L utilité de la surveillance à l échelle locale : l évaluation de l impact sanitaire de la pollution atmosphérique

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1 Polluants de l air : réduire les expositions pour protéger la santé L utilité de la surveillance à l échelle locale : l évaluation de l impact sanitaire de la pollution atmosphérique Claude TILLIER Responsable Cire Bourgogne Franche-Comté

2 L évaluation du risque sanitaire Evaluation à partir de données individuelles! Etudes épidémiologiques de cohortes ou cas-témoins Evaluation à partir de données agrégées! Etudes épidémiologiques écologiques spatiales, temporelles (exemple effet de la qualité de l air) Evaluation à partir de données d exposition :! Evaluation quantitative de risques sanitaires (EQRS) : données souvent toxicologiques (animal), utile quand on veut savoir si on peut exclure le risque! Evaluation quantitative d impact sanitaire (EIS) : relation dose-effet chez l Homme à partir d études épidémiologiques, permet de calculer une fraction attribuable

3 Schéma conceptuel de l évaluation d impact sanitaire

4 L utilité de l EIS Le problème des risques relatifs faibles :! Risques relatifs forts disparus (Londres 1952 avec poêles à charbon individuels et conditions météo particulières )! Nécessité d études lourdes pour les risques relatifs faibles Capitalisation des connaissances pour évaluer! Relations dose-effet établies dans le cadre du Psas 9! Relations établies grâce à l importance de la population étudiée ( d habitants pour le risque aigu) Possibilité d évaluer à des échelles fines! La relation établie, on peut l utiliser à plus petite échelle! En France environ un mort par jour pour habitants

5 Le niveau infrarégional : les pays en Bourgogne, territoires de proximité pour l ARS

6 L utilité des études locales au niveau du décideur L Etat n est plus tout, mais n est pas rien! Règles européennes, voire mondiales! Mais fixe le cadre national (loi sur l énergie ) La région, un niveau de planification! Des plans régionaux : PRQA, SRCAE, PRSE! Des demandes régionales : EIS régionale, impact sanitaire des pesticides dans l air, impact sanitaire du radon Des niveaux d action et d aménagement! Niveaux d action : département, pays (sens administratif)! Niveaux de choix d aménagement : SCOT! Commune, communauté de communes ou d agglomération! Citoyen(ne)s

7 Les schémas de cohérence territoriale (SCOT) Zones d aménagement du territoire

8 Comment s adresser à un interlocuteur local? L interaction émetteur-message-récepteur! Emetteur : quel(s) message(s) faire passer! Récepteur : connaissances antérieures, schémas conceptuels, le poids des images, les idées reçues! Message : l importance du comment Questions locales! Quel est le problème?! Comment se situe ma zone?! Y-a-t-il des inégalités territoriales dans ma zone?! Quelle est l origine du problème?! Que peut-on faire?! Combien cela coûte de régler le problème?

9 Exemple de mémoire sélective : une partie de la mortalité de la canicule 2003 était due à l ozone

10 Le radon : connaissances antérieures Des décideurs! Les zones à risque sont les zones granitiques! Il faut dépister les logements à risque en zone à risque! Il faut informer la population de ventiler et de mener des travaux dans les logements à risque (> 400 Bq/m3) De la population! Lors de l enquête menée dans 454 logements (sondage aléatoire au 1/1000è), 11 % savaient que le radon présentait des risques pour la santé

11 Les idées reçues : le radon problème des zones granitiques

12 La réalité : le radon problème en zone sédimentaire en Franche-Comté

13 Les résultats de l EIS radon 110 morts par cancer du poumon par an! Ou 1 % de la mortalité totale, ou 20 % des morts par cancer du poumon, ou deux fois plus que la route Mais aussi! 94 % des morts attribuables au radon sont des fumeurs! 90 % des morts attribuables en zone sédimentaire! Concentrations en radon 60 % plus élevées dans les logements d après 1974 et de 90 % dans les avant 1948 Mais encore dans une étude médico-économique! Le dépistage et la remédiation des logements de plus de 400 Bq/m3 en zone granitique ne permettrait d éviter que 2 morts par cancer du poumon par an

14 Mais également une faible efficacité de la ventilation

15 Une faible efficacité lors de l évaluation de la politique menée Connaissances des personnes à risque fort! 11 % connaissaient le risque radon lors de l enquête! 75 % connaissaient ce risque 4 ans après l enquête! 64 % se souvenaient qu il était faible (35 %) moyen (29 %) Pratiques des personnes à risque fort! Aucune n avait réalisé les travaux préconisés! 8 % avaient fait des travaux pour d autres raisons

