«Est-ce que je dois parler de sexualité avec mon adolescent?»
|
|
- Timothée Laroche
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 «Est-ce que je dois parler de sexualité avec mon adolescent?» F. SCHWARZ, Centre de planification familiale et PMI, Asnières-sur-Seine et Suresnes «L amour, c est délicat, il faut prendre des gants», lisait-on dans un quotidien invitant ses lecteurs à se protéger du sida. Le sujet est d autant plus sensible qu on l aborde avec un adolescent et que celui-ci est notre enfant! Tellement sensible que la tentation pourrait être forte pour les parents de ne pas en parler du tout. Pourtant, ces derniers ont un rôle important dans la transmission des valeurs familiales et la prévention des risques liés à la sexualité. out ce que les adolescents ont toujours voulu savoir sur le sexe, qui va leur dire? A priori, leurs parents ne sont pas les mieux placés pour aborder le sujet. Entre la nécessité d informer et le respect de l intimité, il est difficile de trouver la bonne distance. C est alors parfois au médecin d aider les parents à trouver le bon angle, pour transmettre des messages de prévention, mais aussi des valeurs, celles qu ils ont défendues depuis l enfance. Un sujet tabou par excellence Alors que les adolescents frissonnent d amour pour un garçon ou une fille, les parents tremblent en se demandant : «Si elle/il faisait l amour trop tôt?», «Si elle/il devenait parent?», «Si elle/il attrapait une IST?» (1). Autant d inquiétudes dont ils ont du mal à parler avec leur enfant. La sexualité devient en effet un sujet difficile à aborder entre parents et enfants à l adolescence. L évolution du corps de l enfant en un corps sexualisé d adulte impose de nouvelles distances à trouver pour les adolescents comme pour les parents. Si les parents parlent de sexualité, l adolescent réalise que ses parents ont une sexualité. Or, «en pleine période d exaltation pubertaire, les uns et les autres sont trop proches et cela rejoint le tabou de l inceste, c est-à-dire l interdiction de partager la sexualité entre générations différentes», explique Daniel Marcelli, pédopsychiatre, auteur de plusieurs ouvrages sur l adolescence(2). Cependant, de nombreuses études montrent que les discussions entre parents et adolescents ont un effet positif sur la prévention des risques liés à la sexualité. En effet, l information par les parents divise par deux l absence de contraception lors du premier rapport(3). De plus, les jeunes qui comptent sur leur groupe d amis et Internet comme première source d information sur la sexualité sont plus susceptibles d avoir des comportements à risque(4).
2 De réels besoins d information et d échanges Entre juin et juillet 2007, une enquête téléphonique a été proposée aux jeunes et aux parents d enfants de 11 à 25 ans, utilisateurs des lignes téléphoniques de l Ecole des parents et des éducateurs (Fil santé jeunes, Jeunes Violence Ecoute ou Inter service parents)(5). Un des objectifs de l enquête était de comparer le point de vue des parents d adolescents et des adolescents eux-mêmes sur divers thèmes liés à l exercice de la parentalité. Dans la figure (ci-dessous), sont exposés les résultats à la question : «Quelles sont les discussions fréquemment partagées avec vos parents/avec votre adolescent?». Sur certains sujets, les parents et les adolescents n ont pas le même ressenti. Résultats d une enquête sur les sujets fréquemment abordés entre parents et adolescents distinguant le point de vue de chacun d entre eux(5). Par contre, ils s accordent pour dire que le sujet de la vie amoureuse est difficile à aborder entre eux. Il est pourtant intéressant de noter que sur la ligne téléphonique de Fil santé jeunes, environ un appel sur deux venant d adolescents concerne la sexualité ou la vie amoureuse. Les jeunes n en parlent donc pas beaucoup à la maison, mais ils ont besoin d en parler ailleurs. L information par les parents divise par deux l absence de contraception lors du premier rapport. Quelques questions aux parents Nous nous positionnons ici dans le cadre d une consultation où nous recevons les parents seuls. Aux parents se demandant s ils doivent parler de sexualité avec leur adolescent, il est important de leur poser les questions suivantes : «Avezvous des inquiétudes vis-à-vis de votre adolescent? Qu entendez-vous par sexualité? Où pensez-vous que votre adolescent en soit dans son exploration de la sexualité? Avez-vous déjà abordé ce sujet? Quels sont les messages que vous voudriez faire passer?» De leur côté, les parents veulent savoir quel est le bon moment pour en parler, quels sujets aborder, comment s y prendre, etc.
