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1 LA LETTRE N 44 62, Boulevard Garibaldi Paris /09 ESTHERAID, une exigence de qualité au service de tous, ESTHERAID = ESTHER + UNITAID C est l idée qu il faut faire plus, et mieux, pour renforcer l efficacité des traitements. SOMMAIRE lgros plan sur le projet ESTHERAID pages 2 et 3 lestheraid BENIN pages 4 et 5 lestheraid BURKINA FASO pages 6 et 7 lestheraid CAMEROUN pages 8 et 9 lestheraid MALI pages 10 et 11 lestheraid REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE pages 12 et 13 lles cérémonies de lancement du projet pages 14 et 15 lles prochaines étapes page 16 La lettre ESTHER n 44 mai 2011

2 GROS PLAN SUR ESTHERAID Qu est-ce que le projet ESTHERAID? Le projet ESTHERAID a pour objectif d améliorer l accès aux traitements antirétroviraux (ARV) à travers un plan d actions ciblées et adaptées. Mis en oeuvre par ESTHER, sur financement UNITAID, en collaboration avec les ministères de la santé des pays cibles, ce projet se déroulera sur une période de trois années, dans cinq pays d Afrique. Il vise notamment à faciliter et sécuriser la disponibilité des traitements (tout particulièrement des ARV pédiatriques et de 2ème ligne), à assurer leur bonne utilisation au niveau des sites de prise en charge, au bénéfice des personnes vivant avec le VIH/Sida, notamment les enfants et les femmes enceintes. Pourquoi un tel projet? Le projet ESTHERAID constitue une réponse adaptée aux difficultés identifiées sur la chaîne de prise en charge des patients, et ce à plusieurs niveaux : La gestion de la chaîne d approvisionnement des traitements du VIH/Sida, (des centrales d achat jusqu aux sites de prise en charge), n est pas optimale : nombre élevé d acteurs, circuit pharmaceutique morcelé et complexe, conditions de stockage inadéquates. Les capacités des sites de prise en charge restent disparates et insuffisantes pour assurer une utilisation continue, rationnelle et prévisible des traitements : les pratiques de dépistage, de mise sous traitement et de suivi des patients traités pour le VIH ne sont pas toujours adaptées. Le système de suivi-évaluation des patients et des produits pharmaceutiques ne fournit de données systématiques et fiables ni sur les caractéristiques des files actives, ni sur la consommation par site: pas d outils adaptés, manque de formation du personnel, pas de circuits d informations structurés et supervisés. En agissant sur ces 3 facteurs, par le biais des partenariats hospitaliers ou de la mobilisation d experts, le projet ESTHERAID vise à accroître le nombre de patients traités et à optimiser la qualité de la prise en charge. 3 axes majeurs d intervention t Renforcer la chaîne d approvisionnement des traitements depuis les centrales d achat jusqu aux sites de prise en charge. t Optimiser la qualité des pratiques de diagnostic, de traitement et de suivi des malades. t Améliorer le suivi et l évaluation des patients et du cycle pharmaceutique pour anticiper les besoins d antirétroviraux et ajuster les prévisions. 5 pays partenaires La lettre ESTHER n 44 mai

