Journée Furtivité des chantiers Innovations et perspectives. Rapport
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- Vivien Lafontaine
- il y a 8 ans
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1 Journée Furtivité des chantiers Innovations et perspectives. Rapport 30 mai 2011 Le 10 mai 2011, au LNE à paris, à eu lieu la conférence sur la furtivité des chantiers organisée par EGIS. Cette journée s appuyait sur l expérience acquise au cours du projet PROPICE, présenté le matin. L après-midi, les projets FURET et TRACI ont été présentés, nourrissant la discussion qui a suivi. Le projet PROPICE Le projet PROPICE (Préservation et Réhabilitation Optimale du Patrimoine existant d Infrastructure sous forte contraintes de Circulation, d Environnement et de riverains), labellisé par Advancity en 2006, financé à hauteur de 35% par l ANR, est quasiment achevé. Il part d un constat : les rénovations d infrastructures s accompagnent d une gêne démesurée pour les usagers, ce qui ne peut plus durer. Les impacts négatifs vont de la sécurité à l environnement, en passant par la vie économique locale. PROPICE apporte des outils d aide à la décision en amont ainsi qu en aval des travaux, permettant de prendre en compte le critère de «furtivité». Ceux-ci se déclinent en deux écocomparateurs, un outil de modélisation du bruit, et font référence à dix facteurs clés de succès : Quantifier les gênes pour les utilisateurs (élaborer une typologie des gênes et des populations impactées Informer le mieux possible, en amont du chantier les usagers et riverains), afin de minimiser la gêne perçue Organisation spécifique entre maître d ouvrage et maître d œuvre et partenaires locaux, permettant de mieux traiter le chantier en amont Associer les entreprises à la minimisation de la gêne Maitriser le phasage des travaux Améliorer la furtivité en aillant recours à des techniques innovantes sur chantier Développer la fonction Qualité Sécurité Environnement & Furtivité Associer les opérateurs de réseaux afin d identifier des réseaux existant ou récupérer des plans à jour Utiliser des solutions alternatives temporaires (communication) Capitalisation et échange de bonnes pratiques Il est important, pour qu un chantier soit furtif, de penser le chantier très en amont, afin d être discret, rapide, et de respecter les continuités (réseaux, trafics ). Les deux outils développés vont dans ce sens, chacun sur un domaine précis. En effet, les réseaux urbains, très maillés, avec un Innovations et perspectives 1/6
2 trafic assez compliqué à connaître, diffèrent grandement des réseaux linéaires, moins maillés, mais dont les flux sont mieux maitrisés et le trafic plus simple à connaître. Sur les réseaux urbains, le premier outil éco-comparateur ECCU (effet des chantiers sur les coûts d usage) permet de modéliser le trafic, de calculer divers«coûts environnementaux» (CO2 émis, essence perdue, ) sur tous chantiers. Le second, OPTRA (optimisation des travaux), est capable d optimiser la planification des travaux selon les créneaux d activité retenus (nuit, weekend, fin de journée, ). La modélisation du bruit est un sujet important. OASIS permet d anticiper et de maitriser le niveau sonore, en prenant en compte le bruit ambiant. La modélisation 3D du bruit apporte une meilleure compréhension aux riverains du projet à venir, et donc une meilleure acceptation. Plusieurs exemples internationaux ont aussi été présentés : Le périphérique d Anvers, avec des redirections des différents trafics (européen, régional, local), fonctions de ce trafic, et des réorientations vers d autres modes de transport Le succès a été au rendez-vous, mais le coût global de réduction des nuisances est proche du coût des travaux. Le système de LaneRental en Grande-Bretagne, où l utilisation de la chaussée est pénalisée (soit lors de chaque intervention, soit lors d un dépassement de planning). Ces incitations ont permis l introduction de nouvelles techniques, comme les enrobés tièdes, réduisant au maximum l utilisation de la chaussée. D autres au Canada ou aux Etats-Unis où un système de mise en commun de bonnes pratiques, avant chaque ouvrage, semble très efficace. Un dernier élément du projet PROPICE porte sur les nécessaires «capitalisation et partage» des connaissances entre tous les acteurs, au sein de communautés dépassant celles constituées pour des projets spécifiques. Malgré la réticence face au partage de connaissances, un prototype d outil informatique a été créé, permettant d échanger des «connaissances» avec ceux de son réseau. Le besoin d un référentiel commun, et l importance de la culture orale dans le BTP rendent cet outil nécessaire, dans un cadre de diffusion des compétences et des savoir-faire. Il serait accompagné d une cartographie des compétences, et serait aussi un lieu de mise en relation autour de projets.des échanges bilatéraux avec d autres pays sur ces bonnes pratiques sont à prévoir. Autres projets présentés Les projets FURET et TRACI ont été présentés ensuite. Financés mais moins avancés, l expérience acquise grâce à ces projets est encore incomplète. Ces projets ont des orientations multi critères de décision, qui associent le chantier et sa large périphérie, les critères d acceptation et d appréhension par le public, d aménagement du chantier. Innovations et perspectives 2/6
