Note explicative sur la mise en œuvre du plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue au niveau de la région Rhône-Alpes

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1 La directrice générale Lyon, le 4 juillet 2014 Affaire suivie par : Valérie Formisyn Direction de la Santé Publique : ars-rhonealpes-environnement-sante@ars.sante.fr : Note explicative sur la mise en œuvre du plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue au niveau de la région Rhône-Alpes Depuis 1999, le Ministère de la santé a mis en place un réseau de surveillance du moustique exotique Aedes Albopictus - plus connu sous le nom de moustique tigre - susceptible de transmettre certains virus tels que le chikungunya et la dengue (on parle de moustique vecteur). En 2006, un plan national anti-dissémination du chikungunya et de la dengue a été élaboré par le ministère de la santé, pour limiter le risque d importation et d implantation de ces maladies vectorielles en métropole. Ce plan prévoit le renforcement de la surveillance entomologique et épidémiologique, le renforcement de la lutte contre les moustiques vecteurs ainsi que la mobilisation et l information de la population et des professionnels de santé.

2 CONTEXTE : 1- Connaître le moustique Aedes Albopictus dit «moustique tigre» Crédit photo : JB Ferré / EID Méditerranée Le moustique Aedes albopictus est un moustique originaire d Asie. De très petite taille (5 à 7 mm), il se distingue des autres moustiques par sa coloration contrastée noire et blanche, d où son appellation commune de «moustique tigre». Il se développe majoritairement en zone urbaine, terrain propice à sa reproduction et se déplace peu au cours de sa vie (25 à 50 mètres autour de son lieu de naissance). Il «utilise» les transports routiers et ferroviaires pour se propager, ce qui explique sa remontée progressive sur le territoire à partir des départements du sud de la métropole. Il s est ainsi développé de manière significative et continue depuis 2004 en métropole où il est désormais implanté dans 18 départements 1, dont ceux de l Ardèche, la Drôme, l Isère et le Rhône. Ce moustique est particulièrement nuisible : ses piqûres interviennent principalement à l extérieur des habitations, pendant la journée, avec un pic d agressivité à la levée du jour et au crépuscule. Seule la femelle pique, le repas sanguin étant nécessaire la reproduction. Les femelles pondent leurs œufs (250 œufs tous les 2 jours) à sec ou à la limite d eaux stagnantes. Au contact de l eau, les œufs éclosent et donnent des larves. Au bout de 5 à 6 jours, ils donnent des moustiques adultes et piqueurs. Les gîtes de reproduction du moustique tigre sont toujours de petite taille. Ils sont majoritairement «fabriqués» par l Homme, le plus souvent en milieu urbain ou périurbain, au sein des domiciles privés (cours, jardins, balcons ). Impossible de les recenser tous, car ils sont temporaires, aléatoires ou difficiles d accès. La façon la plus efficace de se protéger, c est d'évacuer les eaux stagnantes et/ou de supprimer physiquement ces gîtes larvaires. NB : Aedes Albopictus est un insecte exotique dont la période d activité se situe du 1er mai au 30 novembre. Toutefois la période hivernale ne permet pas de relâcher la lutte contre sa présence : les œufs pondus entrent en «dormance» et pourront éclore lorsque les conditions climatiques redeviendront favorables au développement des larves. Ce moustique peut être «vecteur» de la dengue et du chikungunya si, et seulement si, il est contaminé. Il se contamine en piquant une personne malade qui revient d un voyage dans un pays où ces maladies sont présentes, et devient ainsi capable de transmettre la maladie dans le proche voisinage en piquant des personnes saines. 2 - Dengue et chikungunya La dengue est une maladie présente dans plus d une centaine de pays des régions tropicales et subtropicales, dont les départements français d Amérique. Des épidémies y sont survenues en 2010 et plus récemment, en Les deux principaux foyers de chikungunya identifiés dans le monde étaient situés en Asie et en Afrique. En 2006, des épidémies ont été observées dans ces zones. A la même période, une importante flambée de chikungunya s'est produite dans les îles de l'océan indien, notamment à La Réunion (38 % de la population touchée), à Maurice, aux Seychelles, à Mayotte, sur lesquelles le virus ne circulait pas jusqu alors. En fin d année 2013, une circulation autochtone (c est-à-dire qui se développe sur notre territoire) du virus chikungunya a été détectée pour la première fois aux Antilles françaises. A l heure actuelle, on observe des épidémies qui touchent plusieurs pays dans la zone Amérique. 1 Dates d implantation du moustique Aedes albopictus dans les 18 départements concernés : Alpes-Maritimes (2004), Haute-Corse (2006), Corse du Sud et Var (2007), Alpes de Hautes-Provence et Bouches-du-Rhône (2010), Gard, Hérault et Vaucluse (2011), Lot-et- Garonne, Pyrénées orientales, Aude, Haute-Garonne, Drôme, Ardèche, Isère Rhône (2012) et Gironde (2013).