3 Quelles réponses apporter aux parents Choisir le bon moment Il est important d ouvrir le dialogue tôt à ce sujet. Dès la petite enfance, il est facile de parler de sexualité en général et dans la vie de tous les jours. À la préadolescence (entre 9 et 12 ans environ), les enfants sont souvent plus disposés à discuter de sexualité avec leurs parents. Il est aussi plus facile et moins gênant pour l enfant à cet âge d expliquer la puberté qui va arriver et la «raison» de cette puberté. À l adolescence, il faut prendre la balle au bond, savoir mettre à profit l occasion dès qu elle se présente. Il faut savoir privilégier les moments d échanges et les temps neutres de côte à côte. Les accompagnements en voiture ou les activités partagées, par exemple, peuvent être propices aux discussions. Respect et prévention La sexualité ne se réduit pas à la génitalité et aux messages sur la prévention des IST et sur la contraception. Bien avant l adolescence, les parents ont transmis à leurs enfants des messages et des valeurs à travers leur vie familiale. La famille constitue le premier modèle de la sexualité de l enfant (6). Comme dans tous les domaines de la vie, les parents peuvent faire passer le message du respect, respect émotionnel et physique de soi et de l autre. Les parents ont aussi un rôle à jouer dans le relai des informations de prévention. Pour les aider, nous pouvons leur donner les mêmes informations que celles données aux adolescents en consultation ou bien lors des séances d éducation à la vie sexuelle et relationnelle organisées dans les collèges et lycées. Nous pourrons donc leur parler des différentes méthodes contraceptives et de leurs utilisations : pilule, patch, anneau vaginal, dispositif intra-utérin (DIU), implant. Mais aussi de la contraception d urgence (Norlevo, EllaOne ), de la réglementation encadrant l IVG (plus d autorisation parentale nécessaire, délai de 14 SA, présence d un majeur référent) et des lieux de consultation gratuits et anonymes (Centre de planification et d éducation familiale, Planning familial). Il faut souligner que refuser une méthode contraceptive en se disant que cela va obliger les jeunes à utiliser un préservatif est risqué. Il y a très souvent des problèmes «techniques» avec les préservatifs qui amènent à des risques de grossesse non désirée. Leur utilisation est absolument nécessaire pour se protéger des IST, mais pas suffisante comme méthode contraceptive. Enfin, les parents peuvent aborder le thème de l homosexualité, en tout cas essayer de ne pas éviter le sujet. Plus l entourage accueillera l homosexualité favorablement, plus l adolescent sera susceptible d avoir une bonne estime de soi et d accepter son homosexualité(1). Dans l enquête Baromètre santé 2005, on note une augmentation de l acceptation de l homosexualité, mais le sujet reste problématique pour certains groupes sociaux(7). Le film canadien «C.R.A.Z.Y.», qui relate la vie d une famille ordinaire avec plusieurs adolescents, dont l un des fils est homosexuel, traite le sujet avec beaucoup de subtilité et de justesse (voir encadré). L amour chez papa et maman En 2006, les jeunes ont connu l amour plus souvent au domicile parental que leurs aînés(8). Les parents se posent de plus en plus la question, doivent-ils accepter ou non que le ou la petit(e) ami(e) dorme sous le toit familial? Cette décision leur appartient. Pour les aider dans leur réflexion, nous pouvons leur faire partager le point de vue de Didier Lauru, psychiatre et psychanalyste :
4 «Cohabiter avec un bébé couple renvoie les parents à leur propre sexualité, qu ils imaginent moins épanouie ou les conduit à entendre des conversations ou des bruits qui ne les regardent pas. Il y a de la gêne et de l ambivalence». Il peut être rassurant pour les parents de savoir où dort leur adolescent et avec qui, mais ils exercent ainsi un contrôle et «cette situation interdit à l adolescent de vivre la dimension émancipatrice de la sexualité. Il serait préférable que les deux domaines soient séparés»(9). En 2006, les jeunes ont connu l amour plus souvent au domicile parental que leurs aînés. Des supports écrits très utiles La qualité des relations entre parents et enfants prend toute son importance à cet âge, comme le note Philippe Jeammet : «La meilleure prévention réside dans la création d un climat de confiance réciproque qui témoigne que les parents estiment que l adolescent possède les ressources suffisantes pour gérer au mieux les risques