À RETENIR CETTE ANNEE
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- Antoinette Gaudet
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1 BSV n 27 EDITION BILAN - Octobre 2018 À RETENIR CETTE ANNEE Bilan météo p 3 Phénologie. p 4-5 Tous arbres fruitiers... p6 Acarien : des populations d acariens rouges et d acariens jaunes ont été localement élevées. Les conditions sèches de l été leur ont été particulièrement favorables. Cochenilles rouges du poirier : des dépérissements ont été localement observés Drosophila suzukii : le niveau de capture est resté globalement faible durant toute la saison. A partir du mois de septembre les populations ont commencé à augmenter en raison de la présence de nombreux fruits en sur-maturité sur les parcelles. Quelques dégâts ont été observés sur les parcelles de framboises. Pas de dégâts observés sur les autres cultures suivies. Xylébores : le vol a été de faible intensité. Un premier pic de vol a eu lieu courant avril puis un second (plus faible) courant mai. Monilia fleurs : très peu de dégâts y compris sur cerises acides. Monilia fruits : dégâts hétérogènes selon les parcelles, certaines parcelles de cerises douces ont présenté de nombreux dégâts en raison des conditions pluvieuses du mois de mai. Cerises p 12 Mouche de la cerise : vol faible. Peu de dégâts Prunes... p 13 Hoplocampes : pic de vol faible sur le réseau. Des parcelles hors réseau ont présenté de forts dégâts. Carpocapse des prunes : le vol a débuté assez tôt en raison des conditions météos favorables fin avril. Le second pic de vol a été plus intense. Les dégâts ont été plutôt faibles. Pucerons : les populations de pucerons ont été plus faibles cette année. Quelques dégâts ont été observés sur jeunes rameaux. Criblure : Des dégâts parfois importants ont été visibles sur feuilles. Du corynéum sur fruit a été également visible sur certains secteurs. Tavelure : des taches sur fruits ont été observées dès mi-juin
2 Pommes et poires p15 Tavelure : nombreux risques ayant entrainé des contaminations importantes sur certaines parcelles. Pucerons lanigères : le développement de ces pucerons a été faible cette année. Du parasitage par l auxiliaire Aphelinus mali a été également observé. Carpocapse des pommes : le vol a été plutôt faible. Peu de dégâts ont été observés. Remerciements Le comité de rédaction tient à remercier tous les arboriculteurs professionnels et amateurs qui par leurs observations, leurs remarques et leurs précisions ont participé à l élaboration des BSV arboriculture. Merci également aux observateurs qui ont participé au suivi carpocapses et hoplocampes. Pour la prochaine campagne n hésitez pas à faire de même : toute information complémentaire utile à la profession est la bienvenue! BSV n 27 P.2
3 mm Température ( C) Bilan météo Les bilans météorologiques sont effectués à partir des données enregistrées sur la station de Lucey (54) depuis 1993 et jusqu au 30 septembre ,8 2,0 3,2-0,5 6,3 4,7 12,9 9,8 15,8 14,0 18,7 17,5 Température moyenne historique (1993 à 2017) Température moyenne en 2018 (au 30/09) Température moyenne oct-déc ,4 19,5 20,3 18,8 16,0 14,5 10,5 11,6 5,9 5,3 3,0 3,6-5 Figure 1 : Bilan des températures d octobre 2017 à septembre 2018 par rapport aux températures historiques L année 2018 a été marquée par des températures supérieures aux moyennes de saison. Cela a été particulièrement le cas en début d hiver (décembre 2017 et janvier 2018) et d avril à septembre. Les mois de février et de mars ont quant à eux été plus froids que la moyenne ,5 Pluviométrie moyenne (1993 à 2017) Pluviométrie 2018 (au 30/09) Pluviométrie oct-déc ,5 92, ,5 41,0 36, , ,0 37, ,5 83,5 80,5 0 Figure 2 : Bilan de pluviométrie d octobre 2017 à septembre 2018 BSV n 27 P.3