3 Le projet FURET propose un travail de fond tant au niveau conceptuel de la modélisation qu au niveau organisationnel et pratique de chantiers en territoires urbains diversifiés afin de créer le prototype d un outil de décision multicritère permettant entre autres, la construction de scénarios de furtivité et l évaluation et l intégration de la gêne des usagers résultant, la génération et l évaluation automatiques de scénarios Cet outil s accompagne d une démarche intégrée et modulaire de furtivité d une série de chantiers. En particulier, David MIET insiste sur l importance de l organisation du sous-sol et sa connaissance (de manière non-destructrice) préalable à un chantier. Regard sur les expériences européennes Le projet TRACI travaille sur les tranchées couvertes et la création d un outillage adapté à la création de ces tranchées : creusement en continu des parois, pose de parois préfabriquées, bétonnage en continu par réemploi et traitement des matériaux excavés. L aspect «amélioration de la furtivité» de ce projet est évidente, et s accompagne d un éco-comparateur, entre le système TRACI et d autres systèmes techniques disponibles, sur un large éventail de critères parmi lesquels l impact environnemental et les nuisances aux riverains. Discussions Des Maîtres d Ouvrage expriment leurs besoins Un enjeu majeur qui se pose aux Maître d Ouvrage est l opposition entre les objectifs, d une part de réduction des accidents du personnel, de satisfaction des usagers, du respect de l environnement et des riverains, et d autre part, de maîtrise budgétaire indispensable à la conduite des chantiers. Le problème posé par les réseaux (quels qu ils soient) est de ne pas interrompre le service. Peut-on imaginer des nouvelles techniques/technologies de rénovation, permettant de limiter ce problème? Il faut aussi simplifier les interventions futures grâce à une construction initiale mieux réfléchie. Un pilotage collectif, rassemblant Maîtres d Ouvrage, Maîtres d Œuvre, exploitants et entreprises de rénovation, dès le stade de la conception, permet une meilleure réflexion en amont sur la furtivité. Ce décloisonnement accélère les réactions lors de problèmes ou d urgences. Mais un tel schéma coopératif reste encore, trop souvent, à inventer. Une opposition couramment mise en avant est celle de la sécurité des usagers/riverains par rapport à celle des agents d intervention. Il est impératif de faire des compromis, et donc de travailler l aspect sociologique. Bien entendu, comme l acceptabilité des chantiers diffère en fonction du lieu, des chantiers et d autres conditions, il est extrêmement difficile de généraliser ces compromis. Cependant, pérenniser et systématiser les méthodes peut être utile à l avenir. Il peut aussi être valable, lors de grands chantiers, de raisonner en furtivité globale (une semaine peut-être plus acceptable qu un mois, respect des riverains, maîtrise budgétaire, ), et d être prêt à perdre un peu de furtivité sur un chantier, si un autre compense. Innovations et perspectives 3/6
4 Comment prendre en compte le regard et le service pour les usagers et les riverains? Nicolas Louvet (de la société 6T) a énoncé plusieurs décalages lors de l étude de la furtivité d un chantier. Le premier décalage est le manque de considération portée à l usager : «les acteurs acceptent de travailler pour l usager, mais oublient de travailler SUR l usager, qui il est». Malgré son importance, cette remarque n a pas appelé d autres commentaires dans l assemblée. Un autre décalage important s énonce ainsi : «dans la communication offerte, le «avant», ou situation antérieure aux travaux est exposé, le «après» également, mais le «pendant» ou les aléas ou changements lors du déroulement des travaux reste oublié». Il est nécessaire de jouer sur la perception des gênes et des nuisances. En effet, le bruit considéré comme utile est généralement jugé moins gênant. La communication sur la gêne durant les travaux est donc nécessaire