Viticulture : récolte 2017

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1 Viticulture : récolte Comment expliquer la faible récolte? Quelles armes pour lutter? Les tests réalisés en en Vaucluse permettent de mieux comprendre la faible récolte et apporter des pistes d amélioration pour lutter contre la coulure. Dans notre région, on estime une baisse de rendement pour ce millésime de l ordre de 25 à 30% en moyenne avec des pertes plus importantes dans les secteurs gelés ou certains vignobles très touchés par la coulure dans les Côtes du Rhône. La raison de cette baisse est la conjugaison des dégâts du gel de printemps (20 et 21 avril), d une coulure importante du grenache, d une faible sortie de grappes couplée à une sécheresse prononcée. Les schémas suivants obtenus à partir des essais suivis par la Chambre d agriculture de Vaucluse, sur des périodes de 6 années de pesée de récolte pour le grenache et de 8 années pour la syrah (voir schémas suivants) permettent de préciser l impact des facteurs hors zones de gel :

2 nombre de grappes par ceps (syrah) nombre de grappes par ceps (grenache) poids de récolte par cep (syrah) poids de récolte par cep (grenache) 4 3, ,5 4 3,5 2, ,5 2 1,5 1,5 1 0, ,5 0 poids moyen d'une grappe (syrah) poids moyen d'une grappe (grenache)

3 Le millésime pour le cépage syrah se caractérise par une sortie très faible de grappes, puisque avec une moyenne de 11.5 grappes par ceps, est l année la plus faible sur notre historique, la dernière année faible étant avec 14.5 grappes par ceps. Le poids moyen d une grappe est aussi le plus faible en mais reste proche de certains millésimes comme 2010, 1012 et. On peut donc imputer la baisse des rendements en syrah, en plus de la sécheresse, à une très faible sortie de grappes, couplée à un faible poids moyen de grappes. Concernant le cépage grenache, on constate pour l année, un nombre de grappe faible (12.9), mais proche de certains millésimes (13.3 en et 13.9 en ), en revanche le poids moyen d une grappe est le plus faible enregistré sur les 6 dernières années et ne représente que 52% du poids d une grappe pour le millésime le plus faible avant (68.4 gr en et en ). Ce faible poids des est causé principalement par un faible nombre de baies (coulure) et plus faiblement par le poids des baies (sécheresse). P200B %/ parcelle % parcelle % parcelle 6 376,7 399,7 6% parcelle ,7-4% parcelle ,7-5% parcelle ,3 0% Moy % NB/G %/ parcelle % parcelle % parcelle 6 141, , % parcelle % parcelle % parcelle % Moy % Tableau 5 : évolution du poids de 200 baies (P200B) et du nombre de baies par grappes (NB/G) entre et pour le cépage grenache Production-coulure, quelques rappels et les impacts des particularités climatiques de Un cycle reproducteur réparti sur deux ans Chez la vigne, le développement reproducteur s effectue sur deux années successives. En effet, les inflorescences sont initiées à l intérieur des bourgeons durant l été de l année précédant la floraison. Cette induction florale est invisible, puisqu elle se réalise à l intérieur des bourgeons, et conditionne le nombre et la taille des futures grappes. Leurs développements s arrêtent en hiver. C est la phase de dormance. L année suivante, l apparition des boutons floraux au sein des bourgeons débute peu avant le débourrement et le développement de ces organes se poursuit jusqu à la floraison. Durant l ensemble de ce cycle reproducteur, la formation des inflorescences puis des fleurs et des fruits, est sous l influence de nombreux signaux internes (hormones, réserves glucidiques, ) et externes (lumière, température, contrainte hydrique ).

