Le savoir-faire et le savoirêtre des infirmières en intervention de liaison dans un contexte de dépendance
|
|
- Mireille Bilodeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le savoir-faire et le savoirêtre des infirmières en intervention de liaison dans un contexte de dépendance Par Isabelle Taquet, inf. Emmanuelle Lepire, inf. B.Sc 1
2 Le cadre légal de la profession «Chaque profession est définie par un champ d'exercice qui la décrit de façon générale en faisant ressortir la nature et la finalité de sa pratique ainsi que ses principales activités» «Évaluer l état de santé, à déterminer et à assurer la réalisation du plan de soins et de traitements infirmiers, à prodiguer les soins et les traitements infirmiers et médicaux dans le but de maintenir et de rétablir la santé de l être humain en interaction avec son environnement et de prévenir la maladie ainsi qu à fournir les soins palliatifs» Source : Office des professions du Québec (2005), 2
3 Code de déontologie Section II : Relations entre l'infirmière ou l'infirmier avec le client ; couvre la relation de confiance, les dispositions visant à préserver le secret quant aux renseignements de nature confidentielle ainsi que les comportements prohibés. Section IV : Relations avec les personnes avec lesquelles l'infirmière ou l'infirmier est en rapport dans l'exercice de sa profession ; énonce la teneur des comportements à proscrire. Source : 3
4 Afin de vous aider à protéger votre confidentialité, PowerPoint a empêché le téléchargement automatique de cette image externe. Pour la télécharger et l'afficher, cliquez sur Options dans la barre de message, puis cliquez sur Autoriser le contenu externe. Qu est-ce que le partenariat? Définition: Le partenariat désigne un accord formel entre deux ou plusieurs parties qui ont convenu de travailler en coopération dans la poursuite d objectifs communs. OMS: Un partenariat peut être défini comme une relation de collaboration entre deux ou plusieurs personnes basée sur la confiance, l égalité et la compréhension mutuelle, pour atteindre un objectif spécifique. Les partenariats comportent des risques comme des bénéfices, rendant cruciale la responsabilité partagée.
5 Conditions essentielles pour un bon partenariat -Travailler en équipe, en concertation et en consultation Apprendre à connaitre la culture de l autre afin de défaire certains préjugés de part et d autre. Établir une vision commune de la situation malgré la différence de nos approches respectives Définir clairement les responsabilités et rôles de chaque partenaire Se questionner, bien se positionner dans son rôle, s intéresser à ce que l autre fait Partager les pouvoirs, risques et responsabilités Favoriser la création et le maintien d espaces cliniques communs dans le but d analyser les situations et d élaborer des actions concertées et coordonnées Investir conjointement les ressources
6 Obstacles et difficultés observés On se concentre beaucoup sur les individus et leurs droits (protection de l enfant vs réadaptation du parent) Le client présentant une problématique de dépendance et/ou de négligence fait souvent l objet de préjugés en raison d un manque de connaissances de part et d autre des partenaires et entourage. Nos philosophies à l égard de la consommation d alcool ou de drogues diffèrent. Les clients, aussi parents, hésitent à demander de l aide pour leur problématique de dépendance car ils ont peur, entre autres, de perdre la garde de leur enfant.
