déclenche un incendie.
|
|
- Hugues Lesage
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 48 revue ABB 2 12
2 Conversion verte L huile végétale d ABB diminue les risques d incendie et d écotoxicité des transformateurs GEORGE FRIMPONG, STEPHANE PAGE, KJELL CARRANDER, DON CHERRY Chaque année, un certain nombre de pannes de transformateurs dégénèrent en incendie, qui peut durer des heures ou des jours, selon l inflammabilité du liquide diélectrique. Le feu, la fumée et la fuite de diélectrique constituent une menace non seulement pour la population, la faune et la flore mais aussi pour les équipements au voisinage de l appareil. Sans compter les répercussions sur la renommée et le bilan financier des entreprises impliquées. Il n est donc pas surprenant que la filière électrique se tourne de plus en plus vers les transformateurs minimisant ce risque. ABB utilise à cette fin, un ester naturel hautement oléique à point de feu élevé dont le risque de déclenchement et de propagation d incendie est nettement inférieur à celui de l huile minérale communément employée dans les transformateurs. Voyons les propriétés et caractéristiques qui font d un transformateur rempli d huile l un des plus sûrs du marché. F ort heureusement, les incendies de transformateurs sont rarissimes et la probabilité de panne est extrêmement faible. Un constat corroboré par le parc de transformateurs de 765 kv d un grand fournisseur d électricité américain, avec un taux de défaillances annuel de 1,21 % [1] sur 2 ans, dont seulement,14 déclenche un incendie. Photo ci-contre Qui s attendrait à trouver de l huile de tournesol ou de carthame dans les transformateurs haute tension modernes, comme ce poste compact mobile de 138 kv qui alimente en énergie quelque 5 Brésiliens? Ce sont pourtant ces produits «bio» qui contribuent à faire des transformateurs immergés dans l huile d ABB les plus sûrs du marché! Reste qu un incendie de transformateur peut avoir de graves conséquences. En cause : la haute inflammabilité du diélectrique liquide des appareils de type immer gé, qui favorise la combustion permanente et le dégagement de fumées toxiques pour l homme et les organismes vivants. En cas de fuite de la cuve, la perte et l épandage du diélectrique polluent les sols et l eau, et peuvent détériorer les équipements voisins, avec le risque évident, pour l entreprise, de perdre de l argent et sa réputation. La solution? Un diélectrique rapidement biodégradable, à point de feu élevé : d ABB. Conversion verte 49
3 est une huile ester végétale obtenue à partir de graines de tournesol ou de carthame. 1 Tenue au feu Avantages Point d éclair ( C) Point de feu ( C) Point d auto-inflammation ( C) 24 >4 + Pouvoir calorifique inférieur (MJ/kg) Essai de comportement à l arc sous haute énergie 2a Cellule d essai 2b Géométrie des électrodes Composition et biodégradabilité est un ester végétal obtenu à partir de graines de tournesol ou de carthame [2]. Sa structure moléculaire présente trois longues chaînes d acides gras liées à une chaîne principale de glycérol. Le pouvoir oléique de tient à sa forte teneur en acides gras qui le composent à plus de 75 %. Son point de feu supérieur à 3 C le place au rang des diélectriques «moins inflammables» et lui vaut l agrément de la société d assurance FM Global (spécialiste mondial des risques industriels) et des laboratoires UL (organisme indépendant d essai et de certification de la sécurité des produits). appartient à la catégorie K2 de la norme internationale CEI 611 de «classification des isolants liquides selon le point de feu et le pouvoir calorifique inférieur». est par nature rapidement biodégradable. L écoulement du fluide n a donc pas besoin d être traité comme un déchet dangereux, ce qui évite les coûts d élimination et les éventuelles amendes réglementaires. Voyons à présent comment prend feu un transformateur et quelles propriétés de contribuent à l éteindre. Comportement au feu Le feu est la conjonction de trois éléments, symbolisés par le triangle «combustible (matériau capable de brûler), comburant (oxygène pour alimenter la combustion), énergie d activation (source de chaleur pour amorcer la combustion)». Dans un transformateur immergé, l huile diélectrique est le combustible. Si l appareil est hermétique, il ne contient qu une faible quantité d oxygène dissous dans l huile. S il est de type respirant, l huile peut certes se saturer d air mais la quantité d oxygène dans l huile, même maximale (environ 3 parties par million), est là encore totalement dissoute. Dans les deux cas, il n y a donc pas d oxygène «libre» pour entretenir le feu dans le transformateur. D où la faible probabilité d incendie. Un défaut de faible impédance dans un transformateur crée un arc électrique qui peut porter la température de l huile à plusieurs milliers de degrés Celsius. En 5 revue ABB 2 12
