Collectif Recherche Et Expression asbl Service de jeunesse spécialisé pour les personnes sourdes et malentendantes
|
|
- Jean-Louis Mongrain
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Madame Joëlle Milquet, Ministre de l enseignement, de la culture et de l enfance, Bruxelles, le 27 juin 2015 En tant qu organisation de jeunesse spécialisée pour enfants et jeunes sourds et malentendants, nous accueillons dans nos activités d animation et de formation des enfants de tous horizons (milieux socioculturels différents ; scolarité en intégration, en immersion (LS/français), dans l enseignement spécialisé ; enfants sourds de famille sourde ou entendante). Etant donné que nous nous adressons à un public particulier, nous avons la chance de suivre ces enfants depuis l âge de 3 ans jusqu à leur majorité et souvent au-delà. Nous profitons de l opportunité que nous donne la consultation qui a lieu dans le cadre du «Pacte pour un enseignement d excellence» pour vous faire part de notre expérience pédagogique sur le terrain, de notre fonctionnement en partenariat sourd-entendant, de notre conviction que les enfants sourds 1 doivent tous pouvoir bénéficier d une langue des signes construite et transmise dans le cadre de l enseignement, ce qui est loin d être le cas. Les constats et les propositions que nous formulons se basent sur notre expérience de terrain et sur la rencontre avec des enseignants. Nous souhaitons que soient présents au centre de notre démarche les nombreux enfants et jeunes, privés d une langue, certes reconnue, mais pas installée au cœur des établissements scolaires, même de l enseignement spécialisé. Ces jeunes, qui, à capacités égales à celles des entendants, se trouvent orientés dès le plus jeune âge sur la voie de la rééducation et non de l échange et de la communication ; puis en cas d échec d un enseignement oraliste, considéré comme le 1 er choix, relégués dans des filières qu ils n ont pas choisies où, sur le tard, ils ont accès à la langue des signes. Or, l enfant sourd (qui ne présente pas d handicap associé) a les mêmes capacités cognitives que n importe quel autre enfant. Il a le droit de suivre un enseignement qui lui donne les moyens de développer toutes ses capacités; d utiliser et de maîtriser en profondeur une langue qui lui permette d accéder aux concepts abstraits, de penser, d argumenter, de construire son savoir, de développer des compétences sociales et relationnelles lui permettant de s insérer réellement dans la société en y étant acteur. 1 Ceci est pour nous une réalité de terrain, particulièrement perceptible dans nos formations menant au brevet d animateurs ou de coordinateurs : nous y accueillons les jeunes sourds sans discrimination par rapport à leur parcours scolaire. Nombreux sont ceux qui ont une vision dévalorisée d eux-mêmes, un rapport aux textes écrits très laborieux et une langue des signes non maitrisée alors qu ils ont des capacités réelles à faire valoir. Vous trouverez donc ci-après une présentation succincte de nos méthodologies et nos recommandations pour un enseignement de qualité pour les enfants et jeunes sourds. 1 Dans ce texte, comme dans le quotidien de nos activités, nous ne faisons pas de différence entre les degrés d audition des enfants. Le terme «sourd», dans ce texte, recouvre aussi bien les enfants qui ont une surdité profonde que des enfants malentendants.
2 Présentation de l association Depuis 35 ans, le Collectif Recherche et Expression est un acteur de terrain : l association organise pour les enfants et jeunes sourds et malentendants des séjours de vacances, des activités d animation et d éveil, ainsi que des formations - formations à la langue des signes et formations aboutissant au brevet d animateurs et de coordinateurs de centres de vacances. L équipe élabore aussi des outils pédagogiques et des brochures de sensibilisation. Depuis 1996, le CREE est présent dans les écoles primaires et secondaires de l enseignement spécialisé (type 7) pour des ateliers créatifs et des séances d éveil et de sensibilisation. Il collabore aussi avec l asbl Ecole et Surdité, qui développe l apprentissage par immersion en langue des signes et en français écrit en classe bilingue français langue des signes à l école Sainte-Marie de Namur. Ecole et Organisation de jeunesse : une mission commune Former des jeunes à une citoyenneté active, telle est la mission commune dévolue par le Ministère à l enseignement et aux organisations de jeunesse. Ecoles et associations sont complémentaires dans cette démarche et travaillent à l acquisition de compétences indispensables à l exercice d une citoyenneté active. La force du monde associatif est de pouvoir mener une réflexion pédagogique active en équipe, en lien avec l éducation permanente et la pédagogie du projet. La rencontre entre monde associatif et monde de l enseignement renforce l un et l autre dans leur dynamique propre. 2 Les 3 axes au fondement de l action du CREE La langue des signes Le choix de la langue des signes s est imposé d emblée lors de la création du CREE pour tous les enfants, quels que soient leur degré d audition et leur origine familiale (famille sourde/entendante). La langue des signes permet aux sourds de communiquer entre eux de manière fluide, d avoir des conversations en groupe, d accéder à des informations complexes, d exercer leur esprit critique. Cette langue, comme toute langue, nécessite un apprentissage ; plus celui-ci est mené tôt, plus les enfants en acquièrent la maîtrise linguistique et ont accès à tous les champs qu une langue ouvre. Le partenariat sourd/entendant Le partenariat sourd entendant est une clé de voûte du projet. La première équipe a dès le départ intégré des adultes sourds dans l animation : il s agissait de mettre en contact les enfants avec des adultes parfaits signants, de permettre aux enfants de rencontrer des adultes sourds en situation de responsabilité égale à celle d un responsable entendant.
