Par. France Arbour, infirmière, Service de santé, sécurité et mieux être au travail
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- Marie-Josèphe Dupuis
- il y a 8 ans
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1 Par France Arbour, infirmière, Service de santé, sécurité et mieux être au travail Catherine Martel, conseillère en soins infirmiers, service de la formation 29 novembre 2012
2 » Présentation des animatrices» Formation continue en simultané via visioconférence (de jour seulement)» Importance de compléter les fiches de présences» Formation volontaire (non rémunérée)» Durée de la formation et période de questions à la fin
3 » Comprendre l importance de la vaccination.» Reconnaître nos responsabilités professionnelles.» Se familiariser avec le calendrier de base.» Être en mesure de promouvoir la vaccination.» Être capable de répondre aux questions et craintes de la population.» Prendre conscience de nos propres croyances et attitudes.
4 » Histoire des vaccins et leur évolution» Le système immunitaire» Les prises de position des ordres professionnels» Le calendrier de vaccination au cours d une vie» Les différents impacts» Prérequis souhaités des travailleurs de la santé» Allégations et pistes de réflexion
5 » On dit que les Chinois et les Indiens connaissaient la «variolisation» avant le XI e siècle. Ils essayaient de combattre la variole (petite vérole) en mettant en contact des personnes saines avec le contenu de pustules des malades.» Le mot vaccination (latin vaccinae) signifie étymologiquement «envachement». C est le terme apparu vers 1880 suite aux travaux de Jenner qui avait immunisé des patients contre la variole de la vache.
6 » Par la suite, c est Louis Pasteur qui a expliqué le principe d action de la vaccination. Il s est basé sur les études de Koch mettant en relation les microbes et la maladie.» La première vaccination humaine fut celle d un enfant contre la rage le 6 juillet L enfant avait été mordu par un chien enragé et Pasteur accepta le défi de le vacciner.
7 1798 : Variole 1885 : Rage 1896 : Typhoïde, choléra 1923 : Anatoxine diphtérique 1926 : Anatoxine tétanique 1927 : BCG 1936 : Fièvre jaune 1945 : Grippe 1955 : Poliomyélite 1963 : Rougeole 1967 : Oreillons 1969 : Rubéole 1980 : Haemophilus influenzae b conjugué 1981 : Hépatite B 1992 : Encéphalite japonaise 1995 : Varicelle, hépatite A 1998 : Rotavirus 2006 : Papillomavirus
8 » Selon l Organisation mondiale de la santé (OMS), de toutes les interventions sanitaires, la vaccination est l une des plus efficaces.» Il est établi que la vaccination permet de combattre et d éliminer des maladies infectieuses potentiellement mortelles et on estime qu ainsi plus de 2 à 3 millions de décès par an sont évités.» C est l un des investissements les plus rentables dans le domaine de la santé.
9 Immunité acquise Active Passive Naturelle (infection) Artificielle (vaccination) Naturelle (anticorps maternels) Artificielle (immunoglobulines)
10 Un produit biologique fabriqué à partir de: bactéries ou de virus complets; de leurs constituants (polysaccharides, protéines ); OU de leur produit (toxines) dont on enlève par différents procédés la capacité de produire la maladie Les vaccins peuvent être vivants atténués ou inactivés.
11 » La plupart des maladies évitables par les vaccins sont dues à des virus ou des bactéries.» Les vaccins contiennent généralement des virus ou des bactéries atténués ou inactivés, spécifiques de la maladie.» Les vaccins permettent à l'organisme de reconnaître et de combattre ces microorganismes au moindre contact avec ces derniers.
12 » La vaccination permet à l'organisme de combattre une maladie en plusieurs étapes : Le vaccin est administré. Au cours des semaines qui suivent, l'organisme fabrique des anticorps et des cellules à mémoire dirigés contre les microorganismes atténués ou tués dans le vaccin.
13 Désormais, si les virus ou les bactéries responsables de cette maladie envahissent l'organisme, ils sont détruits par les anticorps circulants, et la personne ne tombe pas malade. Les anticorps et les cellules à mémoire persistent dans l'organisme pendant des années après la vaccination et le protègent contre les micro-organismes responsables de la maladie. Certains vaccins doivent avoir des rappels afin d assurer une mémoire immunitaire pour la vie.
14 Vaccins vivants atténués Vaccins inactivés Entiers À protéines purifiées Polysaccharidiques Conjugués (polysaccharides + protéines)
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16 » Le Code de déontologie des infirmières auxiliaires (OIIAQ), à l article , mentionne : Le membre doit coopérer en toute circonstance à la conservation de la vie, au soulagement de la souffrance, au traitement de la maladie et à la promotion de la santé. La vaccination est un incontournable des activités de prévention de la maladie et de promotion de la santé.
17 » Comme professionnelles, les infirmières et infirmières auxiliaires ont: L obligation de faire preuve de compétence, L obligation de faire preuve d habileté, L obligation de tenir compte des limites de leurs connaissances et leurs habiletés, L obligation de faire preuve de diligence.
