Plan. Présentation EPP cohorte suivi 24 mois après sevrage alcoolique au CHE
|
|
- Arnaud Ducharme
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Certification HAS V2010 Présentation EPP cohorte suivi 24 mois après sevrage alcoolique au CHE Dr Dominique Malauzat Psychiatre des hôpitaux, Chef de pôle Pôle de Santé Publique Recherche-Évaluation-Information Médicale en Psychiatrie du Limousin REIM PsyL Plan Les points forts Les axes d amélioration dominique.malauzat@ch-esquirol-limoges.fr C.H. Esquirol limoges Limoges, 31 mai au 8 juin mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 2 inclusions inclus non inclus 75 âge 45 (+- 10,5) 45,5 (+- 10) genre Temps M0 M6 M12 M18 Suivis Autoquest Bilans biolog Dossiers complets Réévaluation médicale M mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 4 Les points forts inclusions M0 suivi M6 suivi m12 suivi m18 suivi m24 Série6 m6 faits m12 faits m18 faits Réalisation de l évaluation selon les prévisions Bonne participation des unités Intérêt marqué des addicts Un important suivi et consommation de soins Et surtout d excellent résultat sur l abstinence à M /02/06 21/08/06 09/03/07 25/09/07 12/04/08 29/10/08 17/05/09 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 6 1
2 Les différents types d abstinence à M24 Hospitalisation des personnes incluses M0 à 24 Abstinence clinique ABS % Non ABS% nbre / dev. st sans hp 1+ hp moy 1 hp Hommes & Abstinence biologique Hommes & 36, ,8 ABS % 27, ,25 A-Part 19,7 26,4 22,11 63, ,8 Non ABS% 52,6 38,6 49,6 nbre jours hospi totaux ,5 74, ,2 nbre total hospi ,3 7, ,3 nbre d'hospi ho/hdt 59 0,2 0, ,8 nbre d'hospi uf alcoologie 448 1,4 2, ,9 nbre de séquences hc 655 2,0 2, ,1 nbre de séquences hp 25 0,1 0, ,9 nbre de séquences hj 259 0,8 1, ,7 nbre jours hc , , mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 8 Les axes d amélioration Proposer de construire (juin à octobre 2010) avec les pôles et filières concernés un plan d actions modificatrices à mettre en œuvre (4ème trimestre 2010), pour mieux assurer la triple prise en charge De l addiction alcoolique Des comorbités psychiatriques De l état somatique À partir des constats issus de la cohorte Entrée dans les soins Les participants sont relativement bien répartis dans les différentes unités des secteurs. Une analyse selon leur origine géographique va dans le même sens. Une filière de soins spécialisés apparaît à travers l UF Giraudoux. L évolution à M24 semble se faire lorsque le suivi se poursuit sur une prise en charge plus spécifique dans les unités d alcoologie. Cette possible «dépsychiatrisation» interroge sur la prise en charge des comorbidités psychiatriques, dans ces unités désormais regroupées au sein d un pôle d addictologie. 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 10 Entrée dans les soins Lors de la recherche sur la nutrition en psychiatrie était nettement apparue la difficulté d intégrer dans la prise en charge psychiatrique celle des comorbidités somatiques. Pour ces patients alcooliques, il est proposé d identifier, voire de désigner, clairement les référents médicaux selon la triple prise en charge : addictologie, psychiatrie, médecine générale et spécialités, dans le même projet et dossier de soins personnalisé. L Echelle d Audit discrimine bien les différents types de consommation ou d abstinence, mais son exploration sur les 12 mois antérieurs montre l importance des rechutes et de l abstinence partielle. L enjeu semble de pouvoir intégrer sans stigmatisation ces fluctuations de la consommation alcoolique dans les programmes de soins sans provoquer, voire imposer, la rupture du contrat de soin. 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 12 2
3 L Echelle d Audit Rechercher les fluctuations de consommation alcoolique sans dramatisation ni banalisation lors des prises en charge au long cours. L Audit pourrait, avec une validation par le DRD-CHE, être reprise à l identique pour explorer des périodes plus courtes (semestre, voire trimestre ) Programmer les soins à long terme Le refus de participation à un suivi prolongé (24 mois) apparaît comme relativement faible. Même si le biais d une présélection par les unités de soins éxiste, ceci traduit la possibilité dès une demande de sevrage alcoolique en psychiatrie d organiser un projet de soins personnalisés à moyen et long terme. Inscrire dès la demande de sevrage les programmes de soins dans le long terme. La sortie du programme ne se faisant que par le succès, et non l échec. 