4 La pluviométrie de la fin d année 2017 a été plutôt élevée à l exception du mois d octobre qui a été plus sec que la moyenne. En 2018, des périodes de faible pluviométrie ont été enregistrées de février à avril, puis de juin à septembre. Seuls les mois de janvier et de mai ont une pluviométrie supérieure aux moyennes mensuelles. Durant la saison, plusieurs épisodes orageux violents se sont abattus sur la Lorraine. Des chutes de grêle ont été enregistrées fin avril, notamment sur le secteur Messin. Ces dernières ont entrainé des dégâts sur fruits à la récolte principalement sur mirabelle. Les parcelles de pommes n ont pas été touchées car elles étaient en fin de floraison au moment de l épisode de grêle. En revanche des parcelles de poires (hors réseau) plus avancées ont présenté jusqu à 100% de jeunes fruits touchés. De forte chute de grêle ont aussi eu lieu dans les côtes de Meuse, le 7 août, sur le secteur de Buxières sous les côtes et le 9 août à Combres sous les côtes. Jeunes poires blessées par la grêle, observées le 30 avril 2018 (M.Bigeard- Demange) BSV n 27 P.4
5 Phénologie Mirabelle Stade A / B Début de gonflement Stade B / B+ Bourgeons gonflés Début de stade C Eclatement des bourgeons Stade C (boutons verts) à D (boutons Blancs) 21 Mars 28 Mars 03 Avril 10 Avril Stade D à F Fleurs ouvertes Stade G Fin de chute des pétales Stade I Chute des collerettes Stade J Grossissement du fruit 16 Avril 23 Avril 30 Avril 7 Mai - 14 Mai Les conditions fraîches des mois de février et mars ont entrainé un retard de végétation qui a toutefois été rattrapé ensuite. La floraison a été régulière sur l ensemble des parcelles suivies. Les conditions de floraison ont été optimales et ont permis une bonne pollinisation et un bon accrochage des fruits. Les conditions pluvieuses du mois de mai ont entraîné un grand nombre de période de risque en tavelure, ainsi que des contaminations parfois importantes selon les secteurs. BSV n 27 P.5
6 Pomme Stade B Début de gonflement Stade B / Début de C Gonflement Stade C3 à D3 (Séparation des feuilles) Stade D3 (séparation des feuilles) à E (boutons roses) 21 Mars 28 Mars 11 Avril 16 Avril Stade F80 (80% de floraison) à début de G (début de chute des pétales) Stade G Chute des pétales Stade H Chute des derniers pétales Stade I Nouaison 23 avril 30 Avril 30 Avril-7 Mai 7 Mai-14 Mai Stade I Grossissement du fruit 14 Mai-21 mai BSV n 27 P.6
7 Tous fruitiers 1 Acariens a. Acariens rouges (Panonychus ulmi) Le taux de bourgeons occupés par des œufs d acariens rouges a été assez faible lors des prognoses de fin d hiver. Aucune parcelle du réseau ne dépassait le seuil de risque fixé à 40% de bourgeons porteurs de plus de 10 œufs. Seules 3 parcelles présentaient 2 à 4% de bourgeons occupés avec plus de 10 œufs d acariens. L éclosion des acariens rouges a débuté mi- avril. Les adultes ont été observés une semaine plus tard (voir photo en bas de page). Seule une parcelle de pommes (à fort historique en acariens) a dépassé le seuil de risque durant la saison. Les conditions météos sèches et chaudes ont favorisé leur développement tout au long de l été. Des feuilles à l aspect bronzé ont été visibles durant la saison malgré la présence de nombreux acariens auxiliaires sur la face inférieure des feuilles. Sur cette parcelle, leur présence n a pas permis de réguler la population d acariens ravageurs. Un développement d acariens rouges a également été observé peu de temps avant la récolte sur une parcelle de mirabelliers. Rappel des seuils indicatif de risque : Sur base des comptages d œufs hivernaux (5 bourgeons de plus de 2 ans, sur 20 rameaux) - Classe 1 : plus de 60% de bourgeons portant plus de 10 œufs : risque important - Classe 2 : entre 30 et 60% de bourgeons portant plus de 10 œufs : risque modéré - Classe 3 : moins de 30% de bourgeons portant plus de 10 œufs : risque faible Selon les comptages sur feuilles : - <50 % de feuilles occupées : risque faible - >50 % de feuilles occupées : risque fort si moins de 20 % de feuilles occupées par les auxiliaires - >60 % de feuilles occupées : risque fort si moins de 50 % de feuilles occupées par les auxiliaires b. Acariens jaunes tisserands Le développement d acariens jaunes a été faible cette année. Seule une parcelle de pomme du réseau a été touchée, il s agit de la même parcelle que celle touchée par les acariens rouges. Le seuil de risque n a pas été atteint pour cet acarien. Acariens rouges sur feuille de pommier le 23 avril 2018 (FREDON Lorraine - M. CHAMPAGNE) BSV n 27 P.7
