Désamorcer la radicalisa.on religieuse par l éduca.on et la forma.on Radicalisa.on introduc.on Dr. Karim Odr
|
|
- Alfred Lebel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 Radicalisa.on introduc.on Dr. Karim Odr Le docteur Odr est Psychiatre infanto- juvénile et chef du service de pédopsychiatrie de la Clinique St- Jean. Il est également médecin- directeur de l ASBL LERNI, qui est un Centre pluridisciplinaire de diagnoshc et de traitement des troubles du développement et des apprenhssages. Ses achvités cliniques (hospitalisahons, consultahons,...) sont souvent arhculées avec les réseaux de soins psycho- médico- sociaux et scolaires.
3 Les jeunes face au trauma et aux sirènes du radicalisme, gérer le retour en classe Dr. Karim Odr
4 En guise d introduchon, deux consultahons...
5 Stress et trauma.sme psychique Le stress, descrip.on : RéacHon biologique, physiologique et psychologique normale d alarme, de mobilisahon et de défense, de l individu, face à une agression, une menace ou une situahon inopinée RéacHon bio- psychologique et réflexe
6 Stress et trauma.sme psychique Le stress, descrip.on : RéacHon d excephon, coûteuse en énergie et accompagnée de symptômes gênants Formes dépassées ou psychiatriques
7 Stress et trauma.sme psychique Le stress, descrip.on : à AVtude thérapeuhque immédiate : «Defusing» = incitahon à la verbalisahon des émohons Quand nécessaire, médicahon sédahve Prise en charge psychiatrique pour les formes dépassées ou psychiatriques
8 Stress et trauma.sme psychique Le stress, descrip.on : à AVtude thérapeuhque post- immédiate : Débriefing collechfs (par pehts groupes) dans les jours qui suivent l événement potenhellement traumahque Mise en mot permet de prévenir l installahon de tableaux traumahques Traitement du stress et/ou décharges émohves différées // à l événement potenhellement traumahque
9 Stress et trauma.sme psychique Le trauma.sme psychique : à DescripHon : C est un phénomène d effrac.on du psychisme et de débordement de ses défenses par les excitahons violentes afférentes à la survenue d un événement agressant ou menaçant pour la vie ou l intégrité (physique ou psychique) d un individu, qui y est exposé comme vic.me, témoin ou acteur
10 Stress et trauma.sme psychique Le trauma.sme psychique : à DescripHon : Bouleversement psychologique avec confrontahon inopinée avec le réel de la mort ConfrontaHon tellement violente que le sujet est dans l impossibilité d acribuer du sens, de mecre des mots,... Le traumahsme provoque : surprise, effroi, horreur, senhment d impuissance, d abandon et de déréalisahon (avec perte des repères),
11 Stress et trauma.sme psychique Le trauma.sme psychique : à DescripHon : Besoin des vic,mes : * Bénéficier d une protechon concrète * Recevoir une informahon * Ne pas se senhr abandonnés, ni exclus * Reconnus comme vichme
12 Stress et trauma.sme psychique Le trauma.sme psychique : à DescripHon : Besoin des vic,mes : * Etre écoutés * Bénéficier d empathie et de compréhension * Etre réintégrés dans la communauté
13 Stress et trauma.sme psychique Le trauma.sme psychique : à DescripHon : Phase de latence variable avec des symptômes invalidants : * Reviviscence traumahque involontaire et répéhhve * Repli sur soi * Incapacité de filtrer les shmulis dangereux et anodins * ModificaHon de la personnalité à Prise en charge spécialisée
14 Prof. Crocq «Terrorisme et médias»
15 Prof. Crocq «Terrorisme et médias» Défini.ons : Terrorisme : «Fait d u.liser la violence ou sa menace pour susciter une peur extrême ou terreur au sein d une popula.on cible... Chaque membre de la populahon cible se sent menacé, vit dans un sen.ment d insécurité, et éprouve de la peur, au point de modifier son ahtude et son comportement...»
16 Prof. Crocq «Terrorisme et médias» Défini.ons : «Partenaires» : * Fomenteurs : «individus groupés en associahons secrètes et qui préparent et organisent des actes terroristes ou font de la propagande pour ces achons...» * Auteurs : «agents qui commecent les actes terroristes commandités et préparés par les organisahons...»
