Espèces invasives non présentes, quelles sont les possibilités?
|
|
- Sophie Lambert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les espèces invasives un casse tête environnemental Dans votre jardin, le long de nos routes Vous en croisez tous les jours sans même vous en rendre compte. Les espèces invasives ou espèces exotiques envahissantes continuent de coloniser notre territoire belge. Avec 43 espèces placées sur la liste noire (ennemis numéro 1 du pays) beaucoup d efforts sont encore à fournir. La bernache du Canada, la renouée du Japon ne sont pas les seules à vouloir s implanter dans le paysage belge. De nouvelles espèces invasives ont été détectées sur notre territoire. «Dans les nouvelles espèces récentes, il y a le gobie à taches noires (espèce de poisson d Europe centrale) détecté en Wallonie cette année. Ensuite le moustique japonais et le chien viverrin (échappé des élevages de fourrure dans les pays de l Est)» nous cite Etienne Branquart, responsable de la Cellule interdépartementale sur les Espèces invasives à l'administration wallonne. Ces espèces sont étroitement surveillées mais pour tenter de s en défaire le défit ne fait que commencer. Espèces invasives non présentes, quelles sont les possibilités? Pour lutter contre les espèces invasives, «il y a trois étapes» nous informe Etienne. «La première, c est la prévention, pour éviter que l espèce soit introduite. C est le plus efficace. Le challenge c est de déterminer si elle est à risque ou non. Et il y a deux façons d identifier les espèces à problème. Le plus simple, ce sont les histoires d invasion ailleurs. Si une espèce est invasive dans un pays aux conditions semblables à la Belgique. Alors si elle est introduite chez nous, le risque est majeur. La priorité c est donc de recenser tous les cas d invasion et d utiliser ça A savoir La Commission Européenne prépare actuellement un instrument juridique sur les espèces invasives. Il y a plus d espèces invasives dans les milieux perturbés par l homme que dans les milieux «naturels». Nous avons commencé à échanger les espèces à l échelle des continents lors de la découverte de l Amérique par Christophe Colomb en Source : Etienne Branquart. comme base de réflexion. Cela se fait grâce au projet Harmonia basé sur le protocole ISEIA. C est un outil standardisé et transparent qui permet de calculer «le niveau de dangerosité» d une espèce invasive. Mais aussi de les recenser en différentes listes» ajoute Etienne. «L autre approche c est de regarder les caractéristiques écologiques de l espèce. Parfois, sur cette base, on peut supposer qu une espèce est à risque.» «Pour lutter contre ces espèces encore peu répandues, on va utiliser la liste noire. C est la priorité car elles sont très dommageables. Pour elles, on peut mettre une règlementation
2 assez stricte : en limiter le commerce et l importation. Mais c est une entrave au libre échange. Et donc, pour pouvoir prendre une réglementation aussi dure, on doit avoir une analyse de risque détaillée. Cette analyse doit prouver que le risque est établi et que le fait d interdire l importation de cette espèce est une mesure raisonnable.» explique Etienne Branquart. Espèces invasives présentes, que faire? «La deuxième étape si on n a pas pu éviter l introduction» dit Etienne, «c est de la détecter précocement et de l éradiquer. Comme par exemple le moustique japonais ou le ragondin introduit en Angleterre et éradiqué en quelques années.» «La troisième étape c est lorsque les populations sont déjà trop largement répandues. Alors, nous ne savons plus faire grand- chose.» affirme- t- il. Ceci est également confirmé par Sonia Vanderhoeven, Docteur à la Plateforme Belge de la Biodiversité. «Nous n avons pas des solutions pour toutes les espèces invasives.» nous avoue- t- elle. «Il y a beaucoup d espèces que nous ne savons pas comment gérer. Par exemple pour la renouée du Japon. C est une espèce qui se trouve un peu partout. Mais nous n avons pas de solution pour en venir à bout. Quand on essaye d agir, il suffit qu il reste un petit fragment de la plante et on la dissémine un peu plus loin. Dans certains cas on doit dire aux gens qui veulent s en débarrasser: «ne faites rien». Et c est assez frustrant.» nous confie- t- elle. Et en ce qui concerne l interdiction d importation ou de vente «ça n a plus vraiment de sens» selon Etienne Branquart. «Parce que l espèce se disperse essentiellement à partir des populations établies et non pas des nouvelles importations. Donc la seule chose qu il est possible de faire c est éviter de la propager plus encore. Nous pouvons prendre des mesures au niveau des déchets verts, interdire le transport des terres où une espèce invasive est implantée ou mettre en place des codes de conduite. Comme AlterIAS, par exemple. C est une charte principalement à destination des horticulteurs. En y adhérant, ils s engagent à ne plus produire et commercialiser des espèces invasives déjà présentes en Belgique.» Tout comme Bruno Jurdant, le propriétaire d AquaProduction. Le plus grand producteur de plantes aquatiques en Belgique. «J ai décidé d y adhérer et de retirer les plantes invasives de tout mon catalogue. Parce que je me rends compte du tort que cela fait à la nature. Particulièrement quand elles prennent le dessus sur la faune et la flore locales. Donc, pourquoi aller à contre courant des choses qui sont à faire? C est du bon sens avant tout.»
