Panorama de la santé en 2013 au sein des pays de l OCDE Extraits et synthèse de l étude OCDE 12 /2013

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Panorama de la santé en 2013 au sein des pays de l OCDE Extraits et synthèse de l étude OCDE 12 /2013"

Transcription

1 Panorama de la santé en 2013 au sein des pays de l OCDE Extraits et synthèse de l étude OCDE 12 /2013 Jean VILANOVA DCDEV /RIM La Médicale jean.vilanova@ca-predica.fr

2 Sommaire Préambule (pages 3 et 4) 1. Espérance de vie (pages 5 à 10) 1. Espérance de vie à la naissance (1970 /2011) 2. Espérance de vie par sexe (2011) 3. Mortalité par cancer (2011) : population totale et par sexe 4. Mortalité infantile (2011) 2. Démographie médicale (pages 11 à 14) 1. Médecins en exercice pour habitants (2000 /2011) 2. Pourcentage de médecins âgés de 55 ans et plus (2000 /2011) 3. Diplômés en médecine pour habitants 3. Dépenses de santé (pages 15 à 19) 1. Dépenses de santé par habitant en dollars US (2011) 2. Dépenses de santé par type de financement (2011) 3. Variation des dépenses de santé par habitant (2000 /2009 /2011) Conclusion (pages 20 et 21) page 2

3 Préambule Panorama de la santé 2013 Les indicateurs de l OCDE qui vient d être rendu public constitue sans nul doute un document très abouti sur les différentes politiques de santé des pays de l OCDE ainsi que de certains pays émergents et leurs effets sur les populations. Ce panorama a réellement qualité de «somme». D un pays à l autre, s y recoupent des informations précieuses sur l espérance de vie, les addictions (tabac et alcool), le maillage et l état de l offre de soins, les dépenses de santé. Le comparatif établi par l OCDE concerne à ce jour des pays aussi différents que la France et le Chili, l Allemagne et l Indonésie, le Portugal et l Inde, la Russie et l Afrique du Sud ; 34 pays développés et 6 pays émergents dont l histoire, la culture, le stade d évolution, les systèmes économiques diffèrent fortement. C est dire que les données répertoriées se distinguent par leur grande diversité. Mais peu ou prou, tous ces pays poursuivent des objectifs communs parmi lesquels le maintien ou l amélioration de la santé publique (diminution de la mortalité infantile, de la consommation d alcool ) corrélé au contrôle et à la baisse des dépenses en la matière. Et si l on s en tient aux seuls pays membres de l OCDE, ils sont nombreux en Europe, en Amérique, ou en Asie à établir les mêmes constats comme le vieillissement de leur population ou la montée en puissance des maladies chroniques Les pays de l OCDE partagent aussi d avoir été touchés à des degrés divers certains frontalement, d autres un peu moins par la crise économique dont l ampleur s est accrue à partir de Et, cela ne surprendra pas, cette crise a puissamment imprégné le domaine de la santé. Partout, cette situation nécessite de mobiliser les intelligences sur une question simple mais à la résolution complexe : comment améliorer la santé publique avec des moyens revus à la baisse, dans un contexte de fragilisation des populations? Une dernière remarque : la présente note, synthèse de différentes données est aussi un extrait d une étude fort poussée. C est dire que des pans entiers de ladite étude ont ici été écartés ; ceux ayant notamment trait aux habitudes de consommation, ou encore ceux propres à l observation de pathologies (infarctus, AVC ), ceux enfin relatifs au vieillissement et aux soins de longue durée. Ecartées certes afin de concentrer l analyse sur des domaines sériés, ces thématiques n en présentent pas moins un très grand intérêt. Tous les tableaux ci-après sont tirés du Panorama de la santé 2013 Les indicateurs de l OCDE page 3

4 Pays développés (membres OCDE) Préambule Pays émergents (non-membres OCDE) page 4

5 1 Espérance de vie 1. Espérance de vie à la naissance : comparatif 1970 / Espérance de vie par sexe en Mortalité par cancer en 2011 : population totale et par sexe 4. Mortalité infantile en 2011 page 5