3 L équipe compte actuellement 14 personnes sourdes sur 30 permanents et la coordination de l association est confiée à une personne sourde. Ce travail en binôme s approfondit quotidiennement au CREE : il permet d enrichir la pédagogie et d affiner les méthodologies pour atteindre nos objectifs. Il est incontournable dans l éducation d un enfant sourd. La culture des Sourds A l instar des autres langues, la langue des signes véhicule un regard sur le monde et développe une culture propre qui enrichit la société au sein de laquelle elle se situe. L option pédagogique ne peut pas faire l impasse sur cette réalité vécue par les personnes sourdes. Outils visuels, adaptation de l espace, règles de communication spécifiques sont certes des préalables indispensables à l éducation des enfants sourds. Autre aspect fondamental, c est la pédagogie axée sur le visuel : schémas, dessins, pictogrammes, photos constituent un accès important à la compréhension, à la connaissance et au savoir. Au-delà de ces aspects organisationnels, il s agit aussi de développer une vision pédagogique adaptée à tous les aspects de la surdité. Le transfert de l information sera très différemment organisé si c est une personne sourde qui le fait et bien mieux compris par les enfants sourds. La langue des signes : une reconnaissance difficile En reconnaissant la langue des signes officiellement, le ministère de la Fédération Wallonie- Bruxelles a donné un statut à la langue des signes grâce à un cadre légal autorisant cette langue à rejoindre les classes. Ce qui a permis l éclosion de projets comme celui de l asbl «Ecole et Surdité» à Sainte Marie de Namur, ouvert des champs de recherche comme le Laboratoire de Langue des Signes de Belgique francophone (LSFB-Lab) au département des langues romanes à l Université de Namur, instauré la Commission consultative en langue de signes (CCLS). Ce sont des acquis précieux qui ouvrent des champs nouveaux et améliorent considérablement la vie des enfants sourds. 3 Mais en dehors de ces initiatives, encore fort marginales, le courant éducatif actuel fait toujours la part belle à l oralisme et à la rééducation comme préalables à une intégration réussie dans la société majoritairement entendante. Le CREE ne s oppose pas aux avancées techniques et médicales qui permettent à l enfant sourd d accéder à la langue orale et écrite. Ce que le CREE conteste, c est la voie unique de l oralisme qui coupe la personne sourde d une langue naturelle qui le met en contact avec ses pairs, lui donne un moyen de communication riche et lui ouvre un accès aisé à la compréhension et au savoir. Pour les sourds, la langue des signes est la seule accessible sans entrave et par tous, quel que soit le profil de surdité. Le français oral peut l être aussi, mais avec plus ou moins de difficultés (l enfant n entend pas tout, la lecture labiale le fatigue ). Pour bien apprendre une deuxième langue, il faut pouvoir s appuyer sur une première langue. Celle-ci, une fois bien
4 «assise», facilite la création de ponts entre les langues et rend possible un réel regard métalinguistique permettant d avancer dans l apprentissage de la seconde langue. Il est consternant de constater que dans l enseignement spécialisé, on accorde la langue des signes à ceux qui ont été mis en échec par le système et qui sont alors sur le tard mis en contact avec cette langue, avec tous les dégâts que cela laisse supposer. Plus consternant encore la situation paradoxale de l enseignement spécialisé de type 7, où aucune contrainte n est donnée aux enseignants en termes d acquisition de cette langue, ni au minimum de techniques aidant à la lecture labiale! Dans nos rencontres avec les équipes éducatives de l enseignement spécialisé, il n est pas rare que nous devions prévoir une interprète pour permettre la communication entre les enseignants et nos animateurs sourds. Pas rare non plus, à l occasion de nos animations, d entendre des enseignants s étonner de voir que des jeunes sourds sont capables d argumenter et de défendre un point de vue personnel : ce qu ils font en langue des signes avec les animateurs sourds n est pas possible pour eux en oralisant ou en écrivant une langue qu ils ne maitrisent pas. Sur quelles compétences ces jeunes sont-ils alors jugés et catégorisés? En acceptant que des enseignants ne maitrisent pas la langue de leurs élèves, cela crée des situations de violence et de non respect à l égard des enfants et des jeunes sourds. Confierait-on nos enfants à des enseignants qui «baragouinent le français» et seraient incapables de transmettre une langue correcte? L acquisition de cette langue par les jeunes sourds a donc lieu principalement dans la vie de tous les jours : à la maison, pour les enfants sourds de famille sourde, dans la cour de récréation, pour les enfants de famille entendante (90% des cas). L apprentissage à l égal des autres langues n est pas systématisé au niveau de l enseignement spécialisé. Les socles de compétences, à notre connaissance, n ont pas été définis. Au même titre que les francophones analysent leur langue d un point de vue grammatical et découvrent la richesse du patrimoine littéraire lors des cours de français, les sourds devraient systématiquement avoir l équivalent par rapport à la langue des signes avec un cours qui analyserait les aspects grammaticaux, la poésie, le théâtre et dont le titulaire du cours devrait être un «native speaker», et donc un enseignant sourd. 4 Mais il ne serait pas juste de notre part de ne pas mentionner ici tous les enseignants et éducateurs qui font la démarche d acquérir cette langue pour créer une relation de qualité avec leurs élèves. Ils y consacrent plusieurs soirs par semaine sans rémunération supplémentaire et jusqu à présent sans avoir l assurance de garder leur emploi tant qu ils sont dans des postes sujets aux réaffectations. Mais la reconnaissance que les enfants et jeunes sourds leur porte témoigne suffisamment de l intérêt de cette démarche.