3 Des missions essentielles Le projet ESTHERAID dépasse largement la seule question de l approvisionnement en médicaments. Il englobe toutes les composantes de la prise en charge, du dépistage au bon suivi des patients, en passant par la chaîne d approvisionnement, l assurance qualité des traitements, la formation des personnels, avec pour objectif d augmenter le nombre d enfants et/ou d adultes traités avec les bons produits, de façon stable et pérenne. 1 - Des médicaments au bon endroit, au bon moment L objectif est ici d assurer la continuité et la qualité des approvisionnements jusqu aux sites de prise en charge. Les activités seront menées avec les directions du ministère de la santé responsables des médicaments, les centrales d achats et les partenaires techniques,et devront notamment : tappuyer les programmes nationaux d approvisionnement en antirétroviraux, trenforcer la chaîne d approvisionnement, trenforcer le contrôle qualité des médicaments, tdévelopper les compétences et les capacités des personnels. 2 - Le bon médicament au bon patient Dans l objectif d augmenter le nombre de personnes prises en charge, notamment les enfants, les femmes enceintes, les patients en échec thérapeutique, il apparaît indispensable d améliorer la disponibilité des traitements, mais aussi la prise en charge des patients: identification, référencement, mise sous traitement et suivi. Cela suppose : t le renforcement des capacités de diagnostic néonatal et de prise en charge pédiatrique, t le renforcement des capacités des laboratoires pour le diagnostic et le suivi virologique, t la formation des prescripteurs aux bonnes pratiques, notamment pour les ARV pédiatriques et/ou de 2ème ligne, t l amélioration de la dispensation et du suivi de l observance des traitements auprès des patients. 3 - Des besoins en médicaments bien planifiés Ce volet a pour objectif de mieux qualifier et quantifier les besoins en ARV, tout en maîtrisant leurs évolutions dans le temps. Les écarts constatés entre les besoins réels en traitements et les demandes estimées, faute de système d information et de suivi-évaluation efficaces, conduisent à des ruptures ou surestimations de traitement. Il faut donc : t développer ou renforcer le système de suivi des patients, des sites de prise en charge jusqu au niveau national, t optimiser les systèmes de gestion des stocks des centres de prise en charge jusqu aux centrales d achat. Contacts ESTHERAID Celine Arnold celine.arnold@esther.fr estheraid@esther.fr UNITAID, créé en 2006, est un mécanisme novateur destiné à élargir l accès aux traitements contre le VIH/Sida, la tuberculose et le paludisme. Fondé par le Brésil, le Chili, la France, la Norvège et le Royaume-Uni, UNITAID bénéficie du soutien de 29 pays et de la Bill et Melinda Gates Foundation. UNITAID soutient actuellement des programmes partenaires dans 94 pays (dans 51 pays contre le VIH/Sida, dans 29 pays contre le paludisme et dans 72 pays contre la tuberculose). Depuis fin 2006, UNITAID a consacré 1,3 milliards de dollars au diagnostic et au traitement de ces trois maladies, ce qui représente, au total, plus de 21 millions de traitements fournis aux patients. UNITAID applique un modèle d impact sur le marché qui fait baisser les prix en garantissant un marché pérenne pour de grandes quantités de médicaments et de matériel médical. Cette baisse des prix permet d aider plus de personnes sans dépenser davantage. 3

4 BENIN -Population : 8.9 millions d habitants - Prévalence à 2% personnes vivant avec le VIH sous ARV a 62 % des besoins couverts * enfants sous ARV a 27 % des besoins couverts* *Chiffres Enquête de sérosurveillance PNLS/MS * Chiffres monitoring PNLS/MS septembre 2010 * Selon recommandations OMS 2009 Le contexte du Bénin Malgré des efforts engagés par les autorités nationales depuis plusieurs années, des problèmes d approvisionnement et de quantification sont toujours constatés : Le circuit du médicament est complexe (multiplicité des intervenants et diversité des procédures). Les conditions de stockage des médicaments sont difficiles. Les compétences en gestion des médicaments, les outils et les procédures de gestion des stocks disponibles mériteraient d être renforcés. Comme dans la plupart des pays en développement, le système de santé ne peut répondre aux besoins de la population pour une prise en charge globale des PVVIH : ANALYSE Un accès aux traitements antirétroviraux pédiatrique et de seconde ligne disparate et encore insuffisant dans toutes les régions du Bénin, qui s explique par : Des ruptures de stock en ARV, Une proposition du dépistage à l initiative des prescripteurs pas assez systématique, Une utilisation insuffisante de l outil virologique pour améliorer la prise en charge, Un besoin de renforcement du système d assurance qualité des laboratoires pour le diagnostic et le suivi des PVVIH, Des données par établissements insuffisantes pour pouvoir coordonner les besoins. L insuffisance du dépistage à l initiative du prescripteur de l infection par le VIH retarde la prise en charge. La qualité des soins et l organisation des sites majorent le nombre de perdus de vue. Les examens biologiques et virologiques restent difficilement accessibles. Face au passage à l échelle et à l évolution des recommandations de l OMS, le pool de personnels formés (médecins biologistes, pédiatres, pharmaciens, sages femmes, infirmiers, assistants sociaux, psychologues) nécessite d être renforcé, notamment avec l introduction de nouvelles formulations (ARV pédiatriques et de 2ème ligne). La lettre ESTHER n 44 mai

