Etalonnage / vérification v balances et des spectrophotomètres. tres. Comment faire un modèle de présentation??? Monday, January 14, 2008
|
|
- Corentin Gauthier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Etalonnage / vérification v des balances et des spectrophotomètres tres 1
2 Définitions Etalonnage (traduction française de calibration) Ensemble des opérations établissant, dans des conditions spécifiées, la relation entre : - les valeurs de la grandeur indiquées par un appareil de mesure ou un système de mesure, ou les valeurs représentées par une mesure matérialisée ou par un matériau de référence, - et les valeurs correspondantes de la grandeur réalisées par des étalons Etalon Mesure matérialisée, appareil de mesure (ampèremètre étalon), matériau de référence (étalon de masse de 1 kg) ou système de mesure destiné à définir, réaliser, conserver ou reproduire une unité ou une ou plusieurs valeurs d une grandeur pour servir de référence. 2
3 Remarque En l absence d étalons raccordés avec des matériaux de référence certifiés (ex : étalon de glucose) : préférer le terme calibrage Matériau ou substance dont une ou plusieurs valeur(s) de la (des) propriété(s) est (sont) suffisamment homogène(s) et bien définie(s) pour permettre de l utiliser pour l étalonnage d un appareil, l évaluation d une méthode de mesure ou l attribution de valeurs aux matériaux et qui est accompagné d un certificat dont une (ou plusieurs) valeur(s) de la (ou des) propriété(s) est (sont certifiée(s) par une procédure qui établit son raccordement à une réalisation exacte de l unité. 3
4 Qu est ce qu un étalonnage? Action permettant d indiquer : les écarts par rapport aux valeurs nominales de l étalon les incertitudes de mesure correspondantes Valeur vraie = valeur mesurée écart. 4
5 Les diverses catégories Comment faire un modèle de présentation??? Étalon national : d étalons Étalon primaire reconnu par une décision nationale, dans un pays, pour servir de base à l'attribution de valeurs aux autres étalons de la grandeur concernée. Étalon secondaire : Étalon dont la valeur est établie par comparaison à un étalon primaire de la même grandeur. Étalon de référence : Étalon, en général de la plus haute qualité métrologique disponible en un lieu donné ou dans une organisation donnée, dont dérivent les mesurages qui y sont faits. Étalon de travail : Étalon qui est utilisé couramment pour étalonner ou contrôler des s mesures matérialisées, des appareils de mesure ou des matériaux de référence. 5
6 Étalon de transfert : Étalon utilisé comme intermédiaire pour comparer entre eux des étalons de référence : étalon, en général de la plus haute qualité 6
7 La chaîne d étalonnage Laboratoires nationaux de métrologie (LNM) et laboratoires associés au BNM - détention des étalons primaires (étalons de référence nationaux) - développement, amélioration, maintien et exploitation des étalons de référence et de transfert (1 ère étape de la chaîne d étalonnage) Laboratoires d étalonnage accrédités COFRAC (ou non accrédités) - détention d étalons de référence dits étalons secondaires (étalonnés par rapport aux étalons primaires) - raccordement des instruments de mesure des laboratoires, des entreprises aux étalons nationaux Laboratoires de métrologie d entreprise - détention d étalons de référence de bonne qualité métrologique étalonnés par rapport aux étalons de référence - raccordement des instruments de mesure des laboratoires, des entreprises aux étalons nationaux laboratoires, des entreprises aux étalons nationaux 7
8 1- Etalonnage / vérification des balances 8
9 Documents utiles «Exigences spécifiques relatives à l étalonnage d instruments de pesage..à fonctionnement non automatique» à télécharger sur le site du COFRAC (rubrique étalonnage) Site http//ibph.pharma.univ- montp1.fr/equalité equalité/documents/ /documents/fiabilit%e9 %20G%20Calchera%20Verification_balan ce_1pdf 9
10 Documents utiles (suite) Vérification des instruments de pesage à fonctionnement non automatique : fascicule documentaire FDX (publication décembre 1995) Etalonnage des instruments de pesage à fonctionnement non automatique : fascicule documentaire FDX (publication décembre 1995) 10
