Service universel et concurrence : une cohabitation nécessaire

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Service universel et concurrence : une cohabitation nécessaire"

Transcription

1 Service universel et concurrence : une cohabitation nécessaire 86 EEn s ouvrant à la concurrence, les services «en réseau» ne perdent pas leur caractère de services publics. Ils doivent notamment continuer à être distribués sur l ensemble du territoire, et à des prix abordables pour l ensemble de la population. Comment assumer cette contrainte, comment évaluer son coût, comment la financer? Dans l éventail assez large des solutions mises en œuvre en Europe pour le secteur test des télécommunications, la France occupe une position originale. Le service universel est une pièce maîtresse des dispositifs de régulation actuellement mis en place dans les secteurs en réseaux. Il convient en effet de veiller à ce que les gains d efficacité attendus de la concurrence, en termes de productivité des opérateurs et de baisse des prix, ne s accompagnent pas, par contrecoup, d une remise en cause des missions de service public, voire d une exclusion de certains usagers économiquement défavo risés ou géographiquement isolés. * Professeur au Conservatoire national des Arts et Métiers. La problématique du service universel se situe ainsi au carrefour de la régulation politique et de la régulation économique : l enjeu est d abord clairement politique, puisqu il s agit de maintenir la cohésion sociale à travers un mécanisme de redistribution ; il est aussi économique, puisque les obligations faites à certains acteurs du marché ne doivent pas provoquer de distorsion dans le fonction - nement de la concurrence. Ce double caractère du service universel justifie que la responsabilité NICOLAS CURIEN * de sa mise en œuvre soit partagée entre l Etat, garant de la régulation politique, et l autorité sectorielle de régulation ainsi que les auto - rités générales de la concurrence, chargées de la régulation économique. En France, où la régulation politique tend traditionnellement à empiéter sur le terrain de la régulation économique, la question du service universel se pose avec une acuité particulière : la notion de service public y possède des racines profondes et s y affirme avec force. Au moment des nationalisations des années 1930 et 1940, les entreprises nationales exploitantes de réseaux (SNCF, EDF, GDF) ont été érigées en services publics. Mais, au-delà des exigences essentielles auxquelles elles doivent répondre à ce titre, ces entreprises ont été et sont encore des instruments utilisés par l Etat au service d objectifs de politique sociale, industrielle ou conjoncturelle, objectifs n ayant souvent qu un rapport indirect, et pouvant même entrer en conflit avec l efficacité économique de leur activité de base. Un demisiècle après les grandes nationalisations, à l heure de l ouverture à

2 SERVICE UNIVERSEL ET CONCURRENCE : UNE COHABITATION NÉCESSAIRE la concurrence des secteurs en réseau, comment la notion de service public est-elle redéfinie, comment le concept nouveau de service universel émerge-t-il en Europe? Le traité de Rome, dans son article 90, reconnaît la singularité que constituent des «entreprises publiques disposant de droits spéciaux ou exclusifs», c est-à-dire conservant un domaine réservé en monopole, en contrepartie d obligations de service public ; mais l article précise que ces entreprises sont en dehors de leur domaine réservé soumises comme les autres aux règles de concurrence, sauf si ces règles devaient les placer dans «l impossibilité d assurer leurs missions dans des conditions économiques acceptables». Pour rendre l article 90 opératoire, encore faut-il, dans chaque secteur libéralisé, préciser les missions qui peuvent justifier la préservation durable ou temporaire de droits exclusifs ou spéciaux, et celles qui peuvent donner lieu à compensation financière pour que l entreprise de service public mise en concurrence puisse les assurer dans des conditions économiques viables. MISSIONS D INTÉRÊT GÉNÉRAL ET SERVICE UNIVERSEL Deux types de missions de service public sont à distinguer : d une part, les missions d intérêt général, se rapportant à la défense nationale, à l ordre public, à la lutte contre l exclusion, à l amé - nagement du territoire, à la recherche, à l enseignement, à la culture, etc. ; d autre part, des missions de service universel, consistant à desservir l ensemble du territoire à un prix abordable, et à offrir des tarifs sociaux aux personnes à faibles ressources ou handicapées ou à certaines institutions telles que les établissements scolaires ou hospitaliers. Les missions d intérêt général relèvent du budget des Etats, tandis que les missions de service uni - versel, anciennement financées par des «subventions croisées» résultant de la structure tarifaire (la surtarification de l usage fi nançant la sous-tarification de l accès), peuvent justifier, soit la préservation d un secteur réservé, soit la mise en place d un système de compensation associant les acteurs du marché. Ainsi, en France, le service universel du courrier est-il financé à travers le maintien d un secteur réservé (envois de moins de 350 grammes ou dont l affranchissement n excède pas cinq fois le prix du timbre), tandis que le service universel du téléphone doit être fourni en l absence de secteur réservé, mais donne lieu à un fonds de compensation. La distinction entre missions d intérêt général et service universel est importante, car elle cantonne strictement la notion de service universel à une double exigence économique d «abordabilité» tarifaire et de tarification sociale. La dimension plus politique et citoyenne qu on lui donne parfois relève plutôt des missions d intérêt général, notamment au titre de l aménagement du territoire et de la lutte contre l exclusion. Par exemple, la «présence» postale, c est-à-dire l implantation extensive des bureaux de poste, indispensable à la fourniture de services financiers de base (en particulier aux plus isolés et aux plus démunis), apparaît comme un instrument d aménagement du territoire et de lutte contre l exclusion, et non comme une composante du service universel du courrier, qui Le service universel se définit par l accès généralisé à une consommation, plus que sous l angle politique d une solidarité sociale pourrait en effet être rendu, à qualité de service inchangée, avec une présence postale moins étendue. Dans la ligne de la conception nord-américaine, le service universel est ainsi considéré sous l angle économique d un accès généralisé à une consommation, plus que sous l angle politique d une solidarité sociale : il s agit d or - ganiser un système redistributif permettant des prix mo - dérés et uniformes, plutôt que d ins - taurer un droit fondamental du citoyen à être servi. Comment assurer le maintien et le financement du service universel dans un contexte de réseau libéralisé? Plusieurs approches peuvent être envisagées : l confier le service universel à l opérateur historique du secteur et ne prévoir aucun système de compensation solution fondée sur l idée que le service universel procure vraisemblablement autant d avantages à l ex-monopole qu il ne lui fait supporter de coûts ; l organiser un appel d offres, ou une procédure d enchères, pour l attribution de droits à exercer les prestations de service universel dans une zone géographique donnée, les droits étant accordés à l opérateur qui réclame la plus faible subvention ; l confier l exercice du service universel au seul opérateur historique, calculer le coût de ce service par une méthode analytique, en répartir le montant entre les différents opérateurs y compris l opérateur historique au prorata de leurs volumes d activité ou de leurs chiffres d affaires, puis reverser les contributions des opérateurs entrants à l opérateur historique à travers un fonds de service universel, ou une éven- 87

