Cancers du larynx. Bilan initial d un patient présentant un cancer du larynx
|
|
- Gérard Gravel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cancers du larynx Bilan initial d un patient présentant un cancer du larynx - Examen clinique ORL : laryngoscopie indirecte, fibroscopie avec étude de la mobilité laryngée +++, palpation des aires ganglionnaires - Examen clinique général (état nutritionnel, intoxication alcoolo tabagique) - Examen panendoscopique sous anesthésie générale (VADS, œsophage, bronches, recherche d une deuxième localisation). - Biopsie de la lésion +++ : dans 95% des cas il s agit d un carcinome épidermoïde plus ou moins différencié - Réalisation d un schéma daté de la lésion permettant de classer la lésion dans le TNM - Scanner du larynx en sensibilisant le radiologue pour l interprétation des résultats en particulier pour les envahissements cartilagineux - Scanner de la base du crâne et de la base du cou, étendu éventuellement au médiastin supérieur en fonction du TNM. - IRM éventuelle à discuter au cas par cas - Bilan biologique, état nutritionnel, protides, albumine, bilan hépatique. - Etat dentaire avec le panoramique dentaire. - Radiographie pulmonaire. - ECG. - La décision thérapeutique sera collégiale avec présence d un chirurgien ORL, d'un radiothérapeute, d'un médecin oncologue une fois le TNM établi. 1
2 Classification internationale T N M des cancers du larynx La classification TNM est établie sur la base de données cliniques et paracliniques notamment scanographiques. T : Tumeur primitive Le Larynx 3 localisations anatomiques sont distinguées : a - larynx sus glottique (épiglotte infrahyoïdienne, bandes ventriculaires, ventricules) ou supraglottique ( ou margelle laryngée ou épilarynx : épiglotte suprahyoïdienne, replis arypiglottiques, aryténoïdes) b - glotte (cordes vocales, commissures antérieure et postérieure) c - larynx sous-glottique (bord inférieur corde vocale, premier anneau trachéal). Pour les 3 localisations : TX : Tumeur primitive non évaluable TO : Tumeur non détectable Tis : Carcinome in situ a - Larynx sus-glottique T1 : Tumeur limitée à un site anatomique de la cavité sus glottique, avec une mobilité normale des cordes vocales. T2 : Tumeur étendues à plus d'un site anatomique ou à la glotte ou à une ou plusieurs localisations adjacentes (ex : muqueuse de la base de langue, de la vallécule, ou de la paroi interne du sinus piriforme) sans fixation laryngée T3 : Tumeur limitée au larynx avec fixation d'une corde vocale et/ou envahissement du rétro-cricoïde, et/ou des tissus pré-épiglottiques (loge HTE) T4 : Tumeur atteignant le cartilage thyroïde et/ou s'étendant aux parties molles du cou, à la thyroïde, et/ou à l'œsophage. b - Glotte T1 : Tumeur limitée à une (aux) corde(s) vocale(s) (pouvant atteindre la commissure antérieure ou postérieure) avec une mobilité normale. T2 : Tumeur étendue à l'étage sus glottique et/ou au larynx sous glottique, et/ou avec diminution de la mobilité de la corde vocale T3 : Tumeur limitée au larynx avec fixation de la corde vocale. T4 : Tumeur étendue au cartilage thyroïde et/ou aux structures extra laryngées (trachée, parties molles du cou, pharynx, thyroïde) 2
3 c - Larynx sous-glottique Tumeur limitée au larynx sous glottique Tumeur étendue à une (aux) cordes(s) vocales(s) avec une mobilité normale ou diminuée Tumeur limitée au larynx avec fixation d'une corde vocale Tumeur étendue au cartilage thyroïde et/ou cricoïde, et/ou auux structures extra laryngées (œsophage, thyroïde, trachée, tissus mous du cou) Macroscopiquement on peut distinguer des formes bourgeonnantes, infiltrantes et des lésions en nappe, mal limitées avec de nombreuses zones dysplasiques. Classification internationale clinique des groupes des ganglionnaires (N) : N0 : Pas de signe d atteinte des ganglions N1 : Homolatéral < à 3 cm. N2 : Homolatéral entre 3 et 6 cm N2 a : unique. N2 b : multiple, homolatéral. N2 c : bilatéraux. Classification internationale des métastases (M) : M0 : pas de métastase M1 : présence de métastase(s) 3