7 Qu est-ce que la collaboration? La collaboration est un collectif de connaissances, d habiletés, de valeurs et de motifs pour travailler ensemble. C est un processus visant à atteindre des objectifs que l on ne pourrait réaliser en travaillant seul dans chacun des secteurs d intervention. (Whittington, 2003 et Olson, 2004)
8 Collaboration interdisciplinaire Toutes les professions de la santé ont maintenant un champ de pratique qui leur est propre, mais dont une partie est commune. Responsabilités partagées : activités d information, de promotion de la santé et de prévention de la maladie Source : 8
9 Collaboration interdisciplinaire Point majeur de l organisation du travail : Se questionner à savoir quel professionnel de la santé est le mieux placé pour accomplir une activité partagée. 9
10 Les réalités des milieux Confidentialité : Contexte juridique Contexte médical Contexte d entourage 10
11 Le Centre de réadaptation en dépendance de Québec Services de liaison : - Hospitalière (urgence de HEJ, HSFA et CHUL) - Accès traitement de substitution - Évaluation adulte(prés), entourage et jeunesse. - Programme Jeunes- Parents (lien avec CJQ) 11
12 Savoir Faire infirmier dans un contexte de substitution L importance de la collaboration et de la continuité 12
13 TRAITEMENT DE SUBSTITUTION - Objectif : Offrir une médication de substitution permettant un confort de 24h dans un cas de dépendance aux opiacés. - Contexte de réduction des méfaits - Suivi médical et psychosocial 13
14 Rôle infirmier Prévention des ITSS Soins physiques Enseignement Orienter vers les services Intervenant pivot 14
15 L importance de l accueil du client Se mettre au niveau du client La simplicité d approche dans le but de créer un lien L attitude ouverte 15
16 Partenaires 16
17 Confidentialité Limites Contexte judiciaire 17
18 Limites Attentes irréalistes Problématiques de santé mentale Considérer l approche de réduction des méfaits 18
19 Obstacles Différents mandats Manque de compréhension Problématique d assiduité et de compliance au traitement 19
20 Ressources et rôles Réinsertion sociale Aide matérielle et alimentaire Soutien psychosocial Hébergement 20
21 Objectif Travail de collaboration 21
22 Cas clinique #1 Référence médicale d un md de famille - Homme de 52 ans - ATCD physique : accident de voiture avec douleur persistante - Contexte d abus de prescriptions de narcotique - Aucun ATCD de toxicomanie 22
23 Cas clinique #2 Se réfère de lui-même Homme de 37 ans ATCD physique : VHC positif non traité, abcès Consommation opiacés et cocaïne I/V X 3 ans Sans emploi, logement au centre-ville Isolement social 23
24 Dans un contexte de parentalité et de dépendance. Soutenir une démarche, considérer et impliquer les partenaires. Un défi mais un élément majeur à considérer pour offrir un service adéquat. 24
25 Le(s) parent(s) consommateur(s) mais aussi son entourage : particulièrement les enfants. 25
26 Le parent et l enfant, un tout 26
27 Des temps à concilier Le parent L enfant L intervenant
28 Le temps du parent La substance et la recherche de son effet occupent tout l espace-temps de la personne, le corps devient lui-même l horloge. Il y a donc perte de la notion du temps qui est régulée par le corps et ses émotions. La conciliation entre les divers rendez- vous, horaire de la famille. L urgence d agir versus un espace pour changer : le temps d être parent, le temps d arrêter de consommer, le temps de s occuper de soi, de s en sortir
29 Le temps de l enfant Le risque de discontinuité dans son développement Le besoin d avoir des repères stables Sa notion du temps qui est différente de la nôtre. L urgence d agir dans certaines situations, étant donné sa vulnérabilité et le risque d impacts importants sur son développement. Savoir être: Accueillir le client en tenant compte de la parentalité. Savoir faire: Maintenir une vue d ensemble de la famille. Détecter les besoins de service. Impliquer les partenaires potentiels ou existants pouvant améliorer la qualité de vie du client et de sa famille.
30 Le temps de l intervenant Les règles d établissement. Cadres thérapeutiques et approches d intervention. Nos croyances de ce qui est bon ou moins bon Nos valeurs personnelles qui teintent notre intervention. Parfois des délais prescrits par la loi (LPJ) Le cheminement du client en dépendance
31 Partenaires Les Centres jeunesse Liaison hospitalière CSSS (guichet 1ère ligne, accueil social, santé mentale etc..) La famille Milieu communautaire Autre CRDQ Médecins Réinsertion sociale 31
32 32
33 Les défis multiples de l intervention: Éthiques L importance du consentement en contexte de relation de confiance et de partenariat Respect de nos missions et mandats respectifs Le parent comme client et l enfant comme personne à protéger: Comment concilier les deux réalités. La conciliation des limites de la confidentialité et des responsabilités cliniques (LPJ, LSSSS, etc.): dénoncer ou encadrer?
