Intervention du 10/04/15. «Petit déjeuner «IME IEM» CREAI Centre-Val de Loire. Sylvie Sicurani. Directrice IME Baule (PEP 45), éducatrice spécialisée
|
|
- Irène Gaumond
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Intervention du 10/04/15 «Petit déjeuner «IME IEM» CREAI Centre-Val de Loire Sylvie Sicurani Directrice IME Baule (PEP 45), éducatrice spécialisée Pour que nous puissions nous interrogés sur les adaptations de l action éducative auprès d un public différent, je vous propose de faire un petit détour par une petite partie du contexte dans lequel nous évoluons. Dans notre secteur, le cadre législatif est en mutation régulière depuis plus de dix ans. L échelle de notre société s est également beaucoup modifiée. La mondialisation oblige les institutions à se décentrer, le poids politique et réglementaire de l Europe est non négligeable dans notre secteur professionnel. A l heure, où le législateur prône l inclusion, pour ne pas stigmatiser les différences, nous devons faire face à des mouvements paradoxaux qui nous obligent à revisiter nos pratiques professionnelles. La place des institutions dans un contexte néolibéral de désinstitutionalisation promu par le Comité des Ministres européens Extrait de textes source : rolandjanvier.org «l Europe bâtit une politique qui se situe en tension entre des conceptions sociales ouvertes marquées par les valeurs libérales issues notamment de notre Révolution française et des tendances ouvertement néolibérales qui alimentent une conception d une société de marché.» Il convient de rappeler que la désinstitutionnalisation prend historiquement racine, en Europe mais aussi sur le continent américain, dans la volonté de mettre un terme à la chronicisation des maladies psychiatriques. La désinstitutionnalisation affirme le droit de tous à vivre dignement, avec les autres, dans la société. D un point de vue éthique il est assez difficile d être en désaccord avec cette position. Toutefois nous dégagerons, ici, quelques éléments critiques : 1
2 La critique radicale sur laquelle se fonde le projet de désinstitutionnalisation relèverait d une conception néolibérale de l institution. C est certainement la base des incompréhensions de certains professionnels face à ce mouvement. De quelle institution parlons-nous? 1/ Les divergences de conception de l institution L institution est accusée d être une gêne à la fluidité des relations sociales, elle est d abord vue comme un carcan. Ce que les défenseurs de l institution nomment le lien social se trouve réduit par la vision néolibérale, à ce que la relation d aide se limite à devenir une simple prestation. C est l accord de gré à gré qui prédomine, abolissant au maximum toute contrainte externe qui pourrait le limiter. L institution symbolise alors «l empêcheur de tourner en rond», la limitation, la contrainte. 2/ Le refus de l institution évacue la différenciation : «En atténuant la fonction des institutions dans l organisation démocratique, la vision néolibérale évacue la différenciation qui est la condition centrale d une société libérale libérale se référant ici aux fondements de la Révolution française comme étant l opposé d une société monarchique, dictatoriale ou totalitaire. En effet, c est la différence qui fonde la démocratie.» Dans une société où la différence est reconnue, les institutions sont une nécessité. Elles sont des espaces de délibération où se construit le «bien commun». Elles sont des instruments de régulation qui permettent le «vivre ensemble». L institution, c est un cadre fonctionnel, défini par des lois, qui évite la violence de la loi de la jungle. Elle constitue un lieu qui crée les conditions et la possibilité du vivre ensemble. L institution transforme la violence résultant de la confrontation des intérêts en une force constructive. «Les institutions ( ) contribuent à ce maillage du lien social à tous les niveaux de fonctionnement de la société en luttant contre la loi du plus fort.» 4/ La dimension clinique, portée par l institution est réduite à une prestation «La clinique qui supporte la relation d aide est une alchimie d une grande complexité qui suppose d être abordée avec beaucoup de délicatesse et de sensibilité, à proportion de la fragilité et de la souffrance de la personne accompagnée. Cela suppose un savoir-faire particulièrement élaboré de l intervenant ou plutôt des intervenants parce qu assumer la complexité n est envisageable qu en travail d équipe et en interdisciplinarité. Cela suppose également des formes d organisation particulièrement adéquates.» La mise en cause de cette mécanique complexe qu est l institution met à mal cette dimension clinique, cet art de se tenir «au chevet» de l autre. Le terme de prestation (c est-à-dire «service fourni») symbolise cette réduction, ce passage du complexe au simple. «La désinstitutionnalisation n est pas, en elle-même, bonne ou mauvaise. Elle devient utile ou nuisible selon ce que nous en faisons. Factuellement, la désinstitutionnalisation est le signe tangible d un mouvement historique de bascule qui remet en cause les formes organisées héritées du passé qui ne correspondent plus aux aspirations de ce temps.» Identifier la culture institutionnelle pour adapter nos réponses dans nos institutions. 2
