De la gestion des lits à l ordonnancement : expérience du CHU de Nantes
|
|
- Baptiste Latour
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 De la gestion des lits à l ordonnancement : expérience du CHU de Nantes Les rencontres Qualité Efficience ARS 24 janvier 2012 Jean-Claude Vallée, Coordonnateur général des soins Thomas Roux, Directeur de plateforme de proximité CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 1
2 Plan de la présentation 1. Organisation du CHU de Nantes, 2. La commission de l organisation et de l optimisation de l activité (C20A) et le contrat de performance du CHU de Nantes, 3. L ordonnancement du circuit patient et la gestion des lits, 4. Le projet «convergence des organisations médicosoignantes». CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 2
3 Plan de la présentation 1. Organisation du CHU de Nantes, 2. La commission de l organisation et de l optimisation de l activité (C20A) et le contrat de performance du CHU de Nantes, 3. L ordonnancement du circuit patient et la gestion des lits, 4. Le projet «convergence des organisations médicosoignantes». CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 3
4 Le CHU de Nantes: la gouvernance actuelle 24 pôles cliniques et médico-techniques regroupés dans 6 plateformes: Médecine-Cancer-Hématologie Ostéo-articulaire Institut des Maladies de l Appareil Digestif (IMAD) Mère et Enfant Tête et cou Odontologie Institut du Thorax Institut de Transplantations Urologie Néphrologie (ITUN) Neurosciences Gérontologie clinique Pôles sous la responsabilité d un Urgences directeur (chef) de pôle, entouré Psychiatrie (6 pôles) d'un cadre soignant de pôle et MPR - Soins de suite d'un assistant de gestion Anesthésie-réanimations Biologie Centre de Ressource des Blocs Opératoires (CRBO) Imagerie et Explorations Fonctionnelles Pharmacies-Stérilisation CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 4
5 L avenir : la création des Pôles Hospitalo-Universitaires Pôle Hospitalo-Universitaire 10 «MPR» PHU «Gérontologie» 9 (dont Médecine aigue gériatrique) Pôle Hospitalo-Universitaire 8 «Psychiatrie» PHU 1 PHU 2 PHU 3 PHU 4 PHU 5 (Hématologie, Cancérologie d organes, IMAD, ITUN, Dermatologie) (Institut du Thorax, Neurologie) (Urgences, Soins Critiques, Pôle Anesthésie - Réanimations, Médecine Interne, Médecine Infectieuse) (Tissus Osseux, Chirurgie réparatrice et Ambulatoire, POA, Pôle Tête et Cou, Odontologie, Neuro chirurgie Neurotraumatologie) (Pôle Mère- Enfants) Ensemble fonctionnel «CRBO - Imagerie», en lien avec le PHU 6 «Imagerie» PHU 7 «Pharmacie - biologie» PHU 11 «Santé Publique, Information Médicale, Médecine du Travail, Épidémiologie, EPP» CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 5 Version de juin 2011
6 Plan de la présentation 1. Organisation du CHU de Nantes, 2. La commission de l organisation et de l optimisation de l activité (C20A) et le contrat de performance du CHU de Nantes, 3. L ordonnancement du circuit patient et la gestion des lits, 4. Le projet «convergence des organisations médicosoignantes». CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 6
7 La Commission d organisation et d optimisation de l activité (C2OA) Mise en place en 2005 de la commission des admissions et consultations non programmées (CACNP), sous-commission de la CME, Puis installation de la commission d organisation et d optimisation de l activité (C2OA) en 2009 : Le développement ciblé de l activité de proximité, Le développement de nouvelles consultations, Le développement et la structuration des alternatives à l hospitalisation, L amélioration de la gestion des lits (dont l articulation des congès médicaux et non-médicaux avec les fermetures prévisionnelles de lits et des blocs opératoires). CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 7
8 Composition de la C2OA Président : 1 chef de service Référent administratif : 1 directeur adjoint, 16 médecins (chefs de service ou responsables d unités médicales), 6 cadres de santé et 1 cadre administratif, 2 directeurs des soins, 4 directeurs adjoints, 1 ingénieur informaticien. CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 8
