Institut ITUN. CHU Nantes
|
|
- Adrien Bibeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les cancers de novo après transplantation rénale (hors PTLD) Jacques DANTAL Institut ITUN. CHU Nantes Inserm U Rapportés dès les début de la transplantation d organe (1) 2 1
2 Rapportés dès les début de la transplantation d organe (2) Séparation entre cancers transmis, récidives et des cancers de novo Fréquence globale 4,5%... Sous estimation car décès précoces (66/352 < 4 mois) Incidence x 80 / population générale Cancers «superficiels» de bon pronostic et les cancers profonds de très mauvais pronostic Fréquence des PTLD du SNC Questions: - Rôle IRC - Immuno-surveillance et la place de l IS - Régression de cancers après arrêt de l IS 29 ans après 8077 KTRs Tumeurs fréquentes pop. générale peu ou pas augmentées - Lymphomes 24% 6% - Lèvres 6% 0,2% - Kaposi 6% 0,000..% - Reins 5% 2% - Vulve /périné 3% 0,7% - Foie et voies biliaires 2,3ù 1,7% - Sarcomes 1,8% 0,5% 3 Les enjeux de la transplantation et la place des cancers (1) Pascual et al. New Engl J Med 2002;346:
3 Les enjeux de la transplantation et la place des cancers (2) Pilmore H et al. Transplantation 2010; 89:851 Alberu J et al, Transplant Proc, Le CANCER est une priorité Mazuecos et al, Transplant Int, «The Hallmarks of Cancer» Hanahan D et al. Cell Mesri E et al. Cell Host & Microbe
4 «The Hallmarks of Cancer» Mécanisme extrinsèque = Echappement à l immunosurveillance Dunn G et al. Nat Immunol Zitvogel L et al. Nature Théorie de l immunosurveillance (1) 1880 : régression de tumeurs après infections bactériennes 1900 : Immunosurveillance proposé par Ehrlich, Concept d immunosurveillance abandonné Souris nudes Stutman O. Sciences Stutman O. J Natl Cancer Inst Stutman O. Exp Cell biol Souris Thymectomisées Law L. Sciences Si injection MCA : 81% vs 79% de tumeurs à J75 sauf pour les tumeurs viro-induites 8 4
5 Théorie de l immunosurveillance (2) Réveil du concept Dighe A et al. Immunity Engel A et al. Scand J Immunol Kaplan D et al. PNAS Shankaran V et al. Nature «Cancer immunoediting» 9 Théorie de l immunosurveillance: Phase d équilibre Phase de latence clinique probablement la plus longue du processus Aguirre-Ghiso J. Nature Rev Cancer Koebel C et al. Nature
6 Théorie de l immunosurveillance: Phase d échappement Phénotype tumoral complet Echappement à la réponse immunitaire (détérioration du SI Immunosuppression induite par le K) Perte TAA MHC Processing Ag Expression HLA G NKG2D Milieu immunosuppresseur TGFb, IL10, Galectin, Déplétion en IDO Recrutement Treg/MDSC VEGF, MICAs Ligand proapoptotiques FasL,RCAS1, CD70 Ligands inhibiteurs PDL-1, B7H3, B7H4 Vesely M. Ann Rev Immunol Le risque de cancer est augmenté chez les immunosupprimés vs la Pop. Générale - Chez les patients ayant un déficit immunitaire primitif (1,6 [1,22 2,07]) Vajdic C et al. Blood Chez les patients ayant un déficit immunitaire acquis (HIV) Silverberg M et al. Cancer Epi Bio Prev Robbins A et al. AIDS Chez les receveurs d organes solides CTS 90/1000 pts UK registry 36/1000pts ANZDATA From 1963 to recipients of a 1 st KTx Collett D et al. Am J Transplant,
7 Le risque de cancer est augmenté vs la Pop. Générale appariée en âge, sexe Hong Kong de 1972 à transplantations rénale Cheung C et al. Am J Transplant Le risque de cancer est augmenté vs la Pop. Générale appariée en âge, sexe UK transplant patients transplantés Collett D et al, Am J Transplant,
8 Le risque de cancer est augmenté vs la pop. IRC ou dialysée appariée en âge, sexe 1982 à ,855 KTR 15 L augmentation du risque de cancer n est pas uniforme pts 58,4% KTx 8
9 Augmentation de l incidence des cancers après Tx d organe surtout pour les cancers viro-induits Collett D et al, Am J Transplant, 2010 Différences parmi les cancers viro-induits US SRTR patients Transplantés entre 1987 et 2008 Tous types de transplantation Engels E et al, JAMA,
