Épargne, investissement et système financier
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- Émilien Sylvain
- il y a 8 ans
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1 Thème 3 Épargne, investissement et système financier Questions Vrai ou Faux 1. Dans une économie fermée, l épargne est ce qui subsiste une fois déduites (des revenus) les dépenses de consommation et les dépenses gouvernementales. 2. L épargne publique entraîne en tout temps des effets positifs pour l économie. 3. Dans une économie fermée, l investissement est toujours égal à l épargne, et ce, sans se soucier de la provenance de cette épargne (qu elle provienne du privé ou du public). 4. L investissement correspond aux achats d équipements, de stocks et de structures. 5. Si vous prêtez à votre colocataire l argent que vous avez économisé, afin qu il puisse faire l épicerie, votre geste aura eu pour effet d augmenter l épargne nationale. 6. La quantité offerte de fonds prêtables est plus élevée si le taux d intérêt réel est plus élevé. 7. Si le taux d intérêt réel du marché des fonds prêtables se situe temporairement au-dessus du taux d équilibre du marché, les emprunts demandés vont excéder les prêts disponibles et le taux d intérêt réel dégringolera. 8. Une réduction du déficit budgétaire devrait déplacer l offre de fonds prêtables vers la droite, diminuant ainsi le taux d intérêt réel, et augmentant la quantité demandée de fonds prêtables. 9. L épargne publique et les surplus budgétaires du gouvernement sont équivalents. 10. Si le gouvernement veut augmenter le taux de croissance économique du pays, il devrait d abord augmenter les taxes sur les intérêts et les dividendes, dans le but de déplacer l offre de fonds prêtables vers la droite. 11. Une augmentation du déficit budgétaire qui oblige le gouvernement à augmenter ses emprunts déplacera la demande de fonds prêtables vers la droite.
2 Choix multiples 1. Les intermédiaires financiers agissent comme intermédiaire entre : a) les syndicats et les entreprises; b) les femmes et leur maris; c) les vendeurs et les acheteurs; d) les épargnants et les investisseurs. 2. L épargne nationale (ou simplement l épargne), est égale à : a) l épargne publique + l épargne privée; b) l investissement et les dépenses de consommation; c) le PIB les dépenses gouvernementales; d) le PIB les dépenses de consommation; e) aucune de ces réponses. 3. Si les dépenses du gouvernement excèdent les recettes fiscales : a) il y a un surplus budgétaire; b) il y a un déficit budgétaire; c) l épargne privée est positive; d) l épargne publique est positive; e) aucune de ces réponses. 4. Ceteris paribus, si le public consomme 10 milliards en moins et que le gouvernement dépense 10 milliards en plus, laquelle des affirmations suivantes est juste? a) il y a une augmentation de l épargne nationale et l économie devrait croître plus rapidement; b) il y a une diminution de l épargne nationale et l économie devrait croître plus lentement; c) l épargne nationale demeure inchangée; d) il est impossible de savoir ce qui arrivera à l épargne nationale, puisqu il manque d informations. 5. L investissement, c est : a) l achat d actions et d obligations; b) l achat d équipements, de stocks et de structures; c) lorsque nous déposons nos économies à la banque; d) l achat de biens et services.
3 6. Si les Canadiens deviennent de plus en plus économes, nous devrions nous attendre à : a) un déplacement de l offre de fonds prêtables vers la droite et à une hausse du taux d intérêt réel; b) un déplacement de l offre de fonds prêtables vers la droite et à une baisse du taux d intérêt réel; c) un déplacement de la demande de fonds prêtables vers la droite et à une hausse du taux d intérêt réel; d) un déplacement de la demande de fonds prêtables vers la droite et à une baisse du taux d intérêt réel. 7. Lequel des ensembles suivants de politiques gouvernementales est le plus susceptible de favoriser la croissance? a) une baisse des taxes sur les revenus provenant de l épargne, l instauration de crédits d impôts à l investissement et une diminution du déficit; b) une baisse des taxes sur les revenus provenant de l épargne, l instauration de crédits d impôts à l investissement et une augmentation du déficit; c) une hausse des taxes sur les revenus provenant de l épargne, l instauration de crédits d impôts à l investissement et une diminution du déficit; d) une hausse des taxes sur les revenus provenant de l épargne, l instauration de crédits d impôts à l investissement et une augmentation du déficit. 8. Une augmentation du déficit budgétaire qui oblige le gouvernement à augmenter ses emprunts : a) déplace la demande de fonds prêtables vers la droite; b) déplace la demande de fonds prêtables vers la gauche; c) déplace l offre de fonds prêtables vers la gauche; d) déplace l offre de fonds prêtables vers la droite. 9. Une augmentation du déficit budgétaire va : a) augmenter le taux d intérêt réel et diminuer la quantité demandée de fonds prêtables à des fins d investissements; b) augmenter le taux d intérêt réel et la quantité demandée de fonds prêtables à des fins d investissements; c) diminuer le taux d intérêt réel et augmenter la quantité demandée de fonds prêtables à des fins d investissements; d) diminuer le taux d intérêt réel et la quantité demandée de fonds prêtables à des fins d investissements.
