La fin des exonérations de TVA peut-elle être favorable aux pauvres? Le cas du Niger
|
|
- Solange Amandine Delisle
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La fin des exonérations de TVA peut-elle être favorable aux pauvres? Le cas du Niger Dorothée Boccanfuso Céline de Quatrebarbes* Luc Savard CERDI, Clermont 1University
2 Plan 1. Le contexte économique et fiscal nigérien 2. Le modèle d équilibre général calculable 3. Les Simulations 4. Les résultats macroéconomiques 5. Les résultats microéconomiques 6. Conclusions
3 1. Contexte du Niger (%) Agriculture vivrière Agriculture de rente Elevage Agro-industrie Industrie Services Privés Services Publics production i production 14,4 5,0 15,1 9,5 17,5 27,1 11,3 valeur ajoutée i valeur ajoutée 16,8 5 17,2 5,4 14, ,8 valeur ajoutée i productioni 79,4 69,6 77,7 38,7 57, ,9 importation i compositei 11,3 21 0,3 16,4 60,7 0,5 importation i importation 9,1 4,6 0,2 9,1 76,3 0,7 exportation i productioni 30,4 16,8 1 42,8 0,6 exportation i exportation 13 21,5 0,8 63,3 1,4 L qualifié i L qualifié 1,8 17, ,0 L non qualifié i L non qualifié 18,8 5,9 19,3 6,2 15,05 30,65 4,2 capital i capital 23,3 5,4 23,5 1,1 4,7 40,1 1,9
4 1. Contexte du Niger Système de TVA au Niger: Taux unique 19 % Exonérations officielles Exonérations officieuses % des recettes fiscales totales 30% % des recettes fiscales internes 43% de l assiette fiscale Secteur informel Autoconsommation 60% TVA/PIB 5% Ratio d efficience au Niger Pression fiscale 0,24 (0,27 en ASS) 13,4% (Objectif de 17% dans l UEMOA) Une assiette fiscale réduite
5 1. Contexte du Niger Solution Nigérienne: Elargir la base fiscale aux biens exonérés dont les produits agricoles. Réaction: Opposition violente soulevant la question de l impact social de cette réforme. La fin des exonérations de TVA peut-elle être favorable aux pauvres?
6 1. Contexte du Niger Exonérations : Le bien final est non taxé et la TVA payée lors de l achat des biens intermédiaire non remboursée. L incidence de la fin des exonérations dépendra: 1. de l effet net entre : La diminution des coûts de production L augmentation du prix à la consommation pour les ménages 2. du système de TVA remplaçant l exonération: Un système à taux uniforme Un système à taux multiples
7 2. Le Model EGC MEGC: Finances publiques et bien-être TVA : taxe à la consommation Incidence sur le producteur TVA : Taxe à la consommation et à la production Exonérations Non remboursement des crédits de TVA MEGC: Agent représentatif Analyse Intergroupes Model Top Down (Chen and Ravallion, 2004) Hétérogénéité des ménages Analyse intra-groupe
8 2. Le Model EGC 7 secteurs: agriculture vivrière, agriculture de rente, élevage, agroalimentaire, industrie, services privés, services publics (MCS,2004) Modèle EXTER Statique (Decaluwe and al. 2001) Fonction de production CES Travail qualifié, travail non qualifié, Capital 2 marchés du travail et Capital fixe Offre de travail inélastique (Test de Robustesse avec offre élastique) Fonction de demande LES Petit pays, hypothèse d Armington, CES pour les importations, CET pour les exportations Variables exogènes : prix mondial, transferts, dépense publique. Numéraire: taux de change nominal Mode de bouclage: épargne = investissement
9 2. Le Model EGC Situation initiale: Présence d exonérations de TVA Deux types de taux de TVA: Sur la consommation finale: Sur les intrants: TCO i = TCIO i = j h CO i,h TAXCO i 1 proptvacio i +CGO i TAXCO i 1 proptvacio i TAXCO i proptvacio CIJO i,j proptvacio i TAXCO i Dépendant de: proptvacio i part de la TVA collectée sur les intrants TAXCO i : TVA collectée par bien CGO i consommation publique en bien i; CO i,h h : Consommation privé en bien i; CIJO i,j consommation intermédiaire en bien i de la branche j