8 Mesures prophylactiques : Lutte biologique par conservation : préserver les auxiliaires du verger par une gestion extensive de l enherbement au sein du verger, une lutte chimique aménagée pour la préservation des auxiliaires, un aménagement des habitats pour les favoriser, des bandes fleuries et enherbées, des nichoirs abris et gîtes. Bonne gestion de la fertilisation, de la composition des organes (teneur en sucre) et de la croissance végétative va jouer sur l attractivité de la plante. Un excès de vigueur lié à une fertilisation excessive favorise le développement des acariens rouges. Lâcher d auxiliaires, contre les acariens rouges et jaunes par la réintroduction d acariens prédateurs (phytoseiides) en verger majoritairement Typhlodromus pyri (200 à 300/Ha). Feuille de pommier à aspect bronzé (à droite) et sans aspect bronzé à gauche (observation du 13 août 2018) (FREDON Lorraine M. CHAMPAGNE) 2 Cochenille rouge du poirier (Epidiaspis leperii) Cette cochenille est toujours présente dans les vergers lorrains, elle se développe principalement sur les mirabelliers et quetschiers. Des dépérissements de branches et de charpentières ont encore été visibles cette année sur certaines parcelles du réseau. L essaimage de cette cochenille a eu lieu à la mi-juin. Les branches touchées sont caractéristiques car les feuilles desséchées y restent accrochées durant l hiver suivant la mort de la branche. Rappel des mesures prophylactiques : Eviter d introduire du matériel végétal contaminé. Couper et brûler les branches mortes afin de limiter le risque de colonisation de la parcelle. Maintenir une vigueur suffisante des arbres par la taille régulière, une fertilisation adaptée et une bonne gestion de l herbe. Des arbres bien éclairés et taillés favorisent l activité des hyménoptères parasites. La lutte reste difficile notamment en agriculture biologique : Il est possible d effectuer un brossage des troncs à l eau et au savon ou d effectuer un nettoyage haute pression. Le but étant de décoller les boucliers cireux. BSV n 27 P.8
9 T moyenne ( C) mm de pluie 3 Mouche aux ailes tachetées (Drosophila suzukii) Mesures prophylactiques : Voir BSV N 9 Un réseau de piégeage inter-filière (arboriculture, viticulture et petits fruits) a été mis en place pour la 4 ème année afin détecter et quantifier la présence de Drosophila suzukii. Ce ravageur est présent en Lorraine depuis Pour la première fois en 2014 des dégâts importants ont eu lieu en quetsches, petits fruits et raisins. En 2016, pour la première fois des dégâts avaient été observés en cerises et mirabelles. Sur certaines parcelles de cerises douces tardives ou cerise acides non traitées, les dégâts avaient été considérables. Ils étaient très faibles sur mirabelles. En 2017, des dégâts ont été signalés dans les Vosges chez une productrice de myrtilles. En 2018, les captures ont été relativement faibles en comparaison avec les captures des années précédentes. Il semblerait que les conditions météorologiques sèches de l été aient été défavorables à ce ravageur. Le piégeage sur les parcelles de cerise a débuté la semaine 21, les premières captures de drosophiles femelles ont été réalisées dès la semaine suivante. Le niveau de capture est resté faible jusqu à la fin de la récolte. Aucun dégât n a été observé sur les parcelles du réseau. En framboises, les captures sont restées faibles, sauf pour une parcelle sous tunnel où les captures ont augmenté début août. Cette augmentation est certainement due à l irrigation réalisée sur la parcelle et à la présence importante de végétation qui ont offert des conditions favorables pour la drosophile. Des larves ont été visibles dans les fruits à partir de la dernière quinzaine de juillet. En quetsches, les populations ont légèrement augmenté mais sont restées faibles. Aucun dégât n a été signalé à la récolte Suivi des captures de Drosophile suzukii sur la saison 2018 pluie lucey (mm) moyenne femelle moyenne mâle T moyenne médiane total mâles + femelles 40 32,0 30,0 28,0 26,0 24, , ,5 19,1 20,3 16,7 17, ,1 0,5 25,4 25,1 22,0 22,0 21,2 20,2 20,8 15,1 9,5 7, ,1 3 1, , ,75 20,0 14 4,3 18,7 13 6,7 16,5 15 9,1 22,0 20,0 18,0 16,0 17,5 14,0 12,0 10,0 11,6 8,0 6,0 4,0 2,0 - BSV n 27 P.9
