Travailler à l Apléat, c est refuser toute fatalité, discrimination, jugement et exclusion.

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1 Je souhaite tout d abord remercier les membres du Conseil d Administration de notre association, tous les personnels disponibles et présents ainsi que l ensemble des partenaires qui sont venus pour commencer l année 2013, participer le 18 janvier, à la cérémonie de remise de la légion d honneur, marquant ainsi leur soutien et leur reconnaissance du travail de l Apléat. Comme j ai eu l occasion de m en exprimer lors de cette cérémonie, j ai reçu cette distinction à titre personnel, certes, mais aussi et surtout à titre collectif. Plus de 16 ans après avoir pris les fonctions qui me lient à l association Apléat, au travers de cette distinction, c est notre travail et notre engagement à tous, bénévoles et salariés, qui ont été récompensés. Travailler à l Apléat, c est partager des convictions humanistes, bien sûr ; et s engager dans une association, ce qui ne se fait pas par hasard, c est croire que l on peut à la fois y travailler très rigoureusement et à la fois y militer chaque jour pour la dignité de tous et de chacun. Le conseil d administration de notre association a choisi de toujours écouter et construire avec chacun d entre nous et de nous guider avec discernement et confiance. Travailler à l Apléat, c est refuser toute fatalité, discrimination, jugement et exclusion. Travailler à l Apléat, c est aussi sans doute parce que chacun d entre nous a connu ou compris que la différence, les difficultés, la maladie ne font pas l identité d un homme ou d une femme et que chaque usager que nous accompagnons est notre semblable avant d être un consommateur ou son parent, un toxicomane, un alcoolique ou un joueur. Travailler ensemble c est partager l idée qu associés et égaux nous serons plus forts et plus aidants, que la liberté réside dans la capacité de faire des choix et de reprendre le contrôle de sa vie pour nos usagers, de déployer notre créativité et de toujours remettre en question nos certitudes pour nous. Travailler à l Apléat, au-delà de tous les instants difficiles qui existent bien entendu, c est pouvoir trouver chaque jour la fraternité et quelques fois partager de grandes émotions avec les usagers, qui nous ressourcent. Et dans ces moments là, nous savons tous pourquoi nous sommes là : Les professionnels de l Apléat qui se sont engagés avec moi dans une dynamique de changement, dans un contexte de mutation permanente du dispositif français en addictologie tout au long de ces années, de croissance incessante de notre file active et de notre association, d évènements conjoncturels qui ont complexifié nos organisations et comme pour tout organisme vivant, d évènements humains qui nous ont affectés ou réjouis. Que les mutations soient anticipées ou que nous ayons à nous les approprier, l équipe en a toujours compris la richesse en convertissant ses énergies et ses compétences dans un projet collectif pour les usagers, qui sont la raison d être de l Apléat. Les membres du Conseil d Administration, acteurs et accompagnateurs attentifs qui par leur grande qualité d écoute, de recherche, de réflexion et de décision, sous la présidence de Claire BOTTE, bien au-delà de ma fonction de direction, nous soutiennent tous.