17 Prof. Crocq «Terrorisme et médias» Défini.ons : «Partenaires» : * Les complices : «facilitent l achvité des terroristes...» * Les sympathisants : «qui approuvent la polihque des terroristes et applaudissent à leurs achons, ne sont pas des terroristes ou pas encore...»
18 Prof. Crocq «Terrorisme et médias» Défini.ons : «Partenaires» : * VicHmes directes : «frappées par les achons terroristes dans leur personne ou dans leur bien...subissent un choc émo.onnel et vivent l agression comme un trauma, grevé de ses effets de surprise, de confrontahon avec la mort et d incompréhension, avec les queshons sans réponses : pourquoi font- ils cela? pourquoi moi?...»
19 Prof. Crocq «Terrorisme et médias» Défini.ons : «Partenaires» : * VicHmes indirectes : «...sont plongées dans l afflichon et le chagrin...elles peuvent avoir vécu quelque chose de l ordre du trauma dans l impréparahon, la surprise, la découverte subite de la réalité de la mort et l incompréhension face au non sens...»
20 Prof. Crocq «Terrorisme et médias» Défini.ons : «Partenaires» : * La populahon cible : «c est elle qui est visée principalement par les terroristes, et qu il s agit d effrayer et de déstabiliser Se croit directement menacée et éprouve un fort senhment d insécurité... qui inspire soit des ahtudes énergiques de sou.en soit des conduites de protec.on soit un désengagement vis- à- vis des valeurs de la démocrahe
21 Prof. Crocq «Terrorisme et médias» Défini.ons : «Partenaires» : * Le gouvernement du pays cible * Les médias : «...le plus souvent, l achon des médias consiste à dispenser l informa.on vers le public, voir sur nos écrans quelqu un mourir sous l impact des balles nous perturbe profondément et nous inspire des sen.ments d empathie ou d indigna.on qui vont ensuite modifier notre es.ma.on, notre jugement et notre opinion...»
22 Prof. Crocq «Terrorisme et médias» Après les images d effroi et d horreur : Compassion envers les vichmes et leurs familles AVtudes d admirahon et d encouragement pour les sauveteurs Mesures de surveillance et de protechon Exigence de jushce et de vengeance
23 Prof. Crocq «Terrorisme et médias» Après les images d effroi et d horreur : ManifestaHons de deuil collechf ManifestaHons de réparahon Recul nécessaire à l apaisement...procès Partage d émohon collechve, senhment d appartenance à la communauté..
24 «Nos enfants et le choc du terrorisme de masse» Prof. Hayez
25 «Nos enfants et le choc du terrorisme de masse» Prof. Hayez Accompagnement des enfants «stressés et tristes» : Place de la parole : * II nous faut nous engager plus personnellement et plus durablement dans cet échange de parole * Dialogue et non pousser l'enfant à se " mecre à table» face à un adulte qui demeurerait silencieux * Les écouter sans les crihquer, en les aidant à déployer leur point de vue subjechf, sans en sourire ni vouloir trop vite le rechfier. La " réponse adulte " peut venir après!
26 «Nos enfants et le choc du terrorisme de masse» Prof. Hayez Accompagnement des enfants «stressés et tristes» : Place de la parole : * Néanmoins, plus les enfants sont introverhs, Hmides ou opposants, moins ils racontent spontanément, insister avec délicatesse mais il faut finalement s'incliner devant leur liberté de dire non, notre insistance amicale ne doit jamais devenir pression désagréable ni violence * Il est toujours possible de se différencier, sans pour autant mépriser l'enfant
27 «Nos enfants et le choc du terrorisme de masse» Prof. Hayez Accompagnement des enfants «stressés et tristes» : Nous me>re personnellement en ques,on : * Sommes- nous dans notre état normal ou le traumahsme nous a- t- il affecté? * En résulte- t- il quelque chose de différent dans notre manière d'être, d'éduquer et de parler? * Qu'est- ce que l'enfant ressent de nous pour le moment? * Comment peut- il être impressionné par notre énervement, notre angoisse, notre colère, nos commentaires philosophiques?