10 Le rôle des infections chroniques + Merkel Cell Polyomavirus, Helicobacter Pylori Vajdic C et al, JAMA, Augmentation d incidence des autres types de cancers US 5 ans de suivi 4% des receveurs Hall E et al. Cancer
11 Pas d augmentation d incidence pour certains types de cancers Liver/Heart/Lung Hall E et al. Cancer Na R et al. AJT Impact des cancers sur la survie du transplanté 3537 transplantés rénaux Tessari G et al. Am J Transplant
12 L évolution d un cancer survenant après transplantation rénale est plus sévère que dans la population générale Relative Survival Ratio (excess mortality) Décès, taux pour 100, Femmes Hommes Age Transplantés avec cancer Population générale avec cancer Transplantés sans cancer Population générale sans cancer Relative Survival Relative Survival transplant alone cancer alone transplant plus cancer Cancers du sein Years from diagnosis Relative Survival Ratio (excess mortality) transplant alone cancer alone transplant plus cancer Cancers colorectaux Years from diagnosis AZADATA report L évolution d un cancer survenant après transplantation rénale est plus sévère que dans la population générale 635 pts du registre IPITTR entre 1980 et 2007 / 1,28 x 10 6 population générale 1 Age d apparition moyen plus jeune de 6-13 ans Stade diagnostic différent (<RCC; id colon et > sein, prostate, vessie et mélanome) Miao Y et al. Transplantation. 2009; 87:
13 L évolution d un cancer survenant après transplantation rénale est plus sévère que dans la population générale? De 1990 à KTx (n 1) Suivi 5 ans 25 Le risque varie en fonction de la durée d IS et période de greffe Collett D et al, Am J Transplant, 2010 Mais risques compétitifs Vajdic C et al, Cancer Epidemiol Biom Prev, Hall E et al, Cancer
14 Le risque de cancer diminue après retour en dialyse appariée en âge, sexe De 1982 à KTx (n 1) Van Leeuwen M et al, BMJ, Les mécanismes des cancers post-tx Facteurs de risque généraux Donneur TTT IS Immunosurveillance Age du receveur Antécédents d exposition aux carcinogènes Antécédents familial de cancer Antécédents personnel de cancer Exposition aux UV Charge totale en soleil Région géographique Cancer TTT IS Oncovirus Effets directs des TTT IS 28 14
15 En pratique En pratique 29 Les cancers transmis par le donneur 0.5 3% des donneurs avec ATCD de néoplasie Kauffman HM et al. Transplantation : % % 2005 Transmission 0.02% - 6% Ison MG et al. Am J Transplant : 1123 Carcinome rénal : 63% Buell JF et al. Ann Transplant : 53. Mélanome : 77% Choriocarcinome : 93% Poumon: 41% Colon : 19% Sein : 29% Prostate : 29% Kaposi : 67% Liver Kidney A rechercher systématiquement chez le donneur Rejet de la tumeur n est pas systématique Strauss D et al. Lancet Oncol Heart Recommandations Nalesnik M et al. Am J Transplant
16 En pratique 31 Phase d équilibre: receveurs ayant un antécédent de cancer Cellules métastatiques dormantes = Délai d attente avant d introduire une immunosuppression Données base DIVAT: 3% 4.1% 4.9% 7.6% Cancer vésical % Cancer du sein % Cancer du col de l utérus 5-6 % Cancer colorectal % Lymphome 11 % % Fischereder M et al. Tranplant Int Le risque de récidive est variable Il diminue avec le temps d attente: - Moins de 2 ans : 54 % - 2 à 5 ans : 33 % - Plus de 5 ans : 13 % Il augmente avec - le stade au moment du diagnostic - si diagnostic fait après dialyse Mélanome 21 % Myèlome multiple 67 % Cancer basocellulaire 48 % - 62 % Cancer de la prostate 18 % Cancer rénal 30 % Cancer du testicule 3-12 % Cancer de la thyroîde 7-8 % Knoll G et al, CMAJ, USA : 5% H.F. Kauffman et al., Transplant Rev 2005 ANZDATA : 2,1% G. Wong et al, Transplant Rev
