteurs et le transfert des connaissances vers les gestionnaires. Ce réseau travaille depuis 2008 dans la collecte et la mutualisation des travaux de recherches sur le changement climatique et la forêt. Il permet ainsi de partager les connaissances disponibles sur les impacts, les pratiques d adaptation et les outils disponibles notamment au niveau du diagnostic permettant de s assurer de l effet significatif du climat. Il travaille par exemple sur des méthodes permettant de convertir des données disponibles des mailles de 8 km à l échelle d une parcelle. Concernant la modification de rendement, les essences forestières pousseraient aujourd hui 30% de plus que le siècle dernier et le dépérissement du chêne pubescent dans la frange sud du Massif représenterait 17%. L adaptation des forêts au changement climatique est essentielle étant donné le rôle majeur des forêts dans les démarches d atténuation. Des démarches d adaptation sont élaborées et partagées par le RMT Aforce 2 comme la diminution de la densité d arbre, l accélération du cycle de production mais aussi l invitation à mélanger, diversifier ou substituer les espèces. Les industriels du bois ne prennent pas encore en compte les enjeux du changement climatique étant donné la priorité donnée à d autres contraintes, économique notamment. Le RMT Aforce participe au projet RICCMAC depuis son lancement et suggère la réalisation d une cartographie de la sensibilité des territoires face au changement climatique réalisée avec les différents secteurs concernés (agriculture, forêt, tourisme ). Salle Les échanges avec les participants se portent notamment sur : - l évolution des parasites et ravageurs tant dans l agriculture que dans la forêt. Le stress vécu cette année montre que cet impact est multifactoriel. La température et l humidité peuvent jouer un rôle important tout comme l état sanitaire des plantes à l arrivée du ravageur/parasite. Concernant la forêt, des stratégies d adaptation doivent être définies afin de réduire les risques tels que le traitement mécanique/préventif, la sélection d essences plus résistantes ou plus 2 5

6 adaptées Le décalage entre développement de la plante et l arrivée de ravageurs est également évoqué avec pour exemple la diminution de pourriture grise dans les vignes. - l eau avec la finalisation du projet HYCARE sur les impacts du changement climatique sur la ressource en eau par Alterre Bourgogne. Cette étude constate notamment une diminution tendancielle des débits dans les cours d eau de Bourgogne, et sans doute des nappes. Sophie DELHAYE, Présidente de l Union Nationale des Associations du Tourisme Auvergne, confie que le changement climatique devient un sujet préoccupant pour les 133 adhérents de l UNAT Massif central qui représentent 1,4 Millions de nuitées. Leur clientèle est également de plus en plus sensible aux enjeux du changement climatique. Les opérateurs doivent faire évoluer leurs offres pour répondre à cette nouvelle demande. Ils ont donc besoin d information et manquent d études, notamment au niveau des prévisions fiables de l évolution du climat, afin de leur permettre d adapter et de faire évoluer leurs offres. Concernant le tourisme de neige, et l activité ski, les acteurs sont en grande difficulté pour proposer et maintenir l attractivité touristique des territoires. Les réflexions sur l adaptation dans le secteur du tourisme débutent à peine et ne fédèrent pas encore un grand nombre d opérateurs. Au-delà de la question de l enneigement. Les opérateurs subissent d autres effets du changement climatique (forte chaleur, précipitation) et répondent aujourd hui de manière individuelle, et non de manière collective. Une réflexion globale avec l ensemble des acteurs du territoire serait nécessaire. Le projet RICCMAC représente pour l UNAT Massif central une opportunité de travailler sur les enjeux du changement climatique en rejoignant une dynamique transversale afin de s alimenter et d échanger en étant sur les orientations et les décisions qui seront prise à l avenir. L UNAT Massif central est disposée à prolonger les échanger avec ce projet et à réfléchir sur les pistes de travail communs avec les autres partenaires. Pascaline ROUX du Parc Naturel Régional des Monts d Ardèche, explique que la charte du Parc dispose d un pilier sur les énergie-climat comprenant des actions sur la diminution des gaz à effet de serre, les énergies renouvelables et également sur l adaptation au changement climatique. Une étude spécifique sur la vulnérabilité de l activité du «tourisme d eau» a été réalisée pour comprendre les comportements des touristes et éviter de reproduire la forte baisse de tourisme dans le Sud du Parc lors de la canicule de 2003, -11%. L étude a permis de constater notamment le déplacement des touristes sur les hauts plateaux. Les touristes ont la «culture du risque» et reviennent rarement après une expérience désagréable. Les acteurs du tourisme n ont pas su non plus adapter leurs offres et le dimensionnement de leurs infrastructures face à la modification du comportement des touristes, comme en cas de forte chaleur de fortes affluences pour les grottes (tourisme de fraîcheur) en début d après-midi puis une forte sollicitation pour les canoés en fin d après-midi. Le Parc naturel régional a accueilli un atelier de travail du projet RICCMAC. Il propose de contribuer à ce réseau en étant une sentinelle, un lieu d observation, sur différents thèmes comme la forêt, le tourisme, l agriculture Il pourrait ainsi faire remonter des informations sur les impacts observés et ainsi faire bénéficier les autres acteurs du massif central. 6