5 Est donc visé ici principalement un système qui accepte de mettre des jeunes enseignants, ou des professeurs qui se voient réaffectés par défaut d emploi, face à des élèves avec lesquels ils ne peuvent pas communiquer, faute de disposer des outils nécessaires. C est un scandale pour les jeunes en formation et une violence pour ces professionnels mal outillés et non soutenus. Et même si le décret du 11 avril 2014 (applicable pour la rentrée de septembre 2016) prévoit une protection pour des jeunes qui peuvent justifier d une compétence particulière, celui-ci ne garantit pas que les enseignants doivent connaître la langue des signes pour être engagés dans l enseignement spécialisé de type 7. Et concrètement, quelques pistes L objectif est de conduire tous les enfants sourds à être des bilingues langue des signes-français écrit (et oral pour ceux qui le peuvent) sans discriminer ceux qui ne parviennent pas, ou moins bien, à vocaliser. Pour un pacte d excellence pour l enseignement spécialisé de type 7 - Définir un cadre de qualité à la hauteur des capacités des enfants sourds Le projet «Ecole et surdité» a défini un cadre de qualité pour donner à l enfant sourd une chance égale à l accès au savoir, en lui ouvrant les portes de l enseignement ordinaire. Il est exigé aux enseignants qui entrent dans ce projet d être porteurs du certificat de niveau approfondi en langues des signes de l unité de formation 12 de promotion sociale. Le décret autorisant l apprentissage en langues des signes par immersion en classe bilingue françaislangue des signes oblige qu au moins un tiers des enseignants en langue des signes soient sourds. Ce cadre ne pourrait-il pas être appliqué à l enseignement de type 7 (spécialisé pour sourds!) de façon à donner à tous les enfants sourds les mêmes chances? 5 - Donner les moyens aux enseignants d acquérir un niveau de langue des signes élevé Elever le niveau de langue des enseignants pour élever celui des enfants est aussi possible dans un premier temps via la formation continue. Certains se lancent avec courage dans les cours de promotion sociale, mais cela leur demande énormément de temps dans un début de carrière où la préparation des cours est déjà importante. Introduire un cours de langue des signes pour les enseignants dans l établissement pourrait être une réponse complémentaire, mais ne pourra jamais se substituer aux cours de promotion sociale. - L instauration d un partenariat sourd/entendant dans les équipes éducatives Les équipes éducatives dans l enseignement spécialisé de type 7 sont composées de personnes entendantes de façon quasi exclusivement, et pour la plupart peu ou pas signantes. Quand une personne sourde est intégrée dans cette équipe, l école n a pas les moyens de mettre un interprète à disposition lors de réunions aussi importantes que les conseils de classe. Un enseignant interprète alors vaille que vaille et, selon son niveau de
6 langue des signes, les informations seront transmises de façon plus ou moins correctes ou pas du tout. Sans oublier qu un enseignant qui signe ne peut pas assurer en même temps son travail de professeur au sein du Conseil de classe et que l interprétation est un métier qui nécessite des études correspondantes. Ces professeurs sourds dans un enseignement spécialisé pour sourds au sein d une équipe majoritairement entendante ne sont donc pas invités au débat et ont difficile à faire entendre leur voix. Ce qui est une position discriminatoire et aberrante! Instaurer un véritable partenariat entre personnes sourdes et entendantes autour de l enfant sourd est chose accessible : le CREE et le projet «Ecole et surdité» le vivent au quotidien avec des répercutions positives sur les enfants sourds. - La formation initiale o des enseignants entendants Elle devrait offrir la possibilité d apprendre la langue des signes, au même titre que les autres langues et ce dès la première année de la formation pour permettre une certaine maîtrise au terme de celle-ci. Une 4 e année en orthopédagogie permet actuellement une orientation spécifique vers l enseignement spécialisé et offre 30h de «langage gestuel». Aucune langue ne s acquiert dans un tel timing! Et il convient aussi d exiger la connaissance de la langue des signes en la distinguant de l aide à la lecture labiale (comme le langage parlé complété LPC) ou du «langage gestuel» (tel le français signé). 