28 «Nos enfants et le choc du terrorisme de masse» Prof. Hayez Et concernant «la minorité qui réagit à l'inverse?» : Les réac,ons d'indifférence et/ou de racisme manichéen : * Adolescents qui " friment " en affichant des posihons opposées à celles de leur entourage * FoncHonnement interpellant de ces jeunes est plus basal et ne relève pas principalement du défi * Des désapprobahons et des moralisahons faites sur le champ ne vont pas les transformer tout de go, encore que nous gagnons à leur faire savoir sobrement la façon différente dont nous analysons et vivons les événements
29 «Nos enfants et le choc du terrorisme de masse» Prof. Hayez Et concernant «la minorité qui réagit à l'inverse?» : Les réac,ons d'indifférence et/ou de racisme manichéen : MobilisaHon par * InterrogaHon du passé : jeune indifférent perçu comme non important, ayant grandi dans les rapports de force ou le mépris; ou alors, c'est toute la culture d'éducahon (familiale, scolaire) qui a été marquée par l'indifférence, le matérialisme, le mépris des faibles * Veiller à une grande qualité humaine des relahons, ce qui finira par les ouvrir à la réciprocité?
30 «Nos enfants et le choc du terrorisme de masse» Prof. Hayez Et concernant «la minorité qui réagit à l'inverse?» : Les enfants excités par le jeu de la guerre : * Enfants plus jeunes qui ne comprennent pas bien les enjeux réels de la situahon * ImaginaHon saturée et intoxiquée par trop d'images violentes * Sans que des dialogues soient menés, par exemple, sur les souffrances qu'elles connotent pour leurs vichmes et sur les enjeux qu'elles véhiculent
31 «Complexité de la situahon actuelle» Dr. Odr
32 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Repérage : Risque de confusion autour des places occupées par les «partenaires» Risque de confusion autour de concepts symboliques forts : * L interdit fondamental du meurtre, le cadre légal autour de la liberté d expression et les posihons religieuses autour de la représentahon des prophètes peuvent être mises au même niveau, se confondre et devenir confus
33 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Repérage : Risque de confusion autour de concepts symboliques forts : * Les clivages de pensée se renforcent et mecent les jeunes dans un conflit de loyauté insurmontable * En théorie systémique, on parle de «double lien scindé», comme dans la situahon d un enfant ne pouvant être loyal à ses deux parents en même temps : en soutenant le point de vue de l un, il est contre l autre et risque de le perdre et vice- versa...
34 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Repérage : Risque de confusion autour de concepts symboliques forts : * Hypothèse que certains enfants/ados vont manifester des symptômes autour de ces niveaux de confusion et conflits de loyauté... Ce, d autant plus que le niveau de mentalisahon, d accès à l abstrachon et de maîtrise de ces concepts rend cece compréhension quasi- impossible pour de nombreux enfants (et même certains ados!).
35 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Repérage : Risque de confusion autour de concepts symboliques forts : * La mise en place des rituels permecant de mecre du sens autour du stress et du trauma peuvent être solidement mis à mal, parhculièrement par les enfants/ados pris dans ces niveaux confusions * Ces enfants/ados peuvent queshonner le malaise des adultes à leur égard (d autant plus, s il est non dit) avec des avtudes inadéquates, propos déplacés lors de moments de communion de groupe
36 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Repérage : Risque de confusion autour de concepts symboliques forts : * RéacHon des adultes peut alors donner l impression d assimiler l enfant à l un de ces pôles antagonistes, * L insécurité du lien social qui en résulte peut faire douter sur la place qu occupe le jeune et ouvrir une faille pouvant servir d appui à tout discours clivant et absoluhste
37 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Repérage : Risque de confusion autour de concepts symboliques forts : * «double- message» : défendre la liberté d expression (de manière explicite) tout en se sentant limité (de manière implicite) car si un enfant nomme la confusion dans laquelle il est pris : il peut craindre d être considéré comme un potenhel «sympathisant»
38 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Repérage : Toutefois, il convient de rester a>en,f! * Dans quelques situahons, la confusion peut se jouer inihalement dans la pensée du jeune qui peut être en recherche d un discours absolu religieux * Ce, potenhellement alimenté par son entourage familial, social et/ou internet