5 Objectif du projet ESTHERAID : Renforcer le système d approvisionnement national en médicaments et les principaux centres de soins départementaux pour pouvoir doubler le nombre de patients ayant accès aux ARV pédiatriques et de 2ème ligne. Le projet ESTHERAID consiste à appuyer les différents acteurs au niveau national (politiques, pharmaceutiques, sanitaires) à partir du point d entrée des médicaments, à la centrale d achat, jusqu aux principaux sites de dispensation aux patients du Bénin. Seule la complémentarité des actions entre les acteurs peut garantir un impact sur l accès élargi aux ARV qu UNI- TAID s emploie à mettre sur le marché. 1. Le projet ESTHERAID cible ses interventions auprès de la centrale d achat, de ses entrepôts et des pharmacies des sites de prise en charge. 2. ESTHERAID permettra que les bonnes pratiques de dépistage précoce, référencement, prescription en ARV, suivi biologique et virologique, dispensation et d éducation thérapeutique soient renforcées dans les 10 établissements sanitaires sélectionnés. Il s agit de systématiser le diagnostic précoce en services PTME, d organiser le circuit de prélèvements, de renforcer les laboratoires, d organiser des séminaires de formation des professionnels de santé et d adopter les normes et les outils harmonisés nécessaires. 3. Des systèmes d information harmonisés seront mis en place ou optimisés afin de disposer de dossier-patient dans tous les établissements sélectionnés, et d assurer la remontée et l analyse des besoins. Partenaires impliqués ESTHER : Dans le cadre du projet sur trois ans, ESTHER agit en tant que maître d oeuvre, en étroite collaboration avec les partenaires béninois, par le biais de partenariats hospitaliers Nord-Sud, de l assistance technique mobilisable à travers son réseau et d un soutien opérationnel et stratégique aux institutions nationales ou de la mobilisation d experts. UNITAID : Dans le cadre de ce projet, UNITAID assure le financement d ESTHER, opérateur du projet, pour la mise en oeuvre du projet selon le plan opérationnel proposé. Partenaires bénéficiaires Le CNLS et le PNLS assureront la coordination des différentes activités du projet avec les partenaires. Ils seront également en charge de l actualisation et de l adoption des normes et outils nécessaires. La centrale d achat jusqu aux sites de prise en charge veilleront à la mise en place des bonnes pratiques actualisées. Les sites et les laboratoires veilleront à la mise en place des bonnes pratiques dans leur domaine respectif, assureront les examens de laboratoire, amélioreront l organisation des sites et l assurance qualité des laboratoires. Entrepôt des ARV de la CAME (Centrale d Achat des Médicaments Essentiels) 5

6 BURKINA FASO -Population : 14.9 millions d habitants (chiffres 2009) personnes vivant avec le VIH dont sous ARV a 46 % des besoins couverts enfants vivant avec le VIH dont sous ARV a 17 %, des besoins couverts* *Chiffres ONUSIDA - Rapport 2010 Le contexte du Burkina Faso Les ARV sont disponibles au Burkina Faso mais cette disponibilité est aléatoire pour les réactifs de laboratoire limitant l accès au dépistage et au suivi des patients : Le circuit d approvisionnement est fragmenté entre différents acteurs. La gestion des intrants VIH et l assurance qualité ne sont pas suffisamment adaptées au niveau périphérique. Les conditions de stockage sont difficiles à maintenir dans le contexte du Burkina-Faso. L offre de services hospitaliers est disparate au niveau périphérique pour identifier et prendre en charge les PVVIH : La disponibilité et l utilisation des services de conseil/dépistage restent limitées. Le système de référencement des patients est insuffisamment développé. Les personnels formés aux nouvelles recommandations OMS dans les sites de prise en charge périphériques sont trop peu nombreux, notamment pour la gestion des échecs aux traitements. La couverture en services de laboratoire est partielle (37%). Les laboratoires sont insuffisamment équipés pour assurer les examens systématiques et la La lettre ESTHER n 44 mai 2011 ANALYSE L accès aux traitements ARV de 2ème ligne est un enjeu primordial au Burkina Faso. Le manque de disponibilité des intrants VIH au niveau périphérique et la qualité inégale des pratiques médicales et des plateaux techniques des laboratoires freinent encore les objectifs de passage à l échelle de la prise en charge des PVVIH. charge virale. Faute de système d information fiable au niveau périphérique, il y a un manque de données concernant les files actives suivies et le stock en médicaments dans les centres de traitement périphériques permettant de connaître et d anticiper correctement les besoins en intrants par établissement, et par région. 6