10 2. Le Model EGC Le système de TVA nigérien en situation initiale: Agriculture vivrière Agriculture de rente Elevage Agroindustrie Industrie Services Privés Services Publics % TVA totale 0,06 8,7 0,43 10,3 59,2 20,1 1,25 Proptvacio 0,8 0,6 0,8 0,3 0,3 0,4 0,2 TCO 0,002 5,5 0,05 2,4 11,05 2,8 0,3 TCIO 0,44 5,3 0,05 2,7 5,7 1,7 12,4 Charge fiscale 0,009 1,5 0,05 0,9 3 0,9 0,1 Charge fiscale pesant sur le producteur du bien i : i TCI PQ i DIO i,j P i XS i
11 3. Simulations Fin des exonérations Sim 1 : Système de TVA pure Taux uniforme + Base fiscale de 100% 19% pour sim1a; 10% pour sim1b Sim 2: Sous fiscalisation agriculture Sim2a: Taux initiaux Sim2b: Exonérations totale et obtention d intrants dans le secteur formel taxé Sim 3: Taux réduit de 5% dans l agriculture vivrière et de rente Neutralité budgétaire ( Yg = sim 1b,taux endogènes de TVA)
12 4. Résultats macroéconomiques La fin des exonérations, un système de TVA pure à 10%: Répartition de la charge fiscale entre les biens et services Augmentation du PIB Augmentation des recettes publiques Développement du secteur industriel Bien d investissement charge fiscale importante à la situation initiale. Forte diminution de la demande locale sur les autres biens
13 4. Résultats macroéconomiques Exonérations des biens agricoles : Taux de TVA sur les autres biens: 13 % Agriculture vivrière Agriculture de rente Charge fiscale ex ante Faible Plus importante Utilisation d intrants Faible Forte Charge fiscale ex post Prix consommation finale Prix consommation intermédiaire Effet net: Augmente mais reste faible Diminution légère Augmentation Augmente Diminution forte Diminution La baisse du prix à la consommation compense la charge fiscale supplémentaire
14 4. Résultats macroéconomiques Un système de TVA à taux multiples: Taux réduit de TVA de 5% et Taux plein de TVA de 12% Etat initial Après simulation Agriculture vivrière 1 er poste de dépense des ménages Faible utilisation d intrants Augmentation prix à la consommation Pas de crédit de TVA Agriculture de rente Peu consommé localement Forte utilisation d intrants Baisse prix à la consommation Pas de crédit de TVA
15 5. Analyse microéconomique 6690 ménages divisés en 4 groupes Ligne de pauvreté rurale : FCFA par an et par personne Ligne de pauvreté urbaine : FCFA par an et par personne Uagr Ragr Unagr Rnagr Incidence (FGT0) Profondeure (FGT1) Sévérité (FGT2) Gini Niveau de pauvreté élevé chez les agriculteurs Niveau d inégalité plus élevé chez les urbains non agriculteurs
16 Variatoon (%) 5. Analyse microéconomique Taux unique accroit la pauvreté pour les agriculteurs Exonérations de l agriculture: la moins mauvaise option Les ruraux non agriculteurs profitent de la baisse du prix des biens et d une augmentation des revenus Uagr Ragr Unagr Rnagr Taux multiples de TVA moins favorable que l exonération -6 sim1a Sim1b Sim3a Sim3b Sim4 Simulations
17 Variations (%) 5. Analyse microéconomique La réduction des inégalités permet un meilleur ciblage des pauvres. 0,50 0,00 Le taux unique à 19% réduit les inégalités parmi les ruraux -0,50 Niger -1,00 Uagr Le taux multiples a un effet semblable aux taux unique -1,50 Ragr Unagr Rnagr La réduction de la base fiscale à moins d effet sur la réduction des inégalités mais touche toujours principalement les ruraux. -2,00-2,50 Sim1a Sim1b Sim2 Sim2b Sim3 Simulations
18 6. Conclusions TVA, une taxe à la consommation : Le taux uniforme de TVA favorise le PIB Le système à taux multiples avec un taux réduit dans l agriculture est plus progressif. TVA, taxe à la consommation ET à la production: La structure économique du secteur produisant le bien exonéré influence l incidence de la mesure. La structure du secteur influence la présence de crédit de TVA Conclusion avec CE modèle pour le Niger: L exonération de l agriculture.
