Utilisation de données. Formation pour aborder l utilisation de données au niveau du territoire communal (Liège) 24/01/2013
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- Micheline Bellefleur
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1 Utilisation de données D. Favresse Formation pour aborder l utilisation de données au niveau du territoire communal (Liège) 24/01/2013
2 Données?
3 Données = connaissances produites selon des méthodes scientifiquement rigoureuses Pas «données» mais des construits (résultat d une démarche scientifique) Pas une méthode mais des méthodes càd selon un choix qui va donner un éclairage sur la réalité observée pendant que d autres facettes restent dans l ombre («Van Campenhoudt L. & al., 2005»)
4 Approche quantitative et qualitative?
5 Distinction Dans l étude des phénomènes humains (comportements, croyances, rapport à soi, etc.), une donnée n est pas, en soi, quantitative ou qualitative. C est son traitement qui est: - soit quantitatif (approche par les variables) - soit qualitatif (approche par les cas)
6 Choix d une approche ou de l autre (combinaison des 2) dépend de la problématique étudiée, des objectifs de recherche (identifier des priorités de santé, comprendre la gestion personnelle d une maladie, etc.) et de la population étudiée: objet d étude: étude de cas particuliers sur base de leur caractère exemplaire (exemplarité des cas) objet d étude: étude de variables isolées sur base de leur caractère représentatif (représentativité de la population)
7 Types de problématiques quantitatives: recherche de causalité, quantifier des conduites, identifier des groupes à risque, évaluer les résultats d un programme d action, etc. Idée de mesurer la réalité Types de problématiques qualitatives: recherche des freins et des facilitateurs d un comportement de santé, évaluer la mise en place d un programme d action, comprendre l itinéraire de vie d un groupe spécifique, comprendre le sens d une conduite, représentations d une notion, etc. Idée de comprendre la réalité
8 Postulats fondamentaux dans l approche des comportements humains Société est un espace structuré de positions (inégalités (différences) sociales): approche quantitative (homme/femme, niveau d instruction, âge, etc.) Homogénéité des groupes sociaux Société comme ensemble de significations subjectives (valeurs, croyances, normes, représentations, etc.): approche qualitative Hétérogénéité des groupes sociaux
9 Usages de cannabis (2010) 45% 40% 35% 30% ans ans ans 25% 20% 15% 10% 5% 0% Cannabis (1X/vie) Cannabis (1X/an) Cannabis (1X/mois) Cannabis (20X/mois)
10 Représentations fondamentales de l individu dans l approche des comportements humains Individu comme porteur de caractéristiques socialement déterminées: approche par questionnaire Individu en tant qu appropriation singulière d un univers social (être pensant): approche par entretien
11 2 manières de raisonner Approche quantitative: démarche hypothético-déductive Approche qualitative: démarche inductive et déductive Exemples: -la catégorisation dans un questionnaire précède généralement l enquête alors que dans une approche par entretiens, la catégorisation s effectue essentiellement pendant et après l enquête -la détermination: mise en exergue d un lien de causalité entre des caractéristiques et un comportement (quantitative) et compréhension des étapes du processus qui conduisent à l apparition d un comportement (qualitatif)
12 Distinction à ne pas exagérer Option de méthode plus qu une opposition entre deux méthodes (un même objet peut s étudier selon l une ou l autre) Complémentarité des 2 approches qui ont chacune leurs limites: -représentative de l ensemble de la population vs représentative des vécus individuels -quelque soit l approche choisie, la complexité de la réalité n est jamais abordée dans sa totalité, il subsiste toujours une part d ombre (connaissance en perpétuelle évolution)
13 Distinction à ne pas exagérer -enrichissement mutuel des 2 approches Exemple: approche quantitative plus adéquate pour mesurer l impact d un programme d action et l approche qualitative plus adéquate pour évaluer le processus de mise en place d un programme d action. Chaque approche renforce la capacité de porter un regard critique sur l autre approche. L approche qualitative permet de dépasser le caractère «froid» des données quantitatives en inscrivant les informations collectées dans des systèmes de valeurs et de normes qui leur donnent sens.
14 Exemples: En semaine, 15% des jeunes de ans regardent la télévision au moins 4 heures par jour. L adolescence est une période de crise.