9 La feuille de route du contrat performance Axes N Act ions ident if iées Axes Managér iaux et St r at égiques Axes d Amélior at ion des pr ocess or ganisat ionnels 1 Accompagner les équipes médicales dans la déclinaison de la st r at égie au niveau des pôles Aider à la mise en uvr e de nouvelles or ganisat ions int er nes aider au 2 développement des out ils de gest ion et de cont r act ualisat ion Évaluer les act ivit és et le coût de la r echer che Développer les r elat ions ent r e le CHU et ses pr escr ipt eur s et opt imiser de 3 l or ganisat ion des secr ét ar iat s médicaux dans un object if d amélior at ion de la qualit é de la r elat ion avec la médecine de ville 4 Amélior er la chaîne de t r ait ement de l infor mat ion médicale 5 Management des lit s : or ganiser les act ivit és pr ogr ammées et non pr ogr ammées en lien avec la pr ise en char ge des ur gences et la gest ion des lit s 6 Or ganiser et dimensionner les blocs opér at oir es 7 Or ganiser l ambulat oir e et les hôpit aux de jour 8 Or ganiser les consult at ions ext er nes et les explor at ions f onct ionnelles 9 Or donnancement du cir cuit du pat ient 10 La coor dinat ion des par cour s de soins int r a et ext r a hospit alier Axes complément air es 11 Valor isat ion du pat r imoine 12 Pr ogr ammat ion Ile de Nant es CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 9
10 Ordonnancement du circuit patient (Action 9) Sous l égide de la C2OA, l ordonnancement du circuit patient poursuit plusieurs objectifs : - Rendre lisible pour le patient l ensemble du circuit, - Coordonner tous les acteurs de la prise en charge du patient, - Réduire les reports d intervention par manque de lits, - Offrir la possibilité de répondre en temps réel aux demandes d entrée directe, - Optimiser le «programmé» pour favoriser l accueil du «non programmé», - Simplifier le processus de programmation de prise en charge du patient. Plusieurs actions et projets du contrat de performance concourent à l ordonnancement: Gestion des lits (action 5), Projet convergence des organisations médico-soignantes, Réorganisation des blocs opératoires (action 6), Coordination des parcours de soins intra et extra hospitalier (action 10) Mais aussi : L organisation de l ambulatoire et des hôpitaux de jour (action 7), Les consultations et les explorations fonctionnelles (action 8), L accès aux plateaux techniques (imagerie notamment). CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 10
11 Ordonnancement du circuit patient Hospitalisation Ambulatoire Ambulatoire Consultations Consultations Consultations Projet Convergence Projet Convergence Projet Convergence Projet Convergence Gestion des lits Gestion des lits Gestion des lits Gestion des lits CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 11
12 Plan de la présentation 1. Organisation du CHU de Nantes, 2. La commission de l organisation et de l optimisation de l activité (C20A) et le contrat de performance du CHU de Nantes, 3. L ordonnancement du circuit patient et la gestion des lits, 4. Le projet «convergence des organisations médicosoignantes». CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 12
13 Gestion des lits et ordonnancement du circuit patient Objectifs: Travailler sur l articulation des activités programmées et non programmées en lien avec les urgences en intégrant les problématiques de gestion des lits et d accessibilité des plateaux techniques. «Nous subissons la gestion des lits au quotidien» Le point de vue du service des urgences : Un besoin en lit d hospitalisation constant dans le temps (40 à 60 patients/j) + des périodes critiques, Une demande forte d accessibilité aux divers plateaux techniques (imagerie, blocs, biologie), La nécessité d une gestion optimisée des lits d aval. Le point de vue des pôles cliniques : La nécessité d une gestion optimisée des lits (effet délétère des déprogrammations pour l activité et l image du CHU), Un manque de disponibilité des plateaux techniques et notamment l imagerie, Le souhait de respect de l organisation de leur filière de soins par rapport aux partenaires (ville, hôpitaux). Le point de vue des pôles médico - techniques : L impact de la disponibilité des lits sur l activité L interface avec les autres organisations (services, brancardage). CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 13
14 Profil d occupation des lits réalisé par la Société EFFIGEN Analyse à l échelle de l ensemble des activités MCO du CHU Le graphique ci-dessous représente l occupation des lits d hospitalisation conventionnelle en semaine (hors vendredi, samedi et dimanche) à minuit sur les mois de pleine activités (hors juillet, août et décembre) L occupation générée par les patients programmés est plus instable que celle générée par les patients en provenance des urgences Le profil d occupation des lits global est similaire à celui des patients programmés. Les pics d activités sont uniquement dus au flux programmé Entre 150 et 200 lits sont disponibles tous les jours à minuit sur le CHU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES L occupation générée par les urgences est stable dans le temps Page 14
