PRINCIPES DE LA TRABECULOPLASTIE SELECTIVE (SLT) 2 octobre 2010 Romuald DARIEL HIA Laveran
|
|
- Jean-Louis Thibault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PRINCIPES DE LA TRABECULOPLASTIE SELECTIVE (SLT) 2 octobre 2010 Romuald DARIEL HIA Laveran
2 Principes du Nd YAG Nd YAG Laser à milieu actif solide Cristal de Grenat d Ytrium Aluminium Dopé en Néodyme remplace de manière typique l Ytrium (taille similaire) dans la matrice cristalline : 1%
3 PROPRIETES PHYSIQUES Pompage optique Lampe flash xénon (730 nm) Inversion de population émission stimulée Émission 1064 nm (IR, invisible): faisceau témoin laser hélium néon
4 PROPRIETES PHYSIQUES Mode d émission Continue Effet photocoagulation thermique Doublage fréquence: 532 nm (argon 514 nm) Déclenché (Q switched) Obturateur optique naissance oscillation retardée Inversion population maximale avant de s ouvrir Énergie + importante / durée impact + court: nanosec Effet photomécanique: ionisation des atomes du tissus cible par les e de l onde électromagnétique du laser suivi d une onde de choc! SLT +++
5 APPLICATIONS Effet Photomécanique Capsulotomie postérieure IP Hyaloidotomie anterieure Chirurgie de la cataracte phacolaser Effet Thermique Cf Argon
6 Laser SLT
7 SLT Le traitement par LASER = Alternative collyres Couteux Administration journalière Effets secondaires Problème d observance patient ALT: trabeculoplastie LASER Argon Effet thermique: dommage tissulaire Cicatrisation trabeculum Effet transitoire, pas de re traitement
8 PROPRIETES PHYSIQUES SLT: trabeculoplastie laser sélectif LASER Q switched Nd:YAG Fréquence doublée: λ=532 Durée pulse: 3 ns Taille spot: 4OOμ Puissance: 0,8 mj: < bulle vaporisation 110 impacts / 360 Délivrance ciblée de l énergie: cellule contenant de la mélanine Pas de dommage au niveau du tissus environnant Sûr et efficace (FDA 2001)
9 COMMENT ÇA MARCHE Absorption de l énergie par un chromophore en un temps < TRT TRT = temps de relaxation thermique: temps requis pour dissiper l énergie thermique reçue λ SLT (532 nm) correspond au chromophore TRT Mélanine = 1 Microsec / Pulse SLT= 3 nanosec La mélanine n a donc pas le temps de restituer l énergie sous forme de chaleur aux tissus environnants SLT cible cellule à mélanine du trabéculum Cellule du trabéculum pigmenté Après SLT
10 COMMENT ÇA MARCHE TRABECULUM Pulse SLT Cellules à mélanine ciblées Cavitation: dommage cellulaire Tissus environnant sain Libération cytokine: IL1A, IL1B, Intα Recrutement Macrophages Phagocytose débris cellulaire Cytokines: Division cellulaire: nouvelle maille trabeculaire Métalloprotéases Matrice extracellulaire Evacuation HA
11 Preparation du patient : AINS qq jours avant Hypotonisant 2h avant Pas de pilo sauf angle limite Anesthésie Verre focalisateur spécifique (type Latina) Processus : 50 à 100 impacts non confluents sur 180 ou 360 Puissance sur jusqu à obtention bulle puis diminution de 0.1mJ EN PRATIQUE
12 EN PRATIQUE EFFETS INDESIRABLES : Pics d hypertonie oculaire qq heures Inflammation post laser constante et régressive Inefficacité SAP rares Douleur et trouble visuel transitoire Brulure cornéenne?