7 Objectif du projet ESTHERAID : Renforcer le système d approvisionnement national et le système de santé de 4 régions sanitaires pour doubler le nombre de patients pris en charge et passés rationnellement sous 2ème ligne si besoin Pour y parvenir, le projet ESTHERAID pilotera la décentralisation de la prise en charge autour d un centre de référence (Bobo Dioulasso) qui couvre 4 régions sanitaires du Burkina Faso. ESTHERAID appuie la stratégie d accès universel au Burkina Faso en améliorant la disponibilité, l accès et l utilisation des intrants VIH et la qualité de la prise en charge pour le plus grand nombre dans les régions sanitaires des Hauts Bassins, des Cascades, de la Bouche du Mouhoun et du Sud-Ouest du Burkina-Faso. Le projet est axé sur : 1. Un renforcement de la chaîne pharmaceutique en améliorant la gestion des intrants de laboratoire et le contrôle qualité. 2. Une amélioration de la qualité de la prise en charge: Le dépistage et le traitement, L accès au suivi virologique des patients, L identification et le suivi des patients en échec thérapeutique, L observance en intégrant les médiateurs associatifs à la chaîne sanitaire. 3. La qualité des données d activité et de consommation pharmaceutique pour une meilleure quantification des besoins des patients : accélérer la mise en place du logiciel ESOPE, développer des logiciels de gestion des intrants de pharmacie et de laboratoire. Partenaires impliqués ESTHER : Dans le cadre du projet sur trois ans, ESTHER agit en tant que maître d oeuvre, en étroite collaboration avec les partenaires burkinabés, par le biais de partenariats hospitaliers Nord-Sud, en soutenant les institutions nationales et en mobilisant de l expertise. UNITAID : Dans le cadre de ce projet, UNITAID assure le financement d ESTHER, opérateur du projet, pour la mise en oeuvre du projet selon le plan opérationnel proposé. Partenaires bénéficiaires - Le Ministère de la Santé assure la coordination du projet et défini les responsabilités entre les structures centrales et les structures déconcentrées. - Le CMLS/Santé coordonne et supervise les activités concernant l utilisation rationnelle des intrants et l amélioration de la disponibilité et de la qualité des données relatives à la prise en charge médicale. - La DGHSP, La Direction de la tutelle des hôpitaux publics et du sous secteur sanitaire privé est la tutelle d ESTHER au Burkina Faso. - La Direction Générale de la Pharmacie, du Médicament et des Laboratoires. - La Centrale d Achat des Médicaments Essentiels Génériques et des Consommables médicaux (CAMEG). le LNR/VIH, le laboratoire de référence pour les analyses, contrôles et expertises en matière de suivi biologique des PVVIH participera au processus de contrôle de qualité des intrants VIH. - Le HDJ/CHUSS de Bobo Dioulasso, le centre de référence pour la prise en charge dans la région des Hauts Bassins. -L ACAME, l association des centrales d achat et de médicaments essentiels passe des appels d offre internationaux sur les intrants VIH. Hôpital de jour de Bobio Dioulasso

8 CAMEROUN Le contexte du Cameroun -Population : 19.4 millions d habitants personnes vivant avec le VIH dont sous ARV a 28% des besoins couverts enfants vivant avec le VIH dont sous ARV a11 % des besoins couverts* *Chiffres ONUSIDA - Rapport 2010 ANALYSE La prise en charge reste insuffisante bien que le Cameroun ait engagé une décentralisation dans toutes les régions : Les recommandations OMS entraînent une augmentation de 30 % des files actives. Les professionnels de santé sont surchargés et la qualité de prise en charge reste insuffisante (faiblesse des bilans biologiques, échecs thérapeutiques, perdus de vue, éducation thérapeutique aléatoire). 2 à 3% des patients sont sous 2ème ligne alors que plus de 16 % devraient en bénéficier (étude ANRS, 2010). Le suivi biologique reste insuffisant : En 2009, 1/3 des patients sous ARV ont réalisé un bilan biologique. Parmi les 13 CTA tuteurs, 6 disposent de l équipement pour mesurer les charges virales, mais il n est pas encore opérationnel. Étant donné la prévalence élevée et l afflux supplémentaire de patients du aux recommandations OMS 2009, l ampleur des besoins au Cameroun est telle que tous les patients n ont pas accès à une prise en charge de qualité. Les échecs thérapeutiques ne sont pas assez diagnostiqués, la charge virale n est pas disponible pour un suivi biologique de qualité. rendent à la CPN du 1er trimestre et parmi elles 2/3 acceptent le dépistage. Le diagnostic précoce des enfants est inégalement proposé : faible nombre d enfants dépistés et faible nombre d enfants traités. Le circuit des médicaments pourrait être amélioré : Il n y a pas de système national de quantification. Le système de gestion de stock est manuel. Le circuit de distribution est peu rationnel. Le personnel est peu formé. La quantification n est pas toujours corrélée aux besoins des sites. Hôpital de Bamenda La couverture PTME est étendue (proposée dans 81% des formations sanitaires), mais 1/3 des femmes se La lettre ESTHER n 44 mai