3 Restera ou restera pas? «L homme a donc «En ce qui concerne une part de l implantation des espèces sur notre territoire, c est vraiment du cas par cas.» affirme Sonia. responsabilité» «Certaines se retrouvent avec des capacités de dispersion importantes. Ou alors, elles vont s étendre car elles n ont plus de prédateur dans le nouveau milieu d introduction. D autres encore peuvent s adapter à leur nouvel environnement et aux nouvelles conditions climatiques. Et puis l homme peut aussi favoriser cette installation. Par exemple pour les espèces ornementales, le fait de chouchouter une plante lui permet d atteindre un certain stade de développement. Cela favorise leur installation. L homme a donc une part de responsabilité.» Introduction des espèces invasives, une faute humaine Pour pouvoir agir efficacement, il faut savoir comment les espèces se sont introduites sur notre territoire. «Il y a deux grandes classifications d introduction» affirme Sonia. «Très souvent, l homme les introduit volontairement. Pour les plantes, se sont souvent des espèces ornementales, médicinales». Etienne Branquart rajoute même que «les plantes invasives sont à 90% des espèces amenées pour l horticulture et le jardinage». «Et, pour les animaux, ce sont parfois des espèces introduites pour faire de la lutte bio. Comme la coccinelle asiatique que tout le monde connait. Ou encore des animaux de compagnie qui sont relâchés dans la nature» continue Sonia. «Il y a aussi des introductions involontaires liées à l ère de globalisation. Il y a de plus en plus d échanges à grande distance. Donc l homme voyage de plus en plus et dans ses bagages se trouvent parfois des graines, des animaux vivants... C est le cas notamment dans ce qu on appelle les eaux de ballaste (l eau emprisonnée dans les bateaux déversée une fois arrivée à destination). Dès qu il y a échange, mouvement, voyage, il y a potentiellement la possibilité d introduire des espèces.» Comme par exemple «les moustiques importés avec les vieux pneus» illustre Etienne. Pour se débarrasser de ces espèces introduites involontairement «on doit travailler non seulement sur l espèce mais aussi sur les modes d introduction. Pour les moustiques, travailler en coopération avec les importateurs de pneus.» Un danger à tous les niveaux Quelques dates à retenir La coccinelle asiatique a été introduite dans les années 2000 pour le bio. Les espèces invasives sont devenues une préoccupation belge grâce au Colloque SOS Invasion mené en Le projet Harmonia, basé sur ISEIA, permet de classer les espèces invasives en degré de «dangerosité». Il a été mis en place en Le projet AlterIAS a été instauré en Source : Etienne Branquart.