13 RESULTATS ETUDE FDA (US) 120 patients 26 semaines suivi Baisse moyenne PIO: 5,2 mmhg 71% patients: baisse 3 mmhg 50% répondeur après ALT (33%) Curr Opin Ophthalmol Apr;13(2):94-6. Selective laser trabeculoplasty: a new treatment option for open angle glaucoma. Latina MA, Tumbocon JA. Glaucoma Fellow, Massachusetts Eye and Ear Infirmary, Boston, Massachusetts, USA. jtumbocon@aol.com
14 RESULTATS
15 RESULTATS Selective laser trabeculoplasty: clinical results - A one year prospective study (H. Gracies Y. Lachkar J. Da Cunha - J. Kope) 59 Yeux: SLT 360 Baisse PIO 33%
16 RESULTATS FACTEURS INFLUENCANT L EFFICACITE Peu d études PIO initiale élevée Pas d influence du degré de pigmentation de l angle, âge, sexe, type de glaucome [Predictive factors of successful selective laser trabeculoplasty in openangle glaucoma] Gracner T, Naji M, Hudovernik M, Gracner B, Pahor D. Klin Monbl Augenheilkd Dec;224(12): German.
17 RESULTATS EFFICACITE EN FONCTION DE LA SURFACE TRAITEE Pas de différence significative entre 180 et 360 de ttt 90 peu efficace Si insuffisant avec 50 impacts sur 180 retraiter 1-J Glaucoma Apr-May;17(3): Evaluation of a modified protocol for selective laser trabeculoplasty. George MK, Emerson JW, Cheema SA, McGlynn R, Ford BA, Martone JF, Shields MB, Wand M. Department of Ophthalmology and Visual Science, Yale University School of Medicine New Haven, CT, USA. 2-J Glaucoma Feb;18(2): A comparison of the intervisit intraocular pressure fluctuation after 180 and 360 degrees of selective laser trabeculoplasty (SLT) as a primary therapy in primary open angle glaucoma and ocular hypertension. Prasad N, Murthy S, Dagianis JJ, Latina MA. Massachusetts Eye and Ear Infirmary, Boston, MA, USA.
18 SLT vs ALT ARGON SLT Longueur d onde 512 nm 532 nm Fluence mj/cm² 600 mj/cm² Taille du spot 50 µm 400 µm Energie 300 à 1200 mw 0.2 à 1.5 mj Durée d impact 0.1 s 3ns
19 SLT vs ALT Efficacité équivalente (152 patients randomisés 1 an de suivi) Pas de différence en terme de complications Possibilité de retraitement avec SLT Br J Ophthalmol Jun;83(6): Selective laser trabeculoplasty v argon laser trabeculoplasty: a prospective randomised clinical trial. Damji KF, Shah KC, Rock WJ, Bains HS, Hodge WG. University Of Ottawa Eye Institute, Ottawa Hospital, Ottawa, Ontario, Canada.
20 RESULTATS Retraitement possible Efficacité dans 70% des cas à 1 an (variation de PIO de plus de 20%) J Glaucoma Mar;18(3): Repeat selective laser trabeculoplasty. Hong BK, Winer JC, Martone JF, Wand M, Altman B, Shields B. Yale University School of Medicine, New Haven, CT, USA.
21 INDICATIONS CELLES DE L ALT GPAO, G. Pigmentaire, G. Exfoliatif ALTERNATIVE AU TTT MEDICAL Intolérance aux collyres Difficultés d accès aux collyres Compliance douteuse AUTRES Echec ALT Complément de ttt médical, allègement de ttt
22 CONTRE INDICATIONS GLAUCOME PAR FERMETURE DE L ANGLE Glaucome néovasculaire Glaucome dysgénésique Glaucome congénital, juvénile Glaucome uvéitique
23 EN CONCLUSION Avantages SLT vs ALT Aucune modification de la structure Aucun effet sur la chirurgie Peut être répétée plusieurs fois Peu ou pas d effet secondaire! Alternative à la chirurgie Alternative collyre Effet «comparable à Prostaglandine» Code BENP 001 Tarif Sécurité Sociale 125,40 Honoraires demandés 125,40 Remboursement Sécu : de 107,40
24 MERCI POUR VOTRE ATTENTION
4 ème journée de la. Société Algérienne du Glaucome 2012. Dr A.ACHELI Pr O.Ouhadj Pr M.T.Nouri CHU Beni Messous
4 ème journée de la Société Algérienne du Glaucome 2012 Dr A.ACHELI Pr O.Ouhadj Pr M.T.Nouri CHU Beni Messous INTRODUCTION Glaucome et cataracte sont deux maladies oculaires distinctes mais sont fréquemment
Plus en détailLa Nouvelle Solution. Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages. Science. Results. Trust.