6 1. Espérance de vie à la naissance : 1970 et 2011 Hormis en Russie et en Afrique du Sud où, entre 1970 et 2011 elle demeure stagnante, l espérance de vie s allonge partout dans les pays objet de l étude et ceci de façon parfois spectaculaire (Corée, Chili, Indonésie, Inde). Une telle tendance prend un tour plus modeste aux USA, pourtant 1 ère puissance économique de la planète. L OCDE distingue plusieurs causes parmi lesquelles le non accès d une partie importante de la population aux assurances, les comportements alimentaires, les accidents de la route et les homicides. page 6

7 2. Espérance de vie par sexe : 2011 Il s agit vraiment d une constante. Quelle que soit la latitude, les femmes vivent plus longtemps que les hommes. Dans l espace OCDE, l espérance de vie se situe à 82,8 ans pour les femmes et 77,3 ans pour les hommes. L écart est important. Il devient même très important en France, en Corée, au Portugal. Et ce sont les françaises qui, avec les japonaises et les coréennes vivent le plus longtemps. L Afrique du Sud se démarque défavorablement. On y vit moins longtemps et l écart entre l espérance de vie des femmes et des hommes est faible. Pour l essentiel, ceci dénote les ravages occasionnés par le sida dans ce pays. page 7

8 La situation de la Russie mérite aussi un éclairage. Cette fois, l écart hommes /femmes 12 années s avère considérable. En Russie, les hommes meurent plus vite et plus nombreux du fait d une consommation élevée d alcool et de tabac. Les décès par accident de la route, par suicide et homicide participent aussi de ce constat. 3. Mortalité par cancer 2011 : population totale et par sexe page 8

9 Selon les statistiques dont fait état l OCDE, le cancer représente 25% des causes de décès dans les pays qui la composent et apparaît comme la seconde cause de mortalité après les maladies de l appareil circulatoire. Au Canada, au Danemark, en France, au Japon et aux Pays-Bas, il s agit même désormais de la 1 ère cause de décès dans la mesure où la mortalité des pathologies cardiovasculaires et respiratoires tend à y régresser plus rapidement. Le taux moyen de décès par cancer est de 211 pour habitants. C est au Mexique que ce taux est le plus faible et en Hongrie qu il est le plus haut. Les hommes meurent davantage de cette maladie que les femmes. Le cancer du poumon reste la 1 ère cause de mortalité chez les hommes. Il représente en moyenne 23 % de tous les décès par cancer avec des «pointes» à plus de 30 % en Belgique et en Grèce. Chez les femmes, ce taux se voit ramené à 16 % mais il augmente de façon régulière et logique. Depuis plusieurs années en effet, les femmes ont eu tendance a adopté les mêmes habitudes tabagiques que les hommes. Au mêmes causes les mêmes effets si l on peut dire Globalement, la mortalité par cancer diminue néanmoins ; une baisse de près de 15 % en moyenne entre 1990 et On meurt moins en effet de certains cancers comme celui de l estomac, du colon, du sein et du col de l utérus chez les femmes, celui de la prostate et du poumon chez les hommes. A contrario, on note un accroissement du taux de décès dû au cancer du pancréas ou du foie ainsi que du cancer du poumon chez les femmes. On recense plus de 100 cancers différents, nommés le plus souvent par le nom de l organe où la tumeur se forme. Le cancer apparaît lorsque des cellules se multiplient de façon incontrôlée. Le risque de survenue de certains cancers s accroît avec l âge. D autres sont liés à des facteurs héréditaires. D autres enfin sont favorisés par le mode de vie (tabagisme, sédentarité, exposition au rayonnement solaire ) page 9

10 4. Mortalité infantile 2011 Selon les critères retenus dans l étude, le taux de mortalité infantile mesure la proportion de décès parmi les nourrissons et les enfants âgés de moins de un an. Dans les pays de l OCDE ce taux reste faible. La moyenne s établit ainsi à 4,1 décès pour naissances. Il ne saurait toutefois être question de se satisfaire d une telle moyenne. Il faut poursuivre les efforts. Parmi les pays émergents associés à l étude, la situation diffère. L Indonésie, l Afrique du Sud, l Inde notamment présentent des taux de mortalité infantile élevés. Mais dans ces pays également, la tendance s oriente à la baisse du nombre de ces décès. page 10

