Note explicative sur la mise en œuvre du plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue au niveau de la région Rhône-Alpes
|
|
- Arthur Lavallée
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La directrice générale Lyon, le 4 juillet 2014 Affaire suivie par : Valérie Formisyn Direction de la Santé Publique : ars-rhonealpes-environnement-sante@ars.sante.fr : Note explicative sur la mise en œuvre du plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue au niveau de la région Rhône-Alpes Depuis 1999, le Ministère de la santé a mis en place un réseau de surveillance du moustique exotique Aedes Albopictus - plus connu sous le nom de moustique tigre - susceptible de transmettre certains virus tels que le chikungunya et la dengue (on parle de moustique vecteur). En 2006, un plan national anti-dissémination du chikungunya et de la dengue a été élaboré par le ministère de la santé, pour limiter le risque d importation et d implantation de ces maladies vectorielles en métropole. Ce plan prévoit le renforcement de la surveillance entomologique et épidémiologique, le renforcement de la lutte contre les moustiques vecteurs ainsi que la mobilisation et l information de la population et des professionnels de santé.
2 CONTEXTE : 1- Connaître le moustique Aedes Albopictus dit «moustique tigre» Crédit photo : JB Ferré / EID Méditerranée Le moustique Aedes albopictus est un moustique originaire d Asie. De très petite taille (5 à 7 mm), il se distingue des autres moustiques par sa coloration contrastée noire et blanche, d où son appellation commune de «moustique tigre». Il se développe majoritairement en zone urbaine, terrain propice à sa reproduction et se déplace peu au cours de sa vie (25 à 50 mètres autour de son lieu de naissance). Il «utilise» les transports routiers et ferroviaires pour se propager, ce qui explique sa remontée progressive sur le territoire à partir des départements du sud de la métropole. Il s est ainsi développé de manière significative et continue depuis 2004 en métropole où il est désormais implanté dans 18 départements 1, dont ceux de l Ardèche, la Drôme, l Isère et le Rhône. Ce moustique est particulièrement nuisible : ses piqûres interviennent principalement à l extérieur des habitations, pendant la journée, avec un pic d agressivité à la levée du jour et au crépuscule. Seule la femelle pique, le repas sanguin étant nécessaire la reproduction. Les femelles pondent leurs œufs (250 œufs tous les 2 jours) à sec ou à la limite d eaux stagnantes. Au contact de l eau, les œufs éclosent et donnent des larves. Au bout de 5 à 6 jours, ils donnent des moustiques adultes et piqueurs. Les gîtes de reproduction du moustique tigre sont toujours de petite taille. Ils sont majoritairement «fabriqués» par l Homme, le plus souvent en milieu urbain ou périurbain, au sein des domiciles privés (cours, jardins, balcons ). Impossible de les recenser tous, car ils sont temporaires, aléatoires ou difficiles d accès. La façon la plus efficace de se protéger, c est d'évacuer les eaux stagnantes et/ou de supprimer physiquement ces gîtes larvaires. NB : Aedes Albopictus est un insecte exotique dont la période d activité se situe du 1er mai au 30 novembre. Toutefois la période hivernale ne permet pas de relâcher la lutte contre sa présence : les œufs pondus entrent en «dormance» et pourront éclore lorsque les conditions climatiques redeviendront favorables au développement des larves. Ce moustique peut être «vecteur» de la dengue et du chikungunya si, et seulement si, il est contaminé. Il se contamine en piquant une personne malade qui revient d un voyage dans un pays où ces maladies sont présentes, et devient ainsi capable de transmettre la maladie dans le proche voisinage en piquant des personnes saines. 2 - Dengue et chikungunya La dengue est une maladie présente dans plus d une centaine de pays des régions tropicales et subtropicales, dont les départements français d Amérique. Des épidémies y sont survenues en 2010 et plus récemment, en Les deux principaux foyers de chikungunya identifiés dans le monde étaient situés en Asie et en Afrique. En 2006, des épidémies ont été observées dans ces zones. A la même période, une importante flambée de chikungunya s'est produite dans les îles de l'océan indien, notamment à La Réunion (38 % de la population touchée), à Maurice, aux Seychelles, à Mayotte, sur lesquelles le virus ne circulait pas jusqu alors. En fin d année 2013, une circulation autochtone (c est-à-dire qui se développe sur notre territoire) du virus chikungunya a été détectée pour la première fois aux Antilles françaises. A l heure actuelle, on observe des épidémies qui touchent plusieurs pays dans la zone Amérique. 1 Dates d implantation du moustique Aedes albopictus dans les 18 départements concernés : Alpes-Maritimes (2004), Haute-Corse (2006), Corse du Sud et Var (2007), Alpes de Hautes-Provence et Bouches-du-Rhône (2010), Gard, Hérault et Vaucluse (2011), Lot-et- Garonne, Pyrénées orientales, Aude, Haute-Garonne, Drôme, Ardèche, Isère Rhône (2012) et Gironde (2013).