15 Distinction à ne pas exagérer Combinaison des 2 méthodes (vision plus globale) Exemples: entretiens exploratoires dans élaboration questionnaire, validation d une théorie par questionnaire, analyse conceptuelle, articulation des 2 dans une même recherche, revue de littérature Coexistence de 2 méthodes et «valorisation» d une méthode selon le contexte Comparaison est un principe méthodologique des deux approches
16 Relativité de la connaissance scientifique - connaissance en perpétuelle évolution - ne permet pas d aborder toute la complexité d une problématique (part d ombre) - sciences humaines se rapportent à des êtres pensants qui évoluent et transforment leur environnement
17 Avant d utiliser des données, il faut en interroger la «qualité».
18 Exemple Enquête CRIOC 2009 (alcool)
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24 Association (RC) alcool et âge ans ans ans 8,3 8,5 10,7 1,0 2,5 3,0 1,0 4,2 3,1 3,3 1,0 4,6 1,0 4,6 4,7 5,2 1,0 1,0 Essai >=5verres (>=3X/der. mois) Hebdomadaire Ivre>1X >7verres/sem. >2 verres/jour
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26 16,0% 14,0% 12,0% 10,0% 8,0% 6,0% 4,0% 2,0% 0,0% > 7 verres/semaine (13-18 ans) Liège Brabant Hainaut Namur Luxembourg Bruxelles
27 Binge drinking ( 5V) 2X/dern. mois ans 45,0% 40,0% 35,0% 30,0% 25,0% 20,0% 15,0% 10,0% 5,0% 0,0% Bruxelles Hainaut Brabant Liège Namur Luxembourg
28 Ce qu il est bon à savoir lorsqu on utilise des données? le temps et l espace
29 Evolution consommation psychotropes ans Essai tabac Alcool hebdo Tabac quotidien >7V alc./sem Cannabis hebdo XTC/mois 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0%
30 Consommations de psychotropes par province en 2006 chez les ans 70,0% 60,0% 50,0% 40,0% 30,0% 20,0% Bruxelles Brabant Hainaut Liège Luxembourg Namur 10,0% 0,0% Essai tabac Alcool hebdo Abus TV Tabac quotidien >7V alc./sem Cannabis hebdo Ecstasie dans mois
31 Majorité des comportements humains évolue lentement dans le temps âge médian du 1 er rapport sexuel: Filles: 20,0 ans et garçons: 19,0 ans (1950) Filles: 18,4 ans et garçons: 17,9 ans (1970) Filles: 18,0 ans et garçons: 17,4 ans (1993) S il y a des divergences géographiques, elles restent habituellement dans des proportions similaires
32 Données et actions
33 Données et Actions Si toute donnée ne s applique pas directement à la pratique, il existe aussi de multiples entrecroisements entre la recherche et l action (recherche-action, recherche sur public d intervention, évaluation de pratiques, etc.). Les données ne vont jamais vous dire comment travailler. Elles vont vous servir de jalons, de balises pour vous aider à structurer, élaborer et réorienter vos interventions mais en aucun cas elles ne constituent une réponse miracle à la pratique. Il n y a pas une manière univoque d utiliser des données, un mode d emploi unique qui permettrait de traduire de manière standardisée des résultats en actions mais de multiples manières de les utiliser.
34 Utilisation courante des données dans les projets santé pour: - légitimer les actions - construire les actions - évaluer les actions analyse de situation programme d action évaluation Données Actions (praticien-chercheur) Inscription du projet d intervention dans la continuité des connaissances «scientifiques» existantes
35 Consulter les données existantes Phase d exploration en vue de prendre en considération les aspects auxquels l intervenant n a pas pensé (ampleur de la problématique, publics prioritaires, contexte d usage, actions pertinentes, etc.) Ce qu il faut éviter lorsqu on utilise des données pour construire ces interventions «La gloutonnerie livresque ou statistique consiste à se «bourrer le crâne» d une grande quantité de livres, d articles ou de données chiffrées en espérant y trouver, au détour d un paragraphe ou d une courbe, la lumière qui permettra de préciser enfin correctement et de manière satisfaisante l objectif et le thème du travail que l on souhaite effectuer. Cette attitude conduit immanquablement au découragement, car l abondance d informations mal intégrées finit par embrouiller les idées» (Quivy & Van Campenhoudt, 1995).