19 6.Conclusions Poursuite du travail: Une analyse comparative avec un pays ayant une agriculture «moderne». La prise en compte du pouvoir des commerçants
20 Merci de votre attention
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailAccès au crédit et foncier
Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Note d information Accès au crédit et foncier RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger 22 mai 2015 / Rédaction : Florence Bron-Saïdatou
Plus en détailChocs des prix internationaux et bonnes pratiques agricoles au Burkina Fao
1 sur 45 Chocs des prix internationaux et bonnes pratiques agricoles au Burkina Fao Une approche d équilibre général Á propos du Programme de formation aux politiques de la FAO Ce programme a pour but
Plus en détailLa réforme de l administration fiscale au Cameroun
Conférence sur la mobilisation des recettes fiscales dans les pays en développement Washington, 17-19 avril 2011 La réforme de l administration fiscale au Cameroun Alfred Bagueka ASSOBO Introduction (02)
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailComment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude
Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau
Plus en détailImpact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University
Impact économique du secteur des coopératives George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Tendances Les coopératives au Canada 350 300 250 200 150 100 50 0 Les coopératives en Nouvelle- Écosse
Plus en détailSOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL...
Fédération Internationale des Producteurs Agricoles 1 «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES» Ce document fut élaboré dans l objectif d apporter une information la plus complète possible sur le thème du
Plus en détailAnne Briand 1. ATER CARE (Centre d Analyse et de Recherche en Economie) UFR Droit- Eco- Gestion, 3 avenue Pasteur 76186 Rouen cedex FRANCE
«Les tarifications au coût marginal versus coût moyen face à des chocs climatiques au Sénégal : Un modèle dynamique d équilibre général calculable appliqué à l eau» Anne Briand 1 ATER CARE (Centre d Analyse
Plus en détailFMB Forum 2012 sur le financement de l agriculture (Du 28 au 30 mars 2012) Kampala - Ouganda
FMB Forum 2012 sur le financement de l agriculture (Du 28 au 30 mars 2012) Kampala - Ouganda Plan 1. À propos de la FMB 2. Évolution de la FMB 3. Présentation et caractéristiques des produits 4. Facteurs
Plus en détailFORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE
FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE La fracture agricole mondiale : «Ouvrir des perspectives pour les espaces en développement» 4 et 5 février 2005 Rapport - ATELIER 2A Thème : Les modèles économiques
Plus en détailRégime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20)
Régime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20) I. Définition des entreprises totalement exportatrices (art 10) : L article 10 du code d incitation aux investissements a défini les entreprises
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailOpportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires
Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Présentation : Banque Régionale de Marchés (BRM) Assemblée Générale Annuelle FANAF Février 2011, Dakar LA BRM EN QUELQUES MOTS Première banque
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailAccès des populations rurales au capital en Agroland
PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour
Plus en détailProfils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE. Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014
Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014 Objectifs et Enjeux Objectifs Décrire et analyser les fondements, la pratique
Plus en détailAmeth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI 2009 1
Ameth Saloum NDIAYE CEPOD, Ministère de l Economie et des Finances, Sénégal Colloque régional UEMOA-CRDI, Ouagadougou, Burkina Faso, 8-10 décembre 2009 1 Problématique et justification Objectifs du papier
Plus en détailCONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS Dans ce travail, nous avons évalué les possibilités d une intensification de l agriculture dans le Plateau Central à partir des nouvelles technologies (techniques traditionnelles
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailLe rôle de la société civile
Le rôle de la société civile Bruxelles 15 décembre 2011 Les mutuelles de santé au Burkina Faso Inégalité d accès aux soins de santé au Burkina Faso La majorité de la population vit en dessous du seuil
Plus en détailFiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA
Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque
Plus en détailFINANCEMENT DES RISQUES PROFESSIONNELS. CHU de la TIMONE UE «ORGANISATION DE LA SECURITE SOCIALE»