3 88 tuelle majoration des tarifs d interconnexion (les redevances que les opérateurs entrants versent à l opérateur historique pour accéder à ses infrastructures) ; l calculer puis répartir le coût du service universel, comme dans la méthode précédente, mais offrir le choix à chaque opérateur entre deux options, selon le système du pay or play : ou bien s acquitter de sa quote-part du coût total, ou bien offrir lui-même des prestations de service universel pour un coût équivalent à sa quote-part. La première méthode a le mérite d une extrême simplicité, mais l inconvénient de ne fournir aucune information, ni sur les coûts, ni sur les avantages du service universel. La deuxième présente l intérêt de faire révéler les coûts par les acteurs eux-mêmes à travers une procédure incitative ; cependant, les enchères organisées aux Etats- Unis dans le domaine des télécommunications cellulaires (Per - sonal Communications Services ou PCS) ont montré que la comple - xité des mécanismes révélateurs engendre des coûts de mise en œuvre importants. Les deux dernières méthodes sont les plus exigeantes en information, la pro - cédure du pay or play soulevant toutefois moins de difficultés. L une et l autre présentent en revanche l intérêt de procurer une connaissance même imparfaite des coûts du service universel. TÉLÉCOMMUNICATIONS : LA SPÉCIFICITÉ FRANÇAISE Dans les secteurs européens des télécommunications, le Royaume-Uni et la Suède ont opté pour l absence de compen - sation ; l Allemagne et l Autriche, pour le recours à un appel d offres en cas de carence de l opérateur historique ; la France, l Italie et l Espagne se sont engagées dans la voie de l évaluation analytique, la France étant toutefois le seul pays pour lequel un chiffrage du coût du service universel ait été effectué et validé par l Autorité de régulation des télécommunications (l ART, créée en janvier 1997). En France, la loi de réglemen - tation des télécommunications (LRT) de juillet 1996 définit un ensemble de missions de service public, stratifié en trois niveaux : d abord des missions d intérêt général, comprenant la participation à la défense nationale et à la sé curité du territoire, ainsi que le développement de la recherche et de la formation dans le secteur des télécommunications, missions qui sont financées pour partie sur crédits publics, et pour partie par des obligations imposées aux opérateurs ; ensuite des services obligatoires, que l opérateur historique est tenu de fournir en équilibre commercial, sans aucune subvention externe, comme le réseau numérique à intégration de services (RNIS), les liai- la notion sons louées ou le service de commutation de paquets (Transpac) ; enfin, des obligations de service universel, dont le financement doit faire l objet d un partage entre les opérateurs présents sur le marché. Le service universel des télé - communications est lui-même constitué de trois éléments : d abord, le service universel téléphonique, qui comprend une composante géographique (la desserte des zones non rentables à un prix abordable), et une composante sociale (l obligation de consentir des conditions tarifaires ou techniques particulières aux usagers à faibles ressources ou L originalité française consiste à utiliser de service universel comme vecteur de diffusion d innovations handicapés) ; ensuite, le service de renseignements, ainsi que seul élément du dispositif qui ne soit toujours pas traduit dans les faits l annuaire universel, sur papier et électronique, incluant les numéros des abonnés de l ensemble des opérateurs, dont les numéros de mobiles ; enfin, les cabines téléphoniques placées sur le domaine public. Cette délimitation du périmètre du service universel étant assez restrictive, on s est interrogé sur l intérêt de la faire évoluer. Ainsi, le rapport Delebarre (portant principalement sur l ouverture du capital de France Telecom et remis au Premier ministre en septembre 1997) préconisait-il une extension du service universel dans les domaines de l aménagement du territoire, de la santé et de l édu cation. Le plan d intro - duction d Internet dans les écoles peut être rattaché au service universel, même si les procédures de mise en œuvre ne relèvent pas du cadre défini dans le décret d application de la LRT relatif au financement de ce service. On note à ce propos l originalité de la position française, consistant à vouloir inclure la recherche de l intérêt général dans la notion de service universel, mais surtout à utiliser cette notion pour en faire un vecteur de la diffusion de services innovants et vraisemblablement un levier du contrôle de l Etat sur les usages des nouvelles technologies de l information. La loi française dispose que seul un opérateur pouvant s en acquitter sur l ensemble du territoire est éligible pour remplir des obligations de service universel, à l exception des tarifs sociaux, qui peuvent être pratiqués par l ensemble des opé-