7 3. Table ronde Témoignages sur des exemples de réseaux d information Cécile COISPLET, Chargée de mission, Conseil régional Rhône-Alpes présente l Observatoire Régional des Effets du Changement Climatique Rhône-Alpes (ORECC) mis en place en 2013 par la DREAL Rhône- Alpes, la Région Rhône-Alpes et l ADEME. Il a pour objectif de diffuser de l information, apporter des connaissances, valoriser les bonnes pratiques et produire des indicateurs. A ce jour, trois thèmes ont été étudiés : climat, agriculture/sylviculture et tourisme. Trois exemples d indicateurs sont présentés : climatiques, agroclimatiques et touristiques (eau). La présentation de ces derniers indicateurs permet par exemple d observer quelques évolutions dans le sud de la Drôme et le sud de l Ardèche, sur la période juillet-août. Les résultats montrent ainsi : - Des températures moyennes estivales en augmentation en Drôme-Ardèche entre 1959 et 2013: +2 C en été à Aubenas, et +2,3 C à Montélimar - Des températures élevées favorisant la venue des touristes en juillet-août dans ces deux départements - Des eaux de baignade de bonne qualité, même en Aucune période d assec détectée sur les cours d eau étudiés en zone touristique. Les débits sont suffisants pour pratiquer les activités nautiques (canoé-kayak, baignade ), grâce au soutien d étiage (mesure d adaptation) - Une grande sensibilité à la sécheresse de la Drôme et de l Ardèche : mesures de restriction d eau systématiques les années chaudes et sèches, parfois plus de 90% du temps en juilletaoût. Pour en savoir plus : Julien LAVAUD, Chef de projet, ARPE Midi-Pyrénées présente l Observatoire Pyrénéen du Changement Climatique (OPCC) mise en place par la Communauté de Travail des Pyrénées (CTP) en Cette instance de coopération réunit les membres de la CTP et vise à mieux suivre et comprendre le phénomène du changement climatique, à engager des études et réflexions afin d identifier les actions nécessaires pour en limiter les impacts et s adapter à ses effets. Il est composé d un conseil d orientation, d un conseil scientifique et d un comité technique. Il met à disposition notamment des outils tels qu un annuaire des organismes, des cartographies dynamiques, un catalogue de données et un catalogue d études. Pour en savoir plus : Salle - Autre exemple de réseau MACEO est membre de la structure EuroMontana qui regroupe 75 organisations dans 25 pays, au niveau de l Union européenne, dont des collectivités territoriales, des agences environnementales, des associations, des universités Les 10èmes assises européennes de la montagne se tiendront en octobre 2016 et traiteront de la «vulnérabilité des montagnes face au changement climatique». Ce réseau permet de porter-à-connaissance et d influencer les décisions au niveau européen. Pour en savoir plus : MACEO anime également le Réseau européen des petites communes rurales pour la neutralité énergétique (Rurener) pour la transition énergétique. Ce réseau ne traite pas d adaptation. Pour en savoir plus : 7