9 Objectif du projet ESTHERAID : Renforcer le système d approvisionnement national en médicaments et chacun des centres de soins régionaux de référence pour pouvoir doubler le nombre de patients ayant accès aux traitements du VIH pédiatriques et de 2ème ligne. Le projet ESTHERAID vise à améliorer la disponibilité et l usage rationnel des médicaments et autres intrants VIH, en particulier les ARV pédiatriques et de 2ème ligne, les tests de dépistage et les réactifs de laboratoire dans les 13 CTA tuteurs du Cameroun en augmentant le dépistage précoce des enfants et en améliorant le dispositif de gestion des échecs thérapeutiques. ESTHERAID concentre son appui sur les 13 CTA tuteurs pour accompagner la décentralisation de la prise en charge, stratégie clé pour élargir l accès aux traitements : 1. En améliorant l approvisionnement en médicaments et tests Renforcement de la coordination de tous les acteurs, du niveau central au niveau régional, Mise en place d un système national de quantification, Soutien d un système adapté de gestion de stock (des outils adaptés de gestion des stocks seront mis en place sur toute la chaîne pharmaceutique), Renforcement des capacités du personnel. Partenaires impliqués ESTHER : Dans le cadre du projet sur trois ans, ESTHER agit en tant que maître d oeuvre, en étroite collaboration avec les partenaires camerounais, par le biais de partenariats hospitaliers Nord-Sud, en soutenant les institutions nationales et en mobilisant de l expertise. UNITAID : Dans le cadre de ce projet, UNITAID assure le financement d ESTHER, opérateur du projet, pour la mise en oeuvre du projet selon le plan opérationnel proposé. 2. En augmentant et optimisant l usage des ARV pédiatriques et de 2ème ligne dans les CTA tuteurs : Renforcer le diagnostic précoce de l enfant, Renforcer les capacités techniques des laboratoires (utilisation de la PCR), Renforcer les compétences en gestion clinique des échecs thérapeutiques. 3. En optimisant le système de recueil des données et de suivi des files actives. Partenaires bénéficiaires -Le Ministère de la Santé : partenaire principal du projet par l intermédiaire de trois structures : la Direction de Lutte contre la Maladie (DLM), la Direction de la Pharmacie et du Médicament (DPM), la CENAME : Centrale Nationale d Achats de Médicaments, -Le Comité National de lutte contre le SIDA (CNLS) mettra à la disposition du projet son expertise sur la collecte et la remontée des données sur les files actives, -Les établissements hospitaliers : 13 CTA (Centres de Traitements Agréés) dans les 10 régions, -Les partenaires au développement. Laboratoire du Centre ESSOS à Yaoundé 9

10 MALI Population : 14.5 millions d habitants personnes vivant avec le VIH dont sous ARV * a 50 % des besoins couverts - Entre et enfants vivant avec le VIH* dont sous ARV a Des besoins couverts compris entre 18 et 55%* *Chiffres ONUSIDA - Rapport 2010 Le contexte du Mali La faiblesse des services PTME limite l accès au dépistage précoce systématique des enfants (725 enfants dépistés en 2009, les 3/4 à Bamako). Peu d enfants ont accès à un traitement: Les enfants représentent 6% des patients sous ARV. Le CHU Gabriel Touré de Bamako initie 67% des traitements pédiatriques et suit 47% des enfants sous ARV. La prise en charge est parfois problématique : Des structures de soin hétérogènes (les centres associatifs représentent 30 à 40 % des patients suivis). Seulement 6% des adultes et 11% des enfants sous ARV de 2ème ligne. Une gestion difficile des échecs thérapeutiques. Des pratiques de dispensation pas toujours à jour avec l arrivée de nouveaux traitements. ANALYSE L accès aux traitements ARV de 2ème ligne et aux traitements ARV pédiatriques sont des enjeux primordiaux au Mali. Mais les difficultés d approvisionnement des centres de traitement périphériques freinent l accès à ces médicaments. La qualité des plateaux techniques de laboratoire ne permettent pas aujourd hui un accès facile au diagnostic néonatal et au suivi virologique des patients. L approvisionnement en continu en médicaments et en intrants VIH reste difficile : Des problèmes de ruptures en tests rapides et en réactifs de laboratoire. Des données de consommation des ARV pas toujours disponibles. Des acteurs multiples rendant le circuit de gestion des médicaments complexe. Le suivi virologique est plus difficile dans les régions périphériques : Des difficultés logistiques. Une maintenance des équipements non systématique. Des difficultés pour interpréter les résultats d analyse de CV. La lettre ESTHER n 44 mai