15 Les priorités pour le CHU de Nantes 1. Connaître le flux des patients : ce qui est aléatoire l est-il vraiment? Ce qui est programmé est-il bien organisé? 2. Réguler «le programmé», 3. Zéro attente après orientation aux urgences, 4. Favoriser les entrées directes (hors SAU, contact avec la médecine de ville), 5. Coordonner le circuit du patient : Gains potentiels d activité supplémentaire impacts + sur la qualité des soins (diminution du taux de journées non pertinentes, meilleur accès pour les patients hospitalisés depuis les urgences) et sur les conditions de travail des personnels (lissage de la charge de travail sur la semaine) CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 15
16 L expérience de la cellule du pôle Tête et Cou Consultation OPH Consultation ORL Consultation CMF-STO Blocs opératoires Consultation CPlastique Ouverture Nov Programmations /sem Entre 600 et 700 entrées / Mois Patients Adultes et Enfants Cellule de Coordination Service Commun d Hospitalisation Tête et Cou 80 LITS et 14 places HC HDS HDJ CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 16
17 L expérience de la cellule du pôle Tête et Cou Points forts Les modifications des pratiques médicales : les praticiens se déplacent désormais au lit du malade où qu il soit, L acceptation du corps médical qui traditionnellement est attaché à la maitrise de la gestion des lits, Le périmètre du service -80 Lits et les différents modes d hospitalisation (HC, HDS, HDJ), La centralisation de l information, Points faibles Taux d urgence intégré en dessous du réel (intégration de 10% et réellement environ 15%) Évaluation des Durées prévisionnelles de séjour à améliorer, Dissociation gestion lits et blocs pour la programmation +++ Difficultés de gestion quand les lits sont préemptés, Nombreux outils différents pour la gestion et absence d interface entre eux (G.GUS, Q- Planner, Q-Bloc, suiv plan, geslit) : manque d information exacte en temps réel sur l occupation actuelle et prévisionnelle. CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 17
18 Objectif : Une cellule d ordonnancement sur un périmètre élargi (PHU 4) Définition: Cellule d ordonnancement : organiser le parcours de prise en charge du patient en : Optimisant l utilisation des lits Maximisant le nombre de patient, Respectant les contraintes de qualité et de disponibilité des équipements Planification, programmation, régulation et analyse Relation avec l ensemble des acteurs impliqués dans l organisation du circuit patient Programmation du séjour Saisie de RDV Réservation d un volume de lits Supervision de l accueil du patient Avant le séjour : contrôle de cohérence du parcours patient, Lien avec les acteurs internes, Relation avec le patient/modalités pratiques du séjour, Affectation d un lit pour les patients programmés et non programmés Suivi de l occupation des lits Rôle d alerte si risque de pénurie de lits, Production d indicateurs permettant de piloter l activité (connaissance de la part des aléas : urgences + dépassement de la DPS) CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 18
19 Objectif : Constituer une cellule d ordonnancement Rappel des pré requis: Une visibilité complète et une mise à jour en temps réel de l occupation prévisionnelle des ressources (lits et plateaux techniques), connaître la durée prévisionnelle des séjours, Un décloisonnement des unités de soins distinguant deux notions : La notion d hébergement géographique La notion de responsabilité médicale Les lits sont «teintés» par une discipline médicale mais non «affectés» Un fonctionnement en équipes soignantes et médicales organisée => projet convergence Une évolution des compétences paramédicales, Un lien étroit avec le cadre de l unité et avec d autres services hors PHU Réguler les flux tout au long de la semaine ( par le bloc opératoire) pour lisser la charge de travail. CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 19
20 La «cellule d ordonnancement» du PHU 4 Organisation du circuit patient Cs Neuro Trau Cs Rhumato Cs Ortho/ Traumato Cs OPH Cs ORL Blocs opératoires Cellule d ordonnancement = Centralisation de l information et arbitrage 217 lits et 24 places Cs CMF- STO Cs CPlastique CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 20