10 Nbr captures (cumul sur 7 jours, moyenne des pièges) 4 Xylébores (Anisandrus dispar, Xyleborus saxeseni) Le suivi de ces ravageurs s effectue grâce des pièges chromo-olfactifs rouges avec un attractif à base d alcool éthylique à l éther. Le vol commence généralement mi-mars lorsque les températures de la journée augmentent (15 à 18 C). Le vol a commencé début avril en raison du froid intervenu mi-mars. Le premier pic de vol essentiellement composé de xylébores disparates a eu lieu entre 6 avril et 1 er mai. Le deuxième pic de vol a eu lieu entre le 11 et 21 mai, avec une intensité beaucoup plus faible. Il était composé de xylébores disparates et de saxeseni. Le nombre moyen d insectes capturés (174 en moyenne) cette année était relativement faible par rapport au 5 dernières années de capture (364 à 600 selon les années). Le vol de cette année a été de faible intensité. 250,0 200,0 Evolution du vol de xylébores (toutes espèces) sur le réseau BSV Lorraine 229 moyenne 2011 à , , ,0 0, ,7 1,4 6,7 4, ,7 4, Chenilles défoliatrices Les populations ont été observées à partir de la mi-avril et se sont développées assez rapidement. Le seuil de risque (fixé à 10 % de pousses atteintes) a été atteint pour quatre parcelles du réseau (1 de mirabelles, 1 de quetsches 2 en pommes). Quelques dégâts sur jeunes fruits ont été visibles. 6 Monilia a. Monilia fleur Les conditions sèches de la floraison ont été défavorables au champignon. En cerises, aucun dégât n a été observé sur le réseau même en cerises acides (qui sont pourtant sensibles même en l absence de pluie lors de la floraison). Seuls quelques bouquets floraux ont été touchés en dehors du réseau sur cerises acides, mais le niveau d attaques est resté faible. De rares dégâts ont toutefois été observés sur une parcelle de mirabelles. BSV n 27 P.10
11 b. Monilia fruit Des dégâts importants sur fruits ont été observés sur des parcelles de cerises douces n appartenant pas au réseau. Ces dégâts sont dus aux conditions pluvieuses ayant eu lieu début juin. Des dégâts sont également apparus tardivement sur le réseau (fin juin) mais sont restés faibles sur les parcelles de cerises acides. En mirabelles et quetsches les dégâts sont restés faibles avec en moyenne 1.5 % de fruits touchés à la récolte. En pommes et poires les dégâts sont restés très faibles, en moyenne 0.3% des fruits touchés à la récolte. Mesures prophylactiques : Supprimer les fruits non récoltés avant qu ils ne forment des momies Lors des travaux de taille, supprimer les momies et les rameaux porteurs de chancres afin de réduire l inoculum pour la saison prochaine. BSV n 27 P.11
12 Nb capture moyen (sur 6 pièges) Cerises 1 Mouche de la cerise (Rhagoletis cerasi) Le vol a été assez précoce et d intensité moyenne. Très peu de dégâts à la récolte ont été observés (mais les parcelles ont été traitées en cerise douce et souvent aussi en cerise acide pour protéger également contre la drosophile suzukii, la cerise acide étant peu sensible à la mouche de la cerise) Evolution du vol de la mouche de la cerise Réseau BSV Arboriculture Lorraine Moyenne mai 19-mai 26-mai 02-juin 09-juin 16-juin 23-juin 30-juin 07-juil 14-juil 21-juil 28-juil 2 Pucerons noir du cerisier Les premières colonies ont été observé début mai. Deux parcelles de cerises (1 de cerise acide et 1de cerise douce) du réseau ont présenté jusqu à 28% de rameaux touchés. BSV n 27 P.12
13 Nombre captures moyen 2. Prunes 1 Hoplocampes (Hoplocampa minuta et Hoplocampa flava) 35 Evolution du vol d'hoplocampe des prunes Réseau BSV Arboriculture Lorraine 30 moyenne Début floraison 2017 début floraison Ce suivi s effectue à l aide de pièges chromatiques blancs englués installés juste avant la floraison. Le pic de vol a été plus faible qu en 2017, il est intervenu autour du 30 avril. Les dégâts ont été visibles sur quasi toutes les parcelles du réseau (avec de 1 à 30% dégâts). Des dégâts importants ont été signalés en dehors du réseau. 2 Carpocapse des prunes (Grapholitha funebrana) 160 Evolution du vol de carpocapse du prunier Réseau BSV Arboriculture Lorraine Moyenne BSV n 27 P.13