3 La dengue et le chikungunya ne sont pas des maladies à prévention vaccinale. Ce sont des maladies virales, transmises par des moustiques contaminés, qui se caractérisent classiquement par une fièvre d apparition brutale associée à des douleurs musculaires, des maux de tête et, pour le chikungunya des douleurs articulaires pouvant être invalidantes. Ces symptômes surviennent en moyenne dans la semaine suivant la piqûre d un moustique contaminé. Ces deux maladies évoluent favorablement dans la plupart des cas. Elles ne sont pas contagieuses ; la transmission directe de personne à personne n est pas possible. 3 Quel risque en métropole? Si le moustique Aedes albopictus est bien présent dans le sud de la métropole et dans 4 départements de Rhône-Alpes, il n y a pas, pour autant, d épidémies de dengue ou de chikungunya. A noter toutefois qu en 2010, des cas «autochtones» de dengue et de chikungunya (c est-à-dire des cas de personnes piquées et contaminées en métropole) ont été identifiés dans les Alpes-Maritimes et le Var. Ces maladies peuvent donc potentiellement se développer dans les départements où le moustique Aedes albopictus est implanté. Ainsi, et compte-tenu de la fréquence des échanges de biens et de personnes avec la métropole, la situation épidémiologique du chikungunya aux Antilles constitue un risque élevé d importation de cas de chikungunya en métropole, et par conséquent, dans les départements où ce moustique est présent, d initiation de chaîne de transmission locale du virus. Transmission de la dengue ou du chikungunya par le moustique Aedes albopictus Source : Direction générale de la santé (DGS) / Institut national de prévention et d éducation à la santé (INPES) extrait de «Comment pourrait survenir une épidémie de dengue et de chikungunya en métropole» MESURES DE PREVENTION et DE LUTTE 4 Plan national anti-dissémination du chikungunya et de la dengue en métropole Un plan national composé de 5 niveaux : Le plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue en métropole, élaboré en 2006, définit 5 niveaux de risque à partir des résultats de la surveillance entomologique (surveillance des populations de moustiques) et humaine. Les départements de la région Rhône-Alpes sont classés actuellement de la façon suivante : le niveau 0.a : absence d Aedes albopictus : Loire ; le niveau 0.b : présence contrôlée d Aedes albopictus : Ain, Savoie et Haute-Savoie ; le niveau 1 : implantation d Aedes albopictus : Ardèche, Drôme, Isère et Rhône. les niveaux 2 à 5 : le niveau 2 est déclenché lors du diagnostic d un premier cas de dengue ou chikungunya autochtone (survenant chez une personne n ayant pas voyagé), le niveau 5 correspond à une situation épidémique installée. Les dispositions du plan, mises en œuvre du 1 er mai au 30 novembre, consistent en : - une surveillance entomologique renforcée sur cette période dans les zones où le moustique est présent ou susceptible de s implanter. Cette surveillance vise à détecter la présence du moustique afin d agir le plus précocement possible pour ralentir la progression de son implantation géographique. Elle est basée sur le suivi d'un réseau de pièges pondoirs mis en place par l Entente interdépartementale Rhône-Alpes pour la démoustication (EIRAD). Dans les départements en niveaux 0a et 0b, la surveillance est réalisée par grâce à une convention signée avec le ministère chargé de la santé. Dans Matériels pour piège pondoir polystyrène avec œufs (ensaché pour le transport)