4 Les espèces invasives peuvent entrainer des problèmes importants dans trois grandes catégories de la vie humaine : l environnement, la santé et les aspects socio- économiques. C est la raison pour laquelle, la lutte contre ces espèces est essentielle. Les invasives peuvent «créer des dommages importants sur l écosystème» affirme Etienne Branquart. «Certaines espèces sont capables d en modifier complètement le fonctionnement» affirme Sonia. «D autres dommages s exercent sur les espèces grâce à différents mécanismes. «Le premier c est la prédation». Sonia Vanderhoeven l explique «ce sont les espèces exotiques qui consomment des espèces indigènes». «Ensuite il y a la compétition entre les espèces.» reprend Etienne. «Comme la renouée du Japon par exemple qui tente d étouffer tout le reste». «Le dernier mécanisme c est l hybridation. Certaines espèces sont capables de se reproduire avec d autres espèces indigènes» ajoute Sonia. Les espèces invasives ne sont pas juste une menace pour notre biodiversité. Elles ont aussi des conséquences sur la santé humaine et animale. «Certaines espèces introduites véhiculent des maladies. Comme par exemple la berce du Caucase. Elle cause des brûlures en lien avec l exposition au soleil. Il y a aussi l ambroisie à feuilles d armoise. C est une espèce très allergisante. Elle cause des problèmes respiratoires.» affirme Sonia. Les espèces invasives ont aussi des impacts sur notre économie. D abord «les frais de santé liés aux espèces invasives. Ensuite, les coûts de gestion ou d éradication des espèces». Mais il y en a également qui se développent au point d abîmer des infrastructures. Comme les moules zébrées qui bouchent les tuyaux des centrales nucléaires.» Attention au racisme! «C est vrai que certaines espèces invasives sont parfois très dommageables» affirme Etienne. «Mais il ne faut pas jeter le discrédit sur toutes les espèces exotiques. Certaines peuvent avoir des impacts dans un milieu et dans un autre pas du tout. Tout n est pas blanc ou noir. Il faut donc éviter d avoir une attitude un peu «raciste» envers elles.» En conclusion, les invasives sont comme les personnes, nous ne devons pas toutes les mettre dans le même panier.
5 Interview En ce qui concerne la lutte, Guy Hendrickx, directeur de la société Avia- GIS, est au premier plan. Il travaille sur l éradication du moustique japonais apparu à Natoye dans la commune d Hamois. Comment ce moustique «La clé quand on veut s est il introduit sur note territoire? lutter contre un insecte «Il est régulièrement c est de trouver sa introduit à travers le commerce de pneus de rechange. faiblesse» On l a découvert en Belgique au début des années Mais c est plus tard, vers 2004, qu il a été confirmé officiellement. Il a déjà envahi beaucoup de pays. Chez nous il a réussi à s établir à Natoye dans la commune d Hamois. Il a pu se développer grâce aux œufs qui ont réussi à passer l hiver. C est une espèce adaptée à notre environnement. Car il est habitué au climat tempéré du Japon qui est plus ou moins semblable au notre.» Comment éliminer cette espèce? La clé quand on veut lutter contre un insecte c est de trouver sa faiblesse. Ici, chez ce moustique c est la femelle ayant besoin de surface d eau pour pondre. Il suffit donc d éliminer toutes les zones où il y a de l eau à ciel ouvert. Mais ca n est pas possible. On a donc collaboré avec les villageois et la commune pour tenter d en enlever un maximum. Mais quand il restait une surface d eau on vérifiait si des larves de moustique y étaient. Si c était le cas, on traitait avec un produit biologique. C est une bactérie qui produit une toxine. Cette toxine va tuer uniquement les larves du moustique japonais. C est très spécifique. Il n y aura presque aucun autre insecte qui sera touché. On a aussi amélioré le système de stockage des pneus chez les importateurs.»
6 Est- ce que c est possible de l éradiquer complètement? Et avec quel budget? «Dans ce cas ci ça doit être possible car la population reste limitée. C est notre projet pour 2013 en tout cas. Pour se faire, on a environ 60 milles euros cette année.» Quels sont les risques pour la santé humaine? «C est un moustique qui peut transmettre des virus tropicaux. Mais comme il est de sang froid, sa température est la même que celle de l environnement extérieur. C est donc impossible pour les virus de se développer. Mais on ne sait jamais ce qu il peut se passer. Une mutation d un virus qui le rende plus résistant aux températures, par exemple. Même si pour l instant avec ce moustique japonais, il n y a pas encore en Europe de cas de transmission de maladies. Il vaut mieux appliquer le principe de précaution.» Quels sont les impacts sur l environnement possible? «Il a été démontré qu il y avait compétition entre les différents types de moustiques. Lors des tests, ce moustique à tendance à dominer les autres. Parce qu il est peut être un peu plus rapide, plus grand. Et cette petite différence peut faire une grande différence. Mais ce n est pas encore le cas chez nous.» Marie Roquiny
7
After LIFE. Plan de Communication. LIFE + Information & Communication Projet AlterIAS. ALTERnatives to Invasive Alien Species 2014-2018
LIFE + Information & Communication Projet AlterIAS ALTERnatives to Invasive Alien Species Plan de Communication After LIFE 2014-2018 Disséminer l information dans le futur... LIFE08 INF/B/000052 Décembre
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailSAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...
SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps
Plus en détailBienvenue sur la planète des insectes!
Bienvenue sur la planète des insectes! Les Entomonautes c/o Youssef Guennoun 49 bis rue du Borrégo 75020 Paris entomonautes(at)gmail.com Des milliards de petites bêtes Les insectes constituent 75 % de
Plus en détailIndice de Confiance agricole Crelan 2015
Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Résultats marquants La confiance des agriculteurs est à la baisse en Belgique et surtout dans le secteur laitier L appréciation du résultat financier recule en
Plus en détailLes pistes civiles, communautaires et internationales pour la réparation des dommages écologiques consécutifs à une marée noire
Les pistes civiles, communautaires et internationales pour la réparation des dommages écologiques consécutifs à une marée noire Elisabeth TERZIC CDES STRASBOURG 03 décembre 2008 L exclusivité de la Convention
Plus en détailArchivistes en herbe!
Les archives c est quoi? Un archiviste travaille avec des archives. Oui, mais les archives c est quoi? As-tu déjà entendu ce mot? D après toi, qu est-ce qu une archive? 1. Les archives ce sont des documents
Plus en détailPUNAISES DE LIT. prévention et intervention
PUNAISES DE LIT prévention et intervention À quoi ressemble la punaise de lit? La punaise de lit, aussi appelée punaise, est un insecte brunâtre visible à l œil nu qui mesure de 4 à 7 millimètres. Elle
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailPneus usés Comment y voir clair! Quelques règles simples pour une gestion responsable des pneus usés sur votre point de collecte
Pneus usés Comment y voir clair! Quelques règles simples pour une gestion responsable des pneus usés sur votre point de collecte Cette brochure est destinée aux professionnels du secteur du pneumatique
Plus en détailEnquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques
Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,
Plus en détailRéception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture
Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières Discours d ouverture Andrew J. Kriegler Président et chef de la direction Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 25
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailQui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires.
Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Tous les êtres vivants ont besoin d énergie pour vivre,
Plus en détailRESPONSABILITÉ, SANCTION Introduction: Être responsable de ses actes ET ASSURANCE. Il existe deux types de responsabilité
Introduction: Être responsable de ses actes Vivre en société exige l existence et le respect de règles visant à garantir la liberté des individus qui la composent, 2 mais aussi à les protéger sur les plans
Plus en détailLe nouveau Code forestier
Aimer la forêt, c est la préparer aux défis du XXI ème siècle. Le nouveau Code forestier Découvrez ce qui se cache derrière. 1. Le nouveau Code forestier : pourquoi et comment? p5 2. Une nouvelle ambition
Plus en détailLes moyens les plus efficaces et sécuritaires pour prévenir et gérer une infestation de punaises de lit
Les moyens les plus efficaces et sécuritaires pour prévenir et gérer une infestation de punaises de lit Geneviève Hamelin Direction de santé publique Adrien Sansregret Office municipal d habitation de
Plus en détailGROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS. Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07.
GROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07.2007/Uniagro Sommaire ORGANISATION DU GROUPE CASINO LES PRODUITS «TERRE ET SAVEUR»
Plus en détailENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84
ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion
Plus en détailTout au long de l année
Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations
Plus en détailLa reconnaissez- vous?