14 Cette année, le vol a commencé assez tôt : avant le 23 avril. Ce premier vol a été de faible intensité. Le premier pic de vol est intervenu rapidement et a été estimé avec le modèle AREFE au 24 avril. Comme les années précédentes, le vol de première génération a duré jusqu au début du mois de juin. Le vol de deuxième génération a été beaucoup plus intense et a commencé début juillet. Les premières pontes sur jeune fruits ont été observées fin mai et les premiers dégâts ont été observés début juin. De faibles dégâts ont été visibles sur toutes les parcelles du réseau (0.6% à 4% des fruits touchés). Méthode de lutte alternative au chimique : Installer des gites à chauves-souris, les carpocapses adultes sont des papillons de nuit, proies idéales pour les chauves-souris. Il faut placer ces gites de 3 à 4 mètres de hauteur dans les bordures de verger. Confusion sexuelle, le but étant de saturer l atmosphère du verger en phéromones femelles pour empêcher les mâles de localiser les femelles et ainsi limiter les accouplements et les pontes. Attention : il faut une surface minimale d au moins 1 hectare. La confusion est d autant plus efficace que la surface est grande. Pose des diffuseurs avant le premier vol Pose dans le tiers supérieur de l arbre En général renforcement du nombre de diffuseurs sur les bordures (2 fois plus) 3 Pucerons verts (Brachycaudus helichrysi) Les premiers foyers ont été observés fin avril sur le réseau et se sont ensuite rapidement développés. Les attaques ont été moins importantes que les années passées. Une fois la saison plus avancée, quelques dépérissements de pousses et de branches ont été observés mais sont restés relativement faibles. Certains facteurs peuvent favoriser le développement des pucerons Forte végétation induite par la fertilisation azotée Une fertilisation azotée excessive augmente la concentration en acides aminés de la plante, principale ressource en nutriments pour les pucerons. Relations mutualistes avec les fourmis Les fourmis se nourrissent du miellat produit par les pucerons et les protègent contre leurs ennemis en contrepartie. L application de glu autour des troncs peut réguler leur présence. Observation des premières crispations de feuilles suite au piqûres de pucerons (M. CHAMPAGNE - FREDON Lorraine) Perturbation du cycle du puceron L élimination ou le fauchage des hôtes secondaires permet de «casser» le cycle des pucerons. Il est également possible d empêcher le retour des adultes sur les arbres à l automne pour limiter les pontes (pulvérisation d une barrière minérale à base d argile). BSV n 27 P.14
15 4 Criblure (Coryneum beijerinckii) Les premières décolorations liées à la présence de ce champignon ont été visibles à la fin du mois d avril. 5 parcelles de prunes parmi les 15 du réseau ont présenté du Coryneum sur feuilles. L intensité des perforations a été le plus souvent faible (inférieure à 5% de la surface des feuilles touchées). Cependant sur la parcelle du réseau la plus touchée, les intensités d attaques étaient différentes en fonction de la position des feuilles dans l arbre (plus importante sur le bas des branches). Sur cette même parcelle, jusqu à 100% des fruits situé en bas des arbres ont présenté du Coryneum sur fruits à la récolte. Coryneum sur mirabelles (FREDON Lorraine M. CHAMPAGNE) Coryneum sur feuilles (intensité moyenne) observation du 18 juin 2018 (Margaux CHAMPAGNE - FREDON Lorraine) 5 Maladie des pochettes (Taphrina pruni) Les dégâts liés à cette maladie ont été visibles seulement sur une parcelle durant la dernière quinzaine du mois de mai. Les dégâts sont restés faibles et n ont pas dépassé 8% de la parcelle. La pression a été très faible sur la région cette année. 6 Tavelure du mirabellier (Cladosporium carpophilum) Les fruits ont atteint le stade de sensibilité (stade I) fin avril. Les risques de contamination ont été importants durant le mois de mai en raison des périodes de pluies. Secteur Risques moyens Risques élevés Ancy-sur-moselle (57) Crantenoy (54) 9 12 Hattonville (55) 7 18 Lucey (54) Les premières taches de tavelure ont été visibles sur les fruits à partir de mi-juin. Malgré le risque élevé, seulement 3 parcelles de mirabelles du réseau ont été touchées. A la récolte, en moyenne 2.9% des fruits étaient tavelés (dégâts variables suivant les parcelles : de 0 à 11% de fruits touchés). BSV n 27 P.15