4 les départements en niveau 1, les modalités de surveillance entomologique et de lutte anti-vectorielle sont définies par arrêté préfectoral et mises en œuvre par le département et son opérateur (EIRAD). - une surveillance épidémiologique des cas humains de dengue ou de chikungunya renforcée : sur tout le territoire métropolitain, elle est basée sur le système de «déclaration obligatoire» à l Agence Régionale de Santé des cas confirmés biologiquement de dengue et de chikungunya. Dans les départements en niveau 1, une surveillance renforcée des cas suspects de dengue et de chikungunya s appuie sur un dispositif de signalement accéléré sur cette période. Des enquêtes entomologiques péri-focales sont réalisées par l EIRAD dès que l'ars a validé le signalement des cas suspects où la DO des cas confirmés de dengue ou de chikungunya. L'objectif de ces enquêtes est de vérifier l'absence de moustique Aedes albopictus à proximité des zones fréquentées (rayon de 200 mètres environ) par le patient pour valider l'absence de risque de contamination d'un moustique. - des dispositions de lutte anti-vectorielle : les actions préventives sont mises en œuvre préférentiellement aux actions curatives ponctuelles. En effet, la destruction, l'élimination des gîtes larvaires ou le fait de les rendre inaccessibles aux moustiques par la population ou tout autre acteur cité dans le plan, est le mode d action à favoriser au regard des traitements préventifs et curatifs. Toutefois, en fonction des résultats de la surveillance ou des résultats des enquêtes entomologiques péri-focales réalisées, des traitements anti-larvaires et, en cas de risque sanitaire, des traitements anti-adultes sont mis en œuvre par l EIRAD. Les traitements préventifs anti-larvaires consistent en des interventions sur les gîtes larvaires. Le produit utilisé pour la lutte anti-larvaire est une formulation à base de Bacillus Thuringiensis var. israelensis ou Bti.,(agent de lutte biologique) répandue sur un espace très localisé. Ces traitements sont pratiqués sur les zones où le moustique est considéré comme implanté ou susceptible d être implanté. Les traitements anti-adultes consistent en la pulvérisation de deltaméthrine (dose utilisée est de 0,5/1 g/ha de matière active) dans des conditions évitant l exposition des populations et respectant la réglementation relative à l usage des produits biocides. Ces traitements ne sont mis en œuvre que s il est constaté un risque sanitaire (fréquentation par un patient potentiellement virémique) lié à la présence d Aedes albopictus dans le secteur concerné. En effet, les enjeux environnementaux (protection des ruchers, protection de l eau et de l environnement) et sanitaires (toxicité) ainsi que les risques de développement de résistance à ce type de traitement justifient de son usage a minima. L'information des personnes, des professionnels et des collectivités : - L information de la population a pour objectif de la sensibiliser afin que chacun supprime chez lui et autour et de son habitat, tous les espaces d eaux stagnantes non couverts 2 qui sont des gîtes potentiels de reproduction des moustiques. Ces mesures de prévention sont primordiales dans la lutte contre l implantation de ce moustique. - La sensibilisation des professionnels de santé au diagnostic et à la déclaration de cas suspects est primordiale dans la mise en œuvre de la surveillance épidémiologique de la population. Ils sont également des relais de l information, notamment auprès des voyageurs susceptibles d être contaminés dans les pays où circulent ces maladies. - Les professionnels du tourisme sont destinataires d informations relatives aux mesures de prévention à prendre par les voyageurs, en partance ou au retour de zones infestées. - Les collectivités locales sont associées à l organisation et la mise en œuvre des mesures de prévention et du dispositif de communication auprès des populations. 5 - Prévention : le moustique qui vous pique est né chez vous! Comment éviter la prolifération des moustiques? Quelques gestes simples Les produits anti-moustiques (insecticides et répulsifs) ne permettent pas d éliminer durablement les moustiques. Il est donc nécessaire de limiter leurs lieux de ponte et de repos. 2 Seaux, vases, soucoupes, fûts, citernes écoulement de gouttières, pneus usagers, déchets végétaux, etc. : tous les réceptacles d eaux pluviales ou domestiques à découvert.