inhérents à la vie, et qu il est en mesure de prendre lui-même le relai de la vigilance parentale»(10). Par ailleurs, parler de sexualité revient souvent à parler des IST et des grossesses non désirées, or il sera plus constructif d aborder ce sujet positivement et en y introduisant la relation à l autre. Les parents peuvent également mettre à disposition des documents écrits, où les adolescents trouveront des informations fiables et des réponses aux questions qu ils n oseraient pas poser. Les documents écrits sont de très bons supports à tous les âges (voir encadré). Une autre question des parents : «Peut-on, doit-on déposer des préservatifs dans la salle de bain?» Ça ne suffit pas et ne remplace aucune discussion. Cependant, les adolescents ne planifient pas leurs relations sexuelles et avoir un accès facile et discret à des préservatifs peut être utile. Les parents peuvent en laisser à disposition de façon suffisamment «non ordonnée» pour qu ils ne puissent pas contrôler l écoulement du stock. La question des adolescents : «comment on fait?» C est, en fait, la seule question qui les préoccupe vraiment. Et pourtant, c est la question à laquelle les parents ne peuvent et ne doivent pas répondre. C est aussi la question que les adolescents n oseront pas poser. Ils en cherchent souvent la réponse dans la pornographie, pensant y trouver les gestes et les techniques à employer.
5 Décrypter la pornographie Sur Internet, on peut estimer à un tiers les flux à contenu pornographique. Le phénomène n est pas nouveau. Les flux étaient similaires sur le Minitel et la même proportion pour les cassettes vidéo (11). Cependant, l accès gratuit à des scènes pornographiques est aujourd hui largement facilité par Internet. Entre 14 et 18 ans, 80 % des garçons et 45 % des filles ont vu dans les 12 mois précédents des images pornographiques (12). Les parents peuvent aider les adolescents à développer leur sens critique et à déconstruire les images pornographiques, en leur rappelant qu il s agit de fiction, de scènes tournées en studio, avec des effets spéciaux et des angles de vue déformant la réalité. Ils peuvent aussi souligner que la pornographie véhicule une image faussée de la sexualité, dominée par le machisme et la violence(11). Les parents peuvent aider les adolescents à développer leur sens critique et à déconstruire les images pornographiques. Conclusion Les discussions autour de la sexualité peuvent être très utiles entre parents et enfants. Il est important d ouvrir le dialogue tôt dans l enfance et d accepter qu à l adolescence, ces discussions aient comme limites l intimité de chacun. Certaines questions doivent rester sans réponses, en effet : «la sexualité humaine gardera toujours sa part de mystère, les réponses ne peuvent se trouver que progressivement, à la mesure de l expérience de chacun» (2). Il est important aussi pour les parents de relativiser car il n y a pas d adolescence sans soucis pour les enfants et les parents (13). Enfin et surtout, les parents ont transmis au cours du temps beaucoup de valeurs et de connaissances à leurs adolescents, il faut maintenant savoir leur faire confiance
6 Références 1. Petit guide à l usage des parents pour discuter de sexualité avec leur adolescent. Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux, gouvernement du Québec, Marcelli D. La Croix du 10/03/ CFES. Baromètre santé jeunes. Paris, Colleen Di orio et al. Communication about sexual issues: Mothers, fathers and friends. Journal of Adolescent Health 1999 ; 24(3) : Toubal S. Quels parents, quels ados? Les résultats de l enquête. EPE septembre 2008, n 573 HS, p Athéa N, Coudert O. Parler de sexualité aux ados. Ed. Eyrolles, avril 2006, p Moreau C et al. Activité sexuelle, IST, contraception : une situation stabilisée. Baromètre santé 2005, p Bajos N et Bozon M. La sexualité en France. La Découverte, Paris Lauru D. Corps et sexualité, devoir d intimité. EPE septembre 2008 ; n 573 HS, p Jeammet P. Les destins de la dépendance à l adolescence. Neuropsychiatr Enfance Adolesc 1990 : 38 ; Breton Ph. Internet. Dictionnaire de l adolescence et de la jeunesse, publié sous la direction de David Le Breton et Daniel Marcelli. PUF 2010, p Choquet M, Morin D, Hassler C. Enquête ESPAD. Inserm Braconnier A. L apprentissage de l indépendance. Angoisses partagées. EPE septembre 2008 ; n 573 HS, p source :jim.fr Copyright Len medical, Pediatrie pratique, octobre 2012
Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».