18 » Depuis l entrée en vigueur de la loi modifiant le code des professions en 2003, l infirmière peut vacciner sans ordonnance collective ou individuelle conformément au Protocole d Immunisation du Québec.» L infirmière auxiliaire peut contribuer à la vaccination en vertu du code des professions.
19 L OIIQ considère que toutes les infirmières doivent, quelles que soient leurs propres attitudes et croyances en matière de vaccination:» faire preuve de sens critique relativement aux messages véhiculés par divers groupes anti-vaccination;» donner de l information fondée sur des preuves scientifiques;» se rappeler que le bien-être du client prime sur leurs convictions personnelles.
20 » De plus, les infirmières doivent promouvoir la vaccination dans toutes les situations cliniques, la recommander clairement lorsqu elle est indiquée et procéder à la vaccination des clientèles.» Les infirmières, particulièrement celles qui sont en contact direct avec les clientèles, doivent s assurer d avoir une immunité de base et recevoir annuellement le vaccin contre l influenza.
21 » Pour pouvoir faire la promotion de la vaccination il faut connaître: les recommandations du Protocole d Immunisation du Québec (PIQ), le calendrier vaccinal de base, les effets secondaires des vaccins, les informations nécessaires pour être en mesure de répondre aux questions, aux craintes et aux réticences de la personne à vacciner.
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29 2 mois DCaT Polio Hib Pneumocoque conjugué Rotavirus 4 mois DCaT Polio Hib Pneumocoque conjugué Rotavirus 6 mois DCaT Polio Hib Influenza (selon la période)
30 1 an RRO Varicelle Pneumocoque conjugué Méningocoque conjugué sérogroupe C 18 mois DCaT Polio Hib RRO 4 à 6 ans dcat Polio
31 9 à 11 ans Hépatite B VPH (filles pour le moment) présentement offert en 4 e année du primaire 14 à 16 ans dcat d 2 t 5 aux 10 ans présentement offert en 3 e secondaire
32 50 ans dcat d 2 t 5 OU 60 ans Influenza annuellement (clientèle générale) 65 ans Pneumocoque polysaccharidique (1 fois pour la clientèle générale)
33 » La fréquence accrue des voyages internationaux augmente le risque pour une personne de contracter une maladie infectieuse endémique dans le pays visité et de transmettre diverses maladies à son retour au pays.» Les voyageurs doivent recevoir les vaccins obligatoires ou recommandés selon les pays visités.» La clinique du voyageur existe dans Lanaudière afin de répondre à ce besoin/exigence.
34 » Actuellement, aucune loi ni la Charte des droits et libertés de la personne n oblige les professionnels de la santé à se faire vacciner.» L immunisation constitue toutefois une mesure volontaire de protection qui peut protéger d autres personnes en brisant la chaîne de transmission.» Les autorités de la santé publique recommandent ce moyen de prévention aux travailleurs de la santé.
35 » La décision de se faire vacciner repose alors sur des principes éthiques puisque dans la société l avantage que présente la vaccination sur le plan collectif est considéré comme supérieur au risque minimal encouru par la personne vaccinée!
36 » La vaccination annuelle contre l influenza est capitale pour les travailleurs de la santé qui sont en contact direct avec des clients.» Recevoir le vaccin contre l influenza constitue pour l infirmière un comportement responsable et professionnel.
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38 Les manifestations possibles après la vaccination sont:» Réactions locales: Très courant (10à49%): douleur, érythème œdème Courant(1 à 9%) :douleur importante, érythème et œdème important Rare(1 à 9 pour ): nodule persistant» Réactions systémiques: Très courant(10 à 49%): fièvre(38 C), agitation et pleurs, diminution de l appétit, somnolence, irritabilité Courant(1 à 9%): fièvre à plus de 39.5 C» Réactions d hypersensibilité (ou réactions allergiques): Risque infime à 1 pour à 1 million d avoir une anaphylaxie
39 » Évanouissement (hypotension transitoire)» Réaction d hypotonie-hyporéactivité (vaccin anticoquelucheux)» Urticaire localisé ou généralisé (+/- 24 hrs)» Réaction d Arthus (réaction locale grave)
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41 » Coûts direct d une éclosion d influenza (France 1999 = 34000$ 2012????)» Blouses, gants, masques» Ajout de personnel: Personnel soignant dédié pour cohorte de clientèles infectées Entretien sanitaire pour appliquer désinfection adéquate» Antibiothérapie lors de complications» Prophylaxie par antiviraux (pour les non-vaccinés)
42 » Environ 25% des travailleurs de la santé sont atteints au cours de la saison hivernale.» Chaque personne «influenza positive» peut contaminer 3 à 4 personnes de son entourage.» Le virus se transmet de façon exponentielle: Une personne 4 personnes 16 personnes etc» Hausse de l absentéisme, impact sur les autres travailleurs qui deviennent épuisés.» Débordement dans les cliniques, à l urgence.
43 » Augmentation des demandes à Info-santé;» Unités fermées, aucun transfert /admission possible le temps de l éclosion;» Report d activités, annulation de chirurgies;» Détérioration de l état de santé et décès possibles pour les usagers.
