ÉTUDE DE CAS N 1 : LA QUESTION DE L ACCÈS A L EAU EN AUSTRALIE. LE BASSIN DE LA MURRAY- DARLING
|
|
- Charlotte Dumouchel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ÉTUDE DE CAS N 1 : LA QUESTION DE L ACCÈS A L EAU EN AUSTRALIE. LE BASSIN DE LA MURRAY- DARLING
2 MISE AU POINT SCIENTIFIQUE.
3 INTRODUCTION : L Australie constitue aujourd hui un cas d école concernant tous les problèmes liés d une part au réchauffement climatique en cours et d autre part { la gestion des ressources en eau. Il n est d ailleurs pas anodin que ce pays ait été choisi comme étude de cas possible dans ce chapitre alors qu il y a encore une dizaine d années aucun manuel de géographie ne le plaçait dans la liste des États soumis à une situation de stress hydrique. C est qu en effet depuis environ l an 2000, l eau est devenue un véritable problème de sécurité nationale sous les effets conjugués d une pluviométrie déclinante et d un usage déraisonné de la ressource. Ces dernières années, dans ce continent déjà le plus sec du monde et recouvert à 70 % de déserts, certaines régions n ont plus reçu aucune pluie significative et les images chocs se sont succédées : réservoirs des fermiers vides, cadavres calcinés de mouton au milieu de champs secs comme la lune, kangourous poussés par la soif { s approcher toujours plus des villes
4 La région du bassin de la Murray - Darling, dans la partie sud-est du pays, constitue un bon cas des difficultés auxquelles est confrontée actuellement l Australie. En effet, en 2006 et 2007, la rivière Murray ne représentait que 40 % des plus hauts débits jamais constatés et les précipitations sur le bassin - versant n étaient que de 284 millimètres, soit la troisième année la plus faible depuis Depuis, la situation ne s est pas véritablement améliorée et les pluies violentes du début de l hiver 2009 constituent plus une anomalie qu un retournement de tendance. La sécheresse de 2006 a donc provoqué une prise de conscience nationale et internationale de la vulnérabilité de ce pays qui était jusqu { présent assez insouciant en matière environnementale. L Australie avec ses 20 millions d habitants, en majorité urbains et grands consommateurs d eau, sait aujourd hui qu elle ne peut plus utiliser cette ressource sans compter comme elle l a fait pendant des décennies. Par conséquent, le pays, fort de sa puissance et de ses ressources financières importantes est maintenant en pointe dans le domaine des infrastructures en eau et assainissement.
5 I. DONNÉES GÉOGRAPHIQUES. Le bassin du Murray Darling est donc situé au sud-est du pays et il s étend sur quatre États australiens : le Queensland, au nord, la Nouvelle - Galles du Sud, { l est, l État de Victoria, au sud, et l Australie méridionale où est située l embouchure du fleuve Darling, { l ouest. Ce bassin est formé de deux fleuves principaux : la Murray et la Darling et de leurs affluents. Ces deux fleuves forment sur plus de 5000 km le plus long cours d eau d Australie et constituent sa principale ressource en eau. Ces deux fleuves doivent leur nom à un officier anglais, Charles Sturt, qui les a exploré entre 1828 et La Darling, prend sa source 2700 km au nord du confluent de Wentworth, dans les collines tropicales. La Murray, qui a été baptisée ainsi en l honneur du secrétaire aux colonies, Sir George Murray, prend sa source à 2000 km au sud-est dans les Alpes australiennes. L ensemble du bassin est surnommé par les australiens le «Riverland». C est l{, que se sont installées il y a plus de ans les premières tribus aborigènes.
6 II. DONNÉES HUMAINES. Le bassin du Murray Darling est habité par plus de deux millions de personnes dont de nombreux agriculteurs, soit plus de 10 % de la population australienne. Mais plusieurs millions d autres habitants en dépendent pour leur alimentation en eau courante. Ces populations dépendantes des eaux de la Murray et de la Darling habitent essentiellement dans les grandes villes du littoral comme Adelaïde, Melbourne ou Sidney. Or, ces villes concentrent à elles seules 60 % de la population totale du pays. Une bonne partie des littoraux touristiques du sud-est du pays dépendent également fortement des approvisionnements en eau de ces deux fleuves. En d autres termes, une majorité de la population australienne est concernée par l évolution de ce bassin versant.