4 SERVICE UNIVERSEL ET CONCURRENCE : UNE COHABITATION NÉCESSAIRE rateurs. En Allemagne, tous les opérateurs contribuent à la fourniture du service universel, avec une obligation de dernier ressort incombant à l opérateur historique. Le choix français d un seul opérateur de service universel exprime la volonté de confier à l entreprise historique l exercice de missions de service public, en justification du maintien de la propriété majoritairement publique de son capital et de l appartenance d une grande partie de son personnel à la fonction publique. COMBIEN COÛTE LE SERVICE UNIVERSEL Il importe donc d évaluer le coût de ce service universel. En France, la loi de réglementation des télécommunications (LRT) et son décret d application disposent que l ART doit proposer au ministre chargé des télécommunications les méthodes d évaluation, ainsi que le montant des contributions des opérateurs. Le principe de calcul retenu par l ART, à l instar de l OFTEL britannique, repose sur la notion de «coût net évitable», défini comme l éco - nomie que réaliserait l opérateur chargé du service universel s il était libéré de cette astreinte et poursuivait un but uniquement commercial. Cependant, du concept à la mesure, il reste un pas important à franchir, car l évaluation du «coût net évitable» est très sensible aux conventions adoptées, notamment en ce qui concerne le degré de finesse du maillage du territoire pour le calcul de la composante géographique, l estimation du coût des abonnés non rentables des zones globalement rentables, le degré d «évitabilité» des coûts (vraisemblablement variable selon les zones), l assiette et le mode d évaluation des coûts pertinents, ainsi que le taux de la rémunération du capital incorporée dans ces coûts. Pour l année 1997, en l absence de méthode validée, le décret prévoyait une évaluation forfaitaire, fixée en pourcentage du chiffre d affaires du service téléphonique entre points fixes de l opérateur de service universel. Sur cette base, l ART a évalué le coût total à environ 5 milliards de francs. Pour 1998, l estimation prévisionnelle du coût net, voisine de 6 milliards, est issue d une méthodologie plus sophistiquée, compre- Deux éléments nant notamment un pouvaient justifier calcul de coût évitable basé sur un une évaluation forte du coût du service maillage du territoire pour la composante universel en France : de péréquation géographique. En 1999, le taux élevé d équipement le coût de la composante géographique téléphonique a considérablement et la faible densité baissé, ramenant de l habitat l estimation du coût total à environ 4,9 milliards. En, la composante de rééquilibrage tarifaire 1 disparaît, ce qui porte le coût net total à en - viron 2,8 milliards. La Commission européenne, heurtée qu un système de financement ait été instauré en France dès l année 1997 (alors que France Telecom jouissait encore de droits exclusifs d exploitation), très critique sur les modalités retenues pour le calcul du coût du service universel, et surprise que le gouvernement et le législateur nationaux aient mis en place un système de compensation financière sans s être préalablement assurés que l exercice du service universel constituait une charge inéquitable pour l opérateur historique, a traduit la France devant la Cour de justice de Luxembourg. Deux éléments spécifiques de la situation française peuvent toutefois contribuer à justifier l importance de cette évaluation du coût du service uni versel : d une part, le taux de pénétration du téléphone chez les ménages français est élevé (97 %, contre 91 % par exemple au Royaume-Uni) ; d autre part, la densité de l habitat est faible sur une grande superficie. Ce dernier argument tend toutefois à perdre de son poids avec l apparition de la technologie de la boucle locale radio, permettant des raccordements moins coûteux dans les zones d habitat dispersé. Mais quelle est la réalité de la compen - sation financière effectivement versée à France Telecom? P o u r , l e s compo santes de ré - équi librage et de péréquation géographique ont donné lieu à une rémuné ration additionnelle aux tarifs d interconnexion de 1,09 centimes par minute, ce qui représente un montant de 124 millions de francs 2. S y ajoutent les montants versés au fonds au titre des tarifs sociaux, des cabines et de l annuaire, soit à peu près 91 millions. En tout, un transfert de 215 millions de francs, pour un coût total de 4,9 milliards, dont 4,7 sont donc restés à la charge de France Telecom. ET COMBIEN RAPPORTE-T-IL? D un côté, la Commission européenne devrait être en partie rassurée puisque, si compen - sation financière il y a, elle reste modeste quoique durement ressentie par les nouveaux entrants, et susceptible d augmenter si la concurrence se fait plus vive. Mais, d un autre côté, un certain fondement est apporté à l idée que le service universel ne serait pas une charge inéquitable pour France Telecom. En effet, si le système national de régulation peut imposer à l opéra- 1 Cette composante correspondait à une phase transitoire de rééquilibrage tarifaire, consistant à relever le prix de l abonnement, très bas en France, jusqu à la valeur-cible de 65 francs HT, tout en abaissant les prix des communications longue distance jusqu à leur niveau concurrentiel. Le coût du rééquilibrage ( ) a été partiellement assuré par les opérateurs entrants. 2 Les opérateurs mobiles étaient exemptés de la contribution au rééquilibrage tarifaire en contrepartie de leurs engagements en matière de couverture du territoire. 89