La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès
Plus en détailCalopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur
Plus en détailL amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé
CCW_DD02 L amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé De nombreuses entreprises sont confrontées à des matériaux amiantés lors de rénovations ou de démolition de bâtiments. Ces matériaux,
Plus en détailLes abeilles à Bruxelles Défis et opportunités
Les abeilles à Bruxelles Défis et opportunités Présentation en vidéo-conférence Mois de l abeille urbaine à Montréal Marc Wollast marc.wollast@apisbruocsella.be www.apisbruocsella.be Apis Bruoc Sella Bruxelles
Plus en détailASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS
Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la
Plus en détailStratégies marketing. Augmenter sa créativité en période de changement. Journée d information sur les cultures ornementales en serre Novembre 2009
Stratégies marketing Augmenter sa créativité en période de changement Journée d information sur les cultures ornementales en serre Novembre 2009 La présentation Marketing en temps de crise Quelques principes
Plus en détailUn peu d histoire. Lutte biologique. Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre?
Lutte biologique ------------------------------ Un peu d histoire ------------------------- Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome, M. Sc. Conseiller
Plus en détailInfobrochure SVOS DROITS EN TANT QUE VOYAGEUR AÉRIEN
Infobrochure SVOS DROITS EN TANT QUE VOYAGEUR AÉRIEN S En cas de retard À l aide! À quoi puis-je prétendre? Mon vol est retardé ( delayed ) avec mention ou non d une nouvelle heure de départ... En cas
Plus en détailAcadémie d Orléans-Tours Février 2007. Proposition de situation d enseignement Christine Fillâtre et Marie-Line Zanon
Académie d Orléans-Tours Février 2007 Proposition de situation d enseignement Christine Fillâtre et Marie-Line Zanon Partie 2 : L activité économique DROIT BTS 1 ère année Durée : 4 heures et les mécanismes
Plus en détailEtat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve.
Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve. Cette année 2006-2007 les élèves de 6 ème Mauve bénéficient de la classe à PAC sur le
Plus en détailDistinction entre le pronom leur et le déterminant leur
ET ACCORDS LE DÉTERMINANT LEUR 1 Pronom Distinction entre le pronom leur et le déterminant leur En cliquant sur le bouton «Rubrique grammaticale» dans notre site, vous pourrez, au besoin, consulter les
Plus en détailCORRIGES Plan de la séance
CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges
Plus en détailIMPORTATION DES PNEUS
Ottawa, le 27 janvier 2012 MÉMORANDUM D19-12-2 En résumé IMPORTATION DES PNEUS Le présent mémorandum a été examiné afin d y apporter des clarifications et d y ajouter une mise à jour relativement aux exigences
Plus en détailFormation des formateurs relais 3RB. Paris, 2 et 3 avril 2009
Formation des formateurs relais 3RB Paris, 2 et 3 avril 2009 Cadre juridique Formation 3RB -2 et 3 avril 2009 2 Sommaire 1. Introduction: prévention et textes juridiques 2. Hiérarchie des textes 3. Sélection
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailSurligne les phrases si elles sont justes :
1) L escargot a besoin de chaleur. Entoure : L escargot est un : 2) Il sort de sa coquille quand l atmosphère est sèche. VERTEBRE - INVERTEBRE 3) Sans coquille, l escargot meurt. OISEAU REPTILE - MOLLUSQUE
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailLes futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca
Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de
Plus en détailVI/23. Espèces exotiques qui menacent des écosystèmes, des habitats ou des espèces
Page 265 VI/23. Espèces exotiques qui menacent des écosystèmes, des habitats ou des espèces La Conférence des Parties I. SITUATION ET TENDANCES 1. Prend note du rapport sur la situation, les impacts et
Plus en détailComment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre?
Comment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre? Comment peut-on donner un âge à l'univers? Dans l'univers, il y a beaucoup de choses : des étoiles, comme le Soleil...