21 Processus de prise en charge chirurgicale du patient : Séjour d un patient depuis la consultation avec décision d hospitalisation Étape 1 : Fixer la date d intervention chirurgicale Principe : le chirurgien est responsable de son programme opératoire. Il inscrit une date et respecte le temps de vacation dédié. Il remplit une fiche d hospitalisation indiquant la durée de son geste opératoire et la durée prévisionnelle de séjour. Étape 2 : Centraliser les informations et réserver un lit Principe : la cellule d ordonnancement s assure que l ensemble des RDV complémentaires sont programmés et vérifie la cohérence du parcours (disponibilité bloc et lit). Étape 3 : Prendre en compte les modifications - Principe : la cellule prend en compte, le cas échéant, les modifications demandées suite à la consultation d anesthésie. L anesthésiste est responsable de la communication au chirurgien et à la cellule d ordonnancement Étape 4 : Visualiser la charge prévisionnelle et anticiper. CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 21
22 Problématiques identifiées Rédiger une fiche «métier» sur le rôle de la cellule d ordonnancement, Définir des volumes de lits dédiés aux urgences (flux SAU + entrées directes), Définir une procédure d affectation des lits en dehors des heures d ouverture de la cellule d ordonnancement (lien avec la permanence des cadres + cadres de nuit), Tracer un circuit pour la collecte des dossiers patients, L accompagnement des professionnels (médicaux et soignants) dans leur changement de pratique Finaliser le lien avec la collecte des données informatives (bureau des entrées), Définir les outils informatiques nécessaires à la mission de la cellule d ordonnancement (SDSI). CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 22
23 Ordonnancement du parcours du patient Contraintes délai + durée Demande de Programmation Motif/Protocole Le ou à partir de Pour un durée prévisionnelle de Contrainte délai Dispo Chirurgien Médecin Dispo Ordonnancement Patient Dispo 3 types d'aléas : Entrée non programmée Durée de séjour modifiée / état du patient Durée de séjour modifiée par manque de place en structure d'aval Dispo Blocs opératoires PT Imagerie-EF Lits - Places Contrainte référentiel fluctuant CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 23
24 Plan de la présentation 1. Organisation du CHU de Nantes, 2. La commission de l organisation et de l optimisation de l activité (C20A) et le contrat de performance du CHU de Nantes, 3. L ordonnancement du circuit patient et la gestion des lits, 4. Le projet «convergence des organisations médicosoignantes». CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 24
25 Convergence Le plan d action Gestion des Ressources Humaines Un objectif global d amélioration des conditions de travail Les conclusions de la réorganisation des effectifs et les principaux dysfonctionnements mis en évidence : Organisation des visites : 40 % des citations Organisation des entrées/sorties : 30% Prescriptions : 27% Le création du groupe «convergence» Objectif : améliorer le fonctionnement des unités de soins par une meilleure coordination médico-soignante Moyen : bâtir un référentiel de l organisation de l unité de soins CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 25
26 Mise en oeuvre Analyse des points critiques dans l activité quotidienne en identifiant quelques grands processus ou activités qui posent problème, comme par exemple : La visite médicale La sortie du patient L information sur le patient CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 26
27 Les incontournables Les fondamentaux : Constitution d un binôme «médecin-cadre» pour chaque unité. Par délégation du chef de pôle : une mission confiée soit au chef de service / soit, sur proposition du chef de service, à un praticien hospitalier de l unité. Elaboration d une charte médico-soignante de fonctionnement et d organisation portant sur les items suivants : L organisation de l entrée des patients. L organisation des visites et des contre-visites. La planification des sorties des patients. La programmation des pratiques les plus courantes et/ou posant des difficultés (pansements, soins lourds, examens complémentaires ). La vérification de l adéquation des présences médicales aux fermetures de lits. Pour les unités chirurgicales : un chantier spécifique sur la continuité et la cohérence de la prise en charge des patients (consultation, bloc, suivi post-op, suivi médical), en lien avec l A/R et les services de MPU-Médecine Interne. CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 27
28 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 28
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.
Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailSécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes
Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite
Plus en détailCONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012
CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailFédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008. 24/10/2008 ROR-IF Dr F. Dolveck
Fédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008 Dr F. Dolveck 1 Premiers éléments de réflexion Des expériences localisés non concertés (92-91) : Mauvaise connaissance de l offre de
Plus en détailPROGRESSONS MAIN DANS LA MAIN EN IMPLANTOLOGIE
PROGRESSONS MAIN DANS LA MAIN EN IMPLANTOLOGIE Institut de Formation en Parodontologie et Implantologie Orale Véritable formation à la fois clinique & théorique basée sur la transmission des connaissances
Plus en détailCentre Hospitalier de Béziers
Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détailL EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE
L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailPlateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009
Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009 1 Le GCS Télésanté Lorraine La télésanté en lorraine Groupement de Coopération Sanitaire créé en
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailRAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE)
RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) SOMMAIRE pages A L étude du contexte local en matière d urgences 2 I Le CHR dans l équipement
Plus en détailAttestation de Formation Universitaire 2012-2013. «Organisation et gestion d une unité de chirurgie ambulatoire»
Attestation de Formation Universitaire 2012-2013 «Organisation et gestion d une unité de chirurgie ambulatoire» Formation Théorique (2 jours) par Visioconférences Bordeaux, Paris, Nice, Tours, Rennes,
Plus en détailSamu-Urgences de France. Référentiel
Samu-Urgences de France Référentiel Les ressources médicales et non médicales nécessaires au bon fonctionnement des structures d'urgence (Samu, Smur, Service des Urgences, UHCD) Novembre 2011 http://www.samu-urgences-de-france.fr
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailUne nouvelle ère du soin. Stratégie horizon 2018 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOULOUSE
Une nouvelle ère du soin Stratégie horizon 2018 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOULOUSE ÉDITO Principal acteur dans l offre de soins de la région, le Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse est
Plus en détailPOLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :
POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailMISSION NATIONALE D EXPERTISE et D AUDIT HOSPITALIERS
MINISTERE DE LA SANTE, ET DE LA PROTECTION SOCIALE MISSION NATIONALE D EPERTISE et D AUDIT HOSPITALIERS Rapport intermédiaire «Organisation de la chirurgie ambulatoire dans les hôpitaux et cliniques» 50,
Plus en détailOFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS
OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l
Plus en détailcurité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE
Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier
Plus en détailAssurance Maladie. Le développement de la Chirurgie ambulatoire par la MSAP et les incitations tarifaires
Assurance Maladie Le développement de la Chirurgie ambulatoire par la MSAP et les incitations tarifaires 1. LA MSAP Principe Les textes Les gestes retenus Bilan MSAP 2011 2. LES MESURES TARIFAIRES INCITATIVES
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailDIPLOME DE CHIRURGIE ORALE
DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module
Plus en détailOrganisation du suivi dans le cadre d un réseau
Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détailHaïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT Avril 2015
ETUDE DES COÛTS DES ACTES MEDICAUX EN HAÏTI: Résultats préliminaires et perspectives d utilisation dans la prise de décision Haïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT
Plus en détailNouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission
Plateforme Médicalisée 24/7 de Services Santé et Télémédecine M.D Jean-Michel Souclier H2AD propose des solutions entièrement sécurisées permettant le maintien et le retour àdomiciledes personnes fragiles:
Plus en détailVous allez être opéré du coeur
LIVRET D ACCUEIL Coordonnateur de Département Pr. Bernard ALBAT Chirurgie cardiaque et vasculaire Vous allez être opéré du coeur Pôle Coeur-Poumons CŒUR POUMONS Hôpital Arnaud de Villeneuve 2 ème étage