11 Un Comment faire un modèle de présentation??? peu de vocabulaire Portée maximale (Max) Valeur de pesage maximale, compte non tenu de la capacité additive de la tare Portée minimale (Min) Valeur de la charge en dessous de laquelle les pesées peuvent être entachées d une erreur trop importante Echelon réel d Différence entre les valeurs correspondant à deux repères consécutifs pour une indication analogique ou la différence entre deux indications consécutives pour une indication numérique Echelon de vérification e Valeur exprimée, en unités légales de masse, de l échelon réel ou o conventionnel Utilisation pour la classification et la vérification de la balance e = 10. d pour les balances électroniques Nombre d échelons de vérification n Quotient de la portée maximale par l échelon de vérification n = Max / e 11
12 Intérêt de l étalonnage - Comparer la valeur de la grandeur indiquée par la balance et la valeur correspondante de masses étalons et donc déterminer des erreurs d indications de l instrument de pesage et des incertitudes associées - Déterminer l incertitude de l instrument de pesage en fonction des valeurs des masses pesées Intérêt de la vérification S assurer que les écarts entre les valeurs indiquées par un appareil et les valeurs connues correspondantes d une grandeur mesurée sont tous inférieurs aux erreurs maximales tolérées (EMT) 12
13 - L'étalonnage permet de quantifier l'erreur de la balance en un point, ou sur toute son étendue de mesure ( courbe d'étalonnage ), pour appliquer des corrections. => Maîtrise du processus de mesure - Mise en conformité dans le cadre d'une démarche qualité ( ISO , ISO 17025, ISO ) 13
14 Caractéristique des masses Comment faire un modèle présentation??? étalons (servant à l étalonnage et à la vérification) Masses étalons conformes à la recommandation N 33 de l Office International de Métrologie Légale de masse volumique de 8,000 g/ml (8 000 kg/m 3 ),, à température de 20 C et dans un air ambiant de masse volumique conventionnellement choisie à 1,2 kg/m 3. Conséquence : la valeur de mesure brute affichée par une balance n est pas exactement la masse vraie,, mais une masse que l on appelle la masse conventionnelle du corps pesé. 14
15 Calcul de la masse vraie à partir de la masse conventionnelle mesurée à condition de connaître la masse volumique du produit à peser, la masse volumique de l air m pour les masses (X = corps à peser) et ρ pour les masses volumiques (air ; étalon). 15
16 Écarts entre mas s e vraie et mas s e conventionnelle pour des pes ées d'un corps X de mas s e volumique donnée On suppose que les étalonnages utilisent des masses de masse volumique conventionnelle (8 000 kg/m 3 ) et que la température est constante (20 C) avec une masse volumique d'air ambiant à 1,2 kg/m 3. masse volumique du corps à peser en masse conventionnelle obtenue masse vraie kg/m ,0000 1, ,0000 1, ,0000 1, ,0000 1, , , , , , , En pratique, la correction du biais n'es t utile que s i ρ X es t très éloigné de kg/m 3 et pour des incertitudes relatives meilleures que
17 Les classes de tolérance des masses d étalonnage Les classes Comment de faire un tolérance modèle de présentation des masses??? 7 classes définies par l organisation internationale de métrologie légale (OIML) : E1 :classe la plus haute. Ce sont les poids étalons, utilisés surtout ut par les instituts de la métrologie. Ils assurent la traçabilité entre les étalons de masse nationaux et servent pour la vérification des poids de classe E2 et inférieures. E2 : classe des poids de calibrage les plus précis, adaptés aux balances ances d analyse haute résolution(i). Ils servent aussi pour la vérification des poids F1. F1 : poids de calibrage pour les balances d analyse (I) et pour la vérification des poids F2. F2 : poids de calibrage pour les balances de très haute précision (II)( et pour la vérification des poids M1 et M2. M1 : poids de précision utilisés pour des balances de précision (II) ) et pour la vérification des poids M2 M2 : poids de calibrage pour les balances de classe (III) et pour la l vérification des poids M3. 17 M3 : poids commerciaux pour les balances de classe (III) et (IV).