11 Objectif du projet ESTHERAID: Renforcer les systèmes pharmaceutiques et le système de santé pour doubler le nombre de patients ayant accès aux traitements contre le VIH pédiatriques et de 2ème ligne Le projet ESTHERAID permettra de renforcer notamment les bonnes pratiques pharmaceutiques, de dépistage et de prise en charge des adultes et des enfants dans les hôpitaux régionaux du Mali et d accompagner la décentralisation des techniques de laboratoires requises. En collaboration avec les autorités nationales, ESTHERAID va axer ses interventions sur la normalisation de la politique pharmaceutique du Mali et l amélioration de la qualité de la prise en charge pédiatrique et de la gestion des échecs thérapeutiques. Le projet sera focalisé sur : 1. La mise en place d un système d assurance qualité des médicaments et le renforcement des capacités des acteurs à la gestion des réactifs et médicaments et à la dispensation des traitements ARV. 2. Une amélioration de la qualité de la prise en charge par : L extension des services de dépistage et de traitement mis en place dans 3 zones pilotes à l ensemble des régions du Mali, Un appui aux laboratoires pour développer les diagnostics virologiques, La formation des prescripteurs en matière d ARV pédiatriques et de 2ème ligne, L observance : appui à l élaboration d outil et formations à l éducation thérapeutique. 3. La qualité des outils de suivi et de collecte des données : Améliorer la qualité des prévisions de consommation, Favoriser la décentralisation du logiciel ESOPE et former les prescripteurs à son utilisation. Partenaires impliqués ESTHER : Dans le cadre du projet sur trois ans, ESTHER agit en tant que maître d oeuvre, en étroite collaboration avec les partenaires maliens, par le biais de partenariats hospitaliers Nord-Sud, en soutenant les institutions nationales et en mobilisant de l expertise. UNITAID : Dans le cadre de ce projet, UNITAID assure le financement d ESTHER, opérateur du projet, pour la mise en oeuvre du projet selon le plan opérationnel proposé. Partenaires bénéficiaires -Le Ministère de la Santé (MSP), à travers le secrétariat général du ministère. -Le Secrétariat Exécutif du Haut Conseil National de Lutte contre le Sida (SE/HCNLS ). -La Cellule de Coordination du Comité de Lutte contre le Sida (CCCSLS/MS). -Les Directions Régionales de la Santé. -La Direction de la Pharmacie et du Médicament (DPM). -La Pharmacie Populaire du Mali. -Le Laboratoire National de la Santé (LNS). -Les hôpitaux partenaires : principaux centres de référence. Laboratoire du CHU Gabriel Touré 11

12 REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE -Population : 4.2 millions d habitants personnes vivant avec le VIH dont sous ARV a17% des besoins couverts * enfants vivant avec le VIH dont 724 sous ARV 9 % des besoins couverts* *Chiffres ONUSIDARapport 2010 Le contexte de la République Centrafricaine La décentralisation de la prise en charge pédiatrique reste un enjeu majeur soutenu par les autorités nationales pour accélérer l accès aux traitements antirétroviraux destinés aux enfants. Le dépistage des femmes enceintes et des enfants n est pas systématiquement proposé et la qualité des services reste inégale. La prise en charge des enfants est assurée par le Complexe Pédiatrique de Bangui (522 enfants traités selon rapport CNLS, mars 2009) et quelques centres secondaires. Peu de professionnels de santé sont formés au dépistage précoce et à la prise en charge pédiatrique (4 pédiatres pour toute la RCA). Les échecs aux traitements chez les enfants sont fréquents (à 18 mois de 1ère ligne, 55% des enfants ont une CV > 400 copies/ ml). ANALYSE Fin 2010, la prise en charge des enfants infectés par le VIH est assurée par un seul établissement, situé à Bangui, ce qui limite de manière drastique le nombre d enfants ayant accès aux traitements antirétroviraux. Les examens de laboratoire ne sont pas assez accessibles. Les plateaux techniques ne sont pas fonctionnels en continu, faute de maintenance des équipements et de la disponibilité des réactifs. La technique PCR a été récemment introduite, peu de personnes formées à la technique et l interprétation des résultats: 89 nouveaux nés diagnostiqués depuis l installation de l équipement en Les ruptures de stock sont fréquentes pour les ARV et autres intrants VIH. La quantification des besoins réels des établissements reste difficile. Le système d information entre les pharmacies hospitalières et la centrale d achat est fragile. Les procédures d approvisionnement et d organisation de la distribution restent complexes. Formation à Bangui 2010 La lettre ESTHER n 44 mai