3 Après cette brève introduction sur la question de la place de nos institutions, nous allons resserrer le focus sur le concept de Culture d Entreprise. Comme nous ne sommes pas un secteur marchand, donc pas une entreprise nous parlerons, ici, d une culture institutionnelle ou d organisation. La réponse au mouvement de désinstitutionnalisation pourrait être une volonté de créer une nouvelle forme d institution. Comme tout créateur, nous nous inspirons de notre environnement, des expériences voisines pour faire ou ne pas faire une autre façon de travailler. Ainsi par ces inspirations environnementales, nous délimitons un axe de travail qui prendra la forme d un projet de restructuration institutionnelle. Notre secteur professionnel est constitué de forces en contradiction et/ou en synergie. Nous pouvons identifier une façon de faire chez le voisin qui nous semble pertinente et opérante et pourtant nous pourrons décider de ne pas l appliquer à notre institution «Ici, ça ne pourra pas marcher!». Cela met en avant la singularité de chaque institution, bien au delà des textes réglementaires des agréments et annexes divers. Il est question, ici, de ce qui fait l histoire et l identité de l institution, autrement dit sa culture. Je m appuierais sur le concept de Culture d Entreprise développé par Maurice Thévenet. La culture caractérise l Organisation et la distingue des autres dans son apparence et surtout dans ses façons de réagir aux situations courantes de la vie professionnelle. Je vous propose de survoler les points centraux de ce travail afin de nous amener à identifier les caractéristiques de sa propre culture d entreprise. C est par cette connaissance qu une organisation est mieux à même de proposer d autres formes d institutions. Le changement organisationnel est toujours un moment particulier qui tend le collectif dans des étapes de diagnostiques, de doutes, de craintes. Puis de singularisations, de créations et de propositions nouvelles. Connaitre son histoire c est connaitre son centre. Prendre appui sur cet axe c est construire avec forces un autre centre non pas dans la rupture, mais bien dans le prolongement de l identité de l institution. Toutefois, il convient de mettre en avant les limites de ce concept de Culture d Entreprise : - Le nombrilisme : Il est intéressant de contempler sa propre culture comme d entendre parler de soi. «L analyse de la culture rencontre dans l entreprise un grand intérêt : on aime discuter les hypothèses, chercher des confirmations, des infirmations, des explications, des traits de culture dégagés ( ) Quand on intègre une réflexion sur la culture dans un processus de changement, on se confronte ainsi à la difficulté de dépasser la séance de miroir pour dériver vers l action» - Le nombrilisme peut conduite au narcissisme et ce dernier à l étouffement. - Le frein au changement : On peut craindre qu à trop mettre en valeur les traits de la culture, on empêche l Organisation de regarder vers l avenir et de faire les changements nécessaires à son développement : «Nous avons toujours faire comme cela, et ça a toujours fonctionné», «nous sommes l IME innovant sur le département depuis 40 ans! On sait comment faire». Les éléments qui composent la culture sont les suivants : - les FONDATEURS et les circonstances de la FONDATION 3