11 2 Démographie médicale 1. Médecins en exercice pour habitants : comparatif 2000 / Pourcentage des médecins âgés de 55 ans et + : comparatif 2000 / Diplômés en médecine pour habitants page 11

12 1. Médecins en exercice pour habitants : 2000 et 2011 Les écarts sont abyssaux entre certains pays membres de l OCDE et certains pays émergents (Grèce par rapport à Indonésie et Inde par exemple). Néanmoins, sans connaître de tels contrastes, les pays de la zone OCDE n en présentent pas moins des situations fort différentes. Pour preuve la Grèce encore et le Canada ou les USA et l Autriche Avec 3,3 médecins pour habitant, la France se place à un niveau très proche de la moyenne OCDE (3,2 médecins pour habitants) mais nous verrons au tableau suivant qu elle ne pourra que décrocher assez vite. La pyramide des âges de ses médecins en constitue la cause. page 12

13 2. Pourcentage des médecins âgés de 55 ans et plus : 2000 et 2011 Au sein de l OCDE (en tout cas parmi les 22 pays répertoriés au tableau ci-dessus) 32 % des médecins en exercice sont âgés de 55 ans et plus. C est déjà beaucoup. Le vieillissement des médecins est une donnée patente dans plusieurs pays, notamment en Belgique, en France, en Italie et en Israël. Dans ce dernier pays, près d un médecin sur deux a 55 ans ou plus. La situation de la France ne manque pas de préoccuper. En 2011, 42 % des médecins se situent dans la zone d âge de 55 ans et plus contre 18 % dix ans plus tôt! La progression est spectaculaire et le phénomène va encore s amplifier dans les 7 à 10 années qui viennent. La pratique durable et «à la hache» du numerus clausus comme instrument de régulation économique (avec des résultats peu probants) pendant plus de deux décennies explique cette perspective bien peu réjouissante. En attendant les premiers effets, dans 10 ans, de la réouverture du numerus clausus, ouverture engagée bien trop tard, «le salut», si l on accepte ce mot ne pourra venir que des médecins étrangers qui voudront bien venir exercer dans notre pays. A l inverse, il faut remarquer la jeunesse des médecins au Royaume-Uni, en Corée et en Irlande. L explication est simple. Ces pays ont enregistré, au cours des dernières années, un afflux de jeunes diplômés. page 13

14 3. Diplômés en médecine pour habitants Au sein de l OCDE, la densité moyenne du nombre de nouveaux médecins diplômés pour habitants s établit à 10,6. La densité en Autriche se situe pratiquement au double de cette moyenne. En revanche, en Israël en France et au Japon, la densité est faible. Le tableau ci-contre constitue une photographie à l instant «t». Il n indique pas l évolution du nombre de ces nouveaux diplômés. Or, ce nombre augmente au Canada, au Danemark, aux Pays-Bas et surtout en Australie (multiplication par 2,5 entre 1990 et 2011) et au Royaume- Uni (doublement sur la même période 1990 /2011). Ces deux pays affichent ainsi leur volonté de réduire une dépendance vis-à-vis des médecins formés à l étranger. Le Japon offre un profil opposé. Le nombre de nouveaux médecins comptabilisés en 2011 y est inférieur à ce qu il était en En Italie et en France, la stabilisation des effectifs prévaut alors que le nombre de départs en retraite devrait durablement excéder celui des entrées dans la carrière. page 14

15 3 Dépenses de santé 1. Dépenses de santé par habitant en 2011 (en dollars US) 2. Dépenses de santé par type de financement en Variation des dépenses de santé par habitant : comparatif 2000 /2009 /2011 page 15