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 14 Lutter contre l isolement L isolement (célibat ou divorce, revenus plus faibles) apparaît comme un facteur de risque important Mettre en place une prise en charge spécifique pour ces populations à risques (discrimination positive). 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 15 Les variations liées au genre Les (22% des inclus) sont représentatives du risque attendu, à l inverse des données de la littérature : elles sont cliniquement (57%) plus abstinentes que les (36,55%) soit 40,8% à M24; mais abstinence biologique moins différente abstinence totale 35% vs 27,7% soit 29,25%, Abstinence partielle 26,4% vs 19,7% soit 21,11% non abstinence 38,6% vs 52,58% soit 49,62% dans notre cohorte, elles consomment plus de soins. Un lien paraît apparaître entre l importance des soins mis en place et le résultat d abstinence complète ou partielle. 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 16 Les variations liées au genre S assurer que tous les soins disponibles pour la prise en charge de la dépendance alcoolique et des comorbidités sont systématiquement proposés tant aux qu aux. Pour cela, il semble possible de proposer d établir une check-list de l offre de soins. Lutter contre la rupture du contrat Les perdus de vue à 24 mois, mais pour lesquels le parcours a pu être au moins partiellement reconstitué à M24, apparaissent plus jeunes, moins hospitalisés en psychiatrie, avec plus de problèmes sociaux, moins abstinents, mais plus actifs, et avec un parcours de soins plus court. S agit-il d une première étape dans leur addiction ou d un sous-groupe différent? 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 18 3
4 Lutter contre la rupture du contrat Adapter l offre de soins à ce sous-groupe, au moins apparent, par une ou plusieurs relances dès le constat de rupture de soins, par appel téléphonique, courriers, Mieux évaluer le poids de la Dépressivité La dépressivité mesurée à partir de l échelle de Beck apparaît comme un élément majeur de cette cohorte. Cependant, elle ressort davantage sur l auto-évaluation qu en terme de diagnostic porté au dossier. Les ont un score de Beck nettement plus élevé, en corrélation avec les données de la littérature. Les non abstinents, au cours des 24 mois de leur suivi, améliorent leurs scores de BECK, mais moins que les abstinents. Cet effet positif est-il lié à la prise en charge importante qui est proposée même en cas d échec, au moins apparent, sur l alcoolisation? 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 20 Mieux évaluer le poids de la Dépressivité Prendre mieux en compte la dépressivité : soit par des entretiens structurés utilisant le MINI (personnel paramédical), soit par examen médical à visée diagnostique, à tous les temps de la prise en charge, quelle que soit l abstinence (totale, partielle, aucune), et mise en place d un traitement autant que nécessaire. Il est en effet plus habituel de rechercher cette dépressivité à moyen terme après le sevrage. Mieux prendre en compte le risque de la pathologie psychotique (schizophrénie et des troubles bipolaires) Ces diagnostics progressent, 25% à M24 au lieu de 7% à M0. L alcool joue-t-il un rôle de masque, voire de médication partielle, avec révélation progressive de la pathologie psychotique lors des abstinences partielles ou totales? Le sous groupe des schizophrènes apparaît comme le plus consommateur d actes de soins tant ambulatoires, qu hospitaliers, notamment en hospitalisation de jour. Ceci traduit-il un réel besoin, ou est-ce lié à l offre et à l accès aux soins? 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 22 Mieux prendre en compte le risque de la pathologie psychotique (schizophrénie et des troubles bipolaires) Recherche systématique des diagnostics de psychose et troubles bipolaires devant toute demande de sevrage alcoolique en psychiatrie. Cette recherche pourrait là aussi être préparée par un personnel paramédical avec le MINI, mais confirmée par un examen clinique par un psychiatre La prise en charge de l état somatique Lutter contre la surmortalité La surmortalité lors des 24 mois de l étude (21 décès sur ), soit 3,18 % par an apparaît comme un apport important de cette cohorte. Il s agit du nombre minimal, puisque tous ces décès sont documentés. De plus, sur les 67 personnes perdues de vue (sans donnée à 24 mois), nous n avons pas pu consulter les registres d état civil pour 13 d entre elles. Ce risque de mortalité n apparaît lié à aucun facteur d âge, de genre, de score à l Audit ou à la Beck, à la durée de prise en charge antérieure en psychiatrie, de mode de vie, de travail, de ressources Le risque de décès est important et imprévisible. 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 24 4