4 Ils représentent les premiers moments l institution, ses premiers choix sa première expérience. La fondation consacre les premières empreintes, celles qui marquent le démarrage et la suite du fonctionnement. Le fondateur est la figure emblématique de l Organisation par ses interventions, ses principes initiaux, sa forte personnalité. - L HISTOIRE La culture se construit selon un processus d apprentissage, tout au long de l histoire. Pour mieux comprendre la culture, il est donc nécessaire de repérer l histoire, ses grandes phases et logiques d évolution. - le METIER L étude du métier doit indiquer ce qui constitue le cœur même de l institution puisque c est autour de cette activité que l organisation s est structurée, qu elle s est fixé des objectifs et qu elle fonctionne quotidiennement. Le métier est la référence de l Institution. - LES VALEURS Les valeurs permettent à chacun d évaluer ce qui est bien et mal, de porter un jugement sur les choses à agir. Chaque collectivité crée ses propres valeurs, par référence à des codes. - LES SIGNES ET SYMBOLES L intérêt des signes et symboles a été largement développé dans la littérature sur la culture, la culture est d ailleurs parfois résumée à eux-seuls. Il s agit des rites, langage, mode d aménagement, logos, héros, petites histoires largement connues et racontées, codes de comportement vestimentaires ou autres Pourquoi faire référence à la culture des Organisations pour l échange qui nous réuni aujourd hui? Nous allons, ensemble, partager nos expériences, échanger nos questionnements découvrir les pratiques des voisins Toutefois, en prenant en compte la culture propre à chaque institution, nous allons pouvoir aborder nos potentiels créatifs avec la prudence nécessaire pour ne pas faire exploser nos institutions. Créer une autre façon de faire institution, trouver d autre réponse dans l accompagnement des nouveaux publics, tout ceci n est possible qu en prenant en compte la culture de l institution. Avant de penser à une autre façon de faire, prenons le temps de faire une analyse précise d où l on vient, de nos empreintes, de ce que l on sait faire, et de ce que nous devrions apprendre à faire. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES : P. Savignat, L action sociale a-t-elle encore un avenir?, Dunod, P. Rosenvallon, La société des égaux, Le Seuil, C. Castoriadis, L institution imaginaire de la société, Paris, Le Seuil,
5 F. BATIFOULIER, «Le directeur et la question clinique : De la clinique institutionnelle à l institution suffisamment bonne», in Manuel de direction en action sociale et médico-sociale,f. Batifoulier (sous la direction de), Dunod, F. DUBET, Le déclin des institutions. Le Seuil, B. Dubreuil, R. Janvier, J. Priou, P. Savignat, Repolitiser l action sociale, ASH, n 2737 du 16/12/2011. J-P. Lebrun, La perversion ordinaire, vivre ensemble sans autrui, Denoël, J-B PATURET, G. CHAMBRIER, Faut-il bruler les institutions?, Presses de l EHESP, 2014 M.THEVENET, La culture d entreprise, Que sais-je PUF 1993 édition 6. 5
Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi
Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailAnnie Claude Sortant-Delanoë. L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir
Annie Claude Sortant-Delanoë L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir À sa naissance, l enfant est un organisme dont le cri exprime un besoin. Ce cri n a aucune intention de signification.
Plus en détailDiscours d ouverture de Michèle Bourque présidente et première dirigeante Société d assurance-dépôts du Canada Ottawa mercredi 6 février 2013
1 Première conférence du Comité régional de l AIAD (Association internationale des assureurs-dépôts) pour l Amérique du Nord sur les règlements transfrontières et les institutions-relais Discours d ouverture
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailPOSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION?
N 372 LAMEUL Geneviève 1 POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION? Le développement croissant de l usage des technologies perturbe l école dans son organisation interne, dans son rapport à la société,
Plus en détailGUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO
GUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO Janvier Module 2009 10 : Gérer les conflits Modifié en décembre 2010 Révisé en décembre 2012 Révisé en décembre 2012 1 Objectif
Plus en détailLE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand
LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il
Plus en détailLe processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?
Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd
Plus en détailManagement Interculturel
Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailIII- Raisonnement par récurrence
III- Raisonnement par récurrence Les raisonnements en mathématiques se font en général par une suite de déductions, du style : si alors, ou mieux encore si c est possible, par une suite d équivalences,
Plus en détailLes défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes
Plus en détailLecture critique et pratique de la médecine
1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne
Plus en détailUn écrivain dans la classe : pour quoi faire?
Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailEntraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions?
Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Il est clair que la finalité principale d une démarche d investigation est de faire acquérir des connaissances aux élèves.
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailN 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique
N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailDans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)
1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins
Plus en détailDans un monde en mouvement perpétuel, rapide, incessant, il faut saisir. Nous devons être fiers de pouvoir exécuter la décision prise :
1 Mesdames et Messieurs les Conseillers départementaux, Dans la tempête, il faut garder le cap, corriger le chemin. Dans un monde en mouvement perpétuel, rapide, incessant, il faut saisir l instant celui
Plus en détailFAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)
FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST
Plus en détailBABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS
Quatrième colloque hypermédias et apprentissages 275 BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Anne-Olivia LE CORNEC, Jean-Marc FARINONE,
Plus en détailCompétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental
Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental Natalie Rinfret, Ph.D. Colloque de l Association des directeurs généraux des services
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailMieux connaître les publics en situation de handicap
Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent
Plus en détailCultiver l esprit d équipe
Cultiver l esprit d équipe Les objectifs : Promouvoir une prise de conscience de la nécessité de travailler en équipe et de cultiver les liens entre les personnes pour consolider l esprit d équipe Fournir
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailRapport d études. Etudes des spécificités du marché du SaaS en France. Rapport de synthèse février 2013
Rapport d études Etudes des spécificités du marché du SaaS en France Rapport de synthèse février 2013 Conception Caisse des Dépôts (Service communication DDTR) février 2013 Veille stratégique, conseil
Plus en détailLe conseil d enfants La démocratie représentative à l école
Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions
Plus en détailRobert Bosch GmbH Postfach 10 60 50 D-70049 Stuttgart Allemagne Téléphone +49 711 811-0 Fax +49 711 811-45000 www.intranet.bosch.
Robert Bosch GmbH Postfach 10 60 50 D-70049 Stuttgart Allemagne Téléphone +49 711 811-0 Fax +49 711 811-45000 www.intranet.bosch.com Ce qui nous motive, ce qui nous rassemble, ce que nous représentons.
Plus en détailL'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer
Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel
Plus en détailPlan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise
Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Un juriste typique qui assume un rôle de juriste d entreprise est armé d une solide formation et expérience
Plus en détailLes démarches qualités
Les démarches qualités Sommaire : Introduction... 2 Un levier d'innovation organisationnelle et sociale... 3 Les enjeux... 5 1.1 Le marché... 5 1.2 L innovation incrémentale (amélioration continue) ou
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailPRÉSENTATION DE FRANÇOIS-MARIE MONNET. Aucun moteur de recherche, interrogé sur le tableau attribué à Jérôme Bosch et intitulé «l escamoteur»
PRÉSENTATION DE FRANÇOIS-MARIE MONNET LA TRANSPARENCE EST-ELLE LA SOLUTION POUR RÉTABLIR LA CONFIANCE DANS LA FINANCE? Aucun moteur de recherche, interrogé sur le tableau attribué à Jérôme Bosch et intitulé
Plus en détailConséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC
Conséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC L industrie française des biens de consommation prend-elle bien
Plus en détailACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL
ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL DES MANAGERS ET DES DIRIGEANTS des démarches de croissance, d adaptation continue et de créativité dans des environnements et des marchés en mutation DIRIGEANTS ET MANAGERS EN
Plus en détailDEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN
DEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN Vous êtes un professionnel consultant, coach, formateur et vous accompagnez les individus ou les entreprises dans leurs enjeux de performance sociale, managériale
Plus en détail60 salariés. 3 MINISTÈRE est une agence Web, experte en CRM, e-commerce, data et analytics. Elle compte à ce. jour 25 salariés.
Laurent HABIB réunit les agences LIGARIS 1, PLAN CRÉATIF 2 et MINISTÈRE 3 pour créer la 1 ère agence globale indépendante du marché. Une agence de 180 personnes, à 60% digitale, intégrant tous les métiers
Plus en détailCRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile?
CRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile? Note publiée sur le site CRM SECTOR en novembre 2005 dans la catégorie : «Extraits» Comme toutes les entreprises, celles du secteur tertiaire n échappent
Plus en détailNOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6
NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints
Plus en détailENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA
ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA Notes pour une allocution prononcée par M. Patrick Déry Surintendant de l encadrement
Plus en détailFICHE TECHNIQUE # 64 INTÉGRATION COMPÉTENTE ET SÉCURITAIRE DES NOUVEAUX EMPLOYÉS
FICHE TECHNIQUE # 64 INTÉGRATION COMPÉTENTE ET SÉCURITAIRE DES NOUVEAUX EMPLOYÉS Chez les jeunes de 15 à 24 ans, 54 % des accidents du travail surviennent dans les six premiers mois de l emploi. Pour tous
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailLa GPEC au regard de la formation
La GPEC au regard de la formation note aux étudiants : ce support ne constitue qu un complément au cours assuré, pour aller plus loin cf. bibliographie Support construit sur base de l ouvrage «GPEC», éd.
Plus en détaille plan stratégique de l Université d Ottawa
le plan stratégique de l Université d Ottawa uottawa : un bilan éloquent L Université d Ottawa fait partie des grandes universités canadiennes. Ces dernières années, nous avons connu une croissance et
Plus en détailPréface de Germain Duclos
je suis capable! i, Moi auss Marie-Francine Hébert Marie-Claude Favreau Préface de Germain Duclos Moi aussi je suis capable! Texte : Marie-Francine Hébert Illustrations : Marie-Claude Favreau Préface
Plus en détailPENSÉES CONTESTATAIRES, RATIONALITÉS DIVERGENTES
REMERCIEMENTS... XXI Introduction L INTERVENTION SOCIALE... 1 Henri Dorvil PRÉSENTATION DES CONTRIBUTIONS... 5 Partie 1 Pensées contestataires, rationalités divergentes... 5 Partie 2 Théories et méthodologies
Plus en détailManque de reconnaissance. Manque de contrôle
CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons
Plus en détailFormation à la systémique pour consultants et personnels RH
J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux
Plus en détailSondage sur la volonté d améliorer la gouvernance
Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance Ce Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance a été adapté, avec la permission de Quantum Transformation Technologies, de son Governance & Managerial
Plus en détailPeut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr
Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?
Plus en détailGuide sur les VALEURS. Angélike et Delphine
Guide sur les VALEURS Angélike et Delphine Ce guide sur les valeurs s adresse autant à notre clientèle qu au personnel du Centre de réadaptation en déficience physique (CRDP) et constitue le code d éthique
Plus en détailPolitique de placements
Politique de placements Le 7 octobre 2010 Politique de placements Table des matières 1. La mission de la Fondation pour le développement des coopératives en Outaouais 2. Les principes de la gouvernance
Plus en détailL ACCOMPAGNEMENT DES EQUIPES où le temps de «l entreprise en transition»?
L ACCOMPAGNEMENT DES EQUIPES où le temps de «l entreprise en transition»? Nous vivons tous et toutes au sein des organisations et une grande partie de notre vie, nous conduit à agir et vivre au cœur même
Plus en détailMANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA
24 septembre 2013 MANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA 1. Introduction La Banque du Canada (la «Banque») est l administrateur du Régime de pension de la Banque du Canada (le
Plus en détailPROPOSANT (sera le Preneur d Assurance si le contrat est souscrit)
FORMULAIRE DE DÉCLARATION DE RISQUE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNEL DE L IMMOBILIER COURTIER Nom du Cabinet Nom et prénom du représentant Email Téléphone Adresse N Type de voie Nom de la voie Code
Plus en détail22 avril 2009. l investissement responsable de la maif
Charte 22 avril 2009 l investissement responsable de la maif objectifs considération sur l investissement responsable les axes d engagement l investissement responsable de la maif /// Préambule La MAIF
Plus en détailInvestir l excellence et la solidarité
Investir l excellence et la solidarité www.fondation.dauphine.fr CULTURE. ÉGALITÉ DES CHANCES. CAMPUS. RECHERCHE. INTERNATIONAL. ENTREPRENEURIAT La Fondation Dauphine Notre vision La Fondation Dauphine
Plus en détailLes imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences
Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences Entretiens Enseignants Entreprises Jean-Paul POLLIN 30 août 2012 Laboratoire d Economie d Orléans (LEO) 1 Plan
Plus en détailLe téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT
NOTE DE LECTURE Le téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT par André TURCOTTE «Pourquoi s intéresser au téléphone public?» En posant cette question dès le début de son livre,
Plus en détailConsidérations sur la crise et le marché intérieur 1
Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.
