La canicule: attention danger. Prof. B.Kennes Chu-Charleroi U.L.B.
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- Raphaël Dupont
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1 La canicule: attention danger Prof. B.Kennes Chu-Charleroi U.L.B. 1
2 Expériences de vagues de chaleur France première quinzaine août 2003 (7jours>40 ) décès Angleterre (38,5 ) 2139 décès Italie (38-40 ) 3000 décès Espagne (40-47 ) 4000 décès Allemagne 7000 décès Belgique décès (surmortalité 27,7% région wallonne, 20,3%bruxelloise, 14,4% flamande) Majoritairement population âgée Thayse; 2
3 Expérience de vague de chaleur (heat wave) en gériatrie Chicago juillet 1995* 700 décès excédentaire (âge moyen 76 ans) Facteurs de risque: Confinés au lit OR: 8,2 Problèmes médicaux actifs OR: 5,5 Dépendants OR: 4,1 Incapables de quitter leur domicile OR: 6,7 Vivant seuls OR: 2,3 Habitant au sommet d un building OR: 4,7 Semenza and all, N.Engl.J.Med. 1996, 335:
4 Index de chaleur (T et degré d humidité) Chicago juillet
5 Décès par hyperthermie août 2003 Hôp. Herriot (Lyon)* Nbre 30 Âge moyen 85 ans H/F: 0,75 45% en institution T moyenne: 41,5 (max 43,3 ) Facteurs de risque: Isolement Accès réduit aux soins Mauvaises conditions sociales Vanhems, N.Engl.J.Med. 2003, 349:21,
6 Mécanismes de perte de chaleur corporelle Rayonnement Émission d énergie infra-rouge électromagnétique Conduction Transfert direct de chaleur d un corps chaud à un corps froid proche Convection Transfert direct de chaleur par déplacement d air ou d eau Évaporation: -Respiration -Sudation Situation normale 55-65% 10-15% Faible au repos Canicule 4% 6% Peut augmenter en cas d augmentation de déplacement de fluide Jusqu à 90% si T ext = ou sup à 35 si humidité> 75% 6
7 DÉFICIT D ADAPTATION DE LA PERSONNE AGEE A LA CHALEUR (1) Sudation Troubles neuro-endocriniens de la thermorégulation Réduction de 60% de la variation de la régulation de l activité nerveuse sympathique cutanée induite par une variation de la température de l environnement Atrophie cutanée, sécheresse de la peau et réduction des glandes sudoripares Réduction de l efficacité de la transpiration 7
8 DEFICIT D ADAPTATION DE LA PERSONNE AGEE A LA CHALEUR (2) Diminution de la sensation de chaleur Perte du mécanisme de soif Réduction du pool hydrique (-10%) Réduction de la fonction rénale: Perte du pouvoir de concentration (perte sodée et surtout d eau) Déclin du taux de rénine et d aldostérone plasmatique Réduction de la filtration glomérulaire ( hyperkaliémie troubles du rythme, ) Fragilité cardiaque ( de 10% du travail cardiaque par degré >38 ) déplétion hydrique, hypernatrémie, hyperkaliémie, hyperviscosité, thrombose coronaire et cérébrale, troubles fonctionnels CNS 8
9 Médicaments aggravant le risque de coup de chaleur et de ses effets Favorisant déshydratation Altérant Fonction rénale Diurétiques, hypotenseurs AINS, inh.iec, A2, sulfamidés,indanavir Sensible à la déshydratation Altérant régulation thermique Inducteurs d hyperthermie Sédatifs Lithium, digoxine, anti-e, sulfamidés hypoglycémiants, statine Centraux: neuroleptiques, SSRI, inhibiteurs de la cholinestérase (démence) Périphériques (anticholinergiques):antidépresseurs tri-cycliques, anti-pk, anti-spasmodiques urinaires, anti-arythmiques, neuroleptiques, antihistaminiques Vasoconstricteurs: sympathicomimétiques, antimigraineux, amphétamines B bloquants Hormones thyroidiennes Neuroleptiques, SSRI, metoclopropamide, domperidone Benzodiazépines, opioïdes, ethanol 9
10 Gravité SYMPTOMES LIES À L EXPOSITION À UNE TEMPÉRATURE ÉLEVÉE PENDANT UN TEMPS PROLONGÉ: ET AUX PICS D OZONE 1. Crampes de chaleur: Crampes de chaleur = crampes musculaires abdomen, bras, jambes après transpirations et efforts: 2. Epuisement dû à la chaleur: Hyperthermie, déshydratation: hypotension orthostatique, tachycardie, fatigue, insomnie, agitation nocturne, nausées, vomissements. -> réduire température par moyens non médicamenteux 3. Coup de chaleur: exposition à une température élevée pendant un temps prolongé: T rectale>40,5, peau sèche, tachycardie, évolution rapide vers la perte connaissance, choc, détresse respiratoire, urgence médicale centre hospitalier 21% décès tout âge confondu?? 4. Symptômes dus à un pic d ozone et à la pollution: Dyspnée, irritation yeux/gorge/céphalées 10