16 7 Rouille du prunier (Tranzschelia pruni) Pustules de rouille du prunier sur la face inférieure d une feuille de mirabellier (FREDON Lorraine M. CHAMPAGNE) Jaunissement lié à la rouille du prunier sur la face supérieure d une feuille de prune de prince (observation hors réseau) (FREDON Lorraine M. CHAMPAGNE) Les premières taches de rouille ont été visibles sur le réseau sur une parcelle de mirabelle dès le 20 août. Ces symptômes ont parfois été importants (surtout sur quetsche) et provoqué une chute précoce des feuilles les plus atteintes. Le printemps (surtout le mois de mai, avec ses pluies fréquentes) semble avoir été favorable aux contaminations par cette maladie. BSV n 27 P.16
17 Pommes - poires 1 Tavelure (Venturia inaequalis) Cette année, le suivi au laboratoire réalisé par la FREDON Lorraine a permis de définir la maturité des spores de tavelure au 7 mars A cette date, le stade phénologique de sensibilité n était pas atteint sur pommier et poiriers (stade C C3 en pommier et C3 D sur poiriers). Les contaminations n ont été possibles que plus tardivement, une fois les stades de sensibilité atteints, soit à partir du 26 mars en pommes et du 5 avril en poires. Stades de sensibilité à la tavelure sur pommiers (FREDON Rhône- Alpes) Stades de sensibilité à la tavelure sur poiriers (FREDON Rhône- Alpes) Les premières projections ont eu lieu début avril sur les secteurs de Lucey (54), Hattonville (55) et Crantenoy (54). Des contaminations ont été ensuite enregistrées chaque semaine avec des intensités variables selon les secteurs. Les premières taches de tavelure sur feuilles ont été visibles à partir du 20 mai (BSV n 10). Seules 2 parcelles de pommes sur les 4 du réseau ont présenté des symptômes de tavelure. Les premiers dégâts sur fruits ont été observés début juin. Le pourcentage de fruits touchés à la récolte sur le réseau a été au maximum de 15% pour la parcelle la plus atteinte. Estimation du risque : Il est important d estimer l inoculum à l automne, pour mieux connaitre l état de son verger et raisonner au mieux les traitements pour l année suivante. Méthode d estimation du risque : Sur 100 pousses de l année, à raison de 2 pousses par arbre, les taches de tavelure sur les deux faces des feuilles sont recherchées et comptabilisées dans un tableau : Pousse sans tavelure S Pousses faiblement tavelées F Pousses intensément tavelées I Somme des pousses tavelées F+I Nombre de pousses Catégorie S : pousse sans tache Catégorie F : pousse faiblement tavelée : taches isolées sur la pousse observée Catégorie I : pousse intensément tavelée : taches nombreuses et convergentes BSV n 27 P.17
18 L évaluation de l inoculum se fait comme suit : Somme des pousses tavelées F+I < 20 > 20 Si F>I Inoculum faible Inoculum moyen Si I >F Inoculum moyen Inoculum fort Méthodes prophylactiques : - Gérer la litière foliaire : différentes techniques sont disponibles pour enlever la litière foliaire (= ramasser les feuilles après leur chute) ou accélérer sa dégradation afin de diminuer l inoculum de bio-agresseurs (= broyage des feuilles). Retrait, broyage ou enfouissement des feuilles, à effectuer après la fin de chute des feuilles, en évitant les périodes humides (difficultés pour enlever les feuilles). Un broyeur à couteaux (mieux que les marteaux) : permet de broyer finement les feuilles sur l inter-rang (NB : intéressant en jour de gel = meilleur broyage). Application d urée (non utilisable en agriculture biologique), à effectuer au premier tiers de la chute des feuilles ou au printemps juste avant le débourrement. - Supprimer les branches basses et les hautes herbes. - Privilégier la plantation de variétés tolérantes ou résistantes. 2 Carpocapses des pommes (Cydia pomonella) Nombre de captures moyen 30 Evolution du vol de carpocapse des pommes en Lorraine Réseau BSV Lorraine BSV n 27 P.18