3 La dengue et le chikungunya ne sont pas des maladies à prévention vaccinale. Ce sont des maladies virales, transmises par des moustiques contaminés, qui se caractérisent classiquement par une fièvre d apparition brutale associée à des douleurs musculaires, des maux de tête et, pour le chikungunya des douleurs articulaires pouvant être invalidantes. Ces symptômes surviennent en moyenne dans la semaine suivant la piqûre d un moustique contaminé. Ces deux maladies évoluent favorablement dans la plupart des cas. Elles ne sont pas contagieuses ; la transmission directe de personne à personne n est pas possible. 3 Quel risque en métropole? Si le moustique Aedes albopictus est bien présent dans le sud de la métropole et dans 4 départements de Rhône-Alpes, il n y a pas, pour autant, d épidémies de dengue ou de chikungunya. A noter toutefois qu en 2010, des cas «autochtones» de dengue et de chikungunya (c est-à-dire des cas de personnes piquées et contaminées en métropole) ont été identifiés dans les Alpes-Maritimes et le Var. Ces maladies peuvent donc potentiellement se développer dans les départements où le moustique Aedes albopictus est implanté. Ainsi, et compte-tenu de la fréquence des échanges de biens et de personnes avec la métropole, la situation épidémiologique du chikungunya aux Antilles constitue un risque élevé d importation de cas de chikungunya en métropole, et par conséquent, dans les départements où ce moustique est présent, d initiation de chaîne de transmission locale du virus. Transmission de la dengue ou du chikungunya par le moustique Aedes albopictus Source : Direction générale de la santé (DGS) / Institut national de prévention et d éducation à la santé (INPES) extrait de «Comment pourrait survenir une épidémie de dengue et de chikungunya en métropole» MESURES DE PREVENTION et DE LUTTE 4 Plan national anti-dissémination du chikungunya et de la dengue en métropole Un plan national composé de 5 niveaux : Le plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue en métropole, élaboré en 2006, définit 5 niveaux de risque à partir des résultats de la surveillance entomologique (surveillance des populations de moustiques) et humaine. Les départements de la région Rhône-Alpes sont classés actuellement de la façon suivante : le niveau 0.a : absence d Aedes albopictus : Loire ; le niveau 0.b : présence contrôlée d Aedes albopictus : Ain, Savoie et Haute-Savoie ; le niveau 1 : implantation d Aedes albopictus : Ardèche, Drôme, Isère et Rhône. les niveaux 2 à 5 : le niveau 2 est déclenché lors du diagnostic d un premier cas de dengue ou chikungunya autochtone (survenant chez une personne n ayant pas voyagé), le niveau 5 correspond à une situation épidémique installée. Les dispositions du plan, mises en œuvre du 1 er mai au 30 novembre, consistent en : - une surveillance entomologique renforcée sur cette période dans les zones où le moustique est présent ou susceptible de s implanter. Cette surveillance vise à détecter la présence du moustique afin d agir le plus précocement possible pour ralentir la progression de son implantation géographique. Elle est basée sur le suivi d'un réseau de pièges pondoirs mis en place par l Entente interdépartementale Rhône-Alpes pour la démoustication (EIRAD). Dans les départements en niveaux 0a et 0b, la surveillance est réalisée par grâce à une convention signée avec le ministère chargé de la santé. Dans Matériels pour piège pondoir polystyrène avec œufs (ensaché pour le transport)