5 teur historique de supporter un coût de plusieurs milliards contre une compensation calculée proportionnellement à un unique indicateur la part de marché des nouveaux entrants qui ne traduit qu imparfaitement l impact effectif pour l ex-monopole de sa mise en concurrence, c est vraisemblablement que le service universel ne constitue pas pour France Telecom un pur handicap concurrentiel, et comporte des avantages immatériels induits qu il conviendrait d évaluer. Il s agit notamment de la réputation et de l image après du public, de la notoriété vis-à-vis des clients potentiels, de la continuité de présence en tout point du territoire, et de la disponibilité d une base de données exhaustive sur les utilisateurs et leur consommation. Une façon, certes toute théorique, pour le régulateur d obtenir une évaluation de ces avantages serait de libérer France Telecom de ses astreintes de desserte, puis d interroger cet opérateur sur le montant de la compensation qu il exigerait pour maintenir sous des tarifs fixés les prestations qu il assure aujourd hui au titre du service universel : la valeur des avantages induits serait alors égale à la différence entre le coût, tel qu il est actuellement évalué par l ART, et la compensation exigée. Si les activités de service universel étaient maintenues en l absence de compensation, c est que les avantages équivaudraient au moins aux coûts. C est ce que l OFTEL a considéré au Royaume-Uni, où il n existe pas de système de compensation, et où les prix du service universel font l objet d un contrôle, leur hausse annuelle devant rester inférieure à celle de l indice des prix de détail majorée de 2 %. La comparaison avec le cas français impose cependant quelque prudence : le coût net direct du service universel étant bien inférieur au Royaume-Uni, en L exemple raison d un taux de pénétration du téléphone plus faible et montre que d une géographie plus favorable, un même ordre de grandeur des avantages induits pourrait fort bien compenser le coût net direct dans ce pays, et pas en France. Une procédure plus réaliste et plus incitative pour révéler la valeur du service universel consis - terait à organiser des enchères. Aujourd hui, en l absence de tels mécanismes, c est au régulateur qu il appartient de chiffrer la valeur induite du service universel pour l opérateur historique et de la déduire du coût de ce service. C est la voie dans laquelle s est engagée l ART, qui a procédé à une évalua - tion prévisionnelle de 550 millions de francs pour l année, sans toutefois que les dispositions de la LRT en l absence d un nouveau texte législatif ou réglementaire lui permettent de déduire ce montant du coût net. Le service public dans les secteurs en réseaux n est donc pas antinomique de l ouverture à la concurrence. Le concept de service universel, né aux Etats-Unis avant des télécommunications le service universel peut être décliné de plusieurs manières. La position actuelle de la France est à la marge des pratiques de ses partenaires d être importé dans le droit communautaire, permet le maintien de l accès du plus grand nombre aux infrastructures essentielles. L exemple des télécommunications montre que le service universel peut être décliné de plusieurs manières, selon que seul l opérateur historique en a la charge ou que tous les acteurs du marché y contribuent (pay or play), selon qu un système de compensation est ou non instauré à travers un fonds de service universel, selon que l assiette des services concernés est restreinte ou étendue. La position actuelle de la France, consistant à confier l exclusivité du service universel à l opérateur historique, à procéder à une évaluation et à un partage du coût de ce service sous l égide de l autorité de régulation, et à préco - niser une extension de son champ d application, se situe à la marge des pratiques des autres pays européens, et donnera vraisemblablement lieu à révision après l entrée en vigueur des nouvelles directives européennes actuellement en préparation. En effet, la tendance imprimée par Bruxelles consiste à encourager le pay or play, à limiter les charges imposées par la réglementation sur les opérateurs entrants, et à réduire le service universel à sa seule composante sociale, dont le financement serait à la charge du budget des Etats plutôt qu à celle des acteurs du marché. l 90

CONFÉRENCES CITOYENNES - FORMATION

CONFÉRENCES CITOYENNES - FORMATION CONFÉRENCES CITOYENNES - FORMATION LES MISSIONS DE SERVICE PUBLIC DU GROUPE LA POSTE 1 er décembre 2013 INTRODUCTION (1/2) LES MISSIONS DE SERVICE PUBLIC DE LA POSTE AU SERVICE DE LA COLLECTIVITÉ La Poste

Plus en détail

COMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002

COMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002 Paris, le 17 octobre 2002 COMPTE RENDU Atelier-débat avec les futurs clients éligibles 25 septembre 2002 *** I La fourniture d électricité... 2 Les clients éligibles peuvent-ils acheter leur électricité

Plus en détail

Fiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats. d économie d énergie

Fiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats. d économie d énergie Octobre 2006 Fiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats d économie d énergie 1) Origine et objectif : C est en Angleterre, puis en Italie que le dispositif des certificats d économie

Plus en détail

Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits

Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits Salariés FÉVRIER 2014 Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits B Les majorations de durée d assurance B Le congé parental B La majoration pour 3 enfants Vous avez eu ou élevé des enfants Vous avez

Plus en détail

Floored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants:

Floored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants: sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «Sony» sur le taux d intérêt EURIBOR EUR à trois mois avec emprunt de référence «Sony» Dans l environnement actuel caractérisé par

Plus en détail

LOI N 2006-01 portant Code des Postes

LOI N 2006-01 portant Code des Postes REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,

Plus en détail

L Autorité de régulation des communications électroniques et des postes,

L Autorité de régulation des communications électroniques et des postes, Avis n 2011-0847 de l Autorité de régulation des communications électroniques et des postes en date du 26 juillet 2011 relatif aux tarifs des nouveaux services d envois en nombre de courrier publicitaire

Plus en détail

L Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ci-après «l Autorité»),

L Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ci-après «l Autorité»), Avis n 2014-0659 de l Autorité de régulation des communications électroniques et des postes en date du 10 juin 2014 relatif à une modification du catalogue des prestations internationales du service universel

Plus en détail

Mai 2010. Avis n 2010-0470 en date du 20 avril 2010

Mai 2010. Avis n 2010-0470 en date du 20 avril 2010 Mai 2010 Avis relatif aux tarifs des produits du courrier domestique appartenant au secteur non réservé du service universel postal et présentés dans le dossier tarifaire de La Poste du 24 mars 2010 Avis

Plus en détail

> Guide 28 juillet 2008

> Guide 28 juillet 2008 > Guide 28 juillet 2008 Le travailleur frontalier Dans notre région frontalière, environ 5600 personnes résidant en Belgique traversent chaque jour la frontière pour venir travailler en France. Se pose

Plus en détail

Paris, le 10 février 2014

Paris, le 10 février 2014 Paris, le 10 février 2014 Consultation publique de la Commission de régulation de l énergie sur la création d une place de marché commune aux zones GRTgaz Sud et TIGF au 1 er avril 2015 Les tarifs d utilisation