39 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Proposi.ons d accompagnements complémentaires : Il ne faut pas sous- eshmer l impact du stress sur nos psychisme Accepter ce moment de confusion chez l enfant/ado, lui laisser le temps et le soutenir pour en sorhr
40 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Proposi.ons d accompagnements complémentaires : Installer des espaces de parole et réflexion qui sortent de ces clivages manichéens, qui permecent une double loyauté et une bonne hiérarchisa.on des niveaux conceptuels Interdit du meutre et cadre légal belge autour de la liberté d expression ne sont en aucun cas à mecre au même niveau que les débats sur ce qui offense, conshtue un préjudice ou un blasphème
41 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Proposi.ons d accompagnements complémentaires : Pour les quelques situahons préoccupantes rencontrées, il peut être sage de rencontrer la famille et évaluer leurs possibilités de collaborahon et de protechon autour du jeune Ne pas oublier qu un enfant joue pour comprendre, peut mecre en scène de manière ludique pour comprendre le traumahsme
42 «Complexité de la situa.on actuelle» Dr. Odr Proposi.ons d accompagnements complémentaires : CointervenHon d adultes auprès des jeunes, si possible assurée par un service Hers et extérieur au milieu scolaire IntervenHons inscrites dans le temps pour accompagner le déploiement de leur pensée et possibilité d «introduire les graines d un doute crihque» qui permet une prise de distance suffisante UHlisaHon de médias adaptés à l âge et au bagage intellectuel et culturel
43
COMMENT AIDER LES ENFANTS EN BAS ÂGE A SURMONTER UN TRAUMATISME
COMMENT AIDER LES ENFANTS EN BAS ÂGE A SURMONTER UN TRAUMATISME Toute personne ayant survécu à une catastrophe en ressort forcément profondément bouleversée ; en particulier les enfants, les personnes
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailGuide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 -
Guide d intervention sur l intimidation destiné aux intervenants - 1 - Rédaction Linda Laliberté : Mélanie Blais : Michèle Gariépy : Joanie Charrette : Espace Bois-Francs InterVal Pacte Bois-Francs organisme
Plus en détailPROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence. Justice alternative Lac-Saint-Jean
PROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence Justice alternative Lac-Saint-Jean Printemps 2013 OBJECTIFS Démystifier la problématique violence. Promouvoir les solutions pacifiques en matière de résolution de
Plus en détailC est quoi l intimidation?
C est quoi l intimidation? Définition de l intimidation (Olweus, 1996) : «Un élève est intimidé ou victimisé lorsqu il est exposé de façon répétée et soutenue à des gestes négatifs de la part d un ou de
Plus en détailParent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille.
Parent avant tout Parent malgré tout Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Edition: Addiction Suisse, Lausanne 2012 Que vous soyez directement concerné-e ou que
Plus en détailHARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!
HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailComment l enfant pense à la mort
Chapitre 1 Comment l enfant pense à la mort 1. Les situations dans lesquelles un enfant peut être confronté à la mort 2. Le concept de la mort chez l enfant 3. La mort dans le fonctionnement psychique
Plus en détailFonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1
Fonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1 Dans la prise en charge d adolescents en grande difficulté, de nombreuses personnes sont mobilisées autour
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres?
12èmes Journées Régionales d échanges en Education du Patient EDUCATION DU PATIENT : «Entre bénéfices possibles et attendus.vers de nouveaux équilibres» jeudi 29 et vendredi 30 novembre 2012 ATELIER 2:
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailProfils du Diplômé (profils de sor2) de la forma2on de médicine au Chile
Profils du Diplômé (profils de sor2) de la forma2on de médicine au Chile MARIO PARADA, MARÍA INÉS ROMERO, FABIÁN MORAGA Diego Muñoz, Marcela Gómez, Denisse Arellano Ecoles de Médecine au Chili Le Chili,
Plus en détailLa langue uhlisée par notre bureau est l allemand et le français.