8 4. Atelier - «Quels services et quelle organisation attendre du réseau d information?» 4.1. Contexte Le travail d état des lieux réalisé dans le cadre du projet avec les acteurs clés du Massif central a permis de recueillir plusieurs éléments de constat. Les données et les études sont majoritairement nationales et peu de travaux ont été réalisés à l échelle du Massif. Ces données sont disponibles mais parfois peu accessibles, voire cloisonnées à un secteur d activité. Les acteurs scientifiques et les acteurs clés du Massif disposent de connaissance mais certaines nécessite d être consolidées. Plus de 850 acteurs et plus d une trentaine de réseaux ont été identifiés dont des dynamiques et des acteurs sur lesquels il est possible de s appuyer. Quelques acteurs sont également engagés dans des démarches d adaptation mais rencontrent des difficultés à bien connaître la vulnérabilité de leur territoire ou de leur activité par manque d information. Les attentes exprimées par les participants durant les huit ateliers de travail entre mai et juillet 2015 ont permis de recueillir les attentes des acteurs pour agir au sein d un réseau d information ainsi que des suggestions sur son fonctionnement. Les 315 attentes exprimées par les acteurs, ont été synthétisées autour de quatre grands services et 17 activités : Les attentes exprimées par les acteurs 315 Développer des espaces d échanges 192 Mettre à disposition des documents et outils adaptés 60 Proposer des temps d'échanges 39 Réunir et partager les expériences des acteurs 27 Contribuer à la sensibilisation des acteurs 26 Faciliter l'émergence de coopération entre acteurs 18 Développer les échanges inter-réseaux 14 Créer un lieu d échange virtuel 8 Renforcer et développer les connaissances à l échelle du Massif 106 Mutualiser les données/études existantes 52 Croiser les besoins des territoires avec les possibilités de la recherche et les financements 43 Définir des indicateurs partagés 7 Traitement des données 3 Réaliser une veille sur l'actualité 1 Aider à la décision et à la mise en œuvre 16 Informer sur les dispositifs de soutiens financiers à disposition 5 Accompagner l'aide à la décision 4 Produire et diffuser des documents techniques 4 Soutenir financièrement des actions d'adaptation 3 Renforcer la visibilité du Massif sur l impact et l adaptation au chgt clim au niveau national et international 1 Permettre au Massif d échanger avec les autres territoires européens 1 Les ateliers de ce séminaire ont permis de recueillir les réactions et les contributions des acteurs à partir d un modèle de réseau d information basé sur les travaux des ateliers. Les 70 participants ont été répartis en fonction de leur activité pour assurer une bonne représentativité des filières et des catégories d acteurs dans les cinq ateliers transversaux prévus. En complément de leurs participations verbales, les participants étaient également invités à prioriser les activités (haute, moyenne, basse) et les acteurs à associer pour chacune des activités proposées. Chaque atelier proposait une co-animation avec un membre de l équipe projet et un acteur/partenaire «Massif» pour enrichir la dynamique d échange, renforcer l esprit collaboratif du projet et la reconnaissance de certains acteurs clés sur le Massif. Nous tenons encore à remercier les organisations ayant accepté de participer à cette démarche : le GIP Massif central (Mathias VERMESSE), la Région Auvergne (Nathalie SANTACATTERINA), l ADEME Auvergne (Sylvain AVRIL), Macéo (Christelle LEFEVRE) et le RMT Aforce (Céline PERRIER). 8

9 4.2. Proposition de modèle de réseau d information Sur la base des propositions recueillies lors des ateliers, le réseau d information pourrait s inscrire dans le cadre suivant : Une mise à disposition d informations fiables, adaptées et mutualisées Une activité complémentaire en étroite collaboration avec les dynamiques régionales du Massif autour du changement climatique, notamment d observations régionales Une mission permettant d optimiser les moyens humains/financiers des acteurs et de faciliter la mobilisation d expertise Un outil à disposition des acteurs économiques, associatifs, scientifiques et territoriaux Une maîtrise d ouvrage et un maître d œuvre à définir Les activités proposées pourraient se décliner selon quatre axes et 16 activités en bonne complémentarité avec les dynamiques existants, voir ci-dessous. 9

10 Légende Pilotage/Animation Collaboration/Contribution Proposition de modèle de réseau d information Mutualiser les données/études existantes Météo France, GIEC grandes régions, observatoires régionaux Partenaires/contributeurs Définir et suivre des indicateurs adaptés OPCC, ORECC, GIP Ecofor, observatoires régionaux «Une tête de réseau sur le changement climatique dans le Massif Central» Information/Ressource sur l évolution du climat Collecter/Traiter les données Produire des synthèses et des documents techniques OPCC, ORECC, observatoires régionaux Identifier les thèmes à traiter en transversalité (agriculture, forêt, tourisme, eau, santé...) Mutualiser les données/études existantes ONERC, GICC, Féd. Rech. env., RMT Aforce, GIP Ecofor, OPCC, ORECC, ORACLE... «Un réseau contribuant aux projets de recherche/action» Contribution sur des projets thématiques structurants et transversaux Croiser les besoins des territoires avec les possibilités de la recherche et les financements Plateforme GIP MaC Impulser l'émergence de projets structurants Plateforme GIP MaC Un réseau complémentaire aux dynamiques existantes Contribuer à la réalisation des projets et de documents techniques ORECC, Agences rég. DD Proposer sélection de documents thématiques et outils adaptés et/ou vulgarisés ORECC, Agences rég. DD «Un réseau contribuant à la diffusion à partir des dynamiques existantes» Transfert des connaissances Proposer un espace ressource Animer des échanges interréseaux Massif DREAL, ADEME, Agences rég. DD, Plateforme21, CPIE... GIEC grandes régions, observatoires régionaux, Plateforme 21, Macéo,SIDAM, Réseaux PCEAT Contribuer à la diffusion des connaissances par les acteurs du Massif PCEAT, CPIE, GRAINE, CIVAM, CRPF Réseaux Montagne, Chgt clim, thématiques... ONERC, Euromontana, Rurener «Un réseau contribuant à la visibilité et l articulation à l échelle nationale et internationale» Visibilité du Massif sur le changement climatique au niveau national et international Réaliser des colloques/publications Contribuer à des colloques/publications 10