7 III. DONNÉES ÉCONOMIQUES. Le «Riverland» est la principale région agricole d Australie : il fournit 40 % de la production agricole du pays et il abrite 70 % des terres irriguées. On surnomme d ailleurs cette région la «wheat belt», la ceinture de blé. On y produit : - Du riz - du blé - Du coton - De la viande - Sans oublier du vin, dans la région d Adelaïde et de la Murrumbidgee. Cette agriculture commerciale est destinée { 80 % { l exportation et elle contribue { hauteur de 3 % au PIB australien.
8 IV. UNE SITUATION DE CRISE. Pour commencer quelques chiffres éloquents : Depuis la grande sécheresse du début des années 2000 : - Des milliers d exploitations agricoles ont fait faillite accentuant ainsi l exode rural. - Des dizaines de fermiers se sont suicidés, ne supportant plus le déclin de leurs exploitations. - Les diverses productions agricoles se sont effondrées : de 23,8 millions de tonnes à 13,6 millions de tonnes pour le blé entre 2000 et 2007, de tonnes à tonnes de coton pour la même période. Plus parlant encore, l effondrement de la production de riz, qui est passée de 1,1 million de tonnes en 2000 à tonnes en En septembre 2009, les réservoirs du bassin étaient remplis à 25 % seulement de leur capacité. - La Murray ne relâche plus d eau dans la mer et le débit du fleuve est au plus bas depuis la fin du XIXème siècle.
9 QUI S EXPLIQUE PAR Un important déficit pluviométrique : S il n est pas certain que cette sécheresse soit directement imputable au changement climatique en cours, il ne fait guère de doute en revanche que celui-ci aura pour effet de la rendre plus ou moins permanente. En effet, les experts du GIEC pensent que l Australie sera une des régions du globe la plus touchée par la hausse des températures (ils avancent le chiffre de +6,7 C { l horizon 2080). Ils anticipent même un déplacement des tempêtes océaniques d hiver, dont le pays dépend pour la plupart de son eau, vers le pôle sud.
10 Un mode de vie insoutenable et inadapté à la situation du pays : Alors que ce pays - continent est un des plus arides du monde : - Les Australiens consomment 30 % plus d eau que la moyenne des pays de l OCDE. La consommation urbaine et touristique est en forte croissance. - Alors même que l état de sécheresse était déclaré en 2006, leur consommation a continué d augmenter. - En pleine pénurie d eau certains continuaient { remplir leurs piscines, laver leurs voitures et arroser leurs pelouses.
11 Des pratiques agricoles inadaptées : Le facteur le plus décisif de la sécheresse et de cette crise de l eau australienne est toutefois le mode de développement agricole privilégié par ce pays. En effet, le choix de cultures inadaptées { l environnement local (riz, coton, blé pour rappel) entraîne un recours massif { l irrigation. Ce qui explique, qu { elle seule, l agriculture australienne consomme les 2/3 de l eau du pays. Or, { cela vient s ajouter la vétusté du système d irrigation, qui entraîne un gâchis considérable des ressources.
12 V. LES SOLUTIONS APPORTÉES POUR RÉSOUDRE LA CRISE DE L EAU. Face à la sécheresse et à la raréfaction de la ressource, les solutions apportées sont de trois ordres : Des solutions techniques. Des solutions politiques. Des solutions culturelles.
13 Les solutions techniques : de nouveaux aménagements pour mobiliser la ressource en eau. Dans le cadre de son «Initiative nationale de l eau» lancée en 2004, l État australien a donné l impulsion { la construction de nombreuses nouvelles infrastructures. Ces infrastructures peuvent être classées en deux catégories : Les infrastructures dont l objectif est de maintenir en l état la ressource. Dans cette catégorie, on peut citer tous les projets visant à réduire les gaspillages inutiles comme la conversion des canaux ouverts en pipe-line pour éviter les pertes dues à l évaporation, la mise en place dans les champs de systèmes de micro - aspersion Les infrastructures dont l objectif est d augmenter l offre en eau. On peut citer ici les projets de construction d usines de dessalement, d usines de traitement de l eau, la construction de nouveaux barrages ou de nouveaux conduits pour transporter l eau sur de grandes distances. On peut citer également des projets de recyclage des eaux usées à des fins industrielles, agricoles et même domestiques : le «Water Re- Use».