17 Phase d équilibre: receveurs ayant un antécédent de cancer Risque de récidive revu plus récemment USA : 5% H.F. Kauffman et al., Transplant Rev 2005 ANZDATA : 2,1% G. Wong et al, Transplant Rev 2008 Cas particuliers de cancers viro-induits sur une première transplantation rénale: PTLDs (Karras A et al. Am J Transplant 2004) - Faible risque si absence de réplication EBV - Faible risque avec traitement classique pour G2 - Délai 2 ans Kaposi sarcoma - Expérience de l Ile de France (n=89, 83-09), - Estimation 25% - Plutôt pas d ATG 33 En pratique 34 17
18 Les facteurs modifiables Tabagisme, exposition solaire Mahé E et al., Transplantation En pratique 36 18
19 Prévention des infections Hépatites: vaccination et traitement hépatites chroniques HPV : vaccinations (col et non col?) Wu X et al. Am J Transplant EBV Prophylaxie avec les traitements anti-viraux? Funch D et al., Am J Transplant En pratique 38 19
20 Rôle de l immunosuppression (1) 39 Le poids de l immunosuppression est déterminant (1) Dantal J et al, Lancet, 1998, 251, 623 Opelz G et al, Am J Transplant, 2004, Minimiser l IS oui mais 20
21 Le type de l immunosuppression est déterminant (2) Le poids de l IS (dose CNI, bi versus trithérapie, induction ) Mécanismes de l immunosuppression : blocage co-stimulation Aggrave les conséquences d infections oncogènes (primo-infection EBV) Rôle propre des drogues IS - AZA : genotoxicité/uv O Donovan P et al. Sciences CNI : augmentation IL6, VEGF, TGFb Koehl G et al. Transplantation 2004 CsA 1 mg/ml Contrôle CsA 20 mg/kg 1j/2 Hojo M et al, Nature, Luan F et al, Transplantation, Maluccio M et al, Transplantation, Pas d impact négatif des nouveaux traitements (NMSC) Etude rétrospective mono centrique (n=929 pts) Braconnier P et al. Nephrol Dial Transplant ULB Hopital Erasme, Belgique ATG-CsA-AZA-CS ( ; n= 405) IL2-RA-TAC-MMF-CS ( ; n= 524) Diminution du nombre de SCC invasifs (31,5% versus 14,6%) Diminution du taux de rejet aigu (13,5% versus 8%) Etude rétrospective Irlande (n=3507 pts) Bannon F et al. Transplantation Irlande du Nord et République d Irlande Diminution de l incidence cumulée à 10 ans entre A la fois pour les SCC et BCC SCC 21
22 Le type de l immunosuppression est déterminant (3) Guba M et al, Nat Med, 2002 Ferte C et al. Nat Rev Clin Oncol Koehl G et Al. Oncogene 2010 E Caderine Luang F et al Transplantation Apoptose des lignées tumorales et de celle induite par la DXM et le Cisplatine Shi Y et al Cancer Res, 1995 Majewski M et al PNAS 2000 Rao R et al. Immunity 2010 Gattinoni L et al. Nat Med 2009 De Gruijl F et al. Int J Cancer 2009 Geissler E. Transplant Proc 2010 Le type de l immunosuppression est déterminant (3) Luan F et al, Transplantation, 2002, 73, 1565 Guba M et al, Nat Med, 2002, 8,
23 L intérêt des inhibiteurs mtor en prévention primaire All pts ITT Kauffman H et al, Transplantation : 883 Alberu J et al. Transplantation 2011 L intérêt des inhibiteurs mtor en prévention secondaire Frankfurt study: Salgo R et al. Am J Transplant, TUMORAPA study 1 Previous SCC (55%, n=1), Conversion (64 SRL vs 56 CNI); mean inclusion time 144 months 120 pts Global results : significant of reccurrence of SCC 22% vs 39% at 2 years (RR: 0,56 95%CI: 0,32-0,98) Only significant for pts with only one previous SCC before inclusion Decreased SCC/BCC ratio from 3.9/1 to 1,4/1 Australian study 2 : 87 pts New SCC: 41% vs 70% (no significant reduction of BCC) RESCUE study 3 : 155 pts New SCC: 31% vs 46% (RR: 0,63; 95 CI; 0,38 1,04) Only significant for pts with only one previous SCC before inclusion 1 Euvrard S et al. N Engl J Med Campbell S et al. Am J Transplant Hoogendijk Van Den Akher J et al. J Clin Oncol