5 L implication de la population représente une grande part de la lutte contre les moustiques. En effet, de nombreux lieux de ponte se trouvent dans les propriétés privées et espaces collectifs avec des gestionnaires identifiés. Le moustique Aedes albopictus se déplaçant peu, celui qui vous pique est "né chez vous". Chacun peut agir en prenant en charge la destruction mécanique des lieux potentiels de ponte : - enlever tous les objets abandonnés dans les jardins, les parcs ou sur les terrasses qui peuvent servir de récipient, - vider une fois par semaine les soucoupes, vases, seaux, etc., - remplir les soucoupes des pots de fleurs avec du sable ou une éponge qui, une fois mouillés permettent l arrosage, - vérifier le bon écoulement des eaux de pluie (gouttières, toits- terrasse, ), - entretenir les espaces verts : élaguez, débroussaillez, taillez, ramassez les fruits tombés et les déchets végétaux, réduisez les sources d humidité. - Surveiller et traiter dès leur mise en eau les gîtes présents sur la voirie et les espaces publics PAS D'EAU STAGNANTE = PAS DE MOUSTIQUES Ces gestes simples réduisent efficacement le risque de présence du moustique à proximité des lieux de vie (domicile, travail). Ils sont indispensables pour limiter la prolifération des moustiques et pour protéger l'entourage. Vous pensez avoir observé un moustique tigre? Vous souhaitez le signaler? L ensemble de la population peut participer à la surveillance de cette espèce afin de mieux connaître sa répartition. Il s'agit d'une action citoyenne permettant ainsi de compléter les actions mises en place. Pour vous informer et/ou signaler la présence d'un moustique tigre connectez-vous le site Internet : - Attention, tout ce qui vole n'est pas moustique, et tous les moustiques ne sont pas des moustiques tigres! Notamment, ce moustique se caractérise par sa très petite taille. - A noter : pour pouvoir signaler la présence d un moustique tigre aux autorités sanitaires, il faut que vous disposiez d une photo d un moustique tigre ou d un moustique dans un état permettant son identification. Aucune identification ne sera possible si vous ne disposez pas de l un ou de l autre. Afin d'avoir une aide à la détermination de 1er niveau, un questionnaire d'identification du moustique Aedes albopictus a été élaboré par l'eirad. Il est donné en dernière page de ce document.
6
DISCOURS MOUSTIQUE AEDES
DISCOURS MOUSTIQUE AEDES Il existe différents types de moustiques, dont le moustique tigre (nom scientifique Aedes albopictus), reconnaissable à sa silhouette noire et à ses rayures blanches, sur l abdomen
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Arrêté du 9 octobre 2013 relatif aux conditions d exercice de l activité d utilisateur professionnel
Plus en détailBienvenue sur la planète des insectes!
Bienvenue sur la planète des insectes! Les Entomonautes c/o Youssef Guennoun 49 bis rue du Borrégo 75020 Paris entomonautes(at)gmail.com Des milliards de petites bêtes Les insectes constituent 75 % de
Plus en détailSOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4
SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE
Plus en détailDOSSIER QUESTIONS-RÉPONSES SUR LA DENGUE EN GUYANE ÉTABLI PAR L'INPES.