1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez
Plus en détailUn besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat)
Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat) «Si, globalement, les adolescents se disent en meilleure santé que les adultes, il convient, au regard des résultats qui suivent
Plus en détail_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_
_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_ INTRODUCTION L accès à la contraception, sans autorisation parentale, est un droit pour les mineur(e)s. Néanmoins, dans la réalité, les jeunes ayant besoin
Plus en détailregion guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page1 Guide pratique à l attention des professionnels de santé URPS DE BIOLOGIE MÉDICALE PACA
region guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page1 Guide pratique à l attention des professionnels de santé URPS DE BIOLOGIE MÉDICALE PACA region guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page2
Plus en détailProtocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.
Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.
Plus en détailMinistère délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille Dossier de presse
Ministère délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille Dossier de presse Les logiciels de contrôle parental mercredi 26 avril 2006 Ministère délégué à la
Plus en détailFiche Action 6.D.6. ACTIV G (Fédération des Centres sociaux de la Nièvre)
Fiche Action 6.D.6 ACTIV G (Fédération des Centres sociaux de la Nièvre) Axe Schéma Régional de Prévention 3.1. LES ADOLESCENTS ET JEUNES ADULTES : Développement dès l enfance des capacités des adolescents
Plus en détailP.S.E. 1 ère situation d évaluation
Lycée X Ville Session 201 P.S.E. 1 ère situation d évaluation Première Bac Professionnel Spécialité du diplôme Académie de Nancy-Metz Durée : 55 minutes NOM :. Prénom :. NOTE : / 18 NOTE : / 09 FOLIO :
Plus en détailUn Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s
Un Pass santé contraception pour les jeunes francilien-ne-s Mardi 26 avril 2011 Lycée Elisa Lemonnier Contacts Presse Emmanuel Georges-Picot 01.53.85.57.33 emmanuel.georges-picot@iledefrance.fr Véronique
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détailLa mienne est. La mienne est. en comprimés
La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est sans ordonnance La mienne dure 3 ans La mienne n est pas contraignante La mienne est remboursée La mienne est en
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailPROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS
PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS Positionnement en vue de la session spéciale des (22 septembre 2014) 2 1. FACE À UN AVENIR INCERTAIN, LES GOUVERNEMENTS DOIVENT SE REMOBILISER
Plus en détailSondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014
Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception
Plus en détailAdapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick
Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick SONDAGE SUR L ATTITUDE DES PARENTS ENVERS L ÉDUCATION EN MATIÈRE DE SANTÉ SEXUELLE Nota : Vous pouvez transmettre ce sondage de
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailDEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE
Ecole d Application STURM Janvier-Février 2012 CM2 Salle 2 Mme DOUILLY DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Sujet proposé par les élèves et choisi par la majorité. 1 ère séance : définitions et explications Réflexion
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détail«ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE 2011 de l opération nationale de sensibilisation :
avec le soutien de «ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE nationale de sensibilisation : Génération Numérique Fiche technique Le cinquième baromètre et a été réalisé par Calysto dans le cadre de sensibilisation
Plus en détailChez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de recours à la pilule du lendemain et 4 fois plus d IVG
Dossier de presse 11 février 2014 Enquête santé / Vie étudiante / Chiffres clés La sexualité des étudiants en 2013 8 ème enquête nationale Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de
Plus en détailétud Expat LMDE/CFE 2011-2012 études à l étranger (hors programme d échanges universitaires) www.lmde.com
étud Expat LMDE/CFE 2011-2012 études à l étranger (hors programme d échanges universitaires) www.lmde.com étud Expat LMDE/CFE Vous avez décidé de poursuivre vos études à l étranger et vous vous inscrivez
Plus en détailSUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES JEUNES FILLES
SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES CAPACITES DES JEUNES FILLES CONTEXTE DU PROGRAMME SUPER GO Féminisation du VIH : quelques chiffres clés (EIS-2005) 0,4% des filles de 15 à 19 ans sont infectées