Plus en détailquelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?
LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière
Plus en détailIntroduction. 1. une pratique de déclinaison de la stratégie et du management
Introduction L a succession des crises économiques et financières, la possible crise écologique et climatique, ou encore les crises sociales (augmentation de la pauvreté, vieillissement de la population)
Plus en détailCONDITIONS D UTILISATION DU SITE www.loreal-paris.fr
CONDITIONS D UTILISATION DU SITE www.loreal-paris.fr Nous vous souhaitons la bienvenue sur ce site dédié à la marque L Oréal Paris, accessible à l adresse URL suivante : www.loreal-paris.fr (le «Site»).
Plus en détailExemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges. Ordinaires & ASH
Exemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges Ordinaires & ASH PRESENTATION ESPRIT DES OUTILS PRESENTES L objectif de cette plaquette est de proposer des tours de mains aux
Plus en détailLa place des seniors dans le bénévolat
La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils
Plus en détailStandardisation du service : quel client pour le guichetier de la poste?
Standardisation du service : quel client pour le guichetier de la poste? Communication lors des XIIIes Journées Internationales de Sociologie du Travail MESURES ET DÉMESURES DU TRAVAIL Harmony Glinne Assistante
Plus en détailLE PROGRAMME DE RECHERCHE POUR LE SCN 2023. François Lequiller Insee
LE PROGRAMME DE RECHERCHE POUR LE SCN 2023 François Lequiller Insee Vers le SCN 2023 Le SCN 2008 n est pas encore fini mais on prépare déjà le SCN 2023 (2023 = 2008 + 15 comme 2008 = 1993 +15) Futur chapitre
Plus en détailREDACTION DES RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES EN LICENCE ET MASTER INFORMATION-COMMUNICATION
REDACTION DES RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES EN LICENCE ET MASTER INFORMATION-COMMUNICATION Dans tous vos travaux universitaires en Licence et Master Information et Communication, vous devez vous référer
Plus en détail26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général
26 et 27 mai 2015 Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général Mesdames, Messieurs, Lors de mes propos introductifs à ces débats, je vous ai dit que le développement social, comme le développement
Plus en détailMots interrogatifs. Quand,comment,pourquoi,qui... sont des mots interrogatifs qui servent à introduire une phrase interrogative.
1 Mots interrogatifs Quand,comment,pourquoi,qui... sont des mots interrogatifs qui servent à introduire une phrase interrogative. ous pouvons principalement les classer en 3 groupes. *Les adjectifs interrogatifs
Plus en détailStages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle
Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle De nombreux archivistes se sont déjà interrogés sur la manière d organiser un stage en archives pour des
Plus en détailHistorique du coaching en entreprise
Historique du coaching en entreprise Aux Etats-Unis dans les années 80, le coaching des sportifs a beaucoup de succès. L entreprise, soucieuse d une plus grande performance va adapter le coaching afin
Plus en détailINDUSTRIE ELECTRICIEN INSTALLATEUR MONTEUR ELECTRICIENNE INSTALLATRICE MONTEUSE SECTEUR : 2. Projet : Ecole Compétences -Entreprise
Projet : Ecole Compétences -Entreprise SECTEUR : 2 INDUSTRIE ORIENTATION D'ETUDES : ELECTRICIEN INSTALLATEUR MONTEUR ELECTRICIENNE INSTALLATRICE MONTEUSE Formation en cours de Carrière Avec l aide du Fonds
Plus en détailSÉMINAIRE INTELLIGENCE EMOTIONNELLE
21 ET 22 AOÛT 2010 Nuvilly-Suisse Contact Cornelia Roulet Tél. 078/787.17.81 chevalcoaching@orangemail.ch Eliane Bernard Coach structurel et facilitatrice équin «grow» Dominique Pellet Coach PNL «dpcoaching»
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailLa responsabilité juridique des soignants