DOSSIER QUESTIONS-RÉPONSES SUR LA DENGUE EN GUYANE ÉTABLI PAR L'INPES. Document validé par la DGS, l'affsaps, le SDD et la DSDS de la Guyane. Le 15 novembre 2006. Direction de la Santé et du Développement
Plus en détailListe des laboratoires agréés pour la réalisation des analyses officielles dans le domaine de la microbiologie alimentaire
A - Dénombrement des micro-organismes aérobies à 30 C (= colonies aérobies = flore aérobie mésophile), Il regroupe les essais - Dénombrement des entérobactéries, suivants: - Dénombrement des Escherichia
Plus en détailPour les reconnaître et ne pas les confondre
Moustiques ou pas moustiques? Pour les reconnaître et ne pas les confondre ENTENTE INTERDéPARTEMENTALE POUR LA DéMOUSTICATION DU LITTORAL MEDITERRANéEN 165 avenue Paul-Rimbaud 34184 Montpellier Cedex 4
Plus en détailLa lutte contre le paludisme
FICHES DE DIALOGUE Fiche n 1 La lutte contre le paludisme Montrez le premier dessin Question : Que voyez-vous sur cette image? Réponse : Un enfant qui a l air très malade. Il grelotte et transpire. Des
Plus en détailLes potagers Neerstalle
Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service
Plus en détailCartographie du risque entomologique à haute résolution spatio-temporelle à l'aide de l'imagerie satellitaire
Colloque Santé-Biodiversité 27&28 octobre 2014 à VetAgro Sup Sur l initiative et avec le soutien Et des partenaires Cartographie du risque entomologique à haute résolution spatio-temporelle à l'aide de
Plus en détailCONSEILS AUX VOYAGEURS
CONSEILS AUX VOYAGEURS Vous devez prochainement partir en mission à l étranger Au cours de votre séjour, vous pouvez être confronté à différents risques : risques infectieux : paludisme, diarrhées, hépatites,
Plus en détailPunaise de lits. Nuisance émergente. Cimex lectularius. Pascal DELAUNAY. CHU de Nice. Parasitologie-Mycologie. Pascal DELAUNAY
Punaise de lits Cimex lectularius Nuisance émergente Parasitologie-Mycologie CHU de Nice 1947 1999 2009 Ectoparasite Hématophage chez les 2 sexes Adultes et larves ressemblent à un confetti brun ou beige
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailARRETE Arrêté du 21 décembre 2012 relatif au tarif annuel et aux modalités de publication des annonces judiciaires et légales
ARRETE Arrêté du 21 décembre 2012 relatif au tarif annuel et aux modalités de publication des annonces judiciaires et légales NOR: MCCE1240070A Version consolidée au 16 janvier 2015 Le ministre de l'économie
Plus en détailConseils aux voyageurs
Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants
Plus en détailDroits d enregistrement et taxe de publicité foncière sur les mutations à titre onéreux d immeubles et de droits immobiliers.
DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Droits d enregistrement et taxe de publicité foncière sur les mutations à titre onéreux d immeubles et de droits immobiliers. Taux, abattements et exonérations
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailLA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/
LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailLA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/
LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en
Plus en détailL Agence MD vous présente
L Agence MD vous présente 4 Millions d emails BtoB disponibles Focus sur les professions libérales Mise à jour de septembre 2014 1 La Meg@baseB2B 4 Millions d emails de décideurs disponibles L Agence MD
Plus en détailÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS
ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION Arrêté du 21 décembre 2012 relatif au tarif annuel et aux modalités de publication des annonces judiciaires
Plus en détailEn partenariat avec. www.alliance-maladies-rares.org
En partenariat avec www.alliance-maladies-rares.org SOS. com est membre du CEEI Alsace (Centre Européen d Entreprise et d Innovation) L entreprise est soutenue par l Agence Régionale de l Innovation, par
Plus en détailPREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015
PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailCalopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détail4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?
GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre
Plus en détailPetits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification
Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille
Plus en détailObjectif 3 : Confinement et certification
Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus
Plus en détailVIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000
CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi
Plus en détailQuelles sont les pratiques et les modalités d évaluation de la LAV?
Quelles sont les pratiques et les modalités d évaluation de la LAV? Coordinateur : D. FONTENILLE Experts : T. BALENGHIEN, J.-C. DESENCLOS, S. LECOLLINET, E. MALIN, Y. YEBAKIMA 1. Introduction Évaluer correctement
Plus en détailBONIFACIO. Séminaire infomobilité intermodale interrégionale. 25 septembre 2013. Salle St Jacques DOSSIER DE PRESSE
Applications de grandes dimensions (à partir de 10 mm) La Coopération au cœur de la Méditerranée La Coopérazione al cuore del Mediterraneo Applications de dimensions petites et très petites (de 5 mm à
Plus en détailLa reconnaissez- vous?
La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès
Plus en détailLA NÉCESSITÉ D UNE VILLE PLUS VERTE LA DÉMARCHE COMMENT ÇA MARCHE?
GUIDE PÉDAGOGIQUE LA DÉMARCHE La Ville de Paris invite les Parisiens à recenser les lieux qui pourraient accueillir de la végétalisation au plus près de chez eux (délaissés, mobiliers urbains, murs ).