34 Les défis multiples de l intervention: Cliniques Composer avec les défis de la réduction de méfaits. Accroître la responsabilisation du parent face à son enfant et son rôle de parent. Supporter le client dans l appropriation d une démarche de traitement sollicitée de l extérieur. Soutenir le client dans son cheminement personnel en impliquant le réseau ( les proches, les personnes significatives et aidantes).
35 Contexte actuel d intervention Clientèle qui présente des troubles concomitants. Approche d intervention par expertise/par type de clientèle. Une certaine ambiguïté quant au partage d informations. La notion de temps : différente pour tous.
36 Comme professionnel (le), Ce que je dois considérer La loi de la protection de la jeunesse vise à mettre en place les mesures de protection jugées nécessaires pour prévenir, corriger les risques de compromission du développement et ou de la sécurité de l enfant mineur concerné. Un contexte de dépendance aux substances d un ou des parents peut de ce fait impliquer la présence des Centres jeunesse. 36
37 Considérant ce fait, l offre de service doit se construire en tenant compte des différents facteurs de risque détectés. L L action nursing vise sur une approche bio-psychosociale 37
38 Facteurs de risque L âge de l enfant (préscolarité, garderie, ado, ) L isolement, vulnérabilité, moyens limités d exprimer un besoin Habiletés parentales Monoparentalité Violence conjugale Problème de santé mentale diagnostiqué ou non Dépendance à une substance psychoactive, au jeu. L environnement Situation financière Faible scolarité 38
39 client rôle à jouer 39
40 La question: peut-on y arriver seul? Le client doit être placé au cœur des objectifs 40
41 Il est souvent difficile de concilier les intérêts des parents toxicomanes et de leurs enfants, mais ce n est pas impossible, à condition de privilégier une approche globale, de travailler sur l ensemble du système familial, et d éviter le morcellement des interventions. Les intervenants en toxicomanie peuvent contribuer à prévenir les situations de négligence ou à les éliminer, en accompagnant l individu dans son rôle parental. (CPLT, 1999)
42 Le client Dès la référence nous devons placer le client au cœur de l action, l aider à se situer dans la démarche d aide en cours. L accueil est primordial. Créer un espace propice de réflexion de la situation de consommation mesurer les enjeux en lien avec celle-ci : santé physique, mentale, familiale, relationnelle et du maintien de l équilibre de vie au quotidien.
43 Les défis multiples de l intervention Besoins multiples Demande de faire des compromis de chaque membre du projet en cours. Concevoir le changement visé comme un processus en continuum et évolutif. Aucune garantie mais sans adaptation on n avance pas!
44 Collaboration comment y arriver Faire confiance 44
45 Soutenir la démarche Sécuriser le client sans l étouffer.. Vers une mobilisation intrinsèque. Transformer la pression d agir en énergie de changement 45
46 46
47 Pour permettre au client d avancer, il est nécessaire de comprendre le champ d action de l autre et de travailler en complémentarité en impliquant le client tout au long de la trajectoire de service tout en préservant les champs de pratique. 47
48 Vers le changement.. Faciliter l accès aux services complémentaires: Engager le client dans la démarche Accompagner le client dans l appropriation des changements souhaités. 48
49 Vignette #1 Femme de 28 ans, Mère monoparentale d une fillette de 3 ans Référence du CJQ: démarche volontaire Consommation de cannabis, Conflits de séparation avec violence physique qui a nécessité une intervention policière. Mme est en ressource pour femmes victimes de violence. Réseau de soutien limité. 49
50 Vignette #2 Référence de la liaison hospitalière. Hospitalisation récente à l urgence psychiatrique pour psychose toxique issue probablement d une reprise de consommation d amphétamines depuis 4 mois. ATCD de psychoses dans le passé. Femme de 22 ans, monoparentale, CJQ au dossier: Fille de 7 mois en famille d accueil (F.A.) depuis l hospitalisation récente de la mère. Garçon de 4 ans en F.A. depuis l âge de 2 ans et demi. Isolement social: pas de réseau de soutien proche, faible scolarité (décrochage scolaire), précarité du mode de vie. 50
51 En résumé Considérer l ensemble de la situation de vie du client et le voir comme un tout, pas seulement un problème de consommation. Accueillir, écouter, sans jugement les propos du client, déterminer les actions à poser, le soutenir dans le processus de changement. Reconnaitre que malgré la responsabilité du client de sa situation, il a le pouvoir de changer les choses, d améliorer sa condition en respectant ses limites. Croyance que le client a un potentiel de réalisation, de dépassement de ses limites.