2 Ils m ont donné pour mandat en 1996 : «Structurer l édifice : stabiliser le fonctionnement, consolider et développer le projet associatif». L Apléat est aujourd hui solide grâce à nous tous et j espérais le 18 janvier que nous allions très bientôt la développer encore un peu Et en effet, le 5 février, nous présentions notre projet d Unité d appartements de coordination thérapeutique pour personnes Sortant de Prison devant la commission d appel à projets de l Agence Régionale de Santé. Ce n est que quelques jours plus tard, que nous apprenions que nous avions remporté cette mise en concurrence, puisqu il s agit de cela, et que nous allions après plus de 800 heures de travail de préparation, pouvoir mettre en œuvre et ouvrir cette extension de notre établissement d appartements de coordination thérapeutique. Les réunions de chantier, les temps de recrutement des nouveaux professionnels, et la réécriture du projet d établissement intégrant cette nouvelle unité, nous a bien sûr beaucoup occupé les mois suivants. Dès le lendemain 6 février, c est l inauguration d AMARA 45 qui prenait la première place. Association dont l Apléat est membre fondateur avec l AIDAPHI et le Centre Hospitalier Départemental DAUMEZON, et qui a pour mission l administration et l animation de la Maison des Adolescents et du Réseau 45 de l Adolescence. Ce projet long et complexe à mettre en œuvre avait enfin abouti et nous sommes contents de notre implication et de son évolution constructive. En avril, à la demande de nos collègues d Addiction SUISSE, nous sommes intervenus dans le colloque «Les familles au cœur de la prévention: potentiels et défis regard au-delà de nos frontières» pour présenter notre projet «Prev parents» et notre tentative de développement de l esanté en prévention et/ou en soutien des usagers et de leur entourage. En juin, l Apléat a été élue au Conseil d Administration de la Fédération Addiction, puis au Conseil d Administration de la FNHVIH, Fédération Nationale des Hébergements médico-sociaux pour les personnes souffrant de maladies chroniques dont font partie nos ACT. Au mois de juillet, a eu lieu la visite de conformité de notre nouvelle unité pour personnes sortant de prison. En septembre, d autres évènements importants ont eu lieu : - Le colloque de Bruxelles «La stratégie anti-drogue de l Union Européenne » où nous a été présenté le changement de paradigme de la politique européenne pour ce qui nous concerne.

3 En effet, l Union Européenne s engage à évaluer les politiques menées jusqu alors ; constatant les coûts et les difficultés de mise en œuvre de plus en plus prégnantes des politiques de répression face aux ventes par internet et aux nouvelles molécules, elle souhaite se réorienter fortement dans la prévention, la recherche et l observation ; Nous en retrouvons les orientations, en toute cohérence, dans le plan gouvernemental de la MILDECA (anciennement MILDT) ; dont les trois priorités sont : - fonder l action publique sur l observation, la recherche et l évaluation - Prendre en compte les populations les plus exposées pour réduire les risques et les dommages sanitaires et sociaux - Renforcer la tranquillité et la santé publique - Clôturant nos travaux et consacrant son ouverture officielle, l inauguration de notre Unité Sortant de Prison a eu lieu le 26 septembre ; - La participation à une action du Conseil régional du Centre dans le cadre de sa coopération avec le Maroc, les jours suivants ; - Enfin, la création d une cellule du dispositif SINTES veille (Système National d'identification des Toxiques et Substances) de l OFDT (Observatoire Français des Drogues et Toxicomanies) en région Centre. S appuyant sur le travail de partenariat déjà existant avec le CAARUD Sacados de l Apléat, l OFDT a confié la coordination et l animation de la cellule SINTES veille à Gilles Rozsypal, chef de service de notre CAARUD. Le dispositif SINTES a pour objectif de répondre à une double exigence : d une part, produire des informations sur les drogues (forme, composition, dosage), ainsi que sur les usagers et les contextes d usage ; d autre part, répondre pour la France aux obligations prévues par l action commune européenne du 16 juin 1997, instaurant un système d alerte rapide portant sur l apparition de nouvelles drogues de synthèse. En novembre, ce fut l organisation pour la Fédération Addiction de la Journée régionale d échanges de pratiques des professionnels des Consultations Jeunes Consommateurs, en partenariat avec l ARS. D autres dossiers nous ont mobilisés tout au long de l année, en interne ou en articulation avec les partenaires, citons notamment : - La réécriture du projet d établissement de notre CAARUD Sacados, suite à son évaluation interne et à la restructuration de ses locaux ; - Le projet européen : «E-powerment des parents» (intervention en ligne, conseils et exercices pour les parents et les proches, dans la prévention des problèmes de consommations de substances chez leurs enfants) qui a abouti à un excellent classement compte tenu de notre première tentative, mais ne pourra pas hélas, voir le jour avant un deuxième essai, pour lequel nous devrons trouver de nouveaux financements ; - L articulation des acteurs en détention, dont la rédaction de la convention tripartite Unité de Soins ANPAA - APLEAT qui reste en attente de signatures, et celle à établir avec le Service Pénitentiaire d Insertion et de Probation du Loiret, anticipant l ouverture du Centre Pénitentiaire d Orléans-Saran prévue en juillet 2014 ;