13 Objectif du projet ESTHERAID: Renforcer le système d approvisionnement national et le système de santé de 2 régions sanitaires pour doubler le nombre d enfants ayant accès au traitement contre le VIH en RCA Le projet ESTHERAID permettra d accompagner la décentralisation des services de prise en charge pédiatrique à 10 établissements à partir d un centre de référence, le Complexe Pédiatrique de Bangui. ESTHERAID permettra d étendre la disponibilité en traitements ARV de la centrale d achat jusqu aux sites de prise en charge, et de renforcer les services de dépistage, de référencement, de suivi biologique et de dispensation au sein des établissements sélectionnés pour suivre les enfants infectés. Le renforcement de la chaîne d approvisionnement consistera à : appuyer la définition d un cadre réglementaire national pour garantir la qualité pharmaceutique, renforcer les méthodes de gestion des produits, de stockage et de distribution, introduire un contrôle qualité des médicaments et soutenir la mise en place des indicateurs de performance du circuit pharmaceutique. Des services minimum de prise en charge des enfants seront mis en place dans 10 établissements avec : la mise à disposition du diagnostic précoce (PCR/ DBS) et la formation des acteurs, l organisation des laboratoires, la formation de médecins et d infirmiers à la prise en charge de l enfant, l introduction de bonnes pratiques de dispensation des ARV pédiatriques et l éducation thérapeutique pédiatrique. Les systèmes d information pour les données médicales et de consommation d ARV pédiatriques seront renforcés (adaptation des outils de gestion des stocks intégrant les ARV pédiatriques, stratégie de collecte et de transmission de données et système de recueil de données et de suivi). Partenaires impliqués ESTHER : Dans le cadre du projet sur trois ans, ESTHER agit en tant que maître d oeuvre, en étroite collaboration avec les partenaires centrafricains, par le biais de partenariats hospitaliers Nord-Sud, en soutenant les institutions nationales et en mobilisant de l expertise. UNITAID : Dans le cadre de ce projet, UNITAID assure le financement d ESTHER, opérateur du projet, pour la mise en oeuvre du projet selon le plan opérationnel proposé. Partenaires bénéficiaires -Le Ministère de la Santé Publique et de la Population et de la Lutte contre le Sida. -La Direction générale de la Population, de la Lutte contre les IST, le Sida et la Tuberculose : Service PTPE/PEC PED, Service chargé du suivi évaluation VIH/Sida. - Direction de la Pharmacie et du Médicament. - Unité de Cession du Médicament. -Les deux régions sanitaires (RS1 et RS7): coordination technique. -10 structures : bénéficiaires directes du projet. -Le complexe pédiatrique de Bangui : bénéficiaire et opérateur du projet. -Le Laboratoire National : expertise technique nationale. -La Coordination Nationale du Comité National de Lutte contre le Sida. Centre National Hospitalier Universitaire de Bangui 13

14 LANCEMENT DU PROJET ESTHERAID AU BENIN - 20 janvier 2011 ESTHER a lancé au Bénin, le 20 janvier 2011, son projet ESTHERAID au cours d une cérémonie co-présidée par le Ministre béninois des Affaires Etrangères, Monsieur Jean-Marie EHOUZOU, et le Ministre béninois de la Santé, le Professeur Issifou TAKPARA. Les autorités françaises étaient représentées par le Professeur Patrice DEBRE, Ambassadeur chargé de la lutte contre le Sida et les maladies transmissibles et par le représentant de l Ambassadeur de France, le 1er conseiller Monsieur François de GRAILLY. Ce lancement a été formalisé par la signature d un protocole d accord par les autorités béninoises, le Docteur Philippe DUNETON, Secrétaire Exécutif adjoint d UNITAID, et le Professeur Gilles BRÜCKER, Directeur du GIP-ESTHER. LANCEMENT DU PROJET ESTHERAID AU BURKINA FASO - 15 février 2011 Le projet ESTHERAID a été lancé officiellement le 15 février à Ouagadougou, lors d une cérémonie présidée par le secrétaire général de Ministère de la santé et à laquelle assistait l Ambassade de France, le SP/CNLS, les directions générales du Ministère de la Santé, les directions régionales de la santé, l OMS, ONUSIDA, le PAMAC et les directeurs et les équipes médicales des hôpitaux concernés par le projet ESTHERAID. Ce lancement a été suivi par 2 jours d ateliers de planification des activités. La lettre ESTHER n 44 mai