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailLIVRE BLANC. Mise en œuvre d un programme efficace de gestion des vulnérabilités
Mise en œuvre d un programme efficace de gestion des vulnérabilités Sommaire Les défis de la gestion des vulnérabilités 3 Identification des principales faiblesses 3 Développement d un programme efficace
Plus en détailMise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ
ENGREF. Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ Stéphanie BRACHET Chargée des missions scientifiques ENGREF - Arboretum national des Barres
Plus en détailLouise, elle est folle
Leslie Kaplan Louise, elle est folle suivi de Renversement contre une civilisation du cliché la ligne Copi-Buñuel-Beckett P.O.L 33, rue Saint-André-des-Arts, Paris 6 e pour Élise et Fred tu m as trahie
Plus en détailInterprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming
Interprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming Conférence de Jean-Marie Gogue Le terme assurance de la qualité est apparu aux Etats-Unis après la seconde guerre mondiale. Il
Plus en détailLA CARTE DE FIDÉLITÉ, LE BIG DATA ET MOI
LA CARTE DE FIDÉLITÉ, LE BIG DATA ET MOI BIG DATA, SURVEILLANCE ET VIE PRIVÉE Mardi 24 mars 2015 Dr Sami Coll http:// Qui suis-je? Big Data, un Big Brother privé? Toujours plus de données... http://youtu.be/btofcigdg14
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailLes Français et la nature
Les Français et la nature Contact Frédéric Micheau Directeur des études d opinion Directeur de département Tel : 01 78 94 90 00 fmicheau@opinion-way.com http://www.opinion-way.com Mars 2015 1 Méthodologie
Plus en détailMÉMOIRE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION SUR L EAU, L ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LES GRANDS PARCS
MÉMOIRE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION SUR L EAU, L ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LES GRANDS PARCS Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique 484, route 277, Saint-Léon-de-Standon,
Plus en détailTravailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale
ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr
Plus en détailL'AMIANTE : RÉGLEMENTATION
L'AMIANTE : RÉGLEMENTATION Dernière révision du document : juillet 2012 L'amiante (asbeste) est à l origine une roche naturelle composée de minéraux fibreux. Pour ses nombreuses propriétés, dont la résistance
Plus en détailDeuxième production mondiale derrière le pétrole, le café est un produit de consommation
Deuxième production mondiale derrière le pétrole, le café est un produit de consommation de masse depuis 50 ans. Actuellement, il représente 20% de la consommation en boissons, pour une consommation annuelle
Plus en détailCEM: les comptes d épargne médicale
CEM: les comptes d épargne médicale 1. Situation Le financement du système suisse de santé est à l évidence en passe de devenir un des sujets les plus discutés au cours du siècle. Comme dans la plupart
Plus en détailGUIDE D UTILISATION DE I-PHOTO
GUIDE D UTILISATION DE I-PHOTO 1 INTRODUCTION Objectif du tutoriel : Il doit vous permettre de faire le tri parmi les photos que vous avez obtenues lors d une phase de terrain et de les «traiter» avant
Plus en détailCompte-rendu de la 2 nde Commission Participative Mobilité Energie et Environnement
Compte-rendu de la 2 nde Commission Participative Mobilité Energie et Environnement 26 novembre 2014-20h à 22h15 Présences : cf. annexe 1. Secrétariat : Sabine Girard Animation : Emmanuel Cappellin Présentation
Plus en détailCONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE
CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailParc naturel régional du Perche Maison du Parc- Courboyer 61340 Nocé 02 33 85 36 36 www.parc.naturel.perche.fr
Parc naturel régional du Perche Maison du Parc- Courboyer 61340 Nocé 02 33 85 36 36 www.parc.naturel.perche.fr Malle documentaire Jardin Pourquoi faire un jardin? Quel type de jardin mettre en place? Quelle
Plus en détailFondation du Barreau
Professeur Frédéric Levesque Faculté de droit - Université Laval Fondation du Barreau L obligation in solidum en droit privé québécois Montréal - 12 juin 2012 Origine - Notion - Régime juridique Lorsque
Plus en détailGros-pois & Petit-point. Fiches d activités