Plus en détail

Floored Floater sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation»

Floored Floater sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation» sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation» Dans l environnement actuel caractérisé par des taux bas, les placements obligataires traditionnels

Plus en détail

la séparation totale des activités des postes et télécommunications;

la séparation totale des activités des postes et télécommunications; LE CADRE GENERAL D ASSISTANCE PAR CONSULTANTS POUR L ELABORATION ET LA MISE EN OEUVRE D UN CADRE LEGAL APPROPRIE POUR LE SECTEUR DES TELECOMMUNICATIONS CONTEXTE GENERAL Le Gouvernement [PAYS] a adopté,

Plus en détail

Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels

Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels 07/10/2014 Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés

Plus en détail

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : JUSC1502013D Intitulé du texte : décret relatif à la liste limitative des prestations particulières et au contrat type de syndic prévus à l article 18-1

Plus en détail

8 Certifications Minergie

8 Certifications Minergie 8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,

Plus en détail

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées. Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions

Plus en détail

L utilisation des technologies de l information et de la communication dans les campagnes électorales

L utilisation des technologies de l information et de la communication dans les campagnes électorales R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E Décembre 2010 NOTE sur L utilisation des technologies de l information et de la communication dans les campagnes électorales Allemagne Espagne Italie - Pays-Bas Royaume-Uni

Plus en détail

Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013

Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale

Plus en détail

4. L assurance maladie

4. L assurance maladie L ASSURANCE MALADIE 73 4. L assurance maladie Comme l assurance maladie est obligatoire, toute personne domiciliée en Suisse doit être convenablement couverte. C est actuellement le cas, avec un très large

Plus en détail

G&R Europe Distribution 5

G&R Europe Distribution 5 G&R Europe Distribution 5 Instrument financier émis par Natixis, véhicule d émission de droit français, détenu et garanti par Natixis (Moody s : A2 ; Standard & Poor s : A au 6 mai 2014) dont l investisseur

Plus en détail

Définition, typologie et méthodologie d évaluation des avantages immatériels dans le cadre du service universel postal

Définition, typologie et méthodologie d évaluation des avantages immatériels dans le cadre du service universel postal Mai 2010 Définition, typologie et méthodologie d évaluation des avantages immatériels dans le cadre du service universel postal Synthèse des principaux résultats de l étude confiée au cabinet WIK-Consult

Plus en détail

IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003. François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND

IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003. François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003 François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND *CREDEN-LASER, Université Montpellier 1 GREEN, Université Laval, Québec Introduction Partout

Plus en détail

Les spécifications des systèmes de comptabilisation en application de l article L.5-2, 6 du code des postes et des communications électroniques

Les spécifications des systèmes de comptabilisation en application de l article L.5-2, 6 du code des postes et des communications électroniques C O N S U L T AT I O N P U B L I Q U E Mai 2007 Les spécifications des systèmes de comptabilisation en application de l article L.5-2, 6 du code des postes et des communications électroniques Synthèse

Plus en détail

Des dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs

Des dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs Des dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs Plus le taux de versement des dividendes est élevé, plus les anticipations de croissance des bénéfices sont soutenues. Voir

Plus en détail

La gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN

La gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN Groupe de recherche en économie et politique agricoles, Département d économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval SOMMAIRE PRÉAMBULE Daniel-Mercier Gouin est directeur

Plus en détail

immigration conséquences positives pour les assurances sociales

immigration conséquences positives pour les assurances sociales immigration conséquences positives pour les assurances sociales Fiche d information 4 : Assurances sociales L essentiel en bref : Seuls ceux qui cotisent aux assurances sociales peuvent bénéficier de leurs

Plus en détail

«Les certificats blancs : comment lancer le système?»

«Les certificats blancs : comment lancer le système?» MINEFI DGEMP Bercy Paris 27 octobre 2005 «Les certificats blancs : comment lancer le système?» Discutant Jacques Percebois Professeur à l Université Montpellier I Directeur du CREDEN DISPOSITIFS EFFETS

Plus en détail

INSTITUT BELGE DES SERVICES POSTAUX ET DES TÉLÉCOMMUNICATIONS

INSTITUT BELGE DES SERVICES POSTAUX ET DES TÉLÉCOMMUNICATIONS INSTITUT BELGE DES SERVICES POSTAUX ET DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DECISION DU CONSEIL DE l IBPT DU 8 OCTOBRE 2014 CONCERNANT L ANALYSE DE LA PROPOSITION TARIFAIRE DE BPOST DES TARIFS PLEINS A LA PIECE POUR

Plus en détail

Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement

Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement RESULTATS ANNUELS 2014 Paris, le 12 mars 2015 16 millions d abonnés (fixes et mobiles) Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement Chiffre d affaires dépassant pour la première fois

Plus en détail

L'ouverture à la concurrence

L'ouverture à la concurrence [Extrait] CONSOMMATION ET CONCURRENCE RÉGLEMENTATION Services en réseaux L'ouverture à la concurrence Article du bureau Économie des réseaux, de la direction de la Prévision et de l analyse économique.