4 10. Si les Canadiens deviennent moins soucieux de l avenir et épargnent de moins en moins, peu importe le taux d intérêt : a) le taux d intérêt réel et les investissements diminueront; b) le taux d intérêt réel diminuera et les investissements augmenteront; c) le taux d intérêt réel augmentera et les investissements diminueront; d) le taux d intérêt réel et les investissements augmenteront. 11. De plus en plus inquiets pour leurs vieux jours, les "baby-boomers" épargnent plus. En conséquence (toutes choses étant égales par ailleurs) : a) l'offre de fonds prêtables augmente, ainsi que le taux d'intérêt; b) l'offre de fonds prêtables diminue et le taux d'intérêt augmente; c) l'offre de fonds prêtables augmente et le taux d'intérêt diminue; d) la demande de fonds prêtables augmente, ainsi que le taux d'intérêt; e) la demande de fonds prêtables diminue, ainsi que le taux d'intérêt. 12. En considérant le marché des fonds prêtables, quel ensemble de politiques gouvernementales serait le plus susceptible de favoriser la croissance? a) augmenter les dépenses publiques, augmenter les impôts et financer les infrastructures publiques; b) baisser les impôts sur le revenu, augmenter celui sur les bénéfices des corporations et laisser augmenter le déficit budgétaire; c) baisser les impôts sur le revenu des particuliers ainsi que celui sur les bénéfices des corporations, augmenter les taxes de vente et réduire le déficit (ou augmenter le surplus); d) éliminer les REER, éliminer les subventions aux entreprises, maintenir les impôts sur le revenu où ils sont et maintenir le solde budgétaire là où il est; e) augmenter les dépenses publiques, baisser les impôts et accepter ainsi les conséquences sur le solde budgétaire. 13. Dans ses nouvelles mesures budgétaires, le gouvernement annonce qu'il va y avoir une baisse des impôts sur les profits des corporations et une hausse de ses propres dépenses. Toutes choses étant égales, on va donc certainement assister dans une économie fermée à a) une hausse du taux d'intérêt réel et une hausse des investissements; b) une hausse du taux d'intérêt réel et une baisse des investissements; c) une baisse du taux d'intérêt réel et une hausse des investissements; d) une hausse du taux d'intérêt réel, mais c'est incertain quant aux investissements; e) l'impact sur le taux d'intérêt réel et sur les investissements est incertain.
5 Problèmes 1. Utilisez les identités relatives à l épargne et à l investissement provenant de la comptabilité nationale pour répondre aux questions suivantes. Supposez que les valeurs suivantes proviennent d un pays dont l économie est fermée : Y = 600, T = 100, C = 400, G = 120 Toutes les valeurs sont en milliards de dollars. a) Quelle est la valeur de l épargne et de l investissement dans ce pays? b) Quelle est la valeur de l épargne privée? c) Quelle est la valeur de l épargne publique? d) Est-ce que la politique budgétaire de ce gouvernement contribue ou nuit à la croissance? e) Pourquoi certains pays ne réduisent-ils pas leur déficit budgétaire? 2. Vous êtes en train de regarder un «débat des chefs» à la télévision. Interrogé à propos de sa position sur la croissance économique, l un des politiciens répond : «Après les événements qu on connaît, nous avons besoin que le pays augmente de nouveau sa croissance. Nous avons particulièrement besoin d outils, comme des incitatifs fiscaux, pour stimuler la croissance et les investissements. Nous avons encore plus besoin de réduire le déficit, pour que le gouvernement cesse d absorber l épargne de cette nation». a) Si les dépenses du gouvernement demeurent les mêmes, quelle contradiction relève-ton de son exposé? b) Si le politicien désire sincèrement réduire le déficit budgétaire en plus de réduire les impôts, que laisse-t-il sous-entendre quant à ses intentions en matière de dépenses gouvernementales? c) Si le politicien prévoit augmenter la croissance et qu il a le choix entre une politique d incitatifs fiscaux qui stimule l épargne et une politique d incitatifs fiscaux qui stimule l investissement, que devrait-il savoir au sujet de l offre et de la demande sur le marché des fonds prêtables avant de prendre sa décision? Expliquez. 3. Expliquez quels devraient être les effets des événements suivants sur le taux d intérêt et la valeur de l épargne et de l investissement, dans une économie fermée à long terme. a) Un déficit budgétaire gouvernemental b) Une anticipation que la croissance économique future sera plus élevée c) Beaucoup de citoyens prennent leur retraite (et ne sont pas tous remplacés par des jeunes qui entrent dans le marché du travail) d) Le gouvernement augmente ses dépenses courantes