19 Le suivi du vol du carpocapse a commencé mi-avril. Le premier vol a commencé début mai et s est poursuivi durant le mois de mai. Le premier vol est resté relativement faible par rapport aux années précédentes. Les températures crépusculaires ont été très favorables aux papillons à partir de mi-juin (supérieur à 15 C). Les premiers dégâts de larves ont été faibles et visibles tardivement fin juin. Le second vol a commencé mi-juillet avec une intensification rapide du vol. L évaluation des dégâts à la récolte est importante, car c est un élément essentiel dans le raisonnement de la stratégie de lutte intégrée. Ces résultats permettent d adapter de choix de la stratégie à adopter pour la saison suivante. Méthode d évaluation : Observer 1000 fruits et comptabiliser le nombre de fruits avec des perforations de carpocapses. Evaluation de la pression pour l année suivante : une parcelle est considérée à forte pression si plus de 10 fruits sur les observés ont des perforations de carpocapse (soit 1% de fruits piqués sur la parcelle). Mesures prophylactiques : - Récolter et exporter tous les fruits piqués hors du verger au moment de l éclaircissage et à la récolte. - Eviter la mise en place trop précoce dans les vergers des palox en bois car ils sont d importants réservoirs de carpocapse. - Eliminer les bois morts (souches d arrachages), ils sont également des zones de refuge et de recolonisation. - Installer des bandes pièges de cartonautour des troncs de juin à octobre pour capturer un maximum de larves qui descendent dans le sol. Il faut environ poser 30 bandes / hectare, au plus près du bourrelet de greffe et sans contact avec le sol. Enlever et détruire ces bandes fin octobre. Pour les petites surfaces: mettre des bandes pièges sur tous les arbres permet d éliminer un maximum de larves hivernantes. Ajouter également des pièges à phéromones afin de capturer les papillons mâles durant leurs vols. - Favoriser les populations d auxiliaires (oiseaux, insectes, parasitoïdes) en implantant haies, bandes fleuries et nichoirs autour et/ou dans les vergers. Il est également possible d installer des gîtes à chauvesouris, car elles consomment les papillons adultes. Il faut placer ces gîtes de 3 à 4 mètres de hauteur dans les bordures de verger. Stratégie de protection : Si les protections préventives ne sont pas suffisantes et que la pression du ravageur est importante, d autres recours sont possibles. - L'utilisation d'un produit de bio-contrôle, par exemple le virus de la Granulose du carpocapse peut être utilisé au stade chenille. C est un agent pathogène naturel et spécifique du carpocapse. Les granules viraux sont pulvérisés directement sur l arbre et les fruits. Les chenilles mangent les fruits et ingèrent les particules virales qui se multiplient et entrainent un arrêt de l alimentation des larves qui meurent. S agissant d un organisme vivant, son application demande une bonne corrélation avec les périodes d éclosions. Le Bacillus thuringiensis peut également être utilisé. - La confusion sexuelle est utilisable sur de grandes surfaces de vergers pour être efficace (minimum de 2 à 3 ha). Les phéromones libérées dans l atmosphère par des petits diffuseurs désorientent le papillon mâle, empêchent l accouplement et permettent ainsi de rompre le cycle du ravageur avant l apparition du stade nuisible. Cette méthode est efficace si la pression ne dépasse pas 1% de dégâts à la récolte précédente. BSV n 27 P.19
20 3 Sésie du pommier (Synanthedon myopaeformis) Les captures de sésies dans les pièges ont été plus élevées durant 15 jours autour de la mi-juin. Aucun dégât de larve n a été signalé cette année sur le réseau. Aucune dépouille nymphale n a été observée. Des dénombrements de dépouilles nymphales peuvent être réalisés pour évaluer l importance de l infestation. Ces dénombrements doivent être réalisés fin juin et début septembre. Le seuil de risque est fixé pour les vergers productifs entre 200 et 400 dépouilles sur 20 arbres pour les deux dénombrements. Les jeunes vergers ont un seuil abaissé à 50 dépouilles ,0 14,6 14, , Piégeage de sésie sur 4 parcelles - Région Lorraine 2018 moyenne captures T moyenne 1,75 18,5 19,1 20,3 16,7 17,3 4,75 4,75 6,5 11, ,5 21,2 20,2 22,0 3,5 2,5 25,4 4 Oïdium (Podosphaera leuchotrica) Les contaminations ont été observées du 16 avril et jusqu au début de l été. Les contaminations n ont plus évolué ensuite, il n y a pas eu de dégâts sur fruits. Mesures prophylactiques : Il est possible de supprimer les pousses oïdiées afin d éviter les contaminations secondaires. Les rameaux atteints sont repérables par leur aspect grêle et rabougri ainsi que par la forme ébouriffée des écailles des bourgeons. Pousse oïdiée de pommier observée le 24/04/2018 (FREDON Lorraine M. CHAMPAGNE) BSV n 27 P.20
