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- Heloïse Jacqueline Bédard
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1 INSEE Franche-Comté - l'essentiel Nº 78 1 nº 78 mars 2005 L intensification et l allongement des déplacements domicile-travail sont responsables pour une large part du trafic dans l agglomération bisontine. En dépit des efforts consentis pour l amélioration des transports urbains, l automobile garde une place prépondérante. À l image des grandes agglomérations, les embouteillages aux heures de pointe et la pollution sont devenus des problèmes majeurs, particulièrement prégnants aux entrées de ville, sur les boulevards périphériques et sur les axes principaux de la ville. En attendant les résultats de l enquête auprès des ménages sur leurs déplacements pour la fin 2005, l analyse des résultats du recensement de 1999 permet de mesurer l intensité des déplacements entre le domicile et le lieu de travail ainsi que les modes de transports utilisés à l échelon infra-communal. L étude porte sur les trois-quarts des déplacements domicile-travail, à l échelle infra-communale, soit emplois et actifs résidents dans Besançon. DES QUARTIERS À VOCATION DIFFÉRENTE insee-contact@insee.fr (0,15 /mn) La ville de Besançon compte 14 grands quartiers qui peuvent se différencier en trois catégories suivant l importance relative de l emploi et des actifs résidents. Cette «spécialisation» des territoires facilite l analyse des déplacements : un quartier à vocation économique va accueillir plus d actifs qu il ne perdra de résidents durant la journée alors que le phénomène inverse sera observé dans les quartiers résidentiels. ESS Prix : 2,50
2 2 INSEE Franche-Comté - l'essentiel Nº 78 Quatre quartiers à vocation économique Trois quartiers peuvent être qualifiés de pôles d emploi et un quatrième de secteur économique de second plan. Au sein des trois pôles, le nombre d emplois - plus de dépasse le nombre d actifs résidents. Ensemble, ils regroupent plus de la moitié des emplois de la commune. l Le quartier du Centre offre emplois, soit un quart des emplois de la ville de Besançon. Y sont implantés des employeurs publics importants tels que l hôpital Saint-Jacques, la mairie et le Conseil général du Doubs, tous trois à Chamars. Le centre-ville est aussi animé par l activité commerçante, la restauration et les services financiers. l Le quartier des Tilleroyes compte emplois. Il abrite plusieurs entreprises de 200 à 500 salariés comme Augédécoupage, Maty, SIAB Peugeot, Stanley Mabo implantées dans la zone industrielle de Trépillot. l Le quartier Montrapon-Montboucons comprend emplois répartis dans plusieurs administrations ou entreprises (CPAM, CROUS, la Poste, Bourgeois) sans oublier le pôle d activité TEMIS en plein essor actuellement. l Le quartier Battant, avec emplois, ne peut être qualifié de pôle d emploi. Néanmoins, son orientation économique et commerciale permet de le rattacher au même groupe que les précédents. Trois quartiers mixtes Enfin, Besançon compte trois quartiers mixtes, caractérisés par l équivalence du nombre d actifs résidents et d emplois. l Planoise-Châteaufarine, avec actifs résidents et presque autant d emplois est le plus important. Dans ce territoire où le nombre d emplois est aussi important qu à Montrapon-Montboucons, la mixité est due à la juxtaposition de secteurs purement résidentiels et de zones d activité. Celle de Châteaufarine où travaillent actifs est la plus vaste. Côté Planoise, le parc Lafayette et le centre commercial Cassin pourvoient chacun un peu plus de emplois. Planoise- Châteaufarine constitue donc un lieu très attractif pour l emploi, au même titre que les «quartiers à vocation économique». l Les quartiers Butte-Grette et Saint-Ferjeux-Rosemont sont de moindre importance, tant du point de vue de la population résidente que du nombre d emplois qui y est proposé. Butte-Grette compte actifs résidents et emplois, Saint- Ferjeux-Rosemont actifs résidents et emplois. Six quartiers à vocation résidentielle Six autres quartiers de la ville sont nettement plus tournés vers l habitat. Ces quartiers résidentiels se particularisent par un nombre élevé d actifs résidents, nettement supérieur à celui des emplois. Près de la moitié des actifs bisontins, soit , logent dans l un de ces six quartiers. l Les quartiers Chaprais-Cras et Saint-Claude-Torcols hébergent chacun près de actifs. l L ensemble regroupant les secteurs de Palente, Orchamps et Saragosse est également de grande taille, avec près de actifs résidents. l Les quartiers de Vaite-Clairs-Soleils, Brégille et Velotte comptent respectivement, 1 800, et 700 actifs résidents.