16 1. Dépenses de santé par habitant : données 2011 en USD Les dépenses de santé aux USA affichent un niveau très nettement supérieur à celui de tous les autres pays. L arithmétique est simple. Avec USD (dollars US), le niveau des dépenses équivaut à plus de 2,5 fois la moyenne des pays de l OCDE. Les USA dépensent par habitant plus du double de ce que dépense la France. Intéressante également la ventilation entre dépenses publiques et privées de santé par habitant. La dépense publique reste prépondérante hormis aux USA et au Chili pour les pays membres de l OCDE ainsi qu au Brésil, au Mexique, en Afrique du Sud, en Chine, en Inde et en Indonésie pour les pays émergents non-membres de l OCDE. page 16

17 2. Dépenses de santé par type de financement : données 2011 L analyse porte sur les seuls pays membres de l OCDE. On le constate partout, le financement de la santé se fait par le biais de sources publiques et de sources privées. Le financement public naît de l intervention de l administration publique (administration centrale, régionale, locale) et de celle des assurances sociales (sécurité sociale). Dans tous les pays de l OCDE sauf au Chili, au Mexique et aux USA, le financement public l emporte. Pour preuve en 2011, en moyenne, près de 75 % des dépenses relèvent du financement public. La dépense privée concerne quant à elle les paiements effectués par les ménages eux-mêmes ainsi que les assurances privées. L administration publique pèse d un poids très lourd au Danemark, au Royaume-Uni, en Suède et en Italie. Le poids est moindre ailleurs, dont en République Tchèque, au Luxembourg, en France, en Allemagne, en Slovénie Dans ces pays, ce sont les assurances sociales qui financent l essentiel des dépenses. page 17

18 On remarquera la part assez importante laissée aux USA aux assurances privées. En ce qui concerne les versements nets effectués directement par les ménages pour leurs dépenses de santé, la part peut s avérer importante : 49 % au Mexique, 38% aux USA, 37 % en Corée, 31 % en Grèce En revanche, cette part est faible aux Pays-Bas (6%) et en France (8 %). Elle tend à augmenter en Espagne, en Irlande, au Portugal, en Slovaquie et en République Tchèque et plus généralement là où le financement public reflue. A l inverse, elle diminue en Turquie et en Suisse. 3. Dépenses de santé par type de financement : données 2011 page 18

19 La crise est bien là. A l exception d Israël et du Japon, on observe au tableau ci-dessus, soit un ralentissement, soit une chute parfois très sensible des dépenses de santé par habitant depuis 2009, cela après des années de hausse pratiquement ininterrompue. Commençons par la chute. Elle concerne certains des pays européens les plus touchés par la crise financière. C est notamment le cas de la Grèce, de l Irlande, de l Islande et du Portugal. Ensuite le ralentissement. Il est, en moyenne, très net. En effet si, entre 2000 et 2009, les dépenses de santé par habitant ont pu croître de 4,1 %, la hausse n est plus que de 0,2 % entre 2009 et On passe en France de + 2,1 % à + 0,7 %, en Pologne de + 7,1 % à + 1,2 %, en République Slovaque de + 10,9 % à + 2,8 %, aux USA de + 3,4 % à + 1,3 %. page 19