La Nouvelle Solution Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages Science. Results. Trust. La technologie de PicoWay TM aux pulses ultra-courts nécessite des énergies plus faibles et génère des résultats
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailLes lasers Risques et prévention
Les lasers Risques et prévention I Interaction laser tissu Effet Effet Effet Effet photoablatif mécanique photodynamique thermique II Risques Œil Peau Autres risques III Évaluation du risque laser Classes
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailLa plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation
La plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation Découvrez la plate-forme Xlase Plus La technologie laser est aujourd hui de plus en plus utilisée dans les traitements
Plus en détailOphtalmologie. Conférences scientifiques. Le traitement chirurgical de la cataracte et du glaucome coexistants
Ophtalmologie Conférences scientifiques MC MAI 2004 Volume 2, numéro 5 COMPTE RENDU DES CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES DU DÉPARTEMENT D OPHTALMOLOGIE ET DES SCIENCES DE LA VISION, FACULTÉ DE MÉDECINE, UNIVERSITÉ
Plus en détailSMARTXIDE SMARTXIDE2 DOT/RF DERMATOLOGIE ET MÉDECINE ESTHÉTIQUE
SMARTXIDE2 DOT/RF DERMATOLOGIE ET MÉDECINE ESTHÉTIQUE 2 SMARTXIDE CO2 et RF: Synergie de deux sources d énergie pour la Peau DOT Therapy Lifting Péri-oculaire Chirurgie Dermatologique Chirurgie Plastique
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailStraumann Emdogain AVANT QU IL NE SOIT TROP TARD
Straumann Emdogain AVANT QU IL NE SOIT TROP TARD PRÉSERVATION DES DENTS AVEC STRAUMANN EMDOGAIN Entre 5 et 15 % de la population souffre de parodontite sévère pouvant induire la perte de dents 1,2 Les
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailSMARTXIDE 2 SMARTXIDE 2 DOT/RF MÉDECINE ET ESTHÉTIQUE
SMARTXIDE 2 DOT/RF MÉDECINE ET ESTHÉTIQUE SMARTXIDE 2 Traitement DOT Lifting périoculaire Chirurgie dermatologique Chirurgie plastique et esthétique CO 2 et RF : Synergies indispensables pour le rajeunissement
Plus en détailAJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailLES LASERS EN DERMATOLOGIE
1 LES LASERS EN DERMATOLOGIE Dr Hervé VAN LANDUYT Dermatologue - Attaché au CHU St Jacques Adresse personnelle : 36 grande rue - 25000 Besançon Si la conception physique du laser est ancienne (Einstein),
Plus en détailLe BBL s. CFP Limoilou
Le BBL s Un choix éclairé! CFP Limoilou 12 octobre 2010 Critères res d excellenced Efficace et sécuritaire Rentabilité et Profit Expérience Meilleure balance sur le marché Efficacité Sécurité Filtres interchangeables
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailLasik Xtra: Résultats cliniques. Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France
Lasik Xtra: Résultats cliniques Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France Introduction Lasik Xtra : Lasik combiné à un cross-linking cornéen accéléré Traitement de
Plus en détailGuide d utilisation des LASER
Guide d utilisation des LASER Mai 2013 Mikael Leduc, département de génie physique Officier en Sécurité Laser Table des matières 1. Laser 1.1 Classes et dangers p.2 1.2 Exposition maximum permise p.3 2.
Plus en détailLA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte?
LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? Une intervention de routine En France, plus de 500 000 chirurgies de la cataracte sont réalisées chaque année. L intervention
Plus en détail2010 DJO - 00-0936-FR - Rev A
DJO France S.A.S Centre Européen de Fret 3 rue de Béthar 64990 Mouguerre FRANCE Tel: +33 (0)5 59 52 80 88 Fax: +33 (0)5 59 52 62 99 Email: physio@djoglobal.com www.djoglobal.fr a brand 2010 DJO - 00-0936-FR
Plus en détailNotes sur les technologies de la santé en émergence
Numéro 126 juillet 2014 Numéro 126 juillet 2014 Notes sur les technologies de la santé en émergence La chirurgie de la cataracte au laser femtoseconde Sommaire La chirurgie de la cataracte au laser femtoseconde
Plus en détailIris. Cornée. Pupille. Cristallin
FORMATION EN SÉCURITÉ DES LASERS Macula Rétine Iris Cornée Nerf optique Corps vitré Cristallin Pupille Formation Sécurité laser Section 1: Concepts de base 1 Système international (SI) d unitd unités Unité
Plus en détailLe Laser femtoseconde Quel avenir? Quel positionnement?