FINANCEMENT DES RISQUES PROFESSIONNELS CHU de la TIMONE UE «ORGANISATION DE LA SECURITE SOCIALE» Intervenant : Jean-Jacques LANTONNET Expert Tarification AT-MP Direction des Risques Professionnels Caisse
Plus en détailUniversita Degli Studi di Milano. Facoltà di Agraria. Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale
Universita Degli Studi di Milano Facoltà di Agraria Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale Seminari del CICSAA Centro Interuniversitario per la Cooperazione allo Sviluppo
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailMise à jour 17/04/2012
Mise à jour 17/04/2012 Le maintien de salaire Incidence sur le bulletin de paye CCB 21 mai 2010 En application des dispositions de la convention collective du 21mai 2010 Note de synthèse réalisée par les
Plus en détailPlateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité
Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailImpact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy
MPRA Munich Personal RePEc Archive Impact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy Jean Blaise Nlemfu Mukoko Departement d économie, Université de kinshasa, Groupe de
Plus en détailCONFERENCE INTERAFRICAINE DES MARCHES D ASSURANCE
CONFERENCE INTERAFRICAINE DES MARCHES D ASSURANCE GESTION DU RISQUE MALADIE EN ZONE CIMA Fangman Alain Ouattara Commissaire Contrôleur en Chef à la CIMA ofangman@yahoo.fr SOMMAIRE 1. ASSURANCE MALADIE
Plus en détaildiffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique
les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport
Plus en détailLe financement de l apprentissage informel
Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détail1. NON SALARIE AGRICOLE EXERÇANT PLUSIEURS ACTIVITES DE NATURE AGRICOLE
Les chefs d exploitation ou d entreprise agricole peuvent exercer plusieurs activités simultanément, sous forme d entreprise individuelle ou sous forme sociétaire. Ces activités peuvent être : 1- de nature
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailRéformes douanières au Bénin et libéralisation commerciale du Nigeria
DOCUMEN DE RAVAIL D/2000/03 Réformes douanières au Bénin et libéralisation commerciale du Nigeria Un modèle EGC avec concurrence imparfaite appliquée au commerce trans-frontalier Jean-François GAUIER Réformes
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailMode opératoire SAGE Gestion Commerciale
Mode opératoire SAGE Gestion Commerciale Table des matières (cliquer sur les liens) Paramétrage de base Création de la société Modification des options de la société Paramétrer définitivement les modèles
Plus en détailRAPPORT D ETUDE FINAL RAPPORT FINAL
Groupe de recherche et d échanges technologiques RAPPORT D ETUDE FINAL Etude prospective sur les mesures de protection nécessaires pour le développement du secteur agricole en Afrique de l Ouest (illustration
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME
ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME SOMMAIRE I. IMPACT MACROÉCONOMIQUE DES VOIES DE RÉFORMES ENVISAGÉES.. 3 A. EVALUATION DES EFFETS MACROÉCONOMIQUES DE COURT TERME EN CAS DE BAISSE UNIFORME
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailMesure, impact des politiques et estimation. Programme de formation MIMAP. Remerciements
Pauvreté, bienêtre social et équité : Mesure, impact des politiques et estimation par JeanYves Duclos Département d économique et CRÉFACIRPÉE, Université Laval, Canada Programme de formation MIMAP Remerciements
Plus en détailLa FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire
La FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire BIM n 136 - Mercredi 24 Octobre 2001 Bénédicte Laurent, FIDES Un BIM du mercredi qui nous vient de loin : nous avons demandé
Plus en détailméthodologiquem Quelques précautions
Atelier régional r méthodologiquem «Les prix de parité à l importation du riz et du maïs s en Afrique de l Ouestl» Quelques précautions Calculer des prix de parité en se basant sur les prix et les coûts
Plus en détailMesures évaluées 46 68 % 35 324 %
Niches fiscales et sociales Un inventaire à la Prévert Il a fallu un an au comité d évaluation (une douzaine de hauts fonctionnaires), au ministère du budget, pour sortir un très gros rapport qui inventorie
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailLe Tarif Extérieur Commun de la CEDEAO (ECOTrade) Questions à résoudre
Le Tarif Extérieur Commun de la CEDEAO (ECOTrade) Questions à résoudre J. Dirck Stryker, AIRD 4 mars 2005 Le Communiqué final du vingt-huitième sommet des Chefs d États et de gouvernements de la CEDEAO
Plus en détailSYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA
SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA INTITULE DU PROJET : PROJET DE PROMOTION DE L INITIATIVE LOCALE POUR LE DEVELOPPEMENT D AGUIE 1 Intitulé du Projet : Projet de Promotion de l Initiative Locale pour le