18 Tous les poids de contrôle doivent être conformes aux normes ISO par leurs qualités métrologiques et par leur traçabilité,, et sont livrés avec un certificat du Laboratoire National d Essai et du Laboratoire de Métrologie d Ivry 18
19 Les balances de précision possèdent une touche de «calibration» : touche qui permet un ajustage automatique (et non un étalonnage) permettant : - de s affranchir des variations de masse volumique de l air de la température.. - donc de mettre la balance dans ces conditions d utilisation optimale Conséquences Nécessité de réaliser chaque jour,, en début d emploi, cet ajustage interne Opération destinée à amener un instrument à un état de fonctionnement correspondant à son utilisation 19
20 Exigences Comment des faire un Bonnes modèle de présentation pratiques??? et des normes Outre la «calibration» interne, - réalisation de contrôles ponctuels quotidiens - réalisation d une vérification au moins une fois par an 20
21 Contrôle ponctuel quotidien Démarche Mesurage de 2 étalons de travail dont les masses sont voisines de celles déterminées au cours des analyses réalisées avec enregistrement des résultats sur une carte graphique de contrôle sur laquelle sont reportées les EMT Remarque Valeurs extrêmes d une erreur tolérée par un règlement ou une spécification pour un instrument de mesure donné. Nécessité d étalonner, une fois par an, les étalons de référence en utilisant une balance vérifiée étalons de référence en utilisant une balance 21
22 Exemples d écarts maxima tolérés Comment faire un modèle de présentation??? pour l indication des masses étalons de classe E2 (valeurs définies dans la recommandation R 111 de l OIML OIML) Valeur nominale (g) EMT (en mg) /- 0,030 +/- 0, /-0, /-0,10 +/- 0, 15 22
23 Vérification Comment faire un modèle annuelle de présentation??? Qu est ce que la vérification? Définition : «confirmation par examen et apport de preuves tangibles que les exigences spécifiées ont été satisfaites» But de la vérification Ne cherche pas une connaissance intrinsèque de la balance Assure que les écarts entre les valeurs indiquées par la balance et les valeurs connues correspondantes des masses étalons utilisées sont tous inférieurs aux erreurs maximales tolérées Permet de déclarer si la balance est conforme ou non 23
24 Vérification de l'appareil de mesure Comment faire un modèle de présentation??? L'appareil répond-il aux spécifications de sa classe? O ui Affectation d'origine N on Réparation Ajustage O ui La réparation est elle possible et avantageuse? N on L'appareil répond-il aux spécifications d'une classe inférieure? O ui Déclassement Nouvelle Affectation Réforme N on Isolement 24
25 Vérification Comment faire un modèle annuelle de présentation :??? caractéristiques vérifiées Fidélité Essai, effectué en premier lieu, servant essentiellement à déterminer un niveau de qualité des indications de la balance et à juger a priori de la suite à donner aux essais. Justesse Connaissance de l erreur de justesse va conduire dans certains cas, à une correction systématique des résultats. un réétalonnage de la balance pour la supprimer si elle est supérieure aux tolérances. Excentration de charge Fluage : dérive sous charge Mobilité (si d>10mg) Aptitude à réagir à de petites variations de charges Aptitude de la balance à fournir des résultats concordants entre la valeur lue (indication de la balance) et la valeur vraie (poids étalon), en modifiant le point d'application d'une même charge sur le plateau. 25
26 Mode opératoire Comment faire de un vérification modèle de présentation de la balance??? : opérations préalables 1. S assurer que la balance est sous tension depuis plus de 30 minutes. m 2. Réaliser un nettoyage minutieux avec les outils appropriés (pinceau, éponge, chiffon...) 3. Utiliser des masses certifiées qui correspondent à la plage d utilisation de la balance que l on veut vérifier et les laisser se stabiliser r dans la pièce où doit être réalisée la vérification. 4. S assurer, pendant la durée de la vérification, que la balance e est dans de bonnes conditions d environnement : absence de courants d air,, de vibrations, de points de chaleur, stabilité du support, horizontalité (bulle de réglage). 5. Les masses doivent être manipulées avec précaution au moyen ded gants «précision». 26
27 Justesse Faire 5 à 10 mesures pour chaque masse étalon sans faire le zéro entre les 6 mesures de la même masse L écart entre la valeur moyenne et la valeur théorique doit être inférieure à l EMT pour la charge en question 27
28 Fidélité Mettre la balance à zéro au début de l essai Réaliser 5 à 10 mesures de deux charges (l une à environ 50% de la charge maxi, l autre proche de la valeur Max) Relever pour chaque pesée la valeur lue Calculer les écarts entre la valeur lue et la valeur vraie Calculer l écart écart-typetype de ces écarts et comparer à l écart écart-typetype toléré fourni par le fabricant 28
29 Travailler avec une masse d environ 1/3 de la portée maximale de la balance est utilisée Procéder à la tare de la balance Excentration Diviser le plateau en 4 parties approximativement égales 3 Positionner la masse choisie (50 g) au centre du plateau (point 1) et tarer à nouveau la balance Réaliser 4 mesures correspondant aux points 2, 3, 4 et 5 du plateau circulaire sans tarer au centre entre 2mesures excentrées. 5 Calculer pour chaque position, l écart entre la valeur de la charge d essai et la valeur lue et comparer à l EMT 29
30 Comment Essai faire un modèle de présentation??? de fluage Mettre la balance à zéro au début de l essai. Choisir une valeur proche de Max. Déposer la charge au centre du plateau. Relever la valeur lue aussitôt après stabilisation, puis à 15 min, puis à 30 min et 4 heures. Calculer l écart entre la valeur obtenue au bout de 15 min et celle obtenue au bout de 30 min. Calculer l écart entre la valeur obtenue immédiatement après le dépôt de la charge et celle obtenue au bout de 30 min. Comparer à l EMT EMT. Si les conditions ne sont pas satisfaites, calculer l écart entre l indication obtenue immédiatement après le dépôt de la charge et celle obtenue au bout de 4 heures. Comparer à l EMT 30 S assurer que la température ne varie pas plus de 2 C pendant la durée de l essai.