52 Merci de votre Participation.!!!. Merci à Google pour les images utilisées pour cette présentation. 52
53 Références et suggestions de lecture rch/telecharge.php?type=3&file=/i_8/8r9.htm Boucher N., Martin K.(2010) Parentalité et dépendance: le défi de la conciliation des enjeux développementaux et cliniques auprès des parents d enfants d âge préscolaire, Centre de réadaptation en dépendance de Québec. Collège des médecins du Québec et Ordre des pharmaciens du Québec, (1999) Lignes directrices : utilisation de la méthadone dans le traitement de la toxicomanie aux opiacés, Office des professions du Québec (2005) 53
54 Références et suggestions de lecture Létourneau, H. (2002). Toxicomanie d un parent et appréciation des capacités parentales par les tribunaux québécois. Drogues, santé et société, vol. 1, No. 1. Morissette, P et Venne, M. (sous la dir.) (2009). Parentalité, alcool et drogues : un défi multidisciplinaire. Éditions du CHU Ste-Justine, Montréal. Peele, S. (1982). L expérience de l assuétude. Faculté de l éducation permanente, Recueil de textes. Université de Montréal. Simmat - Durand, L. (2007). La mère toxicomane et le placement de l enfant: des temps inconciliables. Drogues, santé et société, vol. 6, No. 2, pp , décembre.
55 Références et suggestions de lectures Clément, M.-E. et Tourigny, M. (1999). Négligence envers les enfants et toxicomanie des parents : portrait d une double problématique. Gouvernement du Québec, Comité permanent de lutte à la toxicomanie. Comité permanent de lutte à la toxicomanie. (1999). Avis sur la double problématique toxicomanie et négligence parentale. Gouvernement du Québec. Guyon, L., De Koninck, M., Morissette, D., Ostoj, M. & Marsh, A. (2002). Toxicomanie et maternité, de la famille d origine à la famille recréée. Drogues, santé et société, Vol. 1, No. 1. Lecompte, J., Perreault, E., Venne, M. & Lavandier, K.-A. (2002). Impacts de la toxicomanie maternelle sur le développement de l enfant et portrait des services existants au Québec. Gouvernement du Québec, Comité permanent de lutte à la toxicomanie.
Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6
Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailPlanification stratégique 2012-2015
DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du
Plus en détailVous divorcez, vous vous séparez?
Service Com&Doc - Crédit image : drx - Fotolia.com - Imprimerie Caf35 - Mars 2014 Vous divorcez, vous vous séparez? 5 questions pour mieux comprendre Vous informer et vous aider dans vos démarches Vous
Plus en détailCadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7
Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7 novembre 2012 Cadre de mieux-être en Le cadre de notre
Plus en détailLE MARKETING SOCIAL ET
LE MARKETING SOCIAL ET LA PRÉVENTION DE LA MALTRAITANCE MARIE-HÉLÈNE GAGNÉ 6ème Colloque québécois sur la maltraitance envers les enfants et les adolescents Montréal, 29 octobre 2013 LE FARDEAU DE LA MALTRAITANCE
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailLes prérogatives du mineur sur sa santé
5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée
Plus en détailL accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1
L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de
Plus en détailLe guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque:
GUIDE D ENTREVUE TROUSSE DE SOUTIEN À L ÉVALUATION DU RISQUE D ALIÉNATION PARENTALE Véronique Lachance Marie-Hélène Gagné Ce guide d entrevue a été conçu pour vous aider à documenter les situations familiales
Plus en détaildocument révisé le 2008-03-05
document révisé le 2008-03-05 Table des matières Présentation... 3 1.0 Objectifs... 4 2.0 Organisation... 5 3.0 Personnel d encadrement... 7 4.0 Modalités d accès au CRM... 8 5.0 Processus de réintégration
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailNiveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017
et d'atteinte des cibles d'impact des 1. Formaliser l'offre de services pour l'ensemble des programmes-services et des programmes de soutien. Définir et promouvoir l'offre de services en Dépendances (2013-12-
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.