5 La prise en charge de l état somatique Lutter contre la surmortalité Intégrer ce risque dans la prise en charge quel que soit le statut de l alcoolique et de ses comorbidités tant psychiatriques que somatiques. Proposer une prise en charge structurée des aspects somatiques par un somaticien référent et des aspects psychiatriques, notamment concernant le risque suicidaire, par un psychiatre référent. Pour conclure Les bons résultats observés en terme d abstinence totale ou partielle apparaissent liés à l importance de la prise en charge, notamment hospitalière, mise en place. Au cours du temps, cette prise en charge semble se focaliser en unités d alcoologie, malgré les comorbidités psychiatriques et somatiques. Mettre en place la triple prise en charge alcoologique, psychiatrique, somatique en lien avec l ensemble des filières de soins concernés 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 26 Pour conclure Reposer les différents objectifs thérapeutiques selon une hiérarchie de priorités simples évolutives principaux et secondaires selon la diachronie de la prise en charge et définir les différents indicateurs et critères au delà de la seule consommation alcoolique. Remerciements Nous exprimons notre gratitude à Brigitte Plansont, infirmière de recherche Murielle Girard, ingénieur méthodologiste Michelle Bouchareychas, ff ARC M.A. Costa, Biologiste Sophie Bonnefond, Aurélien Varnoux, internes Toutes les équipes de soins qui ont collaboré Toutes les personnes addictes qui ont participé 31 mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V mai au 8 juin 2010 dr dominique malauzat, présentation EPP SEVRAGE ALCOOL? V3 28 Certification HAS V2010 Présentation EPP cohorte suivi 24 mois après sevrage alcoolique au CHE Dr Dominique Malauzat Psychiatre des hôpitaux, Chef de pôle Pôle de Santé Publique Recherche-Évaluation-Information Médicale en Psychiatrie du Limousin REIM PsyL Vous remercie de votre attention dominique.malauzat@ch-esquirol-limoges.fr C.H. Esquirol limoges Limoges, 31 mai au 8 juin
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détail"La santé des étudiants en 2013"
1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailJournée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre
Journée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Des actions en parallèle tout au
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détail15ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer e p ier d Portes Ouvertes Jeudi 24 mai 2012
15 ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer Dossier de presse Portes Ouvertes Jeudii 24 maii 2012 Le dossier Les addictions o Définition o Les grandes tendances en termes de conduites addictives
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailDu plaisir à la dépendance Lorsque l alcool devient un problème
Du plaisir à la dépendance Lorsque l alcool devient un problème 25 octobre 2012, Hôtel Bellevue, Berne SSPP: demande de reconnaissance des crédits soumise ASMPP: demande de reconnaissance des crédits soumise
Plus en détailUniversité d été de l AFORPEL 30 juillet 4 août 2012. La Gestalt et les «état limite» (Borderline)
La Gestalt et les «état limite» (Borderline) Les patients qui souffrent du trouble borderline (plus de 2% de la population active, 10% des consultations externes des médecins psychiatres et 15 à 20% des
Plus en détailCertification V2014. Un dispositif au service de la démarche qualité et gestion des risques des établissements de santé. Juillet 2013 ACC01-F203-A
Certification V2014 Un dispositif au service de la démarche qualité et gestion des risques des établissements de santé Juillet 2013 ACC01-F203-A Sommaire 1. Les enjeux et les ambitions : une démarche plus
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailComment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions?