20 Conclusion Tout d abord un constat et des perspectives contrastées La situation est paradoxale. A tout le moins, elle laisse percer quelques lueurs d espoir. D un côté la crise mondiale continue d affecter des dizaines de millions de personnes dans le monde. Un peu partout, le tissu économique et social se déchire et la grande précarité n est plus l apanage si l on peut dire des pays pauvres de la planète. De l autre côté, en dépit de larges coupes budgétaires de la part des Etats et de la difficulté accrue d accès aux soins pour de nombreuses populations, la santé «résiste». On meurt moins, y compris dans les pays les plus durement éprouvés. On constate des progrès réels dans la lutte contre les graves maladies comme les affections cardiovasculaires, le cancer, le sida Toutefois, de tels progrès restent fragiles. Si l amélioration de la santé passe par des traitements plus efficaces contre les maladies, un autre vecteur de même importance ne doit surtout pas être négligé : la prévention. Or, selon l OCDE, c est en ce domaine que le bât blesse aujourd hui. Les coupes budgétaires touchent d abord, semble-t-il, les programmes de prévention. C est une mauvaise nouvelle. D autant qu un autre front commence à s ouvrir ; celui des maladies chroniques. Dans les seuls pays de l OCDE, 7% de la population soit 85 millions de personnes souffrent du diabète et le nombre va croissant. Quant à la démence, son développement prend un tour pour le moins inédit. L aspect purement économique ensuite La crise met fin à une situation jusqu ici vécue partout au sein des pays de l OCDE : celle d un développement des dépenses de santé plus fort que la croissance. Il fallait agir en effet car, a fortiori dans un contexte de crise, la pérennité d un tel découplage n aurait pu conduire qu à la catastrophe. A des degrés divers, chaque pays entame désormais des réformes structurelles visant à accroître l efficacité de son système de santé, avec moins de moyens car les moyens manquent. Par quel biais? Le rééxamen du fonctionnement de l hôpital qui n est pas et ne sera jamais «une entreprise comme les autres» contrairement à ce que d aucuns ont pu parfois dire Le rééquilibrage du périmètre de chacun au sein de la sphère de soins La recherche permanente du bon geste respectueux de l intérêt du patient Une approche plus rationnelle du marché et de l utilisation du médicament etc. Les crises ont au moins ceci de positif en ce qu elles obligent à l intelligence. Faire mieux avec moins... /.. page 20

21 La sécurité du patient enfin Se préoccuper des moyens offrant une meilleure sécurité au patient, c est agir dans le sens d une réduction du coût de la santé. Car les suites défavorables pour la santé nées d un contexte inapproprié (absence de soins primaires, de prévention, geste choisi relevant «d une économie de bouts de chandelle» ), voilà l origine de multiples gouffres financiers! Comme en matière aérienne, c est l accident qui coûte cher, pas la sécurité. page 21

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

Âge effectif de sortie du marché du travail

Âge effectif de sortie du marché du travail Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

Qui sont les enseignants?

Qui sont les enseignants? Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),

Plus en détail

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le

Plus en détail

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT? Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION

REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION Regards sur l éducation Rapport intermédiaire Mise à jour des indicateurs relatifs

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat

Plus en détail

AMÉLIORER LE RAPPORT COÛT-EFFICACITÉ DES SYSTÈMES DE SANTÉ

AMÉLIORER LE RAPPORT COÛT-EFFICACITÉ DES SYSTÈMES DE SANTÉ Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE 2010, Améliorer le rapport coût-efficacité des systèmes de santé, OCDE Département des Affaires Économiques, Note de politique économique,

Plus en détail

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition

Plus en détail

COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION

COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION Philippe Montigny, Président, ETHIC Intelligence EIFR Paris, le 3 juillet 2013 1 Le monde a changé La responsabilité d une entreprise peut être engagée

Plus en détail

Régimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan

Régimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique

Plus en détail

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale) 55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États

Plus en détail

La situation en matière de pension privées et de fonds de pension dans les pays de l OCDE

La situation en matière de pension privées et de fonds de pension dans les pays de l OCDE La situation en matière de pension privées et de fonds de pension dans les pays de l OCDE Colloque Protection sociale d entreprise Paris, 26 mars 2010 http://www.irdes.fr/espacerecherche/colloques/protectionsocialeentreprise

Plus en détail

Thème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire

Thème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire FRANCE Cette note sur la France se focalise sur trois grands thèmes que l on retrouve dans cette édition de Regards sur l éducation et qui concernent plus particulièrement la France. Il s agit de l environnement

Plus en détail

Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux

Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Claire de Kermadec* Les habitudes culturelles, la taille et la dynamique des marchés modèlent le paysage du commerce de détail en Europe.