Plus en détailVie affective et parentale des personnes déficientes intellectuelles
Répertoire des lieux ressources Vie affective et parentale des personnes déficientes intellectuelles Délégation de la Solidarité du Bassin de Saint-Nazaire Édition 2013 1 UN REPERTOIRE 1, POUR QUOI? Le
Plus en détailLes prérogatives du mineur sur sa santé
5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée
Plus en détailwww.cyberactionjeunesse.ca
www.cyberactionjeunesse.ca CyberAction Jeunesse Canada 2011 Présentation de l organisme Projet pilote Prévention (approche en amont) Mission Objectif CyberAction Jeunesse Canada 2011 Plan de la présentation
Plus en détailANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires
ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes
Plus en détailENFANTS ET INTERNET BAROMETRE 2009-2010 de l opération nationale de sensibilisation : Un clic,déclic le Tour de France Des Etablissements Scolaires
ENFANTS ET INTERNET BAROMETRE de l opération nationale de sensibilisation : Un clic,déclic le Tour de France Des Etablissements Scolaires 1 Fiche technique Le quatrième baromètre et a été réalisé par Calysto
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailDÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN
DÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN Analyse secondaire des données des enquêtes démographiques et de santé réalisées au Bénin et à Madagascar Avril
Plus en détailSe préparer au DELF B2
Se préparer au DELF B2 Compréhension écrite 1 - Quels sont les noms et professions des auteurs du livre «Génération téléphone»? 2 - Que pensent-ils de l utilisation du téléphone? 3 Quels sont les pourcentages
Plus en détailLesbiennes. Invisibles parmi nous
» â?! Lesbiennes. Invisibles parmi nous Réseau québécois d action pour la santé des femmes Le présent document est inspiré de Pour le dire Rendre les services sociaux et les services de santé accessibles
Plus en détailParent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille.
Parent avant tout Parent malgré tout Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Edition: Addiction Suisse, Lausanne 2012 Que vous soyez directement concerné-e ou que
Plus en détailLes Jeunes Ornais et leurs sexualités en 2014
Les Jeunes Ornais et leurs sexualités en 2014 Enquête réalisée par le Bureau Information Jeunesse de l Orne avec le concours de l IREPS Basse-Normandie Antenne Orne EDITO Dans le cadre de sa mission générale
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailParoisses réformées de la Prévôté - Tramelan. Album de baptême
Paroisses réformées de la Prévôté - Tramelan Album de baptême L'album de mon baptême Cet album est celui de:... Né(e) le:... à:... 1 Quoi de neuf? Il est tout petit, mais... il a déjà sa personnalité,
Plus en détailLA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE?
LA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE? La CPAM (sécurité sociale) permet d être remboursé entre 15 et 100% en fonction des soins donnés. Une mutuelle peut prendre en charge le
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailEtude RSA / IFOP : Nos ados sont-ils vigilants sur Internet?
Etude RSA / IFOP : Nos ados sont-ils vigilants sur Internet? Dans le cadre de sa campagne d éducation «Internet, les autres et moi», RSA a commandité une étude qui interroge et compare les perceptions
Plus en détailY A-T-IL COUPLE? Introduction. Pour qu il y ait couple, il faut du temps
Introduction Y A-T-IL COUPLE? Au fil des siècles et au fil des années, la société se transforme et avec elle, la valeur accordée à la réussite sociale, à la famille mais surtout à l amour. Dans le monde
Plus en détailLivret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s
Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s Un livret, pour qui? Ce livret est destiné aux parents et futurs parents qui souhaitent trouver un mode de garde
Plus en détailCOUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS
COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse
Plus en détailLorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants
Lorsqu une personne chère vit avec la SLA Guide à l intention des enfants 2 SLA Société canadienne de la SLA 3000, avenue Steeles Est, bureau 200, Markham, Ontario L3R 4T9 Sans frais : 1-800-267-4257 Téléphone
Plus en détailTHÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DOCTEUR EN MÉDECINE
1 Année 2013 UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 FACULTÉ DE MÉDECINE THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR n LAPASSET (LAPASSET-HAFID) AURORE MAGALI PIERRETTE Née le 13 Janvier 1985, à
Plus en détailSans remettre en cause le fait de punir les criminels, les psychiatres. s intéressent de plus en plus à la prise en charge des pédophiles.