4 Anatomie pathologique Le diagnostic repose sur l'examen anatomo-pathologique après biopsie de la tumeur. Les carcinomes du larynx sont dans 95 % des cas carcinomes épidermoïdes. Plusieurs critères histologiques sont indispensables à la prise de décision thérapeutique après chirurgie d'une tumeur laryngée. Ces critères d histopronostic sont établis sur les résultats anatomopathologiques des prélèvements (P TNM) Tumeur Différenciation Taille tumorale Embols lymphatiques Infiltration péri-nerveuse Infiltration cartilagineuse du larynx, musculaire ou des structures adjacentes (base de langue, œsophage) Limites d'exérèse (envahies, <5 mm, dysplasie sévère, carcinome in situ) avec localisation si possible de ces recoupes. Ganglions Nombre de ganglions envahis (N+) / Nombre total de ganglions examinés Siège des ganglions envahis (niveaux) Nombre de ganglions en rupture capsulaire (R+) / Nombre de ganglions envahis Il est souhaitable, mais pas toujours indispensable, de pouvoir disposer pendant toute intervention chirurgicale d'une analyse anatomo-pathologique extemporanée. FACTEURS PRONOSTIQUES Ils sont fonctions de facteurs cliniques et de critères histologiques. Facteurs cliniques : Ils sont correllés au pronostic vital et / ou contrôle loco-régional et ils incluent l'état général,le siège de T et de N, l'extension loco-régionale (la taille de T et de N), l'aspect macroscopique, l'envahissement de la structure musculaire ou osseuse, la présence de métastases à distance. Les critères histologiques : L'infiltration tumorale in situ ou infiltrant l'envahissement ganglionnaire (nombre de ganglions envahis, rupture capsulaire), les marges de résections (marges + ou < à 5 mm), l'infiltration péri-nerveuse, les embols lymphatiques. Ces critères d histopronostic sont établis sur les résultats anatomopathologiques des prélèvements (P TNM) 4
5 METHODES THERAPEUTIQUES Les méthodes thérapeutiques sont : -La chirurgie -La radiothérapie -La chimiothérapie -L association chirurgie- radiothérapie -L association chimiothérapie d induction chirurgie radiothérapie (protocole de préservation d organe) -L association radiothérapie chimiothérapie concomitante -Le traitement palliatif INDICATIONS THERAPEUTIQUES Nous étudierons les indications thérapeutiques en fonction du T pour 4 régions laryngées : - Larynx glottique (T1, T2, T3, T4) - Larynx sus glottique (T1, T2, T3, T4) - Larynx sous glottique (T1, T2, T3, T4) - Larynx supra glottique (margelle laryngée ou épilarynx : épiglotte sus hyoïdienne, aryténoïde, repli aryépiglottique), (T1, T2, T3, T4). 5
6 TUMEURS DU LARYNX GLOTTIQUE Nous décrirons 3 localisations : plan glottique, commissure antérieure, commissure postérieure PLAN GLOTTIQUE : corde vocale T1 Tumeur limitée à une (aux) corde(s) vocale(s) pouvant envahir les commissures antérieure ou postérieure avec une mobilité normale. T1a Tumeur limitée à une corde vocale Cordectomie laser, cordectomie translaryngée ou RTE T1b Tumeur envahissant les deux cordes vocales Laryngectomie fronto-latérale ou frontale antérieure 6
7 T2 Tumeur étendue à la cavité supraglottique et/ou la cavité infraglottique, et/ou avec diminution de la mobilité de la corde vocale Laryngectomie frontale antérieure ou Laryngectomie partielle supra-cricoïdienne avec Crico-hyoïdoépiglottopexie T3 Tumeur limitée au larynx avec fixation de la corde vocale Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, sinon Laryngectomie totale + RTE T4 Tumeur étendue à travers le cartilage et/ou envahissant d'autres structures extra-laryngées : trachée, parties molles du cou, thyroïde pharynx Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, sinon Laryngectomie totale + RTE 7