PROJET BIOMEDICAL Sujet Le Laser femtoseconde Quel avenir? Quel positionnement? BONNARD Maud GUERIN Mathilde Département Biomédical Promotion 2008 Abstract Introduction Les Principaux défauts de la vision
Plus en détailLEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE
ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes - Le glaucome chronique (240) Professeur Danièle Denis -Docteur Olivier Forzano Mai 2005
Maladies et Grands Syndromes - Le glaucome chronique (240) Professeur Danièle Denis -Docteur Olivier Forzano Mai 2005 1. Définitions et rappels : Le glaucome chronique est une neuropathie optique. Ainsi
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE
ETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE Abstract. It is first demonstrated how it is possible to calculate the amplification coefficient of a laser medium from the efficiency slopes
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailIR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure
IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur
Plus en détailCircuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance
Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite
Plus en détailP.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery. Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com
P.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com Groupe Pantec: 19 ans de tradition en ingénierie avec spécialisation en mécatronique
Plus en détailUTILISATION DU LASER INFRAROUGE EN OPHTALMOLOGIE VÉTÉRINAIRE USE OF INFRA-RED LASER IN VETERINARY OPHTHALMOLOGY
04_goulle_C2-Bastien 08/12/11 15:36 Page217 UTILISATION DU LASER INFRAROUGE EN OPHTALMOLOGIE VÉTÉRINAIRE USE OF INFRA-RED LASER IN VETERINARY OPHTHALMOLOGY Par Frédéric GOULLE (Communication présentée
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailTHÈME : LA SANTÉ - prévention et soin
STL-STI2D THÈME : LA SANTÉ - prévention et soin Tronc commun Physique-chimie Sommaire du parcours «Autour du laser» Fichier B- élève type d activité + titre Documents d approche thématique : Doc 1 : Frayeur
Plus en détailExposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels
Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Direction de la Santé - Division de la Santé au Travail SOMMAIRE [ p. 4 - p. 5 ] Introduction [ p. 6 - p. 7 ] Législation Obligations de l
Plus en détailPolissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées
Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailÉpilation LASER en Médecine et Chirurgie
Épilation LASER en Médecine et Chirurgie INTRODUCTION Les poils non désirés représentent un problème esthétique qui incommode et libère une certaine gêne pour qui en est pourvu. Une forme d'élimination
Plus en détailLa santé par la lumière Health by light
Health by light ventes Health by light Un mot du président Cher Client, Laboratoire LEDMA est une entreprise innovatrice, consciencieuse et soucieuse d offrir des produits de haute qualité. Nos produits
Plus en détailLes technologies laser pour l'imagerie active 3D embarquée et leur niveau de maturité
Atelier "Systèmes embarqués d'imagerie 3D par laser" 7 avril 2014, LAAS/CNRS, Toulouse Les technologies laser pour l'imagerie active 3D embarquée et leur niveau de maturité Pierre BOURDON, Laurent LOMBARD,
Plus en détailLaser Médicaux esthétiques Technologie Principales indications Protocoles. Congrès La Rochelle 2011 Philippe CADIC pcadic@gmail.