1 Peut-on soigner les pédophiles? Sans remettre en cause le fait de punir les criminels, les psychiatres s intéressent de plus en plus à la prise en charge des pédophiles. Une prévention est même envisagée.
Plus en détailQuestionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes
Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailados, parents... à qui en parler?
Alcool, drogues, mal-être, violences... ados, parents... à qui en parler? Les lieux ressources et contacts La Communauté de Communes des Vallons du Lyonnais a mis en place un groupe de travail composé
Plus en détailInternet et prévention. Communiquer sur la santé sexuelle en direction des jeunes internautes
Internet et prévention Communiquer sur la santé sexuelle en direction des jeunes internautes Journées Annuelles de Santé Publique 1 décembre 2011 I- CONTEXTE : les jeunes français (15-24 ans) et Internet
Plus en détailUtilisation et usage d Internet
1 résultats Utilisation et usage d Internet Internet s est imposé Quelque soit leur âge ou leur sexe, près de neuf jeunes sur dix déclarent utiliser Internet. Cette imposante proportion indique indubitablement
Plus en détailPlanifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans
Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans Ginette Hébert formatrice en petite enfance AFÉSÉO FORUM 2012 Cette formation s appuie sur mon expérience d accompagnement d éducatrices
Plus en détailDEPARTEMENT DE SANTE COMMUNAUTAIRE MAISONNEUVE-ROSEMONT GROSSESSE CHEZ LES ADOLESCENTES ELABORATION D'UN PROGRAMME
DEPARTEMENT DE SANTE COMMUNAUTAIRE MAISONNEUVE-ROSEMONT GROSSESSE CHEZ LES ADOLESCENTES ELABORATION D'UN PROGRAMME PAR: GINETTE DUROCHER 22 JUILLET 1986 INSTITUT NATIONAL OE StfTt PlBtlQlI DU QUÉBEC CENTRE
Plus en détailLes pratiques des 9-16 ans sur Internet
Les pratiques des 9-16 ans sur Internet Regards croisés entre parents et enfants! - Principaux résultats -! Décembre 2012! Arnaud ZEGIERMAN Directeur associé az@institut-viavoice.com Aurélien PREUD HOMME
Plus en détailComplément pédagogique
Complément pédagogique L intimité de son corps La violence verbale Le racket L égalité L amour L intimité de son corps L enfant, comme l adulte, est maître de son corps et seul juge de ses sentiments.
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détail"La santé des étudiants en 2013"
1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailDossier de Presse SAFETY FIRST
Dossier de Presse SAFETY FIRST 10 Février 2015 Pour vous médias, votre rôle primordial est de nous accompagner tout au long de cette campagne. Votre pierre à l édifice se traduirait par votre rôle de relais
Plus en détailGROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION
GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION Programme d éducation et de motivation à l hygiène pour les patients en psychiatrie Cécile GABRIEL-BORDENAVE C.H. St Egrève (38) Problèmes d hygiène corporelle
Plus en détailPetit GUIDE. à l'attention des parents et des baby-sitters
Petit GUIDE à l'attention des parents et des baby-sitters ATTENTION : Ceci n'est qu'un recueil de conseils et ne doit en aucun cas être pris comme un document exhaustif. A partir de quel âge pouvez-vous
Plus en détailSAINT JULIEN EN GENEVOIS
SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).
Plus en détailPLAN DE LA CONFERENCE
«LA PLACE DE CHACUN DANS LA FAMILLE» PLAN DE LA CONFERENCE Introduction : Relativité des modèles familiaux en fonction des époques et des lieux, nous nous centrerons sur l ici et maintenant. Evolutions
Plus en détailCONFERENCE DE PRESSE
Union nationale des associations familiales CONFERENCE DE PRESSE RESEAUX SOCIAUX : Quelles sont, dès 8 ans, les pratiques de nos enfants? Quel est le rôle des parents? Résultats de l enquête réalisée par
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. des Structures d Aides à la Jeunesse Ecoute Bien être information. Adolescent / pré-adolescent ENFANTS. Jeune. Accompagnement.