Plus en détailUNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce
UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce Année Universitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Année Etudes Supérieures Commerciales & Sciences Comptables DECISIONS FINANCIERES Note de cours N 2
Plus en détailAutoconsommation d énergie photovoltaïque
Autoconsommation d énergie photovoltaïque Principe et intérêt de l autoconsommation de l électricité photovoltaïque Atelier technique PV-NET Mardi 3 décembre 2013 Marc Niell Ingénieur chargé d affaires
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailNote de présentation générale. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES 11 mai 2010 «Variantes de durée d assurance et d âges de la retraite» Dossier technique préparé par le secrétariat général du COR Document N 1 Document de travail, n
Plus en détailBourse Régionale des Valeurs Mobilières de l UMOA : orientations et actions stratégiques pour le développement
Bourse Régionale des Valeurs Mobilières de l UMOA : orientations et actions stratégiques pour le développement Conférence de presse Abidjan, le 30 novembre 2012 Plan 1 - Présentation de la Bourse Régionale
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailLe warrantage ou crédit stockage : un moyen pour les paysans de mieux valoriser leurs produits et une sécurisation du financement rural
Le warrantage ou crédit stockage : un moyen pour les paysans de mieux valoriser leurs produits et une sécurisation du financement rural Janvier 2007 Cécile Beaure d'augères, Afdi Afdi (Agriculteurs français
Plus en détailPRESENTATION DES PROGRAMMES
REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION DISCIPLINE - TRAVAIL PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE (PNIA 2010 2015) PRESENTATION DES PROGRAMMES ((Documentt proviissoiire)) Mai 2010 Table des matières
Plus en détailVOS COTISATIONS 2014. Octobre 2014. Nous vous adressons, sous ce pli, votre bordereau de cotisations. sociales et contributions de l'année 2014.
ALSACE Octobre 2014 VOS COTISATIONS 2014 Nous vous adressons, sous ce pli, votre bordereau de cotisations sociales et contributions de l'année 2014. Ces cotisations doivent être Pour faciliter vos démarches,
Plus en détailUN INSTRUMENT FINANCIER POUR L AGRICULTURE EN. Wilfredo Necochea Président FOGAL sosf@amauta.rcp.net.pe
FONDS DE GARANTIE: UN INSTRUMENT FINANCIER POUR L AGRICULTURE EN AMÉRIQUE LATINE Wilfredo Necochea Président FOGAL sosf@amauta.rcp.net.pe FONDS DE GARANTIE Encourager les banques et/ou entités de financement
Plus en détailLes effets à moyen terme de la dévaluation des francs CFA
DOCUMENT DE TRAVAIL DT/97/11 Les effets à moyen terme de la dévaluation des francs CFA Une comparaison Cameroun / Côte d Ivoire à partir d un modèle micro-macro dynamique et financier Denis COGNEAU Gérald
Plus en détailLe Grand Débat sur l avenir de l agriculture et de la pêche françaises. Synthèse des travaux du groupe «Compétitivité et revenus»
Le Grand Débat sur l avenir de l agriculture et de la pêche françaises Synthèse des travaux du groupe «Compétitivité et revenus» La compétitivité des exploitations agricoles et des filières agricoles et
Plus en détailREVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT
REVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT Revoir le mode de financement de notre système d Assurance-maladie, institution à
Plus en détailPrésentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia
Évaluation actuarielle du Régime de rentes du Québec au 31 décembre 2012, une œuvre de science-fiction? Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux Georges Langis Actuaire
Plus en détailL approche filière. Analyse financière OUTILS ANALYTIQUES. Module 044. L approche filière. Analyse financière
OUTILS ANALYTIQUES Module 044 L approche filière par Fabien Tallec, Consultant, Service de Soutien aux Politiques Agricoles, Division de l Assistance aux Politiques, FAO, Rome, Italie Louis Bockel, Service
Plus en détailHausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques
Bureau fédéral du Plan Avenue des Arts 47-49, 1000 Bruxelles http://www.plan.be WORKING PAPER 11-09 Hausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailREPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE
REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE DES PERSONNES AGEES ADRESSE AUX GOUVERNEMENTS PAR L'EXPERTE INDEPENDANTE SUR LA QUESTION DES DROITS DE L'HOMME ET L'EXTREME PAUVRETE (i)
Plus en détailENTREPRISES FAMILIALES VITICOLES DE COGNAC (FRANCE, 1997-2005)
BNDES, Rio de Janeiro, 23 octobre 2009. Colloque Sécurité alimentaire et sécurité énergétique : stratégies d expansion de la production d aliments et d agrocarburants en Europe et au Brésil. SESSION n