pour jouer sur l acceptabilité sociale de ces travaux. Plus le riverain peut accéder à l information, plus les travaux seront acceptés. Cependant, il faut toujours relancer l information, le riverain/usager ayant la mémoire très courte. Trois solutions pragmatiques pour rendre ces gênes plus acceptables sont alors décrites : celles intégrant les riverains et les usagers (rencontres avec les ouvriers, ), celles jouant d une compensation (monétaire, ), celles faisant du chantier un «projet», jouant avec la beauté urbaine, se présentant presque comme œuvre d art (on travaille sur le «pendant»). La création de «classes de chantier» (ressemblant aux «classes de neige») permettrait d inviter le riverain/l usager à mieux comprendre le chantier, et donc à mieux l accepter. Les suites opérationnelles et réglementaires : l utilisation des critères de furtivité dans la prise de décision Guy Beurier (CU Lille) propose la création d un règlement de voirie ciblé sur les interventions (actuellement inexistant), et d intégrer dans le Code des Marchés Publics les notions suivantes: performances à atteindre sur chantier et critères de mesure/d évaluation, mesurer et prévoir des pénalités en cas de non-respect des contraintes. Les éco-comparateurs doivent avoir des référentiels publics et devraient se soumettre à une procédure de validation, afin de ne pas créer de situation de concurrence déloyale. Il serait intéressant que tous se groupent pour soutenir un règlement généralisé. Innovations et perspectives 4/6
5 Un commentaire rappelle que les appels d offre prenant en compte le critère «délai»sont permis par la réglementation. Eco-comparateurs de furtivité, labellisation : des outils communs de référence? La validation des éco-comparateurs est un chantier qui pose des difficultés à l ADEME. Une solution simple serait que chaque fabricant fasse faire une revue critique de son éco-comparateur, que l IDDRIM puisse comparer. Les intérêts sont triples. Il permettrait aux Maîtres d Ouvrage de mieux comprendre la faisabilité de son projet. Les entreprises, avec les éléments de demande, pourrait mieux axer leurs propositions de travaux. Enfin, l exploitant pourrait affiner et optimiser son utilisation. De plus, cette méthode permettrait à l IDDRIM de proposer un référentiel commun à l ensemble de ses partenaires. Attention à prendre en compte la grande sensibilité des éco-comparateurs aux données initiales de trafic. Quels projets de R&D pour demain sur la furtivité? La nécessaire densification de la ville va amener une plus grande visibilité à la furtivité. Celleci devra s adapter à de nouvelles contraintes, toujours plus fortes pour protéger les usagers/utilisateurs. Les projets de R&D qui ont une chance de voir le jour sont ceux groupant le collège de la recherche et celui de l industrie. Les projets ne s appuyant pas sur ces deux collèges (au moins) ne pourront pas réussir. Les projets présentés sont loin d avoir pu traiter de façon satisfaisante l ensemble des problématiques. Une analyse exhaustive de leurs avancées et zones inexplorées est nécessaire pour justifier de la relance de nouveaux projets. Table Ronde Le décloisonnement des acteurs, que ce soit au niveau de la recherche ou au niveau du travail à effectuer en lui-même est un point important. Par exemple, il est primordial d associer les sciences humaines à des projets dans la perspective d une chaîne de valeur. Inclure les Maîtres d Ouvrage dans la réflexion en amont et les collectivités locales (mairies, ) dans la communication restent deux points à améliorer. La phase préparatoire du chantier est primordiale. Il ne faut pas oublier non plus que la furtivité, pour un chantier, se traduit aussi par l économie pour le portemonnaie du contribuable. Innovations et perspectives 5/6
6 A noter également qu un référentiel cadre de la furtivité devra être choisi et écrit par l Etat, et qu un investissement des acteurs de la chaine dans cette réflexion permettra une plus grande souplesse. Les pistes à creuser sont : établir des relations entre l IDDRIM (Institut des Routes, des Rues et des Infrastructures pour la mobilité) et l IEED Villes durables inciter l IREX à s orienter vers des expérimentations relatives aux infrastructures adopter comme devise CCC & H pour Consolider, Continuer (à avancer), mettre en Commun& Humilité ne pas oublier ce qui a été fait : mettre en commun l ensemble des sujets pour enrichir le contenu, avec pragmatisme, en traitant toutes les questions aller davantage vers des programmes plus industriels avec l IDDRIM, le FUI, l Europe. Innovations et perspectives 6/6
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