4 les départements en niveau 1, les modalités de surveillance entomologique et de lutte anti-vectorielle sont définies par arrêté préfectoral et mises en œuvre par le département et son opérateur (EIRAD). - une surveillance épidémiologique des cas humains de dengue ou de chikungunya renforcée : sur tout le territoire métropolitain, elle est basée sur le système de «déclaration obligatoire» à l Agence Régionale de Santé des cas confirmés biologiquement de dengue et de chikungunya. Dans les départements en niveau 1, une surveillance renforcée des cas suspects de dengue et de chikungunya s appuie sur un dispositif de signalement accéléré sur cette période. Des enquêtes entomologiques péri-focales sont réalisées par l EIRAD dès que l'ars a validé le signalement des cas suspects où la DO des cas confirmés de dengue ou de chikungunya. L'objectif de ces enquêtes est de vérifier l'absence de moustique Aedes albopictus à proximité des zones fréquentées (rayon de 200 mètres environ) par le patient pour valider l'absence de risque de contamination d'un moustique. - des dispositions de lutte anti-vectorielle : les actions préventives sont mises en œuvre préférentiellement aux actions curatives ponctuelles. En effet, la destruction, l'élimination des gîtes larvaires ou le fait de les rendre inaccessibles aux moustiques par la population ou tout autre acteur cité dans le plan, est le mode d action à favoriser au regard des traitements préventifs et curatifs. Toutefois, en fonction des résultats de la surveillance ou des résultats des enquêtes entomologiques péri-focales réalisées, des traitements anti-larvaires et, en cas de risque sanitaire, des traitements anti-adultes sont mis en œuvre par l EIRAD. Les traitements préventifs anti-larvaires consistent en des interventions sur les gîtes larvaires. Le produit utilisé pour la lutte anti-larvaire est une formulation à base de Bacillus Thuringiensis var. israelensis ou Bti.,(agent de lutte biologique) répandue sur un espace très localisé. Ces traitements sont pratiqués sur les zones où le moustique est considéré comme implanté ou susceptible d être implanté. Les traitements anti-adultes consistent en la pulvérisation de deltaméthrine (dose utilisée est de 0,5/1 g/ha de matière active) dans des conditions évitant l exposition des populations et respectant la réglementation relative à l usage des produits biocides. Ces traitements ne sont mis en œuvre que s il est constaté un risque sanitaire (fréquentation par un patient potentiellement virémique) lié à la présence d Aedes albopictus dans le secteur concerné. En effet, les enjeux environnementaux (protection des ruchers, protection de l eau et de l environnement) et sanitaires (toxicité) ainsi que les risques de développement de résistance à ce type de traitement justifient de son usage a minima. L'information des personnes, des professionnels et des collectivités : - L information de la population a pour objectif de la sensibiliser afin que chacun supprime chez lui et autour et de son habitat, tous les espaces d eaux stagnantes non couverts 2 qui sont des gîtes potentiels de reproduction des moustiques. Ces mesures de prévention sont primordiales dans la lutte contre l implantation de ce moustique. - La sensibilisation des professionnels de santé au diagnostic et à la déclaration de cas suspects est primordiale dans la mise en œuvre de la surveillance épidémiologique de la population. Ils sont également des relais de l information, notamment auprès des voyageurs susceptibles d être contaminés dans les pays où circulent ces maladies. - Les professionnels du tourisme sont destinataires d informations relatives aux mesures de prévention à prendre par les voyageurs, en partance ou au retour de zones infestées. - Les collectivités locales sont associées à l organisation et la mise en œuvre des mesures de prévention et du dispositif de communication auprès des populations. 5 - Prévention : le moustique qui vous pique est né chez vous! Comment éviter la prolifération des moustiques? Quelques gestes simples Les produits anti-moustiques (insecticides et répulsifs) ne permettent pas d éliminer durablement les moustiques. Il est donc nécessaire de limiter leurs lieux de ponte et de repos. 2 Seaux, vases, soucoupes, fûts, citernes écoulement de gouttières, pneus usagers, déchets végétaux, etc. : tous les réceptacles d eaux pluviales ou domestiques à découvert.

5 L implication de la population représente une grande part de la lutte contre les moustiques. En effet, de nombreux lieux de ponte se trouvent dans les propriétés privées et espaces collectifs avec des gestionnaires identifiés. Le moustique Aedes albopictus se déplaçant peu, celui qui vous pique est "né chez vous". Chacun peut agir en prenant en charge la destruction mécanique des lieux potentiels de ponte : - enlever tous les objets abandonnés dans les jardins, les parcs ou sur les terrasses qui peuvent servir de récipient, - vider une fois par semaine les soucoupes, vases, seaux, etc., - remplir les soucoupes des pots de fleurs avec du sable ou une éponge qui, une fois mouillés permettent l arrosage, - vérifier le bon écoulement des eaux de pluie (gouttières, toits- terrasse, ), - entretenir les espaces verts : élaguez, débroussaillez, taillez, ramassez les fruits tombés et les déchets végétaux, réduisez les sources d humidité. - Surveiller et traiter dès leur mise en eau les gîtes présents sur la voirie et les espaces publics PAS D'EAU STAGNANTE = PAS DE MOUSTIQUES Ces gestes simples réduisent efficacement le risque de présence du moustique à proximité des lieux de vie (domicile, travail). Ils sont indispensables pour limiter la prolifération des moustiques et pour protéger l'entourage. Vous pensez avoir observé un moustique tigre? Vous souhaitez le signaler? L ensemble de la population peut participer à la surveillance de cette espèce afin de mieux connaître sa répartition. Il s'agit d'une action citoyenne permettant ainsi de compléter les actions mises en place. Pour vous informer et/ou signaler la présence d'un moustique tigre connectez-vous le site Internet : - Attention, tout ce qui vole n'est pas moustique, et tous les moustiques ne sont pas des moustiques tigres! Notamment, ce moustique se caractérise par sa très petite taille. - A noter : pour pouvoir signaler la présence d un moustique tigre aux autorités sanitaires, il faut que vous disposiez d une photo d un moustique tigre ou d un moustique dans un état permettant son identification. Aucune identification ne sera possible si vous ne disposez pas de l un ou de l autre. Afin d'avoir une aide à la détermination de 1er niveau, un questionnaire d'identification du moustique Aedes albopictus a été élaboré par l'eirad. Il est donné en dernière page de ce document.

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