Plus en détailEditorial de Madame Martine AUBRY, Présidente du Conseil de Surveillance du CHRU de Lille
le projet d établissement 2012-2016 du chru de lille Editorial de Madame Martine AUBRY, Présidente du Conseil de Surveillance du CHRU de Lille Le Projet d Etablissement 2012-2016 engage la communauté des
Plus en détailLe DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012
Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche
Plus en détailLes technologies de l information, support de la réorganisation territoriale
Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) De quoi parlons-nous? Le cadre de la santénumérique
Plus en détailLe Développement Professionnel Continu
Le Développement Professionnel Continu des médecins, pharmaciens et odontologistes au CHRU de Montpellier De quoi s agit-il? Le Développement Professionnel Continu (DPC) réunit dans un concept commun la
Plus en détailÉtudes. Coût de la chirurgie d une hernie discale
Études Coût de la chirurgie d une hernie discale 1 Table des matières 03 Objectif 04 Introduction 05 Données et méthodologie 06 Caractéristiques des hospitalisations 09 Profil de la population hospitalisée
Plus en détailSystème d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS)
Séminaire SIM 07 FMP de Fès, le 02 juin 2007 Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Auteurs : Mme Drissia ELACHEJAI Ingénieur en chef Centre Hospitalier Ibn
Plus en détailCHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES
CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement
Plus en détailFutur bâtiment des lits (Bdl 2) vision 2015. Plan stratégique
Futur bâtiment des lits (Bdl 2) vision 2015 Plan stratégique 2010-2015 PLAN STRATéGIQUE 2010-2015 EN BREF : 1 vision 7 objectifs 7 programmes d actions Enjeu 1 Adapter notre CAPACITé aux nouveaux besoins
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailCHIRURGIE RESTAURATRICEDU CUIR CHEVELU : D.I.U Programme des cours pour 2009
100 heures de cours enseignement théorique -60 heures) réparties en 4 sessions enseignement pratique (20 h) stage professionnel (20 heures) Les cours sont répartis sur 4 we L examen de contrôle a lieu
Plus en détailMise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé
Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé SELARL ANALYS / SELARL ANALYS-I Une démarche d accréditation multisites Journée du 29 Juin 2010 Thierry Avellan tavellan@free.fr
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailUN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE
UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation Bureau R4 Dossier suivi par Denise Bauer Tél. : 01 40 56 52 78 Mel. : denise.bauer@sante.gouv.fr
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailProgramme d Accueil des Etudiants Internationaux Stages Hospitaliers
Programme d Accueil des Etudiants Internationaux Stages Hospitaliers Fidèle à sa tradition humaniste de partage et d ouverture, la faculté de médecine Paris Diderot propose des programmes d accueil aux
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailLes permanences d accès aux soins de santé :
Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales de Midi-Pyrénées Les permanences d accès aux soins de santé : «Les PASS» en Midi-Pyrénées Mars 2003 Rapport réalisé dans le cadre de l évaluation
Plus en détailLe patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015
Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Contexte HIA Clermont Tonnerre Hôpital de 200 lits, MCO adulte, psychiatrie et SSR,
Plus en détailLes entretiens de Télécom ParisTech & Le colloque TIC Santé 2011. Atelier 1 :«TIC et pratiques innovantes au
Les entretiens de Télécom ParisTech & Le colloque TIC Santé 2011 Atelier 1 :«TIC et pratiques innovantes au sein des structures de santé» L opération VDI du nouvel hôpital du CHAC ParisTech les 8 et 9
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailINFORMATISATION DE LA CONSULTATION D ANESTHÉSIE
INFORMATISATION DE LA CONSULTATION D ANESTHÉSIE A. Spaite, J-M. Foissin, P. Klecthka Clinique Saint André, 54500 - Vandœuvre les Nancy INTRODUCTION Le décret de décembre 94 rendant obligatoire la consultation
Plus en détailVersion synthétique des rapports de certification. Méthodologie. (Janvier 2010)
Version synthétique des rapports de certification Méthodologie (Janvier 2010) RAPPEL DU CONTEXTE 2 RAPPEL DU CONTEXTE La HAS en quelques mots La Haute Autorité de santé (HAS) est une autorité publique
Plus en détailConstruction d une collaboration entre une inf spécialisée en plaie et cicatrisation et deux ICLS, une transition réussie pour OZE Le 21.11.