3 INSEE Franche-Comté - l'essentiel Nº 78 3 DES FLUX INTER QUARTIERS INTENSES À Besançon, 90% des emplois offerts dans les quartiers sont occupés par des actifs provenant d autres quartiers de la ville ou d une autre commune. Les quartiers à vocation économique sont logiquement le lieu d arrivée de nombreuses personnes habitant un autre quartier de la ville et à un degré moindre, une autre commune. Seuls les Tilleroyes accueillent quasiment autant d actifs de Besançon que de l extérieur. Ces entrées représentent trajets quotidiens vers Montrapon-Montboucons, les Tilleroyes, Battant et le centreville. Le centre-ville représente le périmètre le plus attractif avec plus de entrées quotidiennes. Il génère les plus fortes concentrations de flux inter quartiers, puisque quasiment tous les déplacements de plus de 500 actifs d un quartier à l autre convergent vers le centre. Le Doubs est ainsi franchi chaque jour par près de actifs des Chaprais et près de actifs habitant Saint-Claude ou Torcols dont la moitié réside à proximité de la gare (secteurs Montjoux, Viotte et Trey). Enfin, un peu plus d un millier d actifs arrivent au centre-ville chaque jour depuis Planoise. Le pôle d activité des Tilleroyes accueille plus de actifs, dont un petit millier en provenance de Planoise. Les autres actifs bisontins employés aux Tilleroyes proviennent de l ensemble des autres quartiers, mais avec des flux moins importants (un peu plus de 400 depuis Saint-Claude-Torcols ou Montrapon- Montboucons). Enfin Montrapon-Montboucons est le lieu d arrivée de près de actifs, dont les principaux quartiers d origine sont : Saint-Claude-Torcols, Chaprais-Cras et Planoise (400 trajets depuis chacun de ces trois quartiers). Les quartiers à vocation économique retiennent peu leurs actifs résidents : trois sur quatre vont travailler dans un autre quartier ou une autre commune. Le centre-ville demeure une exception puisque deux actifs résidents sur cinq y demeurent pour travailler. Dans les quartiers résidentiels, où l offre d emploi est faible, les actifs entrants (près de ) proviennent essentiellement d autres quartiers résidentiels (Saint-Claude, Chaprais, Palente) et de Planoise. Dans le sens inverse, près de actifs (soit 92% des actifs de ces quartiers résidentiels) quittent chaque jour leur quartier pour travailler dans un autre quartier bisontin ou une autre commune. Plus de actifs sortent quotidiennement des Chaprais ou de Saint- Claude, plus de du quartier Palente-Orchamps- Saragosse, pour rejoindre surtout les quartiers d emplois, prioritairement le centre-ville. Les quartiers mixtes n échappent pas à la règle de l intensité des échanges : 87% des actifs résidents quittent leur quartier pour travailler et 87% des emplois offerts sont occupés par des actifs habitant à l extérieur de ces quartiers. Les quartiers Butte-Grette et Saint-Ferjeux-Rosemont, peu denses en termes de population active et d emploi, contribuent peu à l ensemble des flux. Le quartier Planoise-Châteaufarine, quant à lui, est un carrefour d échanges importants. Près de résidents travaillent en dehors du quartier, tandis qu un nombre à peine inférieur d actifs y accèdent chaque jour. Les actifs sortants logent en quasi-totalité à Planoise, l habitat à Châteaufarine occupant une très faible place à côté des espaces commerciaux. En revanche, les arrivées sont importantes sur les deux secteurs : pour Châteaufarine et pour Planoise, prioritairement vers les espaces Lafayette et Cassin (plus de emplois chacun). Ces actifs proviennent autant des autres quartiers que de l extérieur de la ville.