Accompagnement Jeune ENFANTS Conseils GUIDE PRATIQUE Parentalité Parents Famille des Structures d Aides à la Jeunesse Ecoute Bien être information Adolescent / pré-adolescent Adolescent santé Accueil Soutien
Plus en détailLe guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque:
GUIDE D ENTREVUE TROUSSE DE SOUTIEN À L ÉVALUATION DU RISQUE D ALIÉNATION PARENTALE Véronique Lachance Marie-Hélène Gagné Ce guide d entrevue a été conçu pour vous aider à documenter les situations familiales
Plus en détailFaire face aux addictions des jeunes Les «Consultations Jeunes Consommateurs», une ressource pour agir précocement et aider les familles et les jeunes
Faire face aux addictions des jeunes Les «Consultations Jeunes Consommateurs», une ressource pour agir précocement et aider les familles et les jeunes Dossier de presse Janvier 2015 CONTACT PRESSE Inpes
Plus en détailFP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN
FP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN Publié en novembre 2014 Afin de bien former des interventions, évaluer les progrès, et selon le cas, raffiner leurs stratégies, les décideurs ont
Plus en détailEchantillon interrogé en ligne sur système CAWI (Computer Assistance for Web Interview)
Les idées reçues sur la sécurité informatique Contact : OpinionWay 15 place de la République 75003 Paris http://www.opinion-way.com Juillet 2014 1 Méthodologie Méthodologie Echantillon de représentatif
Plus en détailAspects pratiques de la pédagogie Pikler
Paola Biancardi Aspects pratiques de la pédagogie Pikler Le CVE de Grattapaille dans lequel je travaille comme directrice, se trouve dans les hauts de Lausanne et regroupe deux sites : la Nurserie Sous-Bois
Plus en détailChapitre 15. La vie au camp
Chapitre 15. La vie au camp Chapitre 15. La vie au camp 227 1. Intensité de la vie du camp 230 2. Loin de la maison 230 A. Sentiment de sécurité 230 B. Les coups de cafard de l enfant 231 227 Un camp,
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailTechnologie 8 e année (ébauche)
Conseil scolaire acadien provincial École secondaire du Sommet Élaboré par M. J. Saldaña T., BPhB, BEd, MSc Année scolaire 2011 2012 Technologie 8 e année (ébauche) DESCRIPTION DU COURS Pour réussir dans
Plus en détailRapport de la Commission des pétitions chargée d étudier la pétition pour la défense du planning familial (unité de santé sexuelle HUG)
Secrétariat du Grand Conseil P 1846-A Date de dépôt : 11 juin 2013 Rapport de la Commission des pétitions chargée d étudier la pétition pour la défense du planning familial (unité de santé sexuelle HUG)
Plus en détailles ateliers TOUT-PETITS NOM Petits gestes autour d un thème. DESCRIPTION Découverte de manipulations simples autour d un thème spécifique.
TOUT-PETITS Petits gestes autour d un thème. Découverte de manipulations simples autour d un thème spécifique. Il est intéressant que le thème utilisé soit en relation avec la vie de l enfant : thème travaillé
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailIST et SIDA : s'informer pour se protéger!