6 o Des enseignants sourds L accès aux Hautes-Ecoles et à l enseignement supérieur est limité à une très petite minorité de jeunes sourds. Ceux-ci proviennent d un milieu familial soutenant et qui arrive à trouver les moyens pour financer les interprètes ou autres aides pédagogiques. Quand elles accueillent un jeune sourd, les équipes éducatives ne sont en général pas sensibilisées aux adaptations nécessaires pour permettre au jeune de poursuivre sa scolarité. Beaucoup de jeunes sourds, découragés, abandonnent les études supérieures faute d obtenir les adaptations nécessaires. - Ne pas mélanger les enfants sourds avec des enfants présentant d autres handicaps. S assurer aussi que les enseignants ne soient pas mis dans des situations impossibles où des enfants sourds sans handicaps associés se retrouvent avec des enfants cumulant plusieurs handicaps ou présentant des troubles du langage n ayant rien à voir avec la surdité. Comment un enseignant peut-il au même moment apprendre le français à un dysphasique et à un enfant sourd? Il va «oraliser» des «signes» dans une construction grammaticale qui ne sera ni respectueuse du français ni de la langue des signes l un et l autre ont des besoins différents auxquels l enseignant est dans l impossibilité de répondre simultanément. Que dire alors quand on mélange aussi des enfants sourds sans handicap avec des enfants présentant des handicaps supplémentaires (sourds caractériels, débiles légers ou profonds) :
7 qu impose-t-on là comme mission aux enseignants? Sans compter que pour la plupart, ces enfants viennent de milieux socio-économiques défavorisés ; les autres parents s empressent de faire d autres choix et de chercher pour leur enfant un cadre respectueux de ses capacités. - Le tutorat Les jeunes enseignants qui débarquent dans l enseignement spécialisé pour sourds sans formation initiale adaptée vivent, selon leurs propres termes, une vraie galère! Pas d aide, pas de cadre, pas de possibilité de communiquer avec leurs élèves A l Université de Gallaudet 2, les jeunes enseignants entendants sont accompagnés durant les 3 premières années par un interprète. Au bout de cet accompagnement, ils doivent prouver leur autonomie dans la communication sous peine de ne pas être engagés définitivement. - L adhésion et la préparation de l équipe pédagogique pour les enfants en intégration Pour les jeunes sourds et malentendants intégrés dans l enseignement ordinaire : prévoir une adhésion et un accompagnement des équipes pédagogiques qui vont accueillir un enfant à besoin spécifique. S assurer qu une majorité d enseignants sont disposés à adapter leur enseignement est une condition de réussite et de bien-être de l enfant et du jeune ; l accord de la direction ne suffit pas pour prévenir de la part de certains des attitudes d indifférence, voire de méfiance. Des outils différents et complémentaires peuvent aider dans cette démarche : deux journées de sensibilisation à la surdité, une brochure explicative, en plus de l accompagnement par une personne spécialisée, peuvent lever bien des nœuds. L idéal étant aussi qu un jeune sourd ou malentendant ne se retrouve jamais seul dans une école pour éviter l isolement et le repli sur soi. 7 Le développement d outils pédagogiques propres à la surdité Les enseignants sont confrontés à l absence d outils adaptés et doivent concevoir leurs visuels et leurs pédagogies d apprentissage. Concernant l apprentissage écrit d une langue que les enfants n entendent pas, on peut mesurer les heures de recherches que cela suppose. Il n existe pas pour les sourds l équivalent des recherches ou des outils réalisés par exemple pour les primo arrivants, où le français leur est enseigné avec des pédagogies propres à 2 L université Gallaudet est située à Washington. C est le seul établissement d'enseignement supérieur au monde où tous les programmes et services sont conçus spécifiquement pour des élèves sourds ou malentendants. Tous les cours sont enseignés en langue des signes américaine et en anglais. L université accueille quelque étudiants de premier cycle et 400 étudiants de cycles supérieurs, tous sourds ou malentendants.