24 L intérêt des inhibiteurs mtor pour un cancer de novo? Nombreuses publications tous type de cancers confondus Etude monocentrique en Tx hépatique Gomez- Camarero J et al. Transplantation, pts (3KS et un PTLD) 6 mois 12 mois 24 mois EVR 100% 90% 72% CNI 50% 29% 14% Etude monocentrique en Tx rénale Wang C et al. Transplant Proc, % HCC, Pas de chirurgie radicale possible Moyenne de survie: 14.5 mois si SRL vs 3 mois Sarcome de Kaposi +++ Campistol J et al. Transplantation, 2004 Gutierrez-Dalmain A et al. Transplant Proc, 2005 Stallone G et al. N Engl J Med, 2005 Lebbe C et al. Am J Transplant, 2006 CR : 14.3% PR : 57.1% Echec : 28.6% 3 récidives (24, 6 et 5 mois après conversion) Augmentation SRL : Echec 47 L intérêt des inhibiteurs mtor pour un cancer de novo? Problème de la tolérance Sirolimus : 23.4 à 42% d arrêt de traitement Problème des DSA de novo Liefeldt L et al. Am J Transplant % vs 3.1% Ruiz San Milan J et al. Transplant Int 2014 HR : 2,4 ( , p=0.036) Croze L et al. Transplant Int mtor-csa regimen? Perbos E et al. Clin Transplant Problème de survie pts Isakova T et al Am J Transplant 2013, Knoll G et al. Brit Med J
25 Place du dépistage et suivi du patient Cancers colorectaux - Receveurs > 50 ans ont un risque > pop générale - Dépistage systématique après 50 ans (Hemocult; coloscopie): Cancer de la prostate (TR et PSA): - En général diagnostic > 65 ans et exceptionnel < 40 ans - Pas de sur risque / pop générale ( ) - Cancer de la prostate : SIR 3.6 [ ] Kessler M, Transplant Int, Dépistage (cf reco pop générale) Cancer du sein - Pas d augmentation de risque (moins?) / pop générale - Dépistage à débuter > 50 ans Hépatocarcinome - Patients à risque (hépatite chronique) (Mammographie) (Echo, ACE, alpha Foeto) Cancer du poumon (TDM) - Résultats de National Lung Screening Trial Research Team sous population de transplantés - Adams A et al. N Engl J Med 2011 Hall E et al. Cancer Place du dépistage et suivi du patient Cancers et IRC/dialyse/Tx : rôle des maladies liées à l IRC Néphropathies toxiques MKA TTT IS Certaines PK Vajdic C et al, JAMA, 2006 Cancer des reins propres : Homme : SIR 13.0 [ ] Femme : SIR 26.4 [ ] Echographie annuelle? Rapport cout/bénéfice? Population à risque seulement Diminution mortalité par cancer Wong G et al, Nephrol Dial transplant,
26 Place du dépistage et suivi du patient PTLD: Charges virales EBV?? Pédiatrie probablement. Suivi dermatologique: - Auto-examen et CS spécialisées - Récidive des lésions RR : 8.3 [ ] Tessari G et al. Am J Transplant Harwood C et Al. Am J Transplant % Patients sans cancer 1,8,6,4,2 0 p = 0,026 Tx itérative ATCD - Tx itérative ATCD Mois post transplantation SCC est un f de risque indép. de développer un autre cancer : RR : 1,66 [1,12-2,45] p= 0,0120 (Nantes) 51 Score prédictif pour le développement de cancers après Tx? Autres marqueurs de risque de développement d un cancer après transplantation - Marqueurs immunologiques? - Sous populations lymphocytaires périphériques - CD4?? risque de SCC et autres cancers Thibaudin D et al. Transplantation ; Glowacki F et al. Transplant Proc FOXP3 + CD4 + CD127 low (> 35cells/mL) : risque de SCC - NK (< 100cells/mL) : Carroll R et al. J Am Soc Nephrol Marqueurs génétiques? - Polymorphisme IL10 et TGFb risque de PTLD tardif Babel N et al. Transplantation Polymorphisme MTHFR (methylenetetrahydrofolate reductase) risque de SCC OR 2,54 Laing M et al. Transplantation Niveau d expression des gènes cibles de NFAT SCC et autres cancers Sommerer C et al. Transplantation Sommerer C et al. Clin Transplant
27 Screening du patient pour inscription en attente de Tx Screening variable Wong G et al., Trends in Transplant Sérologies virales + Electrophorèse prot. plasmat. Réévaluations régulières pendant la période d attente Fischereder M, Transplant Int, En conclusion Les cancers de novo sont une préoccupation grandissante L impact du cancer post Tx doit pouvoir être diminué Evaluation de la visite pré-transplantation = prise en compte des FDR Surveillance du patient en attente et après Tx (protocole) Education du patient (photoprotection, tabagisme ) Prévention des infections virales (prophylaxie, vaccination) / monitoring Modification de l IS Minimisation de l IS Place des nouveaux immunosuppresseurs ImTOR oui mais ATCD de cancer, âge, phototype Etude Silver, Tumorapa et autres 54 27