21 5 Pucerons a. Pucerons lanigères Les pucerons lanigères ont été peu présents cette année, leur développement a été relativement faible tout au long de la saison. Quelques foyers actifs se sont développés durant le mois de septembre, principalement dans les variétés de pommes avec beaucoup de feuillage. Ce développement des pucerons peut s expliquer par des conditions fraîches, défavorables à l auxiliaire. Le parasitage par l auxiliaire Aphelinus mali a été observé tout au long de la saison mais de façon moins importante que les années précédentes. b. Pucerons cendrés du pommier (Dyaphis plantaginea) Les premiers foyers ont été observés début mai. Toutes les parcelles du réseau ont dépassé le seuil de risque pour ce puceron (Pour rappel, il est fixé à 1 puceron observé sur la parcelle). Les auxiliaires ont été bien présents tout au long de la saison et ont participé à la gestion des foyers de pucerons. Larve de chrysope sur feuille de pommier, dans un foyer de pucerons cendrés (Margaux CHAMPAGNE, FREDON Lorraine) BSV n 27 P.21
22 6 Psylles (Cacopsylla pyri) Les populations ont été parfois importantes et ont nécessité des interventions sur les parcelles les plus touchées. Après la mi-juin, les populations se sont régulées, certainement à cause des températures plus élevées. Mesures prophylactiques : - Garder un bon équilibre de la végétation en raisonnant la fertilisation, la taille et l irrigation. - Favoriser les auxiliaires. L équilibre faunistique du verger doit être préservé en limitant les interventions chimiques notamment lors de la période d activité des auxiliaires. Les prédateurs naturels les plus efficaces sont les anthocorides, syrphes et chrysopes. - Des barrières physiques à base d argile peuvent également être envisagées. Une intervention avec du kaolin (argile blanche) permet une bonne efficacité si elle est appliquée au bon moment. Les applications hivernales visant la 1ère génération de psylle présentent une bonne efficacité, le renouvellement de cette barrière minérale se fait selon la pluviométrie et le stade phénologique. Celles visant la 2ème génération de psylle présentent une efficacité moindre et ne permettent pas de rattraper des situations dégradées. En effet, la forte croissance des pousses au printemps impose des passages fréquents, pour que les dernières feuilles étalées ne deviennent pas la cible des pontes de psylle. Le psylle rencontre alors des difficultés d identification de la plante hôte (couleur modifiée, composés volatiles bloqués). L action répulsive limite le dépôt des œufs. Enfin les larves et les adultes sont confrontés à des difficultés d alimentation. BSV n 27 P.22
23 Retrouvez gratuitement le BSV toutes les semaines sur les sites Internet de la Chambre Régionale d Agriculture Grand Est et de la DRAAF : Pour recevoir le Bulletin de Santé du Végétal par courrier électronique, vous pouvez en faire la demande sur le site internet de la Chambre d'agriculture du Grand Est ÉDITÉ SOUS LA RESPONSABILITÉ DE LA CHAMBRE RÉGIONALE D AGRICULTURE GRAND EST, SUR LA BASE DES OBSERVATIONS RÉALISÉES PAR LES PARTENAIRES DU RÉSEAU ARBORICULTURE : Producteurs, l AREFE, la Chambre d Agriculture de la Meuse, la Chambre d Agriculture de Meurthe et Moselle, la Chambre d Agriculture des Vosges, la FREDON Lorraine, le SRAL (DRAAF). Rédaction : Margaux CHAMPAGNE, FREDON Lorraine et Rémi SEGARD, AREFE Crédits photos : FREDON Lorraine et AREFE Animation du réseau Arboriculture : Margaux CHAMPAGNE FREDON Lorraine margaux.champagne@fredon-lorraine.com Rémi SEGARD AREFE arefe.rsegard@orange.fr Coordination et renseignements : Karim BENREDJEM, Chambre Régionale d Agriculture Grand Est. Tél. : Courriel : karim.benredjem@grandest.chambagri.fr Claire COLLOT, Chambre Régionale d Agriculture Grand Est. Tél. : Courriel : claire.collot@grandest.chambagri.fr Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Agence Française de Biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du Plan ÉCOPHYTO II. BSV n 27 P.23
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