IST et SIDA : s'informer pour se protéger! Tous concernés! De quoi s agit-il? Les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont des infections dues à des virus, des bactéries, des parasites ou des
Plus en détailATELIERS CITOYENS DÉPARTEMENTAUX Cambrai Collège Lamartine 2 février 2012 COMPTE-RENDU
ATELIERS CITOYENS DÉPARTEMENTAUX Cambrai Collège Lamartine 2 février 2012 COMPTE-RENDU 1. Ouverture en plénière Après un temps de présentation à chaque table, les participants sont accueillis par Patrick
Plus en détailDossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015
Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)
Plus en détailÉtablir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance
Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Colloque QuébecStrasbourg Octobre 2008 Présenté par Gilles Cantin, Ph.D. Département d éducation et pédagogie UQAM
Plus en détailLa sécurité sur Internet
La sécurité sur Internet si on en parlait en famille? Petit guide à l usage des parents Internet pour tous Internet de demain Réalisé avec l aide du ministère de l Enseignement supérieur et de la Recherche
Plus en détailLes jeunes non mariés
Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non
Plus en détailLa mienne est. en comprimés
La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est La mienne sans ordonnance dure 3 ans La mienne n est La mienne est pas contraignante hebdomadaire La mienne est
Plus en détailLa FNSF est membre de la Fédération Mondiale des Sourds (FMS), de l Union Européenne des Sourds
Fédération Nationale des Sourds de France Siège Administratif : 41, rue Joseph Python 75020 PARIS Fax : 01 40 30 18 21 - E-mail : contact@fnsf.org Reconnue d'utilité Publique - décret du 24 septembre 1982
Plus en détailEnseignement des habiletés sociales au secondaire
1 Enseignement des habiletés sociales au secondaire Groupe 1 : Habiletés sociales de base Habileté 1 : Se présenter Par Sandra Beaulac Fiche de planification Habileté sociale : SE PRÉSENTER Type d atelier
Plus en détailA vertissement de l auteur
A vertissement de l auteur Attention, ce livre n est pas à mettre entre toutes mains ; il est strictement déconseillé aux parents sensibles. Merci à Madame Jeanne Van den Brouck 1 qui m a donné l idée
Plus en détailLes adolescents, leur téléphone portable et l'internet mobile. Octobre 2009
Les adolescents, leur téléphone portable et l'internet mobile Octobre 2009 1. Quelle est la panoplie multi-média des adolescents en 2009? 2. Et le téléphone mobile en particulier, qui est équipé / qui
Plus en détailRentrée 2015. Charte du restaurant scolaire
Rentrée 2015 Charte du restaurant scolaire Délibération du conseil municipal du 22 mai 2014 Mairie de Marcy L étoile Préambule Merci de bien vouloir prendre connaissance en famille, avec vos enfants, du
Plus en détailPremière éducation à la route Je suis piéton
séance 1 Première éducation à la route Je suis piéton Je découvre Observe attentivement ce dessin puis décris ce qui se passe dans cette rue. Est-ce que tu as repéré des situations dangereuses? Lesquelles?
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailNouveaux médias. Guide pour les écoles obligatoires. Utilisation des téléphones mobiles Le cyber-harcèlement
Nouveaux médias Guide pour les écoles obligatoires Utilisation des téléphones mobiles Le cyber-harcèlement 1 Police cantonale bernoise Etat-major/Prévention Groupe nouveaux médias Case postale 7571, 3001
Plus en détailLe TDAH, c est quoi?
Le TDAH, c est quoi? Brochure d information pour les enfants atteints du TDAH LE TDAH, C EST QUOI? L abréviation TDAH veut dire «Trouble déficitaire de l attention avec hyperactivité». On l'appelle aussi
Plus en détailProblèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté
Chapitre 7 Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté Il y a en moi un désir profond d avoir une relation longue et pleine de sens avec quelqu un, mais cela me fait peur, parce que si vous
Plus en détailAinsi, le but est de créer un partenariat durable basé sur la confiance entre «employeur» et «employé».
Point Information Jeunesse de Mûrs-Erigné Origine du projet Les jeunes de 16/18 ans et les étudiants recherchent un job à l année où pendant leur temps libres pour financer leurs études ou certains projets.
Plus en détailObservatoire Gleeden de l infidélité
16 janvier 2014 N 111 730 Enquêtes auprès d un échantillon national représentatif de 804 Français âgés de 18 ans et plus Contacts : 01 72 34 94 64 / 94 13 François Kraus / Anne-Sophie Vautrey Prenom.nom@ifop.com
Plus en détailSida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»
Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection
Plus en détailL enfant est là - La famille se réorganise
L enfant est là - La famille se réorganise Les statistiques montrent qu'en Suisse, environ les deux tiers du travail non payé (surtout le travail familial et domestique) sont accomplis par les femmes.
Plus en détailPROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS
PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS Le projet pédagogique met en œuvre le projet éducatif de l'organisateur, il en précise les conditions de réalisation dans un document élaboré en concertation
Plus en détailComprendre les différentes formes de communication
Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre
Plus en détail