8 l apprentissage d une langue étrangère. La difficulté avec les enfants sourds réside dans le fait qu il faut créer une pédagogie bilingue qui s appuie sur une langue visuelle (qui ne s écrit pas) pour passer au français écrit (l anglais, le néerlandais ). Les enseignants souhaitent une plate-forme d échanges où tous les enseignants qui ont en charge des enfants sourds auraient accès aux outils. Une mutualisation des savoirs et des expériences feraient gagner à beaucoup un temps précieux. Des synergies se créent entre écoles et universités (Unamur (LSFB-Lab) avec Ecole et surdité ; chaire UCL-Irsa), mais pas entre les enseignants des différentes écoles (spécialisées ou en immersion linguistique). Des moyens supplémentaires pour l achat d outils TICS Internet et le développement des outils comme les smartphones ont révolutionné la vie des personnes sourdes : les sites en langues des signes se multiplient et relient les personnes sourdes entre elles et à la société. Les classes ne sont pas équipées pour permettre aux enseignants d utiliser toutes ces nouvelles technologies, qui sont des outils précieux pour ces enfants à besoin spécifique. Une simple télévision (moins chère qu un écran et un projecteur) permettrait à l enseignant d utiliser des outils visuels adaptés. L idéal étant bien entendu les tableaux interactifs mais aucune école n a les moyens d en équiper chacune des classes. En vous remerciant pour l'attention que vous voudrez bien accorder à nos propositions, et surtout pour les initiatives que vous prendrez pour donner à tous les enfants sourds et malentendants la même égalité des chances, nous vous prions d'agréer, Madame la Ministre, l'assurance de notre considération distinguée. 8 Pour le Conseil d'administration,
EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES
EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES SÉANCES DE LOGOPÉDIE POUR LES ENFANTS DONT LE QUOTIENT INTELLECTUEL EST INFÉRIEUR À 86 PAR THOMAS DABEUX ANAHM ASBL 29 OCTOBRE 2014 Des études récentes
Plus en détailMes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca
Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est unique mfa.gouv.qc.ca Les services de gardes éducatifs, un milieu de vie stimulant pour votre enfant
Plus en détailL école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences
L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences Animation pédagogique Mise en œuvre du LPC 87 Un principe majeur! L école maternelle n est pas un palier du socle commun de connaissances
Plus en détailRÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement
RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement La recherche à l Université Sainte-Anne L Université Sainte-Anne, par son emplacement géographique,
Plus en détailDonnées de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9
Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) 371.9 Un travail collectif : Renseignements aux parents d élèves ayant des besoins spéciaux ISBN 0-7711-3999-9 1. Éducation
Plus en détailLa réadaptation après un implant cochléaire
La réadaptation après un implant cochléaire Ginette Diamond, chef en réadaptation Sophie Roy, audiologiste Colloque CRDP InterVal 2009 But de la présentation Sensibiliser les participant(e)s à un outil
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailPrise en compte de la population sourde dans le système de soins
Prise en compte de la population sourde dans le système de soins Création d unités de soins pour personnes Sourdes en France Présenté le 16 février 2010 Docteur Isabelle RIDOUX Les personnes Sourdes Combien
Plus en détailPréparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais
Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Dans les écoles de maturité des gymnases du canton de Vaud Edition 2014 Département de la formation, de la jeunesse
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détail22 2011 (CC-20111-110)
Politiquee linguistique Adoptée : En vigueur : Amendement : 22 mars 2011 (CC-2011-110) 22 mars 2011 Table des matières 1. PRÉAMBULE... 1 2. CHAMP D APPLICATION... 1 3. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE...
Plus en détailFormation certifiante au métier de coach scolaire
Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont
Plus en détailComment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui
Plus en détailSociale et solidaire, l association qui contribue au développement social et de l emploi pour améliorer les conditions de vie des habitants.
Sociale et solidaire, l association qui contribue au développement social et de l emploi pour améliorer les conditions de vie des habitants. Association d habitants et d acteurs du territoire (collectivités,
Plus en détailQuand les enfants apprennent plus d une langue
Quand les enfants apprennent plus d une langue En tant que parent d un enfant qui apprendra deux langues ou plus, vous avez peut-être des questions. Cette brochure basée sur des recherches récentes vous
Plus en détailOrganisation des enseignements au semestre 7
Organisation des enseignements au semestre 7 UE1 : Pratiques pédagogiques différenciées et adaptées aux besoins éducatifs particuliers (responsable : J. Divry) Transmettre des connaissances et des références
Plus en détailCONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,
Plus en détaileduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détaille QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise
POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société
Plus en détailConnecticut Haitian Voice Mars 2009
«Entrevue : Un programme de français pour les francophones à New York» Paru dans : CSMS Mag Janvier 2009 Connecticut Haitian Voice Mars 2009 Média Mosaïque Montréal Juin 2009 Par Jeanie Bogart Il est possible
Plus en détailService d accompagnement pédagogique de l Université Sorbonne Paris Cité
Service d accompagnement pédagogique de l Université Sorbonne Paris Cité CATALOGUE DE FORMATION POUR LES ENSEIGNANTS DE USPC 2014-2015 Le service SAPIENS créé en janvier 2014 propose durant l année 2014-2015
Plus en détailbonnes raisons pour NE PLUS utiliser «sourd-muet»...