Plus en détail

RISK INDEX 2014 SUISSE

RISK INDEX 2014 SUISSE RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur

Plus en détail

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPB1511507D Intitulé du texte : Décret modifiant les décrets n 2010-509 et n 2010-518 Ministère à l origine de la mesure : Finances et comptes publics

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA REGLEMENTATION ET DE LA LIBERALISATION DES TELECOMMUNICATIONS AU BURUNDI. I. Réglementation des Télécommunications au Burundi

ETAT DES LIEUX DE LA REGLEMENTATION ET DE LA LIBERALISATION DES TELECOMMUNICATIONS AU BURUNDI. I. Réglementation des Télécommunications au Burundi ETAT DES LIEUX DE LA REGLEMENTATION ET DE LA LIBERALISATION DES TELECOMMUNICATIONS AU BURUNDI Pourquoi réglementer? I. Réglementation des Télécommunications au Burundi 1. Le décret-loi n 1/011 du 04 septembre

Plus en détail

L ANALYSE COUT-EFFICACITE

L ANALYSE COUT-EFFICACITE L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue

Plus en détail

alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance.

alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. alpha sélection alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. Instrument financier émis par Natixis (Moody

Plus en détail

N 2564 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI

N 2564 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI N 2564 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 11 février 2015. PROPOSITION DE LOI tendant à développer l usage

Plus en détail

Les Petits Déjeuners des PME et des Start-Up Les règles TVA en matière d E-commerce. 29 avril 2014

Les Petits Déjeuners des PME et des Start-Up Les règles TVA en matière d E-commerce. 29 avril 2014 Les Petits Déjeuners des PME et des Start-Up Les règles TVA en matière d E-commerce 29 avril 2014 Laurence Berrutto Olivier Hody Sommaire I. E-Commerce: Contexte TVA et fiscal général II. E-Commerce et

Plus en détail

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre

Plus en détail

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment

Plus en détail

FICHE OBLIGATIONS LEGALES

FICHE OBLIGATIONS LEGALES FICHE OBLIGATIONS LEGALES L article 99 de la loi n 2010-1330 du 9 novembre 2 010 portant réforme des retraites a instauré, à compter du 1 er janvier 2012, pour les entreprises dont l effectif est au moins

Plus en détail

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations Veufs MARS 2015 Veuvage, vos droits B Retraite de réversion B Allocation de veuvage B Autres prestations Veuvage, vos droits À la perte de votre conjoint, de nombreuses démarches sont à accomplir. L Assurance

Plus en détail

Conditions spécifiques de ventes applicables aux offres AUTISCONNECT ADSL110101 Page 1 sur 5

Conditions spécifiques de ventes applicables aux offres AUTISCONNECT ADSL110101 Page 1 sur 5 CONDITIONS SPECIFIQUES DE VENTES APPLICABLES AUX OFFRES AUTISCONNECT ADSL ARTICLE 1. DÉFINITIONS Dans les présentes conditions particulières, les termes suivants ont, sauf précision contraire, le sens

Plus en détail

La perspective de «windfall profits» (profits indus) pour les électriciens allemands

La perspective de «windfall profits» (profits indus) pour les électriciens allemands UNIDEN UNION DES INDUSTRIES UTILISATRICES D'ENERGIE 19.04.04 DIRECTIVE «QUOTAS D EMISSION» : COMMENT EVITER DE DESASTREUSES CONSEQUENCES? La mise en œuvre de la Directive «Quotas d émission», via son impact

Plus en détail

Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement

Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement (Les renvois à des diapositives sont en référence au PPT présenté lors du CA et de la réunion des directeurs de composantes)

Plus en détail

Consultation : révision totale de la loi sur la poste et de la loi sur l organisation de la Poste

Consultation : révision totale de la loi sur la poste et de la loi sur l organisation de la Poste Monsieur le Conseiller fédéral Moritz Leuenberger Dpt fédéral de l environnement, transports, énergie et communication (DETEC) Palais fédéral Nord 3003 Berne Lausanne, le 10 juin 2008 Consultation : révision

Plus en détail

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42

Plus en détail

MARCHE DE LA MUSIQUE ENREGISTREE 9 PREMIERS MOIS 2010 millions d'euros 2009 2010 évolution

MARCHE DE LA MUSIQUE ENREGISTREE 9 PREMIERS MOIS 2010 millions d'euros 2009 2010 évolution LE MARCHE DE GROS DE LA MUSIQUE ENREGISTREE 9 PREMIERS MOIS 2010 (Valeur gros H.T. nette de remises et retours) 340.2 millions d euros : -2.2 % par rapport aux 9 premiers mois 2009 Au cours des 9 premier

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Floored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants:

Floored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants: sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «Newmont Mining» Floored Floater sur le taux d intérêt EURIBOR EUR à trois mois avec emprunt de référence «Newmont Mining» Dans l

Plus en détail

IMPACT DU E-COMMERCE SUR LE COMMERCE TRADITIONNEL CALÉDONIEN

IMPACT DU E-COMMERCE SUR LE COMMERCE TRADITIONNEL CALÉDONIEN E-COMMERCE IMPACT DU E-COMMERCE SUR LE COMMERCE TRADITIONNEL CALÉDONIEN Avril 2011 CCI-NC Page 1 sur 11 SOMMAIRE Introduction... 3 1. Le e-commerce, une nouvelle forme de commerce en Nouvelle-Calédonie.

Plus en détail

Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM - Normandie Université

Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM - Normandie Université Séminaire UEsers du 12 décembre 2014 La libéralisation des SIEG et leur privatisation en Europe Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM - Normandie Université 1 Sommaire

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DES BOITES POSTALES 1. DEFINITIONS

CONDITIONS GENERALES DES BOITES POSTALES 1. DEFINITIONS CONDITIONS GENERALES DES BOITES POSTALES 1. DEFINITIONS bpost : bpost, Société Anonyme de Droit Public, ayant son siège social à 1000 Bruxelles, Centre Monnaie, enregistrée sous le n d entreprise TVA BE

Plus en détail

C O M M U N I Q U É D E P R E S S E

C O M M U N I Q U É D E P R E S S E C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 30 janvier 2009 8h55 Dexia met en œuvre son plan de transformation pour consolider son redressement et devrait enregistrer

Plus en détail

Le Pacte de responsabilité et de solidarité

Le Pacte de responsabilité et de solidarité Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage

Plus en détail

Allianz Pierre. Avec vous de A à Z. SCPI investie majoritairement en bureaux. www.allianz.fr

Allianz Pierre. Avec vous de A à Z. SCPI investie majoritairement en bureaux. www.allianz.fr Allianz Pierre SCPI investie majoritairement en bureaux. www.allianz.fr Avec vous de A à Z Pourquoi investir dans la SCPI Allianz Pierre? Vous cherchez à diversifier votre patrimoine et vous constituer

Plus en détail

Septembre 2012. Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES

Septembre 2012. Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES Septembre 2012 Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES 1 Qu elle vise à protéger nos biens ou à garantir notre santé, l assurance est aujourd hui une dépense contrainte pour la majorité des

Plus en détail

Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport. Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.

Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport. Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I. Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.D et proposition Le contexte Une absence de concurrence «réelle» lors de la procédure

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits n MLD 2011-57

Décision du Défenseur des droits n MLD 2011-57 Paris, le 10 novembre 2011 Décision du Défenseur des droits n MLD 2011-57 Le Défenseur des droits, Vu l article 71-1 de la Constitution du 4 octobre 1958 ; Vu la loi organique n 2011-333 du 29 mars 2011

Plus en détail

AVERTISSEMENT ET INFORMATION SUR LES RISQUES LIES A LA NEGOCIATION DES CONTRATS A TERME ET DES ACTIONS

AVERTISSEMENT ET INFORMATION SUR LES RISQUES LIES A LA NEGOCIATION DES CONTRATS A TERME ET DES ACTIONS Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés par Newedge Group S.A. pour le compte d un client «le Client». Le Client est informé qu il existe

Plus en détail

BUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT

BUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT BUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT Le service de l assainissement est un service public à caractère industriel et commercial, soumis à la comptabilité M4 différente de la comptabilité M14 applicable au

Plus en détail

ING Turbos. Faible impact de la volatilité. Evolution simple du prix

ING Turbos. Faible impact de la volatilité. Evolution simple du prix ING Turbos Produit présentant un risque de perte en capital et à effet de levier. Les Turbos sont émis par ING Bank N.V. et sont soumis au risque de défaut de l émetteur. ING Turbos ING a lancé les Turbos

Plus en détail

LES ENJEUX ÉCONOMIQUES DU DROIT DES ENTREPRISES EN DIFFICULTÉ

LES ENJEUX ÉCONOMIQUES DU DROIT DES ENTREPRISES EN DIFFICULTÉ LES ENJEUX ÉCONOMIQUES DU DROIT DES ENTREPRISES EN DIFFICULTÉ [Basé sur la note CAE écrite en collaboration avec Guillaume Plantin et David Thesmar] CDA - IAST - UT1C, 23 octobre 2013 Jean Tirole I. INTRODUCTION

Plus en détail

SUISSE. Les dépenses sociales sont exprimées en millions de francs suisses (CHF).

SUISSE. Les dépenses sociales sont exprimées en millions de francs suisses (CHF). SUISSE Nomenclature AA AC AF AI AM APG AVS EPF PC PP Assurance-accidents Assurance-chômage Allocations familiales Assurance-invalidité Assurance-maladie Allocations pour perte de gains Assurance-vieillesse

Plus en détail

L 167/12 FR Journal officiel de l Union européenne 29.6.2009

L 167/12 FR Journal officiel de l Union européenne 29.6.2009 L 167/12 FR Journal officiel de l Union européenne 29.6.2009 RÈGLEMENT (CE) n o 544/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 18 juin 2009 modifiant le règlement (CE) n o 717/2007 concernant l itinérance

Plus en détail

NOTE D INFORMATION. L Assemblée Nationale a adopté en décembre 2013 la loi de finances pour 2014 et la loi de finances rectificative pour 2013.

NOTE D INFORMATION. L Assemblée Nationale a adopté en décembre 2013 la loi de finances pour 2014 et la loi de finances rectificative pour 2013. 36 rue de Monceau 75008 Paris 62 rue de la République 69002 Lyon www.seine-saone.fr NOTE D INFORMATION Date : 20 janvier 2014 Objet : Loi de finances pour 2014 Loi de finances rectificative pour 2013 Madame,

Plus en détail

l eri Communication à caractère promotionnel

l eri Communication à caractère promotionnel l eri Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance. L investisseur supporte le risque de crédit de NATIXIS (Moody s : A2 / Fitch : A / Standard & Poor s :

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

4 Formulaires de virement standard disponibles auprès de nos guichets ou en appelant votre conseiller.

4 Formulaires de virement standard disponibles auprès de nos guichets ou en appelant votre conseiller. I. Compte à vue FRAIS DE TENUE DE COMPTE TAUX CREDITEURS (taux annuels) / (CHF: taux négatifs) Ouverture/fermeture de compte Forfait annuel incluant l'ouverture de comptes additionnels dans toutes les

Plus en détail

Italie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS

Italie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS Italie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS Déductions et crédits d impôt Réductions d impôts Imposition des plus-values Imposition des revenus financiers Régimes spéciaux concernant les expatriés L impôt

Plus en détail

Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises

Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises 27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient

Plus en détail

Focus sur quelques points des lois de finances rectificatives de juillet et septembre 2011

Focus sur quelques points des lois de finances rectificatives de juillet et septembre 2011 Focus sur quelques points des lois de finances rectificatives de juillet et septembre 2011 La pluralité des lois de finances rectificatives en 2011 nécessite de s attarder sur certains points «sensibles»

Plus en détail

Les travaux de l ARCEP afin d améliorer les offres faites aux consommateurs de services de communications électroniques. FRATEL Jeudi 12 mai 2011

Les travaux de l ARCEP afin d améliorer les offres faites aux consommateurs de services de communications électroniques. FRATEL Jeudi 12 mai 2011 Les travaux de l ARCEP afin d améliorer les offres faites aux consommateurs de services de communications électroniques FRATEL Jeudi 12 mai 2011 Le panorama institutionnel en matière de protection des