31 Retour à zéro Choisir une valeur de charge proche de Max. Appliquer la charge pendant 30 minutes. Enlever la charge. Relever la valeur lue dès la stabilisation. Comparer aux tolérances. EMT 31
32 Exemple de feuille de vérification 32
33 2- Etalonnage / vérification des spectrophotomètres 33
34 Comment Préconisations faire un modèle de présentation??? S assurer que les résultats donnés par le spectrophotomètre correspondent toujours aux spécifications d origine Nécessité de : - disposer des spécifications techniques d origine du spectrophotomètre - disposer des tolérances de test spécifiques à chaque spectrophotomètre Remarque Ces données techniques se trouvent en général dans le manuel d utilisation ou sont disponibles auprès du service après vente. 34
35 Comment Vérification faire un modèle de présentation des??? spectrophotomètres Comment réaliser cette vérification? Possibilité de consulter le document de recommandations OIML pour les spectrophotomètres des laboratoires d analyses médicales A télécharger à
36 Paramètres de base à vérifier L alignement optique L exactitude de longueur d onde L exactitude photométrique La répétabilité photométrique La linéarité de la réponse La lumière parasite 36
37 Vérification de Comment faire un l alignement modèle de présentation??? But optique Vérifier le centrage du faisceau optique S assurer que la forme et la taille du faisceau ne varient pas dans le temps Conséquences d un mauvais alignement optique Moins de lumière sur le monochromateur / l échantillon / le détecteur Plus faible intensité lumineuse / baisse de la sensibilité Effet accentué de la lumière parasite Moyens de vérification Papier photosensible Mire de contrôle 37
38 38
39 2-1- Vérification de l exactitude de la longueur d onde 39
40 Vérification Comment faire un des modèle de longueurs présentation??? d onde Causes de l inexactitude des longueurs d onde Défaut du monochromateur ou mauvaise graduation de l échelle de lecture (défauts inhérents à l appareil) Absence de concordance entre le monochromateur et le système de lecture des longueurs d onde (erreur systématique) Manque de répétabilité des longueurs d onde (usure le plus souvent) 40
41 Vérification de l exactitude de longueur d onde But Filtres présentant des pics étroits à plusieurs longueurs d onde caractéristiques S assurer que la longueur d onde réelle correspond à la longueur d onde affichée (Si 560 nm est affiché est on réellement à 560nm?) Moyens Filtres étalons solides dans des verres - filtres au Didymium - Filtres d oxyde d holmium Filtres étalons liquides - filtres d Holmium (solutions de nitrate, perchlorate..) 41
42 Principaux Comment faire un modèle maxima de présentation??? d absorption Verres à l oxyde d holmium Solution de nitrate d holmium à 50 g/l 333,7 360,9 418,4 453,2 536,2 637,5 345,5 361,5 416,3 450,8 485,3 536,4 641,1 42
43 Vérification de la répétabilité des longueurs d onde Utilisation des mêmes moyens que pour la vérification de l exactitude mais avec répétition des mesures Calcul de la moyenne et de l écart écart-typetype Vérification que l écart écart-typetype est inférieur à 5nm 43
44 44
45 45
46 46
47 47
48 2-2- Vérification de l exactitude photométrique (vérification des absorbances) 48
49 Vérification des absorbances Causes de l inexactitude des absorbances Mauvaise concordance entre le système de détection et le système de transcription Inexactitude du parcours optique de la cuve de mesure Défaut du système de positionnement de la cuve (manque de perpendicularité par rapport au faisceau circulant) Présence de lumière parasite Instabilité du courant électrique 49
50 Vérification Comment faire un de modèle l exactitude présentation??? But photométrique Filtres de densité affichant une absorbance spécifique à une longueur d onde donnée Moyens S assurer que l absorbance affichée correspond à l absorbance mesurée Filtres étalons solides Filtres de verres neutres Filtres étalons liquides Dichromate de potassium Sulfate de cobalt et d ammonium Nitrate de nickel 50
51 Solution Concentration Solvant Max d absorption Absorbance Dichromate de potassium 50 mg / L H 2 SO 4 0,01 N 350 0,535 Sulfate de cobalt et d ammonium 0,0250 M H 2 SO 4 1% 510 0,123 Nitrate de nickel 0,0200 M HNO 3 0,1 N ,940 0,380 51
52 Préparation facile des diverses solutions : - utilisation de composés très purs, séchés à l étuve, pesés avec précision - utilisation d une verrerie de qualité - respect de la composition des solvants. Mesure des absorbances contre le solvant 52