5 bonnes raisons pour NE PLUS utiliser «sourd-muet»... Réalisation : APEDAF asbl Rue Van Eyck, 11a 1050 Bruxelles Editeur responsable : Anne-Charlotte Prévot Rédaction : Helena Almeida Illustrations :
Plus en détailCirculaire n 5051 du 04/11/2014
Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés
Plus en détailQU EST-CE QUE TRAVAILLER EN ÎLOTS BONIFIÉS?
Travailler en îlots bonifés selon la méthode pédagogique créée par Marie Rivoire. par Catherine Manesse et Anne Dauvergne IPR Langues vivantes Académie de Dijon Cette façon de travailler, dont on entend
Plus en détailDispositif : da01 - Animations pédagogiques. Module da-01 : 01 - Apprentissages coopératifs en maternelle
Dispositif : da01 - Animations pédagogiques Identifiant : 13D0906003 Inscription : Public désigné, ne pas s'inscrire Objectifs généraux : Maîtrise de la langue, Mathématiques et culture scientifique, culture
Plus en détailRéférentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique
Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique I Contexte du métier 1. Définition Les professeurs de musique diplômés d'état sont chargés
Plus en détailLe 1 er site pour l emploi 100% accessible aux personnes sourdes et malentendantes. Dossier de presse
Le 1 er site pour l emploi 100% accessible aux personnes sourdes et malentendantes Dossier de presse Conférence de presse du 14 juin 2012 Sommaire Jobsourd : P.3 La 1 ère plateforme pour l emploi des Sourds
Plus en détailDossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015
Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailEXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE
EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord,
DOSSIER DE PRESSE Lille, le 13 février 2008 A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, sur l accueil des personnes âgées et des personnes handicapées françaises en Belgique,
Plus en détailLes services en ligne
X Les services en ligne (ressources partagées, cahier de texte numérique, messagerie, forum, blog ) Extrait de l étude «Le développement des usages des TICE dans l enseignement secondaire», 2005-2008 SDTICE
Plus en détailC est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de
C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d
Plus en détailProgramme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE
Programme de la formation Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE o 36 h pour la préparation à l'épreuve écrite de français Cette préparation comprend : - un travail sur la discipline
Plus en détailLanguedoc - Roussillon
Master Métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation 1 er degré MEEF Concours préparés : Concours de recrutement des professeurs des écoles (CRPE) Lieu : Carcassonne - Mende - Montpellier
Plus en détailBourse d études de l Ontario pour les étudiants sourds fréquentant un établissement postsecondaire à l extérieur du Canada
Direction de l aide financière aux étudiantes et étudiants Ministère de la Formation et des Collèges et Universités Régime d aide financière aux étudiantes et étudiants de l Ontario Bourse d études de
Plus en détailCOMITÉ CONSULTATIF EHDAA
COMITÉ CONSULTATIF EHDAA Mercredi le 18 janvier 2012 à 19 h Salle des commissaires Centre administratif de la CSH COMPTE RENDU Présences : Serge Paquin Katia Châteauvert Isabelle Robitaille Hélène Desrochers
Plus en détailCentre de soutien d Arrenberg
Centre de soutien d Arrenberg Nous soutenons des enfants, des jeunes et des adultes à suivre leur chemin d autonomie et d intégration sociale. Nous aidons des gens avec un handicap où une maladie chronique
Plus en détailSECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants
POLITIQUE POLITIQUE D ÉDUCATION INTERCULTURELLE DATE : 26 mars 2014 SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants DESTINATAIRES : À toute la communauté
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailDevenez expert en éducation. Une formation d excellence avec le master Métiers de l Enseignement, de l Education et de la Formation
Institut Universitaire de Formation des Maîtres Université de Provence - Aix-Marseille Université 20 ans d expérience dans la formation des professionnels dans les métiers de l enseignement, de l éducation
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailPROGRAMMES EN EPS A L ECOLE PRIMAIRE
PROGRAMMES EN EPS A L ECOLE PRIMAIRE B.O. n 3 du 19 juin 2008 HORS SERIE Maternelle : AGIR ET S EXPRIMER AVEC SON CORPS Compétences visées (Cv) Se repérer et se déplacer dans l espace. Adapter ses actions
Plus en détailGarth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)
Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen
Plus en détailAP 2nde G.T : «Organiser l information de manière visuelle et créative»
AP 2nde G.T : «Organiser l information de manière visuelle et créative» Les TICE, un mode d accès à mon autonomie bien sûr! «L'autonomie n'est pas un don! Elle ne survient pas par une sorte de miracle!