REGLES DE CONDUITE ASSURMiFID Dans le cadre du respect de la loi du 30 juillet 2013 et de ses arrêtés royaux d exécuhon1, notre bureau vous communique les informahons suivantes : 1. INFORMATIONS SUR NOTRE
Plus en détailGuide pratique pour lutter contre le cyber-harcèlement entre élèves
Guide pratique pour lutter contre le cyber-harcèlement entre élèves AVANT-PROPOS A l occasion des premières Assises Nationales sur le harcèlement à l École des 2 et 3 mai 2011, Luc CHATEL, ministre de
Plus en détailSommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7
Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailN 1051 ASSEMBLÉE NATIONALE
Document mis en distribution le 20 février 2009 N 1051 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 15 juillet 2008. PROPOSITION
Plus en détailQuand le corps devient objet de l autre
Quand le corps devient objet de l autre (Hypersexualisation, pornographie, prostitution à l heure des technologies de l information et de la communication) Robert Courtois Clinique Psychiatrique Universitaire
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailServices complémentaires en Outaouais
Services complémentaires en Outaouais La réalisa4on et le succès d un main4en à domicile d une personne âgée en perte d autonomie est un travail d équipe. Les acteurs de ce=e équipe sont d abord la personne
Plus en détailCOMMENT REAGIR FACE A L INTIMIDATION A L ECOLE
COMMENT REAGIR FACE A L INTIMIDATION A L ECOLE Les documents présentés ici s'adressent au personnel scolaire. Ils fournissent aux milieux éducatifs des ressources et des stratégies éprouvées afin de les
Plus en détailUDSP Aube. Première rencontre sociale Saint André les Vergers Le 12 mars 2011
UDSP Aube Première rencontre sociale Saint André les Vergers Le 12 mars 2011 Sujets de discussion Le rôle social de l Union: Avantages Les différentes aides (matérielles et immatérielles, ) Les assurances
Plus en détailComment se constitue la personnalité? Un bébé heureux a-t-il le plus de chances de devenir un adulte heureux?
Philippe Scialom 1 Un bébé heureux a-t-il le plus de chances de devenir un adulte heureux? La petite enfance est une période beaucoup plus déterminante qu on ne pourrait le penser : tout ce que va vivre
Plus en détailLE MARKETING SOCIAL ET
LE MARKETING SOCIAL ET LA PRÉVENTION DE LA MALTRAITANCE MARIE-HÉLÈNE GAGNÉ 6ème Colloque québécois sur la maltraitance envers les enfants et les adolescents Montréal, 29 octobre 2013 LE FARDEAU DE LA MALTRAITANCE
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailLE HARCELEMENT A L ECOLE
1 05/05/2014 LE HARCELEMENT A L ECOLE l'essentiel : Selon une statistique nationale, un élève sur 10 est victime de harcèlement à l'école. Pour la moitié ce sont des cas de harcèlement sévère. Le harcèlement
Plus en détailAider une personne atteinte de cancer
Aider une personne atteinte de cancer Ce que vous pouvez faire Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Il est fort probable que vous connaissez une personne peut-être un voisin, un collègue
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailDEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps
DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte
Plus en détailCONCLUSION. Echanges I QU EST II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L L ADOLESCENT?
I QU EST EST-CE QUI NOUS ATTIRE VERS LES «ECRANS»? II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L ET DE L ADOLESCENT? III - QUELS SONT LES DANGERS POTENTIELS?
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailIntroduction par effraction
Introduction par effraction Les gens qui sont victimes d une introduction par effraction peuvent être affectés pour d autres raisons que la perte de leurs biens. Ils peuvent ressentir de fortes émotions
Plus en détailDe la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1
De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage La vision familiale Série 1, numéro 1 En l espace de 25 ans, le profil de la famille québécoise s est transformé de
Plus en détailFONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE
FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE 1999 La Fondation nationale de gérontologie et le ministère des affaires
Plus en détailFormation obligatoire d adaptation à l emploi
Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à
Plus en détailL ergonomie au service du développement de l enfant. Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.
L ergonomie au service du développement de l enfant Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.fr 1. La cadre théorique de la réflexion proposée 2. Quelles connaissances
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailQuelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents?
Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Questions courantes sur la cognition sociale et les capacités des personnes atteintes du SVCF Par le Dr
Plus en détailEuropean School Brussels II. Avenue Oscar Jespers 75. 1200 Brussels
European School Brussels II Avenue Oscar Jespers 75 1200 Brussels Toute forme de harcèlement, qu il soit verbal, physique ou psychologique, est absolument inacceptable dans notre école. Ce document de
Plus en détailLA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE. LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort
LA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort relation SRLF Paris, 11-12-13 mai C.LE BRIS BENAHIM Psychothérapeute - Formatrice Quimper CHIC Comment le vécu
Plus en détailAgir pour se libérer du mobbing
Agir pour se libérer du mobbing Quelques conseils pour prévenir ou pour réagir en cas de harcèlement moral au travail. En collaboration avec Mobbing ASBL Introduction Le monde du travail a profondément
Plus en détailLES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
Plus en détailMon boss ne délègue pas
Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre
Plus en détailChaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation.