14 Les solutions politiques : la mise en place d une gouvernance de l eau. Pour résoudre cette crise l État australien a également mis en œuvre des mesures politiques strictes. Au niveau agricole, il a mis en place un système de répartition de la ressource qui repose sur des allocations en eau : chaque fermier, chaque exploitation recevant chaque année un quota d eau { exploiter { ne pas dépasser. L État s est également engagé { racheter les droits { l eau de grands groupes agricoles du Murray - Darling afin de réorienter cette eau vers la restauration des écosystèmes. Toutefois, ce système bien qu intégrant les effets de la sécheresse (la quantité d eau allouée est théoriquement calculée en fonction des précipitations et des ressources) atteint ses limites aujourd hui avec l aggravation de cette dernière. Plus globalement, la gestion de l eau du «Riverland» a été centralisée au niveau fédéral afin de mieux la coordonner. Les États traversés par la Murray Darling, qui avaient tendance à se disputer la ressource ont été dépossédés de leur droit sur l eau. Au niveau urbain, la plupart des grandes villes se sont vues imposer des restrictions de consommation. Dans un premier temps, des mesures de coercition assez sévères (fortes amendes, baisse de la pression de l eau fournie, tournées de policiers de l eau ) ont été prises afin de limiter les usages non essentiels : arrosage des pelouses, des voitures Enfin, au niveau industriel, les entreprises et les compagnies minières ont été encouragées à modérer leur consommation et { mettre en place des systèmes de recyclage de l eau.
15 Les solutions culturelles : vers un changement des mentalités australiennes. Progressivement, sous le double effet des incitations gouvernementales et d une prise de conscience environnementale, la population australienne s adapte. Les comportements se font plus responsables. Les Australiens équipent de plus en plus leurs maisons de citernes pour collecter l eau de pluie. Ils installent des systèmes de recyclage de l eau envoyant directement l eau du bain dans les toilettes et celle de la vaisselle dans le jardin. Ils vont parfois même jusqu { installer un système de Re-Use dans leur logement. Ce changement de mentalité et cette prise de conscience collective des enjeux de développement durable commence à produire ses effets puisque la consommation dans certaines grandes villes comme Melbourne ou Sydney décline malgré l augmentation de la population. De même, dans les campagnes australiennes, les habitants adoptent des modes de consommation plus responsables. L exemple le plus célèbre est celui de Bundy.
16 Bundanoon «Bundy» : première ville australienne à avoir interdit l eau en bouteille. Les habitants de cette petite ville de Nouvelle Galles du sud ont décidé d interdire la vente d eau en bouteille. Cette décision a été votée à la quasiunanimité alors que l'entreprise de boissons Norlex avait annoncé son intention de pomper l eau des nappes phréatiques situées { proximité de la commune pour ensuite l envoyer { Sydney pour la mettre en bouteille, avant de la réexpédier { Bundy pour la vendre. L interdiction de vendre des bouteilles en plastique fait partie d'une campagne de sensibilisation à l'environnement lancée par la municipalité et baptisée «Bundy on Tap» (Tap signifie robinet).
17 CONCLUSION : QUEL BILAN TIRER EN 2010 ET QUELLES SONT LES PERSPECTIVES D AVENIR? En ce début d année, la sécheresse persiste et, on l a dit, elle risque de durer. Ses effets sur l environnement et sur les populations sont inégaux : Globalement, l environnement australien est durement touché : incendies, salinisation des sols, recul de la biodiversité De même, les agriculteurs australiens, malgré toutes les mesures prises, souffrent. Leurs revenus s effondrent, leurs exploitations sont proches de la faillite, et leur avenir s annonce sombre. Par contre, les populations urbaines sont moins durement touchées du fait de la multiplication des équipements et des infrastructures pour l eau. Toutefois, cette relative aisance doit être nuancée : le marché de l eau devient un enjeu majeur pour les multinationales comme Véolia, Degrémont ou Suez Environnement et on estime que la facture d eau moyenne des consommateurs sera multipliée par deux d ici cinq ans.
18 Et l avenir? La problématique de l accès { l eau en Australie ne se pose pas dans les mêmes termes qu au Maroc. Contrairement { ce pays où l agriculture représente plus de 20 % du PIB et 4 millions d emplois directs, l Australie peut se permettre de sacrifier certains pans de son secteur agricole et de réorienter sa production vers des cultures moins gourmandes en eau. Les risques d explosion sociale sont faibles. De même, l Australie, pays riche et développé, a tous les atouts pour se doter d infrastructures en eau et assainissement en nombre suffisant pour affronter la crise hydrique qu il traverse. D ailleurs, ce pays est déj{ devenu le 2 ème pays au monde en terme d équipements pour l eau. Pays «assoiffé», l Australie risque bien de devenir un pays modèle pour la gestion de la ressource en eau. Déj{, cet État sert de laboratoire pour les multinationales de l eau, qui y testent toutes les solutions possibles pour pérenniser l approvisionnement des habitants. Mais «quid» de la dégradation de l environnement?