Plus en détailEléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes
Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,
Plus en détailService de Formation à la Vie Autonome
Service de Formation à la Vie Autonome Une formation qui s adresse à des jeunes adultes ayant une déficience intellectuelle, qui souhaitent apprendre à vivre de manière plus autonome au quotidien Pro infirmis
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailEVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI)
EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) Note méthodologique relative à l outil de suivi en continu du projet de formation et du projet professionnel La direction
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves POLITIQUE DE L'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS POLITIQUE
Plus en détailen région bruxelloise
AFrAHM Section de Bruxelles Association de Parents de La Clairière Etat des lieux Centres de jour Centres d hébergement pour travailleurs et non travailleurs en région bruxelloise 2 Table des matières
Plus en détailComité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée
Strasbourg, le 14 novembre 2014. Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Philippe Richert, Président du Conseil Régional d Alsace, Ancien Ministre, a ouvert
Plus en détailL'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1:
L'EXEMPLE BELGE La scolarisation des enfants autistes en Belgique Grande Cause Nationale 2012, l'autisme touche près de 440 000 personnes en France. Chaque année, ce sont 5 000 à 8 000 enfants qui naissent
Plus en détailLes enfants malentendants ont besoin d aide très tôt
13 CHAPITRE 2 Les enfants malentendants ont besoin d aide très tôt Pendant les premières années de leur vie, tous les enfants, y compris les enfants malentendants, apprennent rapidement et facilement les
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailOffrez un avenir international à vos enfants
E I B : UNE ECOLE INTERNATIONALE BILINGUE MATERNELLE PRIMAIRE u COLLÈGE Dans la lignée de l Ecole Internationale Bilingue d Angers, le Collège accueille vos enfants dès la 6ème dans un environnement sain
Plus en détailLe droit de l'enfant sourd à grandir bilingue
French Le droit de l'enfant sourd à grandir bilingue The French version of The right of the deaf child to grow up bilingual by François Grosjean University of Neuchâtel, Switzerland This production of
Plus en détailquestions/réponses sur les DYS
D Y S L E X I E, D Y S P H A S I E, D Y S P R A X I E, Les DYS, un handicap émergeant? La Dysphasie trouble du langage oral? La Dyspraxie, trouble de la coordination du geste? La Dyslexie, trouble du langage
Plus en détailGuide d information sur les aides du Service PHARE
Guide d information sur les aides du Service PHARE Ce guide est écrit de manière simple pour être facilement compris par tous. Il ne peut donc être aussi complet que les textes légaux et ne les remplace
Plus en détailREDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE
FICHE MEDIAS N 1 REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE A l'attention des enseignants des cycles II et III Initiative de sensibilisation au handicap mental l'écolensemble Objectifs pédagogiques
Plus en détailTravail en groupe Apprendre la coopération
Travail en groupe Apprendre la coopération Travailler en groupe, en atelier peut répondre à de nombreux objectifs qui peuvent être très différents les uns des autres. Nous insisterons ici sur les pratiques
Plus en détailLes réseaux sociaux : quels apports éducatifs pour l éducation permanente?
Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2013 7, juillet 2013 www.ftu.be/ep Les réseaux sociaux : quels apports éducatifs pour l éducation permanente? L exemple de Twitter
Plus en détailECOLE SAINTE ANNE PROJET PEDAGOGIQUE ECOLE PRIMAIRE CATHOLIQUE HORS CONTRAT
ECOLE SAINTE ANNE PROJET PEDAGOGIQUE ECOLE PRIMAIRE CATHOLIQUE HORS CONTRAT L école Sainte-Anne a été fondée dans le souci de transmettre à nos enfants un enseignement complet intégrant l intelligence
Plus en détailROELAND vzw RECRUTE! LANGUES & CRéATIVITé
ROELAND vzw RECRUTE! LANGUES & CRéATIVITé Roeland vzw Service de jeunesse pour la promotion de la connaissance des langues Krijgslaan 18 9000 Gent T +32 9 221 60 44 www.roeland.be info@roeland.be 1 QUI
Plus en détailINF 5075-2 Infographie matricielle
INF 5075-2 Infographie matricielle Légende DURÉE : 5 heures Domaine d apprentissage : Mathématique, science et technologie Programme d étude : Informatique Cours : Infographie matricielle (INF 5075-2)
Plus en détailRéunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailQuels sont les indices observés chez les enfants présentant un trouble de traitement auditif?
Le trouble de traitement auditif _TTA Entendre n est pas comprendre. Détecter les sons représente la première étape d une série de mécanismes auditifs qui sont essentiels pour la compréhension de la parole
Plus en détailCérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle
1 Cérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle Discours de Madame ALBATOUL Zakaria, Ministre de l'enseignement fondamental et de l'alphabétisation du Tchad, Présidente
Plus en détailPROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS
PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS Le projet pédagogique met en œuvre le projet éducatif de l'organisateur, il en précise les conditions de réalisation dans un document élaboré en concertation
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailCours d été 2015. Aux parents et élèves de 5 e secondaire
Cours d été 2015 Aux parents et élèves de 5 e secondaire Durant l été, la Commission scolaire offre à ses élèves de 5 e secondaire trois services : 1. Des cours en présentiel, dans les matières suivantes
Plus en détailBilan des réalisations 2014 à l égard des personnes handicapées
Bilan des réalisations 2014 à l égard des personnes handicapées Contexte Le bilan des réalisations à l égard des personnes handicapées présente les engagements de la Société de l assurance automobile du
Plus en détailLe menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire
Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,
Plus en détailAccueillir un sourd en entreprise
Accueillir un sourd en entreprise Comprendre et se faire comprendre Construire l avenir 3 5 10 16 17 18 19 Sommaire Le mot du directeur Définitions (LSF LPC lecture labiale) Idées reçues sur la surdité
Plus en détailLE CONGÉ SOLIDAIRE DEUX SEMAINES POUR AGIR AU SERVICE DE LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE
LE CONGÉ SOLIDAIRE DEUX SEMAINES POUR AGIR AU SERVICE DE LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE Renforcer l'autonomie des populations et la protection de leur environnement le partenariat continu pour apporter un
Plus en détailUn écrivain dans la classe : pour quoi faire?
Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas
Plus en détail9.1- Sur les réseaux sociaux, j ai toujours le choix!
Thème 3 - Participer, protéger, partager : des choix de société? Séquence 9 Nos actions sur les réseaux sociaux 9.1- Sur les réseaux sociaux, j ai toujours le choix! à partir de la 5 e comprendre créer
Plus en détailL apparition de la notion d inclusion dans le débat concernant la scolarisation. Intégration ou inclusion? Études et formations
Intégration ou inclusion? Éléments pour contribuer au débat Éric Plaisance Professeur des universités Brigitte Belmont Ingénieur d études Aliette Vérillon Ingénieur de recherche Cornelia Schneider Attachée
Plus en détailCentre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs
Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à
Plus en détailUnité de formation professionnelle du Ceras
Unité de formation professionnelle du Ceras 15 novembre 2013 : Journée romande de la commission latine d intégration professionnelle (CLIP) Cette présentation, susceptible d être d distribuée e aux personnes
Plus en détailGRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.
GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.2015) LE PROJET DÉTAILLÉ Présentation générale Graver la Paix
Plus en détailLycéens... page 2 Devoirs des lycéens... page 2 Droit des lycéens... page 7
RÈGLEMENT INTÉRIEUR Lycéens... page 2 Devoirs des lycéens... page 2 Droit des lycéens... page 7 Étudiants... page 9 Devoirs des étudiants... page 9 Droit des étudiants... page 13 5 rue de la Motte Brûlon
Plus en détail2'223 4'257 (2'734 Équivalent temps plein ETP) 1'935 4'514 (3'210 ETP) 37'126. 1 540 Compris dans l'enseignement obligatoire Enseignement spécialisé
af DE VAUD Département de la formation et de la jeunesse DFJ Projet : «Ecole et informatique» 1 Introduction Près de deux décennies après l introduction des premiers ordinateurs dans l École obligatoire,
Plus en détailEquité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir les élèves et les établissements défavorisés
Equity and Quality in Education. Supporting Disadvantaged Students and Schools Summary in French Accédez au texte intégral: 10.1787/9789264130852-en Equité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir
Plus en détailA toute personne active dans le domaine des assurances, qu elle soit du service interne ou externe.
A qui s adresse cette formation? A toute personne qui, quelle que soit sa désignation, agit en vue de la conclusion de contrats d assurance ou conclut de tels contrats. A toute personne désireuse de parfaire
Plus en détailDEFICIENTS AUDITIFS : QUELLES AIDES FINANCIERES?
DEFICIENTS AUDITIFS : QUELLES AIDES FINANCIERES? Sommaire 1 ère partie : Les aides techniques I. Appareils de correction auditive & implant d oreille moyenne (dont le BAHA) 1. Les prestations pour tous
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailPRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS. DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DES ÉCOLES PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2 Rédaction Jean-Pierre GUICHARD Conseiller pédagogique en EPS Ministère
Plus en détailAttestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année
Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année PALIER 2 CM2 La maîtrise de la langue française DIRE S'exprimer à l'oral comme à l'écrit dans un vocabulaire approprié
Plus en détailDevoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire
Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailLes métiers de l enseignement
Les secteurs qui recrutent Les dossiers de la MOIP Les métiers de l enseignement Dossier n 1 Date de parution : mai 12 Transmettre le savoir. Sommaire : Le professeur des écoles Le professeur de collège
Plus en détailLES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg
LES DROITS CULTURELS Déclaration de Fribourg Les droits culturels, Déclaration de Fribourg, page 2 considérants 1 principes fondamentaux 2 définitions justifications principes et définitions 3 identité
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailMyflexy P ark. dossier de presse. 30 janvier 2015. Dossier de presse réalisé avec le soutien d InnovaTech ASBL
Myflexy P ark dossier de presse 30 janvier 2015 Dossier de presse réalisé avec le soutien d InnovaTech ASBL 10 à 15% du trafic automobile serait dû au manque endémique de parkings dans les centres urbains
Plus en détailMieux connaître les publics en situation de handicap
Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent
Plus en détail