4 - De nouvelles compétences acquises en matière de prévention donnant lieu à un programme de prévention innovant en France. - L Apléat a participé activement aux travaux de la Conférence Territoriale de Santé du Loiret. D un point de vue de la vie associative, - Il s est avéré nécessaire de prendre en compte une nouvelle phase de délégation interne, compte tenu du développement des établissements et des engagements et représentations pour lesquels le Conseil d Administration m a mandatée. - Au regard de ces besoins, le Conseil d Administration avait pris fin 2012, la décision de créer un poste de chef de service pour le CSAPA ambulatoire, poste que nous avons cherché à pourvoir dès le début de l année. Malheureusement nos tentatives ont été infructueuses et l établissement a ressenti ce manque de cadre. C est pour nous une priorité L association s est également engagée dans une dynamique de recrutement de 4 jeunes salariés en emploi d avenir. - Six commissions associant les administrateurs, les professionnels et les usagers ont été organisées. - Une formation commune aux administrateurs, équipe cadres et représentants du personnel a eu lieu pour anticiper un éventuel passage de l association à plus de 50 équivalent temps plein. - Enfin, le 12 décembre, la journée régionale Regards Croisés a clôturé cette année très remplie, sur le thème : «Populations, territoires et accès au soin en addictologie, quelles panoplies?», dont vous trouverez les actes sur notre site ( L Apléat et le Groupement Régional de Coopération Sociale et Médico-Sociale AddictoCentre Outre les temps de gestion et d administration du groupement lui-même, ainsi que les conventions de gestion ou les conventions ponctuelles pour des actions de solidarité inter-associatives temporaire (remplacements temporaires de médecins et d infirmières), les membres du GRCSMS AddictoCentre, sur préparation et propositions de son administrateur élu, en 2013, ont pris plusieurs décisions collégiales : - La mutualisation du service de prévention, en confiant la coordination régionale au chef d unité Pistes de l Apléat, Nicolas BAUJARD ; - La mutualisation d un poste de pharmacien pour répondre aux exigences du circuit du médicament des CSAPA, avec le recrutement d Anne-Christine MOREAU fin septembre ; - L accompagnement des réponses à l appel à projet CAARUD des départements 18 et 28 - La mutualisation d un demi-poste de chargé de communication et de coordination dont le recrutement aura lieu début 2014

5 L Apléat et la Fédération Addiction Tout au long de l année, l Apléat a participé activement au titre de Fédération Addiction, à la Conférence Régionale de la Santé et de l Autonomie et au sein de ses différentes commissions spécialisées : - "Commission spécialisée droits des usagers de la CRSA" - "Commission spécialisée de l organisation des soins" - "Commissions spécialisée prises en charge et accompagnements médico-sociaux". L engagement de l Apléat au sein de la Fédération Addiction elle-même, a également était très forte : - Réunions des conseils d administration et bureaux - Journées nationales à Besançon - Journées des adhérents - Rencontres nationales des Unions Régionales - Réunions de l Union Régionale Centre Après la large élection de l Apléat au Conseil d Administration de la Fédération Addiction lors de son assemblée générale en juin à Besançon, c est le mandat de trésorière qui lui a été confié pour trois ans. De nouvelles élections de délégués de l Union régionale Centre, dont l Apléat a assumé la fonction jusqu en septembre, ont eu lieu. Passant le relai à un autre adhérent, c est l association VRS du Loiret-Cher et l association CICAT d Eure-et-Loir qui ont été élues. La journée régionale des CJC (Consultations Jeunes Consommateurs) préparée avec l ARS depuis le début de l année et organisée par l Union régionale Centre de la Fédération Addiction, a eu lieu le 8 novembre. La participation aux débats publics «Les jeunes et la santé : comment être plus solidaire?» au Palais d Iéna le 2 décembre 2013, a permis de nous conforter dans l attendu des jeunes quant aux besoins d une grande proximité des offres de prévention et de soin, à commencer par les Consultations Jeunes Consommateurs. La participation active à la note de la Fédération Addiction pour contribution à la Stratégie Nationale de Santé en particulier en fin d année, et aux travaux de réflexion nationaux relatifs à certaines orientations de la MILDECA. L année 2013 s est donc émaillée d évènements importants pour le développement de l association, d évolutions des engagements et des temps consacrés aux missions de représentation et de régionalisation.