19 PROPOSITION DE MISE EN ŒUVRE EN CLASSE.
20 LA QUESTION DE L ACCÈS À L EAU DANS LE BASSIN DE LA MURRAY - DARLING.
21 Problématiques possibles - L eau du bassin de la Murray - Darling est-elle surexploitée? - Pourquoi l accès à l eau pose-t-il problème dans un pays riche et développé comme l Australie? - Objectif principal : - Décrire et expliquer l exploitation, la consommation et la distribution de l eau en Australie.
22 Accroches possibles. Une vidéo d Arte : Des agriculteurs australiens au milieu de l un de leurs réservoirs d irrigation. articles/288/sécheresse%20australi e.jpg Universes/U1 Comprendre le monde/02- Magazines/17_20Global_20Mag/05 _20Image_20satellite/edition _3A30/ART_20IMASAT 11/ html Une vidéo de France2 : _F2
23 Première heure de l étude de cas. Problématique : comment l eau est-elle utilisée dans le sud - est de l Australie? Objectifs : Faire la liste des différents usages de l eau dans cette région de l Australie. Connaître la répartition par secteur de l eau prélevée. Localiser le bassin du Murray - Darling.
24 LOCALISATION.
25 Activité élèves : Localiser l Australie sur le planisphère à l aide de son manuel.
26 Activité élèves (2) : colorier en bleu la Murray et la Darling et entourer en vert leur bassin à l aide de cartes projetées aux élèves.
27 LES USAGES DE L EAU DANS CETTE RÉGION
28 Documents proposés : DOC 1 : «Avec une consommation d eau 30% supérieure à la moyenne des pays membres de l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), les ménages australiens ne font pas figure d exemple. Une situation qui s explique en partie par le fait que la majorité des Australiens vivent dans des maisons, et non des appartements, et que beaucoup d entre elles sont équipées d une piscine. Mais ce ne sont ni les hommes ni l industrie qui utilisent le plus d eau. L agriculture en absorbe plus des deux tiers chaque année, alors qu elle ne représente que 3% du PIB australien.» Source :
29 DOC 2 : Répartition par secteur de l eau prélevée 20% agriculture 10% 70% usage domestique industries et mines
30 Doc 3 : une photographie Un hôtel de Sidney en bord de mer A.jpg La plage de Bondy beach. b/2/25/bondi_beach.jpg/270px-bondi_beach.jpg Une photographie représentant des touristes.
31 Activité élèves : Relever dans les documents 1 et 3 les différents utilisateurs de l eau. Quel est le secteur le plus «gourmand» en eau? Quel élément du document 1 permet de dire que les Australiens sont de grands consommateurs d eau? Trace écrite attendue : répondre à la problématique.
32 Reprise possible : L Australie est un pays riche et développé situé dans l hémisphère sud. Rappel des notions de PIB et d IDH. La Murray - Darling est la principale région agricole du pays et c est une importante région minière. Ces deux secteurs et particulièrement l agriculture sont de grands consommateurs d eau. Cette région est située { proximité des principales villes du pays et du principal foyer de population, d où des usages domestiques et touristiques de l eau également importants.
33 Deuxième heure de l étude de cas. Problématique : pourquoi l eau est devenue une ressource rare dans cette région de l Australie? Objectifs : Connaître les conditions bioclimatiques du pays. Expliquer la sécheresse. Expliquer la rareté de la ressource.
34 Documents proposés : Carte des grandes zones climatiques. Carte présentant la répartition de la pluviométrie par États australiens. Carte des régions soumises au stress hydrique. Graphique présentant les variations de débit de la Murray - Darling.
35 Les apports magistraux : Définition du stress hydrique : on assiste à un stress hydrique lorsque la demande en eau dépasse la quantité disponible pendant une certaine période ou lorsque sa mauvaise qualité en limite l'usage. Le stress hydrique entraîne une dégradation des ressources d'eau douce en termes de quantité (surexploitation des eaux souterraines, rivières asséchées, etc.) et de qualité (eutrophisation, pollution par la matière organique, intrusion saline, etc.). Changement climatique : Quels sont les impacts sur l Australie? Réchauffement de +6,8 C et déplacement des courants marins apportant les précipitations vers le pôle sud Surexploitation : une agriculture commerciale et intensive inadaptée au milieu bioclimatique. Notion de gaspillage : du fait de l immensité et de l abondance des ressources, les fermiers quand ils se sont installés pensaient que les ressources étaient infinies.