4 3 Total des gaz produits lors d essais de défaut d arc sous haute énergie Gaz combustibles dissous (ppm) Énergie d arc (MJ) Quantité totale de gaz combustibles (ppm) Énergie d arc (MJ) Quoique rarissimes, les incendies de transformateur peuvent avoir des conséquences dramatiques. 3a Gaz dissous dans l huile 3b Gaz dissous en partie haute de la cellule 4 Pression maximale générée lors d un défaut d arc à haute énergie 3 25 Pression maxi (bar) Énergie d arc (MJ) Même quand l huile est saturée d oxygène, l absence d oxygène «libre» empêche la combustion du transformateur. temps normal, la protection du transformateur contre les fortes intensités interrompt le courant de défaut et seul un tout petit volume d huile à proximité de l arc monte en température. Toutefois, le mauvais fonctionnement de cette protection peut provoquer un incendie : l arc électrique vaporise alors l huile et produit une assez grande quantité de gaz combustibles dont une partie se dissout dans l huile, le restant s évacuant dans le matelas gazeux. Selon la gravité du défaut, la concentration croissante de gaz provoque une forte hausse de pression qui fait éclater la cuve : l huile chaude et des gaz combustibles s échappent, laissant place à un air riche en oxygène. Si le volume d huile vaporisé est dans les limites d explosivité du liquide et si une source de chaleur est encore présente, la combustion s amorce. À ce stade, l extension ou l auto-extinction du feu dépend avant tout de la quantité de chaleur dégagée par le liquide. Des paramètres à risque Le danger d incendie est évalué à partir de caractéristiques d inflamma bilité (points d éclair, de feu, d autoinflammation) et de combustion (débit calorifique). Précisons que c est le dégagement de vapeurs inflammables qui fait office de combustible, non le liquide lui-même. Le point d éclair (ou d inflammabilité) est la température à partir de laquelle un liquide émet assez de vapeurs pour former avec l air ambiant un mélange gazeux qui s enflamme à l approche d une flamme ou d une étincelle, par exemple, sans que la combustion s entretienne forcément d elle-même. Conversion verte 51
5 5 Limites d explosivité des vapeurs de et de l huile minérale Diélectrique liquide Température d essai LIE LSE 2 C,6 % vol. 4,8 % vol C > 9, % vol. ND* * Cette mesure n a pas pu être effectuée car elle nécessitait une température plus élevée pour augmenter le volume de combustible, alors même que la température d essai était déjà trop proche du point d auto-inflammation de. 6 Essai de défaut d arc sous haute énergie 6a 6b Le point de feu (ou d inflammation) est la température la plus basse à laquelle le mélange de vapeurs-oxygène s enflamme au contact d une source de chaleur et continue à brûler pendant une période donnée ; il est supérieur de quelques degrés au point d éclair 1. Une substance est d autant moins inflam mable que ses points d éclair et de feu sont élevés. S il suffit de,6 % d huile minérale vaporisée dans le mélange air/combustible pour risquer l explosion, il en faut 9 % avec, à 2 C de plus. Le point d auto-inflammation est la température minimale à laquelle un matériau s enflamme spontanément, la combustion s entretenant d elle-même, même en l absence de flamme ou d étincelle. Un liquide dont la température se maintient au-dessus du point de feu alimente en continu l incendie en combustible. Dès qu un matériau prend feu, le débit calorifique (quantité de chaleur dégagée par unité de temps) détermine la capacité de l incendie à se propager plus ou moins facilement : un débit calorifique constant ou croissant a pour effet d entretenir le feu, et un débit décroissant, de l étouffer au bout d un certain temps. Les vapeurs produites par différents fluides diélectriques forment dans l air un mélange d éléments inflammables ou explosifs dont la plus ou moins forte concentration donne une plage et des limites inférieure/supérieure d inflammabilité ou d explosivité. Plus la limite inférieure d explosivité (LIE) est haute, plus le liquide doit émettre de vapeurs pour que s amorce et s entretienne la combustion. Quand on compare les principales caractéristiques «feu» de l huile minérale traditionnelle et de l ester végétal, les résultats sont clairement favorables à ce dernier 1. Des essais effectués pour évaluer les risques d incendie et d explosion ont mis en évidence les différentes valeurs de montée en pression, de limites d explosivité et de débit calorifique des deux types de diélectrique. Hausse de pression résultant d un arc interne Au total, 1 essais multicycles de comportement à l arc sous haute énergie (1 à 4 MJ) furent réalisés par un laboratoire indépendant dans l ester et une huile minérale classique. On utilisa pour cela une cellule d acier en T comportant un matelas d azote