4 FLORAISON INITIATION FLORALE (phase invisible du cycle reproducteur) N-1 INDUCTION N-1 Réserves en amidon (N-2) Température AOUTEMENT HIVER PRE- DEBOURREMENT DIFFERENCIATION N Température POST- DEBOURREMENT N FLORAISON -15 jours Meïose ovulaire Auxines Cytokinines FLORAISON NOUAISON Acide Abscissique Polyamines Température Sécheresse Pluie Ensoleillement Azote Nombre et longueur des grappes Nombre de baies Facteurs influençant les différentes étapes du cycle reproducteur de la vigne La phase d induction (Année N-1) Pendant la phase d induction, le nombre et la taille des futures grappes dépend de la température, de la disponibilité en sucres issus des réserves en amidon constituées l année précédente (n-2) et de la contrainte hydrique. Si on regarde les conditions météorologiques pendant la phase d induction soit l été, bien que les températures soient proches des normales saisonnières, cette période se caractérise par une pluviométrie déficitaire de juin à août (de -50% à -75%). Notamment avec un mois d août le plus sec depuis 1959, qui a engendré une contrainte hydrique forte, et qui peut avoir une influence négative sur la phase d induction de l initiation florale. La phase de différenciation (Année N) A partir du débourrement de l année suivante, la plante utilise prioritairement ses réserves carbonées accumulées l année précédente jusqu à environ 2-3 semaines avant floraison (hétérotrophie). Ensuite, elle utilise les sucres créés à partir de la photosynthèse (autotrophie). Au moment du passage de l hétérotrophie à l autotrophie, les teneurs en sucres dans la plante sont particulièrement faibles. Or c est aussi à ce moment-là que, chez les cépages coulards tels que le grenache, la méïose ovulaire se réalise. Il s agit d une étape cruciale de la formation de la fleur et donc du fruit qui conditionne la quantité de baies par grappe. Après un automne normal, l hiver - est caractérisé par un déficit pluviométrique de l ordre de 50% par rapport à la normale, ce qui en fait un des cinq hivers les plus secs depuis Cet hiver - très sec s enchaine avec un printemps, qui est le 3 éme printemps le plus chaud depuis Le printemps se compose des mois chauds (mars et mai), alors que le mois d avril est marqué par de fortes gelées et de plus faibles températures. Le déficit pluviométrique sur l ensemble de la période est de 15%. Après un démarrage précoce, est l année la plus précoce de ces 12 dernières années, la vigne a subit un arrêt de croissance durant le mois d avril, pour enchainer début mai avec une reprise de la croissance végétative très forte, soit un enchainement de conditions favorables à la coulure, comme lors des millésimes 1983, 1984 et

5 A la floraison (Année N) La floraison est sous l influence de facteurs climatiques tels que la pluie (qui peut empêcher l éjection du capuchon floral et limiter la quantité de pollen dans l air), la température (optimale à C) et la contrainte hydrique. En effet, l éjection du capuchon floral se fait grâce à une faible dose d acide abscissique ; mais si la plante produit trop d acide abscissique (ce qui est le cas lors de sécheresse), il se produit la chute des fleurs puis celle des baies. Fin mai, en pleine période de floraison on se retrouve toujours avec des conditions très favorables à la coulure, puisque le mois de mai est le 5 éme mois de mai le plus chaud depuis 1900 et le déficit pluviométrique se situe entre 60 et 80%, Nouaison (Année N) A partir de la fécondation, les baies se forment par multiplication cellulaire. Cette phase de la formation du fruit est dépendante de la température (optimale à C), de l éclairement et de la contrainte hydrique qui tous deux conditionnent la photosynthèse et donc la teneur en sucres nécessaires à l élaboration des baies. A ce stade, la sécheresse favorise encore la production d acide abscissique qui peut entraîner la chute de baies ou l arrêt du développement des baies (millerandage). Or, jusqu à cette période, les conditions météorologiques ont été favorables à la mise en place d un phénomène de coulure. De plus, le rendement peut être impacté par le poids des baies or l été fut le 2 éme été le plus chaud depuis 1900 (1 er = 2003, 2éme = ), avec un déficit pluviométrique de 50% par rapport à la normale. C est le donc le cumul, d une faible sortie de grappes, d une coulure importante, d un été sec et chaud, qui est à l origine des faibles rendements dans notre région. Précocité + période froide + période chaude pendant la floraison = coulure! En, le cycle de la vigne a démarré précocement, la période de froid et de gel de fin avril a fortement ralenti la croissance, qui a repris à l approche de la floraison. Cette croissance de la végétation a «aspirée» vers les feuilles en croissance les fruits de la photosynthèse au détriment des grappes. Mal alimentées les futures baies ont été mal fécondées et ont soit coulé soit se sont mal développées (millerandage).

6 Des vignerons mobilisés pour limiter la coulure La Chambre d agriculture de Vaucluse a suivi pendant ce millésime un certain nombre d essais mis en place par des viticulteurs. Au vu des conditions météorologiques, un appel a été lancé début mai, auprès des viticulteurs de notre région pour mettre en place sur leur vignoble un ou des essais pour essayer de contrer la probable coulure à venir. Les conditions de mise en place étaient assez simples, au sein d une même parcelle : délimiter un témoin et une partie essai. La partie essai pouvait être l application de produits visant à limiter la coulure (à base de bore essentiellement), ou un écimage en pleine floraison. En théorie, entre 50 et 75% de la floraison, un écimage serait efficace pour redistribuer les sucres vers les grappes. Les interventions ont été réalisées par les viticulteurs, seules les pesées de récolte ont été réalisées par les conseillers de la Chambre d Agriculture de Vaucluse. Entre 30 et 50 ceps par modalités ont été pesés à la récolte, avec le nombre de grappes par cep et le poids de récolte par cep. Concernant les résultats des applications de bore : Dans les parcelles observées il y a eu trois applications de produits commerciaux à base de bore : la première vers le stade début floraison, le deuxième vers 25% de floraison et la troisième à mi floraison. Comparaison du poids de récolte entre la partie témoin et la partie traitée avec du bore. PR témoin bore %/ témoin Test Mann Whitney parcelle 1 0,89 0,59-34% 0,039 parcelle 2 0,72 0,55-24% 0,129 parcelle 3 1,31 1,13-14% 0,267 parcelle 4 0,53 0,49-8% 0,42 parcelle 5 0,61 0,83 37% 0,093 parcelle 6 0,85 1,02 20% 0,183 Moy 0,82 0,77-6% : Différence statistique (p=0.039<0.05) : Pas de différence statistique (p=0.129>0.05) : Pas de différence statistique mais résultats proches Dans les six parcelles traitées, nous n avons pas observé un effet positif systématique de trois applications de bore. Pour l impact d un écimage sur la coulure : L écimage a lieu à mi floraison et est comparé à une modalité témoin, soit non écimée soit écimée post floraison. Comparaison du nombre de grappes et du poids moyen d une grappe entre la partie témoin et la partie écimée. témoin écimage %/témoin Nombre de grappes %