8 TUMEURS DE LA COMMISSURE ANTERIEURE Les tumeurs de commissure antérieure sont soit des T1 ou d emblée des lésions T4 par infiltration rapide de la membrane cricothyroidienne et extension extralaryngée T1 Extension sous glottique < à 5 mm Laryngectomie frontale antérieure ou Laryngectomie partielle supra-cricoïdienne avec Crico-hyoïdo-épiglottopexie ou Tucker T4 Infiltration de la membrane cricothyroidienne avec extension extralaryngée Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, sinon Laryngectomie totale + RTE 8
9 TUMEURS DE LA COMMISSURE POSTERIEURE T1, T2, T3, T4 : Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, sinon Laryngectomie totale + RTE 9
10 TUMEURS DU LARYNX SUPRA GLOTTIQUE 3 localisations : épiglotte sous hyoidienne, bande ventriculaire, ventricule EPIGLOTTE SOUS HYOIDIENNE T1 Tumeur limitée à la face laryngée d'épiglotte soushyoïdienne avec une mobilité normale des cordes vocales Laryngectomie partielle supraglottique ou Radiothérapie T2 Tumeur étendue à la muqueuse de la cavité supraglottique sans fixation du larynx Laryngectomie partielle supra-glottique ou Radiothérapie 10
11 T3 Tumeur limitée au larynx avec fixation d'une corde vocale et/ou envahissement de la zone postcricoïdienne, et/ou des tissus préépiglottiques (loge HTE) Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, sinon Laryngectomie totale + RTE T4 Tumeur atteignant le cartilage thyroïde et/ou s'étendant aux partie molles du cou, à la thyroïde, et/ou à l'œsophage. Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression marcroscopique complète, sinon Laryngectomie totale + RTE 11
12 TUMEURS DE LA BANDE VENTRICULAIRE ET DU COMPLEXE PIED BANDE T1 Tumeur limitée à une bande ventriculaire avec une mobilité normale des cordes vocales Laryngectomie partielle supra-glottique ou Laryngectomie partielle supra-cricoïdienne avec Crico-hyoïdopexie ou Radiothérapie T2 Tumeur étendue à plus d'un site anatomique ou à une ou plusieurs localisations adjacentes sans fixation laryngée Laryngectomie partielle supra-glottique ou de la glotte sans fixation du larynx T3 Tumeur limitée au larynx avec fixation d'une corde vocale et/ou des tissus pré-épiglottiques (loge HTE) Tumeur atteignant le cartilage thyroïde et/ou s'étendant aux partie molles du cou, à la thyroïde, et/ou à l'œsophage. Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, Laryngectomie totale + RTE sinon 12
13 T4 Tumeur atteignant le cartilage thyroïde et/ou s'étendant aux parties molles du cou, à la thyroïde, et/ou à l'œsophage. Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, Laryngectomie totale + RTE sinon 13
14 VENTRICULE LARYNGE T1, T2 : T1 : Tumeur limitée à un site anatomique de la cavité sus glottique, avec une mobilité normale des cordes vocales. T2 : Tumeur étendue à plus d'un site anatomique ou à la glotte ou à une ou plusieurs localisations adjacentes sans fixation laryngée. Laryngectomie partielle supra-glottique ou Laryngectomie partielle supra-cricoïdienne avec Crico-hyoïdopexie ou Radiothérapie T3 Tumeur limitée au larynx avec fixation d'une corde vocale et/ou des tissus pré-épiglottiques (loge HTE) Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, sinon Laryngectomie totale + RTE T4 Tumeur atteignant le cartilage thyroïde et/ou s'étendant aux partie molles du cou, à la thyroïde, et/ou à l'œsophage. Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, sinon Laryngectomie totale + RTE 14
15 TUMEURS DU LARYNX SOUS GLOTTIQUE T1 Tumeur limitée à la cavité sous-glottique Cordectomie chirurgicale ou Laryngectomie fronto-latérale T2 Tumeur étendue à une (aux) corde(s) vocale(s) avec une mobilité normale ou altérée Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, sinon Laryngectomie totale + RTE T3 Tumeur limitée au larynx avec fixation d'une corde vocale Laryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète, Laryngectomie totale + RTE sinon 15