de 3 à 35 l 2 et trois électrodes distantes de 4 mm, immergées dans chaque diélectrique. On procéda à des essais de court-circuit triphasé de durée variable en alternatif, à 12 kv et 5,5 ka eff, pour simuler différentes énergies d arc. À l issue de chaque test, environ 1 l de gaz prélevé entre la surface du diélectrique et le haut de la cellule et 4 ml d huile furent échantillonnés et analysés. Si ne contenait qu environ 25 à 5 % des combustibles dissous de l huile minérale, la quantité totale de gaz en partie haute de la cellule était similaire, à des pressions comparables 3. La mesure de pression maximale fut même légèrement supérieure dans le cas de 4. Conclusion : la pression générée par les deux diélectriques à l essai est identique. Explosivité Un autre laboratoire indépendant mesura les limites inférieure et supérieure d explosivité de et d une huile minérale ordinaire, selon la méthode normalisée ASTM E 918. À l aide d un septum, on injecta un échantillon de diélectrique dans une cuve d essai préparée pour l occasion, auquel on ajouta de l air jusqu à 52 revue ABB 2 12
6 7 Installation de mesure de débit calorifique L échantillon s éteint de lui-même en quelques secondes. 7a Échantillon d huile minérale au point d inflammation (gauche) et en combustion (droite) 7b Échantillon de au point d inflammation (gauche) et après auto-extinction (droite) 8 Mesures de débit calorifique Débit calorifique moyen (kw/m 3 ) Maxi Débit calorifique moyen (kw/m 3 ) Maxi Temps après début d incendie Temps après début d incendie 8a Maintien de la source de chaleur 8b Suppression de la source de chaleur la pression de test requise (14,7 psi). Les essais d inflammation furent réalisés avec un arc haute tension constant (1 kv,,25 ma). On fit varier la concentration du mélange d un essai à l autre jusqu à déterminer les limites d explosivité de Avec, le couvercle explose mais seule une petite quantité d huile carbonisée et vaporisée s échappe, évitant l incendie. l échantillon. Les résultats mirent en évidence l existence d une atmosphère explosive quand plus de,6 % du mélange air/combustible est constitué d huile minérale vaporisée 5 ; dans le cas de, il faut non seulement un volume beaucoup plus élevé (> 9 %) mais aussi une température supérieure d environ 2 C pour qu il y ait risque d explosion. Il en ressort un net avantage de sur l huile minérale. La nature explosive de l huile minérale, comparée à, fut démontrée sur des cuves de transformateurs immergés sur poteau dans lesquelles on fit circuler un courant de 8 A, pendant 3 cycles. Résultat : avec l huile minérale, le couvercle saute et prend feu au contact de l huile chaude avec l air 6 ; avec BIO- TEMP, il s ouvre mais ne s enflamme pas, malgré de petites fuites d huile carbonisée et vaporisée. Dégagement de chaleur Le débit calorifique fut également testé par le même laboratoire indépendant, selon une méthode adaptée de la norme ASTM 1354 : des échantillons de diélec- Conversion verte 53
7 produit 31 fois moins de fumée que l huile minérale. 9 Paramètres de débit calorifique Maintien de la source de chaleur Suppression de la source de chaleur Diélectrique Délai Délai Production Délai Délai Production liquide d inflam- d extinc- de fumée d inflam- d extinc- de fumée mation (s) tion (s) (m 2 /s) mation (s) tion (s) (m 2 /s) , , , ,16 trique sont placés dans un bol céramique et exposés à une source thermique de 25 kw/m 2. Lorsque des vapeurs se forment, le diélectrique est soumis à une source d inflammation jusqu à ce qu il prenne feu. Deux scénarios sont étudiés : dans le premier, on garde la configuration d essai après inflammation ; dans le second, on supprime l apport de chaleur et on retire l échantillon pour simuler un déclenchement du disjoncteur-sectionneur 7. Dans le premier cas, on constate que les débits calorifiques moyens des deux diélectriques augmentent dans le temps ; cela tient au fait que l incendie est alimenté par les substances volatiles de la source de chaleur qui maintient la température de l huile au-dessus du point de feu. Dans le second, après retrait de la source thermique, on observe que le débit calorifique maximal de (48 kw/m 2 ) est 8 fois moins élevé que celui de l huile minérale (397 kw/m 2 ) 8. Pour cette dernière, les valeurs maximale et moyenne du débit calorifique sont identiques à celles du premier cas. À l inverse, l échantillon voit baisser son débit calorifique, puis finit par s éteindre de lui-même après quelques secondes de combustion. Plusieurs autres paramètres furent mesurés, tels que le délai d inflammation, le délai d extinction des flammes, le débit calorifique maxi et le taux de production de fumée 9. Lorsque la source de chaleur est maintenue, met environ 12 fois plus de temps à s enflammer (724 s) que l huile minérale (58 s), confirmant ainsi sa