Comment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions? Quelques pistes de réflexions à partir de l expérience du Respadd David Michels, chargé de projets, Respadd Introduction L engagement de
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailProgramme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises
1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailEtablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil -
Etablissement S.A.S. / ARPADE Services d Accueil et de Soins - Livret d accueil - Association Régionale de Prévention et d Aide face aux Dépendances et aux Exclusions Valeurs fondamentales de l Association
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11
LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailRéunion régionale. avec les établissements de santé. 4 Avril 2013
Réunion régionale avec les établissements de santé 4 Avril 2013 1 Ordre du jour Introduction par Michel LAFORCADE, Directeur Général de l ARS Aquitaine 1 ) Optimiser les parcours de santé: place des établissements
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détailAddictions : la continuité des soins des personnes détenues / L articulation entre les professionnels de santé de la prison et du milieu ouvert
soins des personnes détenues Addictions : la continuité des soins des personnes détenues / L articulation entre les professionnels de santé de la prison et du milieu ouvert Pratique(s Addictions: les
Plus en détailTROUBLES BIPOLAIRES ET ADDICTIONS. Damien FOUQUES ET Lucia ROMO
Conférence Argos 2001 du 27/01/2011 au FIAP (30 rue Cabanis - 75014 Paris) TROUBLES BIPOLAIRES ET ADDICTIONS Damien FOUQUES ET Lucia ROMO Psychologues cliniciens, maîtres de conférences à l Université
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailCertification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus
Certification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus Dispositif de certification Depuis 2005, l Agence de la biomédecine a initié la procédure de certification des coordinations
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailAlcool et grossesse :
Alcool et grossesse : comment en parler? Actualisation des connaissances Repères pour la pratique professionnelle pour : une démarche d information auprès de toutes les femmes un accompagnement des femmes
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailDrug Misuse and Treatment in Morocco
Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détailLe réseau fribourgeois du jeu excessif
Le réseau fribourgeois du jeu excessif Prévention REPER Téléphone : +41 26 322 40 00 Adresse postale : Route du Jura 29 1700 Fribourg projets@reper-fr.ch Description : En réponse aux risques que présentent
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailDr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014
Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailModule 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé
Module 1 Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Partie 3 - Assurance Maladie Invalidité les indemnités. Plan A- INCAPACITÉ PRIMAIRE(1)(2) B- INVALIDITÉ (1)(2) (3)Principes
Plus en détailLE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS
T R A N S P O R T S LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS R O U T I E R S Votre interlocuteur : Nicolas SAINT-ETIENNE Conseiller Mutualiste Entreprises Tél : 03 84 45
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLa Garantie Santé. Enfin une complémentaire santé qui répond à vos attentes. Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité,
Enfin une complémentaire santé qui répond à vos attentes La Garantie Santé Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité, immatriculée au registre national des mutuelles sous le
Plus en détailSynthèse des réflexions
Synthèse des réflexions 5ème Journée de Rencontres Inter-Professionnelles ADDICTION ET PRÉCARITÉ Le 2 février 2008 À l Auberge de Jeunesse DU PORT DU RHIN ------------------------------------ Organisée
Plus en détailBURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE. Et Hygiène? Dr JC Perréand-Centre Hospitalier Valence
BURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE Et Hygiène? De quoi parle-t-on? Burn.Out. ou syndrome d épuisement professionnel : «maladie caractérisée par un ensemble de signes, de symptômes et de modifications
Plus en détailVincent Péters. Président du GT TICS du SNITEM. Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France
Vincent Péters Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France Président du GT TICS du SNITEM 5 juillet 2013 Colloque industries du numérique et Santé+ Autonomie Contexte Plus de 60 ans Cardiologues
Plus en détailPLAQUETTE D INFORMATION
Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements
Plus en détailBurn out des professionnels de santé. Quels facteurs? Comment le mesurer? Quelles conséquences?