11 4.3. Synthèse des ateliers Les ateliers ont permis de recueillir les différentes contributions des participants autant sur les activités prioritaires que sur leur contenu. Synthèse du sondage des participants permettant de prioriser les activités proposées 30 participants ont acceptés de contribuer par écrit à la hiérarchisation des activités. L analyse des réponses démontre que les trois premiers axes proposés sont estimés être au même niveau de priorités. Le quatrième étant plutôt considéré comme «un plus», utile et intéressant, mais important dans un second temps. Réseau d'information RICCMAC : Ratio sur les priorités par axe Axe 1 - Information/Ressource sur les impacts du Axe 2 - Contribution sur des projets thématiques Axe 3 - Transfert des connaissances Axe 4 - Visibilité du Massif sur le changement climatique 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% Haute Moyenne Basse La priorité de chaque activité dépend de plusieurs facteurs comme la légitimité du réseau d information, la redondance avec d autres dynamiques, les attentes prioritaires des acteurs... Priorisation des activités du réseau d'information RICCMAC 1.1-Mutualiser les données/études existantes 1.2-Définir et suivre des indicateurs adaptés 1.3-Collecter/Traiter les données 1.4-Produire des synthèses et des documents techniques 2.1-Identifier les thèmes à traiter en transversalité 2.2-Mutualiser les données/études existantes 2.3-Croiser les besoins des territoires avec les possibilités 2.4-Impulser l'émergence de projets structurants 2.5-Contribuer à la réalisation des projets et de 3.1-Proposer sélection de documents thématiques et 3.2-Proposer un espace ressource 3.3-Animer des échanges inter-réseaux Massif 3.4-Contribuer à la diffusion des connaissances par les 4.1-Réseaux montagne, changement climatique Réaliser des colloques/publications 4.3-Contribuer à des colloques/publications Haute Moyenne Basse L activité de collecte-mutualisation des données et des études existantes est considérée la plus prioritaire parmi les 16 proposées. Deux autres activités sont également estimées importantes : - Les activités d échanges entre les acteurs de la recherche et des acteurs du territoire pour identifier les besoins des territoires et les pistes de projets communs mais également d échanges entre les réseaux existants pour faciliter la diffusion des connaissances - La mise en place d un espace ressources proposant une sélection de documents et d outils adaptés 11

12 Synthèse des échanges dans les ateliers Les cinq ateliers organisés en parallèle ont permis de confirmer, de préciser certaines activités mais également de proposer de nouvelles activités. Les principales recommandations concernent autant les missions du réseau d information que la méthode de travail avec les acteurs : - Contribuer fortement au transfert des connaissances entre les différents réseaux, les différents acteurs et les différents publics à travers la mise en place d espaces échange (journées d échanges, ateliers de travail, conférences/débats) et de ressources partagées physiques et virtuels proposant différentes informations (connaissances, données, cartographies, enseignement, expositions, sensibilisation, actualités, veille, portails vers d autres outils d observations thématiques/territoriales, appels à projets, études, projets, acteurs, outils, expérience, indicateurs et leur suivi), facilitant les approches transversales et permettant d harmoniser les méthodes travail ; - Contribuer à la mutualisation des connaissances+ existantes sur les impacts du changement climatique et les pratiques d adaptation sur le massif central et ses différents sous-territoires (veille, recensement, collecte, synthèse, production de document adaptés, diffusion) en collaboration avec les acteurs concernés et contribuant éventuellement à l harmonisation du protocole d acquisition et de structuration de données ; - Contribuer, en collaboration avec les réseaux thématiques existants, à l émergence de projets transversaux ou thématiques notamment entre acteurs de la recherche et du territoire en facilitant les échanges, assurant une méthode de travail participative, impulsant des idées, accompagnant au montage de projet structurants et à la recherche de financement ; - Destiner les moyens financiers du réseau à sa structuration mais surtout en faveur de l émergence de projets ; - Prioriser les activités selon un modèle de développement progressif des activités : acquisition des connaissances, appropriation du message, cartographie des acteurs, pour peu à peu monter des projets ; - Renforcer la prise en compte des thèmes transversaux (l eau, la biodiversité, la santé) et de certains aspects (enjeux économiques, sciences humaines et sociales) ; - Contribuer à l harmonisation des démarches d adaptation (diagnostic, co-construction, données, actions ) ; - Ajouter un nouvel axe de travail pour être plus efficace en matière de recommandation auprès des décideurs sur l adaptation au changement climatique en proposant notamment un espace d alerte et d interpellation des décideurs et des chercheurs, des recommandations opérationnelles du local à l international ; - Etudier la pertinence de mettre en place et d assurer une labellisation des projets locaux ; - Contribuer aux échanges inter-massif et inter-bassin et contribuer à l harmonisation des indicateurs (indicateurs communs, indicateurs euro-climat ) ; - Etudier les perspectives d activités spécifiques sur les territoires ne disposant pas d observatoires ; - Mentionner plus clairement l objectif de mise en réseau des différents acteurs de la recherche et des acteurs territoriaux (collectivités, monde économique, associations ) ; - Etudier la pertinence d étendre le périmètre d actions du réseau à des activités de «think tank» sur l adaptation au changement climatique des territoires du Massif central. Les grandes idées exprimées par atelier sont présentés en annexes. 12