16 Les pesticides dans l air : le choc des images

17 Les pesticides dans l air : les idées reçues Pesticides dans l air dangereux! Coefficients d absorption importants! Cancérogènes! Effets cocktails Risques pour les riverains! Professionnels habillés comme des cosmonautes! Odeurs et bruits! Obligés de fermer les fenêtres

18 La réalité : air intérieur plus pollué en pesticides que l air extérieur par des composés plus toxiques

19 Les résultats de l EQRS et de l étude d exposition EQRS! 50 molécules mesurées! Pas d effet cocktail connu! QD < 10-3 en chronique et 10-2 en aigu (lindane)! 100 fois plus faibles pour pesticides agricoles! < cancer par région! Calculs avec coefficients d absorption respiratoire pris à 100 % mais inconnus Etude d exposition! En chronique apport alimentaire fois plus important! En aigu apport alimentaire 10 à fois plus important! Composés peu volatils, adjuvants odorants et volatils

20 L EIS dans l air : idées reçues L air d abord un problème climatique :! Limiter la consommation d énergie! Développer les énergies renouvelables La confusion entre environnement et la santé! Le CO2 souvent perçu comme le principal risque sanitaire! Les énergies renouvelables favorables à la santé En santé le principal problème est celui des pics! On ne parle de risques sanitaires qu au moment des pics! On ne met en œuvre des actions qu au moment des pics! Des différents politiques apparaissent pour les pics

21 Le problème : comment le dire? EIS : morts par an en France Autres présentations :! 8 % de la mortalité française! Deuxième facteur de risque de mortalité en France après le tabac (73 000) et l alcool (49 000)! Plus de 10 fois plus de morts que les accidents de la route! Première cause de mortalité par un facteur environnemental! 7 mois d espérance de vie en moins à cause de la pollution atmosphérique Niveau régional : possibilité d échanges, de tests

22 Peut-on faire quelque chose (1)? exemple des accidents de la route

23 Peut-on faire quelque chose (2)? Les EIS d agglomération existantes! Scénario traitement des pics (peu d effets)! Scénario réduction 25 % plus efficace, mais peu parlant! La démarche normale est donner l efficacité d une action Traiter la pollution de fond, mais comment?! Les actions connues sont celles relatives à l énergie! Ajouter aux objectifs environnementaux des sanitaires! Il faut présenter les impacts sanitaires des actions environnementales Tester localement le vocabulaire! La notion de mort anticipé mal comprise : tout le monde meurt trop jeune

24 L origine du problème : l inventaire des émissions. Cela permet-il de passer à l action

25 Comment passer des émissions aux expositions? Les émissions pas uniformément réparties! La réduction des émissions intéressantes pour le risque climatique planétaire (CO2)! La réduction des émissions souvent insuffisante pour le risque sanitaire La population pas uniformément répartie! Nécessité d une démarche d aménagement du territoire! Répartition des populations et des émissions La modélisation indispensable pour l impact local d un projet

26 L origine du problème : un autre choix de présentation plus explicite?

27 Les actions en matière d énergie et de climat Mesures pics! Circulation alternée! Gratuité transports! Limitation de vitesse Mesures «climatiques»! Mise en place d un tram! Pistes cyclables! Chauffage bois (rejets en particules)! Véhicules électriques! Covoiturage! Rapprocher zones d habitation et de travail

28 Les manques d information sur les actions Pour les actions connues! Impact sanitaire de l action Lister les actions en matière de santé! Pour leur donner un poids rééquilibré par rapport au climat! Cela permet notamment de faire apparaître que le chauffage au bois individuel pose problème Quelles préconisations au niveau très local?! Quel urbanisme près des axes de grande circulation?! Si on ne construit pas près des axes quelles utilisations?! Faut-il mener une réflexion conjointe bruit-air?

29 Combien ça coûte Le coût de la pollution atmosphérique?! Des publications sur le coût! Un coût de maladie qui n est pas à la charge de ceux qui financent la prévention Le coût de la prévention?! Un coût à la charge des collectivités locales! Quelles motivations pour les collectivités locales?! S appuyer sur les contraintes réglementaires et sur les motivations locales

30 En conclusion Inscrire la santé dans les démarches environnementales Articuler la santé avec d autres préoccuppations Communiquer en allant jusqu à des orientations d action Ne pas se substituer à des bureaux d étude et à des décideurs Tester le «comment» pour provoquer l adhésion

31 ! MERCI

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