Burn out des professionnels de santé Quels facteurs? Comment le mesurer? Quelles conséquences? Docteur Jean-Claude PERREAND Centre Hospitalier de Valence De quoi parle t-on? Burn out, ou syndrome d épuisement
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailLe case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers
XIIe Congrès Européen Lausanne, le 22 novembre 2013 Le case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers Cécile Morgan & Patricia Jaunin, Infirmières spécialisées
Plus en détailDIPLOMES UNIVERSITAIRES DE PSYCHIATRIE Faculté Médecine Poitiers Année 2002 Professeur J. L. SENON Psychiatrie
DIPLOMES UNIVERSITAIRES DE PSYCHIATRIE Faculté Médecine Poitiers Année 2002 Professeur J. L. SENON Psychiatrie Accompagnement des Personnes Atteintes de Maladies Génétiques et de leur Famille D.U. - 1
Plus en détailIMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES
Association Régionale Poitou-Charentes pour l Information Médicale et l Epidémiologie en Psychiatrie (ARPCIMEP) Observatoire Régional de la Santé de Poitou-Charentes (ORSPEC) IMAGES ET REALITES DE LA SANTE
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détailLe Développement Professionnel Continu
Le Développement Professionnel Continu des médecins, pharmaciens et odontologistes au CHRU de Montpellier De quoi s agit-il? Le Développement Professionnel Continu (DPC) réunit dans un concept commun la
Plus en détailSOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org
SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre
Plus en détailLA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent)
LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) Colloque Européen et International THS 10, le 14 octobre 2011 Marthylle LAGADEC Marie GRALL-BRONNEC,
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailCharte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale
1 Charte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale Préambule L objectif du stage de deuxième cycle en médecine générale est d appréhender les grands principes et les spécificités
Plus en détailEdition : Addiction Suisse, Lausanne 2011
Alcool (auc)un problème? Informations à l'intention des personnes qui s'interrogent sur leur consommation d'alcool Est-ce que je bois trop? Qu'est-ce qu'un problème d'alcool? Quand est-on dépendant de
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailCHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES
CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailLe soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé
Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée
Plus en détailLicences Pro OBSER VATOIRE. Lettres / Langues et Sciences Humaines. à l'université de Limoges
Université de Limoges Licences Pro Lettres / Langues et Sciences Humaines L'insertion professionnelle des diplômés DEs licences professionnelles à l'université de Limoges Résultats par (promotion 2007-2008)
Plus en détailProgramme Scientifique
Programme Scientifique L AFTAD est un organisme de FMC Agrément n 100381 Le Congrès Les Journées de l AFTAD donne droit à 12 crédits de FMC au titre de la Formation Présentielle, pour les médecins libéraux
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détail2. Présentation d une intervention dans l une des entreprises
Approche ergonomique des troubles musculosquelettiques (TMS) au sein de trois entreprises basées en Suisse Juin 2007 Andréa Neiva, Aurélia Pellaux, Daniel Ramaciotti ERGOrama sa Genève & Université de
Plus en détailEn 2011, le service Ameli-direct, anciennement appelé «Infosoins» puis «Adresses et Tarifs» connaît les modifications suivantes :
@ AMELI-DIRECT VERSION 3.3 2006-2011 : INFOSOINS DEVIENT AMELI-DIRECT Dès la COG 2006-2009, l Assurance Maladie s engage à développer à l intention de ses assurés un système d information tant sur le fonctionnement
Plus en détailDescription des résidants dans les IHP et les MSP
I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailLes permanences d accès aux soins de santé :
Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales de Midi-Pyrénées Les permanences d accès aux soins de santé : «Les PASS» en Midi-Pyrénées Mars 2003 Rapport réalisé dans le cadre de l évaluation
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailAIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée
Pour tout renseignement, contacter le Centre de la Relation Clients : Tél. 01 44 90 13 33 Fax 01 44 90 20 15 Formulaire de contact accessible sur notre site Internet www.crpcen.fr AIDES SOCIALES 2015 Cocher
Plus en détailRapport d activités 2009
S O I N S P R E V E N T I O N F O R M A T I O N C O N S E I L EN A D D I C T O L O G I E C E N T R E D E S O I N S D 'AC C O M P A G N E M E N T E T D E P R E V E N T I O N E N A D D I C T O L O G I E
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détail