36 Trace écrite attendue : Des fleuves au débit aléatoire Un climat sec à dominante semiaride l eau, une ressource rare Une sécheresse accentuée par les changements climatiques Une utilisation intensive de l eau dans le domaine agricole et minier
37 Troisième heure de l étude de cas : Problématique : quelles sont les conséquences de cette pénurie en eau? Objectifs Décrire et expliquer les conflits d usage pour l eau. Décrire et expliquer quels sont les aménagements nécessaires pour garantir l accès { l eau.
38 DOCUMENTS PROPOSÉS
39 Doc 1 : texte sur la gouvernance de l eau. «les autorités s efforcent de mettre en œuvre une gouvernance de l eau destinée { l irrigation. La mise en place d un plan de gestion de l eau au niveau du bassin du Murray Darling a toutefois occasionné des conflits politiques entre les États et le niveau fédéral. Aujourd hui, encore, alors que la gestion de l eau est centralisée les tensions restent vives entre le gouvernement de Canberra, les communautés et les États.» Source : texte écrit par le professeur.
40 Doc 2 : des oppositions à la gestion des ressources. Photographie disponible sur Google images. ges/uploadedfiles/editorial/pictures/20 08/09/25/ARREST1_STORY_- _SQUARE_F _28176.JPG Photographie d une agricultrice arrêtée par la police sur son exploitation pour s être opposée { la construction d un pipeline devant alimenter en eau la ville de Melbourne. «pourquoi prennent-ils notre eau dont on manque tant?» s est exclamée Deb Bertalli lors de son arrestation.
41 Doc 3 : le barrage de Hume Doc 4 : l usine de dessalement de Perth Images disponibles sur Google images : g/300px-hume_dam.jpg
42 Doc 5 : les politiques d économie de l eau. L exemple de Bundy. Les habitants de cette petite ville de Nouvelle Galles du sud ont décidé d interdire la vente d eau en bouteille. Cette décision a été votée à la quasi-unanimité alors que l'entreprise de boissons Norlex avait annoncé son intention de pomper l eau des nappes phréatiques situées à proximité de la commune pour ensuite l envoyer { Sydney pour la mettre en bouteille, avant de la réexpédier à Bundy pour la vendre. L interdiction de vendre des bouteilles en plastique fait partie d'une campagne de sensibilisation à l'environnement lancée par la municipalité et baptisée «Bundy on Tap» (Tap signifie robinet).
43 Doc 6 : texte : extrait de l article d Olivier Petitjean, la sécheresse permanente en Australie? sur le site «confronté à la sécheresse, le gouvernement australien a adopté en juin 2004 une «initiative nationale de l eau» visant à redéfinir entièrement la gestion de l eau dans toutes ses dimensions : mesure et surveillance de l état des ressources, capacités de stockage, droits d accès et marchés de l eau, réformes des systèmes de gestion urbains et ruraux Les projets les plus importants sont ainsi de construire plusieurs usines de dessalement, des usines de traitement de l eau, de nouveaux barrages. Les projets de recyclage des eaux usées { des fins industrielles, agricoles ou domestiques commencent également à se multiplier»
44 Mise en activité élèves : Relever dans les documents 1 et 2 les différents conflits d usage. A l aide des documents 5 et 6 (documents 3 et 4 illustratifs), faire la liste des aménagements pour l eau. Chercher les limites ou les problèmes posés par la multiplication de ces aménagements.
45 Apport magistral Définir et expliquer la notion de conflit d usage : Définir et expliquer la notion d aménagement : Décrire les politiques de gestion de l eau prises par le nouveau gouvernement travailliste élu en 2007 (réorientation du riz vers d autres productions, par exemple). Insister sur l évolution du comportement des australiens face { l eau : comportement plus responsable.