Plus en détail

Click to edit Master title style

Click to edit Master title style Le Service des délégués commerciaux MAECI: Orientation et rôle Investissement étranger direct (IED) Anderson Blanc Délégué commercial Click to edit Master title style Investissement & Innovation Coordonnateur

Plus en détail

Montée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH

Montée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH février 2010 Montée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH Orientations de l ARCEP - 1 - Introduction Bénéficier d une montée

Plus en détail

Partage des coûts vs gratuité

Partage des coûts vs gratuité Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))

Plus en détail

Nous sommes là pour vous aider COLLECTIVITES & ENTREPRISES DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION APPEL A PROJET

Nous sommes là pour vous aider COLLECTIVITES & ENTREPRISES DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION APPEL A PROJET Nous sommes là pour vous aider COLLECTIVITES & ENTREPRISES DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION APPEL A PROJET Cocher la case correspondant à votre situation : première demande renouvellement d une demande

Plus en détail

rv de septembre - 09/09/2008 - XC

rv de septembre - 09/09/2008 - XC rv de septembre - 09/09/2008 - XC Rendez-vous de septembre 9 septembre 2008 - Monte Carlo LE TRANSFERT DE RISQUES DANS SOLVABILITÉ II Xavier Cognat Fédération Française des Sociétés d Assurances rv de

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité

Plus en détail

CONDITIONS SPECIFIQUES DE VENTES APPLICABLES AUX OFFRES OPENCONNECT ADSL

CONDITIONS SPECIFIQUES DE VENTES APPLICABLES AUX OFFRES OPENCONNECT ADSL ARTICLE 1. DÉFINITIONS CONDITIONS SPECIFIQUES DE VENTES APPLICABLES AUX OFFRES OPENCONNECT ADSL Dans les présentes conditions particulières, les termes suivants ont, sauf précision contraire, le sens qui

Plus en détail

Secteur des Technologies de l Information et de la Communication (TIC) PLAN D ACTION

Secteur des Technologies de l Information et de la Communication (TIC) PLAN D ACTION Secteur des Technologies de l Information et de la Communication (TIC) PLAN D ACTION Atelier TIC et Emploi en Mauritanie Centre de Formation et d Echange à Distance (CFED) de Nouakchott 28 avril 2014 Mohamed

Plus en détail

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs

Plus en détail

Intervention au Colloque de Bruxelles du jeudi 31 octobre 2013 (Mallorie Trannois)

Intervention au Colloque de Bruxelles du jeudi 31 octobre 2013 (Mallorie Trannois) Intervention au Colloque de Bruxelles du jeudi 31 octobre 2013 (Mallorie Trannois) Tout d abord, je voulais remercier Monsieur Marique de m avoir invité à donner mon point de vue lors de la table ronde

Plus en détail

Dossier relatif à l information sur les prix des appels téléphoniques vers les services à valeur ajoutée (08, ) 11 juin 2009

Dossier relatif à l information sur les prix des appels téléphoniques vers les services à valeur ajoutée (08, ) 11 juin 2009 Dossier relatif à l information sur les prix des appels téléphoniques vers les services à valeur ajoutée (08, ) 11 juin 2009 Arrêté du 10 juin 2009 relatif à l'information sur les prix des appels téléphoniques

Plus en détail

Collecter des informations statistiques

Collecter des informations statistiques Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle

Plus en détail

MEMORIAL MEMORIAL. Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg. Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg RECUEIL DE LEGISLATION

MEMORIAL MEMORIAL. Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg. Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg RECUEIL DE LEGISLATION MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 4507 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 286 31 décembre 2012 S o m m a i r e SERVICES POSTAUX Loi du 26 décembre

Plus en détail

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

Développement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC

Développement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC Développement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC Novembre 2012 La FIEEC est une Fédération de l'industrie qui rassemble 29 syndicats professionnels dans les secteurs de

Plus en détail

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique

Plus en détail

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD

Plus en détail

N 1470 ASSEMBLÉE NATIONALE

N 1470 ASSEMBLÉE NATIONALE N 1470 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 17 février 2009. RAPPORT FAIT AU NOM DE LA COMMISSION DES AFFAIRES

Plus en détail

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires.

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires. Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 13 juin 2013 portant proposition d approbation du lancement du déploiement généralisé du système de comptage évolué de GrDF Participaient

Plus en détail

S informer sur. Capital investissement:

S informer sur. Capital investissement: S informer sur Capital investissement: les fonds communs de placement à risques destinés au grand public Qu est-ce que le capital investissement? Quels sont les segments d intervention du capital investissement?

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3034 Convention collective nationale IDCC : 1090. SERVICES DE L AUTOMOBILE (Commerce

Plus en détail

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique.

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique. Placement en établissement médicalisé ou spécialisé Cette aide permet de faire face à la charge financière importante que représente le placement en établissement spécialisé de l adhérent ou de l ayant

Plus en détail

Coûts de transfert de compte bancaire

Coûts de transfert de compte bancaire LA MOBILITE BANCAIRE La concurrence ne peut fonctionner que si la mobilité du client est assurée. Avec 2 %, le marché français semble présenter un des taux les plus faibles d attrition au niveau des marchés

Plus en détail

Avantages immatériels dont La Poste est susceptible de bénéficier du fait de son obligation de présence territoriale

Avantages immatériels dont La Poste est susceptible de bénéficier du fait de son obligation de présence territoriale Juin 2012 Avantages immatériels dont La Poste est susceptible de bénéficier du fait de son obligation de présence territoriale Consultation publique du 12 juin au 13 juillet 2012 ISSN : 2258-3106 Modalités

Plus en détail