Plus en détailL accès aux données spatiales au profit des applications satellitaires
L accès aux données spatiales au profit des applications satellitaires Le projet Geosud Pierre Maurel, coordinateur du projet GEOSUD Journée du CINES Montpellier, 9 juin 2015 1 Projet GEOSUD Des financements
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailBILAN DE LA CAMPAGNE 2014
BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailPoint d actualités du site AREVA Tricastin
Point d actualités du site AREVA Tricastin Frédéric De Agostini Directeur d AREVA Tricastin CLIGEET du 21 juin 2012 Direction Tricastin Journée sécurité des chantiers du Tricastin Plus de 1200 participants
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailIntroduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France
Conférence internationale de recherche en sécurité sociale an 2000 Helsinki, 25-27 septembre 2000 La sécurité sociale dans le village global Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France
Plus en détailLUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE
LUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE 13.05 Objectif Le risque lié à la présence d ectoparasites et d agents nuisibles dans les établissements de santé est réel pour les patients et pour le
Plus en détailAuxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels
Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailPatrouilleurs scolaires
Patrouilleurs scolaires Elèves et adultes au service de la sécurité bpa Bureau de prévention des accidents Le service des patrouilleurs scolaires contribue grandement à la sécurité routière. Vous aussi,
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailProtégez-vous des risques à l origine des troubles musculo squelettiques (TMS) Information prévention. Vous êtes plombier chauffagiste
Information prévention agir pour votre santé au travail Vous êtes plombier chauffagiste Vous ressentez une gène, une douleur, une raideur ou une perte de force de vos bras ; vous avez mal au dos C est
Plus en détailEn collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013
En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 MARS 2013 INTRODUCTION, METHODOLOGIE Primo France, association dédiée à la gouvernance et à la gestion du risque public,
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailChaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial
Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris
Plus en détailRéférences et partenaires :
Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE
TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE Les poux existent depuis toujours et ne sont pas près de disparaître. Ils ne sont pas dangereux bien qu'ils soient dérangeants. À CONSERVER Saviez-vous que les poux de
Plus en détailA.PERRIER, Directeur Soins Infirmiers A. GAUDILLERE, Resp. Assurance Qualité
Développer la Bientraitance dans un établissement de court séjour. s Retour d expd expérience A.PERRIER, Directeur Soins Infirmiers A. GAUDILLERE, Resp. Assurance Qualité Journée régionale 2010 «Qualité
Plus en détailL ostéopathie au service des professionnels
L ostéopathie au service des professionnels Parce que la performance de votre entreprise passe avant tout par la santé de vos collaborateurs info@proosteo.fr Les Troubles Musculo-Squelettiques Les TMS
Plus en détailJournée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy»
Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy» Sécurité alimentaire et Changement climatique : l Indianocéanie
Plus en détailLes pneus hors d usage Fiches informatives 1
Les pneus hors d usage Fiches informatives 1 Contexte Les pneus sont principalement composés de caoutchouc synthétique, un dérivé du pétrole, et de caoutchouc naturel, provenant d arbres d Amérique du
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailL hébergement d urgence en Loire-Atlantique
18/02/2015 Dossier de presse L hébergement d urgence en Loire-Atlantique M. Henri-Michel COMET, préfet de la région Pays de la Loire, préfet de Loire-Atlantique a rencontré le mercredi 18 février 2015
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailLes abeilles à Bruxelles Défis et opportunités
Les abeilles à Bruxelles Défis et opportunités Présentation en vidéo-conférence Mois de l abeille urbaine à Montréal Marc Wollast marc.wollast@apisbruocsella.be www.apisbruocsella.be Apis Bruoc Sella Bruxelles
Plus en détailEconomie Sociale et Solidaire, une invitation à vivre autrement!