13 L ensemble des contributions verbales et écrites ont permis de réaliser une répartition des activités du réseau selon son niveau de portage et le niveau de priorité. Portage Priorité Haute Moyenne Basse Réalisation Animation Contribution Mutualiser les données/études existantes - Climat 3.1-Proposer sélection de documents thématiques et outils adaptés et/ou vulgarisés 3.2-Proposer des espaces d échange et de ressources physiques et virtuels 4.1- Contribuer réseaux montagne/massif, inter-bassin changement climatique Définir et suivre des indicateurs adaptés 2.1-Identifier les thèmes à traiter en transversalité (agriculture, forêt, tourisme, eau, santé...) Mutualiser les données/études existantes - projets thématiques 3.3-Animer des échanges interréseaux Massif 5.1-Etre un «think tank» et force de proposition / recommandations opérationnelles 1.3-Collecter/Traiter les données 1.4-Produire des synthèses et des documents techniques 2.3-Croiser les besoins des territoires avec les possibilités de la recherche et les financements (GIP MaC - Plateforme dyn terr.) 2.4-Contribuer à l'émergence de projets structurants (GIP MaC - Plateforme dyn terr.) 3.4-Contribuer à la diffusion des connaissances par les acteurs du Massif 4.2-Réaliser des colloques/publications 4.3-Contribuer à des colloques/publications 2.5-Contribuer à la réalisation des projets et de documents techniques Sondages des participants sur les prochains thèmes à traiter dans le cadre d un éventuel prochain état des lieux des connaissances 25 Thème à traiter par ordre de priorité Eau Biodiversité Urbanisme Risques naturels Santé Energie / industrie Priorité 1 Priorité 2 Priorité 3 Priorité 4 Priorité 5 Priorité 6 Les impacts du changement climatique sur l eau, la biodiversité et l urbanisme sont les thèmes que les participants souhaiteraient voir aborder lors d un éventuel prochain état des lieux ou projet. 13

14 5. Clôture de la journée Claude COMET, Conseillère déléguée du Conseil régional Rhône-Alpes au tourisme et à la montagne et représentant Le Président du GIP Massif central rappelle que les enjeux du changement climatique sont progressivement intégrés à tous les niveaux de la société. Les citoyens sont de plus en plus conscients des impacts du changement climatique, sept auvergnats sur dix le sont par exemple. Les comités de massif prennent en compte dans les politiques publiques qu ils animent, la nécessité d intégrer l atténuation et l adaptation au changement climatique. La fusion des régions permettra surement de partager certains outils comme l ORECC et le GIEC Auvergne-Rhône-Alpes, en cours de préfiguration. Les nouvelles lois intègrent ces enjeux. La loi NOTRe donne plus de compétences aux Régions en matière de climat et d énergie. Les travaux sur la loi Montagne a donné lieu à une feuille de route comprenant un chapitre «relever les défis du changement climatique». Cette journée a permis de partager les principales connaissances des impacts du changement climatique sur la Massif central. L extrême variabilité des phénomènes n est pas simple à appréhender et les impacts peuvent être importants au niveau des populations. Des travaux prospectifs pour faciliter l adaptation sont en cours au niveau de l agriculture et des forêts. Les services écosystémiques rendus par la forêt doivent être mieux pris en compte notamment au regard de son rôle sur les démarches d atténuation. La filière du tourisme rencontre des difficultés et pourrait prochainement étudier ses impacts et mieux prendre en compte ses responsabilités. Les participants à ce séminaire ont su démontrer d une véritable appétence pour la mise en place d un réseau d information co-construit et transversal pouvant aller jusqu à interpeller les décideurs politiques sur les constats et les recommandations opérationnelles. Ce projet de réseau d information en préfiguration proposera une feuille de route et représentera également une opportunité pour valoriser d autres outils existants comme les CGETs et le Comité massif. Les CGETs jouent un rôle prépondérant dans l accompagnement au développement des territoires. Il pourrait également contribuer à faciliter les échanges inter-massifs de ce prochain réseau. Pierre RICARD - Secrétaire Général aux Affaires Régionales (SGAR), représentant Le Préfet coordonnateur du Massif central, reconnait que ce séminaire, qui a regroupé une centaine d acteurs sur l adaptation au changement climatique, a été l occasion de débats riches et constructifs et démontre que ces enjeux sont de première importance. La montagne est particulièrement concernée par ces enjeux et plus spécifiquement les différentes filières comme l agriculture, la forêt, le tourisme et bien d autres thèmes (eau, transports, biodiversité, santé). Ce projet a permis d impulser une démarche de sensibilisation sur ce thème, de vérifier la pertinence d un réseau et de recueillir les attentes notamment à travers l organisation de huit ateliers sur le Massif central. Ce séminaire a permis de confirmer les besoins nombreux et de clarifier les missions du réseau considérées comme prioritaire. Les articulations fonctionnelles au niveau régional et national devront être définies afin de développer des partenariats et des travaux communs pour les enrichir par des retours d expériences. Il s agira de partager, au sein d une même plateforme, toutes ces connaissances, d organiser et de mutualiser les données, et de produire des recommandations à l attention des territoires pour réduire leur vulnérabilité. La poursuite du projet va consister à construire un réseau d information et d échanges et à choisir l architecture la plus efficiente qui réponde aux besoins des multiples acteurs. Au-delà de la mise à disposition d informations, les membres du réseau seront également force de proposition pour faire 14