Plus en détailRAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ
RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ Instructions: 1. Le rapport doit être renvoyé au REFJ (exchanges@ejtn.eu) dans le mois suivant le stage. 2. Veuillez utiliser le formulaire ci-dessous pour rédiger votre rapport
Plus en détailLES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?
LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailJoël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin, M. Serv. Soc. Pascal Garceau, étudiant en sociologie
Portrait de consommation de substances psychoactives de jeunes consultant en centre spécialisé en toxicomanie (PAJT) et provenant du Centre jeunesse de Québec Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin,
Plus en détailUnis contre la violence conjugale et intrafamiliale. Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017
Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017 Mise en contexte Au SPVM Environ 18 000 appels de service au 911
Plus en détailFiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche
Plus en détailLes paroles s envolent les écrits restent
Les paroles s envolent les écrits restent COMMENT S Y RETROUVER CONCERNANT LA PROCURATION LE MANDAT EN CAS D INAPTITUDE LE TESTAMENT Avril 2008 INTRODUCTION TABLE DES MATIÈRES NTRODUCTION...... 1 DÉFINITION
Plus en détailCoordination des travaux Robert Faulkner. Rédaction Marie-Claude Paquette Guylaine Doré. Secrétariat Francine Hardy Dolorès Larouche Sylvie Tremblay
1 Coordination des travaux Robert Faulkner Rédaction Marie-Claude Paquette Guylaine Doré Secrétariat Francine Hardy Dolorès Larouche Sylvie Tremblay Collaboration Paul Roberge Mario Fréchette Marie-Josée
Plus en détailHARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!
HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui
Plus en détailRésultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement
Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Janvier 2015 Contributions Équipe de travail Réal Cloutier, Hôpital Rivière-des-Prairies Louise
Plus en détailProjet clinique express
d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée
Plus en détailPROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation
PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation
Plus en détailSECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES
Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailUne échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier
Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailPOINT FINAL. Option. Programme d encadrement en violence conjugale En collaboration avec. alternative à la violence conjugale et familiale
POINT FINAL Programme d encadrement en violence conjugale En collaboration avec Option Une alternative à la violence conjugale et familiale Personne condamnée à un délit en matière de violence conjugale
Plus en détailFICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles
FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailDrug Misuse and Treatment in Morocco
Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailAvant-projet de loi. Loi modifiant le Code civil et d autres dispositions législatives en matière d adoption et d autorité parentale
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Avant-projet de loi Loi modifiant le Code civil et d autres dispositions législatives en matière d adoption et d autorité parentale Déposé par Madame Kathleen
Plus en détailFICHE DE RENSEIGNEMENTS
FICHE DE RENSEIGNEMENTS INSCRIPTION 2014-2015 A rendre avant le 14 août 2014 Merci FAMILLE : 1 2 ENFANT(s) NOM de l enfant :...... PRENOM Né(e) le :...../../... Classe :..... Mon enfant ira à : la Garderie
Plus en détailRevalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée
Revalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée Marie-Josée Béliveau, inf. Gaétane Boucher, inf. B. Sc. Monique Bourque, inf. M.A. Carole Brousseau, inf. B. Sc.
Plus en détailPour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.
Chaque famille demandant l inscription de son ou de ses enfants en restauration scolaire s engage à respecter tous les points du présent règlement, notamment les modalités d inscription, de facturation
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détail7 octobre 2014 Entretiens Jacques Cartier
Le projet de formation «Partenaires, jusqu à la fin» Déterminer avec le patient et ses proches les objectifs de ses soins en contexte de maladie grave et de fin de vie 7 octobre 2014 Entretiens Jacques
Plus en détailPORTAIL DOCUMENTAIRE Guide d utilisation
PORTAIL DOCUMENTAIRE Guide d utilisation Document réalisé par le Centre Ressources du CRFPE Septembre 2014 SOMMAIRE :: SOMMAIRE :: p. 3 1. Le portail documentaire : page d accueil p. 3 2. Le compte lecteur
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailFAIRE UN SIGNALEMENT AU DPJ, C EST DÉJÀ PROTÉGER UN ENFANT. Quand et comment signaler?