grande résistance au feu. La combustion de présente un taux de production de fumée et donc de pollution inférieur de moitié à celui de la combustion de l huile minérale. Après suppression de la source de chaleur, le délai d inflammation de (723 s) est là encore environ 12 fois plus long que celui de l huile minérale (57 s). Dans ces conditions d essai, dégage 31 fois moins de fumée que l huile minérale. Un futur bien huilé répond bien aux exigences du marché qui plébiscite les transformateurs à diélectrique liquide résistant au feu. Si les risques d ouverture ou d éclatement de la cuve sont les mêmes pour les deux catégories d huile, réduit considérablement le risque de départ et de propagation de feu, tout en affichant de remarquables propriétés d autoextinguibilité. Autant d atouts qui font des appareils remplis de les transformateurs parmi les plus sûrs du marché. George Frimpong Raleigh, Caroline du Nord (États-Unis) george.k.frimpong@us.abb.com Stephane Page Genève (Suisse) stephane.page@us.abb.com Kjell Carrander Ludvika (Suède) kjell.carrander@se.abb.com Don Cherry South Boston, Virginie (États-Unis) don.cherry@us.abb.com Bibliographie [1] Foata, M., Power Transformer Fire Risk Assessment, Paper A2.33, Symposium CIGRÉ, Sydney (Australie), 28. [2] Oommen, T. V., Claiborne, C. C., Biodegradable Insulating Fluid from High Oleic Vegetable Oils, CIGRÉ, 15 32, Paris, revue ABB 2 12
Qu est ce qu un gaz comprimé?
Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz
Plus en détail2.2 Conditions d utilisation
PERFORMANCE ET RESISTANCE AU FEU DES TRANSFORMATEURS DE DISTRIBUTION Dr.Ir. Jan DECLERCQ, Pauwels International, (Belgium), J.Declercq@pauwels.com Ing. Raymond VAN SCHEVENSTEEN, Pauwels International,
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailNormes au feu des applications électrotechniques et électroniques :
Normes au feu des applications électrotechniques et électroniques : Conséquences sur les mécanismes d ignifugation retenus Innov Days : Les plastiques ignifugés 7 Novembre 2013, Lyon Jean-Marie MALDJIAN
Plus en détailrendement réel de formation et effectivite, examens et contrôles, l enseignement spécifique dans les domaines
Centre de formation de Heftsiba 90 ans d expérience prouvée Introduction Dans un monde en constante évolution, rien ne saurait remplacer l étude. En effet, l importance des ressources humaines au sein
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailExtinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu
Extinction Choisissez votre système d extinction Qu'est-ce qu'un système d extinction? Dans un système de protection incendie, il ne suffit pas de détecter et de mettre en sécurité. Il est souvent nécessaire
Plus en détailIngrédients No cas % Contrôlé par SIMDUT. Propane 74-98-6 >90 Oui Propylène 115-07-1 <5 Oui Hydrocarbures, C4+ 68476-44-8 <2.5 Oui
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA COMPAGNIE NOM COMMERCIAL : PROPANE SYNONYMES : Diméthylméthane UTILISATION DU PRODUIT : Carburant NUMÉRO DE LA FS : 251-300 NOM DU FOURNISSEUR NUMÉROS
Plus en détailallianceautopropane.com
allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailmodèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE
modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE à partir du tableau SIMDUT et des fiches signalétiques Les commissions scolaires, les experts de la formation en entreprise. Durée : 3 heures Les étapes de l atelier
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailTableau d Alarme Incendie Type 3 type marche/arrêt avec ou sans flash
Tableau d Alarme Incendie Type 3 type marche/arrêt avec ou sans flash Références commerciales: TA31300 / TA31301 TA31300 (sans flash) TA31301 (avec flash) Table des matières Présentation... 2 Caractéristiques
Plus en détailPhoto tirée du site www.swissfire.ch
Danger incendie Photo tirée du site www.swissfire.ch Introduction Tout bâtiment ou construction est vulnérable au feu, il importe donc que des mesures et des dispositions préventives soient mises en œuvre
Plus en détailLes Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles
Don t let the market leave without you Our know-how makes your success Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles Mardi 27 Mai 2014 - Namur
Plus en détailPOLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST)
POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) Etapes Actions Pilote de l action Description et type de documents 1 Définition d une politique Santé Sécurité au Travail Top Management + externe
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailEverything stays different
Everything stays different Manuel Français Manuel Contenu 1. Avant utilisation................ 3 2. Champ d application......... 3 3. Produits livrés.................. 4 4. Spécifications.................