28 Thank you for your attention Inserm U
Innovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailEvolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT
Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT Marc Ladrière CHU Nancy Hôpital Brabois Adulte 19 mars 2015 Le rapport d activité
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailPROGRAF MC Toutes indications
PROGRAF MC Toutes indications AVRIL 2015 Marque de commerce : Prograf Dénomination commune : Tacrolimus Fabricant : Astellas Forme : Capsule Teneurs : 0,5 mg, 1 mg et 5 mg Exemption de l application de
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailLe retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique.
Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique. Dr Bertrand MENNECIER, Charlotte LEDUC, Benjamin RENAUD-PICARD, Clément KORENBAUM CHRU de Strasbourg FOM Lille 21/03/2013 Disclosure
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailDonneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013
Donneurs vivants Risques à long terme Michel R. Pâquet MD, PhD Unité de Transplantation Le Centre Hospitalier de l Université de Montréal Hôpital Notre-Dame Montréal Hôtel-Dieu Hôpital Notre-Dame Cours
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailLa Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailLEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)
LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailNOUVEAUTÉS EN TRANSPLANTATION HÉPATIQUE EN 2015. Thomas Decaens tdecaens@chu-grenoble.fr
NOUVEAUTÉS EN TRANSPLANTATION HÉPATIQUE EN 2015 Thomas Decaens tdecaens@chu-grenoble.fr Principes de la transplantation hépatique? Ressource rare Sélection des malades Principe d équité Principe d attribution
Plus en détailS. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation.
2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Ann Pharm Fr 2006, 64 : 397-401 Stress oxydant L étude SU.VI.MAX, un essai contrôlé randomisé, en double aveugle, testant l effet de la supplémentation en
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailplan Transplantation d organe 2 types de donneurs 05/05/2015 1 Le don d organe 2 Prise en charge immunologique 3 Le rejet
plan Transplantation d organe 1 Le don d organe 2 Prise en charge immunologique 3 Le rejet 2 types de donneurs Activité de prélèvement en France Donneurs décédés:+++++ Donneurs vivants: Apparenté Non apparenté
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailDr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013
Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailLes charges virales basses: constat et gestion
Les charges virales basses: constat et gestion Symposium inter-régional viro-clinique Hardelot 25-26 Mai 2011 Laurence Bocket --- Laboratoire de Virologie --- CHRU Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailStatistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau
Statistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau Produit par : Société canadienne du cancer, Statistique Canada, Agence de la santé publique du Canada, Registres provinciaux
Plus en détailApports des modèles de survie relative dans la modélisation des patients transplantés rénaux : Application à la cohorte DIVAT
UNIVERSITÉ DE NANTES UFR DE SCIENCES PHARMACEUTIQUES ÉCOLE DOCTORALE BIOLOGIE SANTÉ Année 2013 N o attribué par la bibliothèque Apports des modèles de survie relative dans la modélisation des patients
Plus en détailMise en œuvre d un contrat de liquidité Fin de la période de stabilisation
Mise en œuvre d un contrat de liquidité Fin de la période de stabilisation Paris, 23 avril 2015, 20h00 OSE Pharma SA (ISIN : FR0012127173 ; Mnémo : OSE), société biopharmaceutique qui développe des produits
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détail