FAIRE UN SIGNALEMENT AU DPJ, C EST DÉJÀ PROTÉGER UN ENFANT Quand et comment signaler? LOI SUR LA PROTECTION DE LA JEUNESSE LE PRÉSENT GUIDE S INSPIRE LARGEMENT D UNE BROCHURE INTITULÉE SIGNALER, C EST
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailLes offres de services spécialisés
Les offres de services spécialisés Le contexte et les enjeux, incluant les offres de services spécialisés aux familles et aux proches, aux partenaires ainsi que notre engagement dans la collectivité. PAVILLON
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détailLe champ d exercice et les activités réservées des infirmières
Le champ d exercice et les activités réservées des infirmières Mise à jour du guide d application publié en 2003 NOTE AU LECTEUR Le Service de refonte du ministère de la Justice effectue jusqu en janvier
Plus en détailCadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal
Cadre de référence Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Révisé en février 2015 1 TABLE DES MATIÈRES Abréviations utilisées. 3 Mise en contexte. 4 Buts et objectifs.
Plus en détailSERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -
SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale
Plus en détailAmélioration continue de sa compétence professionnelle
Amélioration continue de sa compétence professionnelle En quatre étapes Développer son portfolio professionnel de formation continue pour assurer à la population des soins et services sécuritaires et de
Plus en détailCirculaire n 5051 du 04/11/2014
Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés
Plus en détailPRISE DE CONTACT AVEC LE PARTENAIRE
PRISE DE CONTACT AVEC LE PARTENAIRE Si votre partenaire ou ex-partenaire participe au programme Next Steps/ Intervention auprès des partenaires violents (IPV) auprès du Family Service Toronto, notre personnel
Plus en détailStandards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience
Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailL évolution des rôles en soins infirmiers. Un changement à s approprier
L évolution des rôles en soins infirmiers Un changement à s approprier Les formateurs Louise Leduc Coordonnatrice du développement clinique de la pratique en soins infirmiers, DPSSS-DSI Stéphane Gagnon
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailDécision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185
Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits
Plus en détailProjet de loi n o 20
Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailGuide sur les VALEURS. Angélike et Delphine
Guide sur les VALEURS Angélike et Delphine Ce guide sur les valeurs s adresse autant à notre clientèle qu au personnel du Centre de réadaptation en déficience physique (CRDP) et constitue le code d éthique
Plus en détailLE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES
LE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Le SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Un dispositif de lutte contre l exclusion : 24h/24, 365j/an : 1) Une permanence téléphonique le N vert : 080099/340 2) Des équipes mobiles d aide
Plus en détailINDEX ANALYTIQUE. Accident d aviation. «Competence of Tribunal Interjurisdictional Aviation Accidents», 169-182
INDEX ANALYTIQUE Note: Sous chaque entrée de l index analytique vous trouverez les informations nécessaires pour repérer les articles ou les chroniques de la Revue du Barreau, soit le titre suivi, en caractère
Plus en détailGUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS. pour les centres d hébergement. Décembre 2007 Direction des soins infirmiers
GUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS pour les centres d hébergement Décembre 2007 Direction des soins infirmiers CE GUIDE A ÉTÉ PRODUIT PAR L ÉQUIPE DE LA DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS
Plus en détailEtablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil -
Etablissement S.A.S. / ARPADE Services d Accueil et de Soins - Livret d accueil - Association Régionale de Prévention et d Aide face aux Dépendances et aux Exclusions Valeurs fondamentales de l Association
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLa télésanté clinique au Québec: un regard éthique par la CEST
La télésanté clinique au Québec: un regard éthique par la CEST Dominic Cliche Conseiller en éthique Commission de l éthique en science et en technologie 18 mars 2015 Midi conférence de l Institut d éthique
Plus en détailPour permettre au greffe des affaires familiales de constituer votre dossier, il est indispensable :