15 LANCEMENT DU PROJET ESTHERAID AU MALI 1er avril 2011 Le projet ESTHERAID a été lancé officiellement le 1er avril à Bamako. Ce lancement officiel a été précédé d un atelier de planification des activités ESTHERAID. La cérémonie a été présidée par le Docteur Ousmane TOURE, secrétaire Général du Ministère de la Santé du Mali, en présence, entre autres, du Docteur Abdrahamane TOUNKARA, Secrétaire Executif adjoint du Haut Conseil de la Lutte contre le Sida, du Docteur Aliou SYLLA, Coordinateur de la cellule sectorielle de lutte contre le Sida,du Coordinateur pays de l ONUSIDA et des représentants des organisations internationales, OMS, UNICEF, les directions régionales de la Santé et les directeurs d hôpitaux des regions concernées par le projet. LANCEMENT DU PROJET ESTHERAID AU CAMEROUN 12 avril 2011 ESTHER a lancé au Cameroun le 12 avril 2011, le projet ESTHERAID au cours d une cérémonie présidée par le Ministre camerounais de la Santé Publique, Monsieur André MAMA FOUDA ONGBWA, et à laquelle assistaient Madame Marie Thérèse OBAMA ABENA, la Ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille et Monsieur ALIM HAYATOU, le Secrétaire d Etat à la Santé Publique. Les autorités francaises étaient représentées par Monsieur Bruno GAIN, l ambassadeur de France au Cameroun, et Monsieur Gilles CHAUSSE, Directeur de l agence AFD de Yaoundé, et ESTHER par le Professeur Dominique ISRAEL-BIET, Présidente du Conseil d Administration et le Docteur Gilles RAGUIN, Directeur intérimaire. Ce lancement a été suivi par 2 jours d ateliers de planification des activités. LE LANCEMENT DU PROJET ESTHERAID EN REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE EST PREVU EN JUIN 15

16 ESTHERAID : LA SUITE DES ETAPES, LE DEPLOIEMENT DES ACTIVITES Dans les quatres pays dans lesquels le programme ESTHERAID a été lancé, les ateliers de programmation ont permis de préciser les activités à mettre en oeuvre et d établir un chronogramme pour la première année. Ces éléments doivent être soumis à UNITAID. L étape préliminaire d état des lieux des sites d intervention est en passe d etre réalisée pour les 4 premiers pays et les opérateurs techniques (partenaires du Nord et du Sud) ont été identifiés. Des réunions sont prévues avec les équipes hospitalières impliquées dans les pays. Au Bénin, un état des lieux de la qualité des équipements de laboratoiredébutera cet été, ainsi qu un soutien au réaménagement du laboratoire du CNHU, en vue d y installer l appareil à charge virale. Les compétences des médecins référents en matière de prise en charge des enfants vont être renforcées grâce à un séminaire pédiatrique qui réunira en septembre les principaux pédiatres de la sous région. Enfin, un renforcement de l utilisation du logiciel ESOPE est en cours dans tous les sites régionaux de prise en charge, et une formation de formateurs ESOPE vient de s achever. Au Burkina Faso, un état des lieux des sites a été réalisé. Les premières actions vont porter sur l amélioration du circuit du médicament. Il s agit notamment de rendre opérationnel le comité national de gestion des intrants et mettre à disposition des professionnels un guide national d approvisionnement. Parallèlement, un appui aux activité psychosociales va être intensifié pour la recherche des perdus de vue. Enfin un état des lieux du dossier patient sera réalisé à la fin du 1er semestre 2011, afin de l harmoniser avec le modèle OMS. Au Cameroun, des plateformes de coordination des acteurs impliqués dans l approvisionnement des médicament vont être mises en place au niveau régional afin de mieux organiser le circuit du médicament et le rendre performant. Une méthode harmonisée de quantification des intrants VIH sera mise en place. Au Mali, dans le cadre de la formation des professionels de santé, des médecins et soignants ont été identifiés et ont reçu une bourse pour le Diplôme Universitaire de Ouagadougou, (mai-juin 2011). Sur le volet «approvisonnement en médicaments», les premières activités prévues consisteront à renforcer les capacités de recueil des données de façon à améliorer le traitement de ces données et permettre une meilleure quantification. En République Centrafricaine, les activités debuteront avec un état des lieux des sites entrepris après le lancement prévu en juin. En savoir plus : Comité Editorial Gilles Brücker, Gilles Raguin, Arnaud Laurent, Florence Maclair Conception - rédaction Nadine Legret Contacts-réactions : nadine.legret@esther.fr La lettre ESTHER n 44 mai

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