53 Vérification Comment faire un de modèle l exactitude présentation??? photométrique: précaution La mesure d absorbance doit être indépendante de l erreur liée à la longueur d onde Conséquence : le signal spectral d un filtre ou d une solution de vérification est, à la longueur d onde de contrôle, plat ou un pic à large bande 53
54 54
55 Répétabilité des absorbances Mesurer l absorbance d une des solutions plusieurs fois consécutives. Calculer la moyenne des valeurs trouvées et l écart écart-typetype 55
56 2-3- Vérification de la linéarité de la réponse 56
57 Mesurer l absorbance de chaque Comment faire un modèle de présentation??? solution Choisir une solution utilisable pour la vérification de l exactitude de l absorbance en choisissant une gamme de concentration croissante Solution de dichromate de potassium de 50 à 250 mg / L Solution de paranitrophénol de 5 à 30 mg / dans NaOH à 0,02 mol/l à 405 nm Solution de nitrate de nickel de 0,1 à 0,4 mol /L à 300, 395, 660, 720 nm Solution de nitrate de cobalt de 0,05 à 0,2 mol /L à 510, 302 «et 264 nm Mesurer l absorbance de chaque solution Vérifier l existence d une relation linéaire 57
58 2-4- Mesure de la lumière parasite 58
59 Qu est ce? Comment faire un modèle de présentation??? La lumière parasite Lumière autre que celle émise par le monochromateur et qui atteint le détecteur Origines Imperfections sur le réseau (rayures ou poussières diffusant la lumière) Réflexion ou diffraction de la lumière par des particules de poussière Fuites de lumière provenant de la source ou de la lumière externe dues à un manque d étanchéité du spectrophotomètre. 59
60 Ses effets Comment faire un modèle de présentation??? La lumière parasite Réduction de la relation de linéarité entre concentration et absorbance Limitation du maximum d absorbance pouvant être mesuré 60
61 Effet de Comment la faire lumière un modèle de parasite présentation??? sur les mesures 61
62 62
63 Quand? Recherche Comment faire un modèle de de lumière présentation??? parasite Manque de linéarité détectée lors du test de linéarité Principe Mesure de l absorbance de solutions qui, théoriquement, absorbent entièrement la lumière incidente à une longueur d onde sélectionnée : l intensité de la lumière transmise est directement proportionnelle à l importance de la lumière parasite présente 63
64 Remarque En principe : constatation d une absence totale de la lumière parasite En pratique : constatation d une transmission de lumière parasite inférieure à 0,5 % 64
65 Vérification du niveau de lumière Comment faire un modèle de présentation??? parasite Méthode Utilisation de filtre ou de solution de coupure transmettant la lumière au dessus d une certaine longueur d onde et bloquant toute lumière au dessous Toute mesure de transmittance à cette longueur d onde est due à la lumière parasite, l intensité de la lumière transmise est donc directement proportionnelle à l importance de la lumière parasite présente Matériel utilisé Filtres de coupure solides Filtres de coupures en solution Chlorure de potassium Bromure de sodium Iodure de potassium ou de sodium Nitrite de sodium Acétone 65
66 Exemple Solutions Concentration g/l Longueur d onde Transmittance % KCl X1 NaBr X2 NaI,H 2 O X3 Acétone pur 322 X4 66
67 Quelques adresses utiles pour Comment faire un modèle de présentation??? l achat d étalons utiles en spectrophotométrie Helma France 36 Rue de Meaux Paris contact@helma helma-france.fr Jasco France Zone de la Bouvre 17 Rue de Gutenberg Bougenais O Biochrom France 21 Rue du Jeu de l Arc Montmorency
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détail101 Adoptée : 12 mai 1981
LIGNE DIRECTRICE DE L OCDE POUR LES ESSAIS DE PRODUITS CHIMIQUES 101 Adoptée : 12 mai 1981 «Spectres d'absorption UV-VIS» (Méthode spectrophotométrique) 1. I N T R O D U C T I O N I n f o r m a t i o n
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailComment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4
Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailMallette Métrologie Contrôle des spectrophotomètres
1 MATERIEL Mallette Métrologie 2 PRINCIPE Le présent mode opératoire vise à décrire les différentes étapes à suivre afin de : - Vérifier l exactitude de la longueur d onde de 250 à 650 nm sous condition
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailClasse : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation. d une mesure. Titre : mesure de concentration par spectrophotométrie
Classe : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation THEME du programme : mesures et incertitudes de mesures Sous-thème : métrologie, incertitudes Extrait du BOEN NOTIONS ET CONTENUS Mesures et
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailATTESTATION D ACCREDITATION. N 2-1528 rév. 2