46 TRACE ECRITE ATTENDUE Rédiger un texte répondant à la problématique : La pénurie d eau entraîne des conflits d usage : entre les acteurs : entre agriculteurs et citadins ou touristes. entre les quatre États. entre les États et l État fédéral Il faut donc trouver des solutions : Techniques : barrages, dessalement, recyclage des eaux usées Politiques : mise au point par l état fédéral de politiques incitatives et coercitives. Culturelles : changement des pratiques quotidiennes
47 4 heure : Mise en perspective Problématique : à l échelle mondiale, tous les hommes ont-ils accès à une eau en quantité et de qualité? Objectifs : Localiser les régions où l eau douce est abondante et celles qui sont confrontées à un manque ou une pénurie d eau. Localiser les régions où une partie importante de la population n a pas accès { une eau saine. Localiser les principaux espaces de conflits pour l eau { l échelle mondiale.
48 Apports magistraux Évoquer les politiques mises en place au niveau mondial (ONU et FAO) pour améliorer la qualité de l eau et l accès { la ressource. Évoquer les objectifs du millénaire : réduire de moitié les humains qui n ont pas accès { l eau. S interroger sur l émergence d une gouvernance mondiale de l eau.
49 Trace écrite L eau n est pas une ressource épuisable mais ce qui pose problème c est le fait que sa répartition et sa mobilisation n est pas égale pour tous. Tous les hommes n ont pas accès { une eau de qualité et cette eau n est pas toujours présente en quantité nécessaire pour satisfaire toutes les activités humaines. Par conséquent, des politiques sont mises en place pour un meilleure répartition de la ressource et pour sa gestion durable.
Économisons. l eau. Une exposition de l agence de l eau Adour-Garonne. www.eau-adour-garonne.fr
Économisons l eau Une exposition de l agence de l eau Adour-Garonne Des économies faciles à réaliser Á confort égal, économiser 30% d eau avec des petits équipements adaptables, rentabilisés en moins d
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailLE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS. Présentation des enjeux du secteur
LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS Présentation des enjeux du secteur Avec des taux d accès proches de 100 %, les enjeux de l eau et l assainissement en Jordanie ne sont pas l accès
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailTravailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale
ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailPROJET DE DEVELOPPEMENT DES MODELS D EPARGNE D EAU POUR LA GESTION VIABLE D EAU ET D EAUX USEES
PROJET DE DEVELOPPEMENT DES MODELS D EPARGNE D EAU POUR LA GESTION VIABLE D EAU ET D EAUX USEES Le présent document est établi afin d être présenté lors de 4ème conférence des Pays moins développés des
Plus en détailÀ LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE
Eau France Le 17 mars 2015 À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE SUEZ environnement s engage pour gérer durablement la ressource Préserver la ressource en eau représente pour SUEZ environnement plus qu
Plus en détailSynthèse des réponses au questionnaire
Etat des lieux sur les réseaux et programmes de Monitoring dans les pays partenaires méditerranéens Synthèse des réponses au questionnaire X. Detienne Aquapôle, Université de Liège Réalisé pour le compte
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES. SÉRIES ES et L. Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES SÉRIES ES et L Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2 Ce sujet comporte 8 pages numérotées de 1 à 8. L'usage de la calculatrice est autorisé. Le candidat
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailQuestionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE
Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailMémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario
Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario L Association canadienne du propane Février 2013 Association canadienne du propane Mémoire pour le
Plus en détailComment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude
Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailL eau va-t-elle manquer?
Mai 2014 L eau va-t-elle manquer? L essentiel Document rédigé par Bernard Chocat (LGCIE INSA Lyon) Relecteurs : Vazken Andréassian (IRSTEA), Elodie Brelot (GRAIE), Nicolas Chantepy (Agence de l'eau Rhône
Plus en détailQu est-ce que l adaptation au changement climatique?
Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en
Plus en détailAccès des populations rurales au capital en Agroland
PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailRÈGLEMENT CO-2008-536 SUR L UTILISATION DE L EAU POTABLE CHAPITRE I DÉFINITIONS
RÈGLEMENT CO-2008-536 SUR L UTILISATION DE L EAU POTABLE LE CONSEIL DÉCRÈTE CE QUI SUIT : CHAPITRE I DÉFINITIONS 1. Aux fins d application de ce règlement, les mots et expressions suivants signifient :
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS
ROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS Plan de Communication Opérationnel de l Agence du Bassin Hydraulique du Loukkos 1 PLAN 1. Analyse de l environnement 2. l environnement externe
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailJMA Algérie 2013 Lauréats de la médaille de la FAO
JMA Algérie 2013 Lauréats de la médaille de la FAO M. MOUSSOUS RABAH Sur proposition du Ministère de l Agriculture et du Développement Rural Ex Directeur du Centre de Formation et Vulgarisation Agricole
Plus en détailLE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE
LE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE MARDI 15 OCTOBRE 2013 DOSSIER DE PRESSE CONTACTS PRESSE POUR EN SAVOIR PLUS Jeanne DEPERROIS 03 83 92 89 71 06 28 92 26 20 jeanne.deperrois@rte-france.com
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailAstuces. L eau. moins. dépenser. pour
Astuces pour! dépenser moins 2 >>> ÉDITO eau est une ressource précieuse, indispensable dans nos logements, que ce soit pour l alimentation, la préparation des L repas, l hygiène ou tout simplement notre
Plus en détailRésultats et impacts
Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailD.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS
D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS Les incendies de forêts ou les inondations sont les principaux risques majeurs qui peuvent
Plus en détailAnalyse de la carte :
Amorcée au 18eme siècle en Angleterre la révolution industrielle s accélère dans les années 1870 1880 et se diffuse dans toute l Europe et aux USA. Stimulé par de nouvelles inventions comme l électricité,
Plus en détailMÉMOIRE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION SUR L EAU, L ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LES GRANDS PARCS
MÉMOIRE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION SUR L EAU, L ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LES GRANDS PARCS Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique 484, route 277, Saint-Léon-de-Standon,
Plus en détailLe Plan de Continuité d Activité (PCA / BCP)
Le Plan de Continuité d Activité (PCA / BCP) Comment le mettre en œuvre et vérifier qu il restera opérationnel? Bruno KEROUANTON RSSI Clear Channel France - CISSP 16 juin 2004 - Paris Introduction, définitions
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailTNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE
15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA
Plus en détailGUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE
GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailL ESP et l international
L ESP et l international Mappemonde Partenariat { l étranger L AUSTRALIE Ce qu il faut savoir : Classé 2ème pays au monde en terme de qualité de vie. Principaux facteurs : climat, le coût bas de la vie,
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailEnquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques
Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailpage 1 sur 5 mise à jour le 09/12/2010 BON SEJOUR EN FRANCE CONDITIONS de RESERVATION
page 1 sur 5 mise à jour le 09/12/2010 BON SEJOUR EN FRANCE CONDITIONS de RESERVATION SARL BON SEJOUR EN FRANCE ci-après dénommée BSEF, 14, rue de l Abbaye, 17740 Sainte-Marie de Ré immatriculée au RCS
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailDes cartes pour comprendre un monde complexe
Des cartes pour comprendre un monde complexe Propositions de séquences en TES/L et en TS sur le cours introductif de géographie par Damien LOQUAY, EEMCP2 en Tunisie Ce que disent les programmes Terminale
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailLes réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014
Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailGestion de projet - principales caractéristiques d'un projet
Gestion de projet - principales caractéristiques d'un projet GÉRARD CASANOVA - DENIS ABÉCASSIS Paternité - Pas d'utilisation Commerciale - Pas de Modification : http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/
Plus en détailSdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation
Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailConsommer en 2010 : pas moins, mais mieux!
Paris, 21 janvier 2010 Communiqué de presse 21 ème Observatoire Cetelem de la Consommation Consommer en 2010 : pas moins, mais mieux! Depuis plus de 20 ans, L'Observatoire Cetelem décrypte, analyse et
Plus en détailVERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE.
VERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE. Habaieb H*., Albergel J.** * Institut National Agronomique de Tunisie ** Mission IRD de Tunis RESUME La Tunisie reçoit en moyenne
Plus en détailComment les Français gèrent l eau dans leurs foyers?
Comment les Français gèrent l eau dans leurs foyers? Mai 2015 Sondage réalisé par pour Fiche technique Recueil Echantillon Enquête réalisée auprès d un échantillon de Français recrutés par Access Panel
Plus en détailPACTE VERT. Une banque au cœur de Maroc Vert
PACTE VERT Une banque au cœur de Maroc Vert CULTIVONS VOTRE COMPÉTITIVITÉ UNE PRIORITÉ NATIONALE ACCOMPAGNÉE PAR LE GROUPE ATTIJARIWAFA BANK Le secteur agricole marocain s est vu assigner une place prioritaire
Plus en détailQuestion 1 : Pourquoi la Terre est-elle aussi appelée la planète bleue?
Question 1 : Pourquoi la Terre est-elle aussi appelée la planète bleue? - Parce que vue de l espace, la Terre est bleue. - En hommage aux schtroumpfs. - Parce que sa surface est à 70% recouverte d eau.