6 Tous ces points et ceux de gestion courante pour la direction de l Apléat se répartissent ainsi : Répartition du temps de travail 23% Apleat 16% 61% Fédération Addiction Addictocentre Travail interne / déplacements extérieurs toute activité confondue Déplacements 59% 41% extérieurs Travail interne 42% Travail interne / déplacements extérieurs selon missions 10% 13% 12,5% Déplacements extérieurs AddictoCentre Travail interne AddictoCentre 19% 3,5% Déplacements extérieurs Fédération Addiction Travail interne Fédération Addiction Pour l Apléat, les orientations générales qu il me revient de donner à la directrice des établissements et à l équipe cadres, resteraient lettre morte sans leurs mises en œuvre avec eux et par eux, qui gèrent, au quotidien, l activité des établissements et services. Ils vous présentent les résultats et constats 2013 en suivant. Cette année, j ai proposé un focus sur l actualité des questions de santé justice, chacun pour ce qui le concerne. En effet, il y a une inscription en 2013 que je n ai pas encore citée : celle de la Conférence de Consensus de Lutte contre la Récidive organisée par la Garde Des Sceaux, Ministre de la Justice, Madame TAUBIRA, qui a eu lieu en février.

7 De cette journée, au-delà de sa démarche participative et constructive, j ai retenu les données suivantes : - Les peines plancher ont principalement et de plein fouet, touché nos usagers sans aucun résultat sur les taux de récidive (sur 5 ans, le taux était supérieur de 50% la première année) ; - La recherche de régulation des flux, de désengorgement des lieux de détention et de l individualisation de la peine fait envisager la création d un autre secteur de justice : soit il s agirait d une direction séparée au sein de la justice pénale pour des peines qui s y rattacheraient et qui seraient exécutées en milieu ouvert (non pas par aménagement, mais parce que les délits ne relèveraient pas du tout d une peine d emprisonnement mais d une nouvelle forme de peine en milieu ouvert), soit il s agirait d une dépénalisation de certains délits actuels, pour un renvoi vers une juridiction administrative, dont l usage de produits illicites éventuellement. Cela soulève questions et hypothèses : Un nouveau secteur de peines ou de sanctions liées à des infractions, celles-ci concernant en particulier nos usagers, cela veut dire une réflexion par anticipation sur les modalités d application et d accompagnement de ces personnes (sous main de justice ou sous contrainte administrative) qui pourraient impliquer de nouvelles pratiques? La question de la prévention de la récidive rejoindrait d'autant plus celle de la prévention de la rechute pour certains de nos usagers, et le travail santé -justice pourrait prendre de nouvelles dimensions, avec leurs opportunités et leurs risques. La prévention de la réitération nécessite un décloisonnement des secteurs et une étude approfondie des facteurs de la récidive. Un des attendus pourrait être que l Intervention Précoce et donc les CJC, apportent une diminution de la réitération et permettent une prise en charge continue de situations de jeunes sous main de justice (rôle pivot des CSAPA mais aussi lien entre PJJ et psychiatrie) ; Pour ce qui concerne la part des addictions, tout au long des deux jours de cette conférence de consensus, les addictions ont été un fil rouge dans les interventions en filigrane dans les questions, très souvent citées, mais très peu examinées finalement. La question même du choix entre un nouveau secteur de justice pénale «peines de probation» (qui s avèrent très efficaces en prévention de la récidive) versus réponses administratives, éducatives, sociales et sanitaires, est elle-même une question qui mériterait une étude et un point de vue circonstancié de la Fédération Addiction. L actualité locale en matière de Santé-Justice, c est la prochaine ouverture du Centre Pénitentiaire d Orléans-Saran qui va nous mobiliser fortement au deuxième semestre L occasion pour nous de faire un point Apléat à ce sujet (centré sur le milieu fermé) dans ce bilan 2013.

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