Plus en détail

Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi

Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Congrès Mondial de l AMSEP Istanbul, 6 mai 2015 Sylvain Giguère, Directeur de la division LEED, OCDE Pourquoi

Plus en détail

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

REVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT

REVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT REVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT Revoir le mode de financement de notre système d Assurance-maladie, institution à

Plus en détail

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations

Plus en détail

Les enfants laissés pour compte

Les enfants laissés pour compte UNICEF Centre de recherche Innocenti Bilan Innocenti 9 Les enfants laissés pour compte Tableau de classement des inégalités de bien-être entre les enfants des pays riches unissons-nous pour les enfants

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches

Plus en détail

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors

Plus en détail

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux

Plus en détail

les étudiants d assas au service des professionnels

les étudiants d assas au service des professionnels les étudiants d assas au service des professionnels 2 3 Présentation Générale Les avantages de l Association Pour les professionnels QUI SOMMES-NOUS? Assas Junior Conseil est une association à caractère

Plus en détail

FRANCE. PISA 2012 : Faits marquants. Performance en mathématiques. Performance en compréhension de l écrit et en sciences

FRANCE. PISA 2012 : Faits marquants. Performance en mathématiques. Performance en compréhension de l écrit et en sciences FRANCE PISA 2012 : Faits marquants Performance en mathématiques La performance des élèves de 15 ans en mathématiques se situe en France au niveau de la moyenne des pays de l OCDE, avec un score de 495

Plus en détail

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES

Plus en détail

EGALITÉ ENTRE LES FEMMES

EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES

Plus en détail

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords

Plus en détail

Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux

Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle

Plus en détail

COMMENT COMMANDER? Par courrier. En ligne sur le site www.quae.com. Par fax. Par email

COMMENT COMMANDER? Par courrier. En ligne sur le site www.quae.com. Par fax. Par email COMMENT COMMANDER? Par courrier Adresser votre commande à l aide du bon de commande proposé en page 4 que vous aurez imprimé ou sur papier libre en mentionnant bien le titre de l ouvrage et la quantité

Plus en détail

Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits

Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits Salariés FÉVRIER 2014 Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits B Les majorations de durée d assurance B Le congé parental B La majoration pour 3 enfants Vous avez eu ou élevé des enfants Vous avez

Plus en détail

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil: 1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence

Plus en détail

OBSERVATION ET STATISTIQUES

OBSERVATION ET STATISTIQUES COMMISSARI GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 461 Novembre 2013 Prix du gaz et de l électricité en France et dans l Union européenne en 2012 OBRVION ET STISTIQU ÉNERG En 2012, le prix du gaz a augmenté

Plus en détail

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données

Plus en détail

Délais de paiement : Le grand écart

Délais de paiement : Le grand écart Délais de paiement : Le grand écart Conférence de Presse, Paris, le 28 juin 2012 Ludovic Subran, Chef Economiste Arnaud Roger, Directeur des Indemnisations Maxime Lemerle, Responsable des Etudes Macroéconomiques

Plus en détail

Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011

Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 1 Nos performances environnementales, sociales et sociétales en 2011 Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 Sur les données environnementales publiées dans le présent rapport, il

Plus en détail

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous

Plus en détail

L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0

L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0 L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47. Résumé La question de la position des consommateurs vis-à-vis du commerce international a été abordée en particulier par deux

Plus en détail

Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013

Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale

Plus en détail

Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas

Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Sommaire Qu est-ce que la pension AOW? 2 A qui est destinée la pension AOW? 2 Quand aurez-vous droit à la pension AOW? 4 Résider dans un pays et travailler

Plus en détail

Click to edit Master title style

Click to edit Master title style Le Service des délégués commerciaux MAECI: Orientation et rôle Investissement étranger direct (IED) Anderson Blanc Délégué commercial Click to edit Master title style Investissement & Innovation Coordonnateur

Plus en détail

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.