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailLes principaux thèmes liés à cette cause sont :
S engager pour l environnement Les hommes sont dépendants de leur environnement : c est leur lieu de vie. C est pourquoi lutter contre la pollution et le gaspillage est important. La défense de l environnement,
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailNe brûlons plus nos déchets verts à l air libre!
En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets
Plus en détailUN PRODUIT MONDIALISÉ : LE CAFÉ
RÉVISIONS DES ÉPREUVES DU BACCALAURÉAT Géographie UN PRODUIT MONDIALISÉ : LE CAFÉ Le café est l un des biens les plus échangés dans le monde. Certains affirment qu il arrive juste après le pétrole, mais
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailCONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL)
CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) M. KUPER, A. HAMMANI ET B. JAOUADI FIGURE 51 Atelier de restitution du projet
Plus en détailLe logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat
Le logement dans tous ses états 17/10/ 2012 Définition : le logement et l'habitat Le logement est un produit : une maison, un appartement, un type 3, un duplex L'habitat est un service : l'espace produit
Plus en détailQuestionnaire eevm. échange école ville montagne. www.parc-du-vercors.fr/eevm/
Questionnaire eevm échange école ville montagne www.parc-du-vercors.fr/eevm/ Répondre aux questions. Il y a 3 types de réponses en fonction des types de questions. - Questions fermées à réponse unique
Plus en détailPROJET DU GOUVERNEMENT DU SENEGAL FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROJET IGDT
PROJET DU GOUVERNEMENT DU SENEGAL PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DEVELOPPEMENT (PNUD) FONDS POUR L ENVIRONNEMENT MONDIAL (FEM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROJET IGDT I. INFORMATIONS DE BASE
Plus en détailGrand atelier éco-citoyen le samedi 19 janvier
Samedi 19 janvier 2008 Communiqué de presse Grand atelier éco-citoyen le samedi 19 janvier La Ville de Bordeaux a adopté, fin janvier 2007, une charte d écologie urbaine et de développement durable. Elle
Plus en détailMODULE 6 LA MODERNISATION DE LA SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE (1ÈRE PARTIE) DANS LES ANNÉES 1920 (ANNÉES FOLLES) > ÉCONOMIE CANADIENNE = PROSPÈRE :
MODULE 6 LA MODERNISATION DE LA SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE (1ÈRE PARTIE) 1ER - DE LA CRISE À LA GUERRE DE LA CRISE À LA GUERRE (1929-1945) L ÉCONOMIE EN CRISE DANS LES ANNÉES 1920 (ANNÉES FOLLES) > ÉCONOMIE CANADIENNE
Plus en détailSoyez. Pour un logement
Soyez Pour un logement Sommaire LE CHAUFFAGE 2 LA VENTILATION 2 LES EQUIPEMENTS MENAGES 3 L ECLAIRAGE ET L ELECTRICITE 4 L EAU 4 TRIE DES DECHETS 5 LA CONSOMMATION DURABLE 6 LE TRANSPORT 7 Ce guide va
Plus en détail- Réalisation de salle de bain complète (carrelage, sanitaire, doublage placo: 1 seul intervenant)
- Réalisation de salle de bain complète (carrelage, sanitaire, doublage placo: 1 seul intervenant) - Réalisation de Cuisines (meubles, carrelage, sanitaire, doublage placo: 1 seul intervenant) - VMC (Ventilation
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailMaison au bord de l eau 5 chambres Piscine Jacuzzi Dock A proximité immédiate du Normandy Shores Golf Club. www.selogeramiami.com
Villa Miramar Maison au bord de l eau 5 chambres Piscine Jacuzzi Dock A proximité immédiate du Normandy Shores Golf Club www.selogeramiami.com Adresse : 480 S Shore Drive 33141 Miami Beach Florida Sur
Plus en détailPréfecture du Territoire de Belfort. Charte Eco-Responsable
Préfecture du Territoire de Belfort Charte Eco-Responsable Mai 2009 UN ETAT ECO-RESPONSABLE "Notre maison brûle et nous regardons ailleurs. La nature, mutilée, surexploitée, ne parvient plus à se reconstituer
Plus en détailRésumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues
Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772
Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailLa crise écologique. Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre
La crise écologique Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre Qu est-ce que la crise écologique? Le réchauffement climatique? La destruction des forêts? La fin du pétrole?
Plus en détail