7 Poids d une grappe % Comparaison du poids de récolte entre la partie témoin et la partie écimée. PR témoin écimage %/ témoin Test Mann Whitney parcelle 1 1,62 2,16 33% 0,116 parcelle 2 0,72 0,86 19% NS (anova) parcelle 3 0,72 1,20 66% NS (anova) parcelle 4 1,35 1,82 35% 0,006 parcelle 5 0,94 1,36 45% 0,015 parcelle 6 1,49 1,89 27% 0,084 parcelle 7 1,09 1,98 82% 0,021 parcelle 8 0,36 0,33-8% 0,359 parcelle 9 1,93 2,11 9% 0,118 Moy 1,14 1,52 34% Sur l ensemble des facteurs, l écimage a un effet positif (de 6 à 34%) avec pour certaines parcelles des différences statistiques favorables à l écimage. Un écimage à la floraison a permis dans 8 de nos 9 parcelles d études d améliorer la production de 20% en moyenne. Des différences sensibles entre les parcelles ont été observées avec des gains de - 8% à +82%. Compte tenu de la faible récolte de les gains de productions restent faibles de l ordre de 0.4kg/cep. De même la pleine floraison semble la période la plus favorable pour l écimage. Parallèlement à ces essais, certains viticulteurs ayant des vignes touchées par le court-noué ont mise en place une taille très tardive (fin mars début avril soit après le débourrement), nous avons donc pu effectuer des pesées à la récolte. Comparaison du nombre de grappes et du poids moyen d une grappe entre la partie témoin et la partie taillée tardivement. témoin Taille tardive %/témoin Nombre de grappes % Poids d une grappe % Comparaison du poids de récolte entre la partie témoin et la partie taillée tardivement. PR témoin taille tardive %/ témoin Test Mann Whitney parcelle 1 0,71 2,32 227% 0,0001 parcelle 2 0,65 3,06 371% 0,0001 parcelle 3 0,46 1,50 229% 0,0001 parcelle 4 0,73 1,44 97% 0,0001 parcelle 5 2,38 2,27-5% 0,87 parcelle 6 1,01 2,45 142% 0,0001 parcelle 7 1,40 2,38 69% 0,0001 parcelle 8 0,69 1,86 168% 0,0001 Moy 1,00 2,16 115%

8 Dans le cas d un vignoble fortement court-noué, et dans les conditions de l année, une taille tardive a été particulièrement efficace pour lutter contre la coulure et augmenter les rendements (progression moyenne de 115% du poids de récolte). Conclusion La coulure est un phénomène complexe, encore mal connu et qui fait aujourd hui encore l objet de recherches. Elle dépend de nombreux facteurs et améliorer un seul de ces facteurs ne permet pas de compenser un éventuel déficit d un autre facteur. C est probablement la raison pour laquelle, à ce jour, aucun produit (hormone, éléments minéraux, ) n a prouvé son efficacité en matière de réduction de la coulure. Lors du traitement de nos données, seul l écimage en pleine floraison a permis une diminution de la coulure (8 parcelles sur 9 ont eu une augmentation de rendement). Concernant les vignes très fortement court-noué qui coule régulièrement une taille tardive après le débourrement, peut permettre d augmenter la production. Lors de la plantation le choix d un cépage et d un clone peu coulard reste à l heure actuelle la meilleure façon de se prémunir contre des pertes de récolte liées à la coulure. Mais comme nous l avons vu, les conditions climatiques peuvent avoir un impact important sur le phénomène de coulure, conditions sur lesquelles le viticulteur n a pas de prise. Organismes et domaines ayant participé à l étude : Institut Français de la Vigne et du Vin, Syndicat Général des Côtes du Rhône, Gigondas la cave, Domaine Charvin, Domaine de Beaurenard, Domaine du Vieux Télégraphe, Domaine Lavau, Les Terrasses d Eole, Domaine du Gour de Chaulé, Domaine André Mathieu

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