Chaque Matin... Chaque heure de MIDI... Chaque AprÈs-midi... Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation. Apprenez comment vous pouvez faire cesser l intimidation. Les communautés et les écoles
Plus en détailAction sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie
Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille
Plus en détailFormation à la systémique pour consultants et personnels RH
J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux
Plus en détailPARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE
PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE «Nos valeurs et nos règles» pour nos partenaires commerciaux Code de conduite pour le partenaire commercial de MSD [Édition 1] MSD est engagée dans une démarche
Plus en détailC était la guerre des tranchées
C était la guerre des tranchées Jacques Tardi Format 23,2 x 30,5 cm 128 pages C et album consacré, comme son titre l indique, à la vie dans les tranchées pendant la Première Guerre mondiale est constitué
Plus en détailEtre parent-s d adolescent-e
LA LETTRE AUX PARENTS N o 1 Chers parents, Etre parent d un-e adolescent-e n est pas toujours une chose facile, vous le savez bien! Bien sûr, vous vous réjouissez de voir grandir votre enfant, et de lui
Plus en détailNovembre 2014. Novembre 2014
Rapport Rapport de de recherche recherche QUE QUE VIVENT VIVENT LES LES 18 18 30 30 ANS ANS?? Novembre 2014 Novembre 2014 "Être jeune aujourd hui, c est beaucoup plus difficile que de l avoir été il y
Plus en détailCOMMENT AIDER UN ÉLÈVE QUI BÉGAIE?
10 504, boulevard Saint-Laurent, local 1 Montréal, (Qc), H3L 2P4; 514.332.9593 www.cliniquebeausoleil.com COMMENT AIDER UN ÉLÈVE QUI BÉGAIE? QU'EST-CE QUE LE BÉGAIEMENT? à Trouble caractérisé par une fréquence
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailUn besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat)
Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat) «Si, globalement, les adolescents se disent en meilleure santé que les adultes, il convient, au regard des résultats qui suivent
Plus en détailHISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR
HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate
Plus en détail5 postures pour mobiliser le don
Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir
Plus en détailGUIDE À L INTENTION DES PARENTS DONT L ENFANT A ÉTÉ VICTIME D UN ACTE CRIMINEL
GUIDE À L INTENTION DES PARENTS DONT L ENFANT A ÉTÉ VICTIME D UN ACTE CRIMINEL TABLE DES MATIÈRES 1. Votre enfant a été victime d un acte criminel?... 3 2. Qu est-ce qu un acte criminel?... 4 A - Les crimes
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailL état de mort cérébrale: approche transculturelle
L état de mort cérébrale: approche transculturelle JMPG, Nice, 27 mars 2008 Sadek Beloucif, CHU Avicenne, Bobigny Mort Encéphalique? Qu est-ce que la mort? concept métaphysique définition légale critères
Plus en détailQuand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est
Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est une émotion à la fois si commune et si unique que la langue française
Plus en détailLe Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)
Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailDéfinition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress
Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58
REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58 Préambule La Commune de Linxe, organise un service de restauration pour son groupe scolaire. Ce service est ouvert à tous
Plus en détailUn écrivain dans la classe : pour quoi faire?
Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D UTILISATION
1. Objet CONDITIONS GENERALES D UTILISATION Les présentes conditions générales d utilisation ont pour objet de préciser les conditions dans lesquelles VINS BIO ET NATURE autorise l utilisateur à utiliser
Plus en détailETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX?
ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX? Projet formulé à partir de ma pratique de terrain: Constats Public défavorisé Plus le niveau d instruction est bas plus plus le risque est grand de développer des troubles
Plus en détailLa psychothérapie. Se poser les bonnes questions
La psychothérapie Se poser les bonnes questions? LA PSYCHOTHÉRAPIE Au Québec, la psychothérapie est une activité réservée par la loi * depuis juin 2012, ce qui signifie que seules les personnes autorisées,
Plus en détailCode de franc-jeu. du joueur LE FRANC-JEU, C EST L AFFAIRE DE TOUS
du joueur 1) Je jouerai au hockey de mon plein gré et non pour obéir à mon entourage ou à mes entraîneurs. 2) Je respecterai les règles et l esprit du jeu. 3) Je maîtriserai mon tempérament les bagarres
Plus en détailManque de reconnaissance. Manque de contrôle
CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons
Plus en détailProfesseur Thierry BOUGEROL
UE7 - Santé Humanité Société Chapitre 2 : Développement psychologique : personnalité et tempérament Professeur Thierry BOUGEROL Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous
Plus en détailStage Ini*ateur Club Comité Départemental 54 Nancy 11 et 12 octobre 2014. Les responsabilités des encadrants
Stage Ini*ateur Club Comité Départemental 54 Nancy 11 et 12 octobre 2014 Les responsabilités des encadrants Introduc)on De par ses préroga*ves et ses fonc*ons, l ini*ateur a des responsabilités et des
Plus en détailAtelier sur le contrôle parental
Atelier sur le contrôle parental Vos enfants connaissent Internet mieux que vous! Dans le cadre de cet atelier de contrôle parental, il a été décidé d élaborer une liste d informations pour des parents
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 711 SÉNAT SECONDE SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2009-2010 Enregistré à la Présidence du Sénat le 15 septembre 2010 PROPOSITION DE LOI visant à limiter la production de viande provenant d animaux abattus
Plus en détailUn contrat de respect mutuel au collège
Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en
Plus en détail«La capacité à être seul», WINNICOTT
«La capacité à être seul», WINNICOTT La capacité d être seul est un signe des plus importants de la maturité du développement affectif. On repère chez le sujet ce qu il éprouve dans des situations de solitude,
Plus en détailDroits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre.
Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. 1 Qu est-ce qu un aidant familial Une personne qui vient en aide, à titre non professionnel
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailCOUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS
COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse
Plus en détailPeut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr
Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?
Plus en détail- Je m appelle le Docteur - Docteur qui? - Juste le Docteur. Biographe
- Je m appelle le Docteur - Docteur qui? - Juste le Docteur Biographe Le Docteur une personne énigmatique à bien des égards. Peu de personne ont pu le voir, l approcher ou même voyager avec lui. Et s il
Plus en détailLignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6
Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.
Plus en détailLa fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter
La fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter Dr Patrick GINIES, Anesthésiste, Centre d'évaluation et de traitement de la douleur CHU MONTPELLIER Patient partenaire et soignant partenaire Le rôle
Plus en détailLes Principes fondamentaux
Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du
Plus en détailQuestionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes
Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes
Plus en détailVous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire
Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un
Plus en détailAnnie Claude Sortant-Delanoë. L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir
Annie Claude Sortant-Delanoë L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir À sa naissance, l enfant est un organisme dont le cri exprime un besoin. Ce cri n a aucune intention de signification.
Plus en détail25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE
25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE Fidèle aux exigences de Liberté, d Égalité et de Fraternité qui le fondent, le Grand Orient de France a pour principe essentiel la liberté absolue
Plus en détailRappelons d abord l événement dans ses grandes lignes.
Étude de cas : Hydro-Québec et la tempête de verglas par Steve Flanagan Présenté au colloque «Les communications en temps de crise» Organisé par l Université du Québec à Montréal janvier 1999 L analyse
Plus en détailLa notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION
La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION Le concept d équipe de soutien dans les soins palliatifs à domicile belges est récent. On évoque aussi
Plus en détailLes Français, l épargne et la retraite Enquête 2011
Les Français, l épargne et la retraite Enquête 2011 Le Cercle des Epargnants, partenaire du Groupe Generali A la demande du Cercle des Epargnants et de Generali, le Centre d Etudes et de Connaissances
Plus en détail- GEOPSY.COM - Psychologie interculturelle et Psychothérapie - LE COMPTE RENDU
LE COMPTE RENDU + Le compte rendu doit être court et organisé = organiser les thèmes avec une certaine logique (les annoncer, les expliquer...) + but = transmettre des éléments informatifs + Ne pas faire
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailSOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE
SOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE Veuillez trouver ci-après la version sommaire des Standards Minimums pour la protection de l enfance dans l intervention
Plus en détail