Plus en détailRELAIS STATIQUE. Tension commutée
RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur
Plus en détailThermostate, Type KP. Fiche technique MAKING MODERN LIVING POSSIBLE
MAKING MODERN LIVING POSSIBLE Fiche technique Thermostate, Type KP Les thermostats de type KP sont des commutateurs électriques unipolaires dont le fonctionnement est lié à la température (SPDT). Un thermostat
Plus en détailDossier groupes électrogènes
Dossier groupes électrogènes Contexte et problématiques Table des matières Contexte 2 1. Modes d utilisation des GE 2 2. Définition et fonctionnement 5 Problématique 6 1. Ventilation 6 2. Préchauffage
Plus en détailLa prévention des incendies domestiques
La prévention des incendies domestiques Comment éviter les risques d incendie : vigilance et gestes simples pour tous > Dans la chambre, éteindre complètement les cigarettes et ne pas fumer au lit. > Une
Plus en détailSERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue
Bienvenue Directive G1 Directives SIN Le gaz à Nyon Rénovation But de la présentation : La «nouvelle»g1 Les changements principaux, (non exhaustifs) Donner des pistes pour appliquer ces nouvelles prescriptions
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.
Plus en détailMesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15
Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter
Plus en détailagissons ensemble Octobre 2013 Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs
Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs Octobre 2013 Scénarios impliquant un produit toxique : Ammoniac La Brasserie Labatt du Canada, Montréal (Québec) Partenaire
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailMODE D EMPLOI DES BAINS DE TABLE NUMÉRIQUES À ULTRASONS SONICLEAN SONICLEAN DIGITAL BENCHTOP ULTRASONIC CLEANERS
MODE D EMPLOI DES BAINS DE TABLE NUMÉRIQUES À ULTRASONS SONICLEAN SONICLEAN DIGITAL BENCHTOP ULTRASONIC CLEANERS MODÈLES: 80TD, 120TD, 160TD/HD, 250TD/HD, 500TD/HD, 750TD/HD, 800TD/HD, 1000TD/HD, 2000TD/HD,
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit TRANSOIL 140 Page 1/6 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Non concerné 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailInformation Technique Derating en température du Sunny Boy et du Sunny Tripower
Information Technique Derating en température du Sunny Boy et du Sunny Tripower On parle de «derating» en température lorsque l onduleur réduit sa puissance afin de protéger les composants contre toute
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailLa sécurité physique et environnementale
I. Qu est ce que la sécurité physique? "Il ne sert à rien de dresser une ligne Maginot logique si n'importe qui peut entrer dans la salle serveurs par la fenêtre " (Christian Pollefoort, consultant en
Plus en détailQuelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé
Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé éée e en 1963 1976 : achat de Transports Trainpo 1979 :Construction des premiers entrepôts 3000 m2 1979 à 1988 : Construction de 18000 m2
Plus en détailMécanique véhicules lourds
Mécanique véhicules lourds sont des emplacements situés sous le niveau du sol qui servent à l en tretien ou à la réparation des véhicules. Il existe notamment : des fosses pour réparer ou inspecter les
Plus en détailFiltres pour gaz et air. GF/1: Rp 1/2 - Rp 2 GF/3: DN 40 GF/4: DN 50 - DN 100 GF: DN 125 - DN 200
Filtres pour gaz et air GF/1: Rp 1/2 - Rp 2 GF/3: DN 40 GF/4: DN 50 - DN 100 GF: DN 125 - DN 200 11.02 Printed in Germany Edition 02.13 Nr. 225 676 1 8 Technique Filtres pour l'alimentation en gaz dans
Plus en détailBienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1
Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 La réglementation Chauffage PEB en Région de Bruxelles Capitale: aujourd hui et demain Helpdesk Chauffage PEB /EPB Verwarming 03/10/2013 2 Agenda Introduction
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailLes résistances de point neutre
Les résistances de point neutre Lorsque l on souhaite limiter fortement le courant dans le neutre du réseau, on utilise une résistance de point neutre. Les risques de résonance parallèle ou série sont
Plus en détailDISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ
SIT Group SIT -3-5 SIGMA 9.955.53 1 Le contenu du présent document peut subir des modifications sans aucun préavis DISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ Domaine d'application Appareils
Plus en détailPrescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs
Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE
Plus en détailInstructions d'utilisation
U22 K 7208 5500 0/2003 FR (FR) Pour l'opérateur Instructions d'utilisation Chaudière à condensation à gaz Logamax plus GB22-24/24K Prière de lire ces instructions avec soin avant l'utilisation Avant-propos
Plus en détailCONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION
CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION Concept H 2 : L idée est de produire, de stocker et d assurer 100% des besoins énergétiques d un immeuble résidentiel sans aucun rejet de CO 2 et sans frais énergétiques.