36 Conseil «ce n est pas en forant n importe où que le chercheur de pétrole trouvera ce qu il recherche» (Quivy et Van Campenhoudt) Définir un pré-projet à prétester: Le problème D où provient l idée? Sur quels constats repose cette idée? Sur quelle problématique voulons-nous intervenir? Quels sont les publics concernés par la problématique et leurs caractéristiques? La solution Quels résultats poursuivons-nous dans notre projet? Quelle est la finalité de nos actions? Vers quoi voulons-nous aller? Quelles sont les solutions qui sont a priori envisagées pour régler le problème?
37 Le destinataire A qui s adresse le projet? A destination de qui comptons-nous intervenir? Sur quelle zone géographique, sur quel secteur de vie, sur quel milieu de vie comptons-nous intervenir? Les moyens Avec quels moyens? Avec quelles ressources? Avec qui voulonsnous mener le projet? Critères de qualité de la définition du «pré-projet»: la clarté (précis et concis), la faisabilité (possible à réaliser), la pertinence (raison d être) Le pré-projet permet de délimiter le champ d investigation de la consultation (ou collecte) des données
38 Sélection réfléchie de la littérature Privilégier des documents ou outils de synthèse récents. Ils ont été élaborés sur base d une multitude d autres documents ou outils (articles, rapport de recherche, manuels, guides méthodologiques, etc.) et permettent d éviter les répétitions inhérentes à une consultation dite «exhaustive». Ils contiennent également des pistes pertinentes pour approfondir, le cas échéant, un angle d approche de la problématique. Sélectionner des documents ou outils qui comportent des éléments d analyse et des pistes d action. La finalité de l utilisation des données étant de réfléchir et prendre distance par rapport à l action, alors autant se diriger directement vers des documents et outils qui vous permettent d atteindre directement cette finalité.
39 Recueillir des documents qui présentent une diversité d approche d une même problématique. Ils sont une garantie d approcher plus globalement la problématique et d identifier des aspects auxquels vous n avez pas du tout pensé dans votre préprojet. Validation des données si stabilisation des résultats en s appuyant sur sources, sur méthodes de collecte, disciplines (convergence, cohérence issue de la diversité) «Une même relation statistique peut faire l objet de plusieurs interprétations souvent très différentes qui n ont pas les mêmes implications en termes de prévention» (Leigh, 1999)
40 Complétée (cas échéant) entretiens semi-directifs Pour compléter les zones d ombre qui subsistent (connaissance partielle du terrain d action, ignorance des attentes des destinataires du projet, possibilités de mobiliser des partenaires, etc.), des entretiens auprès d experts (chercheurs, praticiens expérimentés, etc.) de témoins privilégiés (éducateurs, enseignants, etc.) et des bénéficiaires du projet s avèrent souvent nécessaires.
41 Produire des données pour construire ou affiner les actions Une multitude de «données» est produite dans les projets sans être considérées comme telles (prétest d un outil, démarche participative et constructiviste d un projet, journée d étude, etc.), exploitez ces données pour développer vos actions. Prévoyez des traces pour analyser la dynamique d action (collecte d informations en continu, PV analytique, évaluation régulière du travail, etc.).
42 Produire des données pour construire les actions question de rigueur méthodologique dans la récolte et l analyse des données -Nécessité d évaluer ses compétences pour produire des données de qualité (techniques de collecte, méthodes d analyse, etc.) -Nécessité d évaluer ses capacités à modifier ses pratiques (liberté d action, capacité d autocritique, etc.)
43 Exemples Un des principes du questionnaire est de veiller à ce que les répondants interprètent, comprennent les questions de la même façon. Lorsque votre enfant est malade, vous rendez-vous chez le médecin? Oui-Non Cette question, apparemment simple, est mal formulée. Le mot " malade " est imprécis. Pour certains parents, si l enfant a un rhume, il est malade alors que pour d autres il doit avoir en plus de la fièvre. Ensuite, que répondre si la personne ne va pas chaque fois chez le médecin? Certains diront " oui ", d autres " non ". Enfin, certains de peur d être considérés comme de mauvais parents s ils répondent " non " vont préférer dire " oui ".
44 Une des difficultés fréquentes est de savoir comment analyser la masse d informations produites dans les entretiens qualitatifs -Démarche inductive d analyse de contenu (recherche d analogies, idéal-type, analyse structurale, etc.) -Démarche déductive (grille d analyse, modèle théorique, etc.)
45 Ne pas travailler seul Pas une bonne ou une mauvaise méthode (outil) Soyez créatif dans vos manières de collecter les données
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