Gros-pois & Petit-point Fiches d activités Du livre au film Les aventures de «Gros-pois et Petit-point» ont d abord vu le jour en Suède sous forme de livre avant d être adaptées au cinéma. Compare les
Plus en détailL artisan de vos projets d espace
L artisan de vos projets d espace ESPACE BOIS CONCEPT ESPACE BOIS CONCEPT - Mousson - 22690 Pleudihen-sur-Rance Le choix de construire sainement ne doit pas être dû au hasard! Analyse environnementale
Plus en détailÉvaluation et analyse des parts de marché de la production horticole ornementale québécoise en serre et en pépinière Rapport final
Évaluation et analyse des parts de marché de la production horticole ornementale québécoise en serre et en pépinière Rapport final Mai 2010 Table des matières 1. Introduction...3 2. La méthodologie...4
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détaille leader mondial du voyage de groupe
le leader mondial du voyage de groupe 2 Qui sommes-nous? www.kuonigrouptravel.com le leader mondial du voyage de groupe Kuoni Group Travel Experts est né de la fusion de deux départements exceptionnellement
Plus en détaildocument de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité
document de travail Extrait du tableau de bord de la Région de Bruxelles-Capitale, amendé par la Coordination associative : «Nouvelles Rivières Urbaines» et biodiversité 1.2.1. intégration des principes
Plus en détailCAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION
CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION LES STANDS DES PARTENAIRES DE FAMILLES DE FRANCE Les partenaires de Familles de
Plus en détailNOTIONS DE RESPONSABILITE
NOTIONS DE RESPONSABILITE De par ses prérogatives et ses fonctions, l encadrant a des responsabilités et des obligations. En cas de problème, il peut voir sa responsabilité engagée. QUAND? Souvent à l
Plus en détailBiologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison
ELEMENTS DE BIOLOGIE DU PSYLLE DE L ELAEAGNUS, CACOPSYLLA FULGURALIS (KUWAYAMA, 1908) [HEMIPTERA : PSYLLIDAE] ET RELATIONS AVEC SES AUXILIAIRES SPONTANÉS A. FERRE ET M. BEAUJEAN LIFE HISTORY TRAITS OF
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailCHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires
CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine
Plus en détailCurrent challenges for Audit Authorities and Groups of Auditors in ETC and IPA programmes and perspectives for the future
Current challenges for Audit Authorities and Groups of Auditors in ETC and IPA programmes and perspectives for the future Session 3.1 Sampling method Expérience de l Autorité d audit dans le programme
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailIntroduction des. comptes d épargne libre d impôt
Introduction des comptes d épargne libre d impôt Comptes d épargne libre d impôt Une nouvelle façon d épargner Les comptes d épargne libre d impôt ont été introduits par le gouvernement fédéral dans le
Plus en détailUtilité et nécessité de disposer d une bonne politique de mot de passe.
Utilité et nécessité de disposer d une bonne politique de mot de passe. Chaque utilisateur de PC est identifié dans son CPAS par deux éléments : 1. son UID (user identification), c'est-à-dire son nom d
Plus en détailPermet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles
Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de
Plus en détailLES VC ET LES FONDS DE BUYOUT
LES VC ET LES FONDS DE BUYOUT Le rôle du gestionnaire Journée Tendances Réseau Capital 2 avril 2003 INDEX Critères investissement / Novacap Compagnies en portefeuille Capital de risque Buyout Relations
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailAirPlus Assurances. Comment s y retrouver dans la nébuleuse des assurances et assistances voyages. AIRPLUS. WHAT TRAVEL PAYMENT IS ALL ABOUT.
AirPlus Assurances. Comment s y retrouver dans la nébuleuse des assurances et assistances voyages. AIRPLUS. WHAT TRAVEL PAYMENT IS ALL ABOUT. Contexte L attentat de Karachi survenu en 2002 a eu des conséquences
Plus en détailI. Démarches administratives et documents à produire
UCL - Guide administratif du médecin assistant candidat boursier (MACB) porteur d un diplôme de médecine ou de spécialisation obtenu dans un pays hors Union Européenne. Ce petit guide reprend des informations
Plus en détailPREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015
PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?