15 remonter aux acteurs de la recherche les questions nécessitant des études scientifiques et des expérimentations, à l instar du pôle herbe ayant déjà largement démontré la plus-value Massif. Ce travail de réseau va donc se poursuivre, dans l année qui vient au sein des quatre nouvelles grandes Régions, pour définir rapidement le modèle fonctionnel de réseau d information et d échanges qu il convient pour répondre aux nombreuses questions et attentes qui se sont exprimées lors de la conduite des ateliers territoriaux et de ce séminaire... A quelques semaines de la COP21, ce projet de «Réseau d Information Changement Climatique MAssif Central» s inscrit dans une démarche et une volonté partagée de contribuer, à l échelle du Massif central, cet enjeu planétaire. La Commission permanente du Comité massif a d ailleurs produit récemment une motion «engagement du Massif central pour la COP 21» regroupant les actions réalisée dans le cadre du Massif pour participer à l engagement National. 15

16 6. Annexes 6.1. Les principales idées exprimées par atelier Salle 1 «Lac Pavin» Idées fortes 1. Comment traiter de l adaptation au CC : réflexion méthodologie (cadrer sur des questions clés thèmes transversaux, co-construire avec les acteurs la problématique sur un territoire précis pour ensuite transférer, comment récupérer les données (prendre les données existantes avant d aller vers la production de données), quels sont les cibles, quels productions (outils pratiques terrain)) 2. Transfert de l information notamment vers l université et les acteurs de l enseignement (la pluridisciplinarité) 3. Comment développer et construire du lobbying pour construire l adaptation au CC Axe 1 - Information/Ressource sur les impacts du changement climatique - Des données pourquoi pour qui? comment les exploiter? - Regrouper ce qui existe et complété / ne pas sur solliciter les acteurs et fournisseurs - Construire des problématiques - Chercher à être opérationnel avec chaque type de secteur d activité - Co construire sur des sujets précis locaux / Un schéma avec la généricité de la donnée > faciliter le transfert méthodologique - Données climato > à quelle échelle spatiale et temporelle - A traiter après la question de la donnée - Adapter à quoi - Format de données? Contenu? quelle matière agrégée? - Des outils de terrains qui mobilisent des indicateurs > ex gestion du pâturage - Tourisme > évolution de l enneigement Axe 2 - Contribution sur des projets thématiques structurants et transversaux - Biodiversité > changement > maintien? quelle évolution et comment être moins vulnérable (pas de jugement de valeur) - Lien en agriculture et l atténuation - Eau et neige > incidence sur la biodiversité - La disponibilité en eau > sujet transversale - Voir les systèmes multifonctionnels - Priorité > avoir des approches transversales - Risque de conflits d usage > trouver des outils d animations -??? L accès au financement et faciliter les démarches - Ne pas refaire et s appuyer sur ce qui existe Axe 3 - Transfert des connaissances - Mettre à disposition des éléments homogène pour l enseignement - Production d outil > travailler sur la pluridisciplinarité < besoin important - Définir les niveaux d intervention - Un lieu où on trouve de la donnée et des informations travaillées - Quels outils pour partager, - Calendrier d expositions et outils multimédia - Bien préciser le rôle car déjà de l existant - Comment organiser le réseau d acteurs Axe 4 - Visibilité du Massif sur le changement climatique au niveau national et international - «Mayor adapte» >faire connaitre - Collecter les bonnes pratiques au niveau internationale / niveau européen - Travailler sur l implication des acteurs - > c est du transfert de connaissances - Dev de l argumentaire et construire du lobbying > promouvoir les connaissances acquises - Comment on contribue au concert général du CC - Notion de mutualisation et de regroupement / différents acteurs 16