11 Antipyrétiques et coup de chaleur Antipyrétiques sans intérêts 11
12 7 Epuisement dû à la chaleur (II) Vessie de glace Ventilateur doucher Envelopper d un drap humide Patient découvert brumisateur Pas d aspirine Faire boire si le patient est conscient 12
13 6 Mise en place d une perfusion sous cutanée (I) (Hypodermoclyse) La technique est simple, ne nécessite aucun matériel spécifique, peut être réalisée à domicile ou en institution par une infirmière diplômée. Indication : - l hydratation orale est insuffisante ou impossible - la déshydratations est modérée (besoins < 1500 / 24 heures) Le cathéter : - préférer les cathéters souples aux aiguilles métalliques - Les cathéters souples peuvent être laissés en place jusqu à 6 jours contre 4 pour les aiguilles métalliques, avec moins de réactions locales. Le perfuseur : - avec système de clampage, - chambre compte goutte pour visualiser le débit Le soluté de remplissage : - préférer du sérum salé isotonique ou - du sérum glucosé toujours associé à du NaCl Les sites d injection privilégiés : Quantité et débit : - face latérale de l abdomen et du thorax - face externe des cuisses - ne pas dépasser 1,5 litre / 24 heures et par site d injection - un débit de 1 à 2 ml/min réduit le risque d œdème localisé 13
14 Coup de chaleur: Causes de décès pendant la canicule % des décès >65 ans T corporelle>40, altération de la conscience, CIVD, rhabdomyolyse, faillite multi-organique (ARDS), œdème cérébral, insuffisance hépatique et insuffisance (prérénale), hyperkaliémie Comorbidité: mortalité de 50% décès attribués à: Diabète Maladies pulmonaires chroniques Maladies cardiovasculaires et hypertension Flyn, QJM,2005, 98 (3) :
15 PLAN FEDERAL PCO (plan Canicule et Ozone) Institut de Santé Publique Veille bio-météorologique du 15 mai-30 septembre Températures moyennes minimales (18,2 ) (minimum deux jours) et maximales (29,6 ) durant minimum 3 jours Concentrations d ozone (seuil d alerte 240 µg/m 3 ) Contrôle de morbidité et mortalité dans des établissements de santé sélectionnés NB. Trois jours de canicule diurne-2 nuits chaudes suffisent pour créer une surmortalité «ozone et vague de chaleur» Call center SPF: 02/
16 PLAN FEDERAL PCO (plan Canicule et Ozone) Phase de Vigilance d application du 15 mai au 30 septembre «ozone et vague de chaleur» Call center SPF: 02/
17 PLAN FEDERAL PCO (plan Canicule et Ozone) Phase d alerte météo-ozone Niveau1: Pré-alerte météo 2 jours: T min. moy.>18,2 et T max. moy.>29,6 Niveau 2: Alerte météo et/ou pics ozone 3 jours seuil T Niveau 1 et/ou ozone la veille>240 µg/m 3 et prévision >180 µg/m 3 «ozone et vague de chaleur» Call center SPF: 02/
18 PLAN FEDERAL PCO (plan Canicule et Ozone) Niveau 3 PHASE DE CRISE ( météo et pics ozone) Alerte niveau deux avec prévision concentration horaire moyenne >240 µg/m 3 «ozone et vague de chaleur» Call center SPF: 02/
19 Principes de base en cas de période de chaleur 19
20 Mesures d accompagnement Le dispositif d alerte répond à un objectif de responsabilité et de réactivité Il doit s accompagner de la solidarité et de la mobilisation de tous DISPOSITIF NATIONAL + MOBILISATION DE TOUS 20
21 Repérage des personnes à risque à domicile Les personnes de + de 80 ans, isolées, en perte d autonomie Les listes déjà existantes de personnes à risque Les personnes repérées par les services de santé et sur la base du volontariat 21
22 Plan de gestion de crise dans les établissements pour personnes âgées Désignation d un référent canicule Convention avec un hôpital Bonnes pratiques, protocoles et procédures de gestion de crise, mobilisation des personnels et rappels éventuels, liens avec les bénévoles Aménagement des locaux, gestion des stocks PLAN FEDERAL PCO