Convention N 1478 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 2-1528 rév. 2 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailSartorius ME Seuls les résultats comptent
Sartorius ME Seuls les résultats comptent La rapidité est une des qualités primordiales de la balance Sartorius ME. Des résultats de mesure stables avec cinq décimales en huit secondes. Dans sa catégorie,
Plus en détailDemande d attestation de capacité sur www.datafluides.fr Guide de prise en main
Demande d attestation de capacité sur www.datafluides.fr Guide de prise en main 2 LES ETAPES DE VOTRE DEMANDE D ATTESTATION DE CAPACITE AVEC LE CEMAFROID Transmettre le bon de commande complété avec le
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailNombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN
Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailTPG 12 - Spectrophotométrie
TPG 12 - Spectrophotométrie Travail par binôme Objectif : découvrir les conditions de validité et les utilisations possibles de la loi de Beer-Lambert I- Tracé de la rosace des couleurs Choisir un des
Plus en détailMasse volumique et densité relative à 20 C
Méthode OIV-MA-AS2-01A Méthodes Type I Masse volumique et densité relative à 20 C 1. Définition La masse volumique est le quotient de la masse d'un certain volume de vin ou de moût à 20 C par ce volume.
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailIII.2 SPECTROPHOTOMÈTRES
instrumentation III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES Spectrophotomètres UV/visibles 2 à 4 Spectrophotomètres visibles 5 à 7 0100100100100100011100110100100100100100 110100100100100100 011100110100100100100100 00100100100100011100110100100100100100
Plus en détailFIOLAX. SCHOTT Instruments Solutions. Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision.
SCHOTT Instruments Solutions Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision. L exactitude de la mesure de ph dépend de l exactitude de l étalonnage.
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détailPRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240
I.N.S.. DE ROUEN Laboratoire de Chimie nalytique U.V. N PRISE EN MIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMDZU U.V. 240. OBJECTIFS - Choix des paramètres nécessaires pour un tracé de spectre. - Utilisation
Plus en détailLA MESURE AU SERVICE DE L INDUSTRIE,
M é t r o l o g i e É TALONNAGE V É RIFICATION CERTIFICATION FORMATION LA MESURE AU SERVICE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE & DE LA SÉCURITÉ LE PROGRÈS, UNE PASSION À PARTAGER Des ré ponses pour l industrie
Plus en détailGAMME UVILINE 9100 & 9400
GAMME UVILINE 9100 & 9400 SPECTROPHOTOMÈTRES UV & VISIBLE NOUVEAU Sipper avec effet peltier Une combinaison intelligente d innovations EXCELLENTE PRÉCISION DE MESURE GRÂCE À UNE OPTIQUE HAUT DE GAMME Gain
Plus en détailEliminateur d'électricité statique interne
Balances Micros et Analytiques Eliminateur d'électricité statique interne (sans mouvement d'air!) ISO 9000 CER TIFIED Pesage micro de qualité : résolvez les problèmes d'électricité statique L'électricité
Plus en détailSpectrophotométrie. Spectrophotomètre CCD2. Réf : 701 606. Version 1.0. Français p 2. Version : 4105
Réf : Version 1.0 Français p 2 Version : 4105 Spectrophotomètre CCD2 1 Avant-propos et description Chère cliente, cher client, nous vous félicitons d'avoir choisi notre Spectrophotomètre CCD2 pour réaliser
Plus en détailSolutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables
Solutions laboratoires Solutions pour les laboratoires Tampons ph Étalons de conductivité Solutions de mesure redox et O 2 dissous Solutions de mesure ISE Solutions de maintenance Solutions pour le calibrage
Plus en détailD ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs
D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailSVE 222 & PCL-442. Fascicule de Travaux Pratiques
SVE 222 & PCL-442 Fascicule de Travaux Pratiques 2014-2015 Institut Supérieur de l Education et de la Formation Continue Bassem Jamoussi & Radhouane Chakroun 1 Sommaire PCL 442/SVE222 - TP N 1 : Etude
Plus en détailDETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE
P1S2 Chimie ACTIVITE n 5 DETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE Le colorant «bleu brillant FCF», ou E133, est un colorant artificiel (de formule C 37 H 34 N 2 Na 2 O 9 S 3 ) qui a longtemps
Plus en détailObserver TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES
OBJECTIFS CELERITE DES ONDES SONORES Mesurer la célérité des ondes sonores dans l'air, à température ambiante. Utilisation d un oscilloscope en mode numérique Exploitation de l acquisition par régressif.