La responsabilité juridique des soignants Les soignants, face à des conditions de travail parfois difficiles et aux aléas de la médecine, songent plus souvent aux risques thérapeutiques qu aux risques
Plus en détailBonsoir, Mesdames et Messieurs,
Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Tout d abord je souhaiterais remercier les organisateurs de ce symposium, la Division de la Population des Nations Unies et la Fondation Roselli, pour leur invitation de
Plus en détail«Les acteurs du mieux-vivre en entreprise au service du bien-être au travail»
«Les acteurs du mieux-vivre en entreprise au service du bien-être au travail» Piloter une entreprise sous influence dans un environnement turbulent : quelles forces en présence? L entreprise, terrain du
Plus en détailPositionnement professionnel et éthique dans le travail d équipe
Positionnement professionnel et éthique dans le travail d équipe La Loi 2002-2 place l usager au centre du système social et médico-social, ce qui demande aux professionnels de s inscrire dans un travail
Plus en détailQu est-ce que la virtualisation?
I Qu est-ce que la virtualisation? L actuel et le virtuel Considérons pour commencer l opposition facile et trompeuse entre réel et virtuel. Dans l usage courant, le mot virtuel s emploie souvent pour
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailWORDPRESS : réaliser un site web
WORDPRESS : réaliser un site web Wordpress est un système de gestion de contenu (ou CMS) libre. Il permet de créer des sites relativement complexes (blog, forum, site vitrine, site dynamique), sans qu
Plus en détailL attitude : la nouvelle compétence désormais reconnue dans le sport
Communiqué de presse Rolle, le 13.11.13 L attitude : la nouvelle compétence désormais reconnue dans le sport Education 4 Peace, Fondation Suisse basée à Rolle, en collaboration avec l UEFA, publie le premier
Plus en détailNuméro du rôle : 3717. Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T
Numéro du rôle : 3717 Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T En cause : la question préjudicielle relative aux articles 147, 148, 149 et 152 du Code des droits de succession, posée par le Tribunal
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailL i s t e b i b l i o g r a p h i q u e REFERENCES. G e s t i o n a x é e s u r l e s r é s u l t a t s. E t u d e G C P
L i s t e b i b l i o g r a p h i q u e REFERENCES G e s t i o n a x é e s u r l e s r é s u l t a t s E t u d e G C P Document de travail Nathalie Wilbeaux COTAasbl Actualisée en Juillet 2007 Bibliographie
Plus en détailLa supervision en soins infirmiers
La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que
Plus en détailJUNIOR MBA ECOFI MANAGEMENT DES ORGANISATIONS ET DE S PROJETS
JUNIOR MBA ECOFI MANAGEMENT DES ORGANISATIONS ET DE S PROJETS Diplôme Grade Master de l IEP Rennes bac+5 En Alternance Coordination pédagogique : Lionel Honoré - Professeur lionel.honore@sciencespo-rennes.fr
Plus en détailRésolution de conflits, coaching et formation
Résolution de conflits, coaching et formation Fabienne Alfandari 16 chemin des Clochettes 1206 Genève fabienne@image-imagination.com www. image-imagination.com tél. 079 540 65 44 Un besoin dans les entreprises
Plus en détailGreen IT. Jeudis 2 et 9 octobre 2014. Réduire la consommation énergétique des technologies de l information et de la communication (TIC)
Centre de formation Green IT Jeudis 2 et 9 octobre 2014 Réduire la consommation énergétique des technologies de l information et de la communication (TIC) Green IT Réduire la consommation énergétique des
Plus en détailLes enjeux existentiels du dirigeant
La complexité, tout simplement Les rencontres Trajectives Les enjeux existentiels du dirigeant S accomplir pour mieux diriger la transformation Qui sommes-nous? Un cabinet avec 10 années d expérience et
Plus en détailUn contrat de respect mutuel au collège
Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détail