Plus en détailMarquage CE Mode d emploi SOMMAIRE : I. Les produits concernés
Marquage CE Mode d emploi Août 2014 SOMMAIRE : I. Les produits concernés II. Les acteurs concernés a. Le fabricant b. Le mandataire c. L importateur d. Le distributeur III. La mise en conformité des produits
Plus en détailIDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE ET DE LA SOCIÉTÉ. APPLICATION ET UTILISATION: Huile en aérosol pour contact accidentel avec la nourriture (ACIA N).
FICHE SIGNALÉTIQUE SECTION #1 IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM COMMERCIAL: NEVASTANE LUBE AEROSOL NOMS CHIMIQUES ET SYNONYMES: MÉLANGE NOM ET ADRESSE DU FABRICANT: TOTAL LUBRIFIANTS
Plus en détailToute entreprise, quelle que soit sa taille ou son activité,
Vos contacts Préambule Structure Entreprise Organisme Nom Téléphone Courriel Toute entreprise, quelle que soit sa taille ou son activité, est soumise à différentes contraintes internes et externes. Ce
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailCarrefour ARRAS. Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier
Carrefour ARRAS Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier Page / 4 Site : Carrefour ARRAS Expertise Identité complète Responsable : M. Bidon Paul rue des Sachets 600 ARRAS Date d'audit : 06/05/00 Consultant
Plus en détailCaractéristiques techniques du module électronique Témoin lumineux rouge
Caractéristiques techniques du module électronique Témoin lumineux rouge Raccordement terminal de programmation TELU DATA Pile lithium de maintien de l heure type CR032 Résistance de terminaison 120 Ω
Plus en détailVanne " Tout ou Rien" à siège incliné Type 3353
Vanne " Tout ou Rien" à siège incliné Type 3353 Application Vanne "Tout ou Rien" avec servomoteur pneumatique à piston Diamètre nominal DN 15 ( 1 2 ) à 50 (2 ) Pression nominale PN Plage de température
Plus en détailCOMPOSANTS DE LA MACHINE
FR COMPOSANTS DE LA MACHINE Voyant vapeur prête Interrupteur vapeur Interrupteur de distribution de café Voyant café prêt Couvercle du réservoir à eau Figure A Bouton de distribution vapeur et eau chaude
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailBDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. PRODUIT CHIMIQUE ET IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE Adresse du fournisseur/distributeur : Dominion Sure Seal Group of Companies 6175, chemin Danville, Mississauga (Ontario) Canada,
Plus en détailMarquage Ex 5. Informatique mobile en et hors zone Ex 17. Communication en et hors zone Ex 29. Technique de mesure et de calibrage en zone Ex 37
Contenu Page Marquage Ex 5 Informatique mobile en et hors zone Ex 17 Communication en et hors zone Ex 29 Technique de mesure et de calibrage en zone Ex 37 Technique de mesure et de calibrage hors zone
Plus en détailFuites d ammoniac gazeux et liquéfié sous pression : Résultats préliminaires issus des essais à moyenne échelle de l INERIS
Fuites d ammoniac gazeux et liquéfié sous pression : Résultats préliminaires issus des essais à moyenne échelle de l INERIS 6 septembre 2011 Contact presse Aurélie PREVOT Tél: 03 44 55 63 01 Mob: 06 20
Plus en détailguide domestiques des incendies Assurer son logement, c est obligatoire et utile
12 Assurer son logement, c est obligatoire et utile Assurer son logement est une obligation légale. Si un dégât se déclare chez vous et que vous n êtes pas assuré, vous devrez supporter les frais de remise
Plus en détailQuelle est l importance de sans huile et sans graisse dans des systèmes d oxygène
Quelle est l importance de sans huile et sans graisse dans des systèmes d oxygène 1. Préface Oxygène la manipul de ce gaz vital est plus complexe que l on pourrait penser en regardant la respir journalière.