16 TUMEURS SUPRA GLOTTIQUES (margelle laryngée ou épilarynx) 3 localisations : face laryngée de l épiglotte, repli aryépiglottique, aryténoïde FACE LARYNGEE DE L EPIGLOTTE SUS HYOIDIENNE (margelle antérieure) T1 Tumeur limitée à la face laryngée d'épiglotte sushyoïdienne avec une mobilité normale des cordes vocales Hyo-Thyro-épiglottectomie ou Radiothérapie T2 Tumeur étendue à la muqueuse de la cavité supraglottique débordant sur la face linguale de l'épiglotte et la vallécule sans fixation du larynx Sub-glosso-hyo-Thyro-épiglottectomie ou Radiothérapie 16
17 T3 Tumeur de la margelle étendue en supraglottique et à la face linguale de l'épiglotte et aux vallécules avec fixation laryngée Subglosso-Pharyngolaryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si Régression macroscopique complète, sinon Pharyngolaryngectomie totale + RTE T4 Tumeur de la margelle traversant le cartilage thyroide et/ ou s étendant aux parties molles du cou, à la thyroide et/ ou à l oesophage Pharyngolaryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si Régression macroscopique complète, sinon Pharyngolaryngectomie totale + RTE 17
18 REPLI ARY-EPIGLOTTIQUE (margelle latérale) T1 Tumeur limitée au repli ary-épiglottique avec une mobilité normale des cordes vocales Pharyngo-Laryngectomie partielle supraglottique ou hémi-laryngopharyngectomie ou radiothérapie T2 Tumeur étendue à la muqueuse de la cavité supraglottique sans fixation du larynx Pharyngo-Laryngectomie partielle supraglottique ou hémi-laryngopharyngectomie ou Radiothérapie T3 Tumeur limitée au larynx avec fixation d'une corde vocale et/ou envahissement des tissus pré-épiglottiques Pharyngolaryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si régression macroscopique complète,sinon Pharyngolaryngectomie totale + RTE 18
19 T4 Tumeur de la margelle traversant le cartilage thyroide et/ ou s étendant aux parties molles du cou, à la thyroide et/ ou à l oesophage Pharyngolaryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si Régression macroscopique complète, sinon Pharyngolaryngectomie totale + RTE 19
20 ARYTENOIDE (margelle postérieure) T1 Tumeur limitée à un aryténoïde avec mobilité normale Pharyngo-Laryngectomie partielle supracricoïdienne avec Crico-hyoïdoépiglottopexie T2 Tumeur de débordant la margelle un traversant aryténoïde le cartilage avec mobilité thyroide conservée et/ ou s étendant ou peu aux parties diminuée molles du cou, à la thyroide et/ ou à l oesophage Pharyngo-Laryngectomie partielle supracricoïdienne avec Crico-hyoïdoépiglottopexie T3 Tumeur débordant un aryténoïde avec extension sur la commissure postérieure sur le rétrocricoïde ou la muqueuse du vestibule laryngé, immobilité d'un hémilarynx Pharyngolaryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si Régression macroscopique complète, Pharyngolaryngectomie totale + RTE sinon 20
21 T4 Tumeur de la margelle traversant le cartilage thyroide et/ ou s étendant aux parties molles du cou, à la thyroide et/ ou à l oesophage Pharyngolaryngectomie totale + RTE ou Chimiothérapie d'induction puis RTE si Régression macroscopique complète, sinon Pharyngolaryngectomie totale + RTE 21
22 Traitement des aires ganglionnaires dans les tumeurs de l'endolarynx et de la margelle Si le traitement de la tumeur primitive est chirurgical Larynx glottique si T1 Larynx glottique Si T > 1 N0 ou N1 N2 ou N3 Larynx supraglottique et margelle N0 ou N1 N2 ou N3 Larynx infraglottique N0 ou N1 Pas de traitement des aires ganglionnaires Curage ganglionnaire fonctionnel bilatéral Curage ganglionnaire radical homolatéral et fonctionnel controlatéral Curage ganglionnaire fonctionnel bilatéral Curage ganglionnaire radical homolatéral et fonctionnel controlatéral Curage ganglionnaire fonctionnel bilatéral + curage récurrentiel bilatéral + lobo-isthmectomie ou thyroïdectomie totale N2 ou N3 Curage ganglionnaire radical homolatéral et fonctionnel controlatéral + Si pn- Si pn+ curage récurrentiel bilatéral + lobo-isthmectomie ou thyroïdectomie totale Pas de RTE RTE +/- chimiothérapie concomittente 22