Laser Médicaux esthétiques Technologie Principales indications Protocoles Congrès La Rochelle 2011 Philippe CADIC pcadic@gmail.com Conflit d intérêt Pas de conflit d intérêt significatif pour cette présentation
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailProcédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles. 2.1.003 Version
Numéro de PNF: Remplace: Objet: Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles 2.1.003 Version Demande d informations additionnelles Date d entrée en vigueur Catégorie
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailIPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente
IPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente M o d e d ' e m p l o i La dernière version de cette brochure est disponible sur notre site www.ophethom.com dans l espace professionnel Traduction
Plus en détailEmmanuel.rousseau@institutoptique.fr
E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr
Plus en détailmedical vision group
medical vision group «Nos clients et partenaires sont pour nous des êtres humains, avec leurs attentes, concrètes et professionnelles, et leurs sentiments. Aller à leur rencontre est notre force.» medicalvision
Plus en détailINTERET D UN LASER CHIRURGICAL EN CLIENTELE CANINE
ÉCOLE NATIONALE VETERINAIRE D ALFORT Année 2010 INTERET D UN LASER CHIRURGICAL EN CLIENTELE CANINE THESE Pour le DOCTORAT VETERINAIRE Présentée et soutenue publiquement devant LA FACULTE DE MEDECINE DE
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : theses.sante@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailLaserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS)
Laserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS) Programme de certificat d'aptitude technique du 1 er janvier 2001 2 Texte d'accompagnement concernant le programme de formation pour le certificat
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLes impulsions laser sont passées en quarante ans de la
Toujours plus court : des impulsions lumineuses attosecondes Les impulsions laser «femtoseconde» sont devenues routinières dans de nombreux domaines de la physique. Elles sont exploitées en particulier
Plus en détailAprès votre chirurgie à la rétine
2011 Après votre chirurgie à la rétine Le Eye Care Centre Veuillez apporter la présente brochure à l hôpital le jour de votre opération. Après votre chirurgie à la rétine Après la chirurgie...2 Injection
Plus en détailFull Professor or Associate Professor of Ophthalmology, Head Physician Head of the Anterior Segment Service for the Jules Gonin Eye Hospital
The Faculty of Biology and Medicine of the University of Lausanne, Switzerland, the Lausanne University Hospital (CHUV) and the Jules-Gonin Eye Hospital invite applications for a position of: Full Professor
Plus en détailAstigmatisme et micro-incision
10 119 P. LEVY Clinique Saint-Roch, MONTPELLIER. levy.34@free.fr L e temps où la préoccupation principale, voire unique, du chirurgien était l ablation du cristallin est révolu. Le concept de chirurgie
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailLes lasers. Risques et prévention. Annule et remplace la version précédente (ND 1607) publiée en 1986. laser rayonnement VLE classification
Synthèse I ND 2093-173-98 445 G. Hée ( 1 ), I. Balty ( 1 ), A. Mayer ( 2 ) avec le concours de D. Courant ( 3 ) et M. Lièvre ( 4 ) ( 1 ) INRS Paris ( 2 ) INRS Nancy ( 3 ) CEA Fontenay-aux-Roses ( 4 ) Laboratoire
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailFigure 1 Différents éléments influençant les mesures de seuil réalisées en champ visuel
LE CHAMP VISUEL DU SUJET NORMAL INFLUENCE DES METHODES D'EVALUATION Jacques CHARLIER U279 INSERM, LILLE INTRODUCTION La connaissance du champ visuel du sujet normal, de ses variations intra et interindividuelles
Plus en détailCURRICULUM VITAE DIPLOMA. Name: BENCHAOU. First name: Mimoun. Date of birth: 1st May 1966. Nationality: Moroccan, French and Swiss
CURRICULUM VITAE Name: BENCHAOU First name: Mimoun Date of birth: 1st May 1966 Nationality: Moroccan, French and Swiss Languages: spoken and written French, English, German and Arabic Marital status: single
Plus en détailBIEN santé re- gar- aire icit L ub P ctère der cara L à ctue ontra c non Document 704 13 10 t - 10 11/
santé BIEN regarder LES BONNES La consultation d un professionnel de santé pour les soins optiques n entre pas dans le cadre du parcours de soins. Vous pouvez donc contacter directement un ophtalmologiste
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailMicroscopie Multiphotonique
Microscopie Multiphotonique Philippe Guillaud 2014 Université Pierre et Marie Curie Paris 6 Principaux problèmes rencontrés en microscopie confocale La dégradation rapide des échantillons biologiques et
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailLa malvoyance d un instant n est pas celle d une vie