Plus en détailOBLIGATIONS DE LA COLLECTIVITE AVANT INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES PLAN DE PREVENTION
OBLIGATIONS DE LA COLLECTIVITE AVANT INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES PLAN DE PREVENTION Service Santé Sécurité au Travail Maison des Communes Cité Administrative Rue Renoir BP 609 64006 PAU Cedex
Plus en détailLE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:
1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d
Plus en détailSérie CLE - Chauffe-eau pour douche oculaire Solutions de chauffage d eau sans réservoir
18 à 25 kw (85 000 à 170 000 BTU) Débit de 3 à 38 l/min (0,75 à 10 gal/min) Conception certifiée sans plomb Avantage de chute de pression Échangeur de chaleur à température variable Armoire NEMA 4 de série
Plus en détailInfluence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique
SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,
Plus en détailNote technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe
Note technique Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Version / Date Version 1.0 du 06/02/2012 Auteur David Chénier 2012, Amoès SAS. Toute utilisation, reproduction intégrale
Plus en détailOffice bavarois de l environnement
Bayerisches Landesamt für Umwelt Office bavarois de l environnement À propos de nous L Office bavarois de l environnement (Bayerische Landesamt für Umwelt, LfU) est l administration spécialisée centrale
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nom commercial : GESAL PROTECT SPRAY ANTI-FOURMIS ET Date: 13.0.2010 Nr. Article- Produit : 49142 Page: Page 1 sur En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032
Plus en détailPrésentation de nos Solutions de stockage pour vos produits chimiques et Vos produits dangereux
Présentation de nos Solutions de stockage pour vos produits chimiques et Vos produits dangereux SOMMAIRE Présentation générale de notre gamme Plans des différents modules Spécifications techniques Vues
Plus en détailPetit traité de l électricité statique avec application aux ballons à gaz
Petit traité de l électricité statique avec application aux ballons à gaz Introduction L'électricité statique se rencontre partout: dans les résidences, les usines et la nature. Elle est générée en petite
Plus en détailSystèmes de portes battantes automatiques
Systèmes de portes battantes automatiques La qualité est notre moteur En collaboration avec des partenaires reconnus, TORMAX réalise dans le monde entier des solutions de portes automatiques pour différents
Plus en détailSécheurs par adsorption à régénération par chaleur
Sécheurs par adsorption à régénération par chaleur Des Systèmes Complets Innovants Pourquoi l air comprimé sec et propre est-il important? Dans la majorité des industries, l air comprimé est un fluide
Plus en détailLes immeubles résidentiels et commerciaux disposent
LES AMÉNAGEMENTS USUELS DES IMMEUBLES Les immeubles résidentiels et commerciaux disposent normalement d installations et d aménagements relativement similaires qui répondent aux normes applicables et aux
Plus en détailPrévention des explosions principes prescriptions minimales zones
Prévention des explosions principes prescriptions minimales zones Le modèle Suva Les quatre piliers de la Suva La Suva est mieux qu une assurance: elle regroupe la prévention, l assurance et la réadaptation.
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailMobile Data Center MDC40 Solution conteneurisée
Mobile Data Center MDC40 Solution conteneurisée CeBIT 16. - 20/03/2015 Halle 12 stand C27 Dossier de presse Mobile Data Center MDC40 Solution conteneurisée Communiqué de presse 2 Description produit 4
Plus en détailINGOLD Leading Process Analytics
INGOLD Leading Process Analytics Systèmes de Turbidité Sondes InPro 8000 Transmetteurs Trb 8300 Qualité du produit et fiabilité du procédé améliorées Productivité accrue Adaption simple du procédé Usage
Plus en détailFRANCAIS MANUEL D UTILISATION THERMOMETRE MEDICAL SANS CONTACT A INFRAROUGE MODELE LX-26
MANUEL D UTILISATION FRANCAIS THERMOMETRE MEDICAL SANS CONTACT A INFRAROUGE MODELE LX-26 www.thermo-flash.com APPRENTISSAGE RAPIDE DU THERMOFLASH LX-26 Le ThermoFlash LX-26 est pré-paramétré en sortie
Plus en détailNF X 50-011 GAZ. Sommaire. Page
Sommaire Page Avant-propos...5 1 Domaine d application...6 2 Caractéristiques...6 3 Conditions générales...6 3.1 Services ou prestations compris dans le contrat d abonnement...6 3.2 Durée et dénonciation...7
Plus en détailVanne à tête inclinée VZXF
Caractéristiques et fourniture Fonction LavanneàtêteinclinéeVZXF est un distributeur 2/2 à pilotage externe. Les distributeurs de ce type sont commutés par le biais d'un fluide de commande supplémentaire.