17 Salle 2 «Lac Chambon» Idées fortes 1. Mettre en relation des acteurs qui sont également la cibles du réseau (spécialiste) pour renforcer leur mission de vecteurs auprès du territoire et donc toucher le grand public, rendre le plus accessibles les données et connaissances existantes rendre vivant les données collectées pour le grand public 2. Temporalité, travailler pas à pas, appropriation du message, cartographie des acteurs, pour peu à peu monter des projets. 3. Montage de projet, aider à construire des projets les plus cohérents possible entre acteurs 4. Axes thématiques, le thème de l eau ne ressort pas assez, entrée économique, entrée sociales, santé, etc. 5. Financement et gouvernance : financement doivent pouvoir aider à structure le réseau mais surtout à faciliter l émergence de projet, est-ce que le réseau peut aider à une labellisation de projet locaux Remarques générales - Un réseau complémentaire facilitant les dynamiques existantes o pas vocation à faire lui-même o Cible? personnes qui travaillent sur thèmes ou territoires, pas directement la population?! Cible mal définie. o RICCMAC ne peut pas toucher directement le gd public passer à travers les réseaux existants, commencer avec acteurs déjà engagés, construisons ensemble les outils o Réseau de spécialistes : manque cartographie des acteurs o Réseau à destination des acteurs qui vont être des relais. Sont-ils en capacité de s investir? - Réflexion sur les axes o Peu de personnes mobilisées trouver les moyens de diffuser auprès des territoires o Si possible créer des supports qui soient propres au MAC outils pour sensibiliser/ décider pédagogie o Difficulté c est la notion de temps donner réponses utiles aujourd hui mais avec un impact lointain o Sensibilisation : manque peut-être la communication : faire passer des messages o Voir comment se situe le réseau par rapport aux autres acteurs du territoire o Réseau doit impulser thème auprès des acteurs de terrain, donner des outils pour que les vecteurs puissent animer les travaux (conf. Gesticulée ) Bcp d outils existent sur net o Mise en relation des acteurs des acteurs bien identifiés. o Nourrir le réseau de faits observés o Il faut aller par thématique pour plus d opérationnalité viser l opérationnalité o Ce qui fera l identité du réseau c est les thématiques qui auront été choisies raconter l histoire o Priorité : eau à court terme / forêt à long terme o Sur domaine de l eau (on parle de sécheresse), mais ce n est pas bien abordé : débit / biodiv / alim en eau potable o Sur l eau : bcp d acteurs et réseaux. RCICCMAC doit ouvrir sur les réseaux existants. Symbolique de l eau quand on parle du MAC o Premier travail du RICCMAC c est recensement des connaissances et transfert pour faire économie o Cible : têtes de réseau / spécialistes o Faire remonter les attentes du réseau régulièrement o Relais en difficulté pour faire passer message sur le CC o Vraiment se concentrer sur les impacts o Montrer des stratégies d adaptation 17

18 Axe 1 - Information/Ressource sur les impacts du changement climatique - Mutualiser les données/études existantes donner envie de mieux étudier ce qui se passe - Définir et suivre des indicateurs adaptés MAC : o Faire venir les «envies» de recherche (peu d étude de chercheur sur MAC) o ager quelques indicateurs - Collecter/Traiter les données : Cartographie des acteurs à dresser Cartographie des acteurs à dresser - Produire des synthèses et des documents techniques : o A l échelon Massif o A faire mais travail de haut niveau plutôt des indicateurs factuels o Produire des supports pour auprès des agriculteurs, gd public, forestiers on puisse faire passer les messages du CC il y a déjà des choses qui sont faites et bcp mais pas de petites synthèses. Axe 2 - Contribution sur des projets thématiques structurants et transversaux - Identifier les thèmes à traiter en transversalité (agriculture, forêt, tourisme, eau, santé...) : o Besoin d identifier des thématiques prioritaires EAU, alimentation en eau potable? Travail supplémentaire à faire pour bien identifier les thématiques o Clés d entrée par les acteurs? voir ce qui nous rassemble (CC nous oblige à travailler en transversalité), pas trop retourner vers les thématiques (pas trop mettre eau en avant?) o Partir de l économie, ou du social - santé? - Croiser les besoins des territoires avec les possibilités de la recherche et les financements : o Est-ce que le réseau aura des moyens propres? Il vaut mieux qu on essaie à mettre du temps des acteurs. RICCMAC doit valoriser le travail des acteurs en place (mais attention aux volontés de «déléguer» à l ext.) o On peut attendre de la cohérence entre les projets des acteurs et que le RICCMAC aide à trouver des moyens. - Impulser l'émergence de projets structurants : o C est vraiment important. Réseau doit faire contribuer les uns et les autres à la production. o Montrer les stratégies d adaptation (travail des CAgri sur les sie agricoles impact économique) o Labellisation des projets : montre une adhésion des acteurs au projet - Contribuer à la réalisation des projets et de documents techniques : o Pas la priorité de faire travailler sur des projets propres au RICCMAC o Labellisation des projets : montre une adhésion des acteurs au projet o Demande une certaine maturité moins prioritaire Axe 3 - Transfert des connaissances - Proposer un espace ressource : Cartographie des acteurs - Animer des échanges inter-réseaux Massif : Important o Echanges très techniques : nom BE, Cahier des charges. (accès privé sur une plateforme? ) Axe 4 - Visibilité du Massif sur le changement climatique au niveau national et international - Réseaux montagne, changement climatique... Visibilité auprès des réseaux existants, des financeurs o Présenter des dossiers et projets qui ont du sens à l échelle du Massif sur le CC 18