6 Thème 3 Épargne, investissement et système financier Réponses Vrai ou Faux 1. Vrai. 2. Faux. L épargne publique n est pas nécessairement bonne si le gouvernement enregistre ses surplus budgétaires en augmentant les impôts. 3. Vrai. 4. Vrai. 5. Faux. Les prêts à la consommation n augmentent pas l épargne nationale. En effet, votre épargne (revenu consommation) est compensée par une épargne négative de votre coloc (qui consomme plus que son revenu). La baisse de la consommation de l un est annulée par la hausse de consommation de l autre. 6. Vrai. 7. Faux. Les prêts disponibles excèderont les emprunts demandés. 8. Vrai. 9. Vrai. 10. Faux. Il devrait plutôt diminuer les taxes sur les intérêts et les dividendes. 11. Faux. Cela diminuera l offre de fonds prêtables. Choix multiples 1. d) 2. a) I = S = Sp + Sg où : Sp = Y T C et Sg = T G. 3. b) Si G > T donc Sg est négatif, il y a donc déficit. 4. c) Sp diminue de 10 G$ et Sg augmente de 10 G$, alors ΔS = b) L investissement correspond aux dépenses pour des équipements et infrastructures. 6. b) Il y a plus d épargne, donc O FP se déplace à droite, la D FP ne bouge pas (les intentions d I n étant pas affectées à prime abord), il y a donc diminution du taux d intérêt. 7. a) Un allégement fiscal augmente l offre de fonds prêtables, le crédit d impôt à l investissement augmente la demande de fonds prêtables et la diminution du déficit augmente l offre de fonds prêtables. Par tout ceci, I réalisé augmente. 8. c) L augmentation du déficit budgétaire réduit l épargne nationale. 9. a) Plus le taux d intérêt est élevé, moins il y a d investissements puisque ceux-ci sont plus dispendieux à financer. 10. c) Baisse de l épargne, donc déplacement à gauche de O FP étant plus faible, le taux d intérêt augmentera donc et la quantité demandée de fonds prêtables diminuera. 11. c) L augmentation de l épargne signifie une offre de fonds prêtables plus importante, donc l offre se déplace vers la droite, ce qui a pour effet de diminuer le taux d intérêt. 12. c) La baisse d impôts sur le revenu et la réduction du déficit augmentent O FP, le taux d intérêt diminue donc, ce qui favorise les investissements. La réduction de l impôt sur les bénéfices des corporations fait augmenter D FP, ce qui favorise aussi les investissements. 13. d) La hausse des dépenses gouvernementales fait diminuer O FP, donc hausser r et diminuer la quantité demandée de fonds prêtables, donc I (réalisé). La baisse des impôts sur les profits des corporations fait augmenter D FP, donc hausser r, mais aussi I.
7 Problèmes 1. a) Y - C - G = = 80 milliards $ b) Y - T - C = = 100 milliards $ c) T - G = = - 20 milliards $ d) Elle nuit à la croissance : l épargne publique étant négative, moins de fonds sont disponibles pour les investissements. e) Parce que les politiciens ne s accordent pas quant au choix entre une augmentation des taxes et une diminution des dépenses. 2. a) Des incitatifs fiscaux pour stimuler l épargne et l investissement nécessitent une réduction des impôts. Cette diminution de revenu augmentera le déficit (si les dépenses du gouvernement demeurent les mêmes), ce qui aura pour effet de diminuer l épargne et l investissement. b) Il entend réduire les dépenses du gouvernement. c) Le politicien voudra connaître les élasticités des courbes d offre et de demande. Si la demande de fonds prêtables est inélastique, les changements de l offre de fonds prêtables auront peu d effets sur l épargne et l investissement. Par conséquent, les incitatifs fiscaux qui augmentent l épargne, peu importe le taux d intérêt, auront un faible impact sur la croissance. De même, si l offre de fonds prêtables est inélastique, les changements au niveau de la demande de fonds prêtables auront peu d effets sur l épargne et l investissement; donc, les incitatifs fiscaux qui augmentent l épargne, peu importe le taux d intérêt, auront un faible impact sur la croissance. 3. a) Déplacement de la courbe d offre de fonds prêtables vers la gauche. Le taux d intérêt augmente, alors que S et I diminuent. b) Déplacement de la courbe de demande de fonds prêtables vers la droite. Le taux d intérêt augmente, alors que S et I augmentent. c) Déplacement de la courbe d offre de fonds prêtables vers la gauche. Le taux d intérêt augmente, alors que S et I diminuent. d) Déplacement de la courbe d offre de fonds prêtables vers la gauche. Le taux d intérêt augmente, alors que S et I diminuent.
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