Plus en détail

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ

Plus en détail

La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS

La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS CAAMI Service Relations internationales (iri.enquete@caami.be) www.caami.be Introduction La Caisse Auxiliaire d Assurance Maladie-Invalidité

Plus en détail

VI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE

VI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE VI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE Introduction L investissement direct étranger a des effets bénéfiques sur l économie L investissement direct étranger (encadré

Plus en détail

REPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015

REPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015 REPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015 2000 2005 2010 2015 2020 2025 2030 2035 2040 2045 2050 2055 2060 en % du PIB UN FINANCEMENT DES RETRAITES TOUJOURS PAS ASSURÉ Solde financier

Plus en détail

CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE»

CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE» CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE» > PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE L INDICE DE LA PERFORMANCE ÉCONOMIQUE POSITIVE 2014 UNE INITIATIVE DE DÉROULÉ DE LA CONFÉRENCE

Plus en détail

TARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015

TARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015 TARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015 I. Organismes de Placements Collectifs 1. SICAV émises par la BCEE Sous réserve d exceptions éventuelles prévues dans le prospectus d émission,

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

Saint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.

Saint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie. Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche

Plus en détail

Prendre sa retraite en France Droits, conditions et formalités de résidence. Natasha Lavy-Upsdale Service des Relations avec les Pays-hôtes

Prendre sa retraite en France Droits, conditions et formalités de résidence. Natasha Lavy-Upsdale Service des Relations avec les Pays-hôtes Prendre sa retraite en France Droits, conditions et formalités de résidence Natasha Lavy-Upsdale Service des Relations avec les Pays-hôtes Novembre 2011 Droit de libre circulation et de séjour des citoyens

Plus en détail

Activités et résultats 2011

Activités et résultats 2011 Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,

Plus en détail

ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944

ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste

Plus en détail

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD

Plus en détail

L Épargne des chinois

L Épargne des chinois L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48

Plus en détail

Mobilité de l enseignement supérieur

Mobilité de l enseignement supérieur Mobilité de l enseignement supérieur Guide financier 2014 1 SOMMAIRE Introduction... 3 Le calcul de la subvention par l agence... 4 Utilisation de la subvention par l établissement... 7 Exemple d allocation

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion

Plus en détail

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2

Plus en détail

Comparaison du bien-être des enfants dans les pays de l OCDE

Comparaison du bien-être des enfants dans les pays de l OCDE Assurer le bien-être des enfants OCDE 09 Chapitre 2 Comparaison du bien-être des enfants dans les pays de l OCDE Ce chapitre donne une vue d ensemble du bien-être des enfants dans les pays de l OCDE. Il

Plus en détail

Le travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté?

Le travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté? ISBN 978-92-64-6795- Perspectives de l emploi de l 29 Faire face à la crise de l emploi 29 Chapitre 3 Le travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté? L emploi réduit considérablement le risque

Plus en détail

asdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid

asdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 Promouvoir la santé et le bien-être des personnes âgées : actif «Nous sommes témoins d une révolution silencieuse qui bien au-delà de la sphère démographique a des incidences

Plus en détail

Taux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque

Taux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque 168/2014-4 Novembre 2014 Risque de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'ue28 Plus de 120 millions de personnes menacées de pauvreté ou d exclusion sociale en 2013 Soit près d une personne sur quatre

Plus en détail

Les réformes récentes des retraites et leur impact redistributif

Les réformes récentes des retraites et leur impact redistributif Extrait de : Panorama des pensions 213 Les indicateurs de l'ocde et du G2 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/1.1787/pension_glance-213-fr Les réformes récentes des retraites et leur impact

Plus en détail

RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR?

RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? Une question européenne mais traitée dans chaque Etat membre L avenir des systèmes de retraite et ses conséquences sur la zone euro, internationalise

Plus en détail

Conseil Stockage Logiciel Services Formation. Salle de stockage

Conseil Stockage Logiciel Services Formation. Salle de stockage Conseil Stockage Logiciel Services Formation Salle de stockage Améliorer la situation Le personnel infirmier ne devrait pas passer le tiers de son temps à des tâches administratives, ce temps serait bien

Plus en détail

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42

Plus en détail

125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014

125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014 LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE Demande placée 125 700 m² +41% : confirme son retour en grâce sur le marché locatif, en dépit d un 3 ème trimestre 2014 beaucoup moins flamboyant que le précédent,