TRIBUNAL DE RANDE INSTANCE d AMIENS 14 rue Robert de Luzarches 80027 AMIENS CEDEX 1 ------- Juge aux Affaires Familiales Madame, Monsieur Pour permettre au greffe des affaires familiales de constituer
Plus en détailJournée d étude des leaders en soins infirmiers
Journée d étude des leaders en soins infirmiers Région : Abitibi-Témiscamingue Date : 10 mai 2012 Rouyn-Noranda Geneviève Ménard, M. Sc. inf., M. Sc. (Adm. de la santé) Directrice-conseil Direction, Affaires
Plus en détailGuichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs. favorisant la collaboration
Guichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs favorisant la collaboration Pascale Navert Courtière de connaissances Direction de la planification, de la performance
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailLa mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1
La mission et les résultats en chiffres 1 La mission du Protecteur du citoyen Le Protecteur du citoyen a pour mandat, en vertu de la Loi sur le Protecteur du citoyen et, depuis le 1 er avril 2006, en vertu
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailLes défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes
Plus en détailBrochure cannabis 21/02/05 4:17 PM Page 1 cannabis au volant
cannabis au volant Réalisation Association des intervenants en toxicomanie du Québec inc. www.aitq.com Cannabis au volant cool ou risqué? Cette brochure a pour but de t informer de l impact du cannabis
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailSiréas asbl Service International de Recherche, d Education et d Action Sociale
Siréas asbl Service International de Recherche, d Education et d Action Sociale Année 2005 DOCUMENT n 1 Analyses et études LE DIVORCE INTERNATIONAL EN BELGIQUE Rue de la croix, 22 1050 Bruxelles Téléphone
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détail2. Compétence d attribution et compétence territoriale des tribunaux en Allemagne
situation en juillet 2012 Note d'information des missions diplomatiques et consulaires allemandes en France sur les procédures de divorce en France et en Allemagne I. Compétence judiciaire 1. Compétence
Plus en détailAssurances collectives
Assurances collectives Regroupement des organismes nationaux de loisir et de sport du Québec Conditions de renouvellement au 1 er avril 2015 et modification du choix d option Regroupement des organismes
Plus en détailOù avez-vous entendu parler de la Maison de la Famille Joli-Cœur :
FORMULAIRE D INSCRIPTION ATELIERS PARENTS/ENFANTS ATELIER Où avez-vous entendu parler de la Maison de la Famille Joli-Cœur : Nom du parent : Date de naissance du parent : Nom de l enfant : Date de naissance
Plus en détailUn poste à votre mesure!
Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne
Plus en détail»»»» CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? DÉFINITION
5 Fiche de sensibilisation CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? Il nous arrive fréquemment de nous interroger sur notre façon de faire les choses
Plus en détailQu est-ce que l accueil de loisirs? I/ Présentation du gestionnaire. La Haye du Puits : Prétot-Sainte-Suzanne :
Qu est-ce que l accueil de loisirs? C est un accueil collectif de mineurs ouvert pendant le temps libre des enfants (mercredis/vacances), ayant une dimension éducative. Il est géré et financé par une collectivité
Plus en détailstratégique2010 plan du Ministère de la Santé et des Services sociaux
stratégique2010 plan 2015 du Ministère de la Santé et des Services sociaux 2010 2015 du Ministère de la Santé et des Services sociaux plan stratégique Édition La Direction des communications du ministère
Plus en détailLes représentations sociales des juges et des experts concernant le meilleur intérêt de l enfant dont la garde est contestée
Les représentations sociales des juges et des experts concernant le meilleur intérêt de l enfant dont la garde est contestée Elisabeth Godbout Doctorante en service social Université Laval Colloque Autour
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailLe case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers
XIIe Congrès Européen Lausanne, le 22 novembre 2013 Le case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers Cécile Morgan & Patricia Jaunin, Infirmières spécialisées
Plus en détailLES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
Plus en détailUn Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s
Un Pass santé contraception pour les jeunes francilien-ne-s Mardi 26 avril 2011 Lycée Elisa Lemonnier Contacts Presse Emmanuel Georges-Picot 01.53.85.57.33 emmanuel.georges-picot@iledefrance.fr Véronique
Plus en détail