Economie Sociale et Solidaire, une invitation à vivre autrement! Dossier de presse Rencontres Solidaires en Rhône-Alpes Novembre 2010 Plus de 100 rendez-vous en Rhône-Alpes! Service presse 04 72 59 40
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME 2014
PRÉSENTATION DU PROGRAMME 2014 10 ANS DE CULTURE CÉLÉBRÉ AVEC LA NATURE! Grâce à votre fidèle participation et celle de plus de 100 institutions culturelles, le programme Cultivez le Jour de la Terre célébrera
Plus en détailCompte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre. Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre)
Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre 103 participants au matin Introduction de la journée de lancement Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre) Le Plan Climat Territorial s intègre
Plus en détailJournées Portes Ouvertes des sites de compostage partagé Région Rhône-Alpes Du 1e au 11 avril 2015 SYNTHÈSE
Journées Portes Ouvertes des sites de compostage partagé Région Rhône-Alpes Du 1e au 11 avril 2015 SYNTHÈSE Nombre de sites participants 73 / 247 Nombre de sites distribuant du compost 39 Compost distribué
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailLa récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience
La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience Bernard de Gouvello CEREVE-ENPC/CSTB Séminaire Fac Eco Bruxelles 1 er Octobre 2009 1 Structuration de la présentation
Plus en détailCOMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Saisine n 2010-SA-0215 Le directeur général Maisons-Alfort, le 11 août 2011 COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la
Plus en détailProjet pour la création de nouveaux ateliers d artistes à Marseille, Association ART 13. I Etat des lieux
1 Projet pour la création de nouveaux ateliers d artistes à Marseille, Association ART 13 I Etat des lieux Le parc d ateliers «publics» loués aux artistes contemporains à Marseille est de : - 10 ateliers
Plus en détailDestinataires d'exécution
Information Direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises Service Gouvernance et gestion de la PAC Sous-direction Gestion des aides de la PAC Bureau des Soutiens Directs
Plus en détailAméliorer l organisation et la communication interne à l office de tourisme
Les engagements La qualité est devenue une priorité de l'ensemble des acteurs du tourisme ainsi que de l Etat qui s engagent dans différents processus de qualité pour améliorer l'image de la France auprès
Plus en détailLes contre-indications au don de sang
Les contre-indications au don de sang Souvent, les donneurs s interrogent sur les raisons pour lesquelles tout le monde ne peut pas donner son sang. Le don de sang est une démarche d assistance à autrui,
Plus en détailEpreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE
SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014
Plus en détailLe fonds de dotation. Titre. www.artisandumonde.org
Le fonds de dotation d Artisans du Monde Faire un don Pour construire un monde plus juste au Nord comme au Sud Titre Crédit photo : Ellas Cuentan www.artisandumonde.org 1 Fonds de dotation d Artisans du
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailétudié pour les étudiants!
étudié pour les étudiants! Réussir, c est une question de volonté, c est aussi être accompagné. Un concept étudié pour les étudiants On ne réussit jamais par hasard. Qu il s agisse de ses études ou de
Plus en détailCHARTE D ACCESSIBILITÉ POUR RENFORCER L EFFECTIVITÉ DU DROIT AU COMPTE. Procédure d ouverture d un compte dans le cadre du droit au compte
CHARTE D ACCESSIBILITÉ POUR RENFORCER L EFFECTIVITÉ DU DROIT AU COMPTE Préambule Le droit au compte figure dans la législation française comme un principe fondamental. Le code monétaire et financier (article
Plus en détailL A T O U R D E P E I L Z Municipalité
V I L L E D E L A T O U R D E P E I L Z Municipalité PRÉAVIS MUNICIPAL No 25/2012 le 12 décembre 2012 Concerne : Demande d'un crédit de construction de 270'000.-- pour le remplacement des couches horticoles
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailCahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde
Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailJeudi 9 décembre 2010. Fanny DUPUIS 04 67 22 86 46 /// 06 07 75 52 82 dupuis.fanny@cr-languedocroussillon.fr
Jeudi 9 décembre 2010 La Région et la Banque européenne d investissement lancent un fonds d investissement pour le photovoltaïque en partenariat avec trois banques régionales Le toit du chai viticole du
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailLes nouvelles orientations de la politique de coopération internationale de la Ville sont :
La Ville de la Possession est engagée depuis plus de 30 ans dans des actions de coopération décentralisée. Elle est la ville pionnière de La Réunion à développer des actions de coopération avec des villes
Plus en détailMISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT
22 février 2014 Message à tous les éleveurs et intervenants du secteur porcin du Québec MISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT LA DIARRHÉE ÉPIDÉMIQUE PORCINE (DEP) PREMIER CAS DE DEP DANS
Plus en détail