La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou
Plus en détail01 CONCEPT 02 DETAILS 03 OPTIQUES 04 PUISSANCES 05 DONNEES TECHNIQUE CLOUD
01 CONCEPT 02 DETAILS 03 OPTIQUES 04 PUISSANCES 05 DONNEES TECHNIQUE CLOUD PROJECTEUR EXTRACTIBLE À DE DERNIÈRE GÉNÉRATION Le design particulier est ce qui distingue principalement CLOUD. En créant une
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailVotre santé visuelle :
Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Droit d auteur 2007, INCA ISBN 978-0-921122-27-6 Titre : Votre santé visuelle
Plus en détailJournées. www.cpro.ca. Les 23 et 24 mai 2015 SHERATON LAVAL. 2440, Autoroute des Laurentides Laval (Québec) H7T 1X5
2015 Journées OPTOMÉTRIQUES Les 23 et 24 mai 2015 SHERATON LAVAL 2440, Autoroute des Laurentides Laval (Québec) H7T 1X5 Centre de perfectionnement et de référence en optométrie www.cpro.ca BIENVENUE CHANGEMENT
Plus en détailOrthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS
rthèse Narval.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAS Traitement du SAS par orthèse Narval.R.M. Entre 19 et 27% 1-2 des patients apnéiques traités par pression positive continue
Plus en détailRayonnements optiques artificiels
Rayonnements optiques artificiels SPF Emploi, Travail et Concertation sociale La rédaction de cette brochure a été achevée le 1 avril 2011. Deze brochure is ook verkrijgbaar in het Nederlands. Rédaction:
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLa physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique
La physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique Ahmed Meghzifene Chef de la Section Dosimétrie et Physique Médicale, Division de la Santé Humaine, Dept
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailSOMMAIRE 1 PANORAMA DU PAYS...
Page 9 SOMMAIRE 1 PANORAMA DU PAYS... 11 1.1 UNE ÉCONOMIE PERFORMANTE...11 Le PIB...11 Les investissements directs étrangers (I.D.E.)...11 Les finances publiques...12 La fiscalité Charges sociales...12
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailConsidérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil
Annexe I Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil NORME EN 60825-1 (C 43-805) DE JUILLET 1994 - CONSIDERATIONS
Plus en détailRELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS
L A S É C UR I T É RELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS L A S É C UR I T É RELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS LA SÉCURITÉ RELIÉE AUX LASERS Conception et rédaction Marie-Josée Ross, ing. Conception graphique,
Plus en détailLes applications thérapeutiques des lasers
Les applications thérapeutiques des lasers J.M. Brunetaud, B. Decomps, J.C. Griesemann To cite this version: J.M. Brunetaud, B. Decomps, J.C. Griesemann. Les applications thérapeutiques des lasers. Revue
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailRISQUES BIOLOGIQUES DUS AUX LASERS
RISQUES BIOLOGIQUES DUS AUX LASERS RISQUES BIOLOGIQUES DUS AUX LASERS par Pascale CAILLARD Médecin du travail APSMT 3, rue Michel Bégon 41018 BLOIS CEDEX par la CRAM DU CENTRE OFFERT GRACIEUSEMENT SOMMAIRE
Plus en détailune centrale ou organe de commande des détecteurs des dispositifs de signalisation d alarme (sirène, alarme lumineuse)
L ANTI-INTRUSION Comment assurer la sécurité des biens et des personnes? Définitions La détection intrusion a pour finalité principale la détection de personnes qui forcent ou tentent de forcer les protections
Plus en détailLES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43
LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailNouvelles techniques d imagerie laser
Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la
Plus en détailComment AXA adapte ses processus pour répondre aux attentes de ses clients
Comment AXA adapte ses processus pour répondre aux attentes de ses clients Henri Vidalinc 23 juin 2006 Suduiraut - H. Vidalinc 23/06/2006-1 Sommaire AXA Way nous permet d offrir une excellente qualité
Plus en détailOCT et MYOPIE. Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes
OCT et MYOPIE Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes OCT & Myopie «OCT has had the largest clinical impact in ophthalmology.» Fujimoto, 2001. «OCT has
Plus en détailChapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires
Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires 25 Lechapitreprécédent avait pour objet l étude decircuitsrésistifsalimentéspar dessourcesde tension ou de courant continues. Par
Plus en détailTRAITEMENTS PAR LASERS ET LUMIÈRE PULSÉE
TRITEMENTS PR LSERS ET LUMIÈRE PULSÉE P. PQUET (1), C. PIÉRRD-FRNCHIMONT (2), F. HENRY (3), V. GOFFIN (4), C. LETWE (3), G.E. PIÉRRD (5) RÉSUMÉ : Nombreux sont les types de lasers qui peuvent exercer des
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détail