Plus en détailConditions générales MY BAG 0124-MYBAG-F-20120701
Conditions générales MY BAG 0124-MYBAG-F-20120701 TABLE DES MATIERES 1. Aperçu des prestations assurées 3 2. Personnes assurées 3 3. Prise d effet et validité de l assurance 3 4. Objets assurés 3 5. Objets
Plus en détailGrandes cultures n 15 du 10 mars 2015
1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec
Plus en détailLes 100 plus belles façons. François Gagol
Les 100 plus belles façons d'aimer François Gagol Les 100 plus belles façons d Aimer François Gagol François Gagol, 2003. Toute reproduction ou publication, même partielle, de cet ouvrage est interdite
Plus en détailLES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT
LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009 Une bonne stratégie à l export ne s improvise pas CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009
Plus en détailLE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3
LE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3 Dernière révision du document : février 2013 Entré en vigueur le 1 er octobre 2002, le "Permis d Environnement" (créé par le décret du 11 mars 1999) peut être considéré
Plus en détailLa communication interne se professionnalise mais il reste de nombreux horizons à explorer
Communiqué de presse La communication interne se professionnalise mais il reste de nombreux horizons à explorer Bruxelles, le 6 décembre 2012 Qui gère la communication interne en entreprise, quels sont
Plus en détailQUIZ 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ
QUIZ? 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ Testez vos enfants 10 questions pour jouer avec vos enfants 2. Nous sommes tous sensibles au soleil. VRAI! Le soleil est dangereux pour
Plus en détailLES PNEUS HIVER SONT-ILS OBLIGATOIRES DANS TOUTE L EUROPE?
LES PNEUS HIVER SONT-ILS OBLIGATOIRES DANS TOUTE L EUROPE? novembre 2013 Introduction En période hivernale, difficile de savoir si l équipement en pneus neige des voitures est obligatoire dans le(s) pays
Plus en détailLE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE?
LE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE? Michel PHILIPPIN Directeur Général de Cofinoga Notre propos concerne la rentabilité économique
Plus en détailFood Safety System Certification 22000. fssc 22000
Food Safety System Certification 22000 fssc 22000 CERTIFICATION DES SYSTÈMES DE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE 22000 Le protocole de certification des systèmes de sécurité alimentaire 22000 (FSSC 22000) est un protocole
Plus en détailORIGINES : St Patrick, patron des Irlandais, serait né vers 385.
Fête célébrée le 17 mars (March 17th) par les Irlandais pour honorer SaintPatrick, un missionnaire qui a converti l Irlande au christianisme. ORIGINES : St Patrick, patron des Irlandais, serait né vers
Plus en détailExtracto de la entrevista del Señor Louis Schweitzer a propósito del proceso de
Anexo 2 Extracto de la entrevista del Señor Louis Schweitzer a propósito del proceso de alianza con Nissan. Fuente: http://www.medefparis.fr/itw_schweitzer.html Louis SCHWEITZER Président de Renault Renault
Plus en détailACHETER OU VENDRE UNE ACTIVITE DE COURTAGE : LA MÉTHODE POUR RÉUSSIR
ACHETER OU VENDRE UNE ACTIVITE DE COURTAGE : LA MÉTHODE POUR RÉUSSIR 72, rue du Faubourg Saint - Honoré 75008 PARIS Tél : 01.46.10.43.80 Fax : 01.47.61.14.85 www.astreeavocats.com Xxx Enjeux Cahier des
Plus en détailRèglement du concours 400 Coups «Selfie»
Règlement du concours 400 Coups «Selfie» L agence culturelle de Wallonie picarde, Culture Wapi asbl, sise Rue de la Citadelle 124/29 à 7500 Tournai (ci-après «les organisateurs») organisent un concours
Plus en détailAméliorer l organisation et la communication interne à l office de tourisme
Les engagements La qualité est devenue une priorité de l'ensemble des acteurs du tourisme ainsi que de l Etat qui s engagent dans différents processus de qualité pour améliorer l'image de la France auprès
Plus en détailEtude du cas ASSURAL. Mise en conformité du système d'information avec la norme ISO 17799
David BIGOT Julien VEHENT Etude du cas ASSURAL Mise en conformité du système d'information avec la norme ISO 17799 Master Management de la Sécurité des Systèmes Industriels et des Systèmes d'information
Plus en détailNom : Date : Je connais par cœur toutes les opérations jusque 10.
Note : Les astuces présentées ici ne sont là que à titre informatif, afin que tu puisses retrouver la réponse à un calcul que tu as oublié. Cependant, il est important que tu connaisses chaque calcul jusque
Plus en détail