Plus en détailCondition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession.
Condition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession. HYDAC Allemagne HYDAC Chine HYDAC Danemark Le partenaire compétent pour le Condition Monitoring. Avec plus de 4.000 collaborateurs
Plus en détailPRESENTATION PRODUITS
CONNAISSANCES FORMATION SÉCURITÉ PRESENTATION PRODUITS ÉVALUATION DES CONDITIONS COLLABORATION COMITÉS ANALYSE TECHNOLOGIE NORMALISATION La connaissance, instantanément Des solutions modernes, basées sur
Plus en détailDe source sûre. Les inverseurs de sources statiques numériques ABB dopent la fiabilité des datacenters
Les inverseurs de s numériques ABB dopent la fiabilité des datacenters CHRISTOPHER BELCASTRO, HANS PFITZER Les informa- tions qui transitent par les datacenters sont bien souvent essentielles à la bonne
Plus en détailHISTORIQUE DU MOTEUR DIESEL
HISTORIQUE DU MOTEUR DIESEL Mr DIESEL et son œuvre De parents allemands, Rodolphe Diesel est né le 18 mars 1858 il fit ses premières études en France, puis en Allemagne à Augsbourg où il passe avec succès
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailChaudières et chaufferies fioul basse température. Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000
Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000 Chaudières et chaufferies fioul basse température 2 Chaudières et chaufferies fioul basse température Olio 1500 F. La qualité et la robustesse au meilleur prix. Les chaudières
Plus en détailDalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton
Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,
Plus en détailDe l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs. La nouvelle génération de centrales thermiques
De l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs La nouvelle génération de centrales thermiques I. Quelques principes pour faire des économies La température de l air L épaisseur du grain Le refroidissement
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailSystèmes de surveillance pour transformateurs de puissance
100x 100x Offshore 100x-3/-2/-1 Load Voltage kv ma Load Current Ambient Oil Position Top Oil Bottom Oil MS-7 X1 X2 X3 H3 H1 Bushing Monitor ZVCM-1001 Systèmes de surveillance pour transformateurs de puissance
Plus en détailAscenseurs résistant aux actes de vandalisme 81-71
Ascenseurs résistant aux actes de vandalisme ASCSEURS RÉSISTANT AUX ACTES DE VANDALISME La norme : Les ascenseurs peuvent être utilisés en toute normalité ou avec des abus. Les ascenseurs construits selon
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailCELTIC-BAAS-Sa BAAT3003
Notice technique 01_BASSA_NT001 rév A3 Bloc autonome d alarme sonore type Satellite avec ou sans flash BAAT3003 -F BAAT3017. 52, rue Paul Lescop 92000 NANTERRE t. +33 (0)1 41 37 91 91 f. +33 (0)1 41 37
Plus en détailAvertisseur de monoxyde de carbone
Page 1 sur 5 http://www.msss.gouv.qc.ca/sujets/santepub/environnement/index.php?avertisseur Santé environnementale > Environnement intérieur > Monoxyde de carbone > Avertisseur Avertisseur de monoxyde
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailROF 2003_096. Ordonnance. modifiant certaines dispositions relatives à la sécurité des ascenseurs. Le Conseil d Etat du canton de Fribourg
Ordonnance du 1 er juillet 2003 Entrée en vigueur : 01.07.2003 modifiant certaines dispositions relatives à la sécurité des ascenseurs Le Conseil d Etat du canton de Fribourg Vu la loi fédérale du 19 mars
Plus en détailRapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation
CONSTRUCTION Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation RÉPERTOIRE Révision Jamais Réévaluation Non : NORMATIF : 07 21 23.06 Publication en de l'évaluation : 1997-12-08 Réévaluation cours
Plus en détailLE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI
LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI JOURNEE DU 21.10.2008 Partie 1 : Actions thermiques 1/ 51 REPARTITION DES SRI EN BELGIQUE. SERVICES X SERVICES Y SERVICES Z SERVICES C Bruxelles. Wavre. Braine-Le-
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détailQuestionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie
Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie Edition: juillet 2013 SuperDrecksKësct B.P. 43 L-7701 olmar-berg Tel. : 00352 488 216 1 Fax : 00352
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailPROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES
PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation
Plus en détail