23 Période post-opératoire En cas de laryngectomie partielle une rééducation de la déglutition sera commencée le plus vite possible, une gastrostomie per cutanée sera parfois nécessaire. Le début de la radiothérapie commencera si possible dans les 6 semaines post-opératoires. Les soins dentaires seront réalisés si possible en pré-opératoire. S'ils sont fait en postopératoire, un délai de trois semaines sera nécessaire pour la cicatrisation avant la réalisation de la radiothérapie. Apprentissage des soins de canule par le malade et son entourage Protocole de radiothérapie : Les doses sont en fonction du TNM après étude histologique. Pour une radiothérapie postopératoire, on réalise 50 grays sur le T si la limite est saine, 65 si la limite de résection est envahie. Sur les N, on réalise 50 grays avec un surdosage de 15 grays en cas de rupture ganglionnaire avec éventuellement chimiothérapie concomitante. Surveillance du patient En cas de laryngectomie partielle surveillance du poids et des éventuelles troubles de la déglutition, en cas de laryngectomie totale surveillance du trachéostome. Surveillance clinique tous les trois mois pendant deux ans, puis tous les 6 mois pendant 3 ans par roulement avec les différents praticiens. L examen clinique recherchera une récidive locale, une récidive ganglionnaire ou l apparition d une deuxième localisation. Radio pulmonaire annuelle TSH annuelle. Une TDM sera effectuée en fonction des circonstances Surveillance dentaire annuelle par un odontologiste avec controle du port gouttières fluorées de protection. Rééducation orthophonique avec apprentissage de la voix oesophagienne Rééducation de la déglutition. Surveillance des implants et des shunts phonatoires Le patient sera inscrit à l'association régionale des Laryngectomisés. 23
Cancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailOTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer
OTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer IFSI Croix Rouge Dr Coulet Olivier Service ORL et chirurgie cervico-faciale Hôpital Laveran Cavité buccale / oropharynx Rappel anatomique rhinopharynx oropharynx
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailLE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers des voies aérodigestives supérieures
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Janvier 2009 LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES
Plus en détailItem 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives. Objectifs pédagogiques
Item 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives supérieures. I. EPIDEMIOLOGIE II. TRAITEMENT III. DIAGNOSTIC ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE IV. SUIVI POST-THERAPEUTIQUE V. PREVENTION VI.
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE VOTRE TRAITEMENT. LA RADIOTHÉRAPIE DES CANCERS DES Voies Aéro-Digestives Supérieures
FICHES INFO THERAPIE MIEUX COMPRENDRE VOTRE TRAITEMENT LA RADIOTHÉRAPIE DES CANCERS DES Voies Aéro-Digestives Supérieures Ce document a été élaboré par les membres du bureau de la SFjRO avec l'aide de
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailPOLYCOPIES DES COURS d ORL Faculté de médecine d Angers
POLYCOPIES DES COURS d ORL Faculté de médecine d Angers Pr Laccourreye 2 INTRODUCTION La réforme du 2 e cycle des études médicales a provoqué un «éclatement» de l enseignement de l otorhinolaryngologie.