Plus en détail

Le Marché du à la consommation en Europe à fin 2007

Le Marché du à la consommation en Europe à fin 2007 Le Marché du Crédit à la consommation en Europe à fin 7 Une étude de SOFINCO Evry, le juin 8 Nicolas Pécourt Le crédit à la consommation en Europe Synthèse (/) Cette étude porte sur le marché du crédit

Plus en détail

notre vision CARTE DE VISITE

notre vision CARTE DE VISITE 360 notre vision CARTE DE VISITE 2012 Malgré un durcissement de la conjoncture économique à partir du second semestre 2011, le Groupe SEB a maintenu son cap et consolidé ses positions sur la plupart des

Plus en détail

Votre interlocuteur : Téléphonie IP d'entreprise

Votre interlocuteur : Téléphonie IP d'entreprise Votre interlocuteur : Téléphonie IP d'entreprise Avantages de la téléphonie IP DE 1 A 1000 POSTES SELON VOS BESOINS NE PAYEZ PLUS VOS ABONNEMENTS OPERATEURS Un seul standard hébergé pour l'ensemble de

Plus en détail

Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010

Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 249 Septembre 2011 Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2010, le prix du gaz a diminué dans l Union européenne

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI»

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» La SOPARFI n'est pas régie par une loi spécifique, mais se définit comme une société de capitaux luxembourgeoise soumise à une fiscalité tant directe

Plus en détail

Les enfants de la récession

Les enfants de la récession UNICEF Bilan Innocenti 12 Enfants dans les pays développés Les enfants de la récession Impact de la crise économique sur le bien-être des enfants dans les pays riches Le Bilan Innocenti 12 a été rédigé

Plus en détail

Présentation du Groupe IKEA

Présentation du Groupe IKEA Présentation du Groupe IKEA IKEA dans le monde en quelques chiffres En 62 ans, le Groupe IKEA est devenu le leader mondial sur le marché du meuble. En tant que spécialiste de l ameublement et de la décoration

Plus en détail

Au Luxembourg, au 31.12.2007, 10 personnes attendaient un rein, deux reins provenant de donneurs décédés luxembourgeois ont pu être greffés en 2007.

Au Luxembourg, au 31.12.2007, 10 personnes attendaient un rein, deux reins provenant de donneurs décédés luxembourgeois ont pu être greffés en 2007. Communiqué de presse Luxembourg, le 2.02.2008 Campagne Il y a une vie après la mort. D après les statistiques d EUROTRANSPLANT, organisme européen qui gère les échanges d organes entre les pays Luxembourg,

Plus en détail

Les clés de l amélioration des systèmes scolaires

Les clés de l amélioration des systèmes scolaires Education Les clés de l amélioration des systèmes scolaires Comment passer de "bon" à "très bon"? "Les clés de l amélioration des systèmes scolaires" est le titre du nouveau rapport publié par McKinsey

Plus en détail

Présentation Altran. Octobre 2008

Présentation Altran. Octobre 2008 Présentation Altran Octobre 2008 Le Groupe Altran: identité Pionnier du conseil en innovation technologique Leader en Europe Créé en 1982, soit plus de 25 années d expertise dans le domaine du conseil

Plus en détail

VADEMECUM COMMERCE EXTÉRIEUR DÉCOUVREZ L APP DE S-GE!

VADEMECUM COMMERCE EXTÉRIEUR DÉCOUVREZ L APP DE S-GE! Edition 2015 VADEMECUM COMMERCE EXTÉRIEUR DÉCOUVREZ L APP DE S-GE! Sommaire LE MOT DU DIRECTEUR 3 SERVICES DE SWITZERLAND GLOBAL ENTERPRISE 4 Export Promotion 4 Import Promotion 4 Invest Promotion 5 RÉSEAU

Plus en détail

Région Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie

Région Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Région Haute-Normandie Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Novembre 2013 ! "# $"% &%'' $ (')#!*+,*'-#&+,./ 0 $1&/2+,(.'1&/2+,(.'' 3,/,// 4 (553 5#+' 2 '+ 0 6 #

Plus en détail

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique

Plus en détail