XIIème congrès européen des Infirmiers-ères cliniciens-nes, Spécialistes cliniques, Clinicien-nes consultante, symposium no 4 Construction d une collaboration entre une inf spécialisée en plaie et cicatrisation
Plus en détailACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, RUE BONAPARTE 75272 PARIS CEDEX 06 TÉL : 01 42 34 57 70 FAX : 01 40 46 87 55
RAPPORT au nom d un Groupe de travail ** ACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, RUE BONAPARTE 75272 PARIS CEDEX 06 TÉL : 01 42 34 57 70 FAX : 01 40 46 87 55 La chirurgie en France. Recommandations des Académies
Plus en détailL implantologie au quotidien
CYCLE DE FORMATION L IMPLANTOLOGIE DENTAIRE AVEC LE SYSTEME IMPLANTAIRE STRAUMANN 19 23 Mai 2014 Bâle - Suisse L implantologie au quotidien Conférenciers Dr Jacques Penaud Docteur en Chirurgie Dentaire,
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailProposition de valeur aux Etablissements de santé
Prix valables jusqu au 31 octobre 2015 Proposition de valeur aux Etablissements de santé OFFRE, OPTIONS, SERVICES Les sites d avis deviennent incontournables 91% des français consultent les avis avant
Plus en détailTableau des prestations
Tableau des prestations applicable du 1er janvier au 31 décembre 2012 ENTREP R I S E S ENTREPRISES entreprises Tableau des prestations médecins conventionnés et non conventionnés Consultation, visite généraliste,
Plus en détailChoississez le niveau de vos remboursements le mieux adaptés à vos besoins
MES GARANTIES Choississez le niveau de vos remboursements le mieux adaptés à vos besoins Les garanties de base PRESTATIONS 2011 à compter du 1 er janvier 2011 Equilibre Confort Excellence Optimum MES REMBOURSEMENTS
Plus en détailLa Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique
+ La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailPlan stratégique de l Hôpital neuchâtelois Annexe 2 Analyse du diagnostic et clés stratégiques
Mai 2011 Plan stratégique de l Annexe 2 Analyse du diagnostic et clés stratégiques Plan stratégique Index 01 Analyse du diagnostic : Matrice SWOT.. 3 02 Clés stratégiques 15 03 Les clés stratégiques gq
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailPSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
Plus en détailBILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012
BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détaille personnel sur les avantages d un tel système était également crucial à la réussite du projet.
Success Story Grâce à la solution OpenScape Contact Center d Unify, le CHU de Liège a réduit le temps d attente de 80% des appels de prise de rendezvous des patients à moins de 30 secondes. Le Centre Hospitalier
Plus en détailL indispensable alignement technique et organisationnel sur la stratégie de l entreprise
L indispensable alignement technique et organisationnel sur la stratégie de l entreprise François GUERDER Responsable pôle technique Hôpitaux Universitaires de Strasbourg V3 Alignement stratégique? Dépense
Plus en détailRecommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire
Recommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire AVANT L INTERVENTION : 1) Un rendez-vous en consultation d anesthésie au moins 8 jours avant l intervention vous a été donné. Venez ce jour-là
Plus en détail