Plus en détailTechnique de mesure de particules dans la pratique. De la théorie à l application.
Technique de mesure de particules dans la pratique. De la théorie à l application. Page 3 Page 3 Page 3 Page 4 Page 4 1 Introduction au comptage optique de particules 1.1 Principes physiques 1.1.1 Occultation
Plus en détailPOLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE
BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailGAMME UviLine 9100 & 9400
Agro-alimentaire/Biotechnologie/Enseignement/Recherche/Santé/Industrie GAMME UviLine 9100 & 9400 Spectrophotomètres UV & Visible Une combinaison intelligente d innovations n Excellente précision de mesure
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailQualité de l'eau distribuée en ville basse du Havre et ventes des médicaments utilisés pour le traitement des gastro-entérites
Santé environnement Qualité de l'eau distribuée en ville basse du Havre et ventes des médicaments utilisés pour le traitement des gastro-entérites 1997-2000 : une étude écologique temporelle Annexe : qualité
Plus en détailLe choix professionnel pour les applications analytiques!
Ohaus Discovery Balances Semi-Micro et Analytique Discovery Semi-Micro and Analytical Balances Le choix professionnel pour les applications analytiques! La NOUVELLE gamme de balances semi-micro et analytiques
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailWhitepaper. La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur. Système de régulation. Réacteur. de température
Whitepaper Mettre en température économiquement La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur La mise en température de réacteur dans les laboratoires et les unités pilotes de l industrie
Plus en détailUne nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie
Une nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie Par spectrophotométrie on peut : - déterminer la concentration d'une espèce chimique colorée en solution à partir de l'absorbance. - suivre la cinétique
Plus en détailSolar Heating System Factsheet (SHSF) - Dossier guide
Solar eating System Factsheet (SSF) - Dossier guide Les Factsheets (feuille de données) publiés sur la page Internet de SPF résument les résultats des tests des systèmes solaires pour la production d eau
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailSpectrophotomètres. Spectrophotomètres modèle 6700. Les spectrophotomètres Série 67 : 3 modèles uniques
Spectrophotomètres Les spectrophotomètres Série 67 : 3 modèles uniques Forte de son expérience en spectrophotométrie, la société Jenway a mis au point une série de spectrophotomètres nouvelle génération.
Plus en détailAcquisition et conditionnement de l information Les capteurs
Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailREF01 Référentiel de labellisation des laboratoires de recherche_v3
Introduction Le présent référentiel de labellisation est destiné aux laboratoires qui souhaitent mettre en place un dispositif de maîtrise de la qualité des mesures. La norme ISO 9001 contient essentiellement
Plus en détailLA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?
LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance
Plus en détailSpectrophotomètres. www.jenway.com
Imlab Oude Vijvers 1 B-3370 Boutersem Spectrophotomètres www.jenway.com Bibby Scientific France - ZI du Rocher Vert - BP 79-77793 Nemours Cedex Tél. : 01 64 45 13 13 - Fax : 01 64 45 13 00 - email : bsf@bibby-scientific.fr
Plus en détailDétection de fuite hélium Aspect Mesure
Détection de fuite hélium Aspect Mesure Préparé par : F.Rouveyre Date : 24 Octobre 2012 La détection de fuite La détection de fuite par spectrométrie de masse à gaz traceur a plus de 50 ans. Même si cette
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détail33-Dosage des composés phénoliques
33-Dosage des composés phénoliques Attention : cette manip a été utilisée et mise au point pour un diplôme (Kayumba A., 2001) et n a plus été utilisée depuis au sein du labo. I. Principes Les composés
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailPortier Vidéo Surveillance
Portier Vidéo Surveillance 1 Réf. 102212 Notice d installation et d utilisation INTRODUCTION : Ce vidéophone est un appareil qui associe un interphone et un système vidéo d une grande facilité d installation
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailUviLight XTW Spectrophotomètre UV-Vis
Enseignement Agro-alimentaire Sciences Chimie Recherche Laboratoires de référence UviLight XTW Spectrophotomètre UV-Vis Accédez aux meilleures performances grâce à des spécificités optiques supérieures
Plus en détailBANC D ETALONNAGE EN TEMPERATURE
BANC D ETALONNAGE EN TEMPERATURE Nicolas Lavenant¹, Martine Ollitrault², Yannick Hamon³, Nicolas Gilliet³, Yannick Fauvel ³, Mickael Faucheux ³ ¹ CNRS/ Université UMR6118 Géosciences (Beaulieu Université
Plus en détailDP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur
DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur de données Les nouveaux appareils DP 500/ DP 510 sont les appareils de service mobiles idéaux pour mesure le point de rosée
Plus en détailMeine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777)
1ère S Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) Objectif : pratiquer une démarche expérimentale pour déterminer la concentration d une
Plus en détailMETHODES SPECTROMETRIQUES D'ANALYSE ET DE CARACTERISATION
METHO SPECTROMETRIQUES D'ANALYSE ET DE CARACTERISATION SPECTROPHOTOMETRIE UV-VIS Page 2 Page 3 SOMMAIRE 1. DOMAINES D APPLICATIONS... 5 1.1. LA COMPLÉMENTARITÉ AVEC LA SPECTROMÉTRIE IR... 5 1.2. LES LIMITES
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailFiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson
Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses
Plus en détailTP 3 diffusion à travers une membrane
TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailMoisture Analyzers. Dessicateur. http://www.aandd.jp
Moisture Analyzers MS-70/MX-50 MF-50/ML-50 Dessicateur http://www.aandd.jp Sélectionnez le d application Tes SRA Dessicateurs A&D MS-70/MX-5 MS -70/MX-5 SHS Un chauffage rapide et uniforme grâce à une
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailTrépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g.
PHYSQ 130: Hooke 1 LOI DE HOOKE: CAS DU RESSORT 1 Introduction La loi de Hooke est fondamentale dans l étude du mouvement oscillatoire. Elle est utilisée, entre autres, dans les théories décrivant les
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailLa métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart
La métrologie au laboratoire vigitemp 10 centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 Base de données Utilisateur Principe général
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailTITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes
TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailLes moments de force. Ci-contre, un schéma du submersible MIR où l on voit les bras articulés pour la récolte d échantillons [ 1 ]
Les moments de force Les submersibles Mir peuvent plonger à 6 000 mètres, rester en immersion une vingtaine d heures et abriter 3 personnes (le pilote et deux observateurs), dans une sphère pressurisée
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détailChapitre 13 Numérisation de l information
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................
Plus en détailUne solution parfaitement adaptée
INFORMATIONS ANALYSE EN CONTINU DES NITRATES NISE SC / NITRATAX SC NOUVEAU! ME SU RE DES N I T R AT ES EN LIGNE Une solution parfaitement adaptée Sondes de nitrate utilisant les technologies UV et électrodes
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailTransmetteur de pression de haute qualité pour applications industrielles Type S-10
Mesure électronique de pression Transmetteur de pression de haute qualité pour applications industrielles Type S-10 Fiche technique WIKA PE 81.01 pour plus d'agréments, voir page 4 Applications Construction
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailLE SPECTRE D ABSORPTION DES PIGMENTS CHLOROPHYLLIENS
Fiche sujet-élève Les végétaux chlorophylliens collectent l énergie lumineuse grâce à différents pigments foliaires que l on peut classer en deux catégories : - les chlorophylles a et b d une part, - les
Plus en détailBleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation
TP Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation Règles de sécurité Blouse, lunettes de protection, pas de lentilles de contact, cheveux longs attachés. Toutes les solutions aqueuses seront jetées
Plus en détailLa sécurité physique et environnementale
I. Qu est ce que la sécurité physique? "Il ne sert à rien de dresser une ligne Maginot logique si n'importe qui peut entrer dans la salle serveurs par la fenêtre " (Christian Pollefoort, consultant en
Plus en détail