23 Mesures préventives: Phase de vigilance Mesures généralesg à prévoir en cas de vague de chaleur: Insister sur importance d une surveillance de près de l état général des patients sur le plan clinique et biologique (poids, TA debout et couché, température) (N.Personnelle: lister les médicaments à éviter en situation aiguë, patients à haut risques, fréquence de rappel médical, surveillance prise de boissons, signes cliniques suspects). Adoption des dispositions de mesures hygiéno-diététiques (repas froids, crudités) et de dispositions en matière d hydratation, de refroidissement ou rafraîchissement, aération 23
24 Mesures préventives: Phase de vigilance Infrastructures Vérifier qu il est possible d occulter les fenêtres des chambres et espaces collectifs Localiser les pièces difficiles à rafraîchir et les éviter S assurer de l existence de pièces fraîches pouvant accueillir les résidents. Conseiller en cas de visite familiale de fréquenter des endroits extérieurs réfrigérés (commerce, lieux aérés) Vérifier les systèmes de climatisation ou de renouvellement d air (température moyenne <25 ) Rechercher le mode de fonctionnement (entrée-sortie) faisant entrer le moins de chaleur possible 24
25 Mesures préventives: Phase de vigilance Logistiques Vérifier disponibilités de ventilateurs, brumisateurs, serviettes légères Stock de matériels médicaux (thermomètres, solutés, pèse-personnes) Contrôle des modalités d approvisionnement de l établissement (eau, glace, boissons fraîches (pas d alcool, pas trop sucrées, pas de caféine) Protocole organisationnel en cas d alerte: Mobilisation du personnel (modalités de visite médicale et remplacement des médecins en congé) Adaptation des plannings Collaboration familles et bénévoles Vêtements adaptés aux conditions estivales 25
26 Règles simples en cas de fortes chaleurs Prise du poids une fois par jour et température! Rafraîchir l organisme à l aide de compresses froides, serviettes, linges humides (douche rafraîchissante) Recommander les mesures de refroidissement des locaux: Occulter / ventiler du frais vers le chaud Prévoir et activer système de ventilation (ventilateur, airco) Si ambulatoire: sortie dans des milieux frais (centres commerciaux, lieux aérés). Séjours maximaux dans les pièces les plus fraîches Adapter les tenues vestimentaires Donner à boire, vérifier mise à disposition d eau Adapter les médicaments 26
27 Phase d alerte-de crise Organiser l établissement et les lieux: Fermer fenêtres, volets sur les façades exposées au soleil: les maintenir ainsi tant que la T externe est supérieur à la T intérieure. Ouvrir le plus possible et provoquer des courants d air dans tout le bâtiment dès que la température extérieure est inférieure à la t intérieure Surveiller la température des pièces 27
28 Phase d alerte-de crise Résidents et patients: Supprimer toutes activités physiques et sorties aux heures les plus chaudes: (si sortie nécessaire: matins, soirs, protections) Faire boire au moins 1,5 l. selon les goûts Éviter les régimes sans sels, voir sel pour les potages Éviter boissons alcoolisées, caféinées, sucrée diurèse osmotique) Pas de boissons trop froides ( crampes d estomac) Répartir les résidents en: Ceux qui sont capables de boire seuls: surveillance et disponibilité de boissons Ceux qui nécessitent une aide partielle ou totale: aide, hydratation Ceux qui ont des troubles de déglutition: eau gélifiée, perfusion sous-cutanée Vêtements adaptés Linge humidifié, douches, bains frais, brumisateur, pulvérisation d eau Fréquentation de pièces rafraîchies (au moins 3 heures par jour) Humidifier la bouche 28
29 Phase d alerte et de crise Signes cliniques: Déshydratation clinique: Sécheresse muqueuses, peau, rougeur, moiteur Confusion, agitation nocturne, somnolence diurne Épuisement: chutes, immobilisation spontanée Baisse du poids: - 1kg=-1litre!!! Température>38 Premiers signes de coup de chaleur: Hyperthermie (>39 ) Peau sèche Tachycardie Troubles de la vigilance 29
30 Conclusions: Canicule LE PLAN FEDERAL PCO (plan Canicule et Ozone) est actif du 15 mai au 30 septembre Les médecins généralistes sont concernés dans l application des mesures préventives et de suivi en tant que: Omnipraticien à domicile Médecin coordinateur en MR, MRS Adresses de contact «ozone et vague de chaleur» Call center SPF: 02/
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