44 » %» %» CIBLE = 41%
45 Éclosions en CHSLD du 2 janvier au 12 mars 2011 Durée moyenne; 17,5 jours
46 » Pourquoi est-ce important comme travailleurs de la santé d avoir une immunisation à jour??? Contacts étroits avec clientèle à risque; Contacts avec des clientèles potentiellement infectées par Hép.B, Hép.C, VIH, tuberculose, etc» Comme travailleur on se doit de protéger les autres et il faut aussi penser à se protéger soimême!
47 Comme travailleur de la santé, je dois avoir un statut vaccinal adéquat:» Diphtérie/tétanos: vaccination de base et rappel tous les 10 ans.» Coqueluche : 1 dose du vaccin acellulaire» RRO: né(e) avant 1970: preuve sérologique né(e) depuis 1970: 2 doses de RRO ou 1 dose de RRO et 1 antirougeoleux
48 » Varicelle: histoire de varicelle ou sérologie (si sérologie négative: 2 doses de vaccin)» Hépatite B: 3 doses et sérologie anti-hbs (protection à vie si un taux anti-hbs supérieur ou égal à 10 UI/L» Influenza: vaccination à chaque automne
49 » HEP B 1-31%» HEP C 0.5%» VIH 0.3%» Chimioprophylaxie 79%
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51 » Statistiques» Fléau» Responsabilisation» Kit de départ: CHSLD
52 » Comprendre l importance de la vaccination et être en mesure de la promouvoir!» Pour y arriver, il faut être en mesure de répondre aux interrogations, craintes et réticences possibles: Les vaccins sont-ils sécuritaires et efficaces? Qu arriverait-il si nous cessions de vacciner? Pourquoi vacciner contre des maladies qui ont pratiquement disparu de notre pays?
53 » Les vaccins sont parmi les outils les plus sécuritaires de la médecine.» La sécurité des vaccins est un préoccupation partout dans le monde; Beaucoup d études réalisées Système de surveillance: obligation de déclarer MCI Programme québecois est en lien avec l Agence de la santé publique du Canada et le programme international de l OMS
54 » Différents groupes d experts sont mandatés pour analyser les risques associés aux vaccins (Institute of Medicine, OMS, Cochrane Collaboration). Les analyses de la littérature scientifique (études réalisées partout dans le monde) montrent de façon très concluante que: Le RRO ne cause pas l autisme; Le vaccin contre Hép. B ne cause pas la sclérose en plaques ni de fatigue chronique; Les vaccins n augmentent pas le risque d asthme ou d allergies; Les vaccins ne causent pas le cancer ni le diabète
55 » Les vaccins sont très efficaces: La variole a été éradiquée de la planète; Canada exempt de poliomyélite en 1994; Plusieurs maladies sont maintenant extrêmement rares grâce aux vaccins (tétanos, diphtérie, rubéole, etc ); La première cause de méningite bactérienne chez les enfants (hib) a été mise en échec; Hép. B a pratiquement disparu dans les cohortes des jeunes vaccinés.
56 » L expérience d autres pays nous démontre clairement la réapparition de la maladie: En Irlande, diminution de la couverture vaccinale de la rougeole: le nombre de cas est passé de 148 cas en 1999 à 1603 cas en 2000 et 3 enfants sont décédés des complications de la maladie Dans l ancienne Union soviétique, la baisse de la couverture vaccinale contre diphtérie: a entraîné cas et 4000 décès entre 1990 et 2001 En Grande-Bretagne, diminution du taux de vaccination contre la coqueluche en 1974: épidémie en 1978 qui a frappé plus de personnes et entraîné 36 décès. Similaire en Suède et au Japon.
57 » À l exception de la variole, maintenant éradiquée, toutes les autres maladies circulent encore à divers degré dans le monde.» Le tétanos devenu très rare sur le continent nord-américain, existera toujours du fait qu il est causé par une bactérie vivant dans le sol.
58 » La vaccination est un grand succès de la médecine.» Beaucoup d entre nous n avons jamais vu de personnes atteintes de diphtérie, de poliomyélite ou autres.» Étant donné ces succès, les regards sont maintenant tournés plutôt vers les risques ou allégations de risques associés aux vaccins que vers les risques de la maladie.
59 » On veut vous entendre Est-ce que vous êtes plus à l aise de parler de vaccination? Pensez-vous être en mesure de mettre en pratique les choses apprises? Comment?
60 La promotion de la vaccination par les professionnels de la santé n est pas un choix, mais une responsabilité professionnelle!
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62 » Comité d immunisation du Québec (2009). Protocole d immunisation du Québec, 5 e édition, Québec, Ministère de la Santé et des Services sociaux, Direction générale de la santé publique.» Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec (2012). Recommandation de l OIIAQ concernant la vaccination annuelle contre l influenza, Montréal, OIIAQ.» Ministère de la Santé et des Services sociaux (2005). Immunisation des travailleurs de la santé, des stagiaires, et de leurs professeurs: recommandation, Québec, MSSS, Direction générale de la santé publique.» Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (2003). Guide d application de la nouvelle Loi sur les infirmières et les infirmiers et de la Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé, Montréal, OIIQ
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