Plus en détailPositionnement de l implant
HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailL EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE
L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailCertificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailLes traitements du cancer du rein
MARS 2013 Les traitements du cancer du rein COLLECTION GUIDES PATIENTS LES REINS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LES MÉDICAMENTS ANTICANCÉREUX LES PROFESSIONNELS LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailRéférentiel métier / Compétences du chirurgien en chirurgie maxillo-faciale et stomatologie
e-mémoires de l'académie Nationale de Chirurgie, 2009, 8 (4) : 15-21 15 Référentiel métier / Compétences du chirurgien en chirurgie maxillo-faciale et stomatologie Pr Patrick Goudot, président du collège
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailLes Laryngites chroniques
Mémoire du DES d ORL Année universitaire 2011-2012 Les Laryngites chroniques Article destiné à la revue Encyclopédie médico-chirurgicale. Laetitia Plisson Directeur de mémoire : Interne en 6 ème semestre
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailcursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage
cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage Validé par un certificat - Crédit de 200 points Accrédité par le Conseil National de la Formation Continue en Odontologie Numéro d accréditation
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...4 SPECIFIQUE :...4 I Physiopathologie...5 II Sémiologie...5 II.1 Symptômes observés au cours
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détailpathologie du 8cd terminologie :
terminologie : dysphagie achalasie odynophagie pyrosis hernie hiatale oesophage de barrett léiomyome hypersialorrhée hémoptysie atélectasie hypoxémie pneumothorax épistaxis xérostomie stomatite difficulté
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailRéférentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013
Référentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013 Sommaire Contexte 5 Objectifs... 5 Champ d application... 5 Utilisateurs cibles... 5 Information du patient... 5 Avertissement...
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailRetrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients
Retrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE
CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailFormation en Implantologie
COURS EN IMPLANTOLOGIE Saint - Domingue (République Dominicaine) Pratique clinique sur patients dr.lebbar@lapostre.net +212(0) 5 37 68 32 03 COURS PRATIQUE EN IMPLANTOLOGIE À SAINT - DOMINGUE Pratiques
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailChapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique José LABARERE Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. lan I.
Plus en détaill implantologie basale
Plaquette n 17 6/11/08 11:04 Page 1 Apport de l implantologie basale dans les reconstructions implantaires fixes : une alternative aux greffes osseuses? Denis DOUGNAC-GALANT L omnipraticien est, dans son
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLes tumeurs du cerveau
Juin 2010 Les tumeurs du cerveau collection GUIDEs de référence le CERVEAU LES TUMEURS DU CERVEAU LE DIAGNOSTIC LES TRAITEMENTS LA RECHERCHE LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr L Institut national du cancer
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailCONFERENCE DE CONSENSUS : PRISE EN CHARGE DES CANCERS THYROÏDIENS DIFFERENCIES DE SOUCHE VESICULAIRE
CONFERENCE DE CONSENSUS : PRISE EN CHARGE DES CANCERS THYROÏDIENS DIFFERENCIES DE SOUCHE VESICULAIRE Pourquoi un consensus français sur la prise en charge des cancers thyroïdiens? La prise en charge des
Plus en détailClassi cation TNM du cancer bronchique
Revue des Maladies Respiratoires Actualités (2014) 6, 388-394 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com Classi cation TNM du cancer bronchique TNM classi cation for the lung cancer J.-P. Sculier Service
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailGarantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale
Garantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale Remboursement total R.O. + Mutuelle Visites, consultations, actes, majorations des médecins généraliste et spécialistes 150% Analyses et examens
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailSont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :
Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.
Plus en détail