19 Salle 3 «Salers» Idées fortes 1. Animation d un réseau d acteurs territoriaux de divers horizons, organise des journées d échange et de transfert de connaissances 2. Coordination, agrégation, synthèse et production d indicateurs et de documents (techniques et de sensibilisation) sur les impacts du CC sur le massif central (et ses différents sous-territoires) 3. Mise à disposition d une plateforme de type «centre de ressources» (veille, appels à projets européens, études, projets finalisés, en cours, à venir) 4. Impulsion d idées pour la mise en place de projets transversaux ou thématiques, notamment de recherche Axe 1 - Information/Ressource sur les impacts du changement climatique - Axe2 plus concret que le 1. - Important sur l aspect mutualisation, vue d ensemble des études existantes, mais le reste est de l ordre des missions d un observatoire, plus que d un réseau. Le réseau doit s inscrire en complément des activités déjà existantes dans les territoires. - Pour se poser la question au sein du réseau, pour savoir ce que l on a besoin comme indicateur, et ce que l on a comme données. Et s adosser aux outils existants pour la collecte et le traitement des données. La valeur ajoutée du réseau est de compiler ces informations / construire les indicateurs et réaliser un document unique, avec des distinctions par sous-territoire. - La logique Massif a une vraie valeur ajoutée pour les uns et les autres, afin de ne pas travailler de manière cloisonnée. - En ce sens le 1.3 n est pas de l ordre des missions du réseau, par contre les 3 autres activités oui, en amont et en aval du calcul des indicateurs. - Le rôle d animation et de coordination du réseau peut aider à uniformiser le protocole d acquisition et de structuration des données. - Question : là où il n y a pas d observatoire, comment faire? est-ce que le réseau ne devra pas prendre le relais pour le traitement des données? question du réseau versus observatoire. Axe 2 - Contribution sur des projets thématiques structurants et transversaux - L axe 1 permet de nourrir la réflexion, l axe 2 est le passage à l action. L axe 1 permet de faire ressortir les zones vierges, les manques, et l axe 2 serait de chercher des financements pour avancer sur ces sujets. - Des réseaux existent déjà, dans les différentes thématiques, c est à eux de dire au RICCMAC quels sont leurs besoins. Un projet structurant sur le tourisme va émerger du réseau tourisme. - Le réseau permet les échanges et relaie le besoin. Fait faire, garant de la méthode de travail (participative). Le réseau impulse des idées. Croise les besoins avec la recherche. - Est-ce que le réseau aura un conseil scientifique? Axe 3 - Transfert des connaissances - Veille sur les appels à projet européens sur la thématique du CC et de ses impacts. - Fait le lien entre territoire et structure porteuse (2.3?). - Veille sur les études qui sortent sur le massif autour du CC, dans les différentes thématiques. Oui pour l espace ressource. - Projets en cours aussi, très important pour savoir si d autres se sont lancés ou vont se lancer sur un sujet en particulier. - Organiser des journées d échange/ de transfert de connaissances sur le sujet CC et massif central à destination des acteurs, y compris du grand public éventuellement. - Proposer des supports de communication pour que les acteurs sensibilisent le public (3.4). Axe 4 - Visibilité du Massif sur le changement climatique au niveau national et international - Le réseau est un outil. L affichage extérieur est une question politique. Utile, intéressant mais le but premier est de constituer l outil technique qu est le réseau. - Axe 4 = «un plus» 19

20 Salle 4 «Loutre» Idées fortes 1. Espace de ressources partagées : en termes de données brutes mutualisées, de cartographies des acteurs, portail vers d autres outils d observations qui concernent le territoire (observatoires régionaux, départementaux...) ou des thématiques (plateformes nationales voire européennes), de méthodes, d indicateurs, de témoignages, d expériences innovantes, etc Espace d échanges «physiques» entre acteurs sur des thématiques ou des actions définies : échanges de pratiques, travail sur l harmonisation des méthodes, montage et suivi de projets transversaux à l échelle du MC, Espace de veille (repérage d expériences locales innovantes à diffuser, de nouveaux constats d impacts,...) 4. Espace d alerte et d interpellation (lanceur d alerte auprès du monde de la recherche (études à lancer), des politiques et des acteurs (actions et financements à déclencher...) 5. Espace de mise en visibilité du Massif Central (interconnecté avec les autres massifs, les réseaux européens, les acteurs académiques, les autres entités géographiques stratégiques sur la question du CC tels que les bassins versants. Remarques générales - un réseau d information n est pas un observatoire. Il est plus axé sur de la diffusion d informations... - quelques soit le nom qui sera donné au réseau : bien utiliser le terme ADAPTATION, car c est la plus-value de ce projet par rapport à d autres outils d observations déjà existants... - la question de l atténuation doit aussi être considérée car très liée à la question de l adaptation pour certains acteurs (agriculture et tourisme notamment). Axe 2 - Contribution sur des projets thématiques structurants et transversaux Axe 3 - Transfert des connaissances Axe 4 - Visibilité du Massif sur le changement climatique au niveau national et international 20

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