Plus en détailNote commune N 3 / 2014
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DES FINANCES DIRECTION GENERALE DES ETUDES ET DE LA LEGISLATION FISCALES Note commune N 3 / 2014 Objet : Commentaire des dispositions de l article 77 de la loi n 2013-54
Plus en détailRÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015
LE RÉSEAU DES SERVICES DE COMPTABILITÉ ET DE FISCALITÉ DE L'UPA RÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015 AVIS Prenez note que les mesures fiscales du budget du Québec ne sont pas
Plus en détailréforme fiscalité indirecte de la Avant-projet Avril 06 1/14
réforme La fiscalité de la indirecte Avant-projet Avril 06 1/14 LA RÉFORME DE LA FISCALITÉ INDIRECTE I. UNE FISCALITÉ INDIRECTE A BOUT DE SOUFFLE 1.1. Le constat : une fiscalité archaïque et inadaptée
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détail«Mécanismes» et contraintes budgétaires
Ville de Viry-Châtillon / Bilan 2008 2013 et prospective financière 2014-2020 Intervention du 25 septembre 2014 87 rue St-Lazare I 75009 Paris Tél. 01 55 34 40 00 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : fcl@fcl.fr
Plus en détailLSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg
LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg Szabolcs Deák 1 - Lionel Fontagné 2 - Marco Maffezzoli 3 - Massimiliano Marcellino 4 Introduction Les modèles dynamiques stochastiques d équilibre
Plus en détailLes opérations et autres flux
Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1
Plus en détailSécuriser et gérer le risque de change à l export. Les solutions Coface. Clermont Ferrand - 11 Décembre 2014
Sécuriser et gérer le risque de change à l export Les solutions Coface Clermont Ferrand - 11 Décembre 2014 Sommaire Le risque de change la problématique les alternatives Les produits d assurance de Coface
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailREGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE DES RESSOURCES PPTE ET DES DONS BUDGETAIRES
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------------- LE CONSEIL DES MINISTRES REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE
Plus en détailImplications of joining the SADC Free Trade Agreement on the D.R.Congo economy
MPRA Munich Personal RePEc Archive Implications of joining the SADC Free Trade Agreement on the D.R.Congo economy Jean Blaise Nlemfu Mukoko and James Wabenga Yango Département d économie, Université de
Plus en détailAssurances de Personnes des Chefs d entreprise
Conférence / Débat Assurances de Personnes des Chefs d entreprise Les 3 piliers de votre protection sociale La Santé La Retraite La Prévoyance Complémentaire Santé Complémentaire Retraite Complémentaire
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailComité Directeur Confédéral Intervention économique. 16 mars 2011
Comité Directeur Confédéral Intervention économique 16 mars 2011 En 2010, le déficit budgétaire s est élevé à 148,8 milliards d euros Déficit public en 2010 s est élevé à 7,7 % du PIB Dette publique en
Plus en détailPLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013
PLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013 I L ENTREPRISE ET LA FAMILLE La famille est une entreprise La famille dépend de l entreprise La famille et l entreprise se gèrent de la même manière mais indépendamment
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailPopulation : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013)
Disclaimer : Cette fiche pays ne constitue qu un outil de base destiné à présenter aux lecteurs une synthèse globale des régimes juridiques et fiscaux des entreprises d investissement à capital fixe. Elle
Plus en détailREPUBLIQUE DU BENIN. Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@
REPUBLIQUE DU BENIN Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@ DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES ECONOMIQUES -@@@ DIRECTION DE LA PREVISION
Plus en détailActivité n 8.2.5 du PAA 2014
République du Niger Fraternité Travail Progrès MINISTÈRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Secrétariat Général DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PROGRAMMATION DIVISION DES ETUDES, RECHERCHES Termes de références pour la
Plus en détailLa gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN
Groupe de recherche en économie et politique agricoles, Département d économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval SOMMAIRE PRÉAMBULE Daniel-Mercier Gouin est directeur
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailPotentialités et limites de la caution solidaire
Fiche d approfondissement du séminaire de Dakar n 8 Potentialités et limites de la caution solidaire Sources : Séminaire de Dakar et travaux de l ATP Cirad-Cerise Etudes de cas de l ATP CIRAD CERISE Communication
Plus en détail