4 4 INSEE Franche-Comté - l'essentiel Nº 78 Quartiers Des mouvements d actifs intenses Actifs Résidents Emplois Nombre d actifs Taux de sortie Nombre % Nombre % sortants (en %) Nombre d entrées Taux d entrée (en %) Quartiers à vocation économique Centre-Chapelle-des-Buis , , , ,3 Montrapon-Montboucons , , , ,7 Tilleroyes 500 1, , , ,5 Battant 990 2, , , ,3 Quartiers à vocation résidentielle Chaprais-Cras , , , ,2 Saint-Claude-Torcols , , , ,0 Palente-Orchamps-Saragosse , , , ,6 Vaite-Clairs-Soleils , , , ,2 Brégille 960 2, , , ,4 Velotte 680 2, , , ,5 Quartiers mixtes Planoise-Châteaufarine , , , ,3 Butte-Grette , , , ,3 Saint-Ferjeux-Rosemont , , , ,7 Total des quartiers bisontins , , , ,1 Source : INSEE - Recensement de la population 1999 NB : le quartier Chailluz qui est une zone forestière n est pas pris en compte ici Taux de sortie : nombre d actifs sortants sur nombre d actifs résidents du quartier Taux d entrée : nombre d actifs entrants sur nombre d emplois du quartier Près de la moitié des actifs bisontins résident à proximité de leur lieu de travail Parmi les actifs bisontins, travaillent à Besançon. Une minorité, soit 5 300, travaille dans son quartier de résidence, alors que exercent leur activité dans un quartier limitrophe. 44% des actifs bisontins réalisent ainsi des trajets domicile-travail limités. Plus de la moitié des actifs de Battant et Velotte se déplacent dans un quartier attenant pour travailler. La position de ces deux quartiers rend effectivement possible des déplacements modérés : Velotte est située pour partie en bordure des zones d activités de Planoise-Châteaufarine ; Battant, localisé au cœur de la ville, est entouré par des quartiers comme le centre-ville, Montrapon-Montboucons et les Chaprais où les possibilités d emploi sont importantes. Une grande part des actifs du centre-ville profite des opportunités d emploi sur place Quartier de résidence Actifs résidents Actifs résidant et travaillant dans le même quartier Nombre % Actifs sortant de leur quartier de résidence vers une commune un autre quartier de Besançon de l aire urbaine quartier voisin quartier plus éloigné de la CAGB (*) hors CAGB (*) Nombre % Nombre % % % Quartiers à vocation économique Centre-Chapelle-des-Buis , , ,6 7,6 3,2 Montrapon-Montboucons , , ,5 11,9 2,5 Tilleroyes , , ,0 16,0 2,0 Battant , , ,2 11,1 2,0 Quartiers à vocation résidentielle Chaprais-Cras , , ,1 13,4 2,6 Saint-Claude-Torcols , , ,3 15,2 2,8 Palente-Orchamps-Saragosse , , ,5 17,5 2,2 Vaite-Clairs-Soleils , , ,4 14,6 1,7 Brégille , , ,7 10,4 2,1 Velotte , , ,8 10,3 0,0 Quartiers mixtes Planoise-Châteaufarine , , ,9 14,7 3,4 Butte-Grette , , ,0 9,1 2,8 Saint-Ferjeux-Rosemont , , ,8 9,8 2,7 Total Besançon , , ,1 13,0 2,6 Source : INSEE - Recensement de la population de 1999 (*) Communauté d Agglomération du Grand Besançon
5 INSEE Franche-Comté - l'essentiel Nº % des actifs bisontins travaillent dans une autre commune de la CAGB Chaque jour, Bisontins rejoignent l une des 58 communes de la CAGB pour leur activité professionnelle. Les secteurs Nord, Est et Ouest offrent chacun un emploi à plus de Bisontins, les secteurs Sud-Ouest et du Plateau moins de 500. Cette différence est liée à la présence plus importante de grands établissements dans les secteurs Est et Nord, situés pour la plupart à la sortie de Besançon. Le secteur Est, avec notamment la zone d activités de Thise-Chalezeule et le Centre hospitalier de Novillars, compte 9 établissements de plus de 100 salariés. Dans le secteur Nord, la zone commerciale d Ecole Valentin comprend des grandes surfaces aux effectifs salariés substantiels. L ouest de Besançon bénéficie, quant à lui, de la zone industrielle de Besançon-Chemaudin. En revanche, dans les secteurs Sud-Ouest et du Plateau, les établissements de plus de 100 salariés sont plus rares, voire inexistants. Les Bisontins travaillant hors de Besançon n habitent pas massivement un quartier permettant un accès direct à la commune de travail. Certes, pour un emploi dans le secteur Est, les départs de Palente sont les plus nombreux, pour le secteur Nord, l habitat à Saint-Claude arrive en tête et pour le secteur Ouest, Planoise est le mieux placé. Néanmoins, la prééminence est faible : seulement un cinquième des actifs ayant un emploi dans chacun de ces trois secteurs proviennent du quartier le plus en contact avec le secteur de travail. Des arrivées conséquentes en provenance des communes du Grand Besançon Quotidiennement, actifs rejoignent leur emploi à Besançon depuis l une des 58 communes du Grand Besançon. En toute logique ces personnes se rendent en priorité dans les pôles d emploi de la ville. Ainsi, près de 25% des actifs de la périphérie travaille au centre-ville, 17% se rendent aux Tilleroyes, 12% à Planoise-Châteaufarine et 11% à Montrapon- Montboucons. Au total, ces quatre quartiers pourvoient un emploi aux deux tiers des actifs entrant chaque jour à Besançon depuis une commune environnante. Près de la moitié des déplacements vers Besançon proviennent des communes de la première couronne. Parmi eux, un millier d actifs sont employés dans un quartier bisontin jouxtant leur commune de résidence. Thise, de par sa taille (3 000 habitants) et sa proximité avec Besançon, est la commune où les départs vers Besançon sont les plus nombreux. La majorité des actifs bisontins, soit un peu plus de , prennent leur voiture pour se rendre au travail. Toutefois, les comportements diffèrent selon l importance du trajet. Pour les déplacements internes au quartier, la marche à pied prend le pas sur la voiture. Ces courts déplacements sont effectués à pied par près d un actif sur deux. La voiture occupe la deuxième position : elle est utilisée par un tiers des actifs. L utilisation des transports en commun est faible (7,3%) et celle des deux roues marginale (1,2%). La situation du centre-ville est particulière : sept actifs sur dix rejoignent leur travail à pied et seul un sur dix a recours à la voiture.
6 6 INSEE Franche-Comté - l'essentiel Nº 78 Lorsque l emploi se situe dans un quartier différent de celui de résidence, le recours à la voiture croît sensiblement. Elle constitue alors le moyen de transport de six actifs sur dix. Toutefois, l opposition est forte entre le quartier Battant, où seulement 37% de ces déplacements se font en voiture et Velotte où la voiture est utilisée à 76%, notamment en direction du centre-ville. Dans certains cas, la voiture est privilégiée même pour de petites distances. Au moins deux tiers des actifs habitant Velotte, Saint-Ferjeux-Rosemont ou Palente-Orchamps-Saragosse prennent leur voiture pour un emploi situé dans un quartier mitoyen. Des déplacements dominés par la voiture Les transports en commun, même s ils constituent le second mode de déplacement entre deux quartiers bisontins ne rivalisent pas avec la voiture. À peine un actif sur cinq prend le bus pour rejoindre son travail. Les transports collectifs sont un petit peu plus utilisés au départ du centre-ville ainsi que des quartiers Planoise, Chaprais, Palente et Vaite-Clairs-Soleils, mais cela reste faible. Cette utilisation modeste des lignes de bus doit toutefois être nuancée. En effet, parmi les 11% d actifs ayant déclaré utiliser plusieurs modes de transport, une part non négligeable d entre eux est susceptible d employer les transports en commun en plus de la marche à pied ou d un premier trajet en voiture. Pour les déplacements entre Besançon et les autres communes du Grand Besançon, la prépondérance de la voiture devient écrasante. Elle est utilisée par neuf actifs sur dix, légèrement plus pour ceux qui arrivent à Besançon pour travailler que pour ceux qui en sortent. Les transports en commun ne sont empruntés que par 4,7% des actifs au départ de Besançon vers les autres communes de la CAGB. Dans le sens inverse, les transports publics sont encore moins usités (1,5%). En 1999, toutes les communes de la CAGB n étaient pas desservies par les lignes de bus. Néanmoins, celles-ci reliaient l ensemble des communes limitrophes, en particulier les zones d activité de Chalezeule et d École-Valentin. Or l utilisation de la voiture s avère le mode dominant pour les liaisons de ces communes avec Besançon, même lorsqu elles impliquent le quartier attenant.n POUR COMPRENDRE CES RÉSULTATS Les données analysées ici sont issues de l exploitation complémentaire du recensement de la population de Jusqu à aujourd hui, seules les données relatives au lieu de résidence des individus étaient utilisables à un niveau infra-communal. La localisation à l îlot du lieu de travail des actifs a nécessité des traitements extrêmement lourds débouchant sur de premiers résultats exploitables en Cela permet des analyses sur les déplacements entre le domicile et le lieu de travail des actifs au niveau des quartiers des villes de plus de habitants. Si les flux relient le domicile d une ville comme Besançon au lieu de travail d une petite commune, l identification du quartier de départ sera possible, mais pas celui d arrivée. L étude analyse les comportements des actifs en Elle ne prend donc pas en compte des modifications importantes intervenues depuis cette date, notamment la mise en service de nouvelles infrastructures routières (voie des Montboucons) ou la restructuration du réseau des bus sur Besançon. La ville de Besançon concentre emplois et actifs résidents occupant un emploi pouvant être localisé ailleurs. Tous ces actifs n ont pu être pris en compte dans cette étude dont le champ géographique se limite à la CAGB (*). Certaines professions ont en effet dû être écartées. C est le cas des actifs travaillant dans le secteur de la défense, difficilement localisables. Cela concerne aussi les personnes ayant déclaré travailler chez des particuliers ou en des lieux variables (agents de nettoyage, chauffeurs de taxi, etc.). Enfin les actifs travaillant à domicile se trouvent éliminés de cette étude sur les déplacements. Cet article porte sur les relations des quartiers de Besançon entre eux et avec les 58 autres communes de la CAGB. Pour une meilleure représentation des phénomènes et garder des effectifs suffisants, les communes appartenant à la communauté d agglomération du Grand Besançon ont été regroupées en cinq secteurs (Nord, Est, Ouest, Sud- Ouest et Plateau) et Besançon découpée en 14 «grands quartiers» (dont 13 sont pris en considération, l un d entre étant une zone forestière). Ces quartiers sont des regroupements d IRIS-2000, secteurs urbains d au moins habitants constitués à l occasion du recensement de 1999 et utilisés pour la diffusion des résultats. (*) Communauté d Agglomération du Grand Besançon Frédéric Nauroy, Nathalie Cuenot, Sylviane Le Marre (INSEE) et Isabelle Maquin, Vincent Meyer (AUDAB) La voiture trois fois plus utilisée que les transports en commun entre deux quartiers de Besançon (en %) Déplacements Marche Deux roues Voiture Internes au quartier 48,7 1,2 33,0 7,3 9,8 Vers quartiers voisins 15,5 2,4 54,2 14,6 13,3 Vers quartiers plus éloignés 4,2 1,5 64,3 20,8 9,2 Ensemble Besançon 16,0 2,0 55,0 16,2 10,8 De Besançon vers autres communes CAGB 1,1 1,9 88,2 4,7 4,1 Communes CAGB vers Besançon 0,2 1,0 94,2 1,5 3,1 Source : INSEE - Recensement de la population de 1999 Transports en commun Plusieurs modes Agence d Urbanisme De l Agglomération de Besançon (AUDAB) 1, rue du Grand Charmont BESANÇON Tél : INSEE Franche-Comté «le Major» 83, rue de Dole - BP BESANÇON Cedex Tél : Fax : Directeur de la publication : Didier Blaizeau Rédacteur en chef : François-Xavier Dussud Rédacteur en chef adjoint : Patrice Perron Mise en page : Maurice Boguet Imprimerie : Camponovo-Bouchard - Nº